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De Remix Biens Communs
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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Description » avec la valeur « Communs et territoire rural : ITW Didier Hervé, directeur de l'IPHB. Oloron Sainte Marie dans les Pyrénées Atlantiques. Promoteur de la charte pour la gestion des ressources naturelles de la vallée d'Ossau. L'Institut Patrimonial du Haut-Béarn ( Pyrénées Atlantiques) apparaît au XXI siècle comme une institution capable d'avoir une gestion des communs tout en respectant leur mémoire, leur perspective ancestrale et leu futur, à partir de la concertation et la participation des acteurs locaux et leur attachement territorial. Plus d'infos: http://terre-citoyenne.org/des-ressources/ecadims/vallees-daspe-dossau-et-de-baretous-france.html ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 51 résultats à partir du nº 1.

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Liste de résultats

  • Politique de l'eau en France  + (Cette vidéo réalisée par les agences de l'Cette vidéo réalisée par les agences de l'eau à l'occasion du 6ème Forum mondial de l'eau retrace l'histoire de la politique de l'eau, les principes, les enjeux et décrit les acteurs qui la mettent en œuvre. Cette reconstruction est faite à partir des lois principales adoptées à niveau national et européen et elle essaie d'encadrer ces mesures dans l'évolution de l'économie française. La vidéo explique aussi le fonctionnement des instances de gouvernance et contrôle créées à cette fin.ouvernance et contrôle créées à cette fin.)
  • Charte Remix - Version 6 mai 2013  + (Charte de Remix Biens Communs - Version 0.1 - 6 mai 2013)
  • Comprendre le mouvement des communs  + (Comprendre le mouvement de commun est une récolte d’articles qui analysent différents aspects du mouvement des communs : approches, activités, stratégies, ...etc. Les documents constituent une exploration de la complexité du mouvement.)
  • Convention de financement structurel 2015 - 2017 par la Fondation pour le Progrès de l'Homme  + (Convention de soutien structurel pour Remix the commons)
  • Recours d'urgence pour l'accès à l'eau (Mayotte a soif)  + (Dans ce dossier de presse conjoint les assDans ce dossier de presse conjoint les associations Mayotte a soif et Notre Affaire à Tous dénonce la crise de l'eau que les habitant.e.s de Mayotte sont en train d'affronter en expliquant les raisons de cette crise. Via un référé liberté, ces associations ainsi que 15 victimes requérantes demandent au tribunal administratif de Paris de reconnaître l'impact de la crise sur les droits fondamentaux et la réponse insuffisante de l'État. Pour eux, la situation à Mayotte est le résultat de plusieurs années d’un désengagement de l’État sur ces questions et d’une inadaptation discriminatoire des politiques publiques déployées.atoire des politiques publiques déployées.)
  • Pénuries, montées d'eaux, canicules : comment s'adapter ?  + (Dans cet entretien Alexandre Magnan, co-auDans cet entretien Alexandre Magnan, co-auteur du groupe II du GIEC et chercheur senior en "adaptation au changement climatique" à l’IDDRI, nous parle du sixième rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). Le rapport non seulement constate l'aggravation des risques climatiques mais propose aussi des solutions possible pour s'adapter, absorber les crises futures et construire un avenir meilleur. futures et construire un avenir meilleur.)
  • À la découverte des communs  + (Dans cette brève vidéo de présentation de Dans cette brève vidéo de présentation de son engagement dans les communs, l'Agence Française du Développement (AFD) propose une définition nuancée et intelligente des communs à partir de trois exemples situés dans des contextes culturels et économiques et sociaux différents. Un Fab lab à Lomé, une association qui facilite l’accès aux terres pour les agriculteurs, une association d’usagers qui organise l’accès à l’eau à Kinshasa, à travers ces trois exemples cette vidéo met en évidence les mécanismes de partage, d'interdépendance et les enjeux sociaux économiques et environnementaux.x sociaux économiques et environnementaux.)
  • La charte des engagements d'Eau publique du Grand Lyon  + (Dans cette charte on retrouve les engagemeDans cette charte on retrouve les engagements divisés par points de l'acteur public maintenant en charge de la gestion de l'eau dans la Métropole de Lyon. Ces engagements visent à assurer la qualité et l'accessibilité de l'eau ainsi que la disponibilité et la transparence de l'agence dans la relation avec les usagers ce qui concerne le partage des informations mais aussi la réactivité de la réponse dans le cas où il y ait de problèmes.onse dans le cas où il y ait de problèmes.)
  • Les résistances territorialisées aux réformes de modernisation des services d'eau  + (Dans cette vidéo Antoine Brochet nous faitDans cette vidéo Antoine Brochet nous fait une synthèse de son travail de recherche. Le titre étant « Les résistances territorialisées aux réformes de modernisation des services d'eau » la thèse porte justement sur les reformes européennes et d'inspiration économique qui visent à croître la performance des services d'eau.croître la performance des services d'eau.)
  • La crise de l'eau approche ?  + (Dans cette vidéo Charlène Descollonges (inDans cette vidéo Charlène Descollonges (ingénieure hydrologue) nous parle d'inondations, sécheresses, et gestion partagée de la ressource en eau. Elle nous montre à travers plusieurs exemples que le cycle de l’eau est complètement bouleversé au point d’avoir dépassé les limites planétaires de l’eau bleue et verte. Ce faisant au cours de l'entretien plusieurs questions sont traitées pour comprendre d'une part quelle est la source de tous ces dérèglements tant localement que globalement et de l'autre comment pouvons nous s’adapter à un contexte de plus en plus imprévisible et concilier les besoins essentiels et superflus de l’eau de manière plus démocratique.lus de l’eau de manière plus démocratique.)
  • Projet de territoire de gestion de l'eau du bassin du Clain  + (Dans cette vidéo Christine Graval (conseilDans cette vidéo Christine Graval (conseillère régionale de la Vienne), Nicolas Fortin (secrétaire national Confédération Paysanne), Jean-Claude Hallouin (conseiller juridique Vienne Nature) et Jean-Pierre Coillot (vice-président UFC que choisir de la Vienne) présentent le projet territorial de gestion de l'eau du bassin du Clain. Chacun et chacune à partir de sa propre perspective (politique, juridique, sanitaire, agricole) les intervenants nous expliquent les raisons qui ont motivé le lancement de ce projet, ainsi que les défis, les enjeux et les objectifs qui concernent surtout la répartition équitable, l'accessibilité et la qualité de l'eau.e, l'accessibilité et la qualité de l'eau.)
  • Les Champs Captants du Sud de Lille  + (Dans cette vidéo l'association « EntrelianDans cette vidéo l'association « Entrelianes » nous parle des enjeux environnementaux auxquels Les Champs Captants sont confrontés : défi climatique, crise de la biodiversité et crise de l'eau. Il s'agit d'un territoire qui alimente 30% de l'eau potable de la Métropole Européenne de Lille. L'expression « champs captants » définit des terres qui infiltrent directement l'eau de la pluie vers les nappes phréatiques sous-jacentes.vers les nappes phréatiques sous-jacentes.)
  • Accompagner la gouvernance concertée des eaux souterraines - Limaoua  + (Dans cette vidéo on retrouve le travail deDans cette vidéo on retrouve le travail de conception des politiques de gestion de l'eau mises en place à Limaoua en Tunisie. L'idée était d'adopter une démarche participative pour arriver à une gouvernance concertées des eaux souterraines. Professionnels, agriculteurs et d'autres acteurs concernés nous expliquent les raisons qui ont motivé ce choix.quent les raisons qui ont motivé ce choix.)
  • Accompagner la gouvernance concertée des eaux souterraines - Aousja  + (Dans cette vidéo on retrouve une rétrospécDans cette vidéo on retrouve une rétrospéctive des politiques de gestion de l'eau mises en place à Aousja en Tunisie. L'idée était d'adopter une démarche participative pour arriver à une gouvernance concertées des eaux souterraines. Professionnels, agriculteurs et d'autres acteurs concernés nous expliquent les raisons qui ont motivé ce choix et comment le processus s'est déroulé.oix et comment le processus s'est déroulé.)
  • Mégabassines, histoire secrète d'un mensonge d'État  + (Dans cette vidéo réalisée par Clarisse FélDans cette vidéo réalisée par Clarisse Félétin on parle de la question des mégabassines à partir du cas particulier de la zone humide du Marais poitevin. L'enquête montre, d'un côté, les intérêts financiers sous-jacents les discours promouvant et justifiant les mégabassines avec le soutien inconditionnel de l'État et dévoile, de l'autre, la nature mensongère de ces discours avec les effets néfastes que cette gestion engendre (pénurie d'eau, pollution, destruction des écosystèmes etc.).lution, destruction des écosystèmes etc.).)
  • L'eau est un bien commun  + (Dans le cas de l'eau il ne s'agit pas de pDans le cas de l'eau il ne s'agit pas de penser à cette ressource en tant que naturellement et intrinsèquement commune. Au contraire, l'eau devient un bien commun lorsqu'un collectif l'institue comme bien commun, c'est-à-dire en fait une ressource commune par un processus démocratique qui définissent les termes dans lesquels l'eau est utilisée, produite et distribuée.'eau est utilisée, produite et distribuée.)
  • Co-construction d’une nouvelle structure tarifaire solidaire et environnementale  + (Dans le contexte de la mise en place de laDans le contexte de la mise en place de la Régie publique de l’Eau, la Métropole de Lyon et la Régie ont proposé un</br>premier cycle de travail à l’Assemblée des Usagers de l'eau sur la mise en place d’une tarification solidaire et environnementale de l’eau potable. Ce projet s’inscrit dans une réflexion plus large sur le « droit à l’eau ». La spécificité de la démarche proposée par la Métropole et la Régie à l’Assemblée a résidé dans sa volonté d’une co-construction des évolutions du cadre tarifaire entre les usagers, à travers l’Assemblée, les services de la Métropole et de la Régie et les élus. Dans ce bilan on retrouve décrit le processus qui a accompagné cette démarche, ses résultats et ses perspectives futures.ses résultats et ses perspectives futures.)
  • Itinéraires en Biens Communs  + (Description::Itinéraires en Biens Communs est une initiative d'Alain Ambrosi. Celui-ci nous invite à contribuer de manière créative et interactive à la l'appropriation des concepts et des pratiques autour de la notion de communs.)
  • L'approche COOPLAGE  + (Développé à partir du 2004, l'approche « CDéveloppé à partir du 2004, l'approche « CoOPLAGE (Coupler des Outils Ouverts et Participatifs pour Laisser les Acteurs s’adapter pour la Gestion de l’Eau » a été élaboré par les chercheurs INRAE de l’Unité Mixte de Recherche gestion de l’Eau, Acteurs, Usages à Montpellier. Il s'agit d'une suite intégrée d’outils et protocoles participatifs destinés à accompagner et autonomiser des groupes d’acteurs de tous niveaux vers une discussion et un engagement réel dans des stratégies de changement social et environnemental. Outre la présentation générale de cette approche dans cette page on retrouve aussi une fiche téléchargeable en anglais qui explique les différentes étapes.glais qui explique les différentes étapes.)
  • Voyage à Chieri et Milan 2015  + (Entrevues réalisées à l'occasion du festival international des communs de Chieri et d'une visite des centres sociaux à Milan.)
  • Épisode 3 Conflits d’eau, enjeux de pouvoir - De la géopolitique au dialogue territorial  + (Face à l'émergence et à la démultiplicatioFace à l'émergence et à la démultiplication des conflits de l'eau à niveau local, national et international Emma Haziza (hydrologue), Julie Trottier (directrice de recherche au CNRS) et Fadi Comair (viceprésident du Programme Hydrologique Intergouvernemental de l'UNESCO) interrogent et problématisent ces tensions pour mettre en exergue enjeux, raisons et solutions possibles. L'une des pistes suggérées par les intervenant.e.s porte précisément sur la possibilité de centrer la gestion de l'eau sur la demande plutôt que sur l'offre.eau sur la demande plutôt que sur l'offre.)
  • Commons Ecosystems - Écosystèmes des communs  + (Faire alliance autour du renforcement des écosystèmes de communs)
  • École des communs de l'alimentation  + (Faire émerger l’alimentation comme « acteuFaire émerger l’alimentation comme « acteur/réseau » en tissant le champ d'intermédiation entre les communs urbains, naturels & culturels, participe des alternatives au régime alimentaire international néolibéral. L’École des communs propose de soumettre à l’enquête les savoirs et savoir-faire des acteurs de l’alimentation en commun entre 4 sites : Marseille, Montreuil et Toulouse et Autrans pour produire un commun de la connaissance sur la transition écologique par l'alimentation. Elle prend la forme de 4 chantiers pour faire école : interconnecter et faire</br>communauté, rendre visible et renforcer ces pratiques. Ce projet servira de modèle pour développer 1) de nouveaux communs de l’alimentation et 2) de nouvelles écoles des communs dans d’autres domaines.les écoles des communs dans d’autres domaines.)
  • Les communs urbains à Bologne  + (Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Bologne sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.)
  • Les communs urbains à Naples  + (Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Naples sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.)
  • Les communs urbains à Rome  + (Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Rome sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.)
  • Chapitre 3 : Auto-organiser le soin en commun  + (L'urgence de la crise du Covid a créé une L'urgence de la crise du Covid a créé une situation où les professionnels de la santé ont pu dans beaucoup de cas reprendre le contrôle de l'activité soignante en implémentant des formes de gouvernance participative et centrées sur le service offert à la population. Qu'est qu'il faut retenir de ces expériences pour les prolonger au-delà d'une situation exceptionnelle ? Comment se charger collectivement du soin et faire de la santé une véritable commun ?t faire de la santé une véritable commun ?)
  • Maison des Utopies en Expérimentation (MUE)  + (La Maison des utopies est un projet de création de lieu de refuge, de ressourcement et d'activité pour les collectifs militants engagés pour une transformation radicale.)
  • Administration coopérative et communs à Grenoble  + (Le 28 mars 2022, le conseil municipal de Grenoble a délibéré et validé les principes d’une politique de démocratie plus contributive en s’appuyant sur la notion des communs, de la coopération et des exemples italiens des pactes de collaboration.)
  • Se rejoindre - se raconter!  + (Le projet École des communs est un projet qui veut créer un espace d’auto-formation sur la gouvernance des lieux en commun et des espaces auto-gérés.)
  • Redessiner la protection sociale avec les communs  + (Le système de protection sociale est une iLe système de protection sociale est une institution essentielle de la vie économique et politique du 21è siècle. Il fait face à un ensemble de difficultés liées à la fois à ses forces et faiblesses héritées du passé, aux attaques systématiques qu’il subit aujourd’hui de la part de l’idéologie néo-libérale et à l’incapacité des élites oligarchiques à actualiser un contrat social dans le sens d’une plus grande justice et démocratie. Motivée par la pensée de sa réforme, une approche en termes de «communs» permettrait d’ouvrir un nouvel horizon : coproduire la solidarité sur la base d’un droit des communs. Il s’agit de renouveler et régénérer les logiques de redistribution et de protection qui sont d’ores et déjà bien implantées et non bien sûr de tout inventer.plantées et non bien sûr de tout inventer.)
  • Assemblée des communs française  + (L’Assemblée des communs est une rencontre nationale pour mettre les communs à l’agenda, partager les expériences et les relier, débattre, se doter d’outils et de stratégies pour la reconnaissance des communs.)
  • Canicules, feux, inondations : comment éviter le pire ?  + (Magali Reghezza, géographe et membre du HaMagali Reghezza, géographe et membre du Haut Conseil pour le climat, se focalise sur les risques climatiques dans la mesure où de plus en plus chaque année les impacts des vagues de chaleur, des sécheresses ou des inondations s’aggravent, avec des conséquences toujours plus fortes pour la santé humaine et l’économie. Reghezza nous propose des mesures à prendre pour être, d'un côté, moins vulnérables aux feux de forêts, aux inondations, aux vagues de chaleur et, de l'autre, pour envisager un futur différent.'autre, pour envisager un futur différent.)
  • Chartes de gouvernance au Sénégal  + (Nous reprenons ici le travail documentatioNous reprenons ici le travail documentation de l'élaboration de deux chartes de gouvernance réalisé par le LARTES IFAN en 2013 dans le cadre des démarches de préfiguration de Remix the commons. </br></br>L'une est la charte de bon voisinage d'une association d'ahabitants d'un quartier à Dakar, et l'autre est la charte de Gouvernance démocratique élaborée tout au long des Assises Nationales du Sénégal qui ont préparé les élections présidentielles au Sénégal en 2009.ctions présidentielles au Sénégal en 2009.)
  • Chapitre 1 : Soin empêché  + (Qu'est-ce que le soin ? Professionnels de Qu'est-ce que le soin ? Professionnels de la santé et chercheurs s'interrogent sur l'activité de soin aujourd'hui, une activité qu'au fil des années a été soumise à plusieurs contrainte. C'est pour cela qu'il faut remettre au centre la qualité du soin, ce qui implique reconnaître et valoriser toute une série de gestes et d'attentions invisibilisées et pourtant indispensables. Il s'agit, en effet, de tout ce que, sans être forcement rentable, donne du sens à l'expérience du soignant et du soigné.s à l'expérience du soignant et du soigné.)
  • Remix the commons/Collectif initial en 2011  + (Remix Biens Communs est un espace interculRemix Biens Communs est un espace interculturel de partage et de co-création de documents multimédias sur les biens communs. Le projet est porté par un collectif interculturel, composé de personnes et d’organisations qui pensent que le recueil, l’échange et le remix des récits, des définitions et des images des biens communs sont une manière active et conviviale de s’approprier cette notion et de la diffuser dans la société. notion et de la diffuser dans la société.)
  • Remix the commons  + (Remix Biens Communs est un espace interculturel de partage et de co-création de connaissance sur les communs et de projets qui outillent les militants commoners.)
  • Eau Lyon (titre temporaire)  + (Schéma récapitulatif des rôles de l'Assemblée des usagers de l'eau dans la démarche de gestion publique de l'eau mise en place par la Métropole de Lyon)
  • Les îles de Crépieux-Charmy, eau potable et nature  + (Situées au nord de Lyon, les îles de CrépiSituées au nord de Lyon, les îles de Crépieux-Charmy abritent le champ captant, principale source d'alimentation en eau potable de la Métropole de Lyon. Protégé, ce site classé en aire de protection de biotope, a une exceptionnelle biodiversité. 98% de l'eau distribuée sur la Métropole de Lyon est puisée dans les nappes souterraines du Rhône, prélevées dans ce champ captant qui est le plus grand d'Europe. Situé au nord de Lyon, ce territoire compte 114 puits sur 375 hectaresrritoire compte 114 puits sur 375 hectares)
  • Journal du Portrait Nature des champs captants  + (Synthèse des observations et propositions Synthèse des observations et propositions issues du Portrait Nature des Champs Captants du Sud de Lille (2021-22). Diagnostic citoyen animé par l'association Entrelianes à partir des questions suivantes : comment mieux protéger la nappe de la craie du Sud de Lille et comment mieux la recharger ?d de Lille et comment mieux la recharger ?)
  • Modèle de Soutenabilité des Communs en français  + (Traduire en français, italien et anglais et permettre une appropriation la méthode pour la soutenabilité des communs par les commoners francophones)
  • Définition des communs  + (Une collection de fichiers vidéo contenantUne collection de fichiers vidéo contenant des définitions des communs, réalisés à partir d'entrevues faites à Berlin lors de la Conférence Internationale sur les communs en 2010. Dans cette collection, chacun et chacune utilise la langue de son choix , cette dimension linguistique reflète la dimension interculturelle du projet Remix the Commons. Cette collection s'est enrichie au fil du temps et des rencontres.nrichie au fil du temps et des rencontres.)
  • Entrevue David Bollier et Benjamin Coriat  + (Une discussion animée entre David Bollier Une discussion animée entre David Bollier et Benjamin Coriat en différents fichiers audio. Une recolte d'une contribution importante pour le débat sur les commons. Les fichiers audio contienent des réflexions de D.Bollier et B. Coriat sur le mouvement des communs, sur l'ambiance française, la litérature française sur les communs et l'apport sur les commons.r les communs et l'apport sur les commons.)
  • Assemblées Populaires des Gilets Jaunes  + (Une page pour décrire la dynamique d’Assemblées Populaires initiée avec le Mouvement des Gilets Jaunes (à la suite de l’appel de Commercy de Novembre 2018) avec le langage des communs.)
  • FLOK Society - Séminaire de Villarceaux  + (Comment la réflexion sur la place des commComment la réflexion sur la place des communs de la connaissance inspire-t-elle les forces de la transition ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ? Ce séminaire, loin d'épuiser le sujet, est un moment pour ébaucher les pistes de travail qui permettent de mobiliser les forces de la transition, qu'il s'agisse d'activistes ou de chercheurs, de acteurs publics ou de la société civile.</br></br>Pour explorer ces questions, le séminaire se structure autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Le dialogue sur ces trois axes de travail sera précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps de bilan du séminaire.et suivi d'un temps de bilan du séminaire.)
  • Atelier sur les biens communs à la Ferme des Bouillons  + (À la demande de l'association de la Ferme À la demande de l'association de la Ferme des bouillons, nous avons organisé deux jours de formation des militants autour de la notion de communs. Cette formation se déroule dans le contexte de la lutte pour la préservation de la ferme occupée. Elle s'appuie sur une mise à jour de l'histoire des communs dans les domaines de l'alimentation, du foncier, de la culture et du vivre ensemble.ncier, de la culture et du vivre ensemble.)
  • Expo sur les communs  + (L'exposition itinérante Les communs proposL'exposition itinérante Les communs propose au «grand public» de découvrir cette notion à travers la présentation du principe illustré par des exemples concrets issus de différents secteurs d'activité, son histoire et les perspectives qu'il ouvre pour changer notre société. L'exposition est conçue pour pouvoir être utilisée facilement dans le plus grand nombre possible de lieux recevant du public. Les panneaux qui la composent peuvent être imprimés (individuellement ou bien l'ensemble) en différents formats, afin de s'adapter à un espace selon ses dimensions et sa fréquentation par le public.ensions et sa fréquentation par le public.)
  • Ateliers populaire de cartographie des communs  + (Les ''Ateliers populaires de cartographie Les ''Ateliers populaires de cartographie des communs'' sont nées dans la dynamique de coalition autour des biens communs de la rencontre Internationale "Economics and the Commons" (Berlin 2013). Celle-ci a révélé la nécessité développer une pratique d'appropriation sociale, culturelle et politique des communs avec les militants africains. Les ''Ateliers populaires de cartographie des communs'' visent à développer la capacité du continent à produire des discours savants à propos des biens communs sur la base de recherche-action susceptibles de rentrer en dialogue avec le reste de la communauté des biens communs et ainsi contribuer au développement d'un mouvement autour des biens communs en Afrique. </br></br>Observations, recherches documentaires, enquêtes et études de cas, focus groupe, ... réalisés avec la population, portant sur l'alimentation, le transport, la Santé, l'environnement, l'information, l'éducation, ... défis actuels qui traversent la société africaine contemporaine, permettent de définir des projets concrets pour révéler les processus de Biens Communs en Afrique. Ces recherches-actions doivent nous permettre de dévoiler les pratiques et les enjeux des biens communs, d'articuler la recherche sur les communs, en Afrique, aux débats généraux sur les définitions et la cartographie des communs d’une part, et, d’autre part, de contribuer à enrichir l’agenda international des communs.richir l’agenda international des communs.)
  • Quelle stratégie participative pour la gestion locale de l’eau avec les citoyens ? Volume 5 - Rapport final  + (« Dans le cadre du projet « Quelle stratég« Dans le cadre du projet « Quelle stratégie participative pour la gestion locale de l’eau avec les</br>citoyens ? », cinq terrains ont été accompagnés par IRSTEA dans la construction et la mise en</br>œuvre de leur démarche participative. Ces terrains sont représentatifs de différentes zones du bassin Rhône Méditerranée Corse et de différents enjeux auxquels cherchent à répondre les gestionnaires de l’eau: restauration</br>hydromorphologique, partage de l’eau entre différentes usages, inondations et gestion intégrée.</br>L’objectif était que les retours d’expérience de ces cinq démarches participatives puissent être utiles à d’autres gestionnaires de l’eau voulant mettre en place des démarches participatives sur leurs territoires.</br>Ce document a donc été construit autour des questions que se sont posées les gestionnaires de l’eau de ces cinq terrains avant, pendant et après leurs démarches participatives. Nous avons fait l’hypothèse que d’autres gestionnaires se poseraient les mêmes questions et qu’ils seraient donc intéressés par les choix qu’ont fait les cinq terrains pour y répondre et les enseignements qu’ils en ont tiré » (p. 6) enseignements qu’ils en ont tiré » (p. 6))
  • TRAVAILLER ENSEMBLE en Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée  + (« TRAVAILLER ENSEMBLE EN TERRITOIRE ZÉRO C« TRAVAILLER ENSEMBLE EN TERRITOIRE ZÉRO CHÔMEUR DE LONGUE DURÉE » est un film documentaire réalisé par l’association « Autour du Premier Mai » avec de l’Entreprise à but d’emploi « La Fabrique », en Lorraine. Ce film permet de rentrer dans le quotidien de cette expérience de retour à l’emploi pour des chômeurs de longue durée et de les entendre échanger sur le travail avec Florence Jany-Catrice, une économiste spécialiste de cette initiative.conomiste spécialiste de cette initiative.)
  • Institut Patrimonial du Haut Bearn  + (Communs et territoire rural : ITW Didier HCommuns et territoire rural : ITW Didier Hervé, directeur de l'IPHB. Oloron Sainte Marie dans les Pyrénées Atlantiques. Promoteur de la charte pour la gestion des ressources naturelles de la vallée d'Ossau.</br></br>L'Institut Patrimonial du Haut-Béarn ( Pyrénées Atlantiques) apparaît au XXI siècle comme une institution capable d'avoir une gestion des communs tout en respectant leur mémoire, leur perspective ancestrale et leu futur, à partir de la concertation et la participation des acteurs locaux et leur attachement territorial.</br></br>Plus d'infos: http://terre-citoyenne.org/des-ressources/ecadims/vallees-daspe-dossau-et-de-baretous-france.htmles-daspe-dossau-et-de-baretous-france.html)
  • Construisons ensemble - Auto construction d'éoliennes  + ("Construisons Ensemble - Un travail collec"Construisons Ensemble - Un travail collectif d'auto-construction d'éolienne riche de sens" est le 4ème épisode de la web-série documentaire sur les alternatives (http://www.side-ways.netSideWays). En une semaine, un groupe de 10 personnes va construire deux éoliennes avec un formateur expérimenté. Tout en apprenant le travail du bois, du métal et de l'électricité, les membres vont découvrir une autre manière de travailler. découvrez le magazine multimédia : http://www.side-ways.net/episode4).</br></br>Le tournage a eu lieu lors du stage organisé à Henripont (Belgique) par Peter du 28 octobre au 2 novembre 2013. Mélanie et Aurélien, un jeune couple de Moselle, vivent dans une petite maison en bois. Pour des raisons pratiques et économiques, ils souhaitent devenir autonomes en électricité. Après de nombreuses recherches, ils se rendent compte que c'est plus compliqué qu'ils ne le pensent et qu'il faut éviter les nombreuses arnaques dans ce secteur. Ils décident alors de participer à un stage d'auto-construction d'éolienne avec l'association Tripalium.</br></br>'''Tripalium''' est une association fondée en 2007. Elle propose régulièrement des stages d'auto-construction d'éolienne ouverts à tous.''' Que l'on soit manuel ou non, tout le monde peut participer au stage et apprendre les différents métiers nécessaires à sa construction : travail du bois, du métal et de l'électricité.</br></br>Pendant un stage d'une semaine, une ou deux éoliennes sont fabriquées par le groupe. Elles sont alors tirées au sort parmi les participants qui souhaitent l'acheter. Le coût correspond alors au prix des matériaux bruts nécessaires à la construction. Mélanie et Aurélien participent au stage qui a lieu à Henripont, un petit village belge situé à une trentaine de kilomètres de Bruxelles.</br></br>Dans un habitat groupé très vivant, Peter commence à organiser des stages d'auto-construction de toutes sortes pour participer à la transmission de savoirs-faire variés. Après une brève présentation théorique, la dizaine de stagiaires aux profils et compétences très variés se met au travail avec une motivation perceptible. Il y a trois ateliers et tout le monde s'organise comme il le souhaite. Cela facilite les collaborations entre les participants et développe les échanges de savoirs. Toutes les indications sont présentes dans le guide d'auto-construction d'éolienne fourni par Tripalium dès de lundi matin. Ainsi, Jay Hudnall, le formateur, n'est qu'une personne parmi tant d'autres qui possède des connaissances spécifiques.</br></br>Cette organisation collaborative correspond bien à l'esprit de Tripalium et de Ti'éole, l'entreprise d'éolienne dont Jay est également le maître d'oeuvre. Lorsqu'il monte une éolienne chez un particulier, il demande à cette personne de participer au travail. Elle est ainsi plus autonome en cas de problème.</br></br>http://side-ways.net/episode4/#sthash.3F3QWeby.dpufde-ways.net/episode4/#sthash.3F3QWeby.dpuf)
  • La forêt comestible de Juan Anton  + ("Il faut que tout le monde puisse manger. "Il faut que tout le monde puisse manger. Et comme la nourriture vient de la terre, produisons nous-même notre propre nourriture !" Apprendre à produire sa nourriture avec Juan Anton. Le tournage a été réalisé à Alzira, au sud de Valence - </br> </br>Episode 5 de la web-série itinérante SideWays, cette vidéo est la première partie de l'épisode. La seconde est un webmag interactif à découvrir sur http://side-ways.net/episode5 . Plus d'info à http://side-ways.net/episode5/#sthash.kKGrAHrZ.dpufde-ways.net/episode5/#sthash.kKGrAHrZ.dpuf)
  • La terre, bien commun  + ("La terre, bien commun" présente le mouvement Terre de liens de façon didactique à destination du grand public. En immersion au cœur du mouvement, ce film suit les problématiques quotidiennes et la mise en œuvre concrète des idées.)
  • Définition des communs selon Hervé Le Crosnier  + ("Les communs c'est avant tout une ressource partagée qui pourrait être victime d'enclosure.")
  • Définition des communs selon Alain Ambrosi  + ("Les communs c'est un mode d'être et de vi"Les communs c'est un mode d'être et de vivre ensemble, de faire ensemble et de devenir ensemble. Et pour faire tout ça et dans tout ça chaque individualité, chaque personne, chaque être humain fait ça en étant partie de quelque chose, en prenant part à quelque chose et en partageant quelque chose".que chose et en partageant quelque chose".)
  • Luttes communes  + ("Luttes communes" est un documentaire qui "Luttes communes" est un documentaire qui raconte l'histoire de la recherche de la signification des Biens Communs en Europe centrale et orientale. Alternatives Européennes (EA) - une organisation qui prône la démocratie et l'égalité au-delà de l'Etat-Nation avec Teatro Valle Occupato de Rome ont initié en 2012 un débat transnational sur la signification des communs au-delà des frontières. Le désir d'en savoir plus sur les différentes luttes pour la réappropriation ou la protection des biens communs dans les anciennes sociétés communistes et socialistes qui ont connu des années de privatisation, amène à voyager à travers la Serbie, la Roumanie et la Bulgarie. Cela a pris la forme d'une «caravane des biens communs», composé de différents acteurs et occupants du Teatro Valle. Le voyage à travers l'Europe centrale et orientale visite les villes qui participaient au Festival Transeuropa, festival culturel d'EA qui a eu lieu dans 14 villes européennes en mai 2012.</br></br>Titre original: Common Struggles</br></br>Sous-titre: A journey with European movements for the commons</br></br>Directed by: Cecilia Anesi</br>Filmed by: Cecilia Anesi, Davide Starinieri, Giulio Rubino</br>Edited by: Cecilia Anesi, Gianmarco Giometti</br>Graphics and animation: Gianmarco Giometti, Diego Parbuono</br>Sound engineering: Marcello Fantera</br>Music: Municipale Balcanicarcello Fantera Music: Municipale Balcanica)
  • Puits  + ("Quand le puits est sec, on sait ce que va"Quand le puits est sec, on sait ce que vaut l'eau."</br></br>Ou encore, "c'est avec l'eau du corps qu'on tire celle du puits."</br></br>Vous trouverez beaucoup de ces proverbes africains, car le puits est un symbole connu de l'accès à l'eau en Afrique. Pendant notre séjour, nous avons vu une diversité de puits. Aussi, les jeunes ont pu essayer de leurs propres mains la courroie de l'accès.</br></br>Une petite capsule remix pour une ode aux puits.</br></br>Tout en travaillant à documenter leur stage humanitaire au Bénin, les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine (Montréal (Québec)) ont été amené à porter leur regard sur trois thèmes choisis pendant le dernier camp de formation (eau, éducation, culture) afin de réaliser des capsules à partager sur la plate-forme de Remix Biens Communs.</br></br>Musique: "Odmiyasin" de Youssouf Karembe Musique: "Odmiyasin" de Youssouf Karembe)
  • 19.06 Médias et communs - médias des communs  + ('''L'Appel en commun de juin 2019''' a été'''L'Appel en commun de juin 2019''' a été dédié à un temps d'échange sur les média et les communs. Les discussions ont permi de faire le point sur les initiatives de médias sur les communs avec les personnes engagé.e.s dans un projet de cette nature. Cette rencontre avait pour objectifs de faire connaître nos différentes initiatives, de faire émerger les besoins, les attentes et les propositions tant des porteurs des projets que des utilisateurs et utilisatrices.ets que des utilisateurs et utilisatrices.)
  • 19.09 L'engagement du mouvement des communs dans le FSMET Barcelone 2020  + ('''L'Appel en commun de septembre 2019''' '''L'Appel en commun de septembre 2019''' a été dédié à un temps d'échange sur l'engagement du mouvement des communs dans le FSMET. Dans la logique de l'Assemblée Européenne des communs, et du Commons camp, nous sommes nombreux à inscrire le Forum Barcelone juin 2020 (FSMET) à notre agenda pour faire de cette rencontre un point d'étape pour organiser, renforcer et propager des initiatives du mouvement des communs. La préparation a commencé. Ateliers, rencontres sont en cours ou programmées : autour de la cartographie (dès les 24 et 25 septembre à Paris), de l'élaboration et du partage d'outils juridiques des communs urbains, de l'organisation d'un Commons camp en janvier à Marseille. L'appel en commun sera consacré à un partage d'information pour permettre à chacun et chacune de s'engager dans les espaces et avec les acteurs.trices de cette dynamique.vec les acteurs.trices de cette dynamique.)
  • Anniversaire des 800 ans de la Magna Carta  + ('''Présentation''' A l’occasion du 800 iè'''Présentation'''</br></br>A l’occasion du 800 ième anniversaire de la signature de la Magna Carta (2015), le Festival Temps des communs organisait une conférence de presse durant laquelle différentes associations ont présenté les enjeux sur lesquels ils se mobilisent pour les temps des communs en passant des communs naturels aux outils numériques et juridiques, à l'éducation: des examples des enjeux.s, à l'éducation: des examples des enjeux.)
  • 08 Déplier la finance  + (''Déplier la finance, retour sur le rôle d''Déplier la finance, retour sur le rôle de passeur de connaissances du séminaire de SSFA 1998-2018'' a été présenté lors de la Table ronde : La finance depuis le prisme des sciences sociales, organisée dans le cadre de la Semaine du Management, FNEGE 1968-2018, Session RIODD - FINANCE AUTREMENT le 25 mai 2018. RIODD - FINANCE AUTREMENT le 25 mai 2018.)
  • Ici, ailleurs... la terre qui nous nourrit  + (''Ici, ailleurs... la terre qui nous nourr''Ici, ailleurs... la terre qui nous nourrit'' suit l’itinéraire de Gavin, jeune maraîcher bio anglais qui travaille dans une ferme du sud de l’Angleterre. Confronté à la perte de ses terres agricoles, il prend conscience de la difficulté de trouver des terres pour développer des projets d’agriculture de proximité comme le sien. Il part alors à la rencontre d’autres fermiers européens qui ont eux aussi bataillé pour trouver des terres et les conserver dans la durée. Ce faisant, il rencontre des organisations qui se mobilisent pour préserver les terres nourricières et faciliter l’installation d’une nouvelle génération d’agriculteurs.</br></br>Introduction très concrète à la question de l’accès à la terre en Europe, ce film offre le panorama d’un mouvement en émergence qui voit fermiers, citoyens et orgnisations de la société civile s’unir pour préserver des terres pour une agriculture et une alimentation de proximité et de qualité.</br></br>Plus d'information : </br>* http://www.accesstoland.eu/film-Land-for-our-food</br>* http://www.accesstoland.eu/IMG/pdf/overview_-_the_land_for_our_food.pdfG/pdf/overview_-_the_land_for_our_food.pdf)
  • 100 en 1 jour Montréal: la ville comme bien commun  + (100 actions citoyennes le 5 octobre 2013 à Montréal. Un festival de création urbaine durant lequel les citoyens se réapproprient leur ville et y créent un meilleur endroit où vivre." http://www.100en1jourmontreal.com/)
  • Elf Pavlik - Strictly Moneyless  + (1er épisode de la web-série SideWays consa1er épisode de la web-série SideWays consacré à elf Pavlik. Ce dernier vit sans utiliser d'argent depuis plusieurs années et nous montre ainsi que d'autres voies sont possibles. Il travaille beaucoup, en tant que développeur web, mais exclusivement sur des projets qui ont du sens pour l'intérêt général (et donc non rémunéré). l'intérêt général (et donc non rémunéré).)
  • Balade de l'oppidum de Verduron - 11 Histoire de l'oppidum  + (2léments de l'histoire de l'oppidum et de son rôle dans l'origine de la ville de Marseille)
  • Agrocité de Gennevilliers - RAPTZ  + (2ème émission de radio Les communs urbains, l'Atl sur l'Agrocité de Gennevilliers réalisée avec RAPTZ.com.)
  • Balade urbaine autour des communs  + (3 balades urbaines sur le thème des communs, organisées à Paris, Marseille et Lille.)
  • Water (Istanbul Commons)  + (70% de la planète est recouvert d'eau. Tou70% de la planète est recouvert d'eau. Toute la vie sur la planète terre en dépend. Sa composition façonnée par des milliards d'années d'évolution sur Terre, en fait l'un des éléments de base de l'existence quotidienne de la vie ordinaire des humains. Avec l'air, l'eau est notre bien commun naturel le plus élémentaire.</br></br>Voir la suite sur Mapping The Commons (http://mappingthecommons.wordpress.com/2012/11/14/water-as-a-commons/#more-584)m/2012/11/14/water-as-a-commons/#more-584))
  • How Does the Commons Work?  + ( :FR Cette animation vidéo, illustre quelq</br>:FR</br>Cette animation vidéo, illustre quelques-unes des principales caractéristiques de la vision de David Bollier sur la façon dont nous pouvons gérer «les biens communs» de manière équitable pour transformer le système actuel sur la base du paradigme des communs.</br></br>:EN</br>How can we use "commoning" as a process to transform the social paradigm of our current system? In this paper for our "New Systems: Possibilities and Proposals" series exploring viable political-economic alternatives to the present order, economist David Bollier suggests we rethink the traditional "tragedy of the commons" argument, moving instead toward new and innovative ways to equitably manage shared resources. </br></br>In this stop-motion video animation, we illustrate some of the principal features of David Bollier’s vision for how we can manage "the commons" in an equitable fashion to transform our current system.</br>le fashion to transform our current system. )
  • 01 Les communs, quelle (im)pertinence ?  + ( :Pourquoi les communs ? Pourquoi les rapp</br>:Pourquoi les communs ? Pourquoi les rapprocher de l’éducation permanente ? Quelle convergence (ou pas) avec les politiques culturelles publiques ? Pourquoi publier un ouvrage pour stimuler la rencontre entre communs, opérateurs et droits culturels ?</br></br>:Avant-propos de l'ouvrage ''Neuf essentiels pour penser la culture en commun(s)'' par Pierre Hemptinne Directeur de la médiation culturelle à PointCulture, Administrateur de Culture & Démocratie</br>ure, Administrateur de Culture & Démocratie )
  • Good Copy Bad Copy  + ( :Un documentaire sur l'état du copyright et de la culture par Andreas Johsen, Ralf Christensen et Henrik Moltke. :Sous-titrage dans de nombreuses langues : français, espagnol, Allemand, russe et plus )
  • 14 Notice sur "Culture libre" de Lawrence Lessig  + ( :Une notice sur l'ouvrage ''Culture libre</br>:Une notice sur l'ouvrage ''Culture libre. Comment les médias utilisent la loi pour confisquer la culture et contrôler la créativité'' de Lawrence Lessig, </br></br>:Traduction collective de l’anglais via Wikisource https://www.ebooksgratuits.com/pdf/lessing_freeculture.pdf</br>oksgratuits.com/pdf/lessing_freeculture.pdf )
  • Chargement/Site  + (<blockquote> <div align="center"&<blockquote></br><div align="center">Edition française de Free Fair and Alive, The Insurgent Power Of The Commons est disponible en librairie à partir du 18 novembre 2022</div></br></blockquote></br><div align="center"><b>LE POUVOIR SUBVERSIF DES COMMUNS</b><br /></br>DAVID BOLLIER ET SILKE HELFRICH<br /></br>Traduction française coordonnée par Olivier Petitjean</div></br><p align="center"><i>Les communs ne se résument pas à des projets à petite échelle visant à améliorer la vie quotidienne. Ils sont une vision séminale pour réimaginer ensemble notre avenir et réinventer notre organisation sociale, notre économie, nos infrastructures, notre politique et le pouvoir de l’État lui-même.</i></p></br><p>Alors que le monde d’aujourd’hui est confronté aux risques de rupture climatique et de pénuries énergétiques, ce livre ose imaginer comment d’innombrables actes de partage peuvent construire une nouvelle culture et une économie politique révolutionnaire. Il ambitionne de conceptualiser les communs en tant que système social, dynamique et créatif, vivant de l’ingéniosité quotidienne et des valeurs coopératives.</p></br><p>Il développer un appareil théorique décrivant de manière fine et détaillée un ensemble de modèles de l’action en commun orienté vers ce qui est utile et équitable et de dessiner ainsi un terrain d’émancipation et de démocratie réelle.</p></br><p>En s’appuyant sur des exemples concrets de pratiques des communs à travers le monde, depuis les forêts communautaires de l’Inde et les communes urbaines d’Italie, jusqu’aux coopératives de plateformes sur internet et aux soins infirmiers de quartier aux Pays-Bas, David Bollier et Silke Helfrich démontrent que nous pouvons être des personnes libres et créatives et nous gouverner nous-mêmes grâce à des institutions justes et responsables.</p></br><h3>Les auteurs : David Bollier et Silke Helfrich</h3></br><p><strong>David Bollier</strong> est directeur du programme “Reinventing the Commons” au Schumacher Center for a New Economics et cofondateur du “Commons Strategies Group”. Auteur de La Renaissance des communs (ECLM, 2014), entre autres livres, il vit à Amherst, dans le Massachusetts, aux États-Unis.</p></br><p>Militante, universitaire et conférencière, <strong>Silke Helfrich</strong> a cofondé le “Commons Strategies Group” et le “Commons Institute”. Elle a été l’éditrice et la coautrice de plusieurs livres sur les communs et vivait à Neudenau, en Allemagne.</p></br><p><strong>Page web de l’éditeur :</strong></p></br><blockquote class="wp-embedded-content" data-secret="iI96aqajXR"><p><a href="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/">Le pouvoir subversif des communs</a></p></blockquote></br><p><iframe class="wp-embedded-content" sandbox="allow-scripts" security="restricted" style="position: absolute; clip: rect(1px, 1px, 1px, 1px);" title="« Le pouvoir subversif des communs » — ECLM" src="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/embed/#?secret=iI96aqajXR" data-secret="iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /></br><strong>Contact presse :</strong><br /></br>Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /></br>Partenariat de diffusion Remix the commons</p>"iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /> <strong>Contact presse :</strong><br /> Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /> Partenariat de diffusion Remix the commons</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote> <div align="center"&<blockquote></br><div align="center">Edition française de Free Fair and Alive, The Insurgent Power Of The Commons est disponible en librairie à partir du 18 novembre 2022</div></br></blockquote></br><div align="center"><b>LE POUVOIR SUBVERSIF DES COMMUNS</b><br /></br>DAVID BOLLIER ET SILKE HELFRICH<br /></br>Traduction française coordonnée par Olivier Petitjean</div></br><p align="center"><i>Les communs ne se résument pas à des projets à petite échelle visant à améliorer la vie quotidienne. Ils sont une vision séminale pour réimaginer ensemble notre avenir et réinventer notre organisation sociale, notre économie, nos infrastructures, notre politique et le pouvoir de l’État lui-même.</i></p></br><p>Alors que le monde d’aujourd’hui est confronté aux risques de rupture climatique et de pénuries énergétiques, ce livre ose imaginer comment d’innombrables actes de partage peuvent construire une nouvelle culture et une économie politique révolutionnaire. Il ambitionne de conceptualiser les communs en tant que système social, dynamique et créatif, vivant de l’ingéniosité quotidienne et des valeurs coopératives.</p></br><p>Il développer un appareil théorique décrivant de manière fine et détaillée un ensemble de modèles de l’action en commun orienté vers ce qui est utile et équitable et de dessiner ainsi un terrain d’émancipation et de démocratie réelle.</p></br><p>En s’appuyant sur des exemples concrets de pratiques des communs à travers le monde, depuis les forêts communautaires de l’Inde et les communes urbaines d’Italie, jusqu’aux coopératives de plateformes sur internet et aux soins infirmiers de quartier aux Pays-Bas, David Bollier et Silke Helfrich démontrent que nous pouvons être des personnes libres et créatives et nous gouverner nous-mêmes grâce à des institutions justes et responsables.</p></br><h3>Les auteurs : David Bollier et Silke Helfrich</h3></br><p><strong>David Bollier</strong> est directeur du programme “Reinventing the Commons” au Schumacher Center for a New Economics et cofondateur du “Commons Strategies Group”. Auteur de La Renaissance des communs (ECLM, 2014), entre autres livres, il vit à Amherst, dans le Massachusetts, aux États-Unis.</p></br><p>Militante, universitaire et conférencière, <strong>Silke Helfrich</strong> a cofondé le “Commons Strategies Group” et le “Commons Institute”. Elle a été l’éditrice et la coautrice de plusieurs livres sur les communs et vivait à Neudenau, en Allemagne.</p></br><p><strong>Page web de l’éditeur :</strong></p></br><blockquote class="wp-embedded-content" data-secret="iI96aqajXR"><p><a href="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/">Le pouvoir subversif des communs</a></p></blockquote></br><p><iframe class="wp-embedded-content" sandbox="allow-scripts" security="restricted" style="position: absolute; clip: rect(1px, 1px, 1px, 1px);" title="« Le pouvoir subversif des communs » — ECLM" src="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/embed/#?secret=iI96aqajXR" data-secret="iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /></br><strong>Contact presse :</strong><br /></br>Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /></br>Partenariat de diffusion Remix the commons</p>"iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /> <strong>Contact presse :</strong><br /> Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /> Partenariat de diffusion Remix the commons</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote> <div align="center"&<blockquote></br><div align="center">Edition française de Free Fair and Alive, The Insurgent Power Of The Commons est disponible en librairie à partir du 18 novembre 2022</div></br></blockquote></br><div align="center"><b>LE POUVOIR SUBVERSIF DES COMMUNS</b><br /></br>DAVID BOLLIER ET SILKE HELFRICH<br /></br>Traduction française coordonnée par Olivier Petitjean</div></br><p align="center"><i>Les communs ne se résument pas à des projets à petite échelle visant à améliorer la vie quotidienne. Ils sont une vision séminale pour réimaginer ensemble notre avenir et réinventer notre organisation sociale, notre économie, nos infrastructures, notre politique et le pouvoir de l’État lui-même.</i></p></br><p>Alors que le monde d’aujourd’hui est confronté aux risques de rupture climatique et de pénuries énergétiques, ce livre ose imaginer comment d’innombrables actes de partage peuvent construire une nouvelle culture et une économie politique révolutionnaire. Il ambitionne de conceptualiser les communs en tant que système social, dynamique et créatif, vivant de l’ingéniosité quotidienne et des valeurs coopératives.</p></br><p>Il développer un appareil théorique décrivant de manière fine et détaillée un ensemble de modèles de l’action en commun orienté vers ce qui est utile et équitable et de dessiner ainsi un terrain d’émancipation et de démocratie réelle.</p></br><p>En s’appuyant sur des exemples concrets de pratiques des communs à travers le monde, depuis les forêts communautaires de l’Inde et les communes urbaines d’Italie, jusqu’aux coopératives de plateformes sur internet et aux soins infirmiers de quartier aux Pays-Bas, David Bollier et Silke Helfrich démontrent que nous pouvons être des personnes libres et créatives et nous gouverner nous-mêmes grâce à des institutions justes et responsables.</p></br><h3>Les auteurs : David Bollier et Silke Helfrich</h3></br><p><strong>David Bollier</strong> est directeur du programme “Reinventing the Commons” au Schumacher Center for a New Economics et cofondateur du “Commons Strategies Group”. Auteur de La Renaissance des communs (ECLM, 2014), entre autres livres, il vit à Amherst, dans le Massachusetts, aux États-Unis.</p></br><p>Militante, universitaire et conférencière, <strong>Silke Helfrich</strong> a cofondé le “Commons Strategies Group” et le “Commons Institute”. Elle a été l’éditrice et la coautrice de plusieurs livres sur les communs et vivait à Neudenau, en Allemagne.</p></br><p><strong>Page web de l’éditeur :</strong></p></br><blockquote class="wp-embedded-content" data-secret="iI96aqajXR"><p><a href="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/">Le pouvoir subversif des communs</a></p></blockquote></br><p><iframe class="wp-embedded-content" sandbox="allow-scripts" security="restricted" style="position: absolute; clip: rect(1px, 1px, 1px, 1px);" title="« Le pouvoir subversif des communs » — ECLM" src="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/embed/#?secret=iI96aqajXR" data-secret="iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /></br><strong>Contact presse :</strong><br /></br>Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /></br>Partenariat de diffusion Remix the commons</p>"iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /> <strong>Contact presse :</strong><br /> Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /> Partenariat de diffusion Remix the commons</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> In the coming <blockquote><p> In the coming months, three of the partners of Remix The Commons, LARTES, Communautique and VECAM, will initiate an experiment to formalize popular workshops for mapping the commons, develop tools and a free and open practice manual (FLOSS manual) for share this work with those who want the lead it in their own community. </ blockquote></p></br><p>Mapping Common in Africa (Cartographier les Communs en Afrique) is an initiative whose center of gravity is located in Senegal, between Saint Louis and Dakar. It is to design an ambitious and popular process of learning and empowering people on their commons. It mobilizes activists, intellectuals and researchers from different geographical and cultural backgrounds and disciplinary who share the ambition to rebuild commitment and citizen participation on public property.</p></br><p>Commons are goods or things that do not belong to anyone in particular, but whose use is common to all, and management established on a cooperative and democratic basis, ie it allows each to take part in the development of rules and decisions that affect himself.</p></br><p>Examine commons from the point of view of production of social and symbolic links, is questioning how men are all together human community and how by accident or necessity, they can show their capacity to know or not that they are trying to consolidate this link or to lose it, how they are able or not to build and take care of commons (Abdourahmane Seck).</p></br><p>Based on the experiences and issues specific to the African continent, the Commons Mapping Project in Africa is to develop methods of interpretation and representation, including mapping, of the issues relative to the commons, to systematize and to organize their mutual enrichment in an open and collaborative base for the purpose of empowering people.</p></br><p>This project will contribute to the networking of commoners in Africa, and to strengthen their interaction with the rest of the world, through the sharing of visions and practices and the contribution to the development of methods and tools for mapping the commons.</p></br><p><em>Folow this work (in French) in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique">wiki</a></em> of Remix The Commons and read more in the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2014/07/cartographier-…uns-en-afrique/">French version of this post</a>.</p>ix The Commons and read more in the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2014/07/cartographier-…uns-en-afrique/">French version of this post</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Interview de P<blockquote><p> Interview de Philippe Minard sur l’ouvrage de l’historien britannique E. P. Thompson: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, traduit et publié en français en 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard. Boîte à Idées</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p></br><p>A propos de la Guerre des Forêts, de Edward P. Thompson</p></br><p>L’ouvrage, paru à Londres en 1975, est une enquête vivante d’histoire sociale : au début du XVIIIe siècle, un conflit oppose, d’un côté, les propriétaires et administrateurs de la forêt – celle de Windsor notamment – et, de l’autre, ses usagers. Au point qu’une loi promulguée en 1723 punit de mort certains des usages coutumiers : ce « Black Act », ainsi nommé parce que les braconniers se couvraient le visage de suie, est particulièrement impitoyable : si un vol de cerf est un crime capital, l’abattage de jeunes arbres ou la mutilation du bétail peuvent conduire aussi la potence. Les habitants des forêts opposent, à cette répression « sanguinaire », le droit coutumier des usages collectifs (droits de pâturage, d’extraction de tourbe, d’abattage et de ramassage du bois…).</p></br><p>Ainsi, outre la mise en place d’une évidente « politique de classes », ce que Thompson, grande figure intellectuelle inspirée par le marxisme et pionnier de « l’histoire par le bas », nous oblige à penser, c’est un monde dans lequel survivaient, avant que le XVIIIe siècle ne les arase au profit d’une conception exclusive, des modes et des degrés de propriété fort différents : « Ce qui était en jeu, écrit-il, (…) c’était des définitions concurrentes du droit de la propriété : pour le propriétaire terrien, l’enclosure ; pour le petit paysan, les droits collectifs ; pour les autorités de la forêt, les “chasses gardées” des cerfs ; pour les habitants des forêts, le droit de prélever de la tourbe ».</p></br><p>Selon Philippe Minard, c’est l’un des aspects les plus frappants de cet ouvrage : « Thompson nous aide à penser la diversité des régimes d’accès possibles, tout ce qui existe entre la propriété individuelle et l’absence totale de propriété. » Resurgi dans les années 1970, à la faveur de l’écologie (quand il a fallu déterminer à qui appartenaient les forêts, les océans ou encore l’atmosphère, en passe d’être durablement souillés), ce questionnement s’est poursuivi avec le développement d’Internet. Depuis la fin des années 1990, des activistes se battent contre tout ce qui entrave la circulation et l’appropriation collective des connaissances, en faisant explicitement référence aux pratiques des droits collectifs et des commons. Il se déroule sur le Net, selon eux, ce que Thompson décrivait dans les forêts anglaises : « Un conflit entre les utilisateurs et les exploiteurs. »</p></br><p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>;/p> <p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Some experimen<blockquote><p> Some experiments for mapping the commons, from the definitions and brief descriptions of commoning actions or initiatives, with an instance of Chimere installed by Frédéric Léon at Brest. Chimere allows to place on a maps « points of interest » as defined by their geographic coordinates, text + multimedia documents (video , audio, images). Points of interest can be classified into categories organized by families. Maps are defined by selections of geographical zones and categories.<br /></br></ blockquote></p></br><p><iframe width='660' height='350' frameborder='0' scrolling='no' marginheight='0' marginwidth='0' src='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/simple'></iframe><br /><a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons' rel="noopener noreferrer">Agrandir</a> – <a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/edit/' rel="noopener noreferrer">Participer</a></p></br><p>The first idea, starting this experiment was to locate on a map hundred of definitions of the commons made since the Berlin Conference of 2010, and look at how to use this medium as a collective means of expression on the notion of commons. For the test, a douzen of definitions is placed on the map. The integration of all the hundreds of available definitions give more card provided. They are searchable by language. Sorting by tag does not exist. It is the next step we are chalenging. It will allow to make more visible the « issues » generated on the Remix The Commons website. The integration of this map in the site remix is done by widget in a blog post or page. Eventually, the card could be powered by mashup multimedia services.</p></br><p>Second experiment : <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs">mapping documents of commoning practices</a> by category « types of commons » (only with the parents of the categories of Charlotte Hess’ classification, used on the web site Remix the Commons) . The maps can be made by geographical areas. <a href="http://remixthecommons.infini.fr/visages-des-communs">Here</a> a map of a few points in Quebec .</p></br><p>Chimere freely allows the addition of new points of interest by users via <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs/edit" target="_blank" rel="noopener noreferrer">a form</a> pretty simple. Each zone provides to the users a form that allows to classify points of interest by the category of the zone.</p></br><p>At this level, it would be useful to complete chimere with elements such as a device of tags of points of interest, a synchronization of files on the map, a synchronization of the points of interest in the catalog of Remix the Commons.</p></br><p>But to go further, it should be necessary to work on approaches of mapping the commons. The identification of resources is the first degree of a mapping of the commons. Should imagine mapping commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p></br><p>Frédéric Sultan</p>ng commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p> <p>Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 mois après l’<blockquote><p>6 mois après l’espace des communs au Forum Social Mondial, notre outil de documentation / jeu de carte sur les communs est prêt à circuler, animer des conversations et vous aider à faire avancer les communs près de chez vous !</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" /></p></br><p>C@rtes en Commun est un jeu où 2 à 5 joueurs collaborant pour construire une société civile résiliente qui défend les communs contre les forces d’accaparement. Outre le plaisir de jouer, C@rtes en commun a été imaginé comme un moyen de documenter la présence des communs à l’Espace de communs, dispositif éphémère de rencontre au Forum Social Mondial à Montréal qui se déroulait en août 2016. Les cartes qui composent le jeu ont été conçues par les personnes présentes volontaires qui ont partagé leur vision et leur expérience des communs sur la base d’un design du jeu réalisé par Mathhieu Rhéaume et son équipe. Cette expérience permet de penser qu’il serait possible d’utiliser une même approche et ces outils méthodologiques pour documenter les communs dans d’autres contextes locaux, votre quartier, ou thématique comme les communs de la connaissance par exemple. Nous avons hâte de pouvoir mener de telles expériences ! </p></br><p>Pour en savoir plus sur le jeu, visitez le <a href="http://cartesencommun.cc/">site Internet</a>. Le jeu est publié à la demande par The Game Crafter aux USA pour le prix de 22,99 $US l’unité plus frais de port et de douane via : <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rtes-en-commun">https://www.thegamecrafter.com/</a> </p></br><p>Pour réduire les frais de port et douane pour les européens, nous lançons une commande groupée et nous espérons que cela ramènera le coût de chaque jeu livré en Europe à environ de 30/35 $US. </p></br><p>Si vous souhaitez participer à cette première commande groupée, <a href="https://goo.gl/forms/UdXsgNWxqklo4bJq2">remplissez le formulaire</a> avant le 18 mars à 20:00 GMT: </p></br><p>Vous devrez aussi versez une avance correspondant uniquement au prix du ou des jeux commandés. Le reste à payer (port et douane) vous sera demandé une fois la commande terminée, lorsque nous connaîtrons les coûts des frais postaux et de douane. </p></br><p>Ensuite, soyez patient ! La commande groupée sera initiée le 18 mars et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #3</em>, is the third serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 16 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la quatrième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la troisième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #2</em>, est la deuxième série de 10 capsules vidéos de définitions des biens communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Cette série a été réalisée à l’occasion du Forum Mondial Sciences et Démocratie qui se déroulait à Dakar en Février 2011.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit.  Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>tenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la cinquième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 12 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #1</em>, est la première série de 20 capsules vidéos et remix de définitions des communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les communs</em></a>. Cette série à été réalisée à l’occasion de la <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Commons (ECC)</a> co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a> à Berlin les 1er et 2 novembre 2010,</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Afin de nourrir<blockquote><p>Afin de nourrir la réflexion sur l’intégration des communs de la connaissance dans les visions et perspectives des acteurs engagés dans la transition, nous proposons un séminaire autour du projet FLOK Society ave c Michel Bauwens les 22 et 23 septembre 2014 en région parisienne.</p></blockquote></br><p>Le projet FLOK Society (Free, Libre, Open Knowledge) est la première tentative d’apporter des propositions opérationnelles à l’échelle d’un pays pour une transition vers une société basée sur la connaissance libre et ouverte. Il vise à créer les conditions d’une transformation simultanée de la société civile, du marché et des pouvoirs publics basée sur une appropriation du paradigme des communs de la connaissance.</p></br><p>Le projet FLOK Society a été élaborer en Équateur à la demande d’institutions gouvernementales. Il a été dirigé par Michel Bauwens, leader de la P2P Foudation, qui a mobilisé autour de lui une large équipe de chercheurs et d’activistes en Équateur, en Amérique Latine et à travers le monde. Les travaux ont mis en perspective les quatre grandes filières mobilisant et produisant les communs de la connaissance : éducation et culture, science, industrie agriculture et services, et citoyenneté et participation (ref : <a href="http://tinyurl.com/obd9jdh">http://tinyurl.com/obd9jdh</a>), pour brosser une analyse de leurs effets de transformations sur le marché, l’État et la société civile, et proposer des orientations transversales et sectorielles de politiques publiques pour faire émerger une économie sociale de la connaissance qui contribue à une transition sociale, économique et environnementale. Ces propositions sont la déclinaison d’une matrice à caractère générale, sous forme de préconisations spécifiques au contexte local équatorien.</p></br><p>Indépendamment de la manière dont celles-ci seront (ou non) reprises sous formes de politiques publiques par le gouvernement ou d’initiatives de la société civile en Équateur, les travaux du projet FLOK Society offrent un corpus de propositions et une méthodologie qui méritent d’être mis à l’épreuve d’autres contextes que celui de l’Équateur. Ce séminaire invite à identifier et approfondir les propositions du projet FLOK Society et les mettre en perspective avec la recherche, les expériences et les mobilisations dans le contexte français et européen.</p></br><p>Dans ce contexte, les acteurs de la transition sont inscrits dans une histoire et un agenda de luttes, de mobilisations et d’expérimentations. Ce séminaire vise à permettre d’intégrer le paradigme des communs de la connaissance de manière utile et efficace dans les visions politiques des familles de pensée qui constituent les forces de la transition, que sont les mouvements sociaux, le syndicalisme, et l’Economie Sociale et Solidaire.</p></br><p>Comment la réflexion sur la place des communs de la connaissance va-t-elle inspirer ces familles de pensée ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ?</p></br><p>Le séminaire se structure autour de trois temps, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s’agit d’analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, pour, dans la mesure du possible, élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Ces trois axes de travail seront précédés d’une présentation du projet FLOK Society et suivi d’un temps de bilan du séminaire.</p></br><p>Le séminaire se déroule à Villarceaux, OEcocentre de la Bergerie, avec le soutien de la Fondation Charles Léopold Mayer – FPH</p></br><p>Information complémentaire : <a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan</a></p>ericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>An experience o<blockquote><p>An experience of self-management of computational infrastructure, that allows organizations to embed digital sovereignty into their thinking on transition and take action!</p></blockquote></br><p>Together with other individuals and organizations, and in collaboration with <a href="https://www.koumbit.org/">Koumbit</a>, Remix the commons is developing a collective response to the need for digital tools and infrastructures. The idea is to ensure full digital sovereignty over our work, exchanges and data in coherence with the vision set out in the Charter for Building a Data Commons for a Free, Fair and Sustainable Future.</p></br><p>After having tested with Koumbit, an independent and solidary hosting company in Montreal, our ability to set up and manage some tools based on open source and the commons on a shared server, we designed a cooperation system based on a model similar to that of AMAPs, which we call the « Konbit numerique », in reference to the konbit of Haitian farmers. <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Konbit">Konbit</a> numerique is a prototype of « computational commons » for commoners’ projects. It proposes a working infrastructure that makes it possible to gradually achieve the objectives of independence and sovereignty on information and communication technology.</p></br><p>Our Konbit numerique consists of a group of identified users and a server administrator, Koumbit cooperator. It is based on a 6 TB server hosted by Koumbit in Montreal (<a href="https://nuage.en-commun.net">https://nuage.en-commun.net)</a>, in which are installed the applications we need, tools based on open source and commons: file sharing, calendars, task management, online editing of text documents, table, email,… and most importantly for us a wiki farm. This is coverering a large part of the current digital uses of our organizations.</p></br><p>Users are involved in the governance, and as much as possible in maintenance. The work of the server administrator is handled by the collective through a monthly intervention time credit system. This includes, in addition to the time dedicated to server maintenance, time reserved for future technical developments that will be allocated according to the Konbit’s needs. The idea is therefore to jointly pre-finance a digital infrastructure dedicated to the collective. This infrastructure is not based on capitalist logic. It does not seek to make more profit in the perspective of extraction, but to satisfy the needs of the collective. It allows us to start a process to degoogling our digital practices.</p></br><p>Each person involved in the projects of the partners, stakeholders of this initiative, has access to this space and uses it within the framework of their activities in relation to the commons. Each partner can contribute to the life and development of the konbit by subscribing one or more shares of solidarity support (suggested amount: 15 € – 20 $CAD per month, or according to the budgets and needs of the projects), and according to the principle which aims to decouple use and trade (principle 3 of the Charter mentioned above). We have set ourselves the objective of gradually expanding the first collective to a balance between technical need/capacity and finance/governance. It is estimated that about 20 members would be an interesting size of the collective. Then other Konbits could be created and allow a federated type of operation.</p></br><p>The konbit numerique is not an open structure like a Chaton (online service open to all), or an alternative hoster, but an experience of self-management of computational infrastructure by its users. It is still a little early to draw lessons from this approach, but it is likely that this initiative allows organizations to embed digital sovereignty into their thinking on transition and take action. We hope that accompanying such processes could be a challenge of interest to free software activists.</p>hinking on transition and take action. We hope that accompanying such processes could be a challenge of interest to free software activists.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Avec la mise en<blockquote><p>Avec la mise en ligne de 76 clips vidéo, totalisant environ 8 heures de visionnement, réalisée lors de la conférence internationale <em>Economic and the Commons</em> à Berlin, Remix Biens Communs propose deux nouveaux dossiers sur les communs et complète la collection des capsules vidéos sur les définitions des biens communs.</p></blockquote></br><p>Le premier dossier a pour sujet <a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYR3nlESkj73h8CLnDhh2kY">Économies et Communs</a>. Il est composé de 13 vidéos sous forme d’entrevues individuelles ou de tables rondes avec les intervenants et les animateurs de la conférence. Ces conversations complètent et approfondissent les sujets abordés lors de la conférence : Terre et Nature, Travail, Connaissance, Culture et Sciences en Communs, Monnaie, Marché, Valeur et Communs et Infrastructures pour les communs. Leur durée varie entre 5 et 35 minutes et totalisent 5 heures de visionnement.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYA3AHFtDOUCQCcCvEzkn-S">Un agenda pour les Communs</a> comprend 11 vidéos qui explorent les enjeux des communs autour des thèmes comme l’éducation et la culture des communs, la recherche, la dimension politique et le rapport à l’État. Leur durée totale est de 3 heures et 10 minutes.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkatF08AS-5t1PJSU35khJ3S">Define/définir/definir les Communs</a> comprend 53 nouvelles brèves vidéos répondant à la question : « si vous aviez à définir les Communs en une phrase, quelle serait-elle? ». La plupart de ces entrevues sont en anglais, mais 28 sont aussi dans la langue originale du participant. La série de vidéos Define/définir/definir les Communs avait été inaugurée durant la conférence de Berlin de novembre 2010 et s’est enrichie au cours de différentes rencontres internationales de mouvement sociaux à travers le monde. La série compte maintenant 100 clips.</p></br><p>Les 76 clips vidéo produits à l’occasion de la conférence de Berlin totalisent environ 8 heures de visionnement. Ils se veulent une contribution à la documentation de la conférence et viennent ainsi en complément à l’excellent<a href="http://www.boell.de/sites/default/files/ecc_report_final.pdf">rapport réalisé par David Bollier</a> et aux <a href="http://commonsandeconomics.org">sites de la conférence</a> de la Fondation Henrich Boell.</p></br><p>L’inscription de tous les clips dans le catalogue Remix The Commons facilite la consultation et la recherche dans cette collection, par exemple par sujet, intervenant, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.</p></br><p>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</p>, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.</p> <p>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Comment traduir<blockquote><p>Comment traduire les communs en processus de transformation systématique de la société ? L’équateur lance une initiative qui vise à faire se rencontrer les hackers et les communautés indigènes autour du partage de la connaissance.</p></blockquote></br><p>Traduction de l’<a href="http://floksociety.org/2013/09/18/michel-bauwens-arriba-al-ecuador/">article original : Michel Bauwens arriba al Ecuador</a>.</p></br><p>FLOK Society souhaite la bienvenue à Michel Bauwens en Equateur. Michel Bauwens, l’un des fondateurs de la Fondation P2P, est arrivé à Quito le 17 septembre pour participer au projet de réinvention fondamentale de l’Equateur. Bauwens dirigera une équipe de recherche qui se propose de déclencher un processus participatif mondial avec une mise en œuvre immédiate en Equateur. Le processus vise à retourner aux racines de l’économie équatorienne, pour déclencher une transition vers une société de la connaissance libre et ouverte.</p></br><p>Au cours du premier semestre de 2014, Michel Bauwens participera à la mise en place d’un réseau mondial de chercheurs sur la transition. La Fondation P2P est un réseau mondial de chercheurs qui documente le passage à des pratiques ouvertes, participatives et basées sur les communs dans tous les domaines de l’activité humaine, et plus particulièrement dans celui de la connaissance et du code ouvert, et le passage à la coopération en matière de conception ouverte, de production ouverte, de science ouverte, de gouvernement ouvert, d’agriculture ouverte et production ouverte qui ont un fort potentiel d’amélioration des processus agricoles et industriels durables.</p></br><p>L’Equateur est le premier pays à s’engager dans la création d’une société basée sur la connaissance ouverte comme biens communs. Afin de réaliser la transition vers un « bien savoir », ou une société de «bonne connaissance» <a href="http://plan2009.senplades.gob.ec/web/en" rel="nofollow">http://plan2009.senplades.gob.ec/web/en</a>, qui est une extension de la stratégie officielle pour une société basée sur le « buen vivir ». L’Institut d’études avancées (IAEN sigle espagnol ) à Quito, Équateur, dirigé par le recteur Carlos Prieto, a lancé un processus stratégique, appelé Project Society FLOK, qui vise à organiser une conférence internationale en Mars 2014 et produire 10 documents stratégiques proposant des politiques de transition vers une société de la bonne connaissance, qui sera présenté aux citoyens équatoriens à travers des processus participatifs intensifs, semblables à ceux qui ont eu lieu lors de la rédaction de la nouvelle Constitution et les plans nationaux ambitieux, qui fixent les orientations de la politique du gouvernement.</p></br><p>Alors que le Buen Vivir vise à remplacer l’accumulation aveugle de la croissance économique par une forme de croissance qui profite directement au bien-être du peuple équatorien. Buen Saber vise à créer des communs de la connaissance ouvert qui faciliteront une telle transition. FLOK signifie « Free Libre and Open Knowledge ». Pour établir ces nouvelles orientations et documents, IAEN s’est mis en lien avec le mouvement international hacker et logiciels libres, mais aussi avec ses extensions à travers les nombreuses initiatives pairs à pairs qui ont pour objectif de constituer un corps de connaissance pour la production physique dans l’agriculture et l’industrie.</p></br><p>La base de connaissances de la Fondation P2P met également l’accent sur la documentation des nouvelles politiques et des cadres juridiques mis en place par les villes ouvertes au partage, telles que Séoul, San Francisco, et Naples, et les régions telles que Bordeaux, Open Commons Region de Linz, en Autriche, au Soudan du Sud, le Cabineto Digital de Rio del Sur, et plus encore. La base de données de 22.000 initiatives sur les communs à travers le monde a été vu près de 25 millions de fois et attire 25.000 chercheurs, activistes, utilisateurs et des lecteurs chaque jour. Michel Bauwens est également l’auteur d’une synthése de l’économie collaborative, l’expert externe pour l’Académie pontificale des sciences sociales, un membre du Forum Hangwang à Chengdu qui étudie la viabilité industrielle, et s’est engagé dans un projet de recherche de l’Université Leuphana sur la démocratie liquide numérique. En tant que membre fondateur et partenaire du Commons Strategies Group, il a co-organisé deux réunions mondiales sur les biens communs, la dernière en mai 2013 à Berlin a été dédiée au domaine émergent de l’Économie basée sur les communs.</p></br><p>En Mars 2013, la Fondation P2P a organisé un « wikisprint hispanique mondiale» , avec l’aide de l’activiste ispano-brésilien Bernardo Gutierrez, au cours de laquelle plus de 500 participants individuels et collectifs, dans plus de 60 villes et 23 pays, ont cartographié les initiatives P2P, de partage et de biens communs dans leur région et les zones d’activités , permettant l’interconnexion d’un réseau de militants et d’universitaires latino-américains.</p></br><p>IAEN estime que la collaboration entre les communautés hacktivistes, la Société FLOK et les réseaux mondiaux et hispaniques actifs dans la construction des biens communs ouverts sera essentielle pour créer une synergie avec les acteurs locaux de la société équatorienne, et aidera à atteindre le but que le pays s’est donné.</p></br><p>Traduction de l’article <a href="http://floksociety.org/en/2013/09/18/michel-bauwens-arriba-al-ecuador/">Michel Bauwens arrives in Ecuador</a> par F. Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Interview Joan <blockquote><p>Interview Joan Subirats(1) by Alain Ambrosi May 2018</p></blockquote></br><figure style="width: 700px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="700" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>vals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Last 6, 7 and 8<blockquote><p>Last 6, 7 and 8 of November, the Art of commoning, an event the community Art of Hosting Montreal, saw 70 people come together to explore the commons and commoning, and develop a culture from the posture of commoner. The first two days were held in the beautiful local gardens Space for Life (Espace pour la vie) partner of the event. The third day, the participants were divided in different places (Tiers lieux) with commons projects throughout the city of Montreal.</p></br><p>David Bollier who participated with Silke Hefrich, Alain Ambrosi and myself, made a <a href="http://bollier.org/blog/art-commoning"> review of the meeting on his blog </a>. For more information you can look at the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2014/11/lart-de-len-commun/">full article</a> (in French only)</p></blockquote></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-large wp-image-4035" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-1024x576.jpg" alt="20141107_162027" width="1024" height="576" /></a></p>g/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-1024x576.jpg" alt="20141107_162027" width="1024" height="576" /></a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Les 6, 7 et 8 n<blockquote><p>Les 6, 7 et 8 novembre, l’Art de l’en-commun, un événement de la communauté Art of Hosting Montréal, a vu 70 personnes se rencontrer pour explorer les biens communs et le commoning, et développer une culture à partir de la posture de commoner. Les deux premiers jours se sont déroulés dans les magnifiques locaux-jardins de l’Espace pour la Vie partenaire de l’événement. Le troisième jour, les participants se sont répartis dans différents tiers-lieux porteurs de projets de communs à travers la ville de Montréal.</p></blockquote></br><h2>Au croisement de Art of Hosting et du commoning</h2></br><p>Art of Hosting, ou l’<a href="http://www.aohmontreal.org/art-of-hosting-2">Art d’Accueillir des Conversations qui comptent</a> pour faire émerger la capacité d’auto-organisation et la sagesse collective des groupes, part de l’hypothèse que les gens mettent leur énergie et leurs compétences au service de ce qui compte le plus pour eux, au travail comme dans la vie. Cette pratique recouvre un ensemble de processus de conversation puissants, qui invitent les personnes à s’engager et à prendre en charge les défis qu’elles rencontrent. Pour en savoir plus, je vous invite aussi à voir l’<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=reflections-on-art-of-hosting-and-the-commons">interview</a> de Toke Moeller, l’un des fondateurs de ce mouvement, réalisée à Montréal, à l’occasion de Ville en biens communs 2013.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4035" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-300x168.jpg" alt="20141107_162027" width="300" height="168" /></a> Tout au long de ces trois jours, cette pratique a été mise au service d’une découverte approfondie des biens communs, de la posture du commoner et du commoning. Le premier jour a permis de poser les piliers de ces pratiques à travers des conversations entre les invités et les participants. La première d’entre elle consistait à demander aux invités étrangers, « experts » des communs, de raconter en se placant au centre d’un cercle, les défis qu’ils rencontrent lorsqu’ils doivent parler des biens communs. S’en suivait une ronde au cours de laquelle chaque personne qui le souhaitait pouvait prendre place au centre du cercle pour dialoguer avec l’expert. Une autre conversation visait à partager des piliers du commoning dans un temps de co-apprentissage.</p></br><p>Le lendemain, c’est autour d’une histoire de biens communs que la conversation s’est poursuivie. Chaque personne dans le cercle est<br /></br>invitée à écouter l’histoire avec une grille de lecture particulière afin que le groupe dans son ensemble se donne une capacité de réflexion et d’analyse collective démultipliée. Après ces explorations, les participants sont invités à élaborer un ensemble de questions fortes sur les biens communs et l’en-commun. Toutes ces questions seront collectées sous formes de capsules vidéos grâce à l’installation de <em>Com-fessional</em> proposée par Remix The Commons. Ces questions ouvrent la voie à des suites possibles pour l’Art de l’en-commun.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141109_054124.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4034" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141109_054124-300x168.jpg" alt="20141109_054124" width="300" height="168" /></a> Le troisième jour de rencontre a été consacré à contribuer à des communs vivants ou en projet : 14 initiatives ont été proposées par leurs initiateurs dans différents tiers-lieux de Montréal. Les participants avaient été invités à constituer une « banque de temps » volontairement dédié aux biens communs au moment de leur inscription. Une partie de ce temps à donc été dépensé lors de cette journée. Ce qu’il en reste pourra être mis au service des biens communs dans le futur proche. Avec Alain Ambrosi, nous avons invité les participants à prendre part au projet de « l’école des communs ». Nous avons commencé par partager l’histoire des écoles des communs telle que nous la connaissons. Nous avons présenté la chronologie des événements qui s’y rapportent depuis quelques années, ainsi que la diversité des pratiques qui s’y rattachent : festival, rencontres, ateliers, université d’été, plateforme de documentation des communs et du commoning, exploration et développement d’un vocabulaire des communs. Dans un deuxième temps, nous avons approfondies les visions de l’école des communs dans une conversation ouverte et alimentée par la <a href="https://dl.dropboxusercontent.com/u/2832349/Synth%C3%A8se%20%C3%A9cole%20des%20communs%20Montr%C3%A9al%202013.odt">synthèse du premier cercle d’Aprentissage sur l’école des communs</a> qui s’était déroulé à Montréal en 2013. Enfin, nous avons répondu à la question : « de quoi avons-nous besoin pour faire ensemble l’école des communs ? » Au cours de cet atelier, une vingtaine de personnes se sont engagées et ont proposé de dédier volontairement un quota d’heures à ce projet. Il y aura donc là aussi des suites. La journée s’est terminée par la célébration de notre rencontre des communs et l’art de l’en-commun, une fête conviviale ouverte aux personnes qui n’avaient pas pu rejoindre les trois jours.</p></br><h2>Mais qui fait la vaisselle ?</h2></br><p>Au cours de cette rencontre, le collectif organisateur a constamment cherché à rendre chaque moment vécu de la rencontre cohérent avec la posture du commoner et la culture du partage propre aux biens communs. Il a fait montre d’un souci de prendre en compte les personnes pour ce qu’elle sont, en recherchant pour chacun les meilleures conditions pour qu’il ou elle puisse découvrir, s’exprimer et partager son expérience et sa connaissance.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_190821-e1415896747655.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4044" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_190821-e1415896747655-210x300.jpg" alt="20141107_190821" width="210" height="300" /></a>Cela a été par exemple le cas pour les repas pris ensemble. Pour le premier jour, il a été fait appel à un traiteur bio et végétarien de très grande qualité afin de s’assurer de satisfaire les besoins de chacun. L’accent a été mis sur la convivialité et l’accueil des participants. Ce repas a été un régal et personne n’a pu résister à leur brownies ! Le deuxième jour, les participants ont été invités à préparer ce qui leur ferait plaisir de partager et à apporter de quoi manger pour 2 personnes. Une tablée magnifique, longue de 70 convivesn, a été dressée à l’heure du déjeuner et chacun a pu déguster les mets de son choix. Enfin le troisième jour, le repas (pour la soirée de célébration) a été cuisiné en commun et servi à table dans une agréable ambiance festive.</p></br><p>Le matin du troisième jours, la tâche de faire la vaisselle qui avait été partagée spontanément, a fait l’objet d’une discussion lors d’un atelier sur les « patterns » du commoning animé par Silke Helfrich. Cette tâche – faire la vaisselle – loin d’être anodine, a permis de mettre en exergue les conditions du commoning et d’alimenter une réflexion sur les rôles de chacun dans les processus de partage et la (re)connaissance des enjeux de pouvoir dans le commoning. Finalement, comme nous avions encore l’opportunité d’expérimenter sur ce point, notre réflexion collective a donné lieu à la création d’un jeu autour du partage des tâches de vaisselle de la dernière soirée de la rencontre.</p></br><h2>La récolte</h2></br><p>Ce jeu, tout comme les capsules vidéos du Com-fessional fera partie de la récolte de la rencontre. Tout au long de ces trois jours, le collectif a eu le souci constant de récolter et d’inviter chacun à partager, images, son, textes, notes pour en faire une richesse collective dans laquelle chacun pourra puiser pour la suite.</p></br><p>A la veille de la <a href="https://dl.dropboxusercontent.com/u/2832349/EcoledescommunsParisProgr20141014.pdf">rencontre sur l’école des communs</a> qui se déroule à Paris cette fin de semaine, la capacité à mettre en cohérence des pratiques avec des valeurs portées par les commoners jusque dans les tâches les plus humbles et anodines, celles qui se déroulent précisément dans les communs, l’arrière cour et la cuisine, permet de penser que l’Art de l’en-commun sera une graine féconde et libératrice dans le jardin de la pédagogie des communs.</p></br><p>David Bollier qui y participait avec Silke Hefrich, Alain Ambrosi et moi même, a fait une <a href="http://bollier.org/blog/art-commoning">recension de cette rencontre sur son blog</a>.</p></br><p><em>Merci à tous pour cette belle rencontre.</em></p>/p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)