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De Remix Biens Communs
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Emission de radio Communs urbains, l'atlas dédiée au Festival des murs à pêches à Montreuil  +
Fiche de proposition ou contribution au débat de la journée Finance Autrement RIODDdu 25.05.18  +
Etude de cas réalisée dans le cadre de la préparation des rencontres de Guérande sur la gestion en bien commun de l’herbe, de l’eau et des forêts en vallées d’Aspe, d’Ossau et de Barétous, Pyrenées-atlantiques (France). Dans les trois vallées d’Aspe, d’Ossau et de Barétous, situées dans le Haut-Béarn (Pyrénées-France), les forêts et les pâturages appartiennent, en commun aux usagers et aux communes. Les modes de gestion « en commun », qui en découlent sont une particularité locale, fruit d’un héritage historique fort qui a su évoluer depuis le moyen-âge. Dans ces territoires de montagne qui subissent une crise économique depuis des décennies, l’hydroélectricité est aussi une opportunité économique importante pour la majorité des petits villages à la recherche de revenus locaux qui leur permettront de conserver leurs habitants, voir d’en attirer de nouveaux.  +
Taif Nizar (Titre anglais: Nizar's spectrum), Un film qui revisite les années de plomb au Maroc. Le spectre de Nizar (titre du film,En français) fait référence au poète Nizar Kabani qui incitait à la révolte, à l‘amour et la liberté, dans un pays ou la liberté a souvent été bafouée. Khalid, médecin urgentiste a Casablanca, se retrouve au centre d’une enquête sur des meurtres politiques.  +
Ali, impliqué malgré lui dans une affaire politique, passe vingt ans en prison pour meurtre. À sa sortie, tout est bien différent, son groupe d’amis s’est éclaté, chacun mène sa vie, Ali n’a plus cette place privilégiée d’autrefois. Seules Rabia et sa fille offrent une solution de réintégration et de réconciliation avec le passé, pourtant douloureuses à réaliser. Ahmed Boulane (Réalisateur), Né à Sale en 1956, il est renvoyé de l’école a 15 ans. De 1974 a 1979, il est membre de la troupe nationale d’art dramatique de la RTM et du théâtre Mohamed V en tant que comédien. De 1979 a 1980, il voyage en Italie pour des études cinématographiques interrompues. A partir de 1981, il entame un parcours complet dans le cinéma, successivement comme de films internationaux. Depuis 1999, il se consacre à la production et le passe, fut un succès et reçut le prix du Vatican. Son premier long métrage ali ,rabiaa et les autres…remporta plusieurs prix internationaux et lui donna une crédibilité immédiate. Son deuxième film, Les anges de Satan, fut premier au box office en 2007.  +
Mona Saber, raconte I’historie d'une jeune fille qui revient au pays sur les traces de son père disparu lors des années de plomb. Articule autour d'un lieu emblématique, Derb Moulay Cherif, le film est le récit d'une quête d'identité a travers l'espace de la mémoire dans le Maroc d'aujourd'hui. Diplôme de l’École Louis Lumière et d’un 3eme cycle en cinéma a la Sorbonne sous la direction de Jean Rouch, Abdelhaï Laraki alterne ses activités créatives entre publicité, télévision et cinéma, II signe des campagnes de sensibilisation pour le ministère de la sante, I’OMS et le CCDH (actuel CNDH). Son travail ne se conforme pas aux conventions établies, il utilise ainsi librement le cinéma tout comme la télévision pour poser un regard singulier sur la société marocaine contemporaine : les années de plomb dans Mona Saber (2001) son premier long métrage ; le pouvoir de l‘argent dans Rih El Bahr/ Parfum de Mer (2006) ; les femmes battues et les mères célibataires dans la série télévision M’me Taja (2009-2011) et Jnah I’Hwa / love in the Medina (2011) qui, comme ses précédents films, nous invite à une réflexion sur I’Homme, son Rapport à la société, à l‘histoire, à I’Islam et au pouvoir.  +
JAWHARA, petite fille fruit d’un viol dans une prison, a grandi pendant six ans derrière les barreaux, aux côtés de sa mère. Avec son regard innocent, elle observe ce monde carcéral et raconte de sa voix juvénile l’histoire de ses parents, sa mère SAFIA, et son présumé père, SAID qui formaient un jeune couple fougueux, enthousiaste et idéaliste qui s’activait pleinement avec d’autres jeunes, au sein d’une troupe de théâtre, avant d’être incarcérés et de connaître les affres de la torture, de l’humiliation et des conditions de vie inhumaines et laborieuses du milieu carcéral. Sa recherche de la vérité la mène au drame... Saad Chraïbi(Réalisateur),Né le 27 Juillet 1952 à Fès (Maroc). Frère d'Omar Chraïbi, il fait des études de médecine (1968-1970) à la Faculté de médecine de Casablanca. Il passe une année à l'Université de Fancine (France), option: communication. C'est dans le contexte du mouvement marocain pour le cinéma amateur (FNCCM) qu'il débute sa carrière de réalisateur, et fonde, en 1973, le ciné-club " Nadi Al Azaïm" à Casablanca qui va durer jusqu'à 1983. Il est l'un des co-réalisateurs du film collectif Les Cendres du clos / Ramâd al-zariba (1977) tandis qu'il réalise seul plusieurs courts et moyens métrages. Il a publié plusieurs articles de journaux et a surveillé l'animation de plusieurs assemblées et séminaires dans le cadre de l'université. Il s'occupe de réalisation, écriture de scénarios et direction de production.  +
La chambre noire (Black Room ), Kamal et Najat travaillent tous les deux à l'aéroport. Follement amoureux, ils fondent ensemble de grands projets d'avenir. Malheureusement, le passé d'ancien étudiant marxiste-léniniste rattrape Kamal. Commence alors une longue descente aux enfers : enlèvement, interrogatoires, tortures. Kamal refuse de charger ses camarades en contrepartie de la clémence des juges. Le verdict sera lourd. Hassan Benjelloun, Ne en 1950, pharmacien, il est aussi un cinéaste soucieux des problèmes que vit la société marocaine qu’il transcrit dans ses films. ll réalise en 1983, son premier court métrage sens unique. Ensuite, il réalisa plusieurs longs métrages : la fete des autres(1990) ; Yarit(1994) ; LES amis d’Hier(1998) ; les levres du silence(2000) ; Jugement d’une femme(2001) ; le Pote(2002) ; ou vas-tu Moshe(2007) et les oublies de i ‘histoire(2009). La Chambre noire(2004) reçut une mention spéciale aux journées cinématographiques de Carthage en 2004 et l’étalon d’argent du long métrage au FESPACO 2005  +
Le jour de sa sortie de prison, Zoubeir, un jeune délinquant se voit investi d’une mission : retrouver un parent ou ami de Mokhtar, un ex-détenu devenu amnésique durant les dernières années de sa captivité. À la recherche d’indices, ils vont vivre un voyage pénible à travers leur propre mémoire. Zoubeir, encore fortement marqué par le souvenir de son père assassiné, tente de retrouver les traces du passé de Mokhtar en le menant sur les différents lieux où il a vécu. Le jeune homme commence à avoir des doutes sur son compagnon de voyage : est-il un politique ou ce voleur qui porte le même nom ? A-il dénoncé des camarades, dont le père de Zoubeir, pour échapper à la torture ? Dans ce road movie, le réalisateur évoque, avec un scénario à suspense, les blessures et les traumatismes des années soixante-dix, ces « années de plomb » du Maroc, durant lesquelles la répression policière était sans merci, les opposants et intellectuels étaient enlevés pour être jetés, tels des bêtes, dans des prisons aux conditions de détentions inhumaines. N.B. Jillali Ferhati interprète lui-même, avec une sobre justesse, le rôle de Mokhtar. Jillali Ferhati (Réalisateur), Ne en 1948, il a fait des études de sociologie. Son premier travail cinématographique est un court métrage carom, réalise en 1973.En 1977, il a réalise son premier long métrage Une brèche dans le mur puis Poupées de roseau en 1981, la plage des enfants perdus en 1991, Chevaux de fortune en 1995, Tresses en 2000 et mémoire de détention en 2004. Ses films ont reçu des prix un peu partout et ont alimenté beaucoup de critiques et de réflexions, ce qui confirme le statut d’auteur de cinéma qui est le sien.  +
Dans une situation d'urgence climatique où modes de vie carbonifères des élites économiques sont de plus en plus pointés du doigt, Edouard Morena parle du rôle de ces acteurs qui sont accusés de fuir leurs responsabilités. Or, loin d'être des observateurs passifs et détachés ou des preppers haut de gamme, les élites économiques sont des acteurs clés du débat climatique international. Elles sont les promoteurs acharnés du capitalisme vert, un projet politique taillé sur mesure et qui garantit leurs intérêts de classe dans un monde en surchauffe. Cette rencontre est aussi l'occasion de présenter son livre titré justement « Fin du monde et petits fours : Les élites transnationales face à la crise climatique ».  +
Cet espace de travail met à disposition de tous les "matériaux" (interventions, débats, études, notes, références et recensions...) proposés par les participants à la journée '''Finance autrement''' organisée à le RIODD dans le cadre de La Semaine du Management 2018.  +
Le groupe de travail « Finance en biens communs » (Finance-BC) a été conçu, au cours de l’année 2014 comme un atelier de réflexion sur la problématique de la finance vue à travers la perspective des « biens communs » (au sens des Common-pool resources étudiées par Elinor Ostrom).  +
Note de proposition de plan de travail pour le groupe Finance et commun  +
Comment la réflexion sur la place des communs de la connaissance inspire-t-elle les forces de la transition ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ? Ce séminaire, loin d'épuiser le sujet, est un moment pour ébaucher les pistes de travail qui permettent de mobiliser les forces de la transition, qu'il s'agisse d'activistes ou de chercheurs, de acteurs publics ou de la société civile. Pour explorer ces questions, le séminaire se structure autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Le dialogue sur ces trois axes de travail sera précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps de bilan du séminaire.  +, Le séminaire FLOK Society de Villarceaux s'est déroulé à la suite des travaux de Michel Bauwens en Equateur en 2014. Il a été organisé autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes, objets en transformation du projet FLOK Society : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. <br/>Le dialogue sur ces trois axes de travail a été précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps d'échange sur les perspectives et suites possibles du séminaire.  +, Le séminaire FLOK Society de Villarceaux s'est déroulé à la suite des travaux de Michel Bauwens en Equateur en 2014. Il a été organisé autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes, objets en transformation du projet FLOK Society : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. <br />Le dialogue sur ces trois axes de travail a été précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps d'échange sur les perspectives et suites possibles du séminaire.  +
Dialogues et développement d'outils pour les transformations du marché, de la puissance publique et de la société civile basées sur les communs.  +
EN :Food, a life enabler and a cultural cornerstone with multiple meanings, is governed as a mere commodity by the neoliberal food policies that prevail in Europe. These meanings so relevant to human are reduced to the one of tradeable good (see fig 1) and the value of food is mixed with reduced its price in the market. This video denounces that reductionist approach and presents an alternative narrative to revalue food as a commons (nothing but a social construct) and to recognise the benefits of existing commons-based food systems in Europe (rural-customary and urban-contemporary). This paradigm shift will open up a new set of food policies that will help Europe to transit to a fairer, healthier and more sustainable food system. For a detailed explanation of this approach, see here the policy document presented at the European Assembly of Commons (Brussels, 15-17 November 2016). :See the paper: https://frama.link/Food_as_common_goods FR :La nourriture, un catalyseur de la vie et une pierre angulaire culturelle aux multiples sens, est gouvernée comme une simple marchandise par les politiques alimentaires néolibérales qui prévalent en Europe. Ces ressources si importantes pour les humains sont réduites à des biens négociables et la valeur de la nourriture est confondue avec son prix sur le marché. Cette vidéo dénonce cette approche réductionniste et présente un autre récit pour réévaluer l'alimentation en tant que commun (rien d'autre qu'une construction sociale) et pour reconnaître les avantages des systèmes alimentaires communautaires existants en Europe (rural-coutumier et urbain-contemporain). Ce changement de paradigme ouvrira une nouvelle série de politiques alimentaires qui aideront l'Europe dans sa transition vers un système alimentaire plus juste, plus sain et plus durable. Pour une explication détaillée de cette approche, voir aussi le document de proposition politique présenté à l'Assemblée européenne des Communes (Bruxelles, 15-17 novembre 2016). :Voir la proposition : https://frama.link/Food_as_common_goods (en anglais)  
Intervention de Michel Bauwens au colloque de Cerisy "Vers une République des biens communs ?" Extrait : "Je fais l'hypothèse que le capitalisme a changé d'un capitalisme anti-commun qui employait le travail comme commodité pour créer des marchandises vers un capitalisme qui facilite les dynamiques du commun et qui essaye de capter directement la sur-value créée par les communs. Par exemple IBM paye 2000 personnes pour produire Linux mais profite des 25 000 personnes qui sont payées par ses concurrents et des 25% qui ne sont pas payés du tout parce que ce sont des volontaires qui travaillent sur Linux pour améliorer leur propre activité. Pour une firme capitaliste, s'insérer dans une dynamique de commun est donc intéressant. Comme l'a dit Eben Moglen, avocat de Free Software Foundation : "The commons is the wet dream of both communists and capitalists alike". Tout ce qui est gratuit est intéressant pour un capitaliste."  +
Notes de la présentation de Francesco Brancaccio dans le cadre du séminaire DCENT le 15 novembre 2017  +
Témoignage de Frédérick Stambach, Médecin généraliste, Membre du Collectif Soignons Ensemble, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.  +
Une interview avec Friederike Habermann réalisée par AMBROSI Alain lors de la conference Economics and the Commons à Berlin le 25 mai 2013.  +