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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Texte de la note » avec la valeur « Shared urban spaces that consist of multiple garden plots of equal size, often on municipally owned land, constituting well managed flower, bush, and tree rich sites that provide lot holders with a variety of locally resourceful flora (including vegetables, fruits, and ornamental flowers) ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 10 résultats à partir du nº 1.

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Liste de résultats

    • Community garden  + (Shared urban spaces that consist of multipShared urban spaces that consist of multiple garden plots of equal size, often on municipally owned land, constituting well managed flower, bush, and tree rich sites that provide lot holders with a variety of locally resourceful flora (including vegetables, fruits, and ornamental flowers)egetables, fruits, and ornamental flowers))
    • Jardins communautaires  + (Shared urban spaces that consist of multipShared urban spaces that consist of multiple garden plots of equal size, often on municipally owned land, constituting well managed flower, bush, and tree rich sites that provide lot holders with a variety of locally resourceful flora (including vegetables, fruits, and ornamental flowers)egetables, fruits, and ornamental flowers))
    • Park Conservancy  + (A nonprofit organization raising large sums of money to co-manage large urban parks in partnership with local governments)
    • Knowledge City  + (An integrated knowledge based cluster or gAn integrated knowledge based cluster or geographical entity (in an urban setting) that physically and institutionally combines locally focused innovation, science, creativity within the context of an expanding globalized and interconnected economy by emphasizing on the development and advancement of technologies and vibrant socio-economic activities that focus on conserving rich natural environments, quality built environments, presence of tolerance and acceptance of multiculturalism, democratic, transparent and visionary governance, and enriched human capitalary governance, and enriched human capital)
    • Communs urbains  + (De nombreuses recherches récentes considèrDe nombreuses recherches récentes considèrent en tant que communs urbains : les parcs, les jardins, les lieux en friche mais aussi les lieux de production culturelle (tels que les théâtres, les cinémas plutôt que les lieux informels de</br>production artistique et culturelle) et sociale (les places, les lieux de rassemblement, les centres culturelles, les squats), les bibliothèques, les écoles, les universités, le patrimoine culturel, artistique, scientifique ou industriel, les infrastructures matérielles et immatérielles et les services urbains, les données numériques, les logements sociaux (l’habitat participatif se diffuse sur des formes différenciées comme par exemple dans le cas des Limited Equity Coop ou des Community Land Trust aux Etats Unies et en Europe) et même les déchets (produits des interactions urbaines) qui constituent souvent des valeurs importantes pour des populations urbaines marginalisées.</br></br>L’une des caractéristiques propres des communs urbains affirme Harvey (2012), est qu’ils présentent les mêmes contradictions que les autres communs mais d’une manière « hyper concentrée ». Cela tient à la centralité de la ville dans les dynamiques d’accumulation et de dépossession propres au néolibéralisme, mais aussi à leur densité intrinsèque qui multiplie les interactions, la production de valeur et les relations de conflit et de coalition entre les sujets. Les communs urbains participent donc aux caractéristiques propres à la ville : la densité et la diversité urbaine. Un des éléments distinctifs des communs urbains est, par exemple, la particularité des commonners. Si, dans les études sur le CPR, la communauté de référence est normalement définie et stable, nous avons, dans les communs urbains, des communautés hétérogènes, ouvertes et très changeantes. Il ne s’agit donc pas d’une communauté de terre ou de sang, mais d’un sujet qui prend corps autour des communs et de leur usage. Il y a une relation de circularité entre le commun et la collectivité qui y participe et qui peut évoluer dans le temps et dans l’espace (Marella, 2016 ; Festa 2016). Parfois, nous constatons même plusieurs types d’intensité dans le lien aux biens : des groupes plus restreints peuvent prendre en charge au quotidien le communs ; des groupes plus larges peuvent avoir une relation plus éloignée avec la ressource, tout en jouissant de certaines utilités et en participant de façon plus ponctuelle à la gestion collective.</br></br>Ensuite, le caractère du commun dans le milieu urbain n’est pas toujours défini et stable. Pour certains, un jardin collectif peut être un lieu de production alimentaire, pour d’autres un lieu de sociabilité et de communication, voire de construction politique (Kip, 2015). On pourrait aussi dire d’un théâtre qu’il constitue un lieu de production artistique pour les comédiens et techniciens du spectacle et, pour les spectateurs, un lieu d’épanouissement culturel et social. Nous pouvons rencontrer différents intérêts qui se coalisent dans la prise en charge des communs et réciproquement des communautés que se superposent au fur et mesure de leur différentes implications dans les communs.</br></br>Enfin, certain communs urbains et surtout certaines infrastructures complexes (on pense au service de distribution de l’eau ou de l’énergie par exemple) incluent différentes types de porteurs d’intérêts (citoyens, acteurs privés, institutions) et demandent parfois des collaborations intersectorielles, des processus de longs termes pour aboutir à une gouvernance* véritablement participative et pour adopter un organisation qui puisse relever du commun (Kip, 2015). Dans ce cas, il s’agira de modifier radicalement la composition et le fonctionnement des infrastructures de gouvernance pour les rendre effectivement commune, tandis que certains aspects des infrastructures techniques ou du processus de production peuvent rester de gestion publique ou privée selon les conditions spécifiques du secteur (v. V°Aqua Bene Commune à Naples).</br></br>... </br></br>Cet ensemble d’élaborations montre clairement que les communs urbains peuvent être des biens ou des services publics ou privés dont leur caractère commun dépend essentiellement de l’action collective qui les investit.t de l’action collective qui les investit.)
    • Agrocité  + (Le concept d'Agrocité a été développé par Le concept d'Agrocité a été développé par AAA, Atelier d'Architecture Autogéré. Il s'inscrit dans la stratégie R'urban, pour Résilience Urbaine. L'agrocité y est décrite comme une "unité d’agriculture urbaine civique constituée par une micro-ferme expérimentale, des jardins collectifs, des espaces pédagogiques et culturels et des dispositifs de production énergétique, de compostage et de collecte d’eau pluviale." La première Agrocité à été iréalisée à Colombes en 2011. En 2015, la ferme avait 400 adhérents et employait un maraîcher à temps plein. Mais après les élections, la nouvelle équipe municipale a décidé de récupérer son terrain pour le transformer en parc de stationnement ! Une deuxième Agrocité en construction à Gennevilliers a bénéficié pour partie de la récupération d'éléments construits à Colombes et du savoir-faire accumulé tant par les architectes que par les habitants. En 2019, une troisième Agrocité est ouverte à Bagneux (banlieue sud de Paris). L'agrocité est donc un moyen pour les habitants de se saisir des enjeux écologiques dans le cadre de leur vie quotidienne et à partir d'une activité concrète et réalisable par eux mêmes. C‘est une démarche de mobilisation citoyenne qui vise à élaborer des solutions de résilience urbaine auto-gérées avec les habitants.ce urbaine auto-gérées avec les habitants.)
    • Allotment Garden  + (Physical spaces comprised of publicly/privately held vacant lots in cities that allow neighborhood locals to grow food and plants, conduct urban greenery, and work together to achieve self sufficiency.)
    • Community garden  +
    • Jardins communautaires  +
    • Traditional Knowledge License  + (Traditional Knowledge (TK) Licenses In 200Traditional Knowledge (TK) Licenses</br>In 2008, we began developing the TK Licenses concept. Inspired by Creative Commons (https://creativecommons.org/) and in conversation with Indigenous communities, our goal was to develop a new and complimentary set of licenses that addressed the diversity of Indigenous needs in relation to intellectual property. This work received funding from IPinCH (https://www.sfu.ca/ipinch/) and WIPO (http://www.wipo.int/tk/en/) and was part of the original NEH grant funding to develop Mukurtru CMS (http://mukurtu.org/) for Indigenous digital content management.</br>Ongoing collaboration with our partner communities showed that the immediate concern was around negotiating and managing cultural heritage material where Indigenous individuals or communities did not hold the copyright. Instead third parties like researchers and institutions were the legal rights holders. With this focus, we developed a set of TK Labels. The Labels are an educative and non-legal intervention addressing the enormous amounts of Indigenous cultural heritage material that circulates without Indigenous perspectives or protocols regarding fair and equitable circulation and use. We currently have 4 TK Licenses in development and we continue to refine these for future use. For an example of customized TK Licenses see the Canning Stock Route Project. See http://mira.canningstockrouteproject.com/ http://mira.canningstockrouteproject.com/)