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Version du 8 décembre 2022 à 23:33

Plateforme multimédia ouverte et collaborative sur les communs

Nouveautés

Antonio di Stasio dans cette séance met l'accent sur le rôle crucial que la dimension monétaire joue dans la reproduction de la dynamique du commun qui suppose tout autant des mécanismes politiques qu’impersonnels de socialisation et de réification des rapports sociaux. Dans cette démarche, il prend en examen diverses contributions (Harribey, Couppey-Soubeyran, Marazzi, etc.) qui ont conçus de nouveaux modes de régulation de l’émission de la monnaie et du financement des activités en partant de la primauté des besoins sociaux et écologiques plutôt que de celle du travail abstrait et de la logique de la formule générale du capital (A-MA’). La thèse qu'il défend est que l’avenir du commun est indissociable de l'institution d'une monnaie du commun, si l’on ne veut pas le réduire à une enclave ou à une pure utopie, mais le penser comme un véritable mode de production potentiellement capable de conquérir une position hégémonique face aux logiques du public et du privé.

Mise à jour : 2 mai 2024 à 10:00

Dans cette intervention, issue de sa thèse, Ludovic Bonduel se propose de catégoriser les théories des/du commun(s) en trois groupes : les théories libérales (e.g., Ostrom, Benkler), les théories du/des communs comme mode de production (Bauwens & Kostakis, Hardt & Negri, Vercellone et al.), la théorie du commun comme principe politique (Dardot & Laval). Il interroge notamment les deux derniers ensembles de théories qui, à la différence du premier, considèrent qu’il est possible et souhaitable de dépasser le mode de production capitaliste. Tout en insistant sur la proximité politique entre les deux approches, il examine leurs avantages et limites respectives.

Mise à jour : 2 mai 2024 à 09:52

Dans cette vidéo les interventions de Nikos Smyrnaios et Kianoosh Yasaei traitent du pouvoir grandissant des plateformes numériques d'un point de vue économique mais surtout politique. Le premier se concentre sur la conjoncture actuelle qui, bien que porteuse de turbulences économiques, ne semble pas mettre en cause l'emprise structurelle des géants du Web sur la quasi-totalité de notre vie sociale et économique, ce qui leur confère un pouvoir extraordinaire et leur assure un avenir profitable. Cependant, Smyrnaios souligne que ce contexte les oblige de reconsidérer une partie de leurs stratégies. En revanche, Yasaei met en exergue le fait que ces entreprises se trouvent au centre d'un réseau transnational et interconnecté d'acteurs privés-publics-sécuritaires dont le pouvoir dépasse parfois la souveraineté des États. En même temps, le développement des plateformes numériques à l’échelle mondiale a été accompagné d'une réémergence des États et a été révélateur de la constitution d'un nouvel ordre économique mondial. C'est pour cela qu'il essaie d'esquisser une conceptualisation de cette phase de l'économie capitaliste en analysant l'essor des plateformes à travers le concept d'impérialisme.

Mise à jour : 2 mai 2024 à 09:45

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