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De Remix Biens Communs
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E
L’exposition Les communs propose de découvrir les communs à travers des éléments de définition et leur illustration concrète. Les panneaux font cheminer à travers différentes facettes des communs : la fragilité des communs naturels, la relation entre usage et propriété, le rôle des hackers dans le renouvellement des communs, la place de la connaissance, et la reconquête de l’espace politique par les commoners. Enfin, elle propose aussi des ressources en s’appuyant sur d’autres initiatives culturelles autour des communs : Communauthèque et sa bibliographie, le jeu C@rtes en commun ou encore Remix the commons.  +
F
Témoignage de Fabienne OrsI, économiste à l’IRD et membre des économistes atterrés, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.  +
'''Résumé par l'auteur :''' Après l’expérience déceptive de la loi numérique adoptée en France 2016, la question de la pertinence de l’outil législatif pour protéger et / où encourager les communs reste ouverte. Après un retour sur l’expérience vécue en 2015/2016 tout au long de la double consultation en ligne menée en amont de la loi et sur les résultats de cette consultation, nous nous interrogerons sur les entrées juridiques susceptibles d’être convoquées (droit d’auteur, droit du travail, loi ESS réformée...) pour solidifier les communs comme sur l’intérêt et le calendrier possible de cette mobilisation. Plus généralement, nous nous demanderons comment l’acteur public étatique ou territorial peut se positionner à l’égard des communs.  +
Des monnaies complémentaires au crédit équitable. Le système économique de faircoin expliqué dans un film d'animation  +
En 2013, en Écosse, les communautés de Falkirk et des environs ont mis en place une charte communautaire pour lutter contre l'extraction du méthane de houille (un procédé similaire à la fracturation hydraulique). Les habitants se sont réunis pour dresser la liste de ce qu'ils estimaient important et voulaient protéger afin de préserver leur santé, leur mode de vie et le bien-être futur de leurs enfants et petits-enfants. Ils ont également imaginé à quoi ressemblerait une économie locale viable à long terme et ce qu'ils pourraient faire pour s'assurer que le monde naturel qui les entourait soit indemne. Cette charte a été l'un des outils pour faire reconnaître les droits de la communauté et la société civile locale.  +
Budgets participatifs, conseils de quartier, réunions publiques... Les dispositifs de participation citoyenne censés répondre à la crise démocratique sont nombreux. Pourtant la relation de pouvoir avec les institutions publiques demeure verticale, la parole recueillie et son utilisation étant toujours contrôlée par les autorités. La démocratie participative semble dans ce sens instituer l'illusion d'un dialogue plutôt qu'ouvrir nouveaux espaces où exercer des formes de démocratie réelle. Dans cet entretien Manon Loisel nous explique les limites de ces dispositifs qui aboutissent souvent à renforcer les vices de la démocratie représentative.  +
La Fédération d'Ile de France des MJC (maisons des jeunes et de la culture), tente de repenser les accords qui lient les habitants, les municipalités et la fédération pour faire MJC des communs urbains.  +
La '''Ferme des bouillons''' est une ferme située dans la banlieue de Rouen. Elle a été occupée par un groupe de personnes pour empêcher sa destruction et pour y redémarrer une activité d'agriculture biologique en court-circuit. En trois ans, cette initiative a réuni 1 200 membres et a développé un projet à la fois agricole, culturel et d'éducation populaire pour la ferme qui n'a pas pu être négocié avec les pouvoirs publics.  +
Dans le cadre du Off de la Biennale 2010, Kër Thiossane accueille la deuxième édition du festival Afropixel. Afropixel 2010 a pour objectif de mettre en débat la place des TICS dans la société d’aujourd’hui et d’en envisager un usage actif. Afropixel 2010 se décompose en plusieurs actions : :Des résidences artistiques avec Audry Liseron-Monfils (Guyane / Belgique), Jean Katambayi Mukendi (RDC). :Des expositions, des performances , des concerts, des projections de films. Les intervenants Stephen Hobbs & Marcus Neustetter pour « Trinity Session » (Johannesburg), Jean-Noël Montagne pour « Art Sensitif » (Paris). :Des débats publics – colloques :Des formations publiques – Ateliers :Un laboratoire de pensée sur le futur « Le Laboratoire de Prospectives Singulières ».  +
Emission de radio Communs urbains, l'atlas dédiée au Festival des murs à pêches à Montreuil  +
Fiche de proposition ou contribution au débat de la journée Finance Autrement RIODDdu 25.05.18  +
Etude de cas réalisée dans le cadre de la préparation des rencontres de Guérande sur la gestion en bien commun de l’herbe, de l’eau et des forêts en vallées d’Aspe, d’Ossau et de Barétous, Pyrenées-atlantiques (France). Dans les trois vallées d’Aspe, d’Ossau et de Barétous, situées dans le Haut-Béarn (Pyrénées-France), les forêts et les pâturages appartiennent, en commun aux usagers et aux communes. Les modes de gestion « en commun », qui en découlent sont une particularité locale, fruit d’un héritage historique fort qui a su évoluer depuis le moyen-âge. Dans ces territoires de montagne qui subissent une crise économique depuis des décennies, l’hydroélectricité est aussi une opportunité économique importante pour la majorité des petits villages à la recherche de revenus locaux qui leur permettront de conserver leurs habitants, voir d’en attirer de nouveaux.  +
Taif Nizar (Titre anglais: Nizar's spectrum), Un film qui revisite les années de plomb au Maroc. Le spectre de Nizar (titre du film,En français) fait référence au poète Nizar Kabani qui incitait à la révolte, à l‘amour et la liberté, dans un pays ou la liberté a souvent été bafouée. Khalid, médecin urgentiste a Casablanca, se retrouve au centre d’une enquête sur des meurtres politiques.  +
Ali, impliqué malgré lui dans une affaire politique, passe vingt ans en prison pour meurtre. À sa sortie, tout est bien différent, son groupe d’amis s’est éclaté, chacun mène sa vie, Ali n’a plus cette place privilégiée d’autrefois. Seules Rabia et sa fille offrent une solution de réintégration et de réconciliation avec le passé, pourtant douloureuses à réaliser. Ahmed Boulane (Réalisateur), Né à Sale en 1956, il est renvoyé de l’école a 15 ans. De 1974 a 1979, il est membre de la troupe nationale d’art dramatique de la RTM et du théâtre Mohamed V en tant que comédien. De 1979 a 1980, il voyage en Italie pour des études cinématographiques interrompues. A partir de 1981, il entame un parcours complet dans le cinéma, successivement comme de films internationaux. Depuis 1999, il se consacre à la production et le passe, fut un succès et reçut le prix du Vatican. Son premier long métrage ali ,rabiaa et les autres…remporta plusieurs prix internationaux et lui donna une crédibilité immédiate. Son deuxième film, Les anges de Satan, fut premier au box office en 2007.  +
Mona Saber, raconte I’historie d'une jeune fille qui revient au pays sur les traces de son père disparu lors des années de plomb. Articule autour d'un lieu emblématique, Derb Moulay Cherif, le film est le récit d'une quête d'identité a travers l'espace de la mémoire dans le Maroc d'aujourd'hui. Diplôme de l’École Louis Lumière et d’un 3eme cycle en cinéma a la Sorbonne sous la direction de Jean Rouch, Abdelhaï Laraki alterne ses activités créatives entre publicité, télévision et cinéma, II signe des campagnes de sensibilisation pour le ministère de la sante, I’OMS et le CCDH (actuel CNDH). Son travail ne se conforme pas aux conventions établies, il utilise ainsi librement le cinéma tout comme la télévision pour poser un regard singulier sur la société marocaine contemporaine : les années de plomb dans Mona Saber (2001) son premier long métrage ; le pouvoir de l‘argent dans Rih El Bahr/ Parfum de Mer (2006) ; les femmes battues et les mères célibataires dans la série télévision M’me Taja (2009-2011) et Jnah I’Hwa / love in the Medina (2011) qui, comme ses précédents films, nous invite à une réflexion sur I’Homme, son Rapport à la société, à l‘histoire, à I’Islam et au pouvoir.  +
JAWHARA, petite fille fruit d’un viol dans une prison, a grandi pendant six ans derrière les barreaux, aux côtés de sa mère. Avec son regard innocent, elle observe ce monde carcéral et raconte de sa voix juvénile l’histoire de ses parents, sa mère SAFIA, et son présumé père, SAID qui formaient un jeune couple fougueux, enthousiaste et idéaliste qui s’activait pleinement avec d’autres jeunes, au sein d’une troupe de théâtre, avant d’être incarcérés et de connaître les affres de la torture, de l’humiliation et des conditions de vie inhumaines et laborieuses du milieu carcéral. Sa recherche de la vérité la mène au drame... Saad Chraïbi(Réalisateur),Né le 27 Juillet 1952 à Fès (Maroc). Frère d'Omar Chraïbi, il fait des études de médecine (1968-1970) à la Faculté de médecine de Casablanca. Il passe une année à l'Université de Fancine (France), option: communication. C'est dans le contexte du mouvement marocain pour le cinéma amateur (FNCCM) qu'il débute sa carrière de réalisateur, et fonde, en 1973, le ciné-club " Nadi Al Azaïm" à Casablanca qui va durer jusqu'à 1983. Il est l'un des co-réalisateurs du film collectif Les Cendres du clos / Ramâd al-zariba (1977) tandis qu'il réalise seul plusieurs courts et moyens métrages. Il a publié plusieurs articles de journaux et a surveillé l'animation de plusieurs assemblées et séminaires dans le cadre de l'université. Il s'occupe de réalisation, écriture de scénarios et direction de production.  +
La chambre noire (Black Room ), Kamal et Najat travaillent tous les deux à l'aéroport. Follement amoureux, ils fondent ensemble de grands projets d'avenir. Malheureusement, le passé d'ancien étudiant marxiste-léniniste rattrape Kamal. Commence alors une longue descente aux enfers : enlèvement, interrogatoires, tortures. Kamal refuse de charger ses camarades en contrepartie de la clémence des juges. Le verdict sera lourd. Hassan Benjelloun, Ne en 1950, pharmacien, il est aussi un cinéaste soucieux des problèmes que vit la société marocaine qu’il transcrit dans ses films. ll réalise en 1983, son premier court métrage sens unique. Ensuite, il réalisa plusieurs longs métrages : la fete des autres(1990) ; Yarit(1994) ; LES amis d’Hier(1998) ; les levres du silence(2000) ; Jugement d’une femme(2001) ; le Pote(2002) ; ou vas-tu Moshe(2007) et les oublies de i ‘histoire(2009). La Chambre noire(2004) reçut une mention spéciale aux journées cinématographiques de Carthage en 2004 et l’étalon d’argent du long métrage au FESPACO 2005  +
Le jour de sa sortie de prison, Zoubeir, un jeune délinquant se voit investi d’une mission : retrouver un parent ou ami de Mokhtar, un ex-détenu devenu amnésique durant les dernières années de sa captivité. À la recherche d’indices, ils vont vivre un voyage pénible à travers leur propre mémoire. Zoubeir, encore fortement marqué par le souvenir de son père assassiné, tente de retrouver les traces du passé de Mokhtar en le menant sur les différents lieux où il a vécu. Le jeune homme commence à avoir des doutes sur son compagnon de voyage : est-il un politique ou ce voleur qui porte le même nom ? A-il dénoncé des camarades, dont le père de Zoubeir, pour échapper à la torture ? Dans ce road movie, le réalisateur évoque, avec un scénario à suspense, les blessures et les traumatismes des années soixante-dix, ces « années de plomb » du Maroc, durant lesquelles la répression policière était sans merci, les opposants et intellectuels étaient enlevés pour être jetés, tels des bêtes, dans des prisons aux conditions de détentions inhumaines. N.B. Jillali Ferhati interprète lui-même, avec une sobre justesse, le rôle de Mokhtar. Jillali Ferhati (Réalisateur), Ne en 1948, il a fait des études de sociologie. Son premier travail cinématographique est un court métrage carom, réalise en 1973.En 1977, il a réalise son premier long métrage Une brèche dans le mur puis Poupées de roseau en 1981, la plage des enfants perdus en 1991, Chevaux de fortune en 1995, Tresses en 2000 et mémoire de détention en 2004. Ses films ont reçu des prix un peu partout et ont alimenté beaucoup de critiques et de réflexions, ce qui confirme le statut d’auteur de cinéma qui est le sien.  +
Dans une situation d'urgence climatique où modes de vie carbonifères des élites économiques sont de plus en plus pointés du doigt, Edouard Morena parle du rôle de ces acteurs qui sont accusés de fuir leurs responsabilités. Or, loin d'être des observateurs passifs et détachés ou des preppers haut de gamme, les élites économiques sont des acteurs clés du débat climatique international. Elles sont les promoteurs acharnés du capitalisme vert, un projet politique taillé sur mesure et qui garantit leurs intérêts de classe dans un monde en surchauffe. Cette rencontre est aussi l'occasion de présenter son livre titré justement « Fin du monde et petits fours : Les élites transnationales face à la crise climatique ».  +