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TitreTitreBlogueDescriptionExtraitCatégorieType de documentCatégorie HessEnjeuAction du typeRésultatURL de l'articleCatégorie d'articleDate de modification« Date de modification <span style="font-size:small;">(Modification date)</span> » est une propriété prédéfinie fournie par <a rel="nofollow" class="external text" href="https://www.semantic-mediawiki.org/wiki/Help:Special_properties">MediaWiki Sémantique</a> et qui correspond à la date de la dernière modification d’un sujet.Date de modification Blogue
Bienvenus aux petits déjeuners en commun !

Jeudi le 2 février, tôt le matin, quelques quinze têtes ensommeillées se sont mises à penser sur les biens communs. S'agit-il de ce qui n'appartient à personne ou plutôt ce qui appartient à tout le monde ? S'agit-il de biens à protéger ou de biens à créer ? Vers la fin de la séance, le sommeil s'est évaporé à force de boire du kinkeliba mais les interrogations persistent. Ensemble nous avons décidé de nourrir un nouveau regard artistique avec ces doutes, et de remplir nos ventres avec des gâteaux.

Pour plus des informations: http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article99

Catégorie:Objet médiaVidéoDéfinir les communs14 décembre 2017
Blockchain, une architecture du contrôle

Un docu-design autour de la blockchain présenté dans le cadre d'un travail de recherche de spatialisation des enjeux du numérique, «L’Atlas critique d’Internet» qui se décline sous les formes multiples : site internet, livre et exposition.

Il présente cette infrastructure nouvelle, qui bien que prometteuse, pourrait potentiellement se transformer en architecture du contrôle. La chaîne de blocs publique est encore décentralisée et démocratique. Mais qu’en est-il des blockchains privées ? Cette même architecture « rétablit un contrôle du haut vers le bas », « un système classique pyramidal », qui intéresse déjà les investisseurs et les banques, affirme la jeune designeuse

Catégorie:Objet médiaVidéoInternetArchitecture
Blockchain
Contrôle citoyen
Cartographie30 décembre 2017
Bo'ness UOG Community DiscussionThis document shows the community discussion taking place in the territory of Bo'ness, in Falkirk. The discussion took place in May 25th, 2017 and hosted a total number of 50 attendees. Themes in the discussions included quality of jobs, cheaper energy for consumers, impacts of environmental and public health, local geological impacts, lack of regulation, exploitation, and economic disbenefits. The overall result of these discussions was that the presence of unconventional oil and gas drilling would not be beneficial to the community, but would instead harm the community. The bottom of this document includes a formal request by the community to respect their position in the decision to allow or disallow conventional oil and gas drilling in the area.Catégorie:Objet médiaTexteDémocratie participative
Co-creation
Socio-ecological memoryPreservation22 janvier 2018
Boite à outils pour faire Ecosystème des communsIdentifier et mettre en relation les différents modèles, méthodologies, pratiques et outils pour faire écosystème des communs.Catégorie:ProjetExpertise citoyennePolitique des communsAtelier
Apprentissage en commun
Boite à outils sur les communs28 mars 2023
Bonnybridge UOG Community Discussion OutcomesThis document shows the community discussion taking place in the territory of Bonnybridge, in Falkirk. The discussion took place on March 23rd, 2017 and hosted a total number of 70 attendees. Themes in the discussions included jobs, cheaper fuel for the consumer, government income, land-ownership, pollution, traffic, climate change, unstable hydrogeology, ineffective regulation, and health impacts. The overall result of these discussions is a general refusal on the part of the community to accept a social health license for the unconventional oil and gas industry and a demand to respect this decision.Catégorie:Objet médiaTexteDémocratie participative
Co-creation
Socio-ecological memoryPreservation22 janvier 2018
Building Communities of Commons in Greece

La région de Sarantaporo, située au nord de la Grèce, est une région agricole et d'élevage touchée par la crise. Mais avant même la crise, l'attention de l'État sur la région était inexistante. Les jeunes migraient vers les grandes villes ou à l'étranger. Il n'y avait pas de connexion Internet, et la population locale était isolée et privée de services de base comme l'aide médical.

En 2010, un groupe de personnes décide de mettre en place un réseau sans fil communautaire visant à relier les villages entre eux et avec le reste du monde. Avec le temps, et à mesure que le projet grandi, la communauté Sarantaporo.gr devient de plus en plus ambitieuse. Ses membres veulent être les catalyseurs locaux qui (ré)organisent des coopératives basées sur le réseau sans fil, et (re)dynamisent l'économie, la rendent durable, tournée vers l'extérieur et indépendante du contrôle étatique et du secteur privé.

Ce faisant, ils produisent des connaissances et établissent des ponts entre la technologie hi-tech d'une communauté en réseau numérique et les défis de la vie réelle d'une communauté rurale.

Quels sont ces défis ? Comment une communauté peut-elle naître et se transformer ou toucher les personnes réelles ? Quelles sont les histoires des personnes impliquées d'une manière ou d'une autre dans ce processus ? Comment les efforts d'une modeste population rurale, située dans une partie éloignée de la Grèce, menacée par la crise, permettent-ils de se relier à un projet de TIC de l'université de Catalogne, et de construire un nouvel espace d'entente entre les peuples en Europe ? Autant de question explorées dans le documentaire.

En octobre 2015, en collaboration avec l'équipe Sarantaporo.gr, le collectif Personal Cinema a lancé une campagne de crowdfunding sur la plate-forme espagnole goteo.org afin de collecter des fonds qui permettront la réalisation de ce documentaire.

Catégorie:Objet médiaVidéoEspace public
Communauté villageoise
Internet
Économie sociale
Participation
Coopération internationaleDémocratie locale
Transition numérique
15 février 2018
C4R - Cultures For ResilienceLe projet C4R vise à favoriser des sociétés européennes résilientes et inclusives en développant des pratiques culturelles participatives de résilience et en assurant la transversalité sociale. Nous cherchons à utiliser la culture pour renforcer les pratiques de résilience de ces populations et leur appropriation de nouveaux outils pour des sociétés durables et résilientes.Catégorie:ProjetRésilience communautaireCulture des communsProduction culturelle et artistique
Recherche action
Publication
Communauté13 janvier 2023
Cagette - Système de garantie participatif des AMAPExtrait de «ACTES D’UNE RECHERCHE - ACTION EXPERIMENTALE - Le monde associatif aujourd’hui : évaluation ou managérialisation ? » Printemps 2016Catégorie:Objet médiaTexteAlimentationSouveraineté alimentaireSystème de garantie participatifAssociation pour le maintien d'une agriculture paysanne8 novembre 2020
Cahier de propositions en contexte municipalCahier de propositions politiques pour les communs dans le contexte municipalCatégorie:Objet médiaMultimédiaPolitique des communsAction collective
Action publique
Co-production des politiques publiques6 février 2020
Cahiers de propositions politiques des communs

Les Cahiers de propositions politiques pour les communs visent à rendre visibles et intelligibles dans l'espace publique la variété des outils basés sur l'expérience acquise et la recherche des commoners ainsi que leurs formes de plaidoyers.

La transformation sociale et écologique ne dépend pas seulement de la dissémination d’expériences singulières. Pour organiser une société qui fait place aux communs, qui permette de reproduire ces activités, les commoners doivent substituer aux outils techniques et normatifs qui sont au service du néolibéralisme, des alternatives qui s’opposent aux logiques propriétaires-rentières et à la financiarisation de l'espace public, ces deux formes complémentaires d’accaparement et d’extractivisme.

Catégorie:Objet médiaCollection13 août 2022
Camp Pixelache 2014: remix of the CommonsUn "remix" documentaire du Camp Pixlache qui s'est déroulé à Vartiosaari, en Finlande, réalisé par Maria Candia et Kalle Kuisma avec les commoners interviewés par AMBROSI Alain et SULTAN Frédéric du projet remixthecommons.org.Catégorie:Objet médiaVidéoBiens communs culturelsDéfinir les communsFestival13 janvier 2019
Campus in campsL'identité du camp intègre les soixante cinq années d’exile des habitants du camp. Elle joue avec l'urbanisme du camp et le transforme "du pur espace humanitaire à un espace politique actif" où peut s'exprimer le droit au retour.Catégorie:Objet médiaFicheEspace public
Camp
Droit au retourProjet urbain27 janvier 2019
Candice Lafarge : L’humain au coeur du travail en santéTémoignage de Candice Lafarge, aide-soignante en service de réanimation médicale et co-fondatrice du Collectif Inter-Urgences, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.Catégorie:Objet médiaVidéoHôpital
Santé
Soin
Accès
Gouvernance de Remix the Commons
Travail
Protection sociale8 septembre 2021
Canicules, feux, inondations : comment éviter le pire ?Magali Reghezza, géographe et membre du Haut Conseil pour le climat, se focalise sur les risques climatiques dans la mesure où de plus en plus chaque année les impacts des vagues de chaleur, des sécheresses ou des inondations s’aggravent, avec des conséquences toujours plus fortes pour la santé humaine et l’économie. Reghezza nous propose des mesures à prendre pour être, d'un côté, moins vulnérables aux feux de forêts, aux inondations, aux vagues de chaleur et, de l'autre, pour envisager un futur différent.Catégorie:Objet médiaVidéoChangement climatiqueGouvernance des ressources naturelles
Crises de l'eau
Sécheresse
Gestion de criseTransition écologique27 avril 2024
Caractéristiques des communs et de leurs enjeux selon Carlo VercellonePrésentation des travaux du projet européen D-Cent par Carlo Vercellone lors de la séance de préparation de la journée dédiée au thème Communs et puissance publique qui sera organisée le 30 janvier 2016. Le rapport D-Cenbt est accessible à : http://www.nesta.org.uk/sites/default/files/d-cent_managing_the_commons_in_the_knowledge_economy.pdfCatégorie:Objet médiaAudioMode de production
Puissance publique
Contestation du fordisme
État
Histoire des communs
Travail
13 janvier 2019
Carnet de bord Les Bouillons, Terres d'AvenirUn récit du combat pour la sauvegarde de la Ferme des Bouillons à partir de film et reportages, interviews et archives, réalisé avant et après l'expulsion de l'Association de Protection de la Ferme des Bouillons (APFB) et au cours de l'année suivante jusqu'à la "Faîtes du Printemps" 2016.Catégorie:Objet médiaVidéoFoncier agricole
Agriculture
Droits à la terre
Agriculture durable
Accès à la terre
Accaparement des terres
10 février 2017
Carnet de voyage de la recherche-action au ShakirailLe "Carnet de voyage" de la démarche de recherche-action du Shakiraïl et des habitant·e·s consiste à documenter le projet dans une perspective de commoning.Catégorie:ProjetTerritoire
Ville
Espace de travail
Participation citoyenne activeRecherche participativeCulture de démocratie participative4 mai 2024
Cartographie du non accueil à ParisCapsule vidéo sur « une carte traumatique de Paris » celle des campements et squats constitués autour des migrant.es, réfugié.es, et éxilé.es depuis juin 2015. Pensée à partir d’un diagnostic issu du terrain, cette carte a pour but d’ouvrir à la ville et à ses usagers d’autres récits possibles, par superposition de données, d’histoires, d’expériences et parfois d’absurdités vécues sur le terrain. Elle tente de raconter la ville selon les migrant.es et les soutiens, usagers urbains invisibles à l’imaginaire venue d’ailleurs et à l’espoir chevillé aux corps. En creux, elle espère poser les premières bases de ce que serait, vu d’ici, de la rue, « une ville refuge » coincées entre urgence humanitaire et développement urbain.Catégorie:Objet médiaVidéoVille refuge
Migrant.e
Camp
Espace public
Hospitalité
Non-accueilCommuns urbains27 janvier 2019
Catalunya en Comú - Building a country in common(s)Interview with Joan Subirats - Barcelona, April 20, 2017
Entrevue avec Joan Subirats. Barcelone, 20 avril 2017
Catégorie:Objet médiaArticleBarcelona en Comú13 juin 2024
CECOSESOLACecosesola est une coopérative du Nord du Venezuela, expérience d'auto-géstion sans hiérarchie participative, qui accueille différentes activités, un supermarché social, un hopital… L'organisation met au centre l'etre humain et expérimente une économie en commun.Catégorie:Collection
Catégorie:Objet média
Collection30 juin 2022
CECOSESOLA : vivir lo comùn dia a diaUne entrevue de Jorge Rath et Noel Vale Valera réalisée par AMBROSI Alain à la Conférence sur l'économie des Communs de Berlin en mai 2013.Catégorie:Objet médiaVidéoMarché
Hôpital
Sécurité alimentaire
Organisation villageoise et sociale
Économie sociale
Solidarité
Auto-organisation
12 février 2017
Cecosesola ou l'autogestion totaleAutogestion et coopérativisme intégral : une expérience sur la durée à l’échelle de la communauté. Coopérative de Barquisimeto (nord-est du Venezuela), au fonctionnement totalement autogestionnaire. Plus de 1200 travailleurs, aucun chef, aucun gérant, aucune structure hiérarchique, énormément de participation, de confiance et d’apprentissage, une rotation constante dans tous les postes de travail … et bien plusCatégorie:Objet médiaVidéoMarché en commun
Communs de voisinage
Travail collectif
Autogestion
Travail
Communauté
13 novembre 2017
Ceux qui sèment

Mais quelle est donc cette agriculture familiale qui emploie plus de 40% des actifs du monde et produit 80% de l’alimentation mondiale ? Et à quelles conditions peut-elle répondre aux enjeux de demain? 40 étudiants en agronomie ont choisi d'y répondre en réalisant un film documentaire de 52 minutes. En passant par l’Inde, la France, le Cameroun, l’Équateur et le Canada ce film évoque les avantages ainsi que les limites associés au caractère familial de l’agriculture.

Une invitation au voyage et à la réflexion, pour un public de tout âge et tout horizon.

Catégorie:Objet médiaVidéoCommuns traditionnels
Agriculture
Alimentation
Sécurité alimentaire
Souveraineté alimentaire
Agriculture vivrière28 décembre 2017
Chapitre 1 : Soin empêchéQu'est-ce que le soin ? Professionnels de la santé et chercheurs s'interrogent sur l'activité de soin aujourd'hui, une activité qu'au fil des années a été soumise à plusieurs contrainte. C'est pour cela qu'il faut remettre au centre la qualité du soin, ce qui implique reconnaître et valoriser toute une série de gestes et d'attentions invisibilisées et pourtant indispensables. Il s'agit, en effet, de tout ce que, sans être forcement rentable, donne du sens à l'expérience du soignant et du soigné.Catégorie:Objet médiaVidéoHôpital
Santé
Soin
Travail invisible
Travail empêché
Santé communautaireQualité des soins5 décembre 2023
Chapitre 2 : La santé sous pression néo-libéraleParmi les secteurs les plus touchés par les politiques néolibérales des dernières décennies, le domaine de la santé a été objet de transformations profondes. Les mots d'ordre étant financiarisation, privatisation, performance et évaluation, il en a découlé que les conditions de travail du personnel soignant se sont de plus en plus dégradées sous l'impératif de l'efficience économique et de la rentabilité.Catégorie:Objet médiaVidéoHôpital
Santé
Soin
Collectif de travail
Domaine public
New public management
Souffrance au travail
Néolibéralisme
5 décembre 2023
Chapitre 3 : Auto-organiser le soin en communL'urgence de la crise du Covid a créé une situation où les professionnels de la santé ont pu dans beaucoup de cas reprendre le contrôle de l'activité soignante en implémentant des formes de gouvernance participative et centrées sur le service offert à la population. Qu'est qu'il faut retenir de ces expériences pour les prolonger au-delà d'une situation exceptionnelle ? Comment se charger collectivement du soin et faire de la santé une véritable commun ?Catégorie:Objet médiaVidéoHôpital
Structure de gouvernance
Santé
Soin
Forme de gouvernance
Relation Ville hôpital
Gouvernance participative
Santé communautaire
Coopération au travail
Démocratie sanitaire
Communs de la santé
5 décembre 2023
Chargement/Site 2#_0048a015c5cb546e80a14eb56f6f81c1Bénin in commons

Background

In fall 2012 , I was invited to accompany a group of thirteen teenagers in an intercultural and humanitarian experience as a documentary filmmaker. Organized by the Department of animation to the spiritual life and community involvement of Collège Sainte-Anne de Lachine, stay took place in Benin (from 4 to 22 January 2013) with the Society of African Missions. My mandate : make a film about the Benin experience. Being at that time in Communautique, humanitarian trip was an opportunity to build relationships with my workplace. So I proposed the creation of video clips on the commons in Benin.

To prepare for the experience abroad , there were two training camps. I prepared video workshops for imparting technical knowledge to experiment with youth and to script the vision of the video project. In the second camp, the notion of the common good has been addressed in parallel with the presentation Remix the Commons. I invited the young people to choose three themes that challenged them . They identified water , education and culture. These later became the subjects of discussions and observations to document our trip .

Stephanie L. Berube

documentary filmmaker

 

Final Draft : Benin Commons

The project resulted in a series of five video clips , made from material collected , which opens opportunities remix .

Chapter intangible culture

History of spiritual practices , the common good is also reflected in the way people come together to support the intangible culture of their nation and of our humanity.

The home

What is the role of history in our understanding of democracy , human rights and ultimately the common good? How the past can explain the realities of today and make us think about the future ? In this video, the history of slavery in parallel (and in opposition ) with the notion of « home » in order to improve our understanding of the freedom of African countries and Africans. Where the home he starts ?

« The home is a birthright that nobody has the right to rape because it is the source of love , happiness , freedom of action , freedom of expression. I think the home begins in the home. [ … ] It refers to the court, the environment, locally, nationally organized . « ( Intervention introduction :  » How far are you from home breakfast joint in Kédougou « directed by Anne- Julie Rollet and Kër Thiossane in collaboration with The Companyia ? )

The invisible world

Shot during the International Day of Voodoo in Benin, this video presents a discussion with young people about their perception and understanding of the religious holiday. The ethnographic nature of this video shows the diversity and complexity of the opportunity to reflect on the intercultural approach in terms of public goods and metaphysics through questions such as: Where do your ideas come from the world ? How are they reflected in your actions , your integrity and , therefore, your approach to the common good ?

 

Future development

Currently , this personal project is completed. Nevertheless, it has the potential for development and reuse to address common property in Africa or intercultural perspective of the commons .

The material can be used for remixes .

The caps on the water could be used in video projects on water according to different countries . For example, do a remix of  » Sô- AVA et ses heaurizons  » of Benin Commons and « Ô Saint-Laurent : une histoire de culture et d’appartenance » Communautique .

The chapter on education offers interesting material to cross in a global consideration of the diversity of projects and realities of education.

The two videos in the  » culture » deserve to be improved with new equipment to better frame the discussion ( what is a common good intangible cultural ? ) And thus clarified. Also, a remix can put parralèle new audiovisual materials that illustrate other examples.

The videos will be subtitled in French for web accessibility for deaf people , but could also be translated into English.

 

Collaborators

And editing: Stephanie L. Bérubé .

Camera: collective shots ( thirteen youth group *) , under the direction of Stephanie L. Bérubé .

* Anne -Julie, Amélie , Ariane , Cassandra , Cedric , Charlotte, Daphne , Elaine , Matthew, Marika , Nathaniel , Roxanne and Zoe.

Accompanying Martin Chevalier François Gnonhoussou

 

Funding

Production Communautique , with the support of the Department of animation to the spiritual life and community involvement ( SAVEC ) of the Collège Sainte-Anne de Lachine.

 

Contribution to the project ( Remix Benin Commons )

The existence of such a project Remix common good has been the driving force in creating the vision of Benin common good as what his presence is a lever to the documentation of the common good . Remix the Commons also facilitates the re- use of the material produced as part of Benin Common Good.

Background In fall 2012 , I was invited to accompany a group of thirteen teenagers in an intercultural and humanitarian experience as a documentary filmmaker. Organized by the Department of animation to the spiritual life and community involvement of Collège…

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Projets passés et présents
Vidéos
2 novembre 2020
Chargement/Site 2#_0124e064cdc4f6dae4c839031a58c20dFLOK Society, un projet de recherche pour la transition en Équateur

Comment traduire les communs en processus de transformation systématique de la société ? L’équateur lance une initiative qui vise à faire se rencontrer les hackers et les communautés indigènes autour du partage de la connaissance.

Traduction de l’<a href="http://floksociety.org/2013/09/18/michel-bauwens-arriba-al-ecuador/">article original : Michel Bauwens arriba al Ecuador</a>.

FLOK Society souhaite la bienvenue à Michel Bauwens en Equateur. Michel Bauwens, l’un des fondateurs de la Fondation P2P, est arrivé à Quito le 17 septembre pour participer au projet de réinvention fondamentale de l’Equateur. Bauwens dirigera une équipe de recherche qui se propose de déclencher un processus participatif mondial avec une mise en œuvre immédiate en Equateur. Le processus vise à retourner aux racines de l’économie équatorienne, pour déclencher une transition vers une société de la connaissance libre et ouverte.

Au cours du premier semestre de 2014, Michel Bauwens participera à la mise en place d’un réseau mondial de chercheurs sur la transition. La Fondation P2P est un réseau mondial de chercheurs qui documente le passage à des pratiques ouvertes, participatives et basées sur les communs dans tous les domaines de l’activité humaine, et plus particulièrement dans celui de la connaissance et du code ouvert, et le passage à la coopération en matière de conception ouverte, de production ouverte, de science ouverte, de gouvernement ouvert, d’agriculture ouverte et production ouverte qui ont un fort potentiel d’amélioration des processus agricoles et industriels durables.

L’Equateur est le premier pays à s’engager dans la création d’une société basée sur la connaissance ouverte comme biens communs. Afin de réaliser la transition vers un « bien savoir », ou une société de «bonne connaissance» <a href="http://plan2009.senplades.gob.ec/web/en" rel="nofollow">http://plan2009.senplades.gob.ec/web/en</a>, qui est une extension de la stratégie officielle pour une société basée sur le « buen vivir ». L’Institut d’études avancées (IAEN sigle espagnol ) à Quito, Équateur, dirigé par le recteur Carlos Prieto, a lancé un processus stratégique, appelé Project Society FLOK, qui vise à organiser une conférence internationale en Mars 2014 et produire 10 documents stratégiques proposant des politiques de transition vers une société de la bonne connaissance, qui sera présenté aux citoyens équatoriens à travers des processus participatifs intensifs, semblables à ceux qui ont eu lieu lors de la rédaction de la nouvelle Constitution et les plans nationaux ambitieux, qui fixent les orientations de la politique du gouvernement.

Alors que le Buen Vivir vise à remplacer l’accumulation aveugle de la croissance économique par une forme de croissance qui profite directement au bien-être du peuple équatorien. Buen Saber vise à créer des communs de la connaissance ouvert qui faciliteront une telle transition. FLOK signifie « Free Libre and Open Knowledge ». Pour établir ces nouvelles orientations et documents, IAEN s’est mis en lien avec le mouvement international hacker et logiciels libres, mais aussi avec ses extensions à travers les nombreuses initiatives pairs à pairs qui ont pour objectif de constituer un corps de connaissance pour la production physique dans l’agriculture et l’industrie.

La base de connaissances de la Fondation P2P met également l’accent sur la documentation des nouvelles politiques et des cadres juridiques mis en place par les villes ouvertes au partage, telles que Séoul, San Francisco, et Naples, et les régions telles que Bordeaux, Open Commons Region de Linz, en Autriche, au Soudan du Sud, le Cabineto Digital de Rio del Sur, et plus encore. La base de données de 22.000 initiatives sur les communs à travers le monde a été vu près de 25 millions de fois et attire 25.000 chercheurs, activistes, utilisateurs et des lecteurs chaque jour. Michel Bauwens est également l’auteur d’une synthése de l’économie collaborative, l’expert externe pour l’Académie pontificale des sciences sociales, un membre du Forum Hangwang à Chengdu qui étudie la viabilité industrielle, et s’est engagé dans un projet de recherche de l’Université Leuphana sur la démocratie liquide numérique. En tant que membre fondateur et partenaire du Commons Strategies Group, il a co-organisé deux réunions mondiales sur les biens communs, la dernière en mai 2013 à Berlin a été dédiée au domaine émergent de l’Économie basée sur les communs.

En Mars 2013, la Fondation P2P a organisé un « wikisprint hispanique mondiale» , avec l’aide de l’activiste ispano-brésilien Bernardo Gutierrez, au cours de laquelle plus de 500 participants individuels et collectifs, dans plus de 60 villes et 23 pays, ont cartographié les initiatives P2P, de partage et de biens communs dans leur région et les zones d’activités , permettant l’interconnexion d’un réseau de militants et d’universitaires latino-américains.

IAEN estime que la collaboration entre les communautés hacktivistes, la Société FLOK et les réseaux mondiaux et hispaniques actifs dans la construction des biens communs ouverts sera essentielle pour créer une synergie avec les acteurs locaux de la société équatorienne, et aidera à atteindre le but que le pays s’est donné.

Traduction de l’article <a href="http://floksociety.org/en/2013/09/18/michel-bauwens-arriba-al-ecuador/">Michel Bauwens arrives in Ecuador</a> par F. Sultan

Comment traduire les communs en processus de transformation systématique de la société ? L’équateur lance une initiative qui vise à faire se rencontrer les hackers et les communautés indigènes autour du partage de la connaissance. Traduction de l’article original :…

https://www.remixthecommons.org/?p=2803Articles
Projets passés et présents
Vidéos
27 août 2020
Chargement/Site 2#_01990abdcbe2ad6533a7a94f893d5e0bPhilippe Minard : la Guerre des Forêts et les communs

Interview de Philippe Minard sur l’ouvrage de l’historien britannique E. P. Thompson: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, traduit et publié en français en 2014.

<iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe>
<a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard. Boîte à Idées</a> par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a>

A propos de la Guerre des Forêts, de Edward P. Thompson

L’ouvrage, paru à Londres en 1975, est une enquête vivante d’histoire sociale : au début du XVIIIe siècle, un conflit oppose, d’un côté, les propriétaires et administrateurs de la forêt – celle de Windsor notamment – et, de l’autre, ses usagers. Au point qu’une loi promulguée en 1723 punit de mort certains des usages coutumiers : ce « Black Act », ainsi nommé parce que les braconniers se couvraient le visage de suie, est particulièrement impitoyable : si un vol de cerf est un crime capital, l’abattage de jeunes arbres ou la mutilation du bétail peuvent conduire aussi la potence. Les habitants des forêts opposent, à cette répression « sanguinaire », le droit coutumier des usages collectifs (droits de pâturage, d’extraction de tourbe, d’abattage et de ramassage du bois…).

Ainsi, outre la mise en place d’une évidente « politique de classes », ce que Thompson, grande figure intellectuelle inspirée par le marxisme et pionnier de « l’histoire par le bas », nous oblige à penser, c’est un monde dans lequel survivaient, avant que le XVIIIe siècle ne les arase au profit d’une conception exclusive, des modes et des degrés de propriété fort différents : « Ce qui était en jeu, écrit-il, (…) c’était des définitions concurrentes du droit de la propriété : pour le propriétaire terrien, l’enclosure ; pour le petit paysan, les droits collectifs ; pour les autorités de la forêt, les “chasses gardées” des cerfs ; pour les habitants des forêts, le droit de prélever de la tourbe ».

Selon Philippe Minard, c’est l’un des aspects les plus frappants de cet ouvrage : « Thompson nous aide à penser la diversité des régimes d’accès possibles, tout ce qui existe entre la propriété individuelle et l’absence totale de propriété. » Resurgi dans les années 1970, à la faveur de l’écologie (quand il a fallu déterminer à qui appartenaient les forêts, les océans ou encore l’atmosphère, en passe d’être durablement souillés), ce questionnement s’est poursuivi avec le développement d’Internet. Depuis la fin des années 1990, des activistes se battent contre tout ce qui entrave la circulation et l’appropriation collective des connaissances, en faisant explicitement référence aux pratiques des droits collectifs et des commons. Il se déroule sur le Net, selon eux, ce que Thompson décrivait dans les forêts anglaises : « Un conflit entre les utilisateurs et les exploiteurs. »

Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini

Interview de Philippe Minard sur l’ouvrage de l’historien britannique E. P. Thompson: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, traduit et publié en français en 2014. Philippe Minard. Boîte à Idées par Mediapart A propos de la…

https://www.remixthecommons.org/?p=3641Entrevues
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4 février 2021
Chargement/Site 2#_0697743d368ec919de68a75abab0d5c4Remix Biens Communs présenté sur Revista Pillku

Santiago Hoerth Moura de <a href="http://www.pillku.org/">Revista Pillku</a> a rencontré Alain Ambrosi à Mexico en novembre 2012 dans le cadre de la rencontre préparatoire à la <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">conférence Economics, Commons Conference</a>. Tous deux ont échangé sur les biens communs et le projet Remix Biens Communs. Santiago Hoerth Moura a publié l’interview suivante en espagnol.

Entrevista con Alain Ambrosi

Remix the Commons es una plataforma de intercambio multimedia

Alain Ambrosi es de Québec, la ciudad de Montreal en Canadá y trabaja para una organización que se llama COMMUNOTIC como investigador asociado, y específicamente para un proyecto que se llama Remix the Commons o Remezcla los comunes que es un proyecto internacional de plataforma en la web.

Por Redacción Pillku

¿Cuál es tu experiencia de trabajo con los comunes?

Mi experiencia de trabajo en los comunes empieza en la documentación de todo lo que se hace y lo que se dice sobre los comunes desde hace ya tres años. Empezando en el Foro Social de Belém en 2009, donde tuvimos el primer Encuentro Internacional Ciencia y Democracia, donde se habló de los commons. En este tiempo se hablaba de los bienes comunes, y la declaración final de este foro social mundial de Belém integró una declaración de recuperación de los Bienes Comunes. Desde este tiempo yo hice como siguiendo un poco las manifestaciones, conferencias, que se hacían sobre los comunes, hubo después la conferencia de Berlín organizado también por el Commons Strategies Group pero con la Fundación Heinrich Böll, era el primer encuentro donde la gente de los comunes materiales y de los comunes inmateriales se encontraron por primera vez digamos. Y fue en esta ocasión que hemos pensando y lanzado la idea de un proyecto que se llama Remix the Commons.

Entonces contamos un poco en qué consiste Remix the Commons.

Remix the Commons es una plataforma de intercambio de difusión, de producción, de documentos multimedia sobre el tema de los comunes. Es una plataforma socio-técnica, donde preferimos hablar más de lo socio que de lo técnico, y decir que es una plataforma que es un espacio de co-creación sobre los comunes. Entonces hemos empezado con entrevistas en todas estas reuniones, foros sociales, pero estamos integrando varios documentos sobre los comunes. Pero la plataforma no es solamente una cosa que va hacer sobre internet; es realmente un espacio de trabajo de co-creación, quiere decir que ya tenemos un montón de problemas que resolver, problemas técnicos que para nosotros es algo menor, pero a nivel jurídico legal porque vamos a hacer circular imágenes, videos, lo cual es un problema grande, y a nivel económico también, porque hay que sustentar este tipo de proyectos y ya tenemos varias ideas de trabajar a nivel de los comunes, porque nosotros nos consideramos com un bien común, quiero decir el proyecto Remix the Commons, queremos funcionar como un bien común, una comunidad de “partenarios” que van a decir las reglas propias, para ir adelante con el proyecto.

Entonces tenemos otras dimensiones muy importantes, como la gobernanza, como cuáles reglas vamos a poner y, también, otra dimensión que me parece muy importante que es la dimensión intercultural porque es muy difícil, por ejemplo que hemos visto desde el principio en Berlín: hace dos años tenemos una serie de entrevistas, de series que hablan de los comunes en chino o en otros idiomas, y se ve que el concepto mismo de commons corresponde a algo bien profundo en todas las culturas, y a veces hay diferencias, etc., y entonces es un desafío que me parece muy grande eso, el de la interculturalidad, las traducciones, etc.

Remix The Commons es un proyecto colaborativo sobre obras multimedia. Su objetivo es documentar e ilustrar las ideas y prácticas en torno a la cuestión del bien común en el proceso creativo. Para conocer más su trabajo visita: <a href="https://www.remixthecommons.org">https://www.remixthecommons.org</a>

via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a>

Santiago Hoerth Moura de Revista Pillku a rencontré Alain Ambrosi à Mexico en novembre 2012 dans le cadre de la rencontre préparatoire à la conférence Economics, Commons Conference. Tous deux ont échangé sur les biens communs et le projet Remix Biens…

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Projets passés et présents
30 août 2020
Chargement/Site 2#_0dc65f1e5ef96b652d495918e512edc3Sacred Economics avec Charles Eisenstein – Un court métrage

<iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

Publié le 1er mars 2012

Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a>
Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie

Lire le livre <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a>

Sous-titrage <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a>

Sacred économics retrace l’histoire de l’argent de l’économie du don au capitalisme moderne, révélant comment le système monétaire a contribué à l’aliénation, par la concurrence et la rareté, et par la destruction de la communauté, et la nécessité d’une croissance sans fin.

Aujourd’hui, ces tendances ont atteint leur paroxysme – mais dans le sillage de la crise, on peut trouver de belles occasions de faire la transition vers une façon plus interactive, écologique et durable d’être.

Ce court métrage contient quelques visuels de Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org</a>

CREDITS COMPLETS

Directed & Edited by Ian MacKenzie
Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill
Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie
Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy
Music: Chris Zabriskie
Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube
Stills: Kris Krug, NASA
Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media

Publié le 1er mars 2012 Directed by Ian MacKenzie http://ianmack.com Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie Lire le livre http://sacred-economics.com Sous-titrage http://tinyurl.com/6qm37p9 Sacred économics retrace l’histoire de l’argent de l’économie du don au capitalisme moderne, révélant comment le…

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Projets passés et présents
30 août 2020
Chargement/Site 2#_111155724db6b04b8c64d19114865ac5Droits en Biens Communs

Rights in Common aims at documenting the place of law based on commons in the context of the Rio+20 negociations.
During 2011, the preparation of the United Nations conference on sustainable development (Rio+20) with the Rio+20 french collective and the participants of the World Social Forum, lead us to suggest making the rights based on the commons a skyline of social demand at the international scale. But as a prerequisite we’d have to be able to explicit the contents of these rights and forsee how these would be implemented and enforced.
To try to answer this question, a <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Des_droits_bas%C3%A9s_sur_les_biens_communs"> first text </ a> was written by Silke Helfrich and Frédéric Sultan after the Social Forum in Porto Alegre.

The remix project « Rights in Commons » is the continuation of this work by means of video and the remix made from video recordings of the United Nations conference and of the Peoples Summit.

Futur development

The Rights in Commons project move on by the organization of a workshop during the Economics, Commons Conference on May the 22nd 2013 in Berlin. It’s about continuing the ellaboration work initiated and particularly test the underling hypotheses on various domains and use cases, to reach a more global vision.

Collaborators

Frédéric Sultan is coordinator of this project. Emiliano Bazan has taken charge of the video production.

Financing

The Rights in Commons project gets financial support from the « Fonds Francophone des inforoutes » through the project Remix the Commons.

Role of Remix the Commons

Remix the Commons has been a space facilitating cooperation between Communautique and VECAM to produce videos during the Peoples Summit at Rio+20.

Rights in Common aims at documenting the place of law based on commons in the context of the Rio+20 negociations. During 2011, the preparation of the United Nations conference on sustainable development (Rio+20) with the Rio+20 french collective and the…

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Projets passés et présents
4 février 2021
Chargement/Site 2#_12fb48d9f82cf170c2b2799e67702845Montréal, premier rendez-vous A l’école des communs.

Après la première<a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article115"> rencontre à Dakar dans le cadre d’</a><a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article115">Afropixe</a>l, « A l’école des Communs » était un nouveau rendez-vous pour et avec Remix Biens Communs. Cela a été l’occasion de faire évoluer le projet d’oeuvre collaborative multimédia, et de le déployer comme une infrastructure du mouvement des biens communs au service d’un projet à Montréal.

« A l’école des communs » est une rencontre qui a pour objectif d’attirer, les commoners, remixers, créateurs, activistes, médiateurs et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement des synergies entre les projets de médiation et d’appropriation des biens communs. L’ouverture des initiatives, des projets, de l’échange des idées et le partage de ressources, d’outils, de formats de documentation permet d’irriguer les pratiques des biens communs.

Cette rencontre a créé l’opportunité d’échanges à la fois entre locaux et à l’échelle internationale. Cela a produit un effet d’entraînement et de stimulation sur les groupes de commoners présents, dont on peut espérer un effet d’enrichissement des pratiques elles-mêmes. Elle avait adopté des formes de travail actives, pour  définir les biens communs à la fois à travers les témoignages des personnes qui sont investies dans des pratiques, et les contributions des chercheurs qui étudient le sujet.

Après la première rencontre à Dakar dans le cadre d’Afropixel, « A l’école des Communs » était un nouveau rendez-vous pour et avec Remix Biens Communs. Cela a été l’occasion de faire évoluer le projet d’oeuvre collaborative multimédia, et de le déployer…

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Projets passés et présents
30 août 2020
Chargement/Site 2#_1604d9fe3f6063458c0a75055a70635fLa terre de l’autre – Interviews d’Étienne Le Roy

<iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe>

Pour Étienne Le Roy, l’anthropologie est la science de l’homme parce que fondamentalement science de l’autre. « J’ai souvent commenté cette observation de Jean-Jacques Rousseau dans son ‘Essai sur l’origine des langues’, que cite Claude Lévi-Strauss: ‘Quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin; il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés.’ Au sens de Jean-Jacques Rousseau, découvrir les propriétés, c’est mettre à jour les attributs de l’homme, les critères qui en fondent l’humanité dans leur plus grande généralité. Mais on ne pourra s’empêcher, dans un ouvrage consacré à l’appropriation de la terre et, pour une part, au régime de ‘propriété’ foncière, d’user de l’ambivalence de la dernière phrase (observer les différences pour découvrir les propriétés) et ainsi justifier un point de vue qui use d’un regard sur l’autre pour découvrir le sens que les hommes donnent, généralement mais aussi spécifiquement, au cas par cas, aux rapports de propriété. »

Étienne Le Roy « Le choix d’une démarche anthropologique pour traiter des régimes d’appropriation des terres et des ressources m’a conduit à plusieurs options de méthode et, en particulier, a obligé le lecteur à entrer dans l’étude du droit de propriété par la prise de conscience que cette forme juridique ne fait que traduire procéduralement une représentation du monde, de l’homme et de la nature originale et profondément liée à l’expérience de la modernité en Occident. Pour répondre à la vocation de l’anthropologie de réunir une connaissance valable pour l’ensemble du développement humain, il convenait de traiter analogiquement les autres civilisations et chercher derrière les réponses coutumières ou rituelles les représentations de l’espace qu’elles véhiculaient. »

Dans cette interview réalisée à Paris le 4 mars 2014, Étienne Le Roy, tout en présentant ses travaux sur les régimes d’appropriation foncière synthétisés dans son ouvrage ‘La terre de l’autre », nous introduit au coeur de l’anthropologie du droit francophone qu’il a participé à fondée et éveille notre curiosité de commoner sensible aux mécanismes juridiques et à ce qui les fait advenir dans la société d’interroger autrement, et dans le partage avec d’autres, le monde dans lequel nous vivons.

« L’autre n’est pas un vide à remplir. C’est une plénitude à découvrir. » Christoph Eberhard

Pour Étienne Le Roy, l’anthropologie est la science de l’homme parce que fondamentalement science de l’autre. « J’ai souvent commenté cette observation de Jean-Jacques Rousseau dans son ‘Essai sur l’origine des langues’, que cite Claude Lévi-Strauss: ‘Quand on veut étudier les…

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4 février 2021
Chargement/Site 2#_184ecd4a0f20a278f9904dca2c89c44dÀ l’école des communs

La Rencontre »A l’école des Communs » a pour objectif d’attirer les créateurs, activistes et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement et l’appropriation des biens communs. Cela permet de contribuer à la compréhension, à la recherche et à la défense des biens communs.

Organisé par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l’UQÀM, l’événement À l’école des communs, qui s’est déroulé les 2 et 3 novembre 2012, était le premier du projet. Les participants et participantes présents ont eu l’occasion d’échanger sur les prérequis politiques, légaux, économiques et culturels nécessaires à l’émergence et au développement d’une économie des communs, le tout en présence d’invités internationaux Michel Bauwens fondateur de la fondation P2P et Lionel Maurel, aka Calimaq, fondateur de Savoircom1 et de leurs homologues québécois Ianick Marcil, économiste indépendant, et Stéphane Guidoin, de NordOuvert.

Futur développement

A l’école des communs se structure autour de rencontres à géométrie vaviable. Une prochaine rencontre devrait être programmée à l’automne 2013.

Collaborateurs/trices

Le projet est est conduit par Alain Ambrosi, soutenu par l’équipe de Communautique et Frédéric Sultan.

Financement

Le projet bénéficie du soutien financier de la l’Organisation Internationale de la Francophone à travers Remix Biens Communs.

Rôle de Remix Biens Communs

Remix Biens Communs s’est déployé comme une infrastructure au service du projet à Montréal. Le réseau a fonctionner pour mobiliser ressources et intervenants. Les documents médiatiques ont été produits. Une expérimentation de retranscription a été réalisée.

La Rencontre »A l’école des Communs » a pour objectif d’attirer les créateurs, activistes et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement et l’appropriation des biens communs. Cela permet de…

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Projets passés et présents
4 février 2021
Chargement/Site 2#_1854650e36a9d8fb1d449496351c554aPetits Déjeuners en-Commun au Sénégal

The <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">Breakfasts in-Common </a>process was initiated by Senegal’s « Centre d’Art Senegalais Kër Thiossane » and Quebec’s « Communautique », as part of the project Remix the Commons.

Born from a research dynamic about endogenous definitions of commons, Breakfasts in-Common bring occasions to think collectively about what commons mean, from an artistic approach. The goal of these meetings whether in Dakar or Montréal is not only to understand but also to feel the meaning difference that exists between my « I » and the « we » of a collective process. A sensitive approach that allows to craft stories able to give some meaning to the fact of living together. Stories that help maintain the community in motion and give a purpose to one’s own existence and thriving.

First light in Dakar


From January 2012, in Dakar, in a violent pre-election context, in the midst of doubts about the constitution and the rise of citizenship awareness in all Senegal, Kër Thiossane started an exploratory work around Commons by organizing Breakfasts in-Common in a monthy cycle.

Three Breakfasts in-Common were organized between January and April 2012 on the subjects « The commons in African cities » ; « Commons and space » and « Languages and knowledge ».

These Breakfasts in-Common were moments of gathering and exchanges constituting by themselves a practice of the « in-Common », where each participates in sharing knowledge in a horizontal dynamic.

Each Breakfast started by viewing a film produced by the Kër Thiossane team on an artist and his or her questioning about one aspect of the Commons in the Senegalese society.

Some of the films and extracts from the breakfasts recordings are available online on the Kër Thiossane website, along with a toolbox of books, texts, interviews that anyone is welcomed to enrich with their own contributions via a wiki or at a breakfast in-Common.

Afropixel Festival
This material, accumulated since early 2012 and the thinking initiated among the artistic community and the inhabitants was used to prepare a variety of activities, residences, workshops and performances at the time of the Afropixel festival as part of the theme « Creation, culture and knowledge in Common », that took place in may 2012.

Among this diverse and rich programming, Kër Thiossane gathered great African thinkers and artists to elaborate collectively on the question of « Artistic responsibility in the construction of the in-Common ».

All around a glass of tea, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat and Ibrahima Wane took part in what was not an expert group but rather a meeting where everyone’s expertise was to profit the collective thinking that was woven along the talks.

Kédougou, until where is your place ?

In 2013, the Breakfasts in-Common keep on with the collaboration of the collective « La companyía (http://www.lacompanyia.org/). They delocalize with a first breakfast outside Dakar in March as part of the « Night of the stars » festival organised by the Multimedia Community center of Kédougou.

Taking the same theme as the festival, « Kédougou, until where is your place ? », we investigated on the problematic of the Kédougou region associated with Commons. The opening of the question « where is your place » allowed to approach the questions about managing natural resources in a boundary region rich in gold and ore, as well as belonging and building of communities.

Futur development

The Breakfasts in-Common and the Afropixel festival organized so far have drawn a great interest, as much from artists and members of the civil society as from citizens, in Senegal. Seeds were sown and a real awareness of the stake of Commons invites us to continue these meetings in an even more open way, about other aspects of Commons, with the objective to enable and widen this collective thinking space.
In 2013-2014, Kër Thiossane would like to organize other breakfasts at regular intervals and repeat more of the delocalised experiments, outside Dakar, in partnership with Senegal’s community radios network.

These experiments with continue to be filmed, documented and shared with Communautique in Montréal and other partners, actors of commons elsewhere in the world (Finland, Colombia…). Videos and other documents from these with be posted online on the Remix the commons platform.

Collaborators

Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane). Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),

Financing

The Breakfasts in-Common receives financial support from the « Fonds Francophone des inforoutes » through the project Remix the Commons.
The production of the Breakfasts in-Common in Dakar was made possible thanks to the financial support from Arts Collaboratory and the « Organisation Internationale de la Froncophonie in Kër Thiossane.

Contribution of Remix the Commons

Remix the Commons contributed in the onset of the project and spread the word of it’s existance among commoners. Remix the Commons supports formalisation of the process and the deployement of a network of similar practices.

The Breakfasts in-Common process was initiated by Senegal’s « Centre d’Art Senegalais Kër Thiossane » and Quebec’s « Communautique », as part of the project Remix the Commons. Born from a research dynamic about endogenous definitions of commons, Breakfasts in-Common bring occasions to think…

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Projets passés et présents
4 février 2021
Chargement/Site 2#_18e3b71c130276252a753b225a2537faCommuns et éducation populaire, partage d’expérience et perspectives

Lors de la dernière rencontre du réseau francophone des biens communs, les démarches d’éducation populaire ont été évoquées à plusieurs reprises. Des groupes de travail doivent se mettre en place afin de poursuivre dans cette logique, dont un notamment, autour de l’idée d’école ou d’université populaire des communs.

Différentes initiatives s’inscrivent dans une logique d’école ou université populaire des communs. Celles que nous connaissons le mieux sont l’<a href="http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia">école des Communs de Barcelone</a>, <a href="http://www.schoolofcommoning.com">celle de Londres</a>, ou l’<a href="http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite">université d’été</a> qui se déroule en Allemagne depuis quelques années. A Montréal, une rencontre « <a href="http://bit.ly/1kPbTFK">A l’école des communs</a> » s’est déroulée à la fin de l’année 2012.  

Ces initiatives prennent différentes formes. Certaines sont permanentes alors que d’autres sont des temps de rencontres ponctuels. Certaines allient auto formation et transmission de savoirs dans une perspective d’éducation populaire, d’autres veulent d ’emblée s’inscrire dans des cursus académiques. Pour les unes, une école des communs se doit d’être nomade et proactive dans son environnement socio politique. Pour les autres elles doivent plutôt s’ancrer dans les institutions d’enseignement. La place et les rôles respectifs du présentiel et du virtuel peuvent varier.

Les pédagogies appliquées sont plus ou moins ouvertes. Elles vont de la conférence, au format somme toute assez traditionnel (Londres), à un travail de construction de coalition locale d’activistes et de chercheurs (Barcelone ou Montréal).
Finalement, une discussion sur la nature de ce que devrait être la pédagogie à l’ère des communs (peeragogie) s’est déroulée ces dernières semaines sur le forum de discussion Commoning (en anglais).

Ces initiatives incluent dans leurs objectifs de produire des documents de référence tels que par exemple les <a href="http://bit.ly/LtK064">interviews conférences de James Quilligan</a>, les interviews de <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Michel Bauwens</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Lionel Maurel</a> pour A l’école de communs ou la transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » par le groupe allemand (qui sera ensuite <a href="http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/">traduit en français par Savoircom1</a>).

La <a href="http://p2pfoundation.net/ECC2013">conférence de Berlin</a> de mai 2013 a été l’occasion de mutualiser ces expériences au cours de deux « side events » axés sur la « <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013">Culture et Communication des Communs </a>» et sur l’« <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013">Éducation des Communs</a> ». Une réflexion collective sur <a href="http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/">les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs</a> a été initiée à cette occasion. Dans ce contexte, une démarche ouverte d’éducation aux communs pour et par une coalition francophone pourrait enrichir l’offre existante et démultiplier sa puissance de transformation sociale et politique en systématisant ces démarches.

L’un des premiers enjeux que rencontre une démarche d’éducation populaire autour des communs aujourd’hui est certainement lié à l’étude et la stabilisation des catégories de définition des communs et du vocabulaire des communs. Elaborer des catégories des communs plus opérationnelles faciliterait la mise en réseau des commoneurs et la dissémination du paradigme des communs dans la société. Des initiatives existent sur ce terrain qu’il faut regarder de près et renforcer. <a href="http://movecommons.org">Move Commons</a> est une des plus avancées. Le site web propose d’attribuer un label à un projet selon des critères correspondant à la nature des communs (4 types) au mode de gouvernance de l’organisation ou de l’initiative concernée. Le formulaire permet alors de produire un badge, à la manière des licences Creative Commons qui pourra être inclus dans la page web du projet. Move Commons s’est développé dans l’écosystème des communs espagnols formé par le Medialab Prado et l’association Communes. Aujourd’hui, Bastien Guerry, l’un des initiateurs de Move commons, développe une deuxième version du site qui s’affranchit des catégories pour privilégier la qualification des initiatives sous la forme de tags. A travers la question des labels des communs, Move Commons interroge la possibilité et la pertinence de certification des pratiques et des communautés.

Le collectif Remix The Commons, composé de 5 organisations francophones (en France, au Maroc, au Sénégal, au Québec), s’attache à définir des catégories qui cette fois s’appliquent à des documents. Remix The Commons invite à documenter les pratiques et les enjeux des biens communs. Entre 2010 et 2013, le collectif Remix The Commons a notamment collecté auprès de commoneurs du monde entier, chercheurs ou activistes, leurs <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs/">définitions des biens communs</a> sous la forme de brèves capsules vidéos. Ces documents (et d’autres, actuellement le site en référence environ 260), sont classés en fonction d’une part des domaines d’action ou ressources mises en biens communs : l’eau, la connaissance, les infrastructures, …etc, et d’autre part, en fonction de l’agenda des luttes propres aux communautés et aux acteurs : le droit d’accès à l’eau potable, le libre accès à la connaissance, la neutralité des infrastructures telles que Internet, …etc. Le catalogue (et donc les catégories) de Remix The Commons est considéré comme une contribution (un commun) au mouvement des communs. Le principal artefact de ce catalogue est le <a href="http://remixthecommons.org">site web</a>.

Les vocabulaires (jeux de catégories) qui émergent de ces initiatives ne gagneraient-ils pas à être explicités collectivement afin de nourrir la culture commune des communs ? On a pu voir à travers le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet Biens Communs de Wikipédia</a> qu’il y a un vide à combler. Certaines définitions manquent lorsque d’autres sont tronquées ou le reflet d’un point de vue qui ne tient pas compte de la perspective des communs.

L’idée de glossaire des communs a fait l’objet des premières expérimentations autour de Ville en Biens Communs avec le <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/">groupe Encyclopétrie</a>. En partant de groupes de mots identifiés à la fois par Remix The Commons et dans le manifeste de Savoircom1, un dispositif de visualisation interactif a été expérimenté. Ce projet a le mérite d’ouvrir la réflexion sur l’objet lexique des communs et sur les conditions de production et d’interconnexion de glossaires des groupes, réseaux de commoneurs.

Mais en plus de la création / amélioration des définitions dans l’encyclopédie, il serait utile de mettre à contribution les outils de web sémantique tels que ceux développés sous le leadership de Wikimedia, pour définir et stabiliser des catégories qui seraient ainsi plus facilement partageables. Le partage de ces catégories permettraient de rendre interopérables certains projets, comme ceux cités, et probablement d’autres que nous n’identifions pas encore.

Un deuxième enjeu est certainement de mieux articuler transformations sociales et politiques.

A différentes échelles, locale, régionale, nationale (pour ne prendre que celles-là) des collectifs se saisissent de problématiques plus ou moins spécifiques, telles que l’alimentation, le transport, la santé, l’environnement, l’information et l’éducation, l’espace public, le travail, l’énergie et l’environnement, l’eau, … pour agir très concrètement sur le terrain. Dans bien des domaines, la capacité de ces initiatives à peser de manière significative aux moments et dans les espaces décisionnels, est restreinte et doit être développée. Il est évident que certains de ces champs sont aujourd’hui beaucoup mieux lotis que d’autres. La connaissance, l’informatique libre ou Internet par exemple sont défendus par des groupes qui ont su constituer une force de frappe auprès de la puissance publique et développer des dispositifs de création ou de protection des communs à grande échelle. Les causes liées aux communs ne se limitent pas aux domaines reconnus, et, même si tout n’est pas acquis sur ces terrains, loin s’en faut, accompagner le « passage à l’échelle » du politique dans d’autres domaines devrait faire partie des objectifs de la coalition des biens communs. L’expérience de ces mouvements plus influents montre qu’il sont d’autant plus puissants dans cette sphère, qu’ils savent rassembler des militants et développer des outils de coordination et réunir des compétences spécifiques ,notamment juridiques, à leur domaine d’action..

La mobilisation dépend en grande partie de la diffusion de la notion de communs dans la société. Dans une perspective d’éducation populaire, les modes de diffusion passent par une élaboration collective par les habitants des problématiques qu’ils partagent et sur lesquelles ils s’engagent (ou pas) dans la consolidation de liens sociaux ou symboliques qui fondent les communautés.

Les MOOC, sont une piste régulièrement invoquée, pour contribuer à la diffusion de la notion de communs. Ils pourraient faire l’objet de coopérations entre des acteurs de la formation issus de l’univers académique et du monde associatif qui se sont dédiés à la formation professionnelle. Le <a href="http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/">Master recherche Infocom</a> de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau et <a href="http://animacoop.net/">Animacoop</a> formation professionnelle à la coopération mise en place par Outils réseaux http://outils-reseaux.org/ et la ville de Brest, pourraient conduire ce type de démarche. La chaire dédiée aux communs, soutenue par le Crédit Coopératif, le CNAM, l’IAP organisateur d’une table ronde sur Web, associations et communs, et bien d’autres acteurs issus du secteur de la formation sont mobilisables.

Sous différentes formes, l’analyse de terrain, l’étude de cas, les recherches actions, des dispositifs qui sont conduits avec les personnes concernées, cette fois dans le but de peser sur la situation concrète, contribuent à (et s’appuient sur) l’élargissement des mobilisations. La <a href="http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun">fabrique du commun</a> du groupe Kom.post  détourne le format habituel de la conférence pour créé un espace de partage des savoirs liés à une problématique partagée.
Au Sénégal, les <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/">petits déjeuners des communs</a> organisent la rencontre des habitants et des artistes autour de problématiques inscrites dans l’espace local. La production des fiches d’expérience en vue de préparer  de la <a href="http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html">rencontre de Guérande</a> organisée par L’Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) est un autre exemple de ces pratiques. Un travail de recherche action en cours d’élaboration au Sénégal à travers le projet <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique">Communs en Afrique</a> se situe dans une perspective très proche. Il vise à  définir des processus participatifs et expérimentaux pour documenter la problématique des communs en lien avec les défis auxquels fait face le continent : l’alimentation, le transport, la Santé, l’environnement, l’information, l’éducation, et observer des processus de Biens Communs en Afrique.

Ce dernier projet fait appel à des <a href="https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/">démarches de cartographie des communs</a> que nous avons commencé à explorer  en nous appuyant sur <a href=" http://remixthecommons.infini.fr/">Chimère</a>, une application qui permet de classer et documenter des points d’intérêt sur un territoire. La cartographie participative permet non seulement la recension et la visualisation de ressources (éventuellement mises en communs), mais s’offre aussi comme un support de médiation au sein de la communauté sur les racines et le devenir des biens communs et pour la résolution des problématiques auxquelles elle fait face. Les démarches de cartographie sont déjà largement répandues pour outiller des groupes sociaux qui ont le désir de prendre en main leur destinée. On peut voir les actions qui font référence en Inde, au Brésil, en Afrique du Sud, en Guinée, en associant la production de carte et le processus délibératif des communautés. Les formes de production collectives des cartes ont été renouvelées par l’avènement d’Open Street Map, puis par le développement des pratiques de visualisation et d’ouverture des données (Open data). La production par les collectifs de leur propres représentations, leur permet de redessiner les enjeux et leur stratégies à partir de leur propre vision, comme le montre clairement les expériences de cartographie radicale depuis plusieurs décennies (Nicolas Lambert <a href="http://neocarto.hypotheses.org/15">cartographie radicale</a>. Les initiatives lancées par <a href="https://www.academia.edu/3886909/Mapping_the_Urban_Commons._A_new_representation_system_for_cities_through_the_lenses_of_the_commons">hackitectura</a> de cartographies des communs des Villes d’Athènes et Istambul et en cours actuellement à Rio en sont un exemple remarquable. En outre, partager les classifications des communs, comme évoquées précédemment, permettrait de développer des démarches de recherche actions conjointes.

Cet embryon d’inventaire d’initiatives autour des définitions et de l’appropriation de la notion de communs ou de biens communs, est très bref. De toute évidence, il mériterait d’être étoffé. Aussi, n’hésitez pas à partager vos expériences et vos idées pour y contribuer.

Nous pourrions imaginer de faire se rencontrer et échanger les personnes intéressées par ces initiatives afin de favoriser l’émergence de collaborations. Nous y sommes intéressés. Cela pourrait être un des volets d’une rencontre, école des communs, ou quelque soit sont titre, qui pourrait se dérouler en 2014. L’expérience d’école des communs de Barcelone suit cette ligne. Dans une interview, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona">Mayo Fuster</a> décrit le mode de fonctionnement de l’école des communs de Barcelone comme un espace de rencontre et de fécondation des projets. Chaque rencontre se déroule dans un espace correspondant à la problématique abordée. C’est une manière ouverte de faire réseau et coalition. De telles rencontres contribueraient à créer les conditions de la production de discours savants et politiques sur les communs à partir des causes et des pratiques que nous défendons.

Frédéric Sultan et Alain Ambrosi.

Références :

Ecole des Communs de Barcelone (http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia)
Ecole des Communs de Londres (www.schoolofcommoning.com),
Université d’été en Allemagne http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite.
A l’école des communs Montréal http://bit.ly/1kPbTFK.  
University of the Commons San Francisco https://vimeo.com/65627856
Interviews conférences de James Quilligan  http://bit.ly/LtK064
Conversations avec Michel Bauwens Lionel Maurel pour A l’école de communs https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs et https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs
Transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » traduit en français par Savoircom1 http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/
Conférence de Berlin de mai 2013 http://p2pfoundation.net/ECC2013
Side event Culture et Communication des Communs: http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013
Side event Éducation des Communs. » (http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013
Réflexion collective sur les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/
Move Commons (http://movecommons.org)
Définitions des biens communs : https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs
Catalogue Remix The Commons : http://remixthecommons.org
Projet Biens Communs de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs
Glossaire des communs : http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/.
Master recherche Infocom de l’université Paris Ouest (Louise Merzeau) http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/
Outils réseaux http://outils-reseaux.org/
Animacoop : http://animacoop.net/
La fabrique du commun http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun
les petits déjeuners des communs (https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/
projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique
Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).
Expérience de cartographies / Remix The Commons : https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/
Chimère : http://remixthecommons.infini.fr
Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) à l’occasion de la rencontre de Guérande http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html
projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique
Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).
Interview Mayo Fuster : https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona

Lors de la dernière rencontre du réseau francophone des biens communs, les démarches d’éducation populaire ont été évoquées à plusieurs reprises. Des groupes de travail doivent se mettre en place afin de poursuivre dans cette logique, dont un notamment, autour…

https://www.remixthecommons.org/?p=3533Non classifié(e)
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7 décembre 2019
Chargement/Site 2#_1a92bd3fad143215932c87d82963714fDéfinir les biens communs #2

Définir les biens communs #2, est la deuxième série de 10 capsules vidéos de définitions des biens communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet Définir les biens communs</a>. Cette série a été réalisée à l’occasion du Forum Mondial Sciences et Démocratie qui se déroulait à Dakar en Février 2011.

Présentation

<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">Définir les biens communs</a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.

Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.

Futur développement

La collecte de définitions des biens communs se poursuit.  Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.

Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).

Collaborateurs

Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.

Financement

Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.

Contribution de Remix Biens Communs

Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.

Définir les biens communs #2, est la deuxième série de 10 capsules vidéos de définitions des biens communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le projet Définir les biens communs. Cette série a été réalisée à l’occasion du…

https://www.remixthecommons.org/?p=1175Projets complétés
Projets passés et présents
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26 août 2020
Chargement/Site 2#_213c7aeb51d22f6125060ba28fa2b52cDéfinir les biens communs #4

Définir les biens communs #5, est la quatrième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet Définir les biens communs</a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.

Présentation

<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">Définir les biens communs</a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.

Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.

Futur développement

La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.

Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).

Collaborateurs

Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.

Financement

Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.

Contribution de Remix Biens Communs

Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.

Définir les biens communs #5, est la quatrième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le projet Définir les biens communs. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série…

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Projets passés et présents
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4 février 2021
Chargement/Site 2#_246d2e0ea205fb5a806fb7a13225c93fEconomie et/des Communs : deux nouvelles collections vidéo

Avec la mise en ligne de 76 clips vidéo, totalisant environ 8 heures de visionnement, réalisée lors de la conférence internationale Economic and the Commons à Berlin, Remix Biens Communs propose deux nouveaux dossiers sur les communs et complète la collection des capsules vidéos sur les définitions des biens communs.

Le premier dossier a pour sujet <a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYR3nlESkj73h8CLnDhh2kY">Économies et Communs</a>. Il est composé de 13 vidéos sous forme d’entrevues individuelles ou de tables rondes avec les intervenants et les animateurs de la conférence. Ces conversations complètent et approfondissent les sujets abordés lors de la conférence : Terre et Nature, Travail, Connaissance, Culture et Sciences en Communs, Monnaie, Marché, Valeur et Communs et Infrastructures pour les communs. Leur durée varie entre 5 et 35 minutes et totalisent 5 heures de visionnement.

<a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYA3AHFtDOUCQCcCvEzkn-S">Un agenda pour les Communs</a> comprend 11 vidéos qui explorent les enjeux des communs autour des thèmes comme l’éducation et la culture des communs, la recherche, la dimension politique et le rapport à l’État. Leur durée totale est de 3 heures et 10 minutes.

<a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkatF08AS-5t1PJSU35khJ3S">Define/définir/definir les Communs</a> comprend 53 nouvelles brèves vidéos répondant à la question : « si vous aviez à définir les Communs en une phrase, quelle serait-elle? ». La plupart de ces entrevues sont en anglais, mais 28 sont aussi dans la langue originale du participant. La série de vidéos Define/définir/definir les Communs avait été inaugurée durant la conférence de Berlin de novembre 2010 et s’est enrichie au cours de différentes rencontres internationales de mouvement sociaux à travers le monde. La série compte maintenant 100 clips.

Les 76 clips vidéo produits à l’occasion de la conférence de Berlin totalisent environ 8 heures de visionnement. Ils se veulent une contribution à la documentation de la conférence et viennent ainsi en complément à l’excellent<a href="http://www.boell.de/sites/default/files/ecc_report_final.pdf">rapport réalisé par David Bollier</a> et aux <a href="http://commonsandeconomics.org">sites de la conférence</a> de la Fondation Henrich Boell.

L’inscription de tous les clips dans le catalogue Remix The Commons facilite la consultation et la recherche dans cette collection, par exemple par sujet, intervenant, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.

Alain Ambrosi et Frédéric Sultan

Avec la mise en ligne de 76 clips vidéo, totalisant environ 8 heures de visionnement, réalisée lors de la conférence internationale Economic and the Commons à Berlin, Remix Biens Communs propose deux nouveaux dossiers sur les communs et complète la…

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Ressources
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8 février 2021
Chargement/Site 2#_2c844d5b3dff46ee2a96522a57899740À l’école des communs

The « At the school of Commons » meeting has the goal of bringing in all sorts of creative people, activists and users of common goods, in order to help the exchange between these people and allow the development and social appropriation of the Commons. This contributes to the understanding, finding and preservation of the Commons.

Organized by Communautique and Remix the Commons, and in collaboration with the Nycole Turmel chair on public spaces and political innovations at UQÀM, the event « At the school of Commons », on November the 2nd and 3rd 2012, was the first event of the project. Participants were able to exchange on political, legal, economic and cultural prerequisites needed for the rise of an economy of commons in the presence of international guests Michel Bauwens, founder of the P2P foundation, Lionel Maurel a.k.a. « Calimaq », founder of Savoircom1 and their Quebecois counterparts Ianick Marcil, independent economist and Stéphane Guidoin from OpenNorth.

Futur development


« At the school of Commons » is structured around bespoke meetings. A following meeting should be scheduled for autumn 2013.

Collaborators


The project is lead by Alain Ambrosi, supported by the Communautique team and Frédéric Sultan.

Financing


The project receives financial help from « Organisation Internationnale de la Francophonie » through « Remix the Commons ».

The Contribution of Remix the Commons


Remix the Commons served as an infrastructure, and placed itself as a resource to the project in Montreal. Networking was used to gather resources and speakers. Documents were produced. An attempt at a transcription was made.

The « At the school of Commons » meeting has the goal of bringing in all sorts of creative people, activists and users of common goods, in order to help the exchange between these people and allow the development and social appropriation…

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Projets passés et présents
4 février 2021
Chargement/Site 2#_2f96f4f8b97a66d4e90bfd2cfed6eba7Les déjeuners des Communs de Montréal

On April 19th 2012, Communautique organized the first working lunch <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/D%C3%A9jeuner_des_communs">« Commons lunches »</a> at its offices in Montreal. The context of the event was remarkable; for two months already an unprecedented social movement initiated and driven by students had taken over the streets of Montreal and other cities in the province, mobilizing people across all layers of society with unrivaled levels of involvement. And on this 19th of April, during what was called a “printemps érable” (or maple spring), and rightly so by the depth of its demands, on the eve of the march for Earth Day, reaching what would be the climax of the union of all sectors of the civil society, the protest was held under no other theme but the Commons and gathered nearly 300 000 people. This lunch was indeed very relevant at a time when « the Commons was on every lips », a paper issued by Communautique was widely circulated on the web.
Prior to this first of a series of four in 2012, Communautique had contributed to the animation of this subject of the Commons on various occasions by organizing workshops or taking part in events in the charged ambiance of the student protests, particularly suited for participation and innovation.
Each of the meetings facilitated the exchange of knowledge in a horizontal way through discussions and « learning circles » following a proven animation methodology that is increasingly used in co-creation, co-design projects and bottom-up social innovation. These methods are described by Percolab, partner of Communautique, who facilitated the discussion at the event.
Each lunch was video recorded but was also followed by video productions extending the debate by illustrating some activities of the participants’ activities through interviews and shots taken on their field of operation. These productions were eventually used to fuel the debates at the next breakfasts.

Futur development


The continuation of Montreal lunches could be an occasion for a remix, whether in Dakar or other cities.

Collaborators


Alain Ambrosi and the Communautique team are assisted by Samatha Slade of Percolab.

Financing


Video production of Montréal lunches is made possible by support from the Ministry of Education, Recreation and Sports in the training mission and a contribution of trainees from Industry Canada’s Youth Internship program.

Rôle of Remix Bien communs


Remix the Commons was the melting pot for the concept of the montreal lunches, and helped by sharing views on the commons with Kër Thiossane from Dakar.

On April 19th 2012, Communautique organized the first working lunch « Commons lunches » at its offices in Montreal. The context of the event was remarkable; for two months already an unprecedented social movement initiated and driven by students had taken over…

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Projets complétés
Projets passés et présents
30 août 2020
Chargement/Site 2#_2fdba4ade38446b7fbce9ac443ba3d6fPrix de la Banque royale de Suède en sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel

Déclaration du prix Nobel en économie 2009.

Elinor OstromX Nobel price

Déclaration du prix Nobel en économie 2009. Elinor OstromX Nobel price

https://www.remixthecommons.org/?p=956Non classifié(e)
Projets passés et présents
30 août 2020
Chargement/Site 2#_367916d6b58f98160e9c19bc254c2720Hosting the Commons

Par Samantha Slade

« De là où je me trouve aujourd’hui , l’un des défis de l’émergence d’un mouvement tel que celui pour la promotion des communs, réside dans la façon dont nous construisons la communauté et la façon dont nous élaborons différentes manières d’incarner les valeurs de ce qui fait le commun. Il s’agit d’une question épineuse : comment pouvons-nous reconnaître la vaste expérience et expertise sur les biens communs et nous rassembler de façon inclusive et équitable en mode d’ « en-commun » participatif ? L’ art de recevoir (Art of Hosting) a certainement quelque chose à nous offrir ici, mais aussi , et surtout, ceux qui vivent et font consciemment le travail quotidien de  l' »en-commun » (commoning) dans toute sa complexité, ont de profonds enseignements à partager pour construire notre capacité collective. »

Voir<a href="http://www.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/"> l’article</a>

Par Samantha Slade « De là où je me trouve aujourd’hui , l’un des défis de l’émergence d’un mouvement tel que celui pour la promotion des communs, réside dans la façon dont nous construisons la communauté et la façon dont nous…

https://www.remixthecommons.org/?p=3545Non classifié(e)
Vidéos
7 décembre 2019
Chargement/Site 2#_391b44eaa62423d592557b171eef3d00Glossary Of The Commons, First Experiments

Le 12 octobre, profitant de la <a href="http://villes.bienscommuns.org/evenement/qdxuznugt0p/view">rencontre ouverte parisienne</a>, une quinzaine de personnes, designers en formation et chercheurs se retrouvent autour de l’expérimentation simultanée de diverses formes de sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités, de leur définition à travers la mobilisation de ressources multimédia, elles aussi variées, et de mises en forme et éditorialisation de ces éléments.

<figure id="attachment_2901" aria-describedby="caption-attachment-2901" style="width: 450px" class="wp-caption alignnone"><a href="wordl-mots-enjeux-RBC.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" src="wordl-mots-enjeux-RBC.jpg" alt="graph réalisé à partir des mots clefs enjeux de Remix Biens communs et initialement publié sur le site de Savoircom1" width="450" height="281" class="size-full wp-image-2901" /></a><figcaption id="caption-attachment-2901" class="wp-caption-text">graph réalisé à partir des mots clefs enjeux de Remix Biens communs et initialement publié sur le site de Savoircom1</figcaption></figure>

A l’occasion de la<a href="http://villes.bienscommuns.org/evenement/qdxuznugt0p/view"> rencontre ouverte sur les biens communs</a> organisée par les collectifs porteurs de Paname en Biens Communs, sera conduite une expérience qui participe de l’élaboration d’un glossaire multimédia des biens communs. L’idée, l’envie de glossaire des biens communs est dans l’air du temps. Elle répond à un besoin qui s’est exprimée à travers diverses démarches. En avril dernier, le collectif Savoirscom1 à élaboré une première liste de termes à mieux définir tirés de son appel. Avec Remix The Commons, nous travaillons depuis le printemps sur l’organisation des documents à travers des « mots clefs enjeux des communs », qui doivent être définis en complément de la <a href="http://surface.syr.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1023&context=sul">cartographie des nouveaux communs de C. Hess</a>. De plus, chacun s’accorde sur la nécessité d’enrichir les définitions en français des termes en rapport avec les biens communs dans wikipédia et un <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet</a> vient d’être lancé dans ce sens qui sera nourrit par un atelier qui se déroulera le 15 octobre à Paris. Enfin, d’autres initiatives émergent s’inspirant du <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a> et de l’exploration du design des formes de communication et collaboration numériques par et autour de Knowtex et l’IRI. Ces initiatives se rejoignent et profitent du tempo de Panam en biens communs.
A ce stade, le glossaire des biens communs est perçu comme une sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités. La liste des termes d’un glossaire des biens communs n’est pas figée. La définition fait appel à l’usage de documents multimédia choisis, organisés selon différents formats avec au premier rang celui désormais classique de wikipédia. Ces démarches de publication sont participatives et explorent des scénarii d’expérience utilisateur. A ce stade, il s’agit d’explorer diverses voies et de tirer les leçons de l’expérience plus que produire en direct un produit fini.
L’élaboration des premières listes de termes met en évidence la tension entre la problématique de la définition et celle de l’éditorialisation qui sou-tendent des projets plus ou moins explicites. Un premier croisement des termes utilisés dans le manifeste savoircom1 avec ceux de Remix the commons donne par exemple la mind map suivante réalisée avec Pierre-Carl Langlais.
<a href="Biens-communs-wikipédia-20130930-e1381355634741.jpeg"><img decoding="async" loading="lazy" src="Biens-communs-wikipédia-20130930-e1381355634741.jpeg" alt="Biens communs wikipédia 20130930" width="600" height="388" class="alignnone size-full wp-image-2903" /></a>
Le 12 octobre, l’expérience est décomposée en 3 processus. Un groupe se consacre à identifier des éléments (termes pertinents et contenus, supports, objets contribuant à les définir) en vue de les recomposer à travers un dispositif développé par le collectif Encyclopetrie (à l’initiative du <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a>. Un autre groupe, piloté par les porteurs du<a href="http://livemapping.fr/"> projet mind-mapping</a> fera un travail de cartographie dans le but de mettre en évidence les liens entre les termes du vocabulaire utilisé dans les conversations. Enfin un denier groupe de travail conduira des interviews audio autour de termes en lien avec les communs et de leurs définitions (inspiré de <a href="http://notesondesign.org/biens-communs-10-definitions-partie-2/">la démarche de Sylvia Fredricksson</a>. Cette démarche n’a pas vocation à interférer avec le déroulement ou rendre compte de manière exhaustive de la rencontre. Elle propose des formes complémentaires de lecture de l’événement.
Le 15 octobre, l’atelier wikipédia apportera une approche complémentaire avant que les premières leçons ne soient tirées de l’expérience.

F. Sultan

Le 12 octobre, profitant de la rencontre ouverte parisienne, une quinzaine de personnes, designers en formation et chercheurs se retrouvent autour de l’expérimentation simultanée de diverses formes de sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités,…

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2 novembre 2020
Chargement/Site 2#_3b95df8396248a389e42154683b7fedeLa terre de l’autre – Interviews Of Étienne Le Roy

<iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe>

This interview of Etienne Le Roy, made in Paris March 4, 2014, while presenting his work on land ownership synthesized in his book ‘The land of the other. An anthropology of land ownership schemes’ introduces us in the heart of anthropological paths of one of the founders of French anthropology of Law and awakens our curiosity to question otherwise, and by sharing with others, our world.

« The other is not a gap to fill. It is a fullness to discover. » Christoph Eberhard

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This interview of Etienne Le Roy, made in Paris March 4, 2014, while presenting his work on land ownership synthesized in his book ‘The land of the other. An anthropology of land ownership schemes’ introduces us in the heart of…

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15 janvier 2022
Chargement/Site 2#_3f15fdb511a0029811d89f184fbf5e0aFLOK Society, A Research Project For The Transition In Ecuador

How commons could be the base of a transition of the society? The equator is launching an initiative to bring together hackers and indigenous communities around the sharing of knowledge.

Original article published <a href="http://floksociety.org/en/2013/09/18/michel-bauwens-arriba-al-ecuador/">here</a>

The FLOK Society welcomes Michel Bauwens to Ecuador. Bauwens, a founder of the P2P Foundation, flew into Quito on Sept. 17 to begin collaborating towards a fundamental reimagination of Ecuador.

Bauwens will lead a research team that is proposing to unleash a participatory, global process with an immediate implementation in Ecuador. The process will remake the roots of Ecuador’s economy, setting off a transition into a society of free and open knowledge.

In the first semester of 2014, Bauwens will assist in setting up a global network of transition researchers. The P2P Foundation is a global network of researchers that is documenting the shift towards open, participatory and commons-oriented practices in every domain of human activity, but especially also the shift from collaboration on open knowledge and code, towards cooperation in open design, open hardware, open science, open government, and the shift towards open agricultural and open machining practices that have great potential for increasing the productivity and sustainability of farming and industrial processes.

Ecuador is the first country in the world which is committing itself to the creation of a open commons knowlege based society. In order to achieve the transition to a ‘buen saber’, or ‘good knowledge’ society, which is an extension of the official strategy towards a ‘buen vivir’-based society, the Advanced Studies Institute (IAEN by its ]Spanish initials) in Quito, Ecuador, led by the rector Carlos Prieto, has initiated a strategic process, called the FLOK Society Project, which aims to organize a major international conference in March 2014, and will produce 10 strategic documents proposing transition policies towards the good knowledge society, which will be presented to the Ecuadorian citizens through intensive participatory processes, similar to those that took place for the establishment of the new Constitution and the ambitious National Plans, which set the guidelines for government policy.

While Buen Vivir aims to replace mindless accumulative economic growth to a form of growth that directly benefits the wellbeing of the Ecuadorian people, Buen Saber aims to create the open knowledge commons which will facilitate such a transition. FLOK stands for ‘Free Libre and Open Knowledge. In order to establish these transition policies and documents, IAEN has connected itself with the global hacker and free software movement, but also with its extension in the many peer to peer initiatives that directly aim to create a body of knowledge for physical production in agriculture and industry.

The P2P Foundation knowledge base has also focused on documenting new policy and legal frameworks being set up by sharing cities such as Seoul, San Francisco, and Naples ; and regions such as Bordeaux, Open Commons Region Linz in Austria, South Sudan, the Cabineto Digital of Rio del Sur, and more. It’s database of 22,000 global commons initiatives has been viewed nearly 25 million times and attracts 25,000 researchers, activists, users and readers on a daily basis. Michel Bauwens is also the author of a Synthetic Overview of the Collaborative Economy, an external expert for the Pontifical Academy of Social Sciences, a member of the Hangwang Forum in Chengdu that works on industrial sustainability, and engaged in a research project for Leuphana University on digital liquid democracy. As a founding member and partner of the Commons Strategies Group, he co-organized two global meetings on the commons, the last one in May 2013 in Berlin was dedicated to the emerging field of Commons-oriented Economics.

In March, the P2P Foundation organized a ‘global hispanic wikisprint’, with the help of Spanish-Brazilian activist Bernardo Gutierrez, in which more than registered 500 individuals and collectives, in more than 60 cities and 23 countries, mapped the open, p2p, sharing and commons initiatives in their region and areas of activities, resulting in a Latin American network of connected activists and scholars.

IAEN believes that the connection between the hacktivism communities, the FLOK Society, and the global and hispanic networks active in constructing open commons will be vital to create a synergy with the local actors of Ecuadorian society, and will help us accomplish the mayor goal we have set for ourselves as a country.

How commons could be the base of a transition of the society? The equator is launching an initiative to bring together hackers and indigenous communities around the sharing of knowledge. Original article published here The FLOK Society welcomes Michel Bauwens…

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2 novembre 2020
Chargement/Site 2#_411e8bf61b798e2bb1da4daf59f27e06Remix Biens Communs présenté sur Revista Pillku

Santiago Hoerth Moura from <a href="http://www.pillku.org/">Revista Pillku</a> met Alain Ambrosi in Mexico City last November 2012 during the preparatory meeting for the <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">Economics, Commons Conference</a>. They have discussed about commons and about Remix the Commons project. Santiago Hoerth Moura has published the following interview in Spanish.

Entrevista con Alain Ambrosi

Remix the Commons es una plataforma de intercambio multimedia

Alain Ambrosi es de Québec, la ciudad de Montreal en Canadá y trabaja para una organización que se llama COMMUNOTIC como investigador asociado, y específicamente para un proyecto que se llama Remix the Commons o Remezcla los comunes que es un proyecto internacional de plataforma en la web.

Por Redacción Pillku

¿Cuál es tu experiencia de trabajo con los comunes?

Mi experiencia de trabajo en los comunes empieza en la documentación de todo lo que se hace y lo que se dice sobre los comunes desde hace ya tres años. Empezando en el Foro Social de Belém en 2009, donde tuvimos el primer Encuentro Internacional Ciencia y Democracia, donde se habló de los commons. En este tiempo se hablaba de los bienes comunes, y la declaración final de este foro social mundial de Belém integró una declaración de recuperación de los Bienes Comunes. Desde este tiempo yo hice como siguiendo un poco las manifestaciones, conferencias, que se hacían sobre los comunes, hubo después la conferencia de Berlín organizado también por el Commons Strategies Group pero con la Fundación Heinrich Böll, era el primer encuentro donde la gente de los comunes materiales y de los comunes inmateriales se encontraron por primera vez digamos. Y fue en esta ocasión que hemos pensando y lanzado la idea de un proyecto que se llama Remix the Commons.

Entonces contamos un poco en qué consiste Remix the Commons.

Remix the Commons es una plataforma de intercambio de difusión, de producción, de documentos multimedia sobre el tema de los comunes. Es una plataforma socio-técnica, donde preferimos hablar más de lo socio que de lo técnico, y decir que es una plataforma que es un espacio de co-creación sobre los comunes. Entonces hemos empezado con entrevistas en todas estas reuniones, foros sociales, pero estamos integrando varios documentos sobre los comunes. Pero la plataforma no es solamente una cosa que va hacer sobre internet; es realmente un espacio de trabajo de co-creación, quiere decir que ya tenemos un montón de problemas que resolver, problemas técnicos que para nosotros es algo menor, pero a nivel jurídico legal porque vamos a hacer circular imágenes, videos, lo cual es un problema grande, y a nivel económico también, porque hay que sustentar este tipo de proyectos y ya tenemos varias ideas de trabajar a nivel de los comunes, porque nosotros nos consideramos com un bien común, quiero decir el proyecto Remix the Commons, queremos funcionar como un bien común, una comunidad de “partenarios” que van a decir las reglas propias, para ir adelante con el proyecto.

Entonces tenemos otras dimensiones muy importantes, como la gobernanza, como cuáles reglas vamos a poner y, también, otra dimensión que me parece muy importante que es la dimensión intercultural porque es muy difícil, por ejemplo que hemos visto desde el principio en Berlín: hace dos años tenemos una serie de entrevistas, de series que hablan de los comunes en chino o en otros idiomas, y se ve que el concepto mismo de commons corresponde a algo bien profundo en todas las culturas, y a veces hay diferencias, etc., y entonces es un desafío que me parece muy grande eso, el de la interculturalidad, las traducciones, etc.

Remix The Commons es un proyecto colaborativo sobre obras multimedia. Su objetivo es documentar e ilustrar las ideas y prácticas en torno a la cuestión del bien común en el proceso creativo. Para conocer más su trabajo visita: <a href="https://www.remixthecommons.org">https://www.remixthecommons.org</a>

via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a>

Santiago Hoerth Moura from Revista Pillku met Alain Ambrosi in Mexico City last November 2012 during the preparatory meeting for the Economics, Commons Conference. They have discussed about commons and about Remix the Commons project. Santiago Hoerth Moura has published…

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30 août 2020
Chargement/Site 2#_432a085a00758e2f54192e1305c650a1Chartes de gouvernance

Quelle gouvernance du projet Remix Biens Communs et quel modèle de gouvernance en biens communs ?

Sous la direction du LARTES-IFAN, la coordination de la dimension Gouvernance a travaillé à la mise en place d’un prototype de charte de gouvernance du projet et de la plateforme REMIX. Elle a, en outre, réalisé deux films documentaires de 12 minutes sur des expériences de conception et mise en oeuvre de chartes, l’une dans un quartier de Dakar et l’autre sur la charte nationale sénégalaise : Charte de Bonne Gouvernance Démocratique et Charte de bon voisinage, éloignez votre poubelle ! omme processus exemplaire de production de Bien Commun. Elle a, enfin, assemblé un certain nombre de ressources et liens ciblés pour aussi bien faciliter une mise à niveau documentaire, qu’élargir le champ de possibilité des collaborations scientifiques dans le cadre du mouvement de l’économie sociale et des Biens Communs.

Futur développement

Les recherches sur la pratique de charte de gouvernance se poursuivent et seront amenées à venir nourrir la réflexion de praticiens des biens communs.

Collaborateurs/trices

Abdou Salam Fall et Abdou Rahmane Seck, chercheurs au LARTES au Sénégal

Financement

Le projet de « Chartes de gouvernance » fait partie des travaux de recherche conduits par le LARTES IFAN. Il a été partiellement financé par la Francophonie au travers de Remix Biens Communs.

Rôle de Remix Biens Communs

Remix Biens Communs est un espace de rencontre entre chercheurs et praticiens pour le développement de pratiques de gouvernance basées sur les communs.

Quelle gouvernance du projet Remix Biens Communs et quel modèle de gouvernance en biens communs ? Sous la direction du LARTES-IFAN, la coordination de la dimension Gouvernance a travaillé à la mise en place d’un prototype de charte de gouvernance…

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4 février 2021
Chargement/Site 2#_4a89f8326da25558eacafa2f54c4913aDefine The Commons #1

Define the commons #1, is the first serie of 20 videos and remixes of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">Define The commons</a>. This serie has been gathered at the <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin, November 1 and 2, 2010,

Presentation

<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">Define The Commons</a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world.

The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings.

Future developpement

Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.

If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).

Collaborators

This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.

Funding

The project have been launched within the framework of the prototyping phase of Remix The Commons supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).

Contribution of Remix The Commons

Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.

Define the commons #1, is the first serie of 20 videos and remixes of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for Define The commons. This serie has been gathered at the International Commons Conference, co-organized…

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2 novembre 2020