Rechercher par propriété

De Remix Biens Communs
Aller à :navigation, rechercher

Cette page fournit une simple interface de navigation pour trouver des entités décrites par une propriété et une valeur nommée. D’autres interfaces de recherche disponibles comprennent la page recherche de propriété, et le constructeur de requêtes « ask ».

Rechercher par propriété

Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Description » avec la valeur « L'histoire du massacre des égyptiens installés à Marseille à la suite des conquêtes napoléoniennes à la fin de l'Empire, par un habitant de la ville. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 11 résultats à partir du nº 1.

Voir (20 précédentes | 20 suivantes) (20 | 50 | 100 | 250 | 500)


    

Liste de résultats

  • Chargement/Site  + (<p>Organisé par Remix The Commons, V<p>Organisé par Remix The Commons, VECAM et la radio Libre@Toi</p></br><blockquote><p>Projection débat : Les communs dans l’espace politique,<br /></br>retransmis en direct par la radio Libre@Toi,<br /></br>le 7 avril 2017, de 18:30 à 20:30<br /></br>à la Fondation pour le Progrès de l’Homme, 38, rue Saint Sabin, 75011 Paris – France</p></blockquote></br><p><H2>Quels sont les rapports des communs à la politique ?</H2></p></br><p>Entre conquête du pouvoir par les candidats aux couleurs des communs dans les grandes villes espagnoles , introduction dans la constitution du « buen vivir » (Bien vivre) en Bolivie et en Équateur, développement de chartes des communs à l’échelle des communautés en Grande Bretagne et adoption de règlements pour la protection des biens communs par les villes italiennes, ZADisme et expérience zapatiste, assemblées de commoners à travers le monde occidental, … ces dernières années ont vu les communs enrichir leur expérience du politique. Comment celle-ci peut-elle nous inspirer en France ?</p></br><p>Venez débattre à la suite de la projection du court documentaire « Les communs dans l’espace politique » (23′), réalisé à partir des témoignages des acteurs impliqués dans toutes ces initiatives, de la place des communs dans la transformation de la politique, des leçons qui peuvent être tirées de certaines de ces expériences, des défis et des dynamiques portées par le mouvement des communs.</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/04/Sylviafredriksson_du-possible.jpg" alt="Sylviafredriksson_du possible" width="640" height="640" class="aligncenter size-full wp-image-4658" /><br /></br>Par Sylvia Fredriksson Certains droits réservés</p></br><p>Au moment où la campagne des présidentielles bat son plein. Quel candidat n’a pas encore intégré dans son vocabulaire cette notion, jouant parfois sur la polysémie des termes et naviguant entre « Bien Commun », « communs » ou « biens communs »? Cet écho signale à la fois une grande pénétration de cette notion dans la société et un besoin de donner une consistance plus forte autour de l’idée que nous sommes capables de développer des mécanismes de coopération qui repartent de nos besoins et des usages pour construire de nouveaux droits.</p></br><p>Au cours de ce débat, nous nous intéresserons plus à la transformation des pratiques possibles dans la séquence politique qui est la notre, élections, perte de crédit du système institutionnel, qu’à faire l’inventaire ou le comparatif des mesures ou des promesses électorales des candidats et des partis.</p></br><p>« Les communs dans l’espace politique » (23′) est un document réalisé à partir d’interviews de militants rencontrés à l’occasion du Forum Social Mondial et du Forum mondial de l’économie sociale GSEF qui se sont déroulés à Montréal en Août et Septembre 2016. Le documentaire et les interviews seront disponibles sur le site http://remixthecommons.org dans les prochains jours.</p></br><p>Remix Biens Communs est un espace interculturel de partage et de co-création de documents multimédias sur les biens communs. Le projet est porté par un collectif interculturel, composé de personnes et d’organisations qui pensent que le recueil, l’échange et le remix des récits, des définitions et des images … des biens communs sont une manière active et conviviale de s’approprier cette notion et de la diffuser dans la société. <a href="http://remixthecommons.org">http://remixthecommons.org</a></p></br><p>La radio Libre @ Toi diffusera ce débat en direct et podcast, préfigurant ainsi les activités de la radio Causes Communes sur les ondes en région Ile de France. <a href="http://asso.libre-a-toi.org">http://asso.libre-a-toi.org</a></p></br><p>Vecam est une association qui contribue au décryptage politique et social de l’ère numérique depuis 1995. <a href="http://vecam.org">http://vecam.org</a></p>p>Vecam est une association qui contribue au décryptage politique et social de l’ère numérique depuis 1995. <a href="http://vecam.org">http://vecam.org</a></p>)
  • Politique de l'eau en France  + (Cette vidéo réalisée par les agences de l'Cette vidéo réalisée par les agences de l'eau à l'occasion du 6ème Forum mondial de l'eau retrace l'histoire de la politique de l'eau, les principes, les enjeux et décrit les acteurs qui la mettent en œuvre. Cette reconstruction est faite à partir des lois principales adoptées à niveau national et européen et elle essaie d'encadrer ces mesures dans l'évolution de l'économie française. La vidéo explique aussi le fonctionnement des instances de gouvernance et contrôle créées à cette fin.ouvernance et contrôle créées à cette fin.)
  • Recours d'urgence pour l'accès à l'eau (Mayotte a soif)  + (Dans ce dossier de presse conjoint les assDans ce dossier de presse conjoint les associations Mayotte a soif et Notre Affaire à Tous dénonce la crise de l'eau que les habitant.e.s de Mayotte sont en train d'affronter en expliquant les raisons de cette crise. Via un référé liberté, ces associations ainsi que 15 victimes requérantes demandent au tribunal administratif de Paris de reconnaître l'impact de la crise sur les droits fondamentaux et la réponse insuffisante de l'État. Pour eux, la situation à Mayotte est le résultat de plusieurs années d’un désengagement de l’État sur ces questions et d’une inadaptation discriminatoire des politiques publiques déployées.atoire des politiques publiques déployées.)
  • Petite histoire de la gestion de l'eau dans la Métropole de Lyon  + (Dans cette présentation on retrouve une reDans cette présentation on retrouve une reconstruction chronologique synthétique des étapes qui ont marqué l'histoire de la gestion de l'eau à Lyon du 19ème siècle à aujourd'hui. Produite par le collectif EAU BIEN COMMUN ce texte vise à promouvoir la mise en place d'une gestion publique et citoyenne de l'eau, ce qui a été finalement réalisé.de l'eau, ce qui a été finalement réalisé.)
  • L'approche COOPLAGE  + (Développé à partir du 2004, l'approche « CDéveloppé à partir du 2004, l'approche « CoOPLAGE (Coupler des Outils Ouverts et Participatifs pour Laisser les Acteurs s’adapter pour la Gestion de l’Eau » a été élaboré par les chercheurs INRAE de l’Unité Mixte de Recherche gestion de l’Eau, Acteurs, Usages à Montpellier. Il s'agit d'une suite intégrée d’outils et protocoles participatifs destinés à accompagner et autonomiser des groupes d’acteurs de tous niveaux vers une discussion et un engagement réel dans des stratégies de changement social et environnemental. Outre la présentation générale de cette approche dans cette page on retrouve aussi une fiche téléchargeable en anglais qui explique les différentes étapes.glais qui explique les différentes étapes.)
  • École des communs de l'alimentation  + (Faire émerger l’alimentation comme « acteuFaire émerger l’alimentation comme « acteur/réseau » en tissant le champ d'intermédiation entre les communs urbains, naturels & culturels, participe des alternatives au régime alimentaire international néolibéral. L’École des communs propose de soumettre à l’enquête les savoirs et savoir-faire des acteurs de l’alimentation en commun entre 4 sites : Marseille, Montreuil et Toulouse et Autrans pour produire un commun de la connaissance sur la transition écologique par l'alimentation. Elle prend la forme de 4 chantiers pour faire école : interconnecter et faire</br>communauté, rendre visible et renforcer ces pratiques. Ce projet servira de modèle pour développer 1) de nouveaux communs de l’alimentation et 2) de nouvelles écoles des communs dans d’autres domaines.les écoles des communs dans d’autres domaines.)
  • Assemblées Populaires des Gilets Jaunes  + (Une page pour décrire la dynamique d’Assemblées Populaires initiée avec le Mouvement des Gilets Jaunes (à la suite de l’appel de Commercy de Novembre 2018) avec le langage des communs.)
  • FLOK Society - Séminaire de Villarceaux  + (Comment la réflexion sur la place des commComment la réflexion sur la place des communs de la connaissance inspire-t-elle les forces de la transition ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ? Ce séminaire, loin d'épuiser le sujet, est un moment pour ébaucher les pistes de travail qui permettent de mobiliser les forces de la transition, qu'il s'agisse d'activistes ou de chercheurs, de acteurs publics ou de la société civile.</br></br>Pour explorer ces questions, le séminaire se structure autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Le dialogue sur ces trois axes de travail sera précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps de bilan du séminaire.et suivi d'un temps de bilan du séminaire.)
  • Atelier sur les biens communs à la Ferme des Bouillons  + (À la demande de l'association de la Ferme À la demande de l'association de la Ferme des bouillons, nous avons organisé deux jours de formation des militants autour de la notion de communs. Cette formation se déroule dans le contexte de la lutte pour la préservation de la ferme occupée. Elle s'appuie sur une mise à jour de l'histoire des communs dans les domaines de l'alimentation, du foncier, de la culture et du vivre ensemble.ncier, de la culture et du vivre ensemble.)
  • Expo sur les communs  + (L'exposition itinérante Les communs proposL'exposition itinérante Les communs propose au «grand public» de découvrir cette notion à travers la présentation du principe illustré par des exemples concrets issus de différents secteurs d'activité, son histoire et les perspectives qu'il ouvre pour changer notre société. L'exposition est conçue pour pouvoir être utilisée facilement dans le plus grand nombre possible de lieux recevant du public. Les panneaux qui la composent peuvent être imprimés (individuellement ou bien l'ensemble) en différents formats, afin de s'adapter à un espace selon ses dimensions et sa fréquentation par le public.ensions et sa fréquentation par le public.)
  • Médiévalpes 041 - Les Escartons du Briançonnais  + ("Les Escartons du Briançonnais". Quarante et unième numéro de la série "Les Médiévalpes", par Olivier Hanne, agrégé et docteur en Histoire médiévale. Une série d'histoires médiévales du diocèse de Gap et d'Embrun.)
  • Luttes communes  + ("Luttes communes" est un documentaire qui "Luttes communes" est un documentaire qui raconte l'histoire de la recherche de la signification des Biens Communs en Europe centrale et orientale. Alternatives Européennes (EA) - une organisation qui prône la démocratie et l'égalité au-delà de l'Etat-Nation avec Teatro Valle Occupato de Rome ont initié en 2012 un débat transnational sur la signification des communs au-delà des frontières. Le désir d'en savoir plus sur les différentes luttes pour la réappropriation ou la protection des biens communs dans les anciennes sociétés communistes et socialistes qui ont connu des années de privatisation, amène à voyager à travers la Serbie, la Roumanie et la Bulgarie. Cela a pris la forme d'une «caravane des biens communs», composé de différents acteurs et occupants du Teatro Valle. Le voyage à travers l'Europe centrale et orientale visite les villes qui participaient au Festival Transeuropa, festival culturel d'EA qui a eu lieu dans 14 villes européennes en mai 2012.</br></br>Titre original: Common Struggles</br></br>Sous-titre: A journey with European movements for the commons</br></br>Directed by: Cecilia Anesi</br>Filmed by: Cecilia Anesi, Davide Starinieri, Giulio Rubino</br>Edited by: Cecilia Anesi, Gianmarco Giometti</br>Graphics and animation: Gianmarco Giometti, Diego Parbuono</br>Sound engineering: Marcello Fantera</br>Music: Municipale Balcanicarcello Fantera Music: Municipale Balcanica)
  • 19.09 L'engagement du mouvement des communs dans le FSMET Barcelone 2020  + ('''L'Appel en commun de septembre 2019''' '''L'Appel en commun de septembre 2019''' a été dédié à un temps d'échange sur l'engagement du mouvement des communs dans le FSMET. Dans la logique de l'Assemblée Européenne des communs, et du Commons camp, nous sommes nombreux à inscrire le Forum Barcelone juin 2020 (FSMET) à notre agenda pour faire de cette rencontre un point d'étape pour organiser, renforcer et propager des initiatives du mouvement des communs. La préparation a commencé. Ateliers, rencontres sont en cours ou programmées : autour de la cartographie (dès les 24 et 25 septembre à Paris), de l'élaboration et du partage d'outils juridiques des communs urbains, de l'organisation d'un Commons camp en janvier à Marseille. L'appel en commun sera consacré à un partage d'information pour permettre à chacun et chacune de s'engager dans les espaces et avec les acteurs.trices de cette dynamique.vec les acteurs.trices de cette dynamique.)
  • 100 en 1 jour Montréal: la ville comme bien commun  + (100 actions citoyennes le 5 octobre 2013 à Montréal. Un festival de création urbaine durant lequel les citoyens se réapproprient leur ville et y créent un meilleur endroit où vivre." http://www.100en1jourmontreal.com/)
  • Balade de l'oppidum de Verduron - 11 Histoire de l'oppidum  + (2léments de l'histoire de l'oppidum et de son rôle dans l'origine de la ville de Marseille)
  • Balade urbaine autour des communs  + (3 balades urbaines sur le thème des communs, organisées à Paris, Marseille et Lille.)
  • Water (Istanbul Commons)  + (70% de la planète est recouvert d'eau. Tou70% de la planète est recouvert d'eau. Toute la vie sur la planète terre en dépend. Sa composition façonnée par des milliards d'années d'évolution sur Terre, en fait l'un des éléments de base de l'existence quotidienne de la vie ordinaire des humains. Avec l'air, l'eau est notre bien commun naturel le plus élémentaire.</br></br>Voir la suite sur Mapping The Commons (http://mappingthecommons.wordpress.com/2012/11/14/water-as-a-commons/#more-584)m/2012/11/14/water-as-a-commons/#more-584))
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Du 15 au 17 No<blockquote><p></br>Du 15 au 17 Novembre 2016, une Assemblée européenne des communs aura lieu à Bruxelles. Les commoners se réuniront, pour discuter, partager leur expérience, et réclamer une autre Europe. L’après-midi du 16, une réunion se déroulera au Parlement Européen, avec 150 d’entre eux, organisée en collaboration avec l’Intergroupe Parlementaire sur les biens communs et les services publics (dirigé par Marisa Matias, Dario Tamburrano, Ernesto Urtasun, Sergio Cofferati). Dans le même temps, d’autres événements et des assemblées locales auront lieu en dehors du Parlement, à Bruxelles et dans toute l’Europe.</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2016/09/ECA-300x212.jpg" alt="eca" width="900" height="636" class="aligncenter size-medium wp-image-4561" /><br /></br>Author: TILL GENTZSCH</p></br><p><H1>Autour du paradigme des communs</H1></p></br><p>Le 26 Septembre, un groupe d’organismes sans but lucratif, de fondations et d’autres organisations de la société civile publient conjointement un «Appel pour une Assemblée européenne des communs ». Le document rédigé collectivement, qui continue de recueillir les signatures collectives et individuelles à travers toute l’Europe, sert d’appel dans le but de constituer un réseau de «commoners».</p></br><p>L’Assemblée cherche à unir les citoyens dans un élan de solidarité trans-local et trans-européen pour faire face aux défis actuels de l’Europe et relancer le processus politique pour le 21e siècle. Les biens communs peuvent être compris comme un paradigme de transition qui met l’accent sur la coopération dans la gestion des ressources, des connaissances, des outils et des espaces aussi divers que l’eau, Wikipedia, le crowdfunding, ou un jardin communautaire. Leur appel décrit les communs comme :</p></br><ol></br>… les initiatives locales de coopération partant des habitants, basées sur le réseau qui sont déjà soutenues par des millions de personnes à travers l’Europe et le monde. Ces initiatives créent des systèmes autogérés qui répondent à des besoins importants. Elles opèrent à l’extérieur des marchés dominants et des programmes traditionnels de l’Etat et expérimentent de nouvelles structures hybrides.</ol></br><p>La proposition d’Assemblée Européenne des Communs a émergé en mai 2016, initiée par une communauté pilote de 28 militants issus de 15 pays européens, équilibré sur le plan du genre, travaillant dans différents champs des biens communs. Ce groupe est rejoint chaque jour par de nouveaux militants qui insistent sur le fait que l’Assemblée Européenne des communs est inclusive et ouverte, de sorte qu’un mouvement européen large et fluide puisse formé une large alliance citoyenne et démocratique. Elle cherche à rendre visibles les actes de mise en commun des citoyens pour les citoyens, tout en favorisant l’interaction avec les politiques et les institutions aux niveaux national et européen.</p></br><p><H1>Prendre part à un large mouvement </H1><br /></br>L’adoption rapide des communs comme une alternative durable et une vision du monde sociale et holistique, est en partie l’expression d’un malaise face au système économique actuel injuste et aux carences démocratiques. Le mouvement des communes a explosé ces dernières années, suite à l’attribution du prix Nobel d’économie à Elinor Ostrom en 2009 pour son travail sur la gestion des ressources communes. Il fusionne avec d’autres mouvements, comme les mouvements pour une économie de la solidarité et du partage, pour la production pairs à pairs, et pour la décroissance.</p></br><p>Michel Bauwens, figure de premier plan dans le mouvement peer-to-peer, qui fait partie de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA), explique: <em>Partout dans le monde, un nouveau mouvement social émerge, qui conteste les présupposés « extractivites » de l’économie politique dominante, sème des formes co-construites d’une société durable et solidaire. Les commoners prennent la parole, par exemple, dans les assemblées des communs qui émergent dans les villes françaises et ailleurs. Le temps est venu pour une transformation du monde politique, à travers une Assemblée européenne des communs.</em></p></br><p>L’Appel inclue une invitation à participer à une rencontre ouverte à Bruxelles du 15 au 17 Novembre 2016 pour trois jours d’activités et de réflexion partagée sur la façon de protéger et de promouvoir les communs. Cette rencontre inclue une session officielle au Parlement européen, accueillie par l’Intergroupe parlementaire sur les biens communs et services publics, le 16 Novembre (le nombre de place est limité).</p></br><p>Vous pouvez lire et <a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">signer le texte intégral</a> de l’appel, également disponible en français, en espagnol, et bientôt dans d’autres langues européennes, sur le <a href="http://europeancommonsassembly.eu">site Web</a> de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA). Cette signature (http://europeancommonsassembly.eu/sign-call/) peut être individuelle ou au nom d’organisations de la société civile. </p></br><p>Pour plus d’informations, visitez le site web <a href="http://europeancommonsassembly.eu/"> http://europeancommonsassembly.eu/ </a>ou suivez les mises à jour régulières via @CommonsAssembly sur Twitter.</p></br><p>Contact pour les médias: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu</p></br><p>Appel pour un processus d’assemblée européenne des communs :<br /></br><a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/</a></p></br><p>Traduction de de l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p> l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Interview de P<blockquote><p> Interview de Philippe Minard sur l’ouvrage de l’historien britannique E. P. Thompson: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, traduit et publié en français en 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard. Boîte à Idées</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p></br><p>A propos de la Guerre des Forêts, de Edward P. Thompson</p></br><p>L’ouvrage, paru à Londres en 1975, est une enquête vivante d’histoire sociale : au début du XVIIIe siècle, un conflit oppose, d’un côté, les propriétaires et administrateurs de la forêt – celle de Windsor notamment – et, de l’autre, ses usagers. Au point qu’une loi promulguée en 1723 punit de mort certains des usages coutumiers : ce « Black Act », ainsi nommé parce que les braconniers se couvraient le visage de suie, est particulièrement impitoyable : si un vol de cerf est un crime capital, l’abattage de jeunes arbres ou la mutilation du bétail peuvent conduire aussi la potence. Les habitants des forêts opposent, à cette répression « sanguinaire », le droit coutumier des usages collectifs (droits de pâturage, d’extraction de tourbe, d’abattage et de ramassage du bois…).</p></br><p>Ainsi, outre la mise en place d’une évidente « politique de classes », ce que Thompson, grande figure intellectuelle inspirée par le marxisme et pionnier de « l’histoire par le bas », nous oblige à penser, c’est un monde dans lequel survivaient, avant que le XVIIIe siècle ne les arase au profit d’une conception exclusive, des modes et des degrés de propriété fort différents : « Ce qui était en jeu, écrit-il, (…) c’était des définitions concurrentes du droit de la propriété : pour le propriétaire terrien, l’enclosure ; pour le petit paysan, les droits collectifs ; pour les autorités de la forêt, les “chasses gardées” des cerfs ; pour les habitants des forêts, le droit de prélever de la tourbe ».</p></br><p>Selon Philippe Minard, c’est l’un des aspects les plus frappants de cet ouvrage : « Thompson nous aide à penser la diversité des régimes d’accès possibles, tout ce qui existe entre la propriété individuelle et l’absence totale de propriété. » Resurgi dans les années 1970, à la faveur de l’écologie (quand il a fallu déterminer à qui appartenaient les forêts, les océans ou encore l’atmosphère, en passe d’être durablement souillés), ce questionnement s’est poursuivi avec le développement d’Internet. Depuis la fin des années 1990, des activistes se battent contre tout ce qui entrave la circulation et l’appropriation collective des connaissances, en faisant explicitement référence aux pratiques des droits collectifs et des commons. Il se déroule sur le Net, selon eux, ce que Thompson décrivait dans les forêts anglaises : « Un conflit entre les utilisateurs et les exploiteurs. »</p></br><p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>;/p> <p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)