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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Description » avec la valeur « Une notice sur l'ouvrage ''Participer. Essai sur les formes démocratiques de la participation'' de Joëlle Zask, BDL Éditions, Paris, 2011, 324 pages. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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  • Chargement/Site 2  + (<p>Un ouvrage incontournable ! </<p>Un ouvrage incontournable ! </p></br><p>La publication du dernier livre de Peter Linebaugh. <a href="http://ift.tt/O62hZa">Stop, Thief!: The Commons, Enclosures, and Resistance</a> (PM Press) avec des chapitres sur Karl Marx, les Luddites, William Morris, Thomas Paine, les peuples autochtones, est prévue pour le 1er mars, mais il est déjà accessible en ibook … par ailleurs auteur de Magna Carta dont on peut trouver l’introduction dans <a href="http://ift.tt/AmSWqc">Libres Savoirs</a>. </p></br><p>A noter que 2015 sera le 800ième anniversaire de la signature de la Magna Carta en Grande Bretagne, une date à commémorer alors que se dérouleront la même année la COP 21 sur le climat, les négociations sur les OMD et que nous serons probablement à la fin de la négociation de l’accord transatlantique (TAFTA).</p>obablement à la fin de la négociation de l’accord transatlantique (TAFTA).</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>We are organising a Barcamp dedic<p>We are organising a Barcamp dedicated to video as commons in Paris <strong>the 4th of october from 14:00 to 18:00 at <a href="http://labodeledition.com/contenu/222/remix-video-tech?symfony=vek5amij7du0s2jsiqjhit6jd2">Labo de l’édition</a> 75005 Paris.<br /></br></strong><br /></br>Documentary production provides a largely untapped source of video, images and audio files. For each documentary produced, many hours of rushes are carried out and a large part will seldom be used. It is estimated that for every documentary produced several dozen hours of rushes for only 52 minutes used.</p></br><p>However, the pooling of rushes could multiply the forms of collaboration such as productions geographically distributed, creations adapted to local contexts, or adopting the point of view of different producers and multiple users for the same subject or content. In addition, the sharing of rushes may be accompanied by other exchanges: tools, know-how, good ideas and ultimately generate new projects.</p></br><p>The idea that these resources can be shared and remixed is the basis of projects such as Remix The Commons and sideways. So we invite directors, producers and users of multimedia content to explore the possibiliies of sharing and re-use in the field the documentary video.</p></br><p><strong>See the details of the <a href="https://www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>We are organising a Barcamp dedic<p>We are organising a Barcamp dedicated to video as commons in Paris <strong>the 4th of october from 14:00 to 18:00 at <a href="http://labodeledition.com/contenu/222/remix-video-tech?symfony=vek5amij7du0s2jsiqjhit6jd2">Labo de l’édition</a> 75005 Paris.<br /></br></strong><br /></br>Documentary production provides a largely untapped source of video, images and audio files. For each documentary produced, many hours of rushes are carried out and a large part will seldom be used. It is estimated that for every documentary produced several dozen hours of rushes for only 52 minutes used.</p></br><p>However, the pooling of rushes could multiply the forms of collaboration such as productions geographically distributed, creations adapted to local contexts, or adopting the point of view of different producers and multiple users for the same subject or content. In addition, the sharing of rushes may be accompanied by other exchanges: tools, know-how, good ideas and ultimately generate new projects.</p></br><p>The idea that these resources can be shared and remixed is the basis of projects such as Remix The Commons and sideways. So we invite directors, producers and users of multimedia content to explore the possibiliies of sharing and re-use in the field the documentary video.</p></br><p><strong>See the details of the <a href="https://www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>)
  • Chargement/Site  + (<ul> Pendant toute la durée du Forum<ul></br>Pendant toute la durée du Forum Social Mondial, soit du 9 au 14 août 2016, un Espace des Communs sera mis en place, voué à l’expérimentation, à l’échange et à la construction d’alternatives au modèle économique actuellement dominant, basées sur les communs. Cet espace se propose d’accueillir et de soutenir le processus de convergence stratégique des commoners et des mouvements sociaux tout au long du Forum. Il est ouvert à participation. Voici l’invitation à participer. </ul></br><h3 class="spip">Communs en action</h3></br><p>Les communs ont fait leur apparition dans l’espace des Forum Sociaux en 2009 à Bélem lorsque Chico Whitaker a lancé un «  appel pour la récupération des biens communs   » qui sera repris par les membres du Conseil International<br class="autobr" /> <a class="spip_out" href="http://bienscommuns.org/signature/appel/?a=appel" rel="external">http://bienscommuns.org/signature/appel/?a=appel</a>. Depuis cette date, les mouvements sociaux s’emparent de cette cause. A Dakar, au FSM 2011, Silke Helfrich témoigne de l’omniprésence du thème des communs au sein des ateliers et activités du Forum <a class="spip_out" href="http://commonsblog.wordpress.com/2011/02/15/wsf-dakar-shifting-from-the-logic-of-the-market-to-the-logic-of-the-commons/" rel="external">http://commonsblog.wordpress.com/2011/02/15/wsf-dakar-shifting-from-the-logic-of-the-market-to-the-logic-of-the-commons/</a>.</p></br><p>En 2012, le Sommet mondial des Peuples à Rio en fait un slogan central : «   pour la justice sociale et écologique, contre la marchandisation de la vie et pour la défense des biens communs  » <a class="spip_out" href="http://rio20.net/en/propuestas/final-declaration-of-the-people%E2%80%99s-summit-in-rio-20" rel="external">http://rio20.net/en/propuestas/final-declaration-of-the-people%E2%80%99s-summit-in-rio-20</a>.</p></br><p>En 2012 encore, à Montréal, les communs sont sur les drapeaux de l’une des plus grandes manifestations du « Printemps érable » au Québec lors du jour de la Terre.</p></br><p>Depuis, les idées et les pratiques basées sur le P2P, le coopérativisme ouvert et les communs sont montées en puissance. Elles sont portées par les militants engagés dans de nombreux domaines : économie sociale et solidaire, économie numérique basée sur le P2P, lutte contre l’accaparement des terres, défense de l’eau comme bien commun, lutte contre la financiarisation du monde, contre les changements climatiques<br class="autobr" /> et bien d’autres encore. Elles se retrouvent au centre d’événements et de festivals qu’ils leur sont dédiés, comme Afropixel (Dakar, 2012), Pixelache Festival (Helsinki, 2014), L’Art de l’en-commun (Montréal, 2014), Festival international des communs (Chieri, Italie, 2015), Festival Temps des communs (Francophonie, 2015), CommonsFest (Athènes, 2015), Procomun (Barcelone, 2016) et bien d’autres encore.</p></br><p>De nouveaux espaces d’engagement civique appuyés sur les communs émergent enfin sous forme d’assemblées locales ou de laboratoires civiques. Les communs y jouent un rôle moteur pour penser et expérimenter le renouvellement de la démocratie. Les militants y partagent l’ambition de faire advenir des politiques basées sur les communs, la coopération des citoyens pour qu’un autre monde soit possible :</p></br><ul class="spip"></br><li>Pour que soient partagées des pratiques et constitués des alliances autour de la défense et création des communs</li></br><li>Pour que des politiques basées sur les communs émergent dans les villes, les régions et les pays</li></br><li>Pour faire converger les commoners et poursuivre le dialogue avec les autres mouvements alternatifs de la transition (décroissance, écologie politique, économie sociale et solidaire, etc.) autour de causes et de stratégies communes.</li></br></ul></br><h3 class="spip">Un Espace des communs autogéré et distribué</h3></br><p>L’Espace des Communs, qui sera ouvert pendant le Forum Social Mondial de Montréal sera à la disposition de toute personne ou organisme, associé de près ou de loin au mouvement des communs, qui souhaite organiser un atelier, une session de travail ou une activité de réseautage.</p></br><p>L’espace que nous proposons s’inscrit dans l’esprit des écoles des communs, en ayant pour but de documenter et de diffuser le savoir sur les Communs à partir du partage de nos expériences et nos apprentissages, de soutenir concrètement les projets de constitution, de réappropriation et de conservation des communs, existants ou en émergence, par l’entraide et l’engagement, et de développer la posture de « commoner » par le développement les compétences créatives et collaboratives des personnes.</p></br><p>L’Espace des Communs sera autogéré. Pas de programmation préalable, ni de thématiques imposées, mais bien un agenda ouvert et flexible permettant d’accueillir une variété d’activités et de sujets. Déjà quelques thèmes ont été proposés :<br class="autobr" /> Communs urbains Communs comme nouvelle sujet politique Coopérativisme ouvert et plateformes de coopération</p></br><p>L’Espace des Communs prendra appui sur le réseau des espaces de travail partagé (coworkings) de Montréal. Son quartier général sera situé dans les locaux d’ECTO, coworking coop [<a class="spip_url spip_out auto" href="http://www.ecto.coop" rel="nofollow external">www.ecto.coop</a>], au cœur du Montréal créatif. D’autres espaces de coworking (Salon 1861, Temps libre) et de rencontres interculturelles pourront accueillir des activités.</p></br><p>Le Forum social mondial est une occasion unique de rencontrer et de travailler avec des acteurs engagés du monde dans le développement des communs. Nous vous invitons à venir animer cet espace des Communs en soutenant sa réalisation, en organisant une activité ou en participant aux activités qui seront proposées. Vous pouvez le faire simplement en écrivant à l’un ou l’autre des signataires de ce message. Vous pouvez également vous abonner à la liste de diffusion que nous avons mise en place pour être tenu informé des développements du programme d’activités de l’Espace des communs :<br class="autobr" /> <a class="spip_out" href="http://lists.p2pfoundation.net/wws/review/wsf2016" rel="external">http://lists.p2pfoundation.net/wws/review/wsf2016</a></p></br><p>Au plaisir de vous rencontrer à Montréal !</p></br><ul class="spip"></br><li>Frédéric Sultan [fredericsultan@gmail.com]</li></br><li>Yves Otis [yves@percolab.com]</li></br><li>Kevin Flanagan [kevin@p2pfoundation.net] –</li></br><li><a class="spip_url spip_out auto" href="http://blog.p2pfoundation.net/" rel="nofollow external">http://blog.p2pfoundation.net/</a></li></br><li>Elisabetta Cangelosi [betta.cangelosi@gmail.com]</li></br><li>Alain Ambrosi [ambrosia@web.ca]</li></br><li>Abdou Salam Fall [asfall@refer.sn]</li></br><li>Monique Chartrand [direction@communautique.qc.ca]</li></br></ul></br><p>Une initiative de Gazibo, RemixtheCommons, Communautique, LARTES, Percolab et P2P Foundation, VECAM, soutenue par la Fondation pour le Progrès de l’Homme.</p>.net/</a></li> <li>Elisabetta Cangelosi [betta.cangelosi@gmail.com]</li> <li>Alain Ambrosi [ambrosia@web.ca]</li> <li>Abdou Salam Fall [asfall@refer.sn]</li> <li>Monique Chartrand [direction@communautique.qc.ca]</li> </ul> <p>Une initiative de Gazibo, RemixtheCommons, Communautique, LARTES, Percolab et P2P Foundation, VECAM, soutenue par la Fondation pour le Progrès de l’Homme.</p>)
  • Chargement/Site  + (<ul> We invite you to participate in<ul></br>We invite you to participate in the Commons Space which will be hosted at the the World Social Forum 2016 taking place from the 9th to the14th of August in Montreal.<br class="autobr" /> This is a space for experimentation, exchange and construction of commons based alternatives to the current economic model. This space will welcome and support the strategic process of convergence of commoners and social movements throughout the WSF. Here is the invitation.</br></ul></br><h3 class="spip">Commons…</h3></br><p>In 2009 at the Social Forum in Belem Chico Whitaker launched the Manifesto Reclaim the Commons which was adopted by members of the International Council of the WSF<br class="autobr" /> [<a class="spip_url spip_out auto" href="http://bienscommuns.org/signature/appel/index.php?a=du&c=nfg1de" rel="nofollow external">http://bienscommuns.org/signature/appel/index.php?a=du&c=nfg1de</a>]. Since then, social movements have adopted this cause. At the WSF in Dakar in 2011, Silke Helfrich reported on the increased visibility of workshops and activities sharing the theme of<br class="autobr" /> thecommons.[<a class="spip_url spip_out auto" href="http://commonsblog.wordpress.com/2011/02/15/wsf-dakar-shifting-from-the-logic-of-the-market-to-the-logic-of-the-commons/" rel="nofollow external">http://commonsblog.wordpress.com/2011/02/15/wsf-dakar-shifting-from-the-logic-of-the-market-to-the-logic-of-the-commons/</a>].</p></br><p>In 2012, the commons was the central slogan of the People’s Summit in Rio calling « for Social and Environmental Justice in defense of the commons, against the commodification of life ».[<a class="spip_url spip_out auto" href="http://rio20.net/en/propuestas/final-declaration-of-the-people%E2%80%99s-summit-in-rio-20/" rel="nofollow external">http://rio20.net/en/propuestas/final-declaration-of-the-people%E2%80%99s-summit-in-rio-20/</a>] Again in 2012 on International Earth Day in Montreal at one of the biggest rallies of the « Printemps érable » (Maple Spring) protestors carried signs, flags and banners calling for the protection of the commons from privatization.</p></br><p>Ideas and practices based on Commons, P2P, Open Cooperativism continue to grow and are being developed by activists in many areas : Social Solidarity Economy, Collaborative & Sharing Economy, resistance to enclosure such as land grabs, defending water as a commons,Struggles against financialization and Climate change to name but a few. Activists find each other at events and festivals dedicated to the commons, like Afropixel (Dakar, 2012), Pixelache Festival (Helsinki,, 2014), Art of Commoning (Montreal, 2014), International Festival of the Commons (Chieri, Italy, 2015), Festival Temps des communs (Francophonie, 2015), CommonsFest (Athens, 2015), Procomun (Barcelona, 2016), and many more.</p></br><p>With a shared ambition to make another world possible activists are working together to develop commons based policies that deepen citizen participation. In local assemblies and civic laboratories, new spaces for civic engagement based on the commons are emerging. Commons are playing a leading role in the development of new thinking essential to the renewal of democracy.</p></br><p>Sharing practices and building alliances for the defense and creation of the commons,<br class="autobr" /> Developing and sharing commons based policies for cities, regions and countries, Building a convergence of commoners through continued dialogue on shared causes and strategies with movements working on transition such as : Degrowth, Political Ecology, Social Solidarity Economy, etc.</p></br><h3 class="spip">Self organized and distributed Commons Space</h3></br><p>The Commons Space at the WSF in Montreal will be open for the duration of the forum to anyone or any organization that is concerned with the commons, and wants to organize a workshop or any activity.</p></br><p>We propose a space in the spirit of the School of the Commons which aims<br class="autobr" /> at :</p></br><ul class="spip"></br><li>documenting and disseminating knowledge on the Commons based on shared experiences and learning.</li></br><li>to concretely support the creation, reappropriation or conservation of existing and emerging commons through actions or projects based on mutual assistance and commitment.</li></br><li>to develop the practice of Commoning based on creative and collaborative skills and as a way of life.</li></br></ul></br><p>There will be an open and flexible schedule to accommodate a variety of activities and topics including both pre-programmed events and space for impromtu sessions. Most importantly we wish invite you to participate in the assemblies and convergence sessions.</p></br><p>The following topics have already been proposed :</p></br><ul class="spip"></br><li>Urban Commons/City as a Commons/Municipal Movements</li></br><li>The Common as a New Political Subject</li></br><li>Open/Platform Cooperativism</li></br></ul></br><p>The Commons Space will be open and distributed in Montréal, in collaboration with the coworking spaces in the city. Its headquarters will be located at ECTO, a coworking coop [<a class="spip_url spip_out auto" href="http://www.ecto.coop" rel="nofollow external">www.ecto.coop</a>] in the heart of creative Montreal. Other coworking spaces (Salon 1861, Temps libre) and inter-cultural places will host activities.</p></br><p>The WSF is a unique opportunity to connect and work with activists from all over the world North/South/East/West to progress the cause of the Commons. This is an open call for proposals and activities. We invite you and your organisation to participate in co-organizing and facilitating the Commons Space. You can express your interest in participating and submit proposals for workshops, presentation, arts and cultural interventions simply by writing to the signatories of this announcement. To participate in discussion and to keep informed as the program of activities develops you can sign up to our mailing list.</p></br><p><a class="spip_url spip_out auto" href="http://lists.p2pfoundation.net/wws/review/wsf2016" rel="nofollow external">http://lists.p2pfoundation.net/wws/review/wsf2016</a></p></br><p>Looking forward seeing you in MTL</p></br><ul class="spip"></br><li>Frédéric Sultan [fredericsultan@gmail.com]</li></br><li>Yves Otis [yves@percolab.com]</li></br><li>Kevin Flanagan [kevin@p2pfoundation.net] – <a class="spip_url spip_out auto" href="http://blog.p2pfoundation.net/" rel="nofollow external">http://blog.p2pfoundation.net/</a></li></br><li>Elisabetta Cangelosi [betta.cangelosi@gmail.com]</li></br><li>Alain Ambrosi [ambrosia@web.ca]</li></br><li>Abdou Salam Fall [asfall@refer.sn]</li></br><li>Monique Chartrand [direction@communautique.qc.ca]</li></br></ul></br><p>This is an initiative of Gazibo, Remix the Commons, Communautique,<br class="autobr" /> LARTES, percolab, P2P Foundation, VECAM, and supported by the Foundation<br class="autobr" /> for Human Progress.</p>l">http://blog.p2pfoundation.net/</a></li> <li>Elisabetta Cangelosi [betta.cangelosi@gmail.com]</li> <li>Alain Ambrosi [ambrosia@web.ca]</li> <li>Abdou Salam Fall [asfall@refer.sn]</li> <li>Monique Chartrand [direction@communautique.qc.ca]</li> </ul> <p>This is an initiative of Gazibo, Remix the Commons, Communautique,<br class="autobr" /> LARTES, percolab, P2P Foundation, VECAM, and supported by the Foundation<br class="autobr" /> for Human Progress.</p>)
  • Entretien avec Benjamin Sèze  + (Benjamin est journaliste spécialiste de quBenjamin est journaliste spécialiste de questions sociales pour les publications du Secours Catholique et il a publié un livre paru en avril 2023 sur la lutte contre la précarité alimentaire et titré « Quand bien manger devient un luxe » (Les Éditions de l'Atelier). Dans cet entretien il nous parle des différentes initiatives existantes pour lutter contre la précarité alimentaire et ainsi que des défis pour mettre en place une transition alimentaire juste.en place une transition alimentaire juste.)
  • Faut-il "en finir" avec la démocratie participative ?  + (Budgets participatifs, conseils de quartieBudgets participatifs, conseils de quartier, réunions publiques... Les dispositifs de participation citoyenne censés répondre à la crise démocratique sont nombreux. Pourtant la relation de pouvoir avec les institutions publiques demeure verticale, la parole recueillie et son utilisation étant toujours contrôlée par les autorités. La démocratie participative semble dans ce sens instituer l'illusion d'un dialogue plutôt qu'ouvrir nouveaux espaces où exercer des formes de démocratie réelle. Dans cet entretien Manon Loisel nous explique les limites de ces dispositifs qui aboutissent souvent à renforcer les vices de la démocratie représentative.les vices de la démocratie représentative.)
  • Jardins Partagés 18e Paris  + (Ce dossier présente les résultats du travaCe dossier présente les résultats du travail de Anna Szerman, Rayan Barka et Taïs Boulben, sur les jardins partagés Ecobox, le Bois Dormoy et Baudélire. Il a été réalisé en 2023 dans le cadre du cours de diagnostic territorial du premier semestre de L2 de Géographie à l'Université Paris 1.e L2 de Géographie à l'Université Paris 1.)
  • Appel en commun du réseau francophone  + (Chaque troisième mardi du mois, de 20 h à Chaque troisième mardi du mois, de 20 h à 21 h (CET - heure de Paris), Remix the commons propose un rendez-vous public inspiré des « Community calls » pour traiter une question et partager de l'information sur les projets en cours ou les sujets chauds dans le domaine des communs, tout en laissant une trace pour les absents.ut en laissant une trace pour les absents.)
  • Rencontres faire commun ici et ailleurs/Gouvernance de l'eau  + (Co-organisation d'une première série de reCo-organisation d'une première série de rencontres "Faire commun ici et ailleurs" autour de la gouvernance partagée de l'eau avec le Gret et avec le soutien de la Fondation de France. Ces rencontres visent à réfléchir sur les manières concrètes dont se construisent des formes de gestion et de gouvernance en commun de l’eau. Elles s'appuient sur des initiatives conduites au Sénégal, au Togo et en France.onduites au Sénégal, au Togo et en France.)
  • Recours d'urgence pour l'accès à l'eau (Mayotte a soif)  + (Dans ce dossier de presse conjoint les assDans ce dossier de presse conjoint les associations Mayotte a soif et Notre Affaire à Tous dénonce la crise de l'eau que les habitant.e.s de Mayotte sont en train d'affronter en expliquant les raisons de cette crise. Via un référé liberté, ces associations ainsi que 15 victimes requérantes demandent au tribunal administratif de Paris de reconnaître l'impact de la crise sur les droits fondamentaux et la réponse insuffisante de l'État. Pour eux, la situation à Mayotte est le résultat de plusieurs années d’un désengagement de l’État sur ces questions et d’une inadaptation discriminatoire des politiques publiques déployées.atoire des politiques publiques déployées.)
  • Questions à Sabine Girard (Saillans dans la Drôme)  + (Dans cet entretien Sabine Girard (auditionDans cet entretien Sabine Girard (auditionnée par la Section de l'éducation, de la culture et de la communication du CESE dans le cadre de la saisine : "L'éducation populaire, une exigence du 21ème siècle") nous explique les mécanismes de participation à la base de la liste citoyenne dans laquelle elle a été élue, ainsi que les effets positifs de cet engagement des habitants. positifs de cet engagement des habitants.)
  • Entretien avec Stéphanie Fernandez Recatala (Ameliore et Indicible)  + (Dans cet entretien Stéphanie Fernandez RecDans cet entretien Stéphanie Fernandez Recatala, responsable de projet d'Améliore (Paris et Marseille) et directrice de l'association Indicible. Cette dernière est une association marseillaise qui travaille pour la création d'un marché des biffins, des personnes qui travaillent dans la rue, aux alentours des puces aujourd'hui, et travaillent sur les trottoirs dans des conditions précaires et dégradées. Indicible leur donne un lieu où travailler tous les jours sans l'intervention de la police pour les aider à trouver une stabilité financière. Elle nous présente les associations où elle travaille et ce faisant elle nous montre les activités menées par ses organisations et la façon dont les personnes avec lesquelles ils travaillent sont touchés par la question du droit à l'alimentation.par la question du droit à l'alimentation.)
  • L’eau en partage  + (Dans cet épisode titré « L'eau en partage Dans cet épisode titré « L'eau en partage » Emeline Hassenforder et Chamseddine Harrabi nous parle du programme mis en place en Tunisie pour répondre aux problèmes liés au manque d'eau dans le secteur de l'agriculture. Ce programme lancé par le gouvernement tunisien vise à améliorer la gouvernance des ressources naturelles, en l'occurrence de l'eau, en misant sur la participation citoyenne. en misant sur la participation citoyenne.)
  • Jean-Claude Oliva, futur président de la régie de l'eau d'Est Ensemble  + (Dans cette vidéo Jean Claude Oliva, présidDans cette vidéo Jean Claude Oliva, président de la régie de l'eau d'Est Ensemble, nous présente cette initiative qui concerne la gestion de l'eau potable, des eaux pluviales urbaines et de l'assainissement. La création de la régie publique s'inscrit dans le mouvement général et actuel de réappropriation des communs à partir de l'idée que l'eau est le commun (à la fois public et naturel) par excellence. L'objectif est de mettre en place une tarification juste et solidaire en misant sur la transparence, l'information et la participation des usagers/citoyens. et la participation des usagers/citoyens.)
  • Institutions du commun, revenu de base et économies populaires  + (Est-il possible d'organiser le commun à paEst-il possible d'organiser le commun à partir de la pratique, la régularité du lien social au-delà de la transcendance normative ? Comment réinventer la relation entre le commun et le singulier ? C'est à cet ordre de question qu'Ariel Pennisi essaie de répondre dans son intervention. En réaction à les transformations engendrées au sein des institutions publiques par les politiques néolibérales, on observe nouveaux formes de conflits émerger et revendiquer nouvelles façons de sentir, de vivre ensemble et de s'organiser. Ces luttes entraînent la création de nouvelles institutions, ni véritablement publiques, ni privées. Partant de cette thèse, Pennisi s'interroge sur la manière dont le revenu de base peut-il être pensé comme une nouvelle forme institutionnelle soutenue par une multiplicité d'acteurs proches de l'État, mais non monopolisée par l'État.e l'État, mais non monopolisée par l'État.)
  • Révolte des banlieues et violences policières  + (Françoise Vergès et Wissam Xelka abordent Françoise Vergès et Wissam Xelka abordent la question du racisme, de sa persistance au sein des institutions françaises, des conséquences politiques de ce phénomène ainsi que des luttes anti-racistes et décoloniales. Plus précisément, l'intervention de Vergès porte sur une double critique de l'État et du capitalisme en tant que vecteurs de plusieurs formes de violences qui trouvent leur racine commune dans le patriarcat et le racisme, tandis que celle de Xelka trace une comparaison entre les émeutes de 2005 et de 2023 pour mettre en évidence la position de la gauche face à ces révoltes.position de la gauche face à ces révoltes.)
  • Newsletters du voyage CC-Corde  + (Ici il est possible de consulter l'ensemblIci il est possible de consulter l'ensemble des newsletters réalisées dans le cadre du Projet CC-Corde (Climate Change, Commons & Radical Democracy in Europe) qui a touché 20 villes réparties dans 9 pays : Italie, Belgique, Allemagne, Danemark, Suède, Croatie, Serbie, Hongrie et Espagne. Elles sont disponibles en français et en anglais.</br>L'objectif de ce parcours était de rencontrer des acteur.rice.s qui expérimentent des formes de démocratie plus radicales et inclusives dans un but de réappropriation des pouvoirs et des ressources par les citoyen.ne.s.uvoirs et des ressources par les citoyen.ne.s.)
  • Chapitre 3 : Auto-organiser le soin en commun  + (L'urgence de la crise du Covid a créé une L'urgence de la crise du Covid a créé une situation où les professionnels de la santé ont pu dans beaucoup de cas reprendre le contrôle de l'activité soignante en implémentant des formes de gouvernance participative et centrées sur le service offert à la population. Qu'est qu'il faut retenir de ces expériences pour les prolonger au-delà d'une situation exceptionnelle ? Comment se charger collectivement du soin et faire de la santé une véritable commun ?t faire de la santé une véritable commun ?)
  • École des communs La Chapelle  + (L'École des communs de La Chapelle est uneL'École des communs de La Chapelle est une expérience d'auto-apprentissage des modes de gouvernance des communs avec les habitant·e·s de La Chapelle et leurs collectifs et organisations. Le projet se développe dans le quartier de la Chapelle (Paris 18) avec ses habitants et sa communauté, composée de nombreux collectifs formels et informels. Il porté par Radio Raptz et Remix the Commons.orté par Radio Raptz et Remix the Commons.)
  • Le retour de l'eau en régie publique  + (La gestion est de plus en plus fragile entLa gestion est de plus en plus fragile entre sécheresse, mesures de restriction et qualité de service. En réaction à ces défis, plusieurs villes, dont Lyon et Bourdeaux dernièrement, ont choisi de mettre en place une régie de l'eau en basculant du privé au public. Dans cet entretien, Anne le Srat (qui a piloté le passage de la ville de Paris en régie publique il y a 13 ans) et Bruno Bernard (président Europe Ecologie les Verts de la métropole de Lyon) nous aide à mieux comprendre ces tentatives de réappropriation de la maîtrise du cycle de l'eau par les institutions publiques et les citoyens. Pourquoi faire ce choix ? Qu'est-ce que cela change ? Quelles conséquences pratiques lorsqu'on conçoit l'eau en tant que bien commun ?on conçoit l'eau en tant que bien commun ?)
  • Recherche-action sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les Niayes  + (Le GRET (organisation non gouvernementale Le GRET (organisation non gouvernementale de solidarité internationale) a intégré dans ses démarches le concept de Gestion Intégrée des Ressources en Eau. Dans cette fiche il nous est expliqué la façon dont ils ont accompagné la mise en place de plans locaux de GIRE au Sénégal dans les Niayes dans l'effort d'implémenter des dispositifs de gouvernance innovants favorisant la participation des usagers et des citoyens.participation des usagers et des citoyens.)
  • Les perspectives, alimentation et citoyenneté  + (Les témoignages et les expériences d'acteuLes témoignages et les expériences d'acteurs, militants et citoyens, du chantier de Marseille de l'école des communs de l'alimentation démontrent la portée de la mobilisation autour de la question de l'alimentation. Or, à partir de ces réseaux de la solidarité et de la démocratie alimentaire, quelles perspectives peut-on imaginer ? L'une des initiatives parmi les plus intéressantes est sans doute la Sécurité sociale de l'alimentation, mais comment pourrait-on faire que l'alimentation devienne un véritable commun ? Quelles formes de participation citoyenne, quelles alliances à partir de revendications communes pourrait-on envisager ?dications communes pourrait-on envisager ?)
  • « Les Ateliers des Métamorphoses » d’Eau de Paris  + (Série de podcasts « Les Ateliers des MétamSérie de podcasts « Les Ateliers des Métamorphoses » d'Eau de Paris. Ces épisodes de 45 minutes proposent à des experts de croiser leurs pensées pour explorer le futur et anticiper les mutations et les transitions. Au programme, des sujets variés tant l’eau est en interconnexion avec de nombreux enjeux de politiques publiques : agriculture, culture, économie, écologie, géopolitique, sanitaire, social, sociétal, urbanisme etc.anitaire, social, sociétal, urbanisme etc.)
  • Vent de Fraicheur  + (Vent de Fraicheur est un podcast sur les jardins partagés du 18e arrondissements de Paris réalisé par deux étudiant.e.s en géographie de l'Université Paris 1 et la radio RaPTZ.)
  • Construisons ensemble - Auto construction d'éoliennes  + ("Construisons Ensemble - Un travail collec"Construisons Ensemble - Un travail collectif d'auto-construction d'éolienne riche de sens" est le 4ème épisode de la web-série documentaire sur les alternatives (http://www.side-ways.netSideWays). En une semaine, un groupe de 10 personnes va construire deux éoliennes avec un formateur expérimenté. Tout en apprenant le travail du bois, du métal et de l'électricité, les membres vont découvrir une autre manière de travailler. découvrez le magazine multimédia : http://www.side-ways.net/episode4).</br></br>Le tournage a eu lieu lors du stage organisé à Henripont (Belgique) par Peter du 28 octobre au 2 novembre 2013. Mélanie et Aurélien, un jeune couple de Moselle, vivent dans une petite maison en bois. Pour des raisons pratiques et économiques, ils souhaitent devenir autonomes en électricité. Après de nombreuses recherches, ils se rendent compte que c'est plus compliqué qu'ils ne le pensent et qu'il faut éviter les nombreuses arnaques dans ce secteur. Ils décident alors de participer à un stage d'auto-construction d'éolienne avec l'association Tripalium.</br></br>'''Tripalium''' est une association fondée en 2007. Elle propose régulièrement des stages d'auto-construction d'éolienne ouverts à tous.''' Que l'on soit manuel ou non, tout le monde peut participer au stage et apprendre les différents métiers nécessaires à sa construction : travail du bois, du métal et de l'électricité.</br></br>Pendant un stage d'une semaine, une ou deux éoliennes sont fabriquées par le groupe. Elles sont alors tirées au sort parmi les participants qui souhaitent l'acheter. Le coût correspond alors au prix des matériaux bruts nécessaires à la construction. Mélanie et Aurélien participent au stage qui a lieu à Henripont, un petit village belge situé à une trentaine de kilomètres de Bruxelles.</br></br>Dans un habitat groupé très vivant, Peter commence à organiser des stages d'auto-construction de toutes sortes pour participer à la transmission de savoirs-faire variés. Après une brève présentation théorique, la dizaine de stagiaires aux profils et compétences très variés se met au travail avec une motivation perceptible. Il y a trois ateliers et tout le monde s'organise comme il le souhaite. Cela facilite les collaborations entre les participants et développe les échanges de savoirs. Toutes les indications sont présentes dans le guide d'auto-construction d'éolienne fourni par Tripalium dès de lundi matin. Ainsi, Jay Hudnall, le formateur, n'est qu'une personne parmi tant d'autres qui possède des connaissances spécifiques.</br></br>Cette organisation collaborative correspond bien à l'esprit de Tripalium et de Ti'éole, l'entreprise d'éolienne dont Jay est également le maître d'oeuvre. Lorsqu'il monte une éolienne chez un particulier, il demande à cette personne de participer au travail. Elle est ainsi plus autonome en cas de problème.</br></br>http://side-ways.net/episode4/#sthash.3F3QWeby.dpufde-ways.net/episode4/#sthash.3F3QWeby.dpuf)
  • Du public au commun  + ("Contribuer à frayer de nouvelles voies à la pensée sociale et politique", telle était l’ambition du séminaire « Du public au commun » qui s'est tenue en 2010-2011 à Paris.)
  • Un nouveau droit pour l'administration partagée de biens communs  + ('''De nouvelles règles juridiques pour pre'''De nouvelles règles juridiques pour prendre soin des biens communs et reconstruire les communautés locales'''.</br></br>Quelque chose de nouveau s'est produit en Italie ces dernières années, quelque chose que personne n'aurait cru possible dans un pays où les biens communs ont traditionnellement été considérés comme les biens de personne, donc la proie du pillage ou de l'exploitation. C'est un changement culturel grâce auquel des milliers de personnes dans les villes comme dans les villages, au nord comme au sud, sortent de chez eux pour prendre soin avec leurs voisins des biens communs urbains : rues, places, parcs et espaces publics en général, biens culturels, écoles ainsi que des bâtiments publics abandonnés qui sont restaurés et revivent grâce aux efforts combinés de citoyens actifs. Tout cela va bien au-delà de la simple maintenance des biens urbains. Il s'agit plutôt d'une participation à la vie publique sous de nouvelles formes, alors que les citoyens actifs participent non seulement aux décisions publiques (démocratie participative), mais aussi à la solution des problèmes d'intérêt général (administration partagée). Ce faisant, ils construisent ou reconstruisent les liens qui unissent leur communauté, aident les gens à lutter contre la solitude, produisent l'intégration, le capital social et la confiance réciproque. L'impact positif de l'engagement des citoyens à prendre soin des biens communs va donc bien au-delà des aspects matériels, aussi importants soient-ils pour une meilleure qualité de vie. Cependant, paradoxalement, les règles juridiques issues d'une conception ancienne de la relation entre les citoyens et l'État interdisent de telles activités. C'est pourquoi le Labsus (Laboratorio per la sussidiarietà) a élaboré en 2014, en collaboration avec la municipalité de Bologne, de nouvelles règles municipales pour réglementer l'administration partagée et permettre aux citoyens de prendre soin des biens communs. Ces nouvelles règles ont été adoptées par les municipalités de tout le pays, permettant aux citoyens d'avoir des rapports égaux avec les administrations publiques locales, libérant ainsi de précieuses ressources et énergies civiques dans l'intérêt général. énergies civiques dans l'intérêt général.)
  • 19.09 L'engagement du mouvement des communs dans le FSMET Barcelone 2020  + ('''L'Appel en commun de septembre 2019''' '''L'Appel en commun de septembre 2019''' a été dédié à un temps d'échange sur l'engagement du mouvement des communs dans le FSMET. Dans la logique de l'Assemblée Européenne des communs, et du Commons camp, nous sommes nombreux à inscrire le Forum Barcelone juin 2020 (FSMET) à notre agenda pour faire de cette rencontre un point d'étape pour organiser, renforcer et propager des initiatives du mouvement des communs. La préparation a commencé. Ateliers, rencontres sont en cours ou programmées : autour de la cartographie (dès les 24 et 25 septembre à Paris), de l'élaboration et du partage d'outils juridiques des communs urbains, de l'organisation d'un Commons camp en janvier à Marseille. L'appel en commun sera consacré à un partage d'information pour permettre à chacun et chacune de s'engager dans les espaces et avec les acteurs.trices de cette dynamique.vec les acteurs.trices de cette dynamique.)
  • 19.10 Plaidoyers pour les communs dans le contexte municipal  + ('''L'Appel en commun du 23 octobre 2019''''''L'Appel en commun du 23 octobre 2019''' était dédié à un temps d'échange sur les différentes formes de plaidoyers pour les communs dans le contexte municipal et leurs enjeux. A quelques mois des élections municipales (en France), que ces démarches soient engagées de longue date, ou bien des initiatives nouvelles et en construction, leur mise en lumière offre l'opportunité de revisiter la géographie du mouvement des communs sous l'angle des relations entre société civile et puissance publique.ntre société civile et puissance publique.)
  • Balade urbaine autour des communs  + (3 balades urbaines sur le thème des communs, organisées à Paris, Marseille et Lille.)
  • 01 Les communs, quelle (im)pertinence ?  + ( :Pourquoi les communs ? Pourquoi les rapp</br>:Pourquoi les communs ? Pourquoi les rapprocher de l’éducation permanente ? Quelle convergence (ou pas) avec les politiques culturelles publiques ? Pourquoi publier un ouvrage pour stimuler la rencontre entre communs, opérateurs et droits culturels ?</br></br>:Avant-propos de l'ouvrage ''Neuf essentiels pour penser la culture en commun(s)'' par Pierre Hemptinne Directeur de la médiation culturelle à PointCulture, Administrateur de Culture & Démocratie</br>ure, Administrateur de Culture & Démocratie )
  • 14 Notice sur "Culture libre" de Lawrence Lessig  + ( :Une notice sur l'ouvrage ''Culture libre</br>:Une notice sur l'ouvrage ''Culture libre. Comment les médias utilisent la loi pour confisquer la culture et contrôler la créativité'' de Lawrence Lessig, </br></br>:Traduction collective de l’anglais via Wikisource https://www.ebooksgratuits.com/pdf/lessing_freeculture.pdf</br>oksgratuits.com/pdf/lessing_freeculture.pdf )
  • Chargement/Site  + (<blockquote> <div class="clearfix<blockquote></br><div class="clearfix with-navigation">This post is a re-publication of the introduction of David Bollier’s blog from <span class="submitted">Monday 01/19/2015. David Bollier is presenting the report of a two-day workshop, “Toward an Open Co-operativism,” held in August 2014 in Germany. This post is translated in the French and available in the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2015/01/the-promise-of-open-co-operativism-david-bollier/">French part of blog Remix The Commons</a>. You can read the introduction below and the original <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">there</a>. </span></div></br><div class="clearfix with-navigation"></div></br></blockquote></br><div id="main" class="clearfix with-navigation"></br><p>Is it possible to imagine a new sort of synthesis or synergy between the emerging peer production and commons movement on the one hand, and growing, innovative elements of the co-operative and solidarity economy movements on the other?</p></br><div id="content" class="column"></br><div class="section"></br><div id="content-area"></br><div id="node-1138" class="node node-type-blog node-promoted build-mode-full clearfix"></br><div class="content"></br><p>That was the animating question behind a two-day workshop, “Toward an Open Co-operativism,” held in August 2014 and now chronicled in <a href="http://bollier.org/open-co-operativism-report">a new report </a>by UK co-operative expert Pat Conaty and me.  (Pat is a Fellow of the New Economics Foundation and a Research Associate of Co-operatives UK, and attended the workshop.)</p></br><p>The workshop was convened because the commons movement and peer production share a great deal with co-operatives….but they also differ in profound ways.  Both share a deep commitment to social cooperation as a constructive social and economic force.  Yet both draw upon very different histories, cultures, identities and aspirations in formulating their visions of the future.  There is great promise in the two movements growing more closely together, but also significant barriers to that occurring.</p></br><p>The workshop explored this topic, as captured by the subtitle of the report:  “A New Social Economy Based on Open Platforms, Co-operative Models and the Commons,” hosted by the Commons Strategies Group in Berlin, Germany, on August 27 and 28, 2014. The workshop was supported by the Heinrich Böll Foundation, with assistance with the Charles Léopold Mayer Foundation of France.</p></br><p>Below, the Introduction to the report followed by the Contents page. You can download a pdf of the full report (28 pages) <a href="http://bollier.org/open-co-operativism-report">here.</a> The entire report is licensed under a Creative Commons Attribution-ShareAlike (BY-SA) 3.0 license, so feel free to re-post it.</p></br><p>Read on <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">David Bollier’s blog </a></p></br></div></br></div></br></div></br></div></br></div></br></div>A) 3.0 license, so feel free to re-post it.</p> <p>Read on <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">David Bollier’s blog </a></p> </div> </div> </div> </div> </div> </div>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Du 15 au 17 No<blockquote><p></br>Du 15 au 17 Novembre 2016, une Assemblée européenne des communs aura lieu à Bruxelles. Les commoners se réuniront, pour discuter, partager leur expérience, et réclamer une autre Europe. L’après-midi du 16, une réunion se déroulera au Parlement Européen, avec 150 d’entre eux, organisée en collaboration avec l’Intergroupe Parlementaire sur les biens communs et les services publics (dirigé par Marisa Matias, Dario Tamburrano, Ernesto Urtasun, Sergio Cofferati). Dans le même temps, d’autres événements et des assemblées locales auront lieu en dehors du Parlement, à Bruxelles et dans toute l’Europe.</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2016/09/ECA-300x212.jpg" alt="eca" width="900" height="636" class="aligncenter size-medium wp-image-4561" /><br /></br>Author: TILL GENTZSCH</p></br><p><H1>Autour du paradigme des communs</H1></p></br><p>Le 26 Septembre, un groupe d’organismes sans but lucratif, de fondations et d’autres organisations de la société civile publient conjointement un «Appel pour une Assemblée européenne des communs ». Le document rédigé collectivement, qui continue de recueillir les signatures collectives et individuelles à travers toute l’Europe, sert d’appel dans le but de constituer un réseau de «commoners».</p></br><p>L’Assemblée cherche à unir les citoyens dans un élan de solidarité trans-local et trans-européen pour faire face aux défis actuels de l’Europe et relancer le processus politique pour le 21e siècle. Les biens communs peuvent être compris comme un paradigme de transition qui met l’accent sur la coopération dans la gestion des ressources, des connaissances, des outils et des espaces aussi divers que l’eau, Wikipedia, le crowdfunding, ou un jardin communautaire. Leur appel décrit les communs comme :</p></br><ol></br>… les initiatives locales de coopération partant des habitants, basées sur le réseau qui sont déjà soutenues par des millions de personnes à travers l’Europe et le monde. Ces initiatives créent des systèmes autogérés qui répondent à des besoins importants. Elles opèrent à l’extérieur des marchés dominants et des programmes traditionnels de l’Etat et expérimentent de nouvelles structures hybrides.</ol></br><p>La proposition d’Assemblée Européenne des Communs a émergé en mai 2016, initiée par une communauté pilote de 28 militants issus de 15 pays européens, équilibré sur le plan du genre, travaillant dans différents champs des biens communs. Ce groupe est rejoint chaque jour par de nouveaux militants qui insistent sur le fait que l’Assemblée Européenne des communs est inclusive et ouverte, de sorte qu’un mouvement européen large et fluide puisse formé une large alliance citoyenne et démocratique. Elle cherche à rendre visibles les actes de mise en commun des citoyens pour les citoyens, tout en favorisant l’interaction avec les politiques et les institutions aux niveaux national et européen.</p></br><p><H1>Prendre part à un large mouvement </H1><br /></br>L’adoption rapide des communs comme une alternative durable et une vision du monde sociale et holistique, est en partie l’expression d’un malaise face au système économique actuel injuste et aux carences démocratiques. Le mouvement des communes a explosé ces dernières années, suite à l’attribution du prix Nobel d’économie à Elinor Ostrom en 2009 pour son travail sur la gestion des ressources communes. Il fusionne avec d’autres mouvements, comme les mouvements pour une économie de la solidarité et du partage, pour la production pairs à pairs, et pour la décroissance.</p></br><p>Michel Bauwens, figure de premier plan dans le mouvement peer-to-peer, qui fait partie de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA), explique: <em>Partout dans le monde, un nouveau mouvement social émerge, qui conteste les présupposés « extractivites » de l’économie politique dominante, sème des formes co-construites d’une société durable et solidaire. Les commoners prennent la parole, par exemple, dans les assemblées des communs qui émergent dans les villes françaises et ailleurs. Le temps est venu pour une transformation du monde politique, à travers une Assemblée européenne des communs.</em></p></br><p>L’Appel inclue une invitation à participer à une rencontre ouverte à Bruxelles du 15 au 17 Novembre 2016 pour trois jours d’activités et de réflexion partagée sur la façon de protéger et de promouvoir les communs. Cette rencontre inclue une session officielle au Parlement européen, accueillie par l’Intergroupe parlementaire sur les biens communs et services publics, le 16 Novembre (le nombre de place est limité).</p></br><p>Vous pouvez lire et <a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">signer le texte intégral</a> de l’appel, également disponible en français, en espagnol, et bientôt dans d’autres langues européennes, sur le <a href="http://europeancommonsassembly.eu">site Web</a> de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA). Cette signature (http://europeancommonsassembly.eu/sign-call/) peut être individuelle ou au nom d’organisations de la société civile. </p></br><p>Pour plus d’informations, visitez le site web <a href="http://europeancommonsassembly.eu/"> http://europeancommonsassembly.eu/ </a>ou suivez les mises à jour régulières via @CommonsAssembly sur Twitter.</p></br><p>Contact pour les médias: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu</p></br><p>Appel pour un processus d’assemblée européenne des communs :<br /></br><a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/</a></p></br><p>Traduction de de l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p> l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> In the coming <blockquote><p> In the coming months, three of the partners of Remix The Commons, LARTES, Communautique and VECAM, will initiate an experiment to formalize popular workshops for mapping the commons, develop tools and a free and open practice manual (FLOSS manual) for share this work with those who want the lead it in their own community. </ blockquote></p></br><p>Mapping Common in Africa (Cartographier les Communs en Afrique) is an initiative whose center of gravity is located in Senegal, between Saint Louis and Dakar. It is to design an ambitious and popular process of learning and empowering people on their commons. It mobilizes activists, intellectuals and researchers from different geographical and cultural backgrounds and disciplinary who share the ambition to rebuild commitment and citizen participation on public property.</p></br><p>Commons are goods or things that do not belong to anyone in particular, but whose use is common to all, and management established on a cooperative and democratic basis, ie it allows each to take part in the development of rules and decisions that affect himself.</p></br><p>Examine commons from the point of view of production of social and symbolic links, is questioning how men are all together human community and how by accident or necessity, they can show their capacity to know or not that they are trying to consolidate this link or to lose it, how they are able or not to build and take care of commons (Abdourahmane Seck).</p></br><p>Based on the experiences and issues specific to the African continent, the Commons Mapping Project in Africa is to develop methods of interpretation and representation, including mapping, of the issues relative to the commons, to systematize and to organize their mutual enrichment in an open and collaborative base for the purpose of empowering people.</p></br><p>This project will contribute to the networking of commoners in Africa, and to strengthen their interaction with the rest of the world, through the sharing of visions and practices and the contribution to the development of methods and tools for mapping the commons.</p></br><p><em>Folow this work (in French) in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique">wiki</a></em> of Remix The Commons and read more in the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2014/07/cartographier-…uns-en-afrique/">French version of this post</a>.</p>ix The Commons and read more in the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2014/07/cartographier-…uns-en-afrique/">French version of this post</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Interview de P<blockquote><p> Interview de Philippe Minard sur l’ouvrage de l’historien britannique E. P. Thompson: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, traduit et publié en français en 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard. Boîte à Idées</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p></br><p>A propos de la Guerre des Forêts, de Edward P. Thompson</p></br><p>L’ouvrage, paru à Londres en 1975, est une enquête vivante d’histoire sociale : au début du XVIIIe siècle, un conflit oppose, d’un côté, les propriétaires et administrateurs de la forêt – celle de Windsor notamment – et, de l’autre, ses usagers. Au point qu’une loi promulguée en 1723 punit de mort certains des usages coutumiers : ce « Black Act », ainsi nommé parce que les braconniers se couvraient le visage de suie, est particulièrement impitoyable : si un vol de cerf est un crime capital, l’abattage de jeunes arbres ou la mutilation du bétail peuvent conduire aussi la potence. Les habitants des forêts opposent, à cette répression « sanguinaire », le droit coutumier des usages collectifs (droits de pâturage, d’extraction de tourbe, d’abattage et de ramassage du bois…).</p></br><p>Ainsi, outre la mise en place d’une évidente « politique de classes », ce que Thompson, grande figure intellectuelle inspirée par le marxisme et pionnier de « l’histoire par le bas », nous oblige à penser, c’est un monde dans lequel survivaient, avant que le XVIIIe siècle ne les arase au profit d’une conception exclusive, des modes et des degrés de propriété fort différents : « Ce qui était en jeu, écrit-il, (…) c’était des définitions concurrentes du droit de la propriété : pour le propriétaire terrien, l’enclosure ; pour le petit paysan, les droits collectifs ; pour les autorités de la forêt, les “chasses gardées” des cerfs ; pour les habitants des forêts, le droit de prélever de la tourbe ».</p></br><p>Selon Philippe Minard, c’est l’un des aspects les plus frappants de cet ouvrage : « Thompson nous aide à penser la diversité des régimes d’accès possibles, tout ce qui existe entre la propriété individuelle et l’absence totale de propriété. » Resurgi dans les années 1970, à la faveur de l’écologie (quand il a fallu déterminer à qui appartenaient les forêts, les océans ou encore l’atmosphère, en passe d’être durablement souillés), ce questionnement s’est poursuivi avec le développement d’Internet. Depuis la fin des années 1990, des activistes se battent contre tout ce qui entrave la circulation et l’appropriation collective des connaissances, en faisant explicitement référence aux pratiques des droits collectifs et des commons. Il se déroule sur le Net, selon eux, ce que Thompson décrivait dans les forêts anglaises : « Un conflit entre les utilisateurs et les exploiteurs. »</p></br><p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>;/p> <p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Some experimen<blockquote><p> Some experiments for mapping the commons, from the definitions and brief descriptions of commoning actions or initiatives, with an instance of Chimere installed by Frédéric Léon at Brest. Chimere allows to place on a maps « points of interest » as defined by their geographic coordinates, text + multimedia documents (video , audio, images). Points of interest can be classified into categories organized by families. Maps are defined by selections of geographical zones and categories.<br /></br></ blockquote></p></br><p><iframe width='660' height='350' frameborder='0' scrolling='no' marginheight='0' marginwidth='0' src='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/simple'></iframe><br /><a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons' rel="noopener noreferrer">Agrandir</a> – <a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/edit/' rel="noopener noreferrer">Participer</a></p></br><p>The first idea, starting this experiment was to locate on a map hundred of definitions of the commons made since the Berlin Conference of 2010, and look at how to use this medium as a collective means of expression on the notion of commons. For the test, a douzen of definitions is placed on the map. The integration of all the hundreds of available definitions give more card provided. They are searchable by language. Sorting by tag does not exist. It is the next step we are chalenging. It will allow to make more visible the « issues » generated on the Remix The Commons website. The integration of this map in the site remix is done by widget in a blog post or page. Eventually, the card could be powered by mashup multimedia services.</p></br><p>Second experiment : <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs">mapping documents of commoning practices</a> by category « types of commons » (only with the parents of the categories of Charlotte Hess’ classification, used on the web site Remix the Commons) . The maps can be made by geographical areas. <a href="http://remixthecommons.infini.fr/visages-des-communs">Here</a> a map of a few points in Quebec .</p></br><p>Chimere freely allows the addition of new points of interest by users via <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs/edit" target="_blank" rel="noopener noreferrer">a form</a> pretty simple. Each zone provides to the users a form that allows to classify points of interest by the category of the zone.</p></br><p>At this level, it would be useful to complete chimere with elements such as a device of tags of points of interest, a synchronization of files on the map, a synchronization of the points of interest in the catalog of Remix the Commons.</p></br><p>But to go further, it should be necessary to work on approaches of mapping the commons. The identification of resources is the first degree of a mapping of the commons. Should imagine mapping commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p></br><p>Frédéric Sultan</p>ng commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p> <p>Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 mois après l’<blockquote><p>6 mois après l’espace des communs au Forum Social Mondial, notre outil de documentation / jeu de carte sur les communs est prêt à circuler, animer des conversations et vous aider à faire avancer les communs près de chez vous !</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" /></p></br><p>C@rtes en Commun est un jeu où 2 à 5 joueurs collaborant pour construire une société civile résiliente qui défend les communs contre les forces d’accaparement. Outre le plaisir de jouer, C@rtes en commun a été imaginé comme un moyen de documenter la présence des communs à l’Espace de communs, dispositif éphémère de rencontre au Forum Social Mondial à Montréal qui se déroulait en août 2016. Les cartes qui composent le jeu ont été conçues par les personnes présentes volontaires qui ont partagé leur vision et leur expérience des communs sur la base d’un design du jeu réalisé par Mathhieu Rhéaume et son équipe. Cette expérience permet de penser qu’il serait possible d’utiliser une même approche et ces outils méthodologiques pour documenter les communs dans d’autres contextes locaux, votre quartier, ou thématique comme les communs de la connaissance par exemple. Nous avons hâte de pouvoir mener de telles expériences ! </p></br><p>Pour en savoir plus sur le jeu, visitez le <a href="http://cartesencommun.cc/">site Internet</a>. Le jeu est publié à la demande par The Game Crafter aux USA pour le prix de 22,99 $US l’unité plus frais de port et de douane via : <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rtes-en-commun">https://www.thegamecrafter.com/</a> </p></br><p>Pour réduire les frais de port et douane pour les européens, nous lançons une commande groupée et nous espérons que cela ramènera le coût de chaque jeu livré en Europe à environ de 30/35 $US. </p></br><p>Si vous souhaitez participer à cette première commande groupée, <a href="https://goo.gl/forms/UdXsgNWxqklo4bJq2">remplissez le formulaire</a> avant le 18 mars à 20:00 GMT: </p></br><p>Vous devrez aussi versez une avance correspondant uniquement au prix du ou des jeux commandés. Le reste à payer (port et douane) vous sera demandé une fois la commande terminée, lorsque nous connaîtrons les coûts des frais postaux et de douane. </p></br><p>Ensuite, soyez patient ! La commande groupée sera initiée le 18 mars et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 months after <blockquote><p>6 months after the World Social Forum, our Documentation / Card Play tool on the commons is ready to circulate, to animate conversations and to help you to move the commons close to you!</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" /></p></br><p>C@rds in Common is a game where 2 to 5 players collaborate to build a resilient civil society that defends the commons against the forces of monopolization. Apart from the pleasure of playing, C@rds in common was conceived as a means of documenting the presence of the commons at the Commons Space, an ephemeral encounter at the World Social Forum in Montreal in August 2016. The cards that composed the game were designed by volunteers who shared their vision and experience of the commons and the game mecanism designed by Mathieu Rhéaume and his team. This experience suggests that it would be possible to use the same approach and these methodological tools to document the commons in other local contexts, alike your neighborhood, or thematics as the commons of knowledge for example. We look forward to such experiments!</p></br><p>To learn more about the game, have a look at the <a href="http://cartesencommun.cc">website</a>.</p></br><p>The game is released on demand by The Game Crafter in the US for $ 22.99 each plus shipping and customs via: <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rds-in-common">https://www.thegamecrafter.com</a></p></br><p>To reduce shipping and customs for Europeans, we are launching a bulk order and hopefully this will bring the cost of each game delivered to Europe to around US $ 30/35.</p></br><p>If you wish to participate in this first bulk order, fill in <a href="https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfVa7DsY3rbjkxPoui-KzHqpPtmhhV1_KBstEMebKWVceaPnQ/viewform?c=0&w=1">the form</a> before March 18th at 20:00 GMT.</p></br><p>You will also have to pay an advance corresponding only to the price of the game(s) ordered. The remainder to be paid (port and customs) will be asked when the order is completed, when we will know the costs of postage and customs.</p></br><p>Then, be patient! The group order will be initiated on 19 March and will arrive in Paris during the month of April. As soon as they arrive in Paris, the games will be mailed to their recipients.</p>>Then, be patient! The group order will be initiated on 19 March and will arrive in Paris during the month of April. As soon as they arrive in Paris, the games will be mailed to their recipients.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #2</em>, is the second serie of 10 videos of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a>. This serie has been gathered at the World Science and Democracy Forum, organized at Dakar in February 2011, </p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>hase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #1</em>, est la première série de 20 capsules vidéos et remix de définitions des communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les communs</em></a>. Cette série à été réalisée à l’occasion de la <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Commons (ECC)</a> co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a> à Berlin les 1er et 2 novembre 2010,</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la quatrième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la troisième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #2</em>, est la deuxième série de 10 capsules vidéos de définitions des biens communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Cette série a été réalisée à l’occasion du Forum Mondial Sciences et Démocratie qui se déroulait à Dakar en Février 2011.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit.  Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>tenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la cinquième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 12 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>4<blockquote><p><strong>4 octobre 2022 de 15h à 17h CET (en ligne) </strong>| Nous vous invitons à <a href="http://formularis.commonscloud.coop/659156" target="_blank" rel="noopener noreferrer">participer à l’évènement</a> organisé par le Groupe de travail Écosystème des Communs (<a href="https://femprocomuns.coop/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">FemProcomuns</a> (Catalunya, Espagne), <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Remix the Commons</a> (Francophonie), <a href="https://www.babalex.org/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">B.A.Balex</a> (France), <a href="https://projetcollectif.ca/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Projet Collectif</a> (Québec) , <a href="https://www.solidariusitalia.it/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Solidarius</a> (Italie).</p></blockquote></br><p><em><img decoding="async" loading="lazy" class="alignright wp-image-4211" src="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png" sizes="(max-width: 275px) 100vw, 275px" srcset="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png 3780w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-150x150.png 150w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-300x300.png 300w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-768x768.png 768w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-1024x1024.png 1024w" alt="" width="275" height="275" /></em>Écosystème de Transition est une série de rencontres organisées par le <a href="https://femprocomuns.coop/portfolio/transitant-transitioning/?lang=en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Groupe d’Activité Coopérative (GAC ) en Transition </a>de la coopérative Catalane femProcomuns, dans le but de travailler collectivement sur les défis liés aux domaines clés de l’économie : énergie, territoire, eau, alimentation, soins, logement, volontariat, méthodologies…, du point de vue de la production, de l’approvisionnement et des impacts environnementaux, avec une vision basée sur les communs (guidée par le modèle de soutenabilité des communs, mais avec le désir d’apprendre et d’incorporer d’autres modèles et artefacts) et avec la participation de divers acteurs, de Catalogne et d’ailleurs.</p></br><p>Dans le modèle socio-économique<strong> des communs</strong>, les gens s’auto-organisent pour résoudre les besoins et les défis à partir d’une logique communautaire et soutenable. Les communs sont un modèle d’organisation sociale et économique qui échappe au marché et à l’État. En plus des nombreux exemples de communs traditionnels qui ont maintenu des formes de production et de reproduction singulières au fil des siècles, ces dernières décennies ont vu naître des projets technologiques, urbains et culturels, dont certains utilisent des licences libres et ouvertes ou des modèles de distribution du pouvoir pour une production démocratique. Ces projets sont singuliers, mais ils partagent certains principes et qualités.</p></br><p>Dans ce contexte, femProcomuns (coopérative intégrale d’utilisateurs et de travailleurs) proposons une rencontre, pour favoriser la mise en réseau et la coopération autour des leçons apprises ces 5 dernières années, dans différents espaces en Catalogne et ailleurs.</p></br><p>La session aura lieu en ligne le 4 octobre, de 15h00 à 17h00 : (traduction simultannée Catalan, Espagnol, Anglais et Français) Plus de détails à venir.</p></br><p>Au fil des années, nous avons constaté que la dimension relationnelle des communautés où se situent les projets est le principal élément qui rend les projets communs. En plus de choisir et de connaître les outils nécessaires (technologiques, mécanismes juridiques, de gestion…), il est essentiel que les personnes qui appartiennent à la communauté partagent des intérêts, s’identifient au projet, s’auto-organisent et s’autogèrent, et sachent comment mobiliser les ressources dont elles ont besoin, comment organiser le mode de production, où trouver les connaissances dont elles ont besoin et avoir une politique sur le partage des connaissances qu’elles génèrent. Lorsqu’il s’agit d’une communauté existante avec des liens sociaux antérieurs et auto-organisée, ce sera plus facile. Et s’il s’agit d’un groupe, qui veut activer une nouvelle communauté, il sera nécessaire de planifier soigneusement le projet.</p></br><p><a id="set-post-thumbnail" class="thickbox" href="https://www.remixthecommons.org/wp-admin/media-upload.php?post_id=6850&type=image&TB_iframe=1" aria-describedby="set-post-thumbnail-desc"><img decoding="async" loading="lazy" class="attachment-266x266 size-266x266 alignleft" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png" sizes="(max-width: 266px) 100vw, 266px" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-607x607.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-768x768.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo.png 794w" alt="" width="266" height="266" /></a>Nous avons testé le modèle de soutenabilité des communs, nous avons élaboré des textes explicatifs détaillant le cadre théorique et conceptuel et nous avons développé un kit de ressources avec des outils visuels et des jeux pour explorer et travailler sur des projets dans une perspective plus communautaire, écologique et féministe.</p></br><p>Nous voulons partager cette expérience accumulée avec des acteurs qui partagent cet horizon du commun, écologique, démocratique, féministe… et qui sont sensibles à l’importance de l’activation des économies locales, par l’action communautaire et par l’innovation citoyenne ; des acteurs (initiatives de base, entreprises sociales, coopératives, laboratoires citoyens…) actifs en Catalogne, en Europe et au-delà, avec lesquels partager des infrastructures, des connaissances, des méthodologies et des outils.</p></br><p>Nous voulons également connaître les expériences et les méthodologies menées par d’autres agents, partager des pratiques, des visions et des idées avec des projets d’autres endroits en Catalogne, en France ou au Québec. Nous vous invitons à participer à la session en ligne et à partager la manière dont vous mettez en œuvre votre pratique. La session, de deux heures seulement, ne permettra pas à chacun de présenter oralement, mais nous recueillerons toutes les initiatives par écrit dans un pad (bloc-notes), et nous poursuivrons la conversation à travers un <a href="https://agora.commonscloud.coop/c/transitant" target="_blank" rel="noopener noreferrer">espace de l’Agora</a> que nous avons aménagé pour parler de la transition vers les communs.</p></br><p><em>Écosystème de Transition</em>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p></br><p> </p>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>4<blockquote><p><strong>4 octobre 2022 de 15h à 17h CET (en ligne) </strong>| Nous vous invitons à <a href="http://formularis.commonscloud.coop/659156" target="_blank" rel="noopener noreferrer">participer à l’évènement</a> organisé par le Groupe de travail Écosystème des Communs (<a href="https://femprocomuns.coop/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">FemProcomuns</a> (Catalunya, Espagne), <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Remix the Commons</a> (Francophonie), <a href="https://www.babalex.org/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">B.A.Balex</a> (France), <a href="https://projetcollectif.ca/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Projet Collectif</a> (Québec) , <a href="https://www.solidariusitalia.it/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Solidarius</a> (Italie).</p></blockquote></br><p><em><img decoding="async" loading="lazy" class="alignright wp-image-4211" src="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png" sizes="(max-width: 275px) 100vw, 275px" srcset="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png 3780w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-150x150.png 150w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-300x300.png 300w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-768x768.png 768w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-1024x1024.png 1024w" alt="" width="275" height="275" /></em>Écosystème de Transition est une série de rencontres organisées par le <a href="https://femprocomuns.coop/portfolio/transitant-transitioning/?lang=en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Groupe d’Activité Coopérative (GAC ) en Transition </a>de la coopérative Catalane femProcomuns, dans le but de travailler collectivement sur les défis liés aux domaines clés de l’économie : énergie, territoire, eau, alimentation, soins, logement, volontariat, méthodologies…, du point de vue de la production, de l’approvisionnement et des impacts environnementaux, avec une vision basée sur les communs (guidée par le modèle de soutenabilité des communs, mais avec le désir d’apprendre et d’incorporer d’autres modèles et artefacts) et avec la participation de divers acteurs, de Catalogne et d’ailleurs.</p></br><p>Dans le modèle socio-économique<strong> des communs</strong>, les gens s’auto-organisent pour résoudre les besoins et les défis à partir d’une logique communautaire et soutenable. Les communs sont un modèle d’organisation sociale et économique qui échappe au marché et à l’État. En plus des nombreux exemples de communs traditionnels qui ont maintenu des formes de production et de reproduction singulières au fil des siècles, ces dernières décennies ont vu naître des projets technologiques, urbains et culturels, dont certains utilisent des licences libres et ouvertes ou des modèles de distribution du pouvoir pour une production démocratique. Ces projets sont singuliers, mais ils partagent certains principes et qualités.</p></br><p>Dans ce contexte, femProcomuns (coopérative intégrale d’utilisateurs et de travailleurs) proposons une rencontre, pour favoriser la mise en réseau et la coopération autour des leçons apprises ces 5 dernières années, dans différents espaces en Catalogne et ailleurs.</p></br><p>La session aura lieu en ligne le 4 octobre, de 15h00 à 17h00 : (traduction simultannée Catalan, Espagnol, Anglais et Français) Plus de détails à venir.</p></br><p>Au fil des années, nous avons constaté que la dimension relationnelle des communautés où se situent les projets est le principal élément qui rend les projets communs. En plus de choisir et de connaître les outils nécessaires (technologiques, mécanismes juridiques, de gestion…), il est essentiel que les personnes qui appartiennent à la communauté partagent des intérêts, s’identifient au projet, s’auto-organisent et s’autogèrent, et sachent comment mobiliser les ressources dont elles ont besoin, comment organiser le mode de production, où trouver les connaissances dont elles ont besoin et avoir une politique sur le partage des connaissances qu’elles génèrent. Lorsqu’il s’agit d’une communauté existante avec des liens sociaux antérieurs et auto-organisée, ce sera plus facile. Et s’il s’agit d’un groupe, qui veut activer une nouvelle communauté, il sera nécessaire de planifier soigneusement le projet.</p></br><p><a id="set-post-thumbnail" class="thickbox" href="https://www.remixthecommons.org/wp-admin/media-upload.php?post_id=6850&type=image&TB_iframe=1" aria-describedby="set-post-thumbnail-desc"><img decoding="async" loading="lazy" class="attachment-266x266 size-266x266 alignleft" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png" sizes="(max-width: 266px) 100vw, 266px" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-607x607.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-768x768.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo.png 794w" alt="" width="266" height="266" /></a>Nous avons testé le modèle de soutenabilité des communs, nous avons élaboré des textes explicatifs détaillant le cadre théorique et conceptuel et nous avons développé un kit de ressources avec des outils visuels et des jeux pour explorer et travailler sur des projets dans une perspective plus communautaire, écologique et féministe.</p></br><p>Nous voulons partager cette expérience accumulée avec des acteurs qui partagent cet horizon du commun, écologique, démocratique, féministe… et qui sont sensibles à l’importance de l’activation des économies locales, par l’action communautaire et par l’innovation citoyenne ; des acteurs (initiatives de base, entreprises sociales, coopératives, laboratoires citoyens…) actifs en Catalogne, en Europe et au-delà, avec lesquels partager des infrastructures, des connaissances, des méthodologies et des outils.</p></br><p>Nous voulons également connaître les expériences et les méthodologies menées par d’autres agents, partager des pratiques, des visions et des idées avec des projets d’autres endroits en Catalogne, en France ou au Québec. Nous vous invitons à participer à la session en ligne et à partager la manière dont vous mettez en œuvre votre pratique. La session, de deux heures seulement, ne permettra pas à chacun de présenter oralement, mais nous recueillerons toutes les initiatives par écrit dans un pad (bloc-notes), et nous poursuivrons la conversation à travers un <a href="https://agora.commonscloud.coop/c/transitant" target="_blank" rel="noopener noreferrer">espace de l’Agora</a> que nous avons aménagé pour parler de la transition vers les communs.</p></br><p><em>Écosystème de Transition</em>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p></br><p> </p>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>4<blockquote><p><strong>4 octobre 2022 de 15h à 17h CET (en ligne) </strong>| Nous vous invitons à <a href="http://formularis.commonscloud.coop/659156" target="_blank" rel="noopener noreferrer">participer à l’évènement</a> organisé par le Groupe de travail Écosystème des Communs (<a href="https://femprocomuns.coop/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">FemProcomuns</a> (Catalunya, Espagne), <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Remix the Commons</a> (Francophonie), <a href="https://www.babalex.org/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">B.A.Balex</a> (France), <a href="https://projetcollectif.ca/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Projet Collectif</a> (Québec) , <a href="https://www.solidariusitalia.it/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Solidarius</a> (Italie).</p></blockquote></br><p><em><img decoding="async" loading="lazy" class="alignright wp-image-4211" src="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png" sizes="(max-width: 275px) 100vw, 275px" srcset="https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR.png 3780w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-150x150.png 150w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-300x300.png 300w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-768x768.png 768w, https://femprocomuns.coop/wp-content/uploads/2022/09/Hule_ModeleSoutenibilite_FR-1024x1024.png 1024w" alt="" width="275" height="275" /></em>Écosystème de Transition est une série de rencontres organisées par le <a href="https://femprocomuns.coop/portfolio/transitant-transitioning/?lang=en" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Groupe d’Activité Coopérative (GAC ) en Transition </a>de la coopérative Catalane femProcomuns, dans le but de travailler collectivement sur les défis liés aux domaines clés de l’économie : énergie, territoire, eau, alimentation, soins, logement, volontariat, méthodologies…, du point de vue de la production, de l’approvisionnement et des impacts environnementaux, avec une vision basée sur les communs (guidée par le modèle de soutenabilité des communs, mais avec le désir d’apprendre et d’incorporer d’autres modèles et artefacts) et avec la participation de divers acteurs, de Catalogne et d’ailleurs.</p></br><p>Dans le modèle socio-économique<strong> des communs</strong>, les gens s’auto-organisent pour résoudre les besoins et les défis à partir d’une logique communautaire et soutenable. Les communs sont un modèle d’organisation sociale et économique qui échappe au marché et à l’État. En plus des nombreux exemples de communs traditionnels qui ont maintenu des formes de production et de reproduction singulières au fil des siècles, ces dernières décennies ont vu naître des projets technologiques, urbains et culturels, dont certains utilisent des licences libres et ouvertes ou des modèles de distribution du pouvoir pour une production démocratique. Ces projets sont singuliers, mais ils partagent certains principes et qualités.</p></br><p>Dans ce contexte, femProcomuns (coopérative intégrale d’utilisateurs et de travailleurs) proposons une rencontre, pour favoriser la mise en réseau et la coopération autour des leçons apprises ces 5 dernières années, dans différents espaces en Catalogne et ailleurs.</p></br><p>La session aura lieu en ligne le 4 octobre, de 15h00 à 17h00 : (traduction simultannée Catalan, Espagnol, Anglais et Français) Plus de détails à venir.</p></br><p>Au fil des années, nous avons constaté que la dimension relationnelle des communautés où se situent les projets est le principal élément qui rend les projets communs. En plus de choisir et de connaître les outils nécessaires (technologiques, mécanismes juridiques, de gestion…), il est essentiel que les personnes qui appartiennent à la communauté partagent des intérêts, s’identifient au projet, s’auto-organisent et s’autogèrent, et sachent comment mobiliser les ressources dont elles ont besoin, comment organiser le mode de production, où trouver les connaissances dont elles ont besoin et avoir une politique sur le partage des connaissances qu’elles génèrent. Lorsqu’il s’agit d’une communauté existante avec des liens sociaux antérieurs et auto-organisée, ce sera plus facile. Et s’il s’agit d’un groupe, qui veut activer une nouvelle communauté, il sera nécessaire de planifier soigneusement le projet.</p></br><p><a id="set-post-thumbnail" class="thickbox" href="https://www.remixthecommons.org/wp-admin/media-upload.php?post_id=6850&type=image&TB_iframe=1" aria-describedby="set-post-thumbnail-desc"><img decoding="async" loading="lazy" class="attachment-266x266 size-266x266 alignleft" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png" sizes="(max-width: 266px) 100vw, 266px" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-342x342.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-607x607.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo-768x768.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/09/Transitant_Sessio_Internacional_EN_logo.png 794w" alt="" width="266" height="266" /></a>Nous avons testé le modèle de soutenabilité des communs, nous avons élaboré des textes explicatifs détaillant le cadre théorique et conceptuel et nous avons développé un kit de ressources avec des outils visuels et des jeux pour explorer et travailler sur des projets dans une perspective plus communautaire, écologique et féministe.</p></br><p>Nous voulons partager cette expérience accumulée avec des acteurs qui partagent cet horizon du commun, écologique, démocratique, féministe… et qui sont sensibles à l’importance de l’activation des économies locales, par l’action communautaire et par l’innovation citoyenne ; des acteurs (initiatives de base, entreprises sociales, coopératives, laboratoires citoyens…) actifs en Catalogne, en Europe et au-delà, avec lesquels partager des infrastructures, des connaissances, des méthodologies et des outils.</p></br><p>Nous voulons également connaître les expériences et les méthodologies menées par d’autres agents, partager des pratiques, des visions et des idées avec des projets d’autres endroits en Catalogne, en France ou au Québec. Nous vous invitons à participer à la session en ligne et à partager la manière dont vous mettez en œuvre votre pratique. La session, de deux heures seulement, ne permettra pas à chacun de présenter oralement, mais nous recueillerons toutes les initiatives par écrit dans un pad (bloc-notes), et nous poursuivrons la conversation à travers un <a href="https://agora.commonscloud.coop/c/transitant" target="_blank" rel="noopener noreferrer">espace de l’Agora</a> que nous avons aménagé pour parler de la transition vers les communs.</p></br><p><em>Écosystème de Transition</em>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p></br><p> </p>, est financé par la ligne L2 Projets Singulières pour promouvoir l’économie sociale et solidaire, création de coopératives et projets d’intercoopération, de la Generalitat de Catalunya, Département de l’entreprise et du travail. Direction générale de l’économie sociale et solidaire, du troisième secteur et des coopératives.</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)