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De Remix Biens Communs
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This Land is Our Land - The Fight to Reclaim the Commons For more than three decades, transnational corporations have been busy buying up what used to be known as the commons -- everything from our forests and our oceans to our broadcast airwaves and our most important intellectual and cultural works. In '''This Land is Our Land''', acclaimed author David Bollier, a leading figure in the global movement to reclaim the commons, bucks the rising tide of anti-government extremism and free market ideology to show how commercial interests are undermining our collective interests. Placing the commons squarely within the American tradition of community engagement and the free exchange of ideas and information, Bollier shows how a bold new international movement steeped in democratic principles is trying to reclaim our common wealth by modeling practical alternatives to the restrictive monopoly powers of corporate elites. This film was previously titled Silent Theft. Sections: Intro The Commons - Enclosing the Commons - The Enclosure of Nature - Enclosing Culture & Knowledge - Reclaiming the Commons ISBN:1-932869-51-4  +
Témoignage de Thomas Coutrot, économiste et statisticien, animateur des Ateliers Travail et Démocratie, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.  +
SideWays – Episode 2 « Toit à Moi » est un sujet sur un projet d'achat de logement pour les mettre à disposition de sans logis à Nantes. Il s’agit d’une forme de mise en biens communs de biens immobiliers par une communauté qui accompagne des personnes et des familles sans logement. Denis a mis en place un concept concret pour réinsérer les personnes sans abris. Utilisant le principe du "crowfunding", il a développé, avec son complice Gwenaël, le projet d'achat de logement de l'association Toit à Moi. Le documentaire est accompagné d’un dossier multimédia sur la plateforme collaborative : http://side-ways.net/episode2  +
Le projet consiste dans la traduction en français du livre de Silke Helfrich et David Bollier Free, Fair and Alive et dans la traduction et adaptation de leurs travaux sur les patterns de commoning, notamment les matériaux numériques développés par Silke (http://muster.des.commoning.wiki/view/felder-des-commoning) sur les patterns de l'en-commun.  +
Trailer pour Remix the commons réalisé en 2012 à Montréal  +
Face à la crise systémique, des centaines de milliers de citoyens ont déjà choisi et œuvrent chaque jour à une profonde transition sociale, écologique et économique de la société. 14 mouvements citoyens moteurs dans de nombreux domaines d’activité (agriculture, éducation, énergie, finance, économie, bien-être social, insertion, démocratie, accompagnement du changement…) ont décidé de se regrouper autour du « Collectif pour une Transition Citoyenne ». Ces mouvements citoyens d’économie sociale et solidaire témoignent à travers leurs expertises et leurs expériences de la construction d’une société nourrie par des valeurs de solidarité, de coopération, de respect des humains et des écosystèmes. Rassemblés autour d’une déclaration commune dévoilée le 25 mai 2013 en point d’orgue du Festival de la Transition (du 24 au 26 mai 2013 à Cluny), les membres du Collectif pour une Transition Citoyenne lancent un appel à amplifier ce mouvement citoyen. Ils invitent celles et ceux qui partagent leurs convictions et veulent provoquer un sursaut, pour passer de plusieurs centaines de milliers de personnes impliquées à des millions. La Déclaration Commune de création du Collectif peut être téléchargée et diffusée. Onpassealacte.fr (http://onpassealacte.fr) est un site de journalisme constructif ou journal positif sur les initiatives ingénieuses, remarquables et inspirantes réalisées par des citoyens à travers des interviews vidéos : faire avancer le schmilblick et changer le monde vers plus d'écologie et d'humanisme par la créativité, l'action et l'innovation citoyenne et individuelle.  +
Les processus de valorisation et accumulation du capital sont toujours en train d'élargir leur prise sur le réel : individus, ressources naturelles mais aussi les animaux. Benedetta Piazzesi et Paul Guillibert nous racontent, à partir de deux perspectives différentes et complémentaires, comment se réalise l'exploitation du vivant, en l'occurrence des animaux. Si Piazzesi nous présentent une généalogie des modalités avec lesquelles les animaux ont été mis au travail entre XVIIe et XIXe siècle, Guillibert emploie un cadre d'analyse marxiste pour esquisser une théorie écologique des modes de subsomption du capital.  +
Coopaname est issue du mouvement des coopératives d’activités et d’emploi, qui proposent une alternative à la création d’entreprise individuelle, en proposant un modèle d’entreprise original: chacun(e), qu’il soit graphiste, jardinière, formateur ou menuisier(ère) est invité(e) à développer sa propre activité de manière autonome au sein de la même coopérative. De la volonté originelle de sécurisation des parcours professionnels, dans un contexte de précarisation et d’individualisation du rapport au travail, naissent de nouvelles manières de travailler ensemble, et de nouvelles problématiques aujourd’hui au cœur du projet coopanamien: comment penser la démocratie dans une entreprise où chacun(e) développe sa propre activité? Qui possède quoi au sein de cette entreprise, au moment où la croissance de la coopérative, l’ampleur que prend le projet, impacte de plus en plus les activités, et où se développent de plus en plus d’activités collectives? Comment revoir notre rapport à la richesse, et à la rémunération, quand les coopérateurs peinent à se verser des salaires satisfaisants, alors même qu’au sein de la coopérative se crée quotidiennement une richesse qui n’est reconnue nulle part? Comment, enfin, réussir à tisser des liens solides avec l’ensemble des "travailleurs atypiques", des nouveaux indépendants, qui connaissent les mêmes problématiques et partagent pour beaucoup les aspirations des coopanamien(ne)s? http://www.ccic-cerisy.asso.fr/bienscommuns16.html  +
L'UFISC, Union Fédérale d'Intervention des Structures culturelles, réunit 15 organisations professionnelles du spectacle vivant et des arts visuels représentant des structures d'initiative privée, à buts non lucratifs, qui développent une diversité d'activités (création, diffusion, accompagnement des pratiques ...) réparties sur l'ensemble du territoire français, et qui se reconnaissent de l'économie solidaire. Les associations artistiques et culturelles employeurs ont à répondre à un enjeu fort d'implication participative alors que croissent les aspirations pour les pratiques artistiques et culturelles et que les dynamiques dans l'emploi culturel obligent à de nouvelles considérations. L'entrepreunariat culturel collectif, sous sa forme associative notamment, ne s'inscrit pas exclusivement dans le contexte des rapports de travail tels que juridiquement et traditionnellement structurés entre employeurs et salariés, notamment du fait que les fondateurs soient souvent des salariés-intermittents qui travaillent aux côtés des usagers bénévoles, présents dans un rôle complémentaire De plus, la pluriactivité développée par les structures, entre démarches artistiques et actions culturelles de territoires, questionne sans cesse le fonctionnement de l'association comme outil collectif et de production. Les logiques de mutualisation et de solidarité interprofessionnelle qui animent les structures les ont amenés à se construire des outils de gestion sociale correspondant. Notamment le régime spécifique de l'intermittence rend possible la sécurisation des parcours professionnels riches de l'agrégation de multiples compétences autour d'une pluriactivité qui peut être choisie. Quels enjeux d'émancipation s'expriment, à travers cette protection spécifique, pour les travailleurs qui souhaitent partager des modes de production solidaires, des communs culturels, et une solidarité professionnelle en accord avec leurs valeurs?  +
« TRAVAILLER ENSEMBLE EN TERRITOIRE ZÉRO CHÔMEUR DE LONGUE DURÉE » est un film documentaire réalisé par l’association « Autour du Premier Mai » avec de l’Entreprise à but d’emploi « La Fabrique », en Lorraine. Ce film permet de rentrer dans le quotidien de cette expérience de retour à l’emploi pour des chômeurs de longue durée et de les entendre échanger sur le travail avec Florence Jany-Catrice, une économiste spécialiste de cette initiative.  +
Les participants à la rencontre organisée en Ile de France lors du festival Temps des communs se prettent au jeu de définir les communs en trois mots.  +
A SHORT DOCUMENTARY FROM WITHIN THE GOVERNMENT OF CHANGE IN BARCELONA. Learnings, limits and opportunities of two years of the government of change in the City Council of Barcelona, explained by some of its protagonists inside and outside the institution.  +
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Entrevue avec Valérie Peugeot réalisée par AMBROSI Alain lors de la conférence Economic and the Commons à Berlin 2013  +
Un Monde Relationel est un documentaire qui raconte l’histoire d’un pêcheur artisan en Mer Méditerranée, membre d'une prud’homie de pêche. C’est une organisation collective qui a pour objectif de faire vivre, dans le temps, la communauté des pêcheurs...  +
'''De nouvelles règles juridiques pour prendre soin des biens communs et reconstruire les communautés locales'''. Quelque chose de nouveau s'est produit en Italie ces dernières années, quelque chose que personne n'aurait cru possible dans un pays où les biens communs ont traditionnellement été considérés comme les biens de personne, donc la proie du pillage ou de l'exploitation. C'est un changement culturel grâce auquel des milliers de personnes dans les villes comme dans les villages, au nord comme au sud, sortent de chez eux pour prendre soin avec leurs voisins des biens communs urbains : rues, places, parcs et espaces publics en général, biens culturels, écoles ainsi que des bâtiments publics abandonnés qui sont restaurés et revivent grâce aux efforts combinés de citoyens actifs. Tout cela va bien au-delà de la simple maintenance des biens urbains. Il s'agit plutôt d'une participation à la vie publique sous de nouvelles formes, alors que les citoyens actifs participent non seulement aux décisions publiques (démocratie participative), mais aussi à la solution des problèmes d'intérêt général (administration partagée). Ce faisant, ils construisent ou reconstruisent les liens qui unissent leur communauté, aident les gens à lutter contre la solitude, produisent l'intégration, le capital social et la confiance réciproque. L'impact positif de l'engagement des citoyens à prendre soin des biens communs va donc bien au-delà des aspects matériels, aussi importants soient-ils pour une meilleure qualité de vie. Cependant, paradoxalement, les règles juridiques issues d'une conception ancienne de la relation entre les citoyens et l'État interdisent de telles activités. C'est pourquoi le Labsus (Laboratorio per la sussidiarietà) a élaboré en 2014, en collaboration avec la municipalité de Bologne, de nouvelles règles municipales pour réglementer l'administration partagée et permettre aux citoyens de prendre soin des biens communs. Ces nouvelles règles ont été adoptées par les municipalités de tout le pays, permettant aux citoyens d'avoir des rapports égaux avec les administrations publiques locales, libérant ainsi de précieuses ressources et énergies civiques dans l'intérêt général.  
Intervention de Pierre Sauvêtre dans le cadre du colloque "Vers une République des biens communs ?" - Le 11 septembre 2016  +
Présentation sommaire par Roland Perez : "Une troisième voie entre l'Etat et le marché - échanges avec Elinor Ostrom" (Ed. Quae, 145 p) été édité par Martine Antona et François Bousquet, dont l'équipe GREEN du CIRAD, avait été, avec son fondateur Jacques Weber, à l'origine des premières collaborations entre l'équipe d'Ostrom à Bloomington et la France. Ce petit ouvrage, retardé par le décès des époux Ostrom et de Jacques Weber, sera également une référence précieuse et émouvante (avec notamment des textes inédits de Lin Ostrom, notamment ses conférences au Corum Montpellier et à l'UNESCO, ainsi que ses dialogues avec les chercheurs et les doctorants qu'elle avait souhaité rencontrer). "Working together" comme elle nous y exhortait...."  +
Interview de Christian Iaione, juriste italien, fondateur de LABGOV et l'un des principaux architectes de la règlementation de Bologne en 2015.  +
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Vague Citoyenne est comme l'eau. Tombe du ciel, coule, s'infiltre et surtout gonfle comme les flots. L'eau est à qui ? Aux multinationales, aux gouvernements, aux financiers, aux politiques ou tout simplement… à nous ? Des femmes et des hommes, en une déferlante citoyenne, réclament leur simple droit vital. L'eau. En France. Berceau des marchands mondiaux de ce bien commun. Face à la voix unique de l'argent, d'autres voix s'élèvent. Des collectifs, des associations, des élus, des spécialistes ou de simples citoyens agissent pour que l'eau soit reconnue comme un bien commun de l'humanité. Ce film retrace 6 années de ces mouvements.  +
This document is a map showing abandoned or underused fortresses in the metropolitan/port area of Venice, Italy. Urban residents in the area want have the legal rights to use these fortresses for communitarian purposes. It is unclear when the document was published, but it is in effect or in discussion today.  +