« Agriculture vivrière » : différence entre les versions

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Dernière version du 28 décembre 2017 à 14:02

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Concepts voisins

Définition(s)

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L'agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l'autoconsommation et l'économie de subsistance. La production, rarement excédentaire, n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à l'exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans et la population locale. Cette forme d'agriculture, courante dans les jardins du monde entier, demeure d'une importance capitale dans les pays les moins avancés où elle permet aux populations rurales, sans autre ressource, de se nourrir. Ses faibles rendements, générant peu d'excédent, ne permettent toutefois pas à ces populations de sortir de la pauvreté. Elle impose également d'accepter de ne consommer que des produits de saison et de gérer la période de soudure. Le caractère localisé de la production, sans accès aux marchés mondiaux, rend en outre les agriculteurs vivriers particulièrement vulnérables aux conséquences des événements climatiques locaux (sécheresse, catastrophe naturelle, saison des pluies tardive ou précoce, etc...). Elle représente environ 20 % de la production alimentaire mondiale. Par l'importance qu'elle accorde aux semences paysannes — on estime à environ 1,4 milliard les agriculteurs utilisant des procédés traditionnels de sélection — elle favorise fortement la biodiversité.

Source : http://fr.dbpedia.org/resource/Agriculture_vivrière

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Subsistence agriculture occurs when farmers grow food crops to meet the needs of themselves and their families on smallholdings. Subsistence agriculturalists target farm output for survival and for mostly local requirements, with little or no surplus. Planting decisions occur principally with an eye toward what the family will need during the coming year, and only secondarily toward market prices. Tony Waters, a professor of sociology, defines "subsistence peasants" as "people who grow what they eat, build their own houses, and live without regularly making purchases in the marketplace." Despite the self-sufficiency in subsistence farming, today most subsistence farmers also participate in trade to some degree. Although their amount of trade as measured in cash is less than that of consumers in countries with modern complex markets, they use these markets mainly to obtain goods, not to generate income for food; these goods are typically not necessary for survival and may include sugar, iron roofing-sheets, bicycles, used clothing, and so forth. Many have important trade contacts and trade items that they can produce because of their special skills or special access to resources valued in the marketplace. Most subsistence farmers today operate in developing countries. Subsistence agriculture generally features: small capital/finance requirements, mixed cropping, limited use of agrochemicals (e.g. pesticides and fertilizer), unimproved varieties of crops and animals, little or no surplus yield for sale, use of crude/traditional tools (e.g. hoes, machetes, and cutlasses), mainly the production of food crops, small scattered plots of land, reliance on unskilled labor (often family members), and (generally) low yields.

Source : http://dbpedia.org/resource/Subsistence_agriculture


Q2787508 Subsistence_agriculture Agriculture_vivrière



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