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De Remix Biens Communs
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L
Vidéo réalisé dans le contexte des mobilisations étudiantes au Québec en 2012, qui explique ce que sont les biens communs et le lien entre l'éducation et les biens communs.  +
Les biens communs c’est un vocabulaire pour réenchanter notre imaginaire, une voie à défricher pour réussir la transition écologique et sociale. Ni biens privés, échangés sur le marché et ne répondant qu’à une logique de profit individuel, ni biens publics, produit par l’Etat, les biens communs procèdent d’une autre démarche. Ils existent par la volonté de communautés qui s’organisent pour gérer collectivement une ressource afin d’en garantir la pérennité et l’accès à tous, parfois en interaction avec le marché, parfois avec l’Etat, parfois avec les deux. On pense souvent à l’eau, les forêts, l’air, les transports en commun, les langues, la connaissance, les ressources génétiques, le web, les monnaies, etc. Un rôle important y est dévolu au politique : celui de reconnaître et de soutenir ceux qui – de plus en plus nombreux – veillent à ces biens communs. Car les richesses dont ils sont générateurs ont pour noms : soutenabilité, lien social, qualité de vie, action collective… Ce livre rassemble les textes issus d’un colloque organisé le 9 mars 2012 à Bruxelles par les trois fondations politiques écologistes : Oikos, GEF et Etopia.  +
Au cours du Printemps érable, le mouvement étudiant en lutte contre la hausse des frais de scolarité se mobilise. L'Ecole de la montagne rouge, un groupe d'étudiants en graphisme élabore des matériels de communication pour les manifestations. Quelle relation la lutte des étudiants entretient-elle avec les biens communs ? cette courte vidéo rend compte d'un atelier de création réalisé sur ce sujet avec Alain Ambrosi.  +
Nous présentons ici un dossier réalisé en 2010 par l'association RITIMO. Télécharger le dossier en format PDF Présentation par Olivier Petitjean Les «communs», modes de création, de gestion et de partage collectifs et démocratiques basés sur la réciprocité, ont-ils un avenir en ce qui concerne la gestion des ressources naturelles ? Ou bien les crises climatique, alimentaire et environnementale sont-elles d’une telle ampleur qu’il faut désormais confier notre destin à de grandes structures économiques et technocratiques, qui seules seraient à même de gérer les problèmes de la planète ? Les expériences et les analyses présentées dans les pages qui suivent montrent que les modes de gestion des ressources naturelles basés sur les communs ne doivent pas seulement être défendus au nom des communautés qui en vivent et qui en dépendent, mais aussi parce qu’ils sont porteurs d’un modèle viable de gestion des ressources non seulement au niveau local, mais aussi au niveau planétaire. Car on pourrait aller jusqu’à dire que c’est parce que les ressources «naturelles» dont il est question ici - et cela vaut aussi bien pour les terres et l’agriculture, les forêts, l’eau, les semences ou les poissons - sont gérées comme des biens communs localement qu’elles peuvent être préservées aussi comme des «biens communs mondiaux». Ce dossier a été réalisé à l’occasion d’une rencontre sur le thème «Les biens communs, modèle de gestion des ressources naturelles» tenue à Paris le 26 mai 2010. L’un des objectifs de cette rencontre était de valoriser les analyses et les ressources accessibles sur les sites web des organisations et des réseaux qui participent à la Coredem (une initiative de mutualisation de ressources en ligne), dont plusieurs sont actives sur des thèmes liés aux ressources naturelles et aux communs. Aussi ce dossier ne reprend-il pas uniquement des articles tirés du site dph, comme le numéro précédent de Passerelle, mais des articles issus de sites aussi différents que celui du Réseau semences paysannes, de l’Agter (Association pour améliorer la gouvernance de la terre, de l’eau et des ressources naturelles), du Collectif Pêche & développement, de Vecam... La première partie, qui aborde l’enjeu des communs à un niveau plus général encore que celui des ressources naturelles, reprend également des articles issus d’un spectre plus large de sites et de revues amis et partenaires. " ==Fiche technique == Titre : Les biens communs, modèle de gestion des ressources naturelles Production : Ritimo 21 ter rue Voltaire, 75 011 Paris ISBN : 2-914180-38-1 Paris, mai 2010 Coordination et réalisation : Olivier Petitjean Conception graphique : Elsa Lescure Impression : Imprimerie Pérolle 01 40 10 06 00 Droits de reproduction La reproduction et/ou la traduction dans d’autres langues de ce dossier sont non seulement autorisées mais encouragées, à la condition de mentionner l’édition originale et d’en informer Ritimo. Illustrations : Sauf mention explicite du contraire, toutes les illustrations de ce dossier sont des images sous licence creative commons (cc) issues du site flickr : www.flickr.com/creativecommons L’illustration de couverture (qthomasbower, cc-by-sa) est une recréation du sigle Creative Commons à partir de 2500 photos sous licence cc du site flickr  
Table ronde sur les communs et les biens communs présentée par Jean-Marie Harribey avec Benjamin Coriat (Université Paris 13) et Hervé Le Crosnier (Université de Caen) tenue dans le cadre de la filière "Transitions, Biens communs, Climat" le jeudi 27 août 2015. Vidéo réalisée par Serge Tostain d'Attac. Octobre 2015  +
Intervention de Sébastien Broca dans le cadre du colloque "Vers une République des biens communs ?" Sébastien BROCA: Les business models des communs numériques (avec la collaboration de François MOREAU) Cette communication cherchera à analyser les divers business models liés aux communs numériques, en repartant d'une caractérisation précise des formes sociales construites autour de ces ressources partagées. Il s'agira d'envisager les différents moyens grâce auxquels un individu, un collectif ou une entreprise peut réussir à dégager les ressources nécessaires à la production de communs, sans pour autant organiser la rareté de ceux-ci et reconduire les logiques typiques de l'exclusivisme propriétaire. On reviendra sur ce qu'est un business model, on interrogera les évolutions liées aux innovations technologiques, puis on s'efforcera de dresser une typologie des différents modèles existants avant d'esquisser quelques pistes pour l'avenir.  +
Dans cette vidéo l'association « Entrelianes » nous parle des enjeux environnementaux auxquels Les Champs Captants sont confrontés : défi climatique, crise de la biodiversité et crise de l'eau. Il s'agit d'un territoire qui alimente 30% de l'eau potable de la Métropole Européenne de Lille. L'expression « champs captants » définit des terres qui infiltrent directement l'eau de la pluie vers les nappes phréatiques sous-jacentes.  +
Brève vidéo d'introduction sur l'idée des biens communs en même temps qu'une remise en cause de la fameuse "tragédie des communs". Existe aussi en allemand http://www.youtube.com/watch?v=OMfVtaIxAjA, en Italien http://www.youtube.com/watch?v=WT6vbAu_UjI et Espagnol http://www.youtube.com/watch?v=4Dg6f1F98LI. Vous êtes invités à utiliser librement cette vidéo.  +
L'élection de la liste Barcelona en comù à la ville de Barcelone, ainsi que celles de listes sensibles aux communs dans d'autres villes espagnoles, interroge la notion de politique des communs. Pour explorer ce sujet, nous avons souhaité croiser les regards d'une part de Pierre Dardot, l'un des auteurs de Commun, et d'autre part d'Alain Ambrosi, militant des communs et initiateur de Remix the commons. L'entrevue a été réalisée au cours du festival international des biens communs (http://www.festivalbenicomuni.it/festival) de Chieri Italie du 08 au 13 juillet 2015.  +
Dans les années 1990, les biens publics mondiaux s’imposent comme nouveau vecteur de l’aide. Concept puissant pour évoquer les enjeux globaux, ils souffrent néanmoins d’une interprétation étroite de la logique de l’État-Nation héritée du Traité de Westphalie (1648) qui contraint une gouvernance mondiale et limite l’efficacité d’outils réglementaires et économiques s’imposant à l’ensemble des acteurs. C’est dans ce contexte que les communs prennent leur sens, comme prolongement et relève des biens publics mondiaux. À travers eux, les actions locales et régionales reviennent au centre de l’effort global, dans une approche polycentrique de la gouvernance des ressources, défendue par E. Ostrom. Ils introduisent une démarche positive vis-à-vis des enjeux globaux, axée sur les processus. Enfin, et surtout, les communs tirent leur force de leur ancrage local. En mettant en avant clairement un espace entre le marché et l’État dans la coordination des acteurs, à des échelles diverses, ils permettent de repenser les dispositifs de gouvernance, de trouver des compromis et des synergies entre ces différents modes et d’inventer des articulations originales. Définir les communs comme vecteur de l’aide pour une agence comme l’AFD peut avoir des implications opérationnelles et stratégiques fortes. Quel positionnement peut-elle tenir entre ne pas nuire, accompagner, transformer, renforcer, voire faire émerger des communs? Comment intégrer les modes de pensée que nous proposent les communs dans les processus opérationnels et stratégiques?  +
« Les communs dans l'espace politique » est un montage réalisé à partir des vidéos d'ateliers et d'entrevues menés dans le cadre de l'Espace des communs à Montréal en août et septembre 2016.  +
Intervention de Hervé Defalvard dans le cadre du Colloque "Vers une République des communs ? " La loi relative à l’économie sociale et solidaire (ESS) du 31 juillet 2014 ne définit pas seulement celle-ci comme un autre mode d’entreprendre puisqu’un amendement en seconde lecture a ajouté qu’elle est aussi un autre mode de développement économique. Dans La révolution de l’économie en 10 leçons, nous avons caractérisé ce dernier comme celui d’une économie où produire et consommer se décident en commun. De nombreuses réalités de l’ESS peuvent s’appréhender d’ores et déjà comme des communs ESS: les monnaies locales complémentaires, les pôles territoriaux de coopération économique, les communautés énergétiques, les ressourceries, les expérimentations territoire zéro chômeur de longue durée. En mobilisant les travaux de Ostrom et de Sen, nous proposons une définition des communs ESS, dont nous envisageons ensuite la place et le rôle dans une transition vers la société des communs dont le mode de développement s’appuie de manière dominante sur un mode de production et de consommation en commun. Une telle transition suppose le passage vers un capitalisme communal dont le droit d’usage devient la base de la citoyenneté et de la démocratie économiques.  +
Un débat organisé par Vecam avec Axelle Lemaire, Stefano Rodotà et Benoît Theulin, animé par Valérie Peugeot. Les communs sont portés par des collectifs formels ou informels, et mettent en place leur propre gouvernance pour organiser le partage de ressources. Pour autant, quel est leur rapport à la puissance publique et à la loi ?  +
Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.  +
Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.  +
Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.  +
Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.  +
Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Bologne sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.  +
Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Naples sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.  +
Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Rome sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.  +