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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Texte de la note » avec la valeur « First sentence pertains ONLY to degradation, but there a conditions within the commons that can be in a good state, so preservation becomes the desired outcome. Make sure to generalize this specific term of this task... Each sub-chapter should be more focussed on what than why : what is (or should be "Assessing the physical aspect of the space" rather than why " there was a reason to voice concern" You're right... I will add some sentenses on what this process is. the "why" should be in another chapter (probably before) that explain the reasons and the principles of the tactical chartering I agree with this point. This will take some time to reorganize...</span> ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 10 résultats à partir du nº 1.

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Liste de résultats

    • Tactical Chartering Manifesto/Social and Physical Space Assessment  + (First sentence pertains ONLY to degradatioFirst sentence pertains ONLY to degradation, but there a conditions within the commons that can be in a good state, so preservation becomes the desired outcome. Make sure to generalize this specific term of this task...</br> </br>Each sub-chapter should be more focussed on what than why : what is (or should be "Assessing the physical aspect of the space" rather than why " there was a reason to voice concern"</br> </br>You're right... I will add some sentenses on what this process is.</br> </br>the "why" should be in another chapter (probably before) that explain the reasons and the principles of the tactical chartering </br> </br>I agree with this point. This will take some time to reorganize...</span>ill take some time to reorganize...</span>)
    • Collective Action  + (A process where individuals with the same interests potentially form a group, and pursue these interests and gain forms of value from within their group by working collectively and agreeing upon decisions that are harder to make in a group.)
    • Commoning  + (Commoning is the subjective process involved in ‘making common’. It is the collective psychological shift implicit in establishing a commons.)
    • Communs urbains  + (De nombreuses recherches récentes considèrDe nombreuses recherches récentes considèrent en tant que communs urbains : les parcs, les jardins, les lieux en friche mais aussi les lieux de production culturelle (tels que les théâtres, les cinémas plutôt que les lieux informels de</br>production artistique et culturelle) et sociale (les places, les lieux de rassemblement, les centres culturelles, les squats), les bibliothèques, les écoles, les universités, le patrimoine culturel, artistique, scientifique ou industriel, les infrastructures matérielles et immatérielles et les services urbains, les données numériques, les logements sociaux (l’habitat participatif se diffuse sur des formes différenciées comme par exemple dans le cas des Limited Equity Coop ou des Community Land Trust aux Etats Unies et en Europe) et même les déchets (produits des interactions urbaines) qui constituent souvent des valeurs importantes pour des populations urbaines marginalisées.</br></br>L’une des caractéristiques propres des communs urbains affirme Harvey (2012), est qu’ils présentent les mêmes contradictions que les autres communs mais d’une manière « hyper concentrée ». Cela tient à la centralité de la ville dans les dynamiques d’accumulation et de dépossession propres au néolibéralisme, mais aussi à leur densité intrinsèque qui multiplie les interactions, la production de valeur et les relations de conflit et de coalition entre les sujets. Les communs urbains participent donc aux caractéristiques propres à la ville : la densité et la diversité urbaine. Un des éléments distinctifs des communs urbains est, par exemple, la particularité des commonners. Si, dans les études sur le CPR, la communauté de référence est normalement définie et stable, nous avons, dans les communs urbains, des communautés hétérogènes, ouvertes et très changeantes. Il ne s’agit donc pas d’une communauté de terre ou de sang, mais d’un sujet qui prend corps autour des communs et de leur usage. Il y a une relation de circularité entre le commun et la collectivité qui y participe et qui peut évoluer dans le temps et dans l’espace (Marella, 2016 ; Festa 2016). Parfois, nous constatons même plusieurs types d’intensité dans le lien aux biens : des groupes plus restreints peuvent prendre en charge au quotidien le communs ; des groupes plus larges peuvent avoir une relation plus éloignée avec la ressource, tout en jouissant de certaines utilités et en participant de façon plus ponctuelle à la gestion collective.</br></br>Ensuite, le caractère du commun dans le milieu urbain n’est pas toujours défini et stable. Pour certains, un jardin collectif peut être un lieu de production alimentaire, pour d’autres un lieu de sociabilité et de communication, voire de construction politique (Kip, 2015). On pourrait aussi dire d’un théâtre qu’il constitue un lieu de production artistique pour les comédiens et techniciens du spectacle et, pour les spectateurs, un lieu d’épanouissement culturel et social. Nous pouvons rencontrer différents intérêts qui se coalisent dans la prise en charge des communs et réciproquement des communautés que se superposent au fur et mesure de leur différentes implications dans les communs.</br></br>Enfin, certain communs urbains et surtout certaines infrastructures complexes (on pense au service de distribution de l’eau ou de l’énergie par exemple) incluent différentes types de porteurs d’intérêts (citoyens, acteurs privés, institutions) et demandent parfois des collaborations intersectorielles, des processus de longs termes pour aboutir à une gouvernance* véritablement participative et pour adopter un organisation qui puisse relever du commun (Kip, 2015). Dans ce cas, il s’agira de modifier radicalement la composition et le fonctionnement des infrastructures de gouvernance pour les rendre effectivement commune, tandis que certains aspects des infrastructures techniques ou du processus de production peuvent rester de gestion publique ou privée selon les conditions spécifiques du secteur (v. V°Aqua Bene Commune à Naples).</br></br>... </br></br>Cet ensemble d’élaborations montre clairement que les communs urbains peuvent être des biens ou des services publics ou privés dont leur caractère commun dépend essentiellement de l’action collective qui les investit.t de l’action collective qui les investit.)
    • Enclosure  + (Enclosure of commons - the gradual and sudEnclosure of commons - the gradual and sudden decrease of accessibility of a particular resource Reasons for enclosure - increased scarcity through over consumption brought from new populations, natural disaster, neglect Enclosure is visible where new technologies have created the ability to capture recently uncapturable goods (or when informational technologies expand copyright and definition of what is patentable through new legislation, enable enclosure of previously openly accessible areas of informationsly openly accessible areas of information)
    • Assemblée des communs  + (La définition de ce que sont les AssembléeLa définition de ce que sont les Assemblées des Communs est un processus en cours.</br></br>Au minimum, '''une assemblée des communs est une réunion de personnes actives dans des communs ou intéressées par la question'''.</br></br>Diverses fonctions sont envisagées pour les assemblées des communs</br>* fédérations des communs d'un territoire (aider à mettre en lien les communs)</br>* aide et soutien entre communs </br>* documentation des communs (répertorier et diffuser les actions liées aux communs)</br>* évaluation des communs (à quel point le fonctionnement est-il un fonctionnement de communs)</br>* animation du débat sur les questions des communs (organiser des événements et rencontres sur le sujet qui la concerne)</br>* représentation des communs dans le débat public et/ou institutionnel</br>* veille et alerte sur l'impact des politiques publiques et des initiatives qui concernent la communauté et l'usage des communs</br>* négociation des politiques présentes ou à venir avec les institutions publiques</br>* préparation et d'expérimentation de scénarios, de politiques, et de projets alternatifs</br>*...</br></br>Les Assemblées des communs sont encore en création, et on verra comment les diverses fonctions arriveront à émerger.</br></br>L'Assemblée la plus active et avancée dans ses expérimentations à ce jour sur le territoire français est celle de Lille (http://assemblee.encommuns.org/wiki/Lille).ttp://assemblee.encommuns.org/wiki/Lille).)
    • Commission Rodotà  + (La « Commission Rodotà » – qui rend en 201La « Commission Rodotà » – qui rend en 2010 un rapport sur la « modification du Code civil en matière de biens publics » – a contribué à renouveler le débat juridique en Italie. La Commission tente de juridiciser une notion ayant émergé en économie, avec Ostrom principalement : la notion de « beni comuni » (biens communs, BC). Cette notion est regardée comme un moyen de repenser rien de moins que la démocratie représentative et l’État de droit constitutionnel/social. Aussi va-t-on partir de cette notion de BC pour décliner la pensée de Rodotà et appréhender les grands thèmes par lui abordés au cours de son existence. Selon Rodotà (il n’est pas le premier…), la propriété entendue au sens classique – individuelle et capitalistique – est source de (presque) tous les maux. Un de ses ouvrages les plus célèbres s’intitule « Il terribile diritto », ce terrible droit étant le droit de propriété. Quant au sous-titre de cet ouvrage, il est explicite : « Études sur la propriété privée et les biens communs ». La notion de BC est révolutionnaire selon Rodotà car elle emporte lecture sociale de la propriété. On ne peut se contenter d’individualiser la titularité d’un bien ; il importe d’aller au-delà, de s’appesantir sur la fonction d’un bien dans le cadre d’une lecture sociale (cf. Duguit souvent cité en Italie). Le bien commun n’est point raccordé à un titre de propriété, et ne connaît pas le rapport dominus-bien. Est récusée ici la conception classique de la domanialité tant elle jurerait avec la notion de droits fondamentaux. La notion de BC est révolutionnaire selon Rodotà car elle conduit à l’obsolescence partielle de la césure droit public/droit privé. Certains biens échapperaient à la sphère et des biens publics et des biens privés. La finalité de cette requalification est protectrice : protéger certains biens et du secteur public et du secteur privé, de l’État et des particuliers. Il s’agit de prendre acte de la défaite de l’État qui aurait failli en sa mission sociale : en recourant à la technique de la concession, l’État aurait révélé son inaptitude à gérer le domaine dit public, et ainsi à se faire le vecteur de l’intérêt général. Les biens communs – possesseurs d’un régime juridique ab norme détaché du droit public et du droit privé – permettraient le retour du bien commun, de la res publica. Il conviendrait d’objectiviser le régime juridique de certains biens – en raison de leur importance sociétale – afin de les mettre hors d’atteinte de l’irresponsabilité étatique et de la prédation privée. Une ère juridique nouvelle pourrait poindre : une ère au sein de laquelle disparaîtrait – ou à tout le moins serait repensée – la summa divisio classique droit public/droit privé. On retrouve ici certaines idées propagées par Hardt et Negri : le comune permettrait d’aller oltre (au-delà) du public et du privé. La notion de BC est révolutionnaire selon Rodotà car elle permet de repenser la démocratie représentative libérale ; pourrait même advenir une « démocratie des biens communs ». L’horizon de la police s’éclaircirait en raison de la jonction biens communs/démocratie participative : les citoyens pourraient se réapproprier leur souveraineté en se prononçant sur les biens méritant de devenir communs, voire en gérant de tels biens. C’est une critique de la démocratie représentative classique qui est formulée ici, en ce qu’elle signifierait dépossession de la souveraineté au profit d’une élite (même élue). L’objectif est d’instituer une « authentique » démocratie, une « démocratie du bas », enfant naturel du principe de subsidiarité. Nous ne sommes pas loin de l’antique antienne de l’auto-gouvernement. Bref, la théorie des BC se veut remède à la crise de la démocratie représentative. La notion de BC est encore révolutionnaire selon Rodotà car elle permet de repenser les liens juridiques entre générations. Il est posé en postulat politico-juridique que les générations futures possèdent des droits – en particulier celui de vivre dans un environnement correctement préservé – ce qui implique que les générations présentes possèdent des devoirs. Il est possible de relier destin des générations futures et biens communs, d’utiliser la théorie des biens communs pour préserver les droits des générations futures. Principes de responsabilité et de solidarité viendraient s’agréger pour modeler autrement les rapports juridiques présent/futur et individus/communauté. La notion de communauté – entité institutionnelle censée transcender l’individualisme des sujets en solidarité organique – revient souvent dans le discours relatif aux BC. Reste à répondre à cette angoissante question essentielle (au sens premier du terme) : peut-on, doit-on accorder des droits à des sujets qui n’existent pas ? La pensée de Rodotà est centrée – on le voit – sur les notions de droits et de dignité de la personne. Il n’est guère étonnant que l’un de ses ouvrages s’intitule Il diritto di avere diritti. Rodotà cogite sur la mutation du constitutionnalisme. La lutte pour le droit – selon une célèbre et ancienne formule – est devenue lutte pour les droits. Des révolutions ne cessent d’advenir : révolution de la technoscience, révolution d’internet. Comment alors gérer la révolution de l’égalité et la révolution de la dignité alors que se répand le phénomène de globalisation et que les droits semblent orphelins de la souveraineté ? Rodotà voit dans l’accès à internet un droit fondamental (il s’appuie notamment sur l’article 19 de la DUDH) de nature à faire émerger un constitutionnalisme global, une démocratie effective, une citoyenneté responsable. Internet serait un pont pour passer de l’individu (présumé atome égoïste) à la personne porteuse de dignité et insérée dans une communauté solidaire. et insérée dans une communauté solidaire.)
    • Open Source Urbanism  + (Open Source Urbanism (Nikos Salingaros) - a cooperative model allowing active users to freely adapt and modify theories, research, and practices following the proven experiences and based upon specific needs and intuitions)
    • Traditional Knowledge License  + (Traditional Knowledge (TK) Licenses In 200Traditional Knowledge (TK) Licenses</br>In 2008, we began developing the TK Licenses concept. Inspired by Creative Commons (https://creativecommons.org/) and in conversation with Indigenous communities, our goal was to develop a new and complimentary set of licenses that addressed the diversity of Indigenous needs in relation to intellectual property. This work received funding from IPinCH (https://www.sfu.ca/ipinch/) and WIPO (http://www.wipo.int/tk/en/) and was part of the original NEH grant funding to develop Mukurtru CMS (http://mukurtu.org/) for Indigenous digital content management.</br>Ongoing collaboration with our partner communities showed that the immediate concern was around negotiating and managing cultural heritage material where Indigenous individuals or communities did not hold the copyright. Instead third parties like researchers and institutions were the legal rights holders. With this focus, we developed a set of TK Labels. The Labels are an educative and non-legal intervention addressing the enormous amounts of Indigenous cultural heritage material that circulates without Indigenous perspectives or protocols regarding fair and equitable circulation and use. We currently have 4 TK Licenses in development and we continue to refine these for future use. For an example of customized TK Licenses see the Canning Stock Route Project. See http://mira.canningstockrouteproject.com/ http://mira.canningstockrouteproject.com/)
    • Tactical Chartering Manifesto/ Objectives to Tactical Chartering  + (should be clarified. Seems to me too vagueshould be clarified. Seems to me too vague</span></br></br>I wanted to emphasize that tactical chartering should be a fair process that allows people (from whatever situation they come from) to participate, vote, and be involved </br></br>yep. I agree. I think we need to find some words more clear for that because democracy should be "always" participative or should always involved the people, no ? </br></br>Maybe something like "equitable participation"? This will require some thought... But yes you are right about this</span></br>perhaps, it will be better to separate the 2 ideas : participation (involvment) and democracy (justice and equity) ? </span></br></br>To be based on participation processes .... bla bla bla </span></br></br>2) To be developped with pluralism and solidarity approach (or principle) </span></br></br>What do you think of participatory action research? </br></br>This is a good idea, I will look for some literature that explains this clearly and thoroughly. "Solidarity Approach" is a perfect way to explain what I was trying to say here, I like it very much...ect way to explain what I was trying to say here, I like it very much...)