« Charte de Lampedusa » : différence entre les versions
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|Description=En février 2014, la maire, Giusi Nicolini, accueillait une centaine de personnes, membres d'associations, militants, chercheurs, migrants, citoyens afin d'élaborer une charte1, point de départ d'une mobilisation, qui remet en cause la criminalisation des migrants, revendique le caractère inconditionnel des libertés fondamentales et notamment de la liberté de circulation, promeut une série d’instruments juridiques et de codes de conduite, et encourage les citoyens à résister contre les politiques répressives des États et de l'Europe. L'année suivante, à Palerme, le maire, Leoluca Orlando, élaborait une charte faisant de la mobilité internationale un droit humain inaliénable et déclarant citoyens honoraires tous les habitants de sa ville, y compris les migrants. | |Description=En février 2014, la maire, Giusi Nicolini, accueillait une centaine de personnes, membres d'associations, militants, chercheurs, migrants, citoyens afin d'élaborer une charte1, point de départ d'une mobilisation, qui remet en cause la criminalisation des migrants, revendique le caractère inconditionnel des libertés fondamentales et notamment de la liberté de circulation, promeut une série d’instruments juridiques et de codes de conduite, et encourage les citoyens à résister contre les politiques répressives des États et de l'Europe. L'année suivante, à Palerme, le maire, Leoluca Orlando, élaborait une charte faisant de la mobilité internationale un droit humain inaliénable et déclarant citoyens honoraires tous les habitants de sa ville, y compris les migrants. | ||
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Version du 29 novembre 2017 à 13:34
Dans la collection : Expérience italienne des communs urbains
En février 2014, la maire, Giusi Nicolini, accueillait une centaine de personnes, membres d'associations, militants, chercheurs, migrants, citoyens afin d'élaborer une charte1, point de départ d'une mobilisation, qui remet en cause la criminalisation des migrants, revendique le caractère inconditionnel des libertés fondamentales et notamment de la liberté de circulation, promeut une série d’instruments juridiques et de codes de conduite, et encourage les citoyens à résister contre les politiques répressives des États et de l'Europe. L'année suivante, à Palerme, le maire, Leoluca Orlando, élaborait une charte faisant de la mobilité internationale un droit humain inaliénable et déclarant citoyens honoraires tous les habitants de sa ville, y compris les migrants.
Métadonnées
Date de création | janvier 1970 |
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Langue du contenu | FR |
Pays | Italie |
Fait partie de | Expérience italienne des communs urbains |
Média | Texte |
Coordonnées géographiques | 35° 30' 31.03" N, 12° 35' 34.51" E |
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