Dynamiques interculturelles

De Remix Biens Communs
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la virgule sera notre devise

plus de vie entre parenthèses

point de point final à notre parole

virgule

virgule

rien que virgules

Noël X. Ebony

Objet de la page

  1. une présentation de la dimension et de l'aspect particulier sur lequel on travaillera au cours de cette itération (maximun une page, il peut y avoir des images)
  2. Une revue de ressources, pour nous inspirer, elle devra etre synthétique et documentée. Elle se compose d'une bibliographie, d'expériences, de personnes de ressources.
  3. la description du scénario de l'expérience que nous allons réaliser : comment se déroule l'expérience et comment elle sera documentée ?

Proposition : explorer la question de l'interculturel à travers 4 axes de travail :

Inscrire dans la mission de Remixbienscommuns « l'appropriation créative et collaborative du concept et des pratiques des biens communs dans une perspective interculturelle » soulève des questions et des défis d'ordre à la fois théorique, pratique/méthodologique et finalement technique. Ceci n'a pas échappé aux différents partenaires et si certaines des questions théoriques sont abordées dans les contributions ci-après, notamment la construction d'un nouveau sujet historique qui serait en quelque sorte « transculturel », cela ne prétend pas faire le tour du problème. On renverra sur le sujet à une bibliographie spécialisée.

Dans un projet comme le notre, la compréhension de l'inter-culturalité devrait puiser dans ce qui rapproche (ce qu'ont en commun!) le Remix et le Commun. Le Commun conçu sous l'angle de l' « en-commun » (du « commoning ») est plus de l'ordre du processus qu'un état ou un acquis. Il est donc nécessairement toujours mis et remis en question, et ses produits et ses résultats mis et remis en chantier. Le commun se définit et redéfinit en se fabriquant sans cesse par un être et agir ensemble. On pourrait en dire autant du remix. (Voir le Remix manifesto).

Penser donc que la question de l'interculturalité peut se résoudre dans un projet comme le notre par un simple fait de traduction serait commettre une grave erreur. Car si la traduction est nécessaire à une compréhension inter-culturelle (encore faudrait-il qu'elle soit une traduction qui n'impose pas les modes de pensée de l'une ou l'autre langue), elle n'est certainement pas suffisante à favoriser la fécondation des cultures qui, elle, est nécessaire pour construire ensemble du Commun qui puisse (pré)tendre à un nouvel « universel ». C'est pourquoi une proposition est faite d'explorer la dimension intercultrelle sous quatre axes.

Axe 1 : Internationalisation du projet

L'Internationalisation vise à permettre la constitution d'une communauté interculturelle autour du projet Remix.

Elle doit répondre aux attentes et demandes des personnes et organisations qui se montrent intéressées à utiliser et/ou contribuer à la plateforme ("commoners", activistes, associations, écoles des communs, réseaux ECC, médias) quelle que soit leur culture. Au delà de la dimension technique (traduction des outils, de la présentation du projet,du catalogue ) qui est incontournable, Il s'agit de réfléchir à la manière de donner une dimension interculturelle à la grille de lecture des biens communs proposée par le projet. Le catalogue est au coeur du projet. (à developper)

Axe 2 : Traduction

3 objets de traduction à prendre en compte :

  • les vidéos, les autres fichiersmédias
  • le catalogue de Remix Biens communs
  • la plateforme et sa documentation pour faciliter l'intégration de nouvelles personnes/organisations dans le projet

Proposition de méthode : documenter les actions qui stratégiquement devraient/pourraient être mise en oeuvre (de manière itérative, c'est à dire par cumul d'étapes simples pour créer un processus complexe.

TRADUCTION Principes et orientations stratégiques Propositions Technologies (Outils de traduction,...)
Vidéos et médias Offrir sur la plateforme les vidéos et autres médias jugés d'intérêt général en différentes langues

Mettre à disposition des partenaires et contributeurs des outils de traduction La traduction est liée à la transcription des documents.

il serait utile de commencer à recenser les vidéos selon leurs langues

sélectionner les vidéos à traduire (2à3 par partenaire)

Réaliser un recensement des outils de traduction.

Approches, moyens (Réseaux de traduction, ...) / Les tests, expériences, ...

Ressources pour/sur le sous titrage, la transcription et la traduction
Plateforme Traduire la présentation du projet et de ses outils afin de répondre aux attentes et demandes des personnes et organisations qui se montrent intéressées à utiliser et/ou contribuer à la plateforme ("commoners", activistes, associations, écoles des communs, réseaux ECC, médias) quelle que soit leur culture. Choisir les parties blog et du wiki jugées essentielles à l'utilisation de la plate-forme

Les traduire à l'anglais et espagnol

Offrir à des réseaux de traducteurs de les traduire dans d'autres langues

Catalogue Constituer un catalogue qui rende compte de l'inter-culturalité des fichiers multimédias contenus dans la plateforme intégrer les langues comme jeu de catégories dans le catalogue

Proposer un système générique de métadonnées qui réponde aux normes minimalement partagées au plan international [1] et [2]

Contribuer à la réflexion internationale de curation des ressources éducatives sur les Communs


Axe 3 : Inter-culturalisation des projets d'animation de Remix

Le projet "Petits déjeuners en commun" : travailler à partir de la matière produite lors des petits déjeuners en communs à Dakar et Montréal pour explorer comment on donne sens commun, comment cela devient une ressource partageable, ...

Axe 4 : Documentation des différents véhicules de co-création inter-culturelle des communs

L'art est sans doute l'un des plus puissants et facilement accessibles pour permettre dialogue et co-création. Il y en a d'autres à explorer du côté de l 'agriculture , du bien manger, de la co-création de produits manufacturés, etc.

Notes complémentaires

Contributions à la dimension

Susana Moliner et Marta Vallejo - Kër Thiossane

La dimension inter-culturelle de la conception de l'en-commun nous permet / pointe vers une nouvelle universalité. La possibilité de structurer des luttes contre la privatisation de biens dans différents coins du monde, donc avec des prismes culturels différents, ouvre le monde, et ses singularités, dans les discours des biens-communs. Remettre l'humain au centre, et assumer la nécessité des autres pour "être".

Cette perspective inter-culturelle passe "par la reconnaissance de la manière dont peuvent aujourd’hui se composer entre elles les différences...non pas de ce qui les rend identiques (puisqu’elles ne le sont pas) ou complémentaires (puisqu’elles ne sont pas les parties d’un Tout posé en amont), mais de ce qui, momentanément, ponctuellement, les articule ensemble dans un rapport de forces qui les détermine et dont elles cherchent à se déprendre...C’est par la reconnaissance d’un commun des enjeux de lutte que la construction de ce commun comme nouvelle forme d’universalité à venir peut se faire"[3].

C'est ainsi que nous croyons nécessaire de contribuer à la construction des définitions endogènes des biens communs, qui soient basées sur une pratique de partage et des vécus singuliers, à travers la perspective artistique. Nous parions sur la via artistique car elle demande un éloignement des pratiques sociales, très pertinent, pour la retraduction et réinterprétation critique des biens communs.

Donc, réfléchir ensemble à ce que signifie les biens communs depuis l'Afrique, via l'angle artistique, permet non seulement de "comprendre", mais aussi de sentir quel signification existe entre mon "je" et le "nous". Une expérience sensible qui permet de bâtir des récits capables de redonner du sens au fait de vivre ensemble. Des récits qui maintiennent en mouvement la communauté afin de de rendre du sens à sa propre existence et à sa propre lutte. Car si nous pensons, et nous assumons, la perspective de l'en-commun, il faut continuer à donner, à construire des expériences sensibles qui empêchent de nous raconter de manière finale et exclusive.

Pratiques de l'En-Commun

A partir de cette prémisse, les propositions de Kër Thiossane expérimentent d'autres modes de transmissions et des traductions de la thématique des Biens Communs. Le micro trottoir ; la pratique de la parole via les petits déjeuners [4] ; les performances ou autres types d'actions artistique (performance de Yassine).

En s'appuyant sur son expérience et ces pratiques, Kër Thiossane élabore une feuille de route pour explorer la dimension interculturelle du projet Remix The Comons / Remix Biens Communs. Le remix des Petits déjeuners en-commun sera le terrain privilégié de cette exploration.

AMBROSI Alain - Communautique

Précisons d'abord les termes: Le Bien Commun ou mieux encore "les Communs" équivalent à "commons" est le terme générique qui désigne le paradigme des communs avec ses valeurs, sa lecture du monde, ses pratiques; "l'en-commun" doit pour nous s'entendre comme le "faire en commun" équivalent de l'anglais "commoning".

Les Communs comme réponse à la crise de civilisation planétaire est nécessairement un en-commun inter-culturel qu'il faut construire avec comme horizon une nouvelle forme d'universalité qui, non seulement respecte les différences mais les valorise, les « agence » se fonde et se bâtit à partir d'elles.

Ce faisant, nous participons à un « processus de subjectivation » comme le dit Judith Revel ,c'est à dire à la constitution d'un nouveau « sujet historique », un nouveau « nous » de l'en-commun. Cette construction jusqu'ici inédite et qui ne peut être qu' « inauguration » , nécessite de penser l'interculturel de manière beaucoup plus radicale que le dialogue entre les grandes cultures comme nous l'entendons habituellement.

Nous devons concevoir l'interculturalité au sens large et parler plutôt d' inter-culturalités (local à global, ville à campagne, génération à génération, savoir pratique à savoir savant, art à « science », associatif à académique, et , bien sûr, « culture » à « culture », etc.). On pourrait même aller jusquà dire que l'inter-culturalité traverse les individus eux-mêmes et leur habitus. cf. par exemple la remarque de Sofia de N'Joussour au Maroc sur la difficulté de traduire le concept de bien commun en arabe dialectal alors que les pratiques sociales des communs sont portées dans son pays par les Berbères et donc mieux rendues en tamazight.

Ceci dit, on fera attention à ne pas tomber dans un relativisme post-moderne verbeux et à bien tirer les leçons des différentes formes d'universalismes issues de la pensée européenne qui ont , dans l'histoire récente, servi de paravent, voire de moteur à une domination mondiale mais qui, d'un autre côté, laissent une contribution qui peut servir d'horizon pour une nouvelle universalité avec les différentes versions des Droits de l'Homme (voir à ce sujet François Jullien et aussi Achille Mbembe).

Parler d'interculturalité pose nécessairement la question de la traduction et d'autant plus si on parle d' inter-culturalités au pluriel. Là encore , il faudra donner une définition de la traduction et trouver des formes et méthodes de traduction qui puissent respecter et valoriser les différences sans imposer une forme de pensée/lecture de la réalité à travers l'une ou l'autre des langues dominantes ou une seule lingua franca.

Le défi est alors celui du comment mettre en chantier les dialogues , traduction et co-écritures des multiples cultures pour construire l'en-commun.

Deux éléments me semblent à considérer ici :

  • Créer et multiplier des espaces de rencontres qui respectent les valeurs et les modes d'être et de faire ensemble des Communs;
  • Trouver et inventer des véhicules qui facilitent les dialogues et la co-création.

La contribtion de remixbienscommuns dans ce processus est déjà remaquable.

Les Petites déjeuners des Communs initiés au Sénégal, repris au Québec sont un exemple d'espaces de rencontres. Il y en a eu d'autres au cours des ateliers dans les Forums Mondiaux Sociaux, les rencontres avec le mouvement d'Économie Sociale et Solidaire, avec les groupes environnementalistes, les juristes, etc.

L'art comme véhicule a été choisi par Kër Thiossane. Il est sans doute l'un des plus puissants et facilement accessibles pour permettre dialogue et co-création. Il y en a d'autres à explorer du côté de l 'agriculture , du bien manger, de la co-création de produits manufacturés, etc.



AJOUTER LE OU LES LIENS VERS LES RESSOURCES DÉDIÉS À CETTE DIMENSION (SUSANA/MARTA/MARION) ET INCLURE LE PARAGRAPHE SUIVANT DANS CES RESSOURCES

Niveau technique : sur la traduction:

  • CF logiciels libres existants pour la traduction multilingues.
  • Voir compte-rendu Rencontre en Inde sur les médias communautaire (doc Frédéric) : Open video Summit India (dec. 2009)
  • Pad.ma : plateforme de vidéos

About Pad.ma (proposé par Shaina Anand et Ashok Shukaraman)

Pad.ma - short for Public Access Digital Media Archive - is an online archive of densely text-annotated video material, primarily footage and not finished films. The entire collection is searchable and viewable online, and is free to download for non-commercial use.

We see Pad.ma as a way of opening up a set of images, intentions and effects present in video footage, resources that conventions of video- making, editing and spectatorship have tended to suppress, or leave behind. This expanded treatment then points to other, political potentials for such material, and leads us into lesser-known territory for video itself... beyond the finite documentary film or the online video clip.

The design of the archive makes possible various types of "viewing", and contextualisation: from an overview of themes and timelines to much closer readings of transcribed dialogue and geographical locations, to layers of "writing" on top of the image material. Descriptions, keywords and other annotations have been placed on timelines by both archive contributors and users. At the moment, Pad.ma has 1105 "events" on video, mostly from Mumbai and Bangalore. This adds up to 22 days 10 hours 9 minutes 35 seconds of fully transcribed video footage, which we expect to grow to more than 600 hours by late 2012.

The Pad.ma project is initiated by a group consisting of 0x2620 from Berlin, the Alternative Law Forum from Bangalore, and three organisations from Mumbai: Majlis, Point of View and Chitrakarkhana/CAMP.

It was supported at its inception by a seed grant from HIVOS. Currently Pad.ma is supported by the Bohen Foundation and the Foundation for Arts Initiatives.


Etudier les logiciels de sous titrage libres

Cf Kerstin, Alain, Olivier Henry

Problématiques des langues orales : pular.... (Kerstin)

Penser à la radio


Niveau technique : sur l'internationalisation:

Hermann Aguessy - Kër Thiossane

Quelques remarques techniques

Dans le cadre de réaliser une plateforme de cataloguage pour video sur les petits déjeuners en communs, plusieurs approches techniques ont été faites. Pour l'interculturalisation, des traductions de videos ont été entamé et l'outil utilisé est le site "amara.org". Cet outil s'est avéré  satisfaisant pour le sous titrage des videos en plusieurs langues surtout parce qu'il génère un code embed qui permet d'intégrer la video et d'avoir en même temps toutes les langues.

Le seul petit problème presque insignifiant est que son code embed est un script. Pour la disponibilité de toutes les videos sur une plateforme multilangue avec des fiches standards rééditables pour chaque video, une catégorisation bien élaborée; deux outils ont été utilisé. le premier fût la plateforme de mirocommunity (www.mirocommunity.org) testée dans toutes ses fonctionnalités par SULTAN Frédéric, le deuxième: Wordpress.  La remarque faite est que la plateforme de mirocommunity limite la plateforme: pas de possibilité de plateforme multilangue, pas de possibilité d'éditer une fiche catalogue par video,etc.. 

L'une des solutions pour palier à cela pourrait être de mettre à jour la plateforme vers les offres payantes, qui ne garantissent pas forcément de larges fonctionnalités pour réaliser une plateforme comme on le veut(toutes les exigences). Cela dit, mirocommunity pourrait peut être faire l'affaire après paiement pour les offres premium mais nous n'en savons rien. 

Wordpress est un gestionnaire de contenu assez populaire et qui n'a presque pas de limite, du moins pour la plateforme que nous avons envie de faire. Il permet le multilinguisme de la plateforme, le visionnage des videos, l'édition à volonté de fiche catalogue, la géolocalisation des lieux où ont été faites les videos. Une plateforme basée sur la gestion avec wordpress est en cours de réalisation afin d'explorer toutes les possibilités par rapport à toutes les exigences de la plateforme voulue. Pour ce qui est fait pour l'instant; on peut affirmer que wordpress pourra répondre aux attentes de la plateforme video des petits déjeuners en commun.


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= Propositions pour les axes internationalisation & animation et pour l' axe Interculturel à partir des recommandations de Fabien Cornut - Expert gestion projets numériques / design graphique

Pour réfléchir à comment faciliter les axes internationalisation et animation du projet Remix, Kër Thiossane a fait appel à l'expertise de Fabien Cornut, expert en gestion de projet numérique, technique et graphique / artistique.

Selon nous, l'internationalisation du projet Remix The Commons passe nécessairement par la réalisation d'un site de visualisation des vidéos un peu plus “sexy” que le blog actuel ou le wiki qui a une autre fonction.

Selon Fabien Cornut, il est nécessaire de concevoir un site dédié au projet Remix The commons, dont la vocation première serait "l'universalité", c'est à dire un site très accessible, au développement Html5 et géré par un CMS, dont l'interface doit être claire.

Cela n'exclut pas l'utilisation et la conservation des espaces web déjà créés (wiki, site KT, blog), mais l'essentiel doit être concentré sur un seul espace, permettant la compréhension du projet, et surtout son utilisation par un public très large. ' Les contenus principaux sont les vidéos, qui doivent être visibles rapidement, sous forme de fiches, avec les informations associées à ces vidéos. La possibilité de les télécharger, de les remixer, doit être claire, et les interactions (nombre de téléchargements, de remix) doivent être rapidement lisibles.

Le reste de l'information (how to, historique du projet, liens vers le wiki etc) sont également essentielles, mais secondaires dans le rapport du visiteur à l'interface. Elles doivent être accessibles rapidement, mais l'accroche du site doit-être faite par les vidéos.

Un bonne référence pour ce site est le site de crowsfunding kisskissbankbank :

http://www.kisskissbankbank.com/fr/discover

Fabien nous a également montré deux autres sites dans le même esprit, avec des interfaces claires, intuitives, différents médias proposés (vidéos, podcast...) :

http://www.r2sciences42.com/

et

http://www.kaleido-scop.com/


Sur KissKiss bank, les projets y sont très visibles, présentés par fiches, et le fonctionnement du site, présent dés la première page, reste discret, ou secondaire. Il est nécessaire que le site "ressemble" aux sites "actuels", qui permettent de linker facilement les contenus, de les partager sur les réseaux sociaux etc.

Il est important de tenir compte du fait que le wiki ne représente pas un accès évident pour le grand public et de possible contributeurs. Il doit persister, être visible depuis le site principal, mais représente d'avantage l'historique du projet, son essence, et la partie vivante et visible de sa gestion par ses auteurs.

Une idée, émergée suite à notre réunion avec Fabien, serait de maintenir des liens wiki pour chaque vidéo, pour garder l'aspect contributif et évolutif de l'histoire de ses vidéos remixées, intégrant les commentaires, les liens etc… dans un esprit plus libre (mais aussi plus brouillon), qu'il est nécessaire d'exclure du site principal.

Il est possible de concevoir un site "from scratch" avec son propre CMS (plus long, plus cher) ou d'utiliser une architecture wordpress, dont les nombreux plug-ins (dont ceux dédiés à la vidéos et à la traduction) sont précieux par rapport à l'objectif du projet.

Fabien revient sur le fait que la hiérarchisation des "sites web/outils" relatifs à Remix The Commons doit être bien réfléchie. Au delà de ce site générique d'autres site sur les “outils” comme les petits déjeuners ou sur ce qu'Alain nomme “des véhicules” des biens communs peuvent également exister. Ces “véhicules” comme l'art que Kër Thiossane a choisit comme porte d'entrée des biens communs ou d'autres comme l'agriculture, le bien-manger- les fablabs avec la co-création de produits manufacturés permettent le dialogue et la co-création.

Des espaces webs dédiés à ces outils peuvent être développés en parralèle et proposer aux publics de mieux s' approprier ces outils, de les réutiliser à leur manière. Ces autres sites serviront à éclairer et animer le concept "biens communs". Ils seront visibles sur le site général Remix The commons via des liens. Ils serviront l'axe interculturel du projet Remix The Comons.


Cette hiérarchisation, cette sectorisation, doit avoir l'avantage de clarifier l'offre et les fonctions des outils mis en place, assez différents d'un projet à l'autre, et assez difficiles à rassembler.


Au delà de ces premières recommandations, Fabien Cornut peut proposer des pistes de développement numériques cohérentes, que nous serions ensuite libre de choisir ou de suivre pour le site général comme pour des sites dédiés au outils.

La livraison d'un première version d'un site pour mai présentable à la Conférence des Communs à Berlin, serait ambitieuse, mais réalisable. Néanmoins, un tel projet nécessite un temps plus long d'élaboration, pour miser sur la qualité de sa réalisation et la mise en place pertinente des outils nécessaires, issues d'un cahier des charges précis, que Fabien se propose d'établir ensemble. Possibilité selon le choix de collaborer avec l'équipe de développeurs Java de Ninja Squad (http://ninja-squad.com/).