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Liste de résultats

    • Open Source Urbanism  + (Open Source Urbanism (Nikos Salingaros) - a cooperative model allowing active users to freely adapt and modify theories, research, and practices following the proven experiences and based upon specific needs and intuitions)
    • Municipality  + (An administration that is the provider of services, and they are democratic mechanisms through which territorially based communities of people govern themselves at a local level.)
    • Knowledge City  + (An integrated knowledge based cluster or gAn integrated knowledge based cluster or geographical entity (in an urban setting) that physically and institutionally combines locally focused innovation, science, creativity within the context of an expanding globalized and interconnected economy by emphasizing on the development and advancement of technologies and vibrant socio-economic activities that focus on conserving rich natural environments, quality built environments, presence of tolerance and acceptance of multiculturalism, democratic, transparent and visionary governance, and enriched human capitalary governance, and enriched human capital)
    • Tactical Chartering Manifesto/Social and Physical Space Assessment  + (First sentence pertains ONLY to degradatioFirst sentence pertains ONLY to degradation, but there a conditions within the commons that can be in a good state, so preservation becomes the desired outcome. Make sure to generalize this specific term of this task...</br> </br>Each sub-chapter should be more focussed on what than why : what is (or should be "Assessing the physical aspect of the space" rather than why " there was a reason to voice concern"</br> </br>You're right... I will add some sentenses on what this process is.</br> </br>the "why" should be in another chapter (probably before) that explain the reasons and the principles of the tactical chartering </br> </br>I agree with this point. This will take some time to reorganize...</span>ill take some time to reorganize...</span>)
    • Assemblée des communs  + (La définition de ce que sont les AssembléeLa définition de ce que sont les Assemblées des Communs est un processus en cours.</br></br>Au minimum, '''une assemblée des communs est une réunion de personnes actives dans des communs ou intéressées par la question'''.</br></br>Diverses fonctions sont envisagées pour les assemblées des communs</br>* fédérations des communs d'un territoire (aider à mettre en lien les communs)</br>* aide et soutien entre communs </br>* documentation des communs (répertorier et diffuser les actions liées aux communs)</br>* évaluation des communs (à quel point le fonctionnement est-il un fonctionnement de communs)</br>* animation du débat sur les questions des communs (organiser des événements et rencontres sur le sujet qui la concerne)</br>* représentation des communs dans le débat public et/ou institutionnel</br>* veille et alerte sur l'impact des politiques publiques et des initiatives qui concernent la communauté et l'usage des communs</br>* négociation des politiques présentes ou à venir avec les institutions publiques</br>* préparation et d'expérimentation de scénarios, de politiques, et de projets alternatifs</br>*...</br></br>Les Assemblées des communs sont encore en création, et on verra comment les diverses fonctions arriveront à émerger.</br></br>L'Assemblée la plus active et avancée dans ses expérimentations à ce jour sur le territoire français est celle de Lille (http://assemblee.encommuns.org/wiki/Lille).ttp://assemblee.encommuns.org/wiki/Lille).)
    • Commission Rodotà  + (La « Commission Rodotà » – qui rend en 201La « Commission Rodotà » – qui rend en 2010 un rapport sur la « modification du Code civil en matière de biens publics » – a contribué à renouveler le débat juridique en Italie. La Commission tente de juridiciser une notion ayant émergé en économie, avec Ostrom principalement : la notion de « beni comuni » (biens communs, BC). Cette notion est regardée comme un moyen de repenser rien de moins que la démocratie représentative et l’État de droit constitutionnel/social. Aussi va-t-on partir de cette notion de BC pour décliner la pensée de Rodotà et appréhender les grands thèmes par lui abordés au cours de son existence. Selon Rodotà (il n’est pas le premier…), la propriété entendue au sens classique – individuelle et capitalistique – est source de (presque) tous les maux. Un de ses ouvrages les plus célèbres s’intitule « Il terribile diritto », ce terrible droit étant le droit de propriété. Quant au sous-titre de cet ouvrage, il est explicite : « Études sur la propriété privée et les biens communs ». La notion de BC est révolutionnaire selon Rodotà car elle emporte lecture sociale de la propriété. On ne peut se contenter d’individualiser la titularité d’un bien ; il importe d’aller au-delà, de s’appesantir sur la fonction d’un bien dans le cadre d’une lecture sociale (cf. Duguit souvent cité en Italie). Le bien commun n’est point raccordé à un titre de propriété, et ne connaît pas le rapport dominus-bien. Est récusée ici la conception classique de la domanialité tant elle jurerait avec la notion de droits fondamentaux. La notion de BC est révolutionnaire selon Rodotà car elle conduit à l’obsolescence partielle de la césure droit public/droit privé. Certains biens échapperaient à la sphère et des biens publics et des biens privés. La finalité de cette requalification est protectrice : protéger certains biens et du secteur public et du secteur privé, de l’État et des particuliers. Il s’agit de prendre acte de la défaite de l’État qui aurait failli en sa mission sociale : en recourant à la technique de la concession, l’État aurait révélé son inaptitude à gérer le domaine dit public, et ainsi à se faire le vecteur de l’intérêt général. Les biens communs – possesseurs d’un régime juridique ab norme détaché du droit public et du droit privé – permettraient le retour du bien commun, de la res publica. Il conviendrait d’objectiviser le régime juridique de certains biens – en raison de leur importance sociétale – afin de les mettre hors d’atteinte de l’irresponsabilité étatique et de la prédation privée. Une ère juridique nouvelle pourrait poindre : une ère au sein de laquelle disparaîtrait – ou à tout le moins serait repensée – la summa divisio classique droit public/droit privé. On retrouve ici certaines idées propagées par Hardt et Negri : le comune permettrait d’aller oltre (au-delà) du public et du privé. La notion de BC est révolutionnaire selon Rodotà car elle permet de repenser la démocratie représentative libérale ; pourrait même advenir une « démocratie des biens communs ». L’horizon de la police s’éclaircirait en raison de la jonction biens communs/démocratie participative : les citoyens pourraient se réapproprier leur souveraineté en se prononçant sur les biens méritant de devenir communs, voire en gérant de tels biens. C’est une critique de la démocratie représentative classique qui est formulée ici, en ce qu’elle signifierait dépossession de la souveraineté au profit d’une élite (même élue). L’objectif est d’instituer une « authentique » démocratie, une « démocratie du bas », enfant naturel du principe de subsidiarité. Nous ne sommes pas loin de l’antique antienne de l’auto-gouvernement. Bref, la théorie des BC se veut remède à la crise de la démocratie représentative. La notion de BC est encore révolutionnaire selon Rodotà car elle permet de repenser les liens juridiques entre générations. Il est posé en postulat politico-juridique que les générations futures possèdent des droits – en particulier celui de vivre dans un environnement correctement préservé – ce qui implique que les générations présentes possèdent des devoirs. Il est possible de relier destin des générations futures et biens communs, d’utiliser la théorie des biens communs pour préserver les droits des générations futures. Principes de responsabilité et de solidarité viendraient s’agréger pour modeler autrement les rapports juridiques présent/futur et individus/communauté. La notion de communauté – entité institutionnelle censée transcender l’individualisme des sujets en solidarité organique – revient souvent dans le discours relatif aux BC. Reste à répondre à cette angoissante question essentielle (au sens premier du terme) : peut-on, doit-on accorder des droits à des sujets qui n’existent pas ? La pensée de Rodotà est centrée – on le voit – sur les notions de droits et de dignité de la personne. Il n’est guère étonnant que l’un de ses ouvrages s’intitule Il diritto di avere diritti. Rodotà cogite sur la mutation du constitutionnalisme. La lutte pour le droit – selon une célèbre et ancienne formule – est devenue lutte pour les droits. Des révolutions ne cessent d’advenir : révolution de la technoscience, révolution d’internet. Comment alors gérer la révolution de l’égalité et la révolution de la dignité alors que se répand le phénomène de globalisation et que les droits semblent orphelins de la souveraineté ? Rodotà voit dans l’accès à internet un droit fondamental (il s’appuie notamment sur l’article 19 de la DUDH) de nature à faire émerger un constitutionnalisme global, une démocratie effective, une citoyenneté responsable. Internet serait un pont pour passer de l’individu (présumé atome égoïste) à la personne porteuse de dignité et insérée dans une communauté solidaire. et insérée dans une communauté solidaire.)
    • Usage civique  + (Le droit d'usage civique et collectif, conLe droit d'usage civique et collectif, consiste en un droit la communauté à être admise en institution pour son usage et sa jouissance direct et non exclusif au bien commun.</br></br>Ce droit collectif est exercé au moyen de déclarations spécifiques d'usage civique et collectif, élaborées de manière indépendante par les communautés de référence dans le but de déterminer les formes d'utilisation, les formes d'autonomie et les formes d'autogestion, propres à garantir l'accessibilité, l'utilisabilité, l'inclusion et l'impartialité dans l'utilisation et la jouissance du bien, pour la protection et le bénéfice des générations futures.</br></br>Grâce aux déclarations d'usage, qui seront recueillies par l'administration publique dans un recueil spécial d'usages urbains civiques et collectifs, des formes de "rentabilité civique" doivent également être garanties. - tels que l'autofinancement, les inscriptions volontaires, les initiatives du crowdfunding, la transposition des fonds publics et privés - afin de créer des "environnements civiques et d'utilisation collective autonomes", grâce auxquels pour rendre la mise en commun concrètement et matériellement possible de temps, de compétences et de ressources de toutes sortes, ainsi que de permettre une participation croissante et active de la population à l'utilisation civique et collective du bien commun.tion civique et collective du bien commun.)
    • Pluralisme juridique  + (Pluralisme juridique Dans les sociétéPluralisme juridique</br></br> Dans les sociétés occidentales, il est fréquent d’adhérer à une vision du droit et de l’État qui se rapproche du concept de centralisme juridique et qui implique que le droit est uniquement composé de la loi de l’État (Griffiths, 1986).</br> Le pluralisme juridique prend le contre pied de cette vision et reconnaît l’existence simultanée de plusieurs ordres juridiques ou cadres normatifs et ce, quel que soit la période, le lieu ou le contexte général dans lequel on se trouve (Griffiths, 1986). Il semble que le concept ait été initialement introduit par des anthropologues du droit qui étudiaient l’évolution des systèmes juridiques dans des contextes de décolonisation où on pouvait observer simultanément plusieurs ordres légaux (par exemple, le droit colonial et le droit coutumier) mais il s’est vite répandu comme une approche analytique pour étudier toutes sortes de situations légales dans toutes sortes de contextes (F. and K. Von Benda-Beckmann, 2006). […]</br> L’approche pluraliste reconnaît d’une part la coexistence d’une multiplicité d’espaces sociaux avec leurs propres cadres normatifs et d’autre part l’importance des rapports sociaux et rapports de force dans la mise en place et le respect de ces cadres normatifs.</br></br> Source : Extrait de Merlet Pierre, Pluralisme juridique et gestion de la terre et des ressources naturelles, Décembre 2010</br></br> Selon Étienne Le Roy, le droit des communs n’est pas celui de la propriété. Et l’on peut même considérer que non seulement les dispositifs sont différents mais que les conceptions mêmes de la juridicité sont différentes et que la juridicité des communs repose plus sur des habitus ou interactions entre usagers, ressources et usages socialement valorisés que sur des normes générales et impersonnelles (Le Roy, 2011, 2014, 2015).</br></br> Source : Extrait de Le Roy Étienne, Des Communs « à double révolution », Droit et société, 2016/3 (N° 94), p. 603-624. DOI : 10.3917/drs.094.0603.), p. 603-624. DOI : 10.3917/drs.094.0603.)
    • Tactical Chartering Manifesto/ Objectives to Tactical Chartering  + (should be clarified. Seems to me too vagueshould be clarified. Seems to me too vague</span></br></br>I wanted to emphasize that tactical chartering should be a fair process that allows people (from whatever situation they come from) to participate, vote, and be involved </br></br>yep. I agree. I think we need to find some words more clear for that because democracy should be "always" participative or should always involved the people, no ? </br></br>Maybe something like "equitable participation"? This will require some thought... But yes you are right about this</span></br>perhaps, it will be better to separate the 2 ideas : participation (involvment) and democracy (justice and equity) ? </span></br></br>To be based on participation processes .... bla bla bla </span></br></br>2) To be developped with pluralism and solidarity approach (or principle) </span></br></br>What do you think of participatory action research? </br></br>This is a good idea, I will look for some literature that explains this clearly and thoroughly. "Solidarity Approach" is a perfect way to explain what I was trying to say here, I like it very much...ect way to explain what I was trying to say here, I like it very much...)