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De Remix Biens Communs
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Liste de résultats

  • Projet de territoire de gestion de l'eau du bassin du Clain  + (Dans cette vidéo Christine Graval (conseilDans cette vidéo Christine Graval (conseillère régionale de la Vienne), Nicolas Fortin (secrétaire national Confédération Paysanne), Jean-Claude Hallouin (conseiller juridique Vienne Nature) et Jean-Pierre Coillot (vice-président UFC que choisir de la Vienne) présentent le projet territorial de gestion de l'eau du bassin du Clain. Chacun et chacune à partir de sa propre perspective (politique, juridique, sanitaire, agricole) les intervenants nous expliquent les raisons qui ont motivé le lancement de ce projet, ainsi que les défis, les enjeux et les objectifs qui concernent surtout la répartition équitable, l'accessibilité et la qualité de l'eau.e, l'accessibilité et la qualité de l'eau.)
  • Le nucléaire entre géopolitique, science et transition énergétique  + (Dans cette vidéo Jacqueline Frost et Jean-Dans cette vidéo Jacqueline Frost et Jean-Marc Royer nous présentent leurs travaux sur la question du nucléaire à partir de deux perspectives très différentes. Frost mène effectivement une recherche sur les dimensions politiques et culturelles de l'impérialisme nucléaire à l'époque de la révolution tiers-mondiste (1950-1970), notamment elle analyse la façon dont des écrivains et artistes anticoloniaux ont contribué à conceptualiser les liens entre décolonisation, guerre froide globale, apocalypse nucléaire et désastre socio-écologique. En revanche l'intervention de Royer reprend largement les réflexions autour de la philosophie politique du nucléaire contenues dans son livre sorti en 2017 « Le Monde comme projet Manhattan. Des laboratoires du nucléaire à la guerre généralisée au vivant ».éaire à la guerre généralisée au vivant ».)
  • La Gestion de l'eau en France  + (Dans cette vidéo de la chaîne Youtube « LeDans cette vidéo de la chaîne Youtube « Le monde de l'hydrobiologie » il nous est expliqué comment la gestion de l'eau s'articule en France. On retrouve une présentation synthétique des trois grandes lois (1964 Gestion de l'eau par grands bassins, 1992 Loi sur l'eau, 2006 Loi sur l'eau et les milieux aquatiques) autour desquelles cette gestion est aménagée. Pour chacune des lois il y a une description des mesures et des organes spécifiques mis en place pour régler la gestion de l'eau. en place pour régler la gestion de l'eau.)
  • Méga-bassines, sécheresse : la France va-t-elle manquer d'eau ?  + (Dans cette vidéo il nous est expliqué la cDans cette vidéo il nous est expliqué la crise de l'eau que depuis quelques années traverse la France. Avec le changement climatique, les vagues de chaleurs et la sécheresse, la question qu'il faut se poser est si la France aura assez d’eau pour cultiver ses champs et nourrir sa population. Ici on retrouve des témoignages d'agriculteurs et une problématisation de la crise de l'eau qui vise à mettre en exergue les facteurs qui la causent, les enjeux et les solutions possible.ent, les enjeux et les solutions possible.)
  • Les Champs Captants du Sud de Lille  + (Dans cette vidéo l'association « EntrelianDans cette vidéo l'association « Entrelianes » nous parle des enjeux environnementaux auxquels Les Champs Captants sont confrontés : défi climatique, crise de la biodiversité et crise de l'eau. Il s'agit d'un territoire qui alimente 30% de l'eau potable de la Métropole Européenne de Lille. L'expression « champs captants » définit des terres qui infiltrent directement l'eau de la pluie vers les nappes phréatiques sous-jacentes.vers les nappes phréatiques sous-jacentes.)
  • L'eau est un bien commun  + (Dans le cas de l'eau il ne s'agit pas de pDans le cas de l'eau il ne s'agit pas de penser à cette ressource en tant que naturellement et intrinsèquement commune. Au contraire, l'eau devient un bien commun lorsqu'un collectif l'institue comme bien commun, c'est-à-dire en fait une ressource commune par un processus démocratique qui définissent les termes dans lesquels l'eau est utilisée, produite et distribuée.'eau est utilisée, produite et distribuée.)
  • Fin du monde et petits fours : Les élites transnationales face à la crise climatique  + (Dans une situation d'urgence climatique oùDans une situation d'urgence climatique où modes de vie carbonifères des élites économiques sont de plus en plus pointés du doigt, Edouard Morena parle du rôle de ces acteurs qui sont accusés de fuir leurs responsabilités. Or, loin d'être des observateurs passifs et détachés ou des preppers haut de gamme, les élites économiques sont des acteurs clés du débat climatique international. Elles sont les promoteurs acharnés du capitalisme vert, un projet politique taillé sur mesure et qui garantit leurs intérêts de classe dans un monde en surchauffe. Cette rencontre est aussi l'occasion de présenter son livre titré justement « Fin du monde et petits fours : Les élites transnationales face à la crise climatique ».nsnationales face à la crise climatique ».)
  • L'approche COOPLAGE  + (Développé à partir du 2004, l'approche « CDéveloppé à partir du 2004, l'approche « CoOPLAGE (Coupler des Outils Ouverts et Participatifs pour Laisser les Acteurs s’adapter pour la Gestion de l’Eau » a été élaboré par les chercheurs INRAE de l’Unité Mixte de Recherche gestion de l’Eau, Acteurs, Usages à Montpellier. Il s'agit d'une suite intégrée d’outils et protocoles participatifs destinés à accompagner et autonomiser des groupes d’acteurs de tous niveaux vers une discussion et un engagement réel dans des stratégies de changement social et environnemental. Outre la présentation générale de cette approche dans cette page on retrouve aussi une fiche téléchargeable en anglais qui explique les différentes étapes.glais qui explique les différentes étapes.)
  • Entretien avec Fanch Frigo de La Cité de l'agriculture  + (Fanch Frigo présente l'association La CitéFanch Frigo présente l'association La Cité de l'agriculture, laboratoire pour la transition écologique des villes. Les deux axes sur lesquels l'association travaille sont : l'agriculture urbaine et l'alimentation durable. Fanch coordonne des projets en alimentation durable et nous raconte quels efforts La Cité de l'agriculture met en place pour favoriser l'accessibilité à l'alimentation.avoriser l'accessibilité à l'alimentation.)
  • Entretien avec Jérome Bar d'Aequitaz  + (Jérome est artisan de justice sociale à AeJérome est artisan de justice sociale à Aequitaz, association dont il est co-fondateur. Cette association mobilise des personnes qui vivent la précarité pour essayer de construire la solidarité entre elles et faire des propositions de politiques publiques.</br>Parmi les axes sur lesquels ils travaillent il y a celui de la démocratie alimentaire. L'alimentation devrait être considéré comme un bien commun dont tout le monde doit bénéficier selon ses propres besoins et en tant que droit contre une approche caritative. De cette façon l'alimentation peut devenir un véritable levier pour combattre contre la précarité.levier pour combattre contre la précarité.)
  • Comment imposer une limite absolue au capitalisme?  + (Les trois livres principaux de Gilles DeleLes trois livres principaux de Gilles Deleuze et Félix Guattari portent sur la même question: comment renverser le capitalisme, comment imposer au système capitaliste immanent sa limite absolue. Et ils ont proposé, pour cela, une seule et même stratégie invariable: le devenir-révolutionnaire de tout le monde. Cela étant le point de départ de l'intervention de Jun Fujita Hirose, il s'interrogera sur la situation contemporaine où le capitalisme entre dans un ultérieur moment de destruction créative, à travers lequel un nouveau régime d' accumulation mondial est en train de s'installer, sous l'hégémonie chinoise et avec les métaux rares comme matière paradigmatique. Quelle est la tactique qui correspond à cette nouvelle conjoncture?i correspond à cette nouvelle conjoncture?)
  • Entretien avec Marc Alphandery autour de l'agriculture et de l'alimentation durables  + (Marc Alphandery, référent Agriculture et aMarc Alphandery, référent Agriculture et alimentation durables au sein du Labo de l'ESS, retrace son parcours d'engagement pour le droit à l'alimentation. La préoccupation à la base de son investissement a toujours été comment une alimentation de qualité peut devenir un véritable droit pour tout le monde, d'autant plus que souvent elle n'est pas accessible pour ceux et celles qui sont dans une situation de précarité financière. À quel point où l'on est aujourd'hui ? Quels sont les enjeux autour de cette question ?sont les enjeux autour de cette question ?)
  • Entretien avec les Paniers Marseillais et Amap de Provence  + (Mauranne est animatrice chez le réseau AmaMauranne est animatrice chez le réseau Amap de Provence et Eva travaille aux Paniers Marseillais, réseau d'Amap sur Marseille, et elle est chargée des questions liées à l'accessibilité alimentaire. Elles retracent leur parcours personnel et professionnel ainsi que la façon dont celui-ci les a conduit à s'engager pour le droit à l'alimentation, notamment dans les Associations pour le Maintien de l'Agriculture Paysanne. Comment élargir ces dynamiques de solidarité entre paysans et mangeurs au reste de la population et rendre l'alimentation quelque chose de vraiment accessible pour toutes et tous ? Quels enjeux pour le mouvement des Amap ? Quels enjeux pour le mouvement des Amap ?)
  • Chartes de gouvernance au Sénégal  + (Nous reprenons ici le travail documentatioNous reprenons ici le travail documentation de l'élaboration de deux chartes de gouvernance réalisé par le LARTES IFAN en 2013 dans le cadre des démarches de préfiguration de Remix the commons. </br></br>L'une est la charte de bon voisinage d'une association d'ahabitants d'un quartier à Dakar, et l'autre est la charte de Gouvernance démocratique élaborée tout au long des Assises Nationales du Sénégal qui ont préparé les élections présidentielles au Sénégal en 2009.ctions présidentielles au Sénégal en 2009.)
  • Hommage à Silke Helfrich  + (Silke Helfrich est décédée lors d’un accident de montagne au Liechtenstein le 10 novembre 2021. Remix lui a rendu hommage à travers un temps de rencontre dédié au partage et à la continuation de son travail.)
  • Journal du Portrait Nature des champs captants  + (Synthèse des observations et propositions Synthèse des observations et propositions issues du Portrait Nature des Champs Captants du Sud de Lille (2021-22). Diagnostic citoyen animé par l'association Entrelianes à partir des questions suivantes : comment mieux protéger la nappe de la craie du Sud de Lille et comment mieux la recharger ?d de Lille et comment mieux la recharger ?)
  • « Les Ateliers des Métamorphoses » d’Eau de Paris  + (Série de podcasts « Les Ateliers des MétamSérie de podcasts « Les Ateliers des Métamorphoses » d'Eau de Paris. Ces épisodes de 45 minutes proposent à des experts de croiser leurs pensées pour explorer le futur et anticiper les mutations et les transitions. Au programme, des sujets variés tant l’eau est en interconnexion avec de nombreux enjeux de politiques publiques : agriculture, culture, économie, écologie, géopolitique, sanitaire, social, sociétal, urbanisme etc.anitaire, social, sociétal, urbanisme etc.)
  • La culture des communs est-elle indispensable pour la bascule ?  + (Table ronde avec plusieurs professionnels Table ronde avec plusieurs professionnels engagés dans l'agenda du Développement Durale et de la RSE en Europe. Remettre au centre les ressources, initier de nouvelles conditions de partage, instituer la possibilité de “faire ensemble” : c'étaient les thématiques abordée lors de cette rencontre en se posant la question si la culture des communs peut être un point de départ pour faire face à ces enjeux.nt de départ pour faire face à ces enjeux.)
  • FLOK Society - Séminaire de Villarceaux  + (Comment la réflexion sur la place des commComment la réflexion sur la place des communs de la connaissance inspire-t-elle les forces de la transition ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ? Ce séminaire, loin d'épuiser le sujet, est un moment pour ébaucher les pistes de travail qui permettent de mobiliser les forces de la transition, qu'il s'agisse d'activistes ou de chercheurs, de acteurs publics ou de la société civile.</br></br>Pour explorer ces questions, le séminaire se structure autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Le dialogue sur ces trois axes de travail sera précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps de bilan du séminaire.et suivi d'un temps de bilan du séminaire.)
  • Atelier sur les biens communs à la Ferme des Bouillons  + (À la demande de l'association de la Ferme À la demande de l'association de la Ferme des bouillons, nous avons organisé deux jours de formation des militants autour de la notion de communs. Cette formation se déroule dans le contexte de la lutte pour la préservation de la ferme occupée. Elle s'appuie sur une mise à jour de l'histoire des communs dans les domaines de l'alimentation, du foncier, de la culture et du vivre ensemble.ncier, de la culture et du vivre ensemble.)
  • Expo sur les communs  + (L'exposition itinérante Les communs proposL'exposition itinérante Les communs propose au «grand public» de découvrir cette notion à travers la présentation du principe illustré par des exemples concrets issus de différents secteurs d'activité, son histoire et les perspectives qu'il ouvre pour changer notre société. L'exposition est conçue pour pouvoir être utilisée facilement dans le plus grand nombre possible de lieux recevant du public. Les panneaux qui la composent peuvent être imprimés (individuellement ou bien l'ensemble) en différents formats, afin de s'adapter à un espace selon ses dimensions et sa fréquentation par le public.ensions et sa fréquentation par le public.)
  • Ateliers populaire de cartographie des communs  + (Les ''Ateliers populaires de cartographie Les ''Ateliers populaires de cartographie des communs'' sont nées dans la dynamique de coalition autour des biens communs de la rencontre Internationale "Economics and the Commons" (Berlin 2013). Celle-ci a révélé la nécessité développer une pratique d'appropriation sociale, culturelle et politique des communs avec les militants africains. Les ''Ateliers populaires de cartographie des communs'' visent à développer la capacité du continent à produire des discours savants à propos des biens communs sur la base de recherche-action susceptibles de rentrer en dialogue avec le reste de la communauté des biens communs et ainsi contribuer au développement d'un mouvement autour des biens communs en Afrique. </br></br>Observations, recherches documentaires, enquêtes et études de cas, focus groupe, ... réalisés avec la population, portant sur l'alimentation, le transport, la Santé, l'environnement, l'information, l'éducation, ... défis actuels qui traversent la société africaine contemporaine, permettent de définir des projets concrets pour révéler les processus de Biens Communs en Afrique. Ces recherches-actions doivent nous permettre de dévoiler les pratiques et les enjeux des biens communs, d'articuler la recherche sur les communs, en Afrique, aux débats généraux sur les définitions et la cartographie des communs d’une part, et, d’autre part, de contribuer à enrichir l’agenda international des communs.richir l’agenda international des communs.)
  • Quelle stratégie participative pour la gestion locale de l’eau avec les citoyens ? Volume 5 - Rapport final  + (« Dans le cadre du projet « Quelle stratég« Dans le cadre du projet « Quelle stratégie participative pour la gestion locale de l’eau avec les</br>citoyens ? », cinq terrains ont été accompagnés par IRSTEA dans la construction et la mise en</br>œuvre de leur démarche participative. Ces terrains sont représentatifs de différentes zones du bassin Rhône Méditerranée Corse et de différents enjeux auxquels cherchent à répondre les gestionnaires de l’eau: restauration</br>hydromorphologique, partage de l’eau entre différentes usages, inondations et gestion intégrée.</br>L’objectif était que les retours d’expérience de ces cinq démarches participatives puissent être utiles à d’autres gestionnaires de l’eau voulant mettre en place des démarches participatives sur leurs territoires.</br>Ce document a donc été construit autour des questions que se sont posées les gestionnaires de l’eau de ces cinq terrains avant, pendant et après leurs démarches participatives. Nous avons fait l’hypothèse que d’autres gestionnaires se poseraient les mêmes questions et qu’ils seraient donc intéressés par les choix qu’ont fait les cinq terrains pour y répondre et les enseignements qu’ils en ont tiré » (p. 6) enseignements qu’ils en ont tiré » (p. 6))
  • REGIRE Lac Togo  + (« Démarré en mai 2023, le projet REGIRE La« Démarré en mai 2023, le projet REGIRE Lac Togo découle d’une étude de faisabilité conduite par le Gret et la Direction des Ressources en Eau (DRE) du Togo pour caractériser les principaux enjeux des ressources en eau dans le bassin versant du Lac Togo. Dans un contexte de fortes pressions sur les ressources en eau du bassin dues à la croissance et à la concentration démographique, la diversité des usages et les impacts des changements climatiques, les équipes du projet ont l’intention de rendre opérationnelle une gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) au niveau local (commune) selon une approche ascendante, territoriale et inclusive. Prévu pour la période 2023-2026, le projet sera mis en œuvre dans une phase pilote dans trois communes qui sont Haho 1, Kpélé 1 et Zio 2. À terme, ce projet, exécuté par le Gret et la DRE, permettra de mettre en place des organes locaux de gestion de l’eau, de réaliser des schémas locaux de gestion de l’eau, de contribuer à l’amélioration de l’action et des politiques publiques en matière de GIRE au Togo et de créer des mécanismes locaux de redevabilité. »r des mécanismes locaux de redevabilité. »)
  • TRAVAILLER ENSEMBLE en Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée  + (« TRAVAILLER ENSEMBLE EN TERRITOIRE ZÉRO C« TRAVAILLER ENSEMBLE EN TERRITOIRE ZÉRO CHÔMEUR DE LONGUE DURÉE » est un film documentaire réalisé par l’association « Autour du Premier Mai » avec de l’Entreprise à but d’emploi « La Fabrique », en Lorraine. Ce film permet de rentrer dans le quotidien de cette expérience de retour à l’emploi pour des chômeurs de longue durée et de les entendre échanger sur le travail avec Florence Jany-Catrice, une économiste spécialiste de cette initiative.conomiste spécialiste de cette initiative.)
  • Construisons ensemble - Auto construction d'éoliennes  + ("Construisons Ensemble - Un travail collec"Construisons Ensemble - Un travail collectif d'auto-construction d'éolienne riche de sens" est le 4ème épisode de la web-série documentaire sur les alternatives (http://www.side-ways.netSideWays). En une semaine, un groupe de 10 personnes va construire deux éoliennes avec un formateur expérimenté. Tout en apprenant le travail du bois, du métal et de l'électricité, les membres vont découvrir une autre manière de travailler. découvrez le magazine multimédia : http://www.side-ways.net/episode4).</br></br>Le tournage a eu lieu lors du stage organisé à Henripont (Belgique) par Peter du 28 octobre au 2 novembre 2013. Mélanie et Aurélien, un jeune couple de Moselle, vivent dans une petite maison en bois. Pour des raisons pratiques et économiques, ils souhaitent devenir autonomes en électricité. Après de nombreuses recherches, ils se rendent compte que c'est plus compliqué qu'ils ne le pensent et qu'il faut éviter les nombreuses arnaques dans ce secteur. Ils décident alors de participer à un stage d'auto-construction d'éolienne avec l'association Tripalium.</br></br>'''Tripalium''' est une association fondée en 2007. Elle propose régulièrement des stages d'auto-construction d'éolienne ouverts à tous.''' Que l'on soit manuel ou non, tout le monde peut participer au stage et apprendre les différents métiers nécessaires à sa construction : travail du bois, du métal et de l'électricité.</br></br>Pendant un stage d'une semaine, une ou deux éoliennes sont fabriquées par le groupe. Elles sont alors tirées au sort parmi les participants qui souhaitent l'acheter. Le coût correspond alors au prix des matériaux bruts nécessaires à la construction. Mélanie et Aurélien participent au stage qui a lieu à Henripont, un petit village belge situé à une trentaine de kilomètres de Bruxelles.</br></br>Dans un habitat groupé très vivant, Peter commence à organiser des stages d'auto-construction de toutes sortes pour participer à la transmission de savoirs-faire variés. Après une brève présentation théorique, la dizaine de stagiaires aux profils et compétences très variés se met au travail avec une motivation perceptible. Il y a trois ateliers et tout le monde s'organise comme il le souhaite. Cela facilite les collaborations entre les participants et développe les échanges de savoirs. Toutes les indications sont présentes dans le guide d'auto-construction d'éolienne fourni par Tripalium dès de lundi matin. Ainsi, Jay Hudnall, le formateur, n'est qu'une personne parmi tant d'autres qui possède des connaissances spécifiques.</br></br>Cette organisation collaborative correspond bien à l'esprit de Tripalium et de Ti'éole, l'entreprise d'éolienne dont Jay est également le maître d'oeuvre. Lorsqu'il monte une éolienne chez un particulier, il demande à cette personne de participer au travail. Elle est ainsi plus autonome en cas de problème.</br></br>http://side-ways.net/episode4/#sthash.3F3QWeby.dpufde-ways.net/episode4/#sthash.3F3QWeby.dpuf)
  • La forêt comestible de Juan Anton  + ("Il faut que tout le monde puisse manger. "Il faut que tout le monde puisse manger. Et comme la nourriture vient de la terre, produisons nous-même notre propre nourriture !" Apprendre à produire sa nourriture avec Juan Anton. Le tournage a été réalisé à Alzira, au sud de Valence - </br> </br>Episode 5 de la web-série itinérante SideWays, cette vidéo est la première partie de l'épisode. La seconde est un webmag interactif à découvrir sur http://side-ways.net/episode5 . Plus d'info à http://side-ways.net/episode5/#sthash.kKGrAHrZ.dpufde-ways.net/episode5/#sthash.kKGrAHrZ.dpuf)
  • 19.10 Plaidoyers pour les communs dans le contexte municipal  + ('''L'Appel en commun du 23 octobre 2019''''''L'Appel en commun du 23 octobre 2019''' était dédié à un temps d'échange sur les différentes formes de plaidoyers pour les communs dans le contexte municipal et leurs enjeux. A quelques mois des élections municipales (en France), que ces démarches soient engagées de longue date, ou bien des initiatives nouvelles et en construction, leur mise en lumière offre l'opportunité de revisiter la géographie du mouvement des communs sous l'angle des relations entre société civile et puissance publique.ntre société civile et puissance publique.)
  • Anniversaire des 800 ans de la Magna Carta  + ('''Présentation''' A l’occasion du 800 iè'''Présentation'''</br></br>A l’occasion du 800 ième anniversaire de la signature de la Magna Carta (2015), le Festival Temps des communs organisait une conférence de presse durant laquelle différentes associations ont présenté les enjeux sur lesquels ils se mobilisent pour les temps des communs en passant des communs naturels aux outils numériques et juridiques, à l'éducation: des examples des enjeux.s, à l'éducation: des examples des enjeux.)
  • Cagette - Système de garantie participatif des AMAP  + (''Extrait de «ACTES D’UNE RECHERCHE - ACTION EXPERIMENTALE - Le monde associatif aujourd’hui : évaluation ou managérialisation ? » Printemps 2016'')
  • Chargement/Site  + (<blockquote> <div align="center"&<blockquote></br><div align="center">Edition française de Free Fair and Alive, The Insurgent Power Of The Commons est disponible en librairie à partir du 18 novembre 2022</div></br></blockquote></br><div align="center"><b>LE POUVOIR SUBVERSIF DES COMMUNS</b><br /></br>DAVID BOLLIER ET SILKE HELFRICH<br /></br>Traduction française coordonnée par Olivier Petitjean</div></br><p align="center"><i>Les communs ne se résument pas à des projets à petite échelle visant à améliorer la vie quotidienne. Ils sont une vision séminale pour réimaginer ensemble notre avenir et réinventer notre organisation sociale, notre économie, nos infrastructures, notre politique et le pouvoir de l’État lui-même.</i></p></br><p>Alors que le monde d’aujourd’hui est confronté aux risques de rupture climatique et de pénuries énergétiques, ce livre ose imaginer comment d’innombrables actes de partage peuvent construire une nouvelle culture et une économie politique révolutionnaire. Il ambitionne de conceptualiser les communs en tant que système social, dynamique et créatif, vivant de l’ingéniosité quotidienne et des valeurs coopératives.</p></br><p>Il développer un appareil théorique décrivant de manière fine et détaillée un ensemble de modèles de l’action en commun orienté vers ce qui est utile et équitable et de dessiner ainsi un terrain d’émancipation et de démocratie réelle.</p></br><p>En s’appuyant sur des exemples concrets de pratiques des communs à travers le monde, depuis les forêts communautaires de l’Inde et les communes urbaines d’Italie, jusqu’aux coopératives de plateformes sur internet et aux soins infirmiers de quartier aux Pays-Bas, David Bollier et Silke Helfrich démontrent que nous pouvons être des personnes libres et créatives et nous gouverner nous-mêmes grâce à des institutions justes et responsables.</p></br><h3>Les auteurs : David Bollier et Silke Helfrich</h3></br><p><strong>David Bollier</strong> est directeur du programme “Reinventing the Commons” au Schumacher Center for a New Economics et cofondateur du “Commons Strategies Group”. Auteur de La Renaissance des communs (ECLM, 2014), entre autres livres, il vit à Amherst, dans le Massachusetts, aux États-Unis.</p></br><p>Militante, universitaire et conférencière, <strong>Silke Helfrich</strong> a cofondé le “Commons Strategies Group” et le “Commons Institute”. Elle a été l’éditrice et la coautrice de plusieurs livres sur les communs et vivait à Neudenau, en Allemagne.</p></br><p><strong>Page web de l’éditeur :</strong></p></br><blockquote class="wp-embedded-content" data-secret="iI96aqajXR"><p><a href="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/">Le pouvoir subversif des communs</a></p></blockquote></br><p><iframe class="wp-embedded-content" sandbox="allow-scripts" security="restricted" style="position: absolute; clip: rect(1px, 1px, 1px, 1px);" title="« Le pouvoir subversif des communs » — ECLM" src="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/embed/#?secret=iI96aqajXR" data-secret="iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /></br><strong>Contact presse :</strong><br /></br>Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /></br>Partenariat de diffusion Remix the commons</p>"iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /> <strong>Contact presse :</strong><br /> Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /> Partenariat de diffusion Remix the commons</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote> <div align="center"&<blockquote></br><div align="center">Edition française de Free Fair and Alive, The Insurgent Power Of The Commons est disponible en librairie à partir du 18 novembre 2022</div></br></blockquote></br><div align="center"><b>LE POUVOIR SUBVERSIF DES COMMUNS</b><br /></br>DAVID BOLLIER ET SILKE HELFRICH<br /></br>Traduction française coordonnée par Olivier Petitjean</div></br><p align="center"><i>Les communs ne se résument pas à des projets à petite échelle visant à améliorer la vie quotidienne. Ils sont une vision séminale pour réimaginer ensemble notre avenir et réinventer notre organisation sociale, notre économie, nos infrastructures, notre politique et le pouvoir de l’État lui-même.</i></p></br><p>Alors que le monde d’aujourd’hui est confronté aux risques de rupture climatique et de pénuries énergétiques, ce livre ose imaginer comment d’innombrables actes de partage peuvent construire une nouvelle culture et une économie politique révolutionnaire. Il ambitionne de conceptualiser les communs en tant que système social, dynamique et créatif, vivant de l’ingéniosité quotidienne et des valeurs coopératives.</p></br><p>Il développer un appareil théorique décrivant de manière fine et détaillée un ensemble de modèles de l’action en commun orienté vers ce qui est utile et équitable et de dessiner ainsi un terrain d’émancipation et de démocratie réelle.</p></br><p>En s’appuyant sur des exemples concrets de pratiques des communs à travers le monde, depuis les forêts communautaires de l’Inde et les communes urbaines d’Italie, jusqu’aux coopératives de plateformes sur internet et aux soins infirmiers de quartier aux Pays-Bas, David Bollier et Silke Helfrich démontrent que nous pouvons être des personnes libres et créatives et nous gouverner nous-mêmes grâce à des institutions justes et responsables.</p></br><h3>Les auteurs : David Bollier et Silke Helfrich</h3></br><p><strong>David Bollier</strong> est directeur du programme “Reinventing the Commons” au Schumacher Center for a New Economics et cofondateur du “Commons Strategies Group”. Auteur de La Renaissance des communs (ECLM, 2014), entre autres livres, il vit à Amherst, dans le Massachusetts, aux États-Unis.</p></br><p>Militante, universitaire et conférencière, <strong>Silke Helfrich</strong> a cofondé le “Commons Strategies Group” et le “Commons Institute”. Elle a été l’éditrice et la coautrice de plusieurs livres sur les communs et vivait à Neudenau, en Allemagne.</p></br><p><strong>Page web de l’éditeur :</strong></p></br><blockquote class="wp-embedded-content" data-secret="iI96aqajXR"><p><a href="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/">Le pouvoir subversif des communs</a></p></blockquote></br><p><iframe class="wp-embedded-content" sandbox="allow-scripts" security="restricted" style="position: absolute; clip: rect(1px, 1px, 1px, 1px);" title="« Le pouvoir subversif des communs » — ECLM" src="https://www.eclm.fr/livre/le-pouvoir-subversif-des-communs/embed/#?secret=iI96aqajXR" data-secret="iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /></br><strong>Contact presse :</strong><br /></br>Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /></br>Partenariat de diffusion Remix the commons</p>"iI96aqajXR" width="600" height="338" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /> <strong>Contact presse :</strong><br /> Isabelle Yafil – 01 43 14 75 82 – isabelle.yafil@eclm.fr<br /> Partenariat de diffusion Remix the commons</p>)
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  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Du 15 au 17 No<blockquote><p></br>Du 15 au 17 Novembre 2016, une Assemblée européenne des communs aura lieu à Bruxelles. Les commoners se réuniront, pour discuter, partager leur expérience, et réclamer une autre Europe. L’après-midi du 16, une réunion se déroulera au Parlement Européen, avec 150 d’entre eux, organisée en collaboration avec l’Intergroupe Parlementaire sur les biens communs et les services publics (dirigé par Marisa Matias, Dario Tamburrano, Ernesto Urtasun, Sergio Cofferati). Dans le même temps, d’autres événements et des assemblées locales auront lieu en dehors du Parlement, à Bruxelles et dans toute l’Europe.</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2016/09/ECA-300x212.jpg" alt="eca" width="900" height="636" class="aligncenter size-medium wp-image-4561" /><br /></br>Author: TILL GENTZSCH</p></br><p><H1>Autour du paradigme des communs</H1></p></br><p>Le 26 Septembre, un groupe d’organismes sans but lucratif, de fondations et d’autres organisations de la société civile publient conjointement un «Appel pour une Assemblée européenne des communs ». Le document rédigé collectivement, qui continue de recueillir les signatures collectives et individuelles à travers toute l’Europe, sert d’appel dans le but de constituer un réseau de «commoners».</p></br><p>L’Assemblée cherche à unir les citoyens dans un élan de solidarité trans-local et trans-européen pour faire face aux défis actuels de l’Europe et relancer le processus politique pour le 21e siècle. Les biens communs peuvent être compris comme un paradigme de transition qui met l’accent sur la coopération dans la gestion des ressources, des connaissances, des outils et des espaces aussi divers que l’eau, Wikipedia, le crowdfunding, ou un jardin communautaire. Leur appel décrit les communs comme :</p></br><ol></br>… les initiatives locales de coopération partant des habitants, basées sur le réseau qui sont déjà soutenues par des millions de personnes à travers l’Europe et le monde. Ces initiatives créent des systèmes autogérés qui répondent à des besoins importants. Elles opèrent à l’extérieur des marchés dominants et des programmes traditionnels de l’Etat et expérimentent de nouvelles structures hybrides.</ol></br><p>La proposition d’Assemblée Européenne des Communs a émergé en mai 2016, initiée par une communauté pilote de 28 militants issus de 15 pays européens, équilibré sur le plan du genre, travaillant dans différents champs des biens communs. Ce groupe est rejoint chaque jour par de nouveaux militants qui insistent sur le fait que l’Assemblée Européenne des communs est inclusive et ouverte, de sorte qu’un mouvement européen large et fluide puisse formé une large alliance citoyenne et démocratique. Elle cherche à rendre visibles les actes de mise en commun des citoyens pour les citoyens, tout en favorisant l’interaction avec les politiques et les institutions aux niveaux national et européen.</p></br><p><H1>Prendre part à un large mouvement </H1><br /></br>L’adoption rapide des communs comme une alternative durable et une vision du monde sociale et holistique, est en partie l’expression d’un malaise face au système économique actuel injuste et aux carences démocratiques. Le mouvement des communes a explosé ces dernières années, suite à l’attribution du prix Nobel d’économie à Elinor Ostrom en 2009 pour son travail sur la gestion des ressources communes. Il fusionne avec d’autres mouvements, comme les mouvements pour une économie de la solidarité et du partage, pour la production pairs à pairs, et pour la décroissance.</p></br><p>Michel Bauwens, figure de premier plan dans le mouvement peer-to-peer, qui fait partie de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA), explique: <em>Partout dans le monde, un nouveau mouvement social émerge, qui conteste les présupposés « extractivites » de l’économie politique dominante, sème des formes co-construites d’une société durable et solidaire. Les commoners prennent la parole, par exemple, dans les assemblées des communs qui émergent dans les villes françaises et ailleurs. Le temps est venu pour une transformation du monde politique, à travers une Assemblée européenne des communs.</em></p></br><p>L’Appel inclue une invitation à participer à une rencontre ouverte à Bruxelles du 15 au 17 Novembre 2016 pour trois jours d’activités et de réflexion partagée sur la façon de protéger et de promouvoir les communs. Cette rencontre inclue une session officielle au Parlement européen, accueillie par l’Intergroupe parlementaire sur les biens communs et services publics, le 16 Novembre (le nombre de place est limité).</p></br><p>Vous pouvez lire et <a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">signer le texte intégral</a> de l’appel, également disponible en français, en espagnol, et bientôt dans d’autres langues européennes, sur le <a href="http://europeancommonsassembly.eu">site Web</a> de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA). Cette signature (http://europeancommonsassembly.eu/sign-call/) peut être individuelle ou au nom d’organisations de la société civile. </p></br><p>Pour plus d’informations, visitez le site web <a href="http://europeancommonsassembly.eu/"> http://europeancommonsassembly.eu/ </a>ou suivez les mises à jour régulières via @CommonsAssembly sur Twitter.</p></br><p>Contact pour les médias: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu</p></br><p>Appel pour un processus d’assemblée européenne des communs :<br /></br><a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/</a></p></br><p>Traduction de de l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p> l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Interview de P<blockquote><p> Interview de Philippe Minard sur l’ouvrage de l’historien britannique E. P. Thompson: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, traduit et publié en français en 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard. Boîte à Idées</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p></br><p>A propos de la Guerre des Forêts, de Edward P. Thompson</p></br><p>L’ouvrage, paru à Londres en 1975, est une enquête vivante d’histoire sociale : au début du XVIIIe siècle, un conflit oppose, d’un côté, les propriétaires et administrateurs de la forêt – celle de Windsor notamment – et, de l’autre, ses usagers. Au point qu’une loi promulguée en 1723 punit de mort certains des usages coutumiers : ce « Black Act », ainsi nommé parce que les braconniers se couvraient le visage de suie, est particulièrement impitoyable : si un vol de cerf est un crime capital, l’abattage de jeunes arbres ou la mutilation du bétail peuvent conduire aussi la potence. Les habitants des forêts opposent, à cette répression « sanguinaire », le droit coutumier des usages collectifs (droits de pâturage, d’extraction de tourbe, d’abattage et de ramassage du bois…).</p></br><p>Ainsi, outre la mise en place d’une évidente « politique de classes », ce que Thompson, grande figure intellectuelle inspirée par le marxisme et pionnier de « l’histoire par le bas », nous oblige à penser, c’est un monde dans lequel survivaient, avant que le XVIIIe siècle ne les arase au profit d’une conception exclusive, des modes et des degrés de propriété fort différents : « Ce qui était en jeu, écrit-il, (…) c’était des définitions concurrentes du droit de la propriété : pour le propriétaire terrien, l’enclosure ; pour le petit paysan, les droits collectifs ; pour les autorités de la forêt, les “chasses gardées” des cerfs ; pour les habitants des forêts, le droit de prélever de la tourbe ».</p></br><p>Selon Philippe Minard, c’est l’un des aspects les plus frappants de cet ouvrage : « Thompson nous aide à penser la diversité des régimes d’accès possibles, tout ce qui existe entre la propriété individuelle et l’absence totale de propriété. » Resurgi dans les années 1970, à la faveur de l’écologie (quand il a fallu déterminer à qui appartenaient les forêts, les océans ou encore l’atmosphère, en passe d’être durablement souillés), ce questionnement s’est poursuivi avec le développement d’Internet. Depuis la fin des années 1990, des activistes se battent contre tout ce qui entrave la circulation et l’appropriation collective des connaissances, en faisant explicitement référence aux pratiques des droits collectifs et des commons. Il se déroule sur le Net, selon eux, ce que Thompson décrivait dans les forêts anglaises : « Un conflit entre les utilisateurs et les exploiteurs. »</p></br><p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>;/p> <p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #2</em>, is the second serie of 10 videos of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a>. This serie has been gathered at the World Science and Democracy Forum, organized at Dakar in February 2011, </p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>hase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #1</em>, is the first serie of 20 videos and remixes of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The commons</em></a>. This serie has been gathered at the <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin, November 1 and 2, 2010,</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world.</p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings.</p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ork of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #3</em>, is the third serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 16 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la cinquième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 12 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #2</em>, est la deuxième série de 10 capsules vidéos de définitions des biens communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Cette série a été réalisée à l’occasion du Forum Mondial Sciences et Démocratie qui se déroulait à Dakar en Février 2011.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit.  Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>tenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la quatrième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #1</em>, est la première série de 20 capsules vidéos et remix de définitions des communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les communs</em></a>. Cette série à été réalisée à l’occasion de la <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Commons (ECC)</a> co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a> à Berlin les 1er et 2 novembre 2010,</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la troisième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>4<blockquote><p><strong>4 octobre 2022 de 15h à 17h CET (en ligne) </strong>| Nous vous invitons à <a href="http://formularis.commonscloud.coop/659156" target="_blank" rel="noopener noreferrer">participer à l’évènement</a> organisé par le Groupe de travail Écosystème des Communs (<a href="https://femprocomuns.coop/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">FemProcomuns</a> (Catalunya, Espagne), <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Remix the Commons</a> (Francophonie), <a href="https://www.babalex.org/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">B.A.Balex</a> (France), <a href="https://projetcollectif.ca/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Projet Collectif</a> (Québec) , <a href="https://www.solidariusitalia.it/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Solidarius</a> (Italie).</p></blockquote></br><p><em><img decoding="async" loading="lazy" class="alignright wp-image-4211" src="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png" sizes="(max-width: 275px) 100vw, 275px" srcset="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png 3780w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-150x150.png 150w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-300x300.png 300w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-768x768.png 768w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-1024x1024.png 1024w" alt="" width="275" height="275" /></em>Écosystème de Transition est une série de rencontres organisées par le <a href="https://femprocomuns.coop/portfolio/transitant-transitioning/?lang=en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Groupe d’Activité Coopérative (GAC ) en Transition </a>de la coopérative Catalane femProcomuns, dans le but de travailler collectivement sur les défis liés aux domaines clés de l’économie : énergie, territoire, eau, alimentation, soins, logement, volontariat, méthodologies…, du point de vue de la production, de l’approvisionnement et des impacts environnementaux, avec une vision basée sur les communs (guidée par le modèle de soutenabilité des communs, mais avec le désir d’apprendre et d’incorporer d’autres modèles et artefacts) et avec la participation de divers acteurs, de Catalogne et d’ailleurs.</p></br><p>Dans le modèle socio-économique<strong> des communs</strong>, les gens s’auto-organisent pour résoudre les besoins et les défis à partir d’une logique communautaire et soutenable. Les communs sont un modèle d’organisation sociale et économique qui échappe au marché et à l’État. En plus des nombreux exemples de communs traditionnels qui ont maintenu des formes de production et de reproduction singulières au fil des siècles, ces dernières décennies ont vu naître des projets technologiques, urbains et culturels, dont certains utilisent des licences libres et ouvertes ou des modèles de distribution du pouvoir pour une production démocratique. Ces projets sont singuliers, mais ils partagent certains principes et qualités.</p></br><p>Dans ce contexte, femProcomuns (coopérative intégrale d’utilisateurs et de travailleurs) proposons une rencontre, pour favoriser la mise en réseau et la coopération autour des leçons apprises ces 5 dernières années, dans différents espaces en Catalogne et ailleurs.</p></br><p>La session aura lieu en ligne le 4 octobre, de 15h00 à 17h00 : (traduction simultannée Catalan, Espagnol, Anglais et Français) Plus de détails à venir.</p></br><p>Au fil des années, nous avons constaté que la dimension relationnelle des communautés où se situent les projets est le principal élément qui rend les projets communs. En plus de choisir et de connaître les outils nécessaires (technologiques, mécanismes juridiques, de gestion…), il est essentiel que les personnes qui appartiennent à la communauté partagent des intérêts, s’identifient au projet, s’auto-organisent et s’autogèrent, et sachent comment mobiliser les ressources dont elles ont besoin, comment organiser le mode de production, où trouver les connaissances dont elles ont besoin et avoir une politique sur le partage des connaissances qu’elles génèrent. Lorsqu’il s’agit d’une communauté existante avec des liens sociaux antérieurs et auto-organisée, ce sera plus facile. Et s’il s’agit d’un groupe, qui veut activer une nouvelle communauté, il sera nécessaire de planifier soigneusement le projet.</p></br><p><a id="set-post-thumbnail" class="thickbox" href="https://www.remixthecommons.org/wp-admin/media-upload.php?post_id=6850&type=image&TB_iframe=1" aria-describedby="set-post-thumbnail-desc"><img decoding="async" loading="lazy" class="attachment-266x266 size-266x266 alignleft" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png" sizes="(max-width: 266px) 100vw, 266px" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-607x607.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-768x768.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo.png 794w" alt="" width="266" height="266" /></a>Nous avons testé le modèle de soutenabilité des communs, nous avons élaboré des textes explicatifs détaillant le cadre théorique et conceptuel et nous avons développé un kit de ressources avec des outils visuels et des jeux pour explorer et travailler sur des projets dans une perspective plus communautaire, écologique et féministe.</p></br><p>Nous voulons partager cette expérience accumulée avec des acteurs qui partagent cet horizon du commun, écologique, démocratique, féministe… et qui sont sensibles à l’importance de l’activation des économies locales, par l’action communautaire et par l’innovation citoyenne ; des acteurs (initiatives de base, entreprises sociales, coopératives, laboratoires citoyens…) actifs en Catalogne, en Europe et au-delà, avec lesquels partager des infrastructures, des connaissances, des méthodologies et des outils.</p></br><p>Nous voulons également connaître les expériences et les méthodologies menées par d’autres agents, partager des pratiques, des visions et des idées avec des projets d’autres endroits en Catalogne, en France ou au Québec. Nous vous invitons à participer à la session en ligne et à partager la manière dont vous mettez en œuvre votre pratique. La session, de deux heures seulement, ne permettra pas à chacun de présenter oralement, mais nous recueillerons toutes les initiatives par écrit dans un pad (bloc-notes), et nous poursuivrons la conversation à travers un <a href="https://agora.commonscloud.coop/c/transitant" target="_blank" rel="noopener noreferrer">espace de l’Agora</a> que nous avons aménagé pour parler de la transition vers les communs.</p></br><p><em>Écosystème de Transition</em>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p></br><p> </p>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>4<blockquote><p><strong>4 octobre 2022 de 15h à 17h CET (en ligne) </strong>| Nous vous invitons à <a href="http://formularis.commonscloud.coop/659156" target="_blank" rel="noopener noreferrer">participer à l’évènement</a> organisé par le Groupe de travail Écosystème des Communs (<a href="https://femprocomuns.coop/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">FemProcomuns</a> (Catalunya, Espagne), <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Remix the Commons</a> (Francophonie), <a href="https://www.babalex.org/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">B.A.Balex</a> (France), <a href="https://projetcollectif.ca/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Projet Collectif</a> (Québec) , <a href="https://www.solidariusitalia.it/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Solidarius</a> (Italie).</p></blockquote></br><p><em><img decoding="async" loading="lazy" class="alignright wp-image-4211" src="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png" sizes="(max-width: 275px) 100vw, 275px" srcset="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png 3780w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-150x150.png 150w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-300x300.png 300w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-768x768.png 768w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-1024x1024.png 1024w" alt="" width="275" height="275" /></em>Écosystème de Transition est une série de rencontres organisées par le <a href="https://femprocomuns.coop/portfolio/transitant-transitioning/?lang=en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Groupe d’Activité Coopérative (GAC ) en Transition </a>de la coopérative Catalane femProcomuns, dans le but de travailler collectivement sur les défis liés aux domaines clés de l’économie : énergie, territoire, eau, alimentation, soins, logement, volontariat, méthodologies…, du point de vue de la production, de l’approvisionnement et des impacts environnementaux, avec une vision basée sur les communs (guidée par le modèle de soutenabilité des communs, mais avec le désir d’apprendre et d’incorporer d’autres modèles et artefacts) et avec la participation de divers acteurs, de Catalogne et d’ailleurs.</p></br><p>Dans le modèle socio-économique<strong> des communs</strong>, les gens s’auto-organisent pour résoudre les besoins et les défis à partir d’une logique communautaire et soutenable. Les communs sont un modèle d’organisation sociale et économique qui échappe au marché et à l’État. En plus des nombreux exemples de communs traditionnels qui ont maintenu des formes de production et de reproduction singulières au fil des siècles, ces dernières décennies ont vu naître des projets technologiques, urbains et culturels, dont certains utilisent des licences libres et ouvertes ou des modèles de distribution du pouvoir pour une production démocratique. Ces projets sont singuliers, mais ils partagent certains principes et qualités.</p></br><p>Dans ce contexte, femProcomuns (coopérative intégrale d’utilisateurs et de travailleurs) proposons une rencontre, pour favoriser la mise en réseau et la coopération autour des leçons apprises ces 5 dernières années, dans différents espaces en Catalogne et ailleurs.</p></br><p>La session aura lieu en ligne le 4 octobre, de 15h00 à 17h00 : (traduction simultannée Catalan, Espagnol, Anglais et Français) Plus de détails à venir.</p></br><p>Au fil des années, nous avons constaté que la dimension relationnelle des communautés où se situent les projets est le principal élément qui rend les projets communs. En plus de choisir et de connaître les outils nécessaires (technologiques, mécanismes juridiques, de gestion…), il est essentiel que les personnes qui appartiennent à la communauté partagent des intérêts, s’identifient au projet, s’auto-organisent et s’autogèrent, et sachent comment mobiliser les ressources dont elles ont besoin, comment organiser le mode de production, où trouver les connaissances dont elles ont besoin et avoir une politique sur le partage des connaissances qu’elles génèrent. Lorsqu’il s’agit d’une communauté existante avec des liens sociaux antérieurs et auto-organisée, ce sera plus facile. Et s’il s’agit d’un groupe, qui veut activer une nouvelle communauté, il sera nécessaire de planifier soigneusement le projet.</p></br><p><a id="set-post-thumbnail" class="thickbox" href="https://www.remixthecommons.org/wp-admin/media-upload.php?post_id=6850&type=image&TB_iframe=1" aria-describedby="set-post-thumbnail-desc"><img decoding="async" loading="lazy" class="attachment-266x266 size-266x266 alignleft" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png" sizes="(max-width: 266px) 100vw, 266px" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-607x607.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-768x768.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo.png 794w" alt="" width="266" height="266" /></a>Nous avons testé le modèle de soutenabilité des communs, nous avons élaboré des textes explicatifs détaillant le cadre théorique et conceptuel et nous avons développé un kit de ressources avec des outils visuels et des jeux pour explorer et travailler sur des projets dans une perspective plus communautaire, écologique et féministe.</p></br><p>Nous voulons partager cette expérience accumulée avec des acteurs qui partagent cet horizon du commun, écologique, démocratique, féministe… et qui sont sensibles à l’importance de l’activation des économies locales, par l’action communautaire et par l’innovation citoyenne ; des acteurs (initiatives de base, entreprises sociales, coopératives, laboratoires citoyens…) actifs en Catalogne, en Europe et au-delà, avec lesquels partager des infrastructures, des connaissances, des méthodologies et des outils.</p></br><p>Nous voulons également connaître les expériences et les méthodologies menées par d’autres agents, partager des pratiques, des visions et des idées avec des projets d’autres endroits en Catalogne, en France ou au Québec. Nous vous invitons à participer à la session en ligne et à partager la manière dont vous mettez en œuvre votre pratique. La session, de deux heures seulement, ne permettra pas à chacun de présenter oralement, mais nous recueillerons toutes les initiatives par écrit dans un pad (bloc-notes), et nous poursuivrons la conversation à travers un <a href="https://agora.commonscloud.coop/c/transitant" target="_blank" rel="noopener noreferrer">espace de l’Agora</a> que nous avons aménagé pour parler de la transition vers les communs.</p></br><p><em>Écosystème de Transition</em>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p></br><p> </p>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>4<blockquote><p><strong>4 octobre 2022 de 15h à 17h CET (en ligne) </strong>| Nous vous invitons à <a href="http://formularis.commonscloud.coop/659156" target="_blank" rel="noopener noreferrer">participer à l’évènement</a> organisé par le Groupe de travail Écosystème des Communs (<a href="https://femprocomuns.coop/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">FemProcomuns</a> (Catalunya, Espagne), <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Remix the Commons</a> (Francophonie), <a href="https://www.babalex.org/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">B.A.Balex</a> (France), <a href="https://projetcollectif.ca/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Projet Collectif</a> (Québec) , <a href="https://www.solidariusitalia.it/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Solidarius</a> (Italie).</p></blockquote></br><p><em><img decoding="async" loading="lazy" class="alignright wp-image-4211" src="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png" sizes="(max-width: 275px) 100vw, 275px" srcset="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png 3780w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-150x150.png 150w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-300x300.png 300w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-768x768.png 768w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-1024x1024.png 1024w" alt="" width="275" height="275" /></em>Écosystème de Transition est une série de rencontres organisées par le <a href="https://femprocomuns.coop/portfolio/transitant-transitioning/?lang=en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Groupe d’Activité Coopérative (GAC ) en Transition </a>de la coopérative Catalane femProcomuns, dans le but de travailler collectivement sur les défis liés aux domaines clés de l’économie : énergie, territoire, eau, alimentation, soins, logement, volontariat, méthodologies…, du point de vue de la production, de l’approvisionnement et des impacts environnementaux, avec une vision basée sur les communs (guidée par le modèle de soutenabilité des communs, mais avec le désir d’apprendre et d’incorporer d’autres modèles et artefacts) et avec la participation de divers acteurs, de Catalogne et d’ailleurs.</p></br><p>Dans le modèle socio-économique<strong> des communs</strong>, les gens s’auto-organisent pour résoudre les besoins et les défis à partir d’une logique communautaire et soutenable. Les communs sont un modèle d’organisation sociale et économique qui échappe au marché et à l’État. En plus des nombreux exemples de communs traditionnels qui ont maintenu des formes de production et de reproduction singulières au fil des siècles, ces dernières décennies ont vu naître des projets technologiques, urbains et culturels, dont certains utilisent des licences libres et ouvertes ou des modèles de distribution du pouvoir pour une production démocratique. Ces projets sont singuliers, mais ils partagent certains principes et qualités.</p></br><p>Dans ce contexte, femProcomuns (coopérative intégrale d’utilisateurs et de travailleurs) proposons une rencontre, pour favoriser la mise en réseau et la coopération autour des leçons apprises ces 5 dernières années, dans différents espaces en Catalogne et ailleurs.</p></br><p>La session aura lieu en ligne le 4 octobre, de 15h00 à 17h00 : (traduction simultannée Catalan, Espagnol, Anglais et Français) Plus de détails à venir.</p></br><p>Au fil des années, nous avons constaté que la dimension relationnelle des communautés où se situent les projets est le principal élément qui rend les projets communs. En plus de choisir et de connaître les outils nécessaires (technologiques, mécanismes juridiques, de gestion…), il est essentiel que les personnes qui appartiennent à la communauté partagent des intérêts, s’identifient au projet, s’auto-organisent et s’autogèrent, et sachent comment mobiliser les ressources dont elles ont besoin, comment organiser le mode de production, où trouver les connaissances dont elles ont besoin et avoir une politique sur le partage des connaissances qu’elles génèrent. Lorsqu’il s’agit d’une communauté existante avec des liens sociaux antérieurs et auto-organisée, ce sera plus facile. Et s’il s’agit d’un groupe, qui veut activer une nouvelle communauté, il sera nécessaire de planifier soigneusement le projet.</p></br><p><a id="set-post-thumbnail" class="thickbox" href="https://www.remixthecommons.org/wp-admin/media-upload.php?post_id=6850&type=image&TB_iframe=1" aria-describedby="set-post-thumbnail-desc"><img decoding="async" loading="lazy" class="attachment-266x266 size-266x266 alignleft" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png" sizes="(max-width: 266px) 100vw, 266px" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-607x607.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-768x768.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo.png 794w" alt="" width="266" height="266" /></a>Nous avons testé le modèle de soutenabilité des communs, nous avons élaboré des textes explicatifs détaillant le cadre théorique et conceptuel et nous avons développé un kit de ressources avec des outils visuels et des jeux pour explorer et travailler sur des projets dans une perspective plus communautaire, écologique et féministe.</p></br><p>Nous voulons partager cette expérience accumulée avec des acteurs qui partagent cet horizon du commun, écologique, démocratique, féministe… et qui sont sensibles à l’importance de l’activation des économies locales, par l’action communautaire et par l’innovation citoyenne ; des acteurs (initiatives de base, entreprises sociales, coopératives, laboratoires citoyens…) actifs en Catalogne, en Europe et au-delà, avec lesquels partager des infrastructures, des connaissances, des méthodologies et des outils.</p></br><p>Nous voulons également connaître les expériences et les méthodologies menées par d’autres agents, partager des pratiques, des visions et des idées avec des projets d’autres endroits en Catalogne, en France ou au Québec. Nous vous invitons à participer à la session en ligne et à partager la manière dont vous mettez en œuvre votre pratique. La session, de deux heures seulement, ne permettra pas à chacun de présenter oralement, mais nous recueillerons toutes les initiatives par écrit dans un pad (bloc-notes), et nous poursuivrons la conversation à travers un <a href="https://agora.commonscloud.coop/c/transitant" target="_blank" rel="noopener noreferrer">espace de l’Agora</a> que nous avons aménagé pour parler de la transition vers les communs.</p></br><p><em>Écosystème de Transition</em>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p></br><p> </p>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)