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De Remix Biens Communs
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Affichage de 20 pages utilisant cette propriété.
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Modèle de statut de communaté paysanne dans la région de Galice en Espagne.  +
Une conversation animée par  Ludwig Schuster avec Gwendolyn Hallsmith, Pat Conaty, Anne Snick et Handro Sangkoyo à l'Economics and the Commons Conference de Berlin en mai 2013.  +
Remix de la définition des biens communs réalisé à partir d'entrevues filmées au cours de la conférence de Berlin.  +
Remix de la définition des biens communs réalisé à partir d'entrevues filmées au cours de la conférence de Berlin.  +
Remix de la définition des biens communs réalisé à partir d'entrevues filmées au cours de la conférence de Berlin.  +
The Montreal Charter is created for the citizens of Montreal. It demonstrates the values shared by the citizens of Montreal to facilitate and establish the principles of rights and responsibilities in Montreal's development and the ongoing improvement of public services. The charter was written and launched on the 20th of June 2005 has been edited several times over the years. The charter is still in effect. La Charte de Montréal est créée pour les citoyens de Montréal. Il illustre les valeurs partagées par les citoyens de Montréal afin de faciliter et d’établir les principes des droits et responsabilités dans le développement de Montréal et de l’amélioration continue des services publics. La Charte a été écrite et lancée le 20 juin 2005 a été modifiée plusieurs fois au cours des années. La Charte est toujours en vigueur.  +
Vidéo réalisée pour la conférence Economics Commons Conference Berlin 2013 Sous-titrage: Anglais, français, espagnol  +
This document is a general document concerning cities that have the potential maintain and manage commons on an international level, though much of the content focuses on Latin American cities. It is a publication explaining the international process of providing legal rights for urban residents who wish to pursue collaborative commons-based agendas for their communities. It was written in 2015 and is still in effect today.  +
Cette page rassemble la documentation sur les initiatives de conservation des murs à pêche à Montreuil en Ile de France  +
Etude comparative historique entre le mutualisme et l'économie collaborative conduite par Bruno Carballa. Quels liens pourraient s'établir entre le mutualisme et l'économie collaborative ? Cette étude montre les points en commun entre ces deux mondes au niveau théorique (valeurs et pratiques partagées) et comment le mutualisme pourrait s'insérer dans l'économie collaborative et favoriser son essor. Une première partie retrace brièvement les points les plus marquants de l'histoire du mutualisme français. La deuxième partie expose les grands défis actuels du mutualisme. La troisième partie analyse le concept d'économie collaborative et celui de «commun» pour montrer les points de contact et les frontières que s‟établissent entre les deux mondes. Mémoire de recherche rédigé dans le cadre d’un stage à la MAIF.  +
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Voici un remix réalisé par Emiliano  +
Un bâteau bien commun qui vogue sur un fleuve bien commun. Un apprentissage pour les jeunes en quête de sens et d'identité, et un moment de répit pour les amateurs de tout âge. Les eaux du Saint-Laurent, une ressource à protéger et à découvrir.  +
« Neuf essentiels » est une initiative éditoriale de l’asbl Culture & Démocratie qui consiste en la compilation, introduite et commentée, d’au moins neuf notices bibliographiques concernant des ouvrages utiles pour qui veut s’informer sur un sujet d’actualité touchant à la culture et/ou à la démocratie.  +
Ici il est possible de consulter l'ensemble des newsletters réalisées dans le cadre du Projet CC-Corde (Climate Change, Commons & Radical Democracy in Europe) qui a touché 20 villes réparties dans 9 pays : Italie, Belgique, Allemagne, Danemark, Suède, Croatie, Serbie, Hongrie et Espagne. Elles sont disponibles en français et en anglais. L'objectif de ce parcours était de rencontrer des acteur.rice.s qui expérimentent des formes de démocratie plus radicales et inclusives dans un but de réappropriation des pouvoirs et des ressources par les citoyen.ne.s.  +
Présentation du le "Chèque solidaire", coopérative ouverte de consommateurs entreprise à but lucratif à vocation philanthropique.  +
Nouveau Monde est un projet de « road movie » documentaire démarré à l’automne 2012, dont la sortie est prévue en décembre 2015. Un film sur des alternatives prometteuses, une pensée positive et créative pour une société rééquilibrant l’humain, la nature et l’économie. Suivre le projet : http://www.latroisiemerevolutionindustrielleennordpasdecalais.fr/2015/04/14/nouveau-monde/  +
Un clip de l'album Ma quête vol.2 (juillet 2013) qui présente le phénomène d'accaparement des terres (land grabing)  +
Une conversation avec Ana Saravelli et Kai Ehlers modérée par Miguel Said Vieira lors de la Conférence internationale Economic And The Commons qui se déroulait à Berlin en mai 2013.  +
Intervention de Lionel Maurel dans le cadre du colloque "Vers une République des biens communs ?" Né le 31 mars 2016 en opposition à la Loi Travail "et son monde", le mouvement Nuit Debout s'est transformé plusieurs mois durant en une occupation de la Place de la République à Paris, qui a essaimé dans de nombreuses villes de France et au-delà. S'inscrivant dans la filiation des mouvements d'occupation des places initiée avec les Indignés de Madrid et Occupy Wallstreet, les liens entre Nuit Debout et les Communs interrogent. Les Communs ont en effet joué un rôle notable pendant ou après certains des mouvement sociaux anti-austérité de ces dernières années, que ce soit pendant le Printemps Érable au Québec en 2012, lors de l'occupation de la Place Syntagma en Grèce ou avec les listes politiques issues du 15 M en Espagne qui ont remporté les élections à Madrid et Barcelone. Pour Nuit Debout, ce lien est cependant plus complexe à établir. Alors même qu'un tissu des Communs s'est développé en France et commence à se structurer, on ne trouve que peu de références aux Communs dans les textes qui ont été produit par les militants de Nuit Debout. Les acteurs des Communs n'ont pas réellement produit en tant que tel un discours contre la loi Travail et s'ils ont été assez nombreux à participer à Nuit Debout à titre individuel, on ne peut pas dire que les Communs se soient emparés de ce mouvement collectivement. Pourtant, lorsque l'on regarde le mode de fonctionnement concret de Nuit Debout, notamment au niveau de l'occupation de la Place de la République à Paris, on constate que beaucoup des composantes du mouvement se sont structurées comme des Communs pour faire face aux défis logistiques et organisationnels auxquels elles étaient confrontées. C'est le cas notamment des commissions structurelles de Nuit Debout (Accueil, Sérénité, Cantine, Infirmerie, Logistique, Bibliothèque) qui ont permis au mouvement de tenir dans la durée. Ces groupes ont géré des ressources partagées en se donnant des règles de gouvernance ouverte que l'on peut analyser selon les principes dégagés par Elinor Ostrom. La place est aussi devenue pour beaucoup de populations marginalisées un lieu où venir puiser des ressources, réactivant des pratiques de glanage liées depuis des temps immémoriaux aux Communs. Nuit Debout pose aussi la question de l'appropriation de l'espace public comme un Commun et le mouvement a dû affronter des phénomènes d'enclosure initiés par les pouvoirs publics ou par des des acteurs privés extérieurs. Il a dû aussi lutter contre des tentatives de capture de l'action collective opérées de l'intérieur, visant à confisquer la gouvernance du mouvement ou ses moyens de communication. Le paradoxe de Nuit Debout est donc le suivant: ses acteurs ont agi au sein de processus qui peuvent être analysés comme des Communs et ils ont dû affronter les menaces qui pèsent traditionnellement sur les Communs. Mais seule une petite partie de ses membres l'ont fait consciemment et le discours des Communs transparaît au final peu dans les productions et revendications du mouvement. Pourtant, les Communs auraient sans doute pu apporter un élément qui a cruellement fait défaut au mouvement. Malgré l'objectif affiché de "convergence des luttes", Nuit Debout a en effet peiné à faire la synthèse entre les multiples revendications qui se sont exprimées en son sein, réfractées et éclatées parmi la multitude des commissions qui le composaient. Parvenant difficilement à dépasser des revendications vagues comme l'opposition au système capitaliste, Nuit Debout n'a pas réussi à articuler un projet alternatif cohérent. Or la pensée des Communs possède de son côté la capacité en embrasser un spectre très large, alliant questions sociales, économiques, environnementales, numériques, urbaines, éducatives et plus encore. Le "liant" théorique et idéologique qui a manqué à Nuit Debout aurait pu être trouvé du côté des Communs. Sachant par ailleurs que plusieurs penseurs des Communs, comme Michel Bauwens par exemple ou le duo Dardot et Laval, développent des discours révolutionnaires envisageant des scénarios de convergence sur la base d'alliances renouvelées entre groupes sociaux. Y a-t-il eu dès lors convergence réussie ou rendez-vous manqué entre Nuit Debout et les Communs? Comment modifier le discours sur les Communs pour lui donner un impact politique plus explicite et une plus forte capacité de mobilisation lors de mouvements sociaux comme Nuit Debout? Quelles convergences intellectuelles peut-on construire avec certaines figures ayant inspiré ce mouvement (Le comité invisible, Frédéric Lordon, François Ruffin)? Sur quels groupes sociaux peut-on enfin s'appuyer pour enclencher la "révolution des Communs" que certains appellent de leurs voeux?  
O
Le court-métrage « Ô Saint-Laurent : une histoire d’eau et d’appartenance », réalisé dans le cadre du projet Remix biens communs, donne la parole à une dizaine d’intervenants-tes montréalais qui oeuvrent à protéger les cours d’eau entourant la métropole et ses environs et à en favoriser l’accès pour les citoyens-nes. Bâtie sur une île, la Ville de Montréal a au cours de son histoire entretenu des liens étroits avec l’eau. Toutefois, les processus d’urbanisation et d’industrialisation qu’a connus la métropole au cours du dernier siècle ont graduellement contribué à éloigner la population de cette ressource primordiale. C’est dans un désir de réappropriation de l’eau en tant que bien commun que Communautique a rassemblé plusieurs acteurs-trices montréalais-es de la préservation et de la valorisation de cette précieuse ressource naturelle lors d’un Déjeuner des communs à l’automne 2012. Au cœur de cette rencontre dominait une question aux multiples réponses : Comment pouvons-nous nous réapproprier le fleuve Saint-Laurent comme bien commun ? Que ce soit par l’imaginaire d’une eau urbaine traversant la ville pour l’écrivain Lamberto Tassinari, par l’engagement citoyen pour la Fondation Rivières et ses représentants Roy Dupuis et Alain Saladzius, ou par l’éducation et l’apprentissage que prône le capitaine Simon Paquin sur son navire-école ÉcoMaris, « Ô Saint-Laurent : une histoire d’eau et d’appartenance » propose non seulement une réflexion sur l’eau en tant que bien commun, mais des pistes de solutions pour envisager son appropriation collective. Mots-clés: apprentissage, communauté, eau  +