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De Remix Biens Communs
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F
Cet espace de travail met à disposition de tous les "matériaux" (interventions, débats, études, notes, références et recensions...) proposés par les participants à la journée '''Finance autrement''' organisée à le RIODD dans le cadre de La Semaine du Management 2018.  +
Le groupe de travail « Finance en biens communs » (Finance-BC) a été conçu, au cours de l’année 2014 comme un atelier de réflexion sur la problématique de la finance vue à travers la perspective des « biens communs » (au sens des Common-pool resources étudiées par Elinor Ostrom).  +
Note de proposition de plan de travail pour le groupe Finance et commun  +
Comment la réflexion sur la place des communs de la connaissance inspire-t-elle les forces de la transition ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ? Ce séminaire, loin d'épuiser le sujet, est un moment pour ébaucher les pistes de travail qui permettent de mobiliser les forces de la transition, qu'il s'agisse d'activistes ou de chercheurs, de acteurs publics ou de la société civile. Pour explorer ces questions, le séminaire se structure autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Le dialogue sur ces trois axes de travail sera précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps de bilan du séminaire.  +, Le séminaire FLOK Society de Villarceaux s'est déroulé à la suite des travaux de Michel Bauwens en Equateur en 2014. Il a été organisé autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes, objets en transformation du projet FLOK Society : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. <br/>Le dialogue sur ces trois axes de travail a été précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps d'échange sur les perspectives et suites possibles du séminaire.  +, Le séminaire FLOK Society de Villarceaux s'est déroulé à la suite des travaux de Michel Bauwens en Equateur en 2014. Il a été organisé autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes, objets en transformation du projet FLOK Society : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. <br />Le dialogue sur ces trois axes de travail a été précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps d'échange sur les perspectives et suites possibles du séminaire.  +
Dialogues et développement d'outils pour les transformations du marché, de la puissance publique et de la société civile basées sur les communs.  +
EN :Food, a life enabler and a cultural cornerstone with multiple meanings, is governed as a mere commodity by the neoliberal food policies that prevail in Europe. These meanings so relevant to human are reduced to the one of tradeable good (see fig 1) and the value of food is mixed with reduced its price in the market. This video denounces that reductionist approach and presents an alternative narrative to revalue food as a commons (nothing but a social construct) and to recognise the benefits of existing commons-based food systems in Europe (rural-customary and urban-contemporary). This paradigm shift will open up a new set of food policies that will help Europe to transit to a fairer, healthier and more sustainable food system. For a detailed explanation of this approach, see here the policy document presented at the European Assembly of Commons (Brussels, 15-17 November 2016). :See the paper: https://frama.link/Food_as_common_goods FR :La nourriture, un catalyseur de la vie et une pierre angulaire culturelle aux multiples sens, est gouvernée comme une simple marchandise par les politiques alimentaires néolibérales qui prévalent en Europe. Ces ressources si importantes pour les humains sont réduites à des biens négociables et la valeur de la nourriture est confondue avec son prix sur le marché. Cette vidéo dénonce cette approche réductionniste et présente un autre récit pour réévaluer l'alimentation en tant que commun (rien d'autre qu'une construction sociale) et pour reconnaître les avantages des systèmes alimentaires communautaires existants en Europe (rural-coutumier et urbain-contemporain). Ce changement de paradigme ouvrira une nouvelle série de politiques alimentaires qui aideront l'Europe dans sa transition vers un système alimentaire plus juste, plus sain et plus durable. Pour une explication détaillée de cette approche, voir aussi le document de proposition politique présenté à l'Assemblée européenne des Communes (Bruxelles, 15-17 novembre 2016). :Voir la proposition : https://frama.link/Food_as_common_goods (en anglais)  
Intervention de Michel Bauwens au colloque de Cerisy "Vers une République des biens communs ?" Extrait : "Je fais l'hypothèse que le capitalisme a changé d'un capitalisme anti-commun qui employait le travail comme commodité pour créer des marchandises vers un capitalisme qui facilite les dynamiques du commun et qui essaye de capter directement la sur-value créée par les communs. Par exemple IBM paye 2000 personnes pour produire Linux mais profite des 25 000 personnes qui sont payées par ses concurrents et des 25% qui ne sont pas payés du tout parce que ce sont des volontaires qui travaillent sur Linux pour améliorer leur propre activité. Pour une firme capitaliste, s'insérer dans une dynamique de commun est donc intéressant. Comme l'a dit Eben Moglen, avocat de Free Software Foundation : "The commons is the wet dream of both communists and capitalists alike". Tout ce qui est gratuit est intéressant pour un capitaliste."  +
Notes de la présentation de Francesco Brancaccio dans le cadre du séminaire DCENT le 15 novembre 2017  +
Témoignage de Frédérick Stambach, Médecin généraliste, Membre du Collectif Soignons Ensemble, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.  +
Une interview avec Friederike Habermann réalisée par AMBROSI Alain lors de la conference Economics and the Commons à Berlin le 25 mai 2013.  +
La FRMJC d'Ile de France a lancé une démarche de reconstitution du projet des maisons de jeunes et de la culture comme biens communs.  +
Conférence de David Bollier, Commons Strategies Group, Amherst, USA. Transcription par Calimaq (Lionel Maurel) (Source : http://scinfolex.com/2015/09/28/law-for-the-commons-reinventer-un-droit-pour-les-communs/)  +
G
« Geek Politics » est un web-documentaire belge qui vous propose de plonger dans le monde des hackers, des Partis Pirates, mais aussi de ces Etats et entreprises qui cadenassent chaque jour un peu plus l'Internet que nous utilisons. Soutenu par le Fonds pour le journalisme, Ce projet vous propose de découvrir l'univers méconnu des hackers et d'autres acteurs se cachant derrière Internet, ce réseau des réseaux que vous et moi nous utilisons tous les jours. Vous le verrez en parcourant les vidéos du webdoc, on est loin ici de l'image fantasmée du hacker diabolique derrière son écran en train d'essayer de pirater votre compte en banque pour vous délester de quelques euros. Non, on parle ici de communautés d'acteurs, dont certains ont développé les logiciels les plus répandus au monde, et qui participent à la mise en place de nouvelles formes de démocraties. On parle d'hommes et de femmes qui refusent de voir Internet contrôlé et cadenassé par une poignée d'Etats et d'entreprises spécialisées. Car les risques de flicage et de censure sont bel et bien réels. Et on parle du Parti Pirate aussi, cette formation politique originaire du nord de l'Europe qui se répand progressivement à travers le continent. Enquête / Interviews / Voix : Quentin Noirfalisse Images : Adrien Kaempf, Maximilien Charlier Son / Design : Antoine Sanchez Montage : Adrien KaempfProduction : Maximilien Charlier Programmation : Yannick Ferire  +
Ce documentaire montre comment 4 jeunes artistes marocains se saisissent et renouvellent leur patrimoine culturel dans leurs créations. En suivant ces 4 jeunes musiciens et leur entourage sur une période de 15 jours, l'équipe de tournage nous fait partager leurs réflexions sur leur patrimoine culturel et sa place dans leur construction identitaire personnelle. Ce documentaire a été réalisé dans le cadre d'un projet REGARDS CROISES sur le patrimoine marocain.  +
Une interview avec Georges Por réalisée par AMBROSI Alain lors de la conference Economics and the Commons à Berlin le 23 mai 2013.  +
Le GRET (organisation non gouvernementale de solidarité internationale) a intégré dans ses démarches le concept de Gestion Intégrée des Ressources en Eau. Dans cette fiche il nous est expliqué dans quelle mesure les processus de GIRE sont mis en place. On retrouve également des témoignages des acteurs concernés et un focus sur deux projets menés au Sénégal et en Haïti.  +
Préserver et enrichir le vocabulaire des biens communs en français est un double enjeu pour le mouvement des communs. En élaborant un glossaire, les acteurs des biens communs se donnent une base de définitions en même temps qu’ils proposent une grille de lecture du réel basée sur le paradigme des biens communs. En outre cette démarche contribue aussi à lutter contre les phénomènes de « commons washing » qui émergent aujourd’hui.  Notre projet vise à rassembler un ensemble de termes qui sont assez largement utilisés sans que leur définition soit toujours claire. Nous nous attacherons à croiser des définitions émanent de points de vues différents (différents acteurs, différents domaines d’action ou disciplines, différents registres de définition, …) et à les mettre en regard. Enfin, nous pourrons apporter des ressources documentaires sur ces termes.   +, Notre projet vise à rassembler un ensemble de termes qui sont assez largement utilisés sans que leur définition soit toujours claire. Nous nous attacherons à croiser des définitions émanent de points de vues différents (différents acteurs, différents domaines d’action ou disciplines, différents registres de définition, …) et à les mettre en regard. Enfin, nous pourrons apporter des ressources documentaires sur ces termes.  +
:Un documentaire sur l'état du copyright et de la culture par Andreas Johsen, Ralf Christensen et Henrik Moltke. :Sous-titrage dans de nombreuses langues : français, espagnol, Allemand, russe et plus   +
Ce documentaire raconte comment une communauté berbère gère son approvisionnement en eau, l'entretien des infrastructures, les modalités d'administration et de gouvernance construits au fil du temps et inscrits dans la coutume.  +
This document shows the community discussion taking place in the territory of Grangemouth and Skinflats, in Falkirk. The discussion took place on April 13th, 2017 and hosted a total number of 80 attendees. Themes in the discussions included lack of economic benefits, jobs, energy security, cheaper fuel for the consumer, lack of transparent information, environmental pollution, environmental and public health, cumulative community impacts, unknown hydrogeology, ineffective regulation, and private profit motives. The overall result of these discussions was a refusal for a social license for the unconventional oil and gas industry to operate within the community council area.  +