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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Description » avec la valeur « <p>Publiée le 5 juil. 2013</p> <p>Bordeaux Forum de l’Economie Collaborative</p> <p>4 juillet 2013, au Rocher de Palmer.</p> <p>Plus d’informations sur le Forum et ses intervenants sur www.bordeaux-economie-collaborative.org</p> <p>www.facebook.com/BXecocollab</p> <p>www.twitter.com/BXecocollab</p> <p>via <a href='https://www.youtube.com/watch?v=XAZnv4IEo9g'>Michel Bauwens – "En route vers de nouveaux territoires économiques" 3/4 – YouTube</a>.</p> ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 252 résultats à partir du nº 1.

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Liste de résultats

  • Le domaine public, un bien commun  + (Un entretien avec Lionel Maurel et SylvèreUn entretien avec Lionel Maurel et Sylvère Mercier, du collectif SavoirsCom1 (http://savoirscom1.info), filmé à l'occasion d'un atelier "Appropriation du domaine public" à la BPI (Paris) le 16 octobre 2013, dans la préparation du Calendrier de l'avent du domaine public 2014 - en ligne ici : http://www.aventdudomainepublic.org/</br></br>Film réalisé dans le cadre du chantier Pages Publiques, du master Édition et mémoire des textes, option édition, à l'Université de Caen, Basse-Normandie (http://bit.ly/IiO4Fc). Livre à paraître prochainement chez C&F éditions (http://cfeditions.com).chez C&F éditions (http://cfeditions.com).)
  • Monnaie, marché, valeur et Communs  + (Une conversation animée par  Ludwig Schuster avec Gwendolyn Hallsmith, Pat Conaty, Anne Snick et Handro Sangkoyo à l'Economics and the Commons Conference de Berlin en mai 2013.)
  • Nouvelles infrastructures pour "l'en-commun by design"  + (Une conversation avec Ana Saravelli et Kai Ehlers modérée par Miguel Said Vieira lors de la Conférence internationale Economic And The Commons qui se déroulait à Berlin en mai 2013.)
  • Connaissance, culture et science comme Communs  + (Une conversation avec Bodo Balasz, Shun-Ling Chen, Mike Linksvayer, Prabir Purkhayashta animée par HELFRICH Silke durant l'Economic Commons Conference de Berlin en mai 2013)
  • Theory and Practice in the Management of Natural Commons  + (Une conversation avec Camila Moreno, Soma Parthasarathy, Gregor Keizer et Justin Kenwrick animée par Saki Bailey durant l' Economic Commons Conference de Berlin en mai 2013.)
  • La monnaie comme Communs  + (Une conversation avec Jem Bendell, Nicolas Mendoza. Matthew Slater et Martin Auer animée par Michel Bauwens à l'Economic Commons Conference de Berlin en mai 2013)
  • Le Commons Strategies Group à Berlin  + (Une entrevue avec Michel Bauwens, HELFRICH Silke et David Bollier réalisée par AMBROSI Alain, lors de la conférence internationale Economics and the Commons qui s'est déroulée à Berlin du 22 au 24 Mai 2013.)
  • Friederike Habermann sur l'« Ecommony »  + (Une interview avec Friederike Habermann réalisée par AMBROSI Alain lors de la conference Economics and the Commons à Berlin le 25 mai 2013.)
  • Georges Por sur les communs de l'éducation  + (Une interview avec Georges Por réalisée par AMBROSI Alain lors de la conference Economics and the Commons à Berlin le 23 mai 2013.)
  • Entrevues International Commons Conference Berlin 2013  + (Une récolte de fichiers audio produits pendant l'International Commons Conference organisé à Berlin en 2013, qui a eu comme objet la dimension économique des commons, la culture des communs et la politique des communs.)
  • GUÉRANDE  + (Une vidéo de présentation de la rencontre internationale de Guérande organisée en octobre 2013.)
  • 19-th Common Core General Meeting, Turin Nov 15-16 2013  + (Video de la séance plénière de la 19 ième Video de la séance plénière de la 19 ième Rencontre Générale du "Common Core of European Private Law", sur le thème "Transformation globale des droits de propriété induite par la crise mondiale" ( Crisis-Induced Global Transformation in Property Rights), les 15 et 16 Novembre 2013. </br>Université Internationale Collège de Turin en cooperation avec : </br>- I.S.A.I.D.A.T. - Istituto Subalpino per L'Analisi e l'insegnamento del Diritto degli Scambi Internazionali</br>- Centro Studi di Diritto Comparato (Trieste)</br>- Associazione R.B. Schlesinger - Per lo studio del diritto europeo</br>Le Common Core of European Private Law conduit une étude sur les institutions juridiques des communs dans 17 pays européens (Belgique, Croatie, Danemark, Angleterre, Finlande, France, Allemagne, Irlande, Italie, Pays-Bas, Norvège, Serbie, Ecosse, Slovénie, Espagne, Suèdes, et Suisse) et aux États Unis led par Saki Bailey, Ugo Mattei et Filippo Valguarnera.Bailey, Ugo Mattei et Filippo Valguarnera.)
  • MOBmontréal et À vous, citoyens! à Laurier rue Libre  + (Vidéo réalisée par Communautique sur LauriVidéo réalisée par Communautique sur Laurier rue Libre au métro Laurier à Montréal le 18 mai 2013. </br></br>Laurier rue Libre est un événement organisé par Greenpeace et ruepublique dans le cadre de MOBmontréal et À table citoyens! pour la récupération de l'espace public comme bien commun.tion de l'espace public comme bien commun.)
  • Chargement/Site  + (<blockquote> <div class="clearfix<blockquote></br><div class="clearfix with-navigation">This post is a re-publication of the introduction of David Bollier’s blog from <span class="submitted">Monday 01/19/2015. David Bollier is presenting the report of a two-day workshop, “Toward an Open Co-operativism,” held in August 2014 in Germany. This post is translated in the French and available in the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2015/01/the-promise-of-open-co-operativism-david-bollier/">French part of blog Remix The Commons</a>. You can read the introduction below and the original <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">there</a>. </span></div></br><div class="clearfix with-navigation"></div></br></blockquote></br><div id="main" class="clearfix with-navigation"></br><p>Is it possible to imagine a new sort of synthesis or synergy between the emerging peer production and commons movement on the one hand, and growing, innovative elements of the co-operative and solidarity economy movements on the other?</p></br><div id="content" class="column"></br><div class="section"></br><div id="content-area"></br><div id="node-1138" class="node node-type-blog node-promoted build-mode-full clearfix"></br><div class="content"></br><p>That was the animating question behind a two-day workshop, “Toward an Open Co-operativism,” held in August 2014 and now chronicled in <a href="http://bollier.org/open-co-operativism-report">a new report </a>by UK co-operative expert Pat Conaty and me.  (Pat is a Fellow of the New Economics Foundation and a Research Associate of Co-operatives UK, and attended the workshop.)</p></br><p>The workshop was convened because the commons movement and peer production share a great deal with co-operatives….but they also differ in profound ways.  Both share a deep commitment to social cooperation as a constructive social and economic force.  Yet both draw upon very different histories, cultures, identities and aspirations in formulating their visions of the future.  There is great promise in the two movements growing more closely together, but also significant barriers to that occurring.</p></br><p>The workshop explored this topic, as captured by the subtitle of the report:  “A New Social Economy Based on Open Platforms, Co-operative Models and the Commons,” hosted by the Commons Strategies Group in Berlin, Germany, on August 27 and 28, 2014. The workshop was supported by the Heinrich Böll Foundation, with assistance with the Charles Léopold Mayer Foundation of France.</p></br><p>Below, the Introduction to the report followed by the Contents page. You can download a pdf of the full report (28 pages) <a href="http://bollier.org/open-co-operativism-report">here.</a> The entire report is licensed under a Creative Commons Attribution-ShareAlike (BY-SA) 3.0 license, so feel free to re-post it.</p></br><p>Read on <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">David Bollier’s blog </a></p></br></div></br></div></br></div></br></div></br></div></br></div>A) 3.0 license, so feel free to re-post it.</p> <p>Read on <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">David Bollier’s blog </a></p> </div> </div> </div> </div> </div> </div>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p> Interview de P<blockquote><p> Interview de Philippe Minard sur l’ouvrage de l’historien britannique E. P. Thompson: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, traduit et publié en français en 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard. Boîte à Idées</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p></br><p>A propos de la Guerre des Forêts, de Edward P. Thompson</p></br><p>L’ouvrage, paru à Londres en 1975, est une enquête vivante d’histoire sociale : au début du XVIIIe siècle, un conflit oppose, d’un côté, les propriétaires et administrateurs de la forêt – celle de Windsor notamment – et, de l’autre, ses usagers. Au point qu’une loi promulguée en 1723 punit de mort certains des usages coutumiers : ce « Black Act », ainsi nommé parce que les braconniers se couvraient le visage de suie, est particulièrement impitoyable : si un vol de cerf est un crime capital, l’abattage de jeunes arbres ou la mutilation du bétail peuvent conduire aussi la potence. Les habitants des forêts opposent, à cette répression « sanguinaire », le droit coutumier des usages collectifs (droits de pâturage, d’extraction de tourbe, d’abattage et de ramassage du bois…).</p></br><p>Ainsi, outre la mise en place d’une évidente « politique de classes », ce que Thompson, grande figure intellectuelle inspirée par le marxisme et pionnier de « l’histoire par le bas », nous oblige à penser, c’est un monde dans lequel survivaient, avant que le XVIIIe siècle ne les arase au profit d’une conception exclusive, des modes et des degrés de propriété fort différents : « Ce qui était en jeu, écrit-il, (…) c’était des définitions concurrentes du droit de la propriété : pour le propriétaire terrien, l’enclosure ; pour le petit paysan, les droits collectifs ; pour les autorités de la forêt, les “chasses gardées” des cerfs ; pour les habitants des forêts, le droit de prélever de la tourbe ».</p></br><p>Selon Philippe Minard, c’est l’un des aspects les plus frappants de cet ouvrage : « Thompson nous aide à penser la diversité des régimes d’accès possibles, tout ce qui existe entre la propriété individuelle et l’absence totale de propriété. » Resurgi dans les années 1970, à la faveur de l’écologie (quand il a fallu déterminer à qui appartenaient les forêts, les océans ou encore l’atmosphère, en passe d’être durablement souillés), ce questionnement s’est poursuivi avec le développement d’Internet. Depuis la fin des années 1990, des activistes se battent contre tout ce qui entrave la circulation et l’appropriation collective des connaissances, en faisant explicitement référence aux pratiques des droits collectifs et des commons. Il se déroule sur le Net, selon eux, ce que Thompson décrivait dans les forêts anglaises : « Un conflit entre les utilisateurs et les exploiteurs. »</p></br><p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>;/p> <p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Interview of P<blockquote><p> Interview of Philippe Minard about E. P. Thompson’s book: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, translated and published in French in 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p>ef="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p> Interview of P<blockquote><p> Interview of Philippe Minard about E. P. Thompson’s book: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, translated and published in French in 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p>ef="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Some experimen<blockquote><p> Some experiments for mapping the commons, from the definitions and brief descriptions of commoning actions or initiatives, with an instance of Chimere installed by Frédéric Léon at Brest. Chimere allows to place on a maps « points of interest » as defined by their geographic coordinates, text + multimedia documents (video , audio, images). Points of interest can be classified into categories organized by families. Maps are defined by selections of geographical zones and categories.<br /></br></ blockquote></p></br><p><iframe width='660' height='350' frameborder='0' scrolling='no' marginheight='0' marginwidth='0' src='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/simple'></iframe><br /><a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons' rel="noopener noreferrer">Agrandir</a> – <a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/edit/' rel="noopener noreferrer">Participer</a></p></br><p>The first idea, starting this experiment was to locate on a map hundred of definitions of the commons made since the Berlin Conference of 2010, and look at how to use this medium as a collective means of expression on the notion of commons. For the test, a douzen of definitions is placed on the map. The integration of all the hundreds of available definitions give more card provided. They are searchable by language. Sorting by tag does not exist. It is the next step we are chalenging. It will allow to make more visible the « issues » generated on the Remix The Commons website. The integration of this map in the site remix is done by widget in a blog post or page. Eventually, the card could be powered by mashup multimedia services.</p></br><p>Second experiment : <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs">mapping documents of commoning practices</a> by category « types of commons » (only with the parents of the categories of Charlotte Hess’ classification, used on the web site Remix the Commons) . The maps can be made by geographical areas. <a href="http://remixthecommons.infini.fr/visages-des-communs">Here</a> a map of a few points in Quebec .</p></br><p>Chimere freely allows the addition of new points of interest by users via <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs/edit" target="_blank" rel="noopener noreferrer">a form</a> pretty simple. Each zone provides to the users a form that allows to classify points of interest by the category of the zone.</p></br><p>At this level, it would be useful to complete chimere with elements such as a device of tags of points of interest, a synchronization of files on the map, a synchronization of the points of interest in the catalog of Remix the Commons.</p></br><p>But to go further, it should be necessary to work on approaches of mapping the commons. The identification of resources is the first degree of a mapping of the commons. Should imagine mapping commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p></br><p>Frédéric Sultan</p>ng commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p> <p>Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p> Some experimen<blockquote><p> Some experiments for mapping the commons, from the definitions and brief descriptions of commoning actions or initiatives, with an instance of Chimere installed by Frédéric Léon at Brest. Chimere allows to place on a maps « points of interest » as defined by their geographic coordinates, text + multimedia documents (video , audio, images). Points of interest can be classified into categories organized by families. Maps are defined by selections of geographical zones and categories.<br /></br></ blockquote></p></br><p><iframe width='660' height='350' frameborder='0' scrolling='no' marginheight='0' marginwidth='0' src='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/simple'></iframe><br /><a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons' rel="noopener noreferrer">Agrandir</a> – <a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/edit/' rel="noopener noreferrer">Participer</a></p></br><p>The first idea, starting this experiment was to locate on a map hundred of definitions of the commons made since the Berlin Conference of 2010, and look at how to use this medium as a collective means of expression on the notion of commons. For the test, a douzen of definitions is placed on the map. The integration of all the hundreds of available definitions give more card provided. They are searchable by language. Sorting by tag does not exist. It is the next step we are chalenging. It will allow to make more visible the « issues » generated on the Remix The Commons website. The integration of this map in the site remix is done by widget in a blog post or page. Eventually, the card could be powered by mashup multimedia services.</p></br><p>Second experiment : <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs">mapping documents of commoning practices</a> by category « types of commons » (only with the parents of the categories of Charlotte Hess’ classification, used on the web site Remix the Commons) . The maps can be made by geographical areas. <a href="http://remixthecommons.infini.fr/visages-des-communs">Here</a> a map of a few points in Quebec .</p></br><p>Chimere freely allows the addition of new points of interest by users via <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs/edit" target="_blank" rel="noopener noreferrer">a form</a> pretty simple. Each zone provides to the users a form that allows to classify points of interest by the category of the zone.</p></br><p>At this level, it would be useful to complete chimere with elements such as a device of tags of points of interest, a synchronization of files on the map, a synchronization of the points of interest in the catalog of Remix the Commons.</p></br><p>But to go further, it should be necessary to work on approaches of mapping the commons. The identification of resources is the first degree of a mapping of the commons. Should imagine mapping commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p></br><p>Frédéric Sultan</p>ng commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p> <p>Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 mois après l’<blockquote><p>6 mois après l’espace des communs au Forum Social Mondial, notre outil de documentation / jeu de carte sur les communs est prêt à circuler, animer des conversations et vous aider à faire avancer les communs près de chez vous !</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" /></p></br><p>C@rtes en Commun est un jeu où 2 à 5 joueurs collaborant pour construire une société civile résiliente qui défend les communs contre les forces d’accaparement. Outre le plaisir de jouer, C@rtes en commun a été imaginé comme un moyen de documenter la présence des communs à l’Espace de communs, dispositif éphémère de rencontre au Forum Social Mondial à Montréal qui se déroulait en août 2016. Les cartes qui composent le jeu ont été conçues par les personnes présentes volontaires qui ont partagé leur vision et leur expérience des communs sur la base d’un design du jeu réalisé par Mathhieu Rhéaume et son équipe. Cette expérience permet de penser qu’il serait possible d’utiliser une même approche et ces outils méthodologiques pour documenter les communs dans d’autres contextes locaux, votre quartier, ou thématique comme les communs de la connaissance par exemple. Nous avons hâte de pouvoir mener de telles expériences ! </p></br><p>Pour en savoir plus sur le jeu, visitez le <a href="http://cartesencommun.cc/">site Internet</a>. Le jeu est publié à la demande par The Game Crafter aux USA pour le prix de 22,99 $US l’unité plus frais de port et de douane via : <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rtes-en-commun">https://www.thegamecrafter.com/</a> </p></br><p>Pour réduire les frais de port et douane pour les européens, nous lançons une commande groupée et nous espérons que cela ramènera le coût de chaque jeu livré en Europe à environ de 30/35 $US. </p></br><p>Si vous souhaitez participer à cette première commande groupée, <a href="https://goo.gl/forms/UdXsgNWxqklo4bJq2">remplissez le formulaire</a> avant le 18 mars à 20:00 GMT: </p></br><p>Vous devrez aussi versez une avance correspondant uniquement au prix du ou des jeux commandés. Le reste à payer (port et douane) vous sera demandé une fois la commande terminée, lorsque nous connaîtrons les coûts des frais postaux et de douane. </p></br><p>Ensuite, soyez patient ! La commande groupée sera initiée le 18 mars et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 months after <blockquote><p>6 months after the World Social Forum, our Documentation / Card Play tool on the commons is ready to circulate, to animate conversations and to help you to move the commons close to you!</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" /></p></br><p>C@rds in Common is a game where 2 to 5 players collaborate to build a resilient civil society that defends the commons against the forces of monopolization. Apart from the pleasure of playing, C@rds in common was conceived as a means of documenting the presence of the commons at the Commons Space, an ephemeral encounter at the World Social Forum in Montreal in August 2016. The cards that composed the game were designed by volunteers who shared their vision and experience of the commons and the game mecanism designed by Mathieu Rhéaume and his team. This experience suggests that it would be possible to use the same approach and these methodological tools to document the commons in other local contexts, alike your neighborhood, or thematics as the commons of knowledge for example. We look forward to such experiments!</p></br><p>To learn more about the game, have a look at the <a href="http://cartesencommun.cc">website</a>.</p></br><p>The game is released on demand by The Game Crafter in the US for $ 22.99 each plus shipping and customs via: <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rds-in-common">https://www.thegamecrafter.com</a></p></br><p>To reduce shipping and customs for Europeans, we are launching a bulk order and hopefully this will bring the cost of each game delivered to Europe to around US $ 30/35.</p></br><p>If you wish to participate in this first bulk order, fill in <a href="https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfVa7DsY3rbjkxPoui-KzHqpPtmhhV1_KBstEMebKWVceaPnQ/viewform?c=0&w=1">the form</a> before March 18th at 20:00 GMT.</p></br><p>You will also have to pay an advance corresponding only to the price of the game(s) ordered. The remainder to be paid (port and customs) will be asked when the order is completed, when we will know the costs of postage and customs.</p></br><p>Then, be patient! The group order will be initiated on 19 March and will arrive in Paris during the month of April. As soon as they arrive in Paris, the games will be mailed to their recipients.</p>>Then, be patient! The group order will be initiated on 19 March and will arrive in Paris during the month of April. As soon as they arrive in Paris, the games will be mailed to their recipients.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #3</em>, is the third serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 16 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #2</em>, is the second serie of 10 videos of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a>. This serie has been gathered at the World Science and Democracy Forum, organized at Dakar in February 2011, </p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>hase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #1</em>, is the first serie of 20 videos and remixes of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The commons</em></a>. This serie has been gathered at the <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin, November 1 and 2, 2010,</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world.</p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings.</p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ork of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #3</em>, is the third serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 16 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #1</em>, is the first serie of 20 videos and remixes of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The commons</em></a>. This serie has been gathered at the <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin, November 1 and 2, 2010,</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world.</p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings.</p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ork of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #2</em>, is the second serie of 10 videos of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a>. This serie has been gathered at the World Science and Democracy Forum, organized at Dakar in February 2011, </p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>hase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la cinquième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 12 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la quatrième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la troisième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #1</em>, est la première série de 20 capsules vidéos et remix de définitions des communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les communs</em></a>. Cette série à été réalisée à l’occasion de la <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Commons (ECC)</a> co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a> à Berlin les 1er et 2 novembre 2010,</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #2</em>, est la deuxième série de 10 capsules vidéos de définitions des biens communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Cette série a été réalisée à l’occasion du Forum Mondial Sciences et Démocratie qui se déroulait à Dakar en Février 2011.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit.  Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>tenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la cinquième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 12 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la quatrième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la troisième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #2</em>, est la deuxième série de 10 capsules vidéos de définitions des biens communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Cette série a été réalisée à l’occasion du Forum Mondial Sciences et Démocratie qui se déroulait à Dakar en Février 2011.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit.  Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>tenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #1</em>, est la première série de 20 capsules vidéos et remix de définitions des communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les communs</em></a>. Cette série à été réalisée à l’occasion de la <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Commons (ECC)</a> co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a> à Berlin les 1er et 2 novembre 2010,</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>A CommonsCamp w<blockquote><p>A CommonsCamp will take place at Grenoble (France) August 22 to 26, during the <a href="https://ue2018.org/">Summer University of the French social movements</a>.</p></blockquote></br><figure style="width: 275px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/thumb/Flyer_CommonsCamp_VF.1-1.jpg/723px-Flyer_CommonsCamp_VF.1-1.jpg" alt="CommonsCamp programme" width="275" height="390" /><figcaption class="wp-caption-text">CommonsCamp programme</figcaption></figure></br><p>An open and self-organized gathering, this event is structured into 3 modules: COMMONS, MUNICIPALISM and RIGHTS TO THE CITY and MAPS and SYNERGY meetings, both dedicated to making digital tools for the commoners. The CommonsCamp will end with a workshop dedicated to identify possible follow-ups or next steps.</p></br><p>Two exhibitions will be held during the event : « Les communs » (Commons) and « Les voies de la démocratie » (Ways of democracy).</p></br><p>This CommonsCamp will be focussing on actionable knowledge and skills in the field of urban commons. It intends to stimulate the emergence and the realisation of concrete projects and collaboration between the commoners.</p></br><p>For more information, have a look at the program: <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/ryZjgnXZm#">FR</a> or <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/SyLhb9ff7"> EN</a>, to the <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/By5srebX7#">list of contributors/participants</a>.</p></br><p>All the information (program, preparation, contributors, actions, budget already online) is accessible <a href="https://frama.link/commonscamp2018-sommaire">here</a>.</p></br><p>There will be interpreting in FR and EN during the plenary meetings. For the other activities, the organisers and facilitator will make sure that everybody will be able to participate (ex. : through whispering interpreting).</p></br><p>Documentation (note taking, photos, audio/video) will be a collective endeavour, everybody being invited to contribute to our collective pool of knowledge. A group of volunteers will assist the harvest and publishing of the content on the web, on a daily basis.</p></br><p>You can already start to contribute by sending messages to this list, by editing a pad or by sending requests or materials to Mélanie Pinet <pinet.melanie75@gmail.com> or Frédéric Sultan : fredericsultan@gmail.com.</p>y basis.</p> <p>You can already start to contribute by sending messages to this list, by editing a pad or by sending requests or materials to Mélanie Pinet <pinet.melanie75@gmail.com> or Frédéric Sultan : fredericsultan@gmail.com.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>A must read ! &<blockquote><p>A must read !</br></p></blockquote></br><p>PM Press has published the last book of Peter Linebaugh: <a href=" http://ift.tt/O62hZa ">Stop, Thief: The Commons, Enclosures, and Resistance</a>. </p></br><p> with chapters on Karl Marx, the Luddites, William Morris, Thomas Paine, indigenous peoples, is scheduled for March 1, but it is already available in ibook also … author of Magna Carta which can be found in the introduction of<a href="http://ift.tt/AmSWqc"> Libres Savoirs </a>.</p></br><p>Note that 2015 will be the 800th anniversary of the signing of the Magna Carta in Britain. It is a date to commemorate in 2015, while the same year will take place the COP 21 climate negotiations, the MDGs and probably, at the same time will happen the end of the negotiation of the transatlantic agreement (TAFTA). </p>and probably, at the same time will happen the end of the negotiation of the transatlantic agreement (TAFTA). </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>A must read ! &<blockquote><p>A must read !</br></p></blockquote></br><p>PM Press has published the last book of Peter Linebaugh: <a href=" http://ift.tt/O62hZa ">Stop, Thief: The Commons, Enclosures, and Resistance</a>. </p></br><p> with chapters on Karl Marx, the Luddites, William Morris, Thomas Paine, indigenous peoples, is scheduled for March 1, but it is already available in ibook also … author of Magna Carta which can be found in the introduction of<a href="http://ift.tt/AmSWqc"> Libres Savoirs </a>.</p></br><p>Note that 2015 will be the 800th anniversary of the signing of the Magna Carta in Britain. It is a date to commemorate in 2015, while the same year will take place the COP 21 climate negotiations, the MDGs and probably, at the same time will happen the end of the negotiation of the transatlantic agreement (TAFTA). </p>and probably, at the same time will happen the end of the negotiation of the transatlantic agreement (TAFTA). </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>A workshop <<blockquote><p>A workshop <a href="http://mappingthecommons.net/">mapping the commons</a> will take place at Rio (Brazil) from 18 to 26 of october 2013, coordinated by <a href="http://hackitectura.net/">Pablo de Soto</a> with the collaboration of <a href="http://www.bernardogutierrez.es/">Bernardo Gutiérrez</a> and the support of MediaLab (Madrid).</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/Nrtbi9gbuWw?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Mapping the commons was developed by Pablo Soto. This initiative aims to produce with inhabitants, activists in the place, living maps, consisting of short video documentaries and vidéoposts. The proposed approach takes the form of an intense multi-day workshop with communication students and activists to find the Commons, define and make them visible in the territory by producing media that form the map.</p></br><p>Pablo Soto initiated this approach around urban commons of <a href="http://mappingthecommons.net/map-of-istanbul-commons/">istanbul</a> and <a href = "http://mappingthecommons.net/map-of-athens-commons/"> Athens </ a>. See the work done about <a href="http://mappingthecommons.net/taksim-square/"> Taksim Square </a>, whose privatization was one of the starting points of protest in Turkey this year. The mapping is a strategic tool. To research of the urban commons is a process of mapping the space, that Pablo Soto understand « as proposed by Deleuze and Guattari, and used many artists and activists during the last decade, as a <a href="http://cartografiaciudadana.net/athenscommons/auto.php"> performance</a> which can be thinking, artistic work, or social change ».</p></br><p>On 20 March 2013, a wikisprint was performed in Barcelona using the same principles and methodology . Under the title  » Global P2P  » , it was to map Common practices and P2P in Latin America and southern Europe. See in English <a href=" http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/08/07/globalp2p-the-wind-that-shook-the-net/"> # GlobalP2P , the wind that shook the net </a>.</p></br><p>Rio next step Mapping the commons is one of the cities that comes from living like the rest of Brazil, an intense social and political mobilization against international festivities that tend to <a href= "http:// scinfolex.wordpress.com/?s=Olympic"> privatize public space </a>. Many consider these mobilizations, their claims and modes of organization fall within the paradigm of Commons. See analysis on the subject of Bernardo Gutierrez in <a href="http://blogs.20minutos.es/codigo-abierto/2013/05/23/globalp2p-el-viento-que-desordeno-las-redes/">el viento that desordeno las redes</a> and Alexandre Mendes in <a href ="http://uninomade.net/tenda/a-atualidade-de-uma-democracia-das-mobilizacoes-e-do-comum/"> A atualidade uma das democracia mobilizacoes do comum e</a>.</p></br><p>To go further , we recommand to read the article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop"> Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul </a> , Pablo De Soto, Daphne Dragona , Aslihan Şenel , Demitri Delinikolas José Pérez de Lama</p>lt;p>To go further , we recommand to read the article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop"> Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul </a> , Pablo De Soto, Daphne Dragona , Aslihan Şenel , Demitri Delinikolas José Pérez de Lama</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>A workshop <<blockquote><p>A workshop <a href="http://mappingthecommons.net/">mapping the commons</a> will take place at Rio (Brazil) from 18 to 26 of october 2013, coordinated by <a href="http://hackitectura.net/">Pablo de Soto</a> with the collaboration of <a href="http://www.bernardogutierrez.es/">Bernardo Gutiérrez</a> and the support of MediaLab (Madrid).</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/Nrtbi9gbuWw?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Mapping the commons was developed by Pablo Soto. This initiative aims to produce with inhabitants, activists in the place, living maps, consisting of short video documentaries and vidéoposts. The proposed approach takes the form of an intense multi-day workshop with communication students and activists to find the Commons, define and make them visible in the territory by producing media that form the map.</p></br><p>Pablo Soto initiated this approach around urban commons of <a href="http://mappingthecommons.net/map-of-istanbul-commons/">istanbul</a> and <a href = "http://mappingthecommons.net/map-of-athens-commons/"> Athens </ a>. See the work done about <a href="http://mappingthecommons.net/taksim-square/"> Taksim Square </a>, whose privatization was one of the starting points of protest in Turkey this year. The mapping is a strategic tool. To research of the urban commons is a process of mapping the space, that Pablo Soto understand « as proposed by Deleuze and Guattari, and used many artists and activists during the last decade, as a <a href="http://cartografiaciudadana.net/athenscommons/auto.php"> performance</a> which can be thinking, artistic work, or social change ».</p></br><p>On 20 March 2013, a wikisprint was performed in Barcelona using the same principles and methodology . Under the title  » Global P2P  » , it was to map Common practices and P2P in Latin America and southern Europe. See in English <a href=" http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/08/07/globalp2p-the-wind-that-shook-the-net/"> # GlobalP2P , the wind that shook the net </a>.</p></br><p>Rio next step Mapping the commons is one of the cities that comes from living like the rest of Brazil, an intense social and political mobilization against international festivities that tend to <a href= "http:// scinfolex.wordpress.com/?s=Olympic"> privatize public space </a>. Many consider these mobilizations, their claims and modes of organization fall within the paradigm of Commons. See analysis on the subject of Bernardo Gutierrez in <a href="http://blogs.20minutos.es/codigo-abierto/2013/05/23/globalp2p-el-viento-que-desordeno-las-redes/">el viento that desordeno las redes</a> and Alexandre Mendes in <a href ="http://uninomade.net/tenda/a-atualidade-de-uma-democracia-das-mobilizacoes-e-do-comum/"> A atualidade uma das democracia mobilizacoes do comum e</a>.</p></br><p>To go further , we recommand to read the article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop"> Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul </a> , Pablo De Soto, Daphne Dragona , Aslihan Şenel , Demitri Delinikolas José Pérez de Lama</p>lt;p>To go further , we recommand to read the article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop"> Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul </a> , Pablo De Soto, Daphne Dragona , Aslihan Şenel , Demitri Delinikolas José Pérez de Lama</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>An experience o<blockquote><p>An experience of self-management of computational infrastructure, that allows organizations to embed digital sovereignty into their thinking on transition and take action!</p></blockquote></br><p>Together with other individuals and organizations, and in collaboration with <a href="https://www.koumbit.org/">Koumbit</a>, Remix the commons is developing a collective response to the need for digital tools and infrastructures. The idea is to ensure full digital sovereignty over our work, exchanges and data in coherence with the vision set out in the Charter for Building a Data Commons for a Free, Fair and Sustainable Future.</p></br><p>After having tested with Koumbit, an independent and solidary hosting company in Montreal, our ability to set up and manage some tools based on open source and the commons on a shared server, we designed a cooperation system based on a model similar to that of AMAPs, which we call the « Konbit numerique », in reference to the konbit of Haitian farmers. <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Konbit">Konbit</a> numerique is a prototype of « computational commons » for commoners’ projects. It proposes a working infrastructure that makes it possible to gradually achieve the objectives of independence and sovereignty on information and communication technology.</p></br><p>Our Konbit numerique consists of a group of identified users and a server administrator, Koumbit cooperator. It is based on a 6 TB server hosted by Koumbit in Montreal (<a href="https://nuage.en-commun.net">https://nuage.en-commun.net)</a>, in which are installed the applications we need, tools based on open source and commons: file sharing, calendars, task management, online editing of text documents, table, email,… and most importantly for us a wiki farm. This is coverering a large part of the current digital uses of our organizations.</p></br><p>Users are involved in the governance, and as much as possible in maintenance. The work of the server administrator is handled by the collective through a monthly intervention time credit system. This includes, in addition to the time dedicated to server maintenance, time reserved for future technical developments that will be allocated according to the Konbit’s needs. The idea is therefore to jointly pre-finance a digital infrastructure dedicated to the collective. This infrastructure is not based on capitalist logic. It does not seek to make more profit in the perspective of extraction, but to satisfy the needs of the collective. It allows us to start a process to degoogling our digital practices.</p></br><p>Each person involved in the projects of the partners, stakeholders of this initiative, has access to this space and uses it within the framework of their activities in relation to the commons. Each partner can contribute to the life and development of the konbit by subscribing one or more shares of solidarity support (suggested amount: 15 € – 20 $CAD per month, or according to the budgets and needs of the projects), and according to the principle which aims to decouple use and trade (principle 3 of the Charter mentioned above). We have set ourselves the objective of gradually expanding the first collective to a balance between technical need/capacity and finance/governance. It is estimated that about 20 members would be an interesting size of the collective. Then other Konbits could be created and allow a federated type of operation.</p></br><p>The konbit numerique is not an open structure like a Chaton (online service open to all), or an alternative hoster, but an experience of self-management of computational infrastructure by its users. It is still a little early to draw lessons from this approach, but it is likely that this initiative allows organizations to embed digital sovereignty into their thinking on transition and take action. We hope that accompanying such processes could be a challenge of interest to free software activists.</p>hinking on transition and take action. We hope that accompanying such processes could be a challenge of interest to free software activists.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>As Alain Ambros<blockquote><p>As Alain Ambrosi wrote in 2012, « <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Le_bien_commun_est_sur_toutes_les_l%C3%A8vres" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Commons is on everyone’s lips</a>« 1. In order to make this notion known and to avoid its dilution in sometimes too vague speeches, the collective Remix the Commons endeavors to decipher the practices and to sketch out the semantic and conceptual field of the movement of the commons from the collection and analysis of the documents it produces. The development of this vocabulary, which uses the tools of the semantic web, makes it possible to link the initiatives of documentation and promotion of the commons without erasing what makes their identities unique. By doing that, the movement of the commons has a space for strategic collaboration.</p></blockquote></br><figure id="attachment_4643" aria-describedby="caption-attachment-4643" style="width: 1024px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-large wp-image-4643" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/alaina-buzas-Samburu-vocabulary--1024x681.jpg" alt="By Alaina Buzas " width="1024" height="681" /><figcaption id="caption-attachment-4643" class="wp-caption-text">By Alaina Buzas</figcaption></figure></br><p>It is in 2010 that Remix the Commons initiates a process of documentation of the commons. Initially, the collective has a simple web site to identify and report content, mostly video, accessible online. At the same time, an initial series of video interviews was conducted at an international meeting in Berlin (2010). Others will follow the rhythm of World Social Forums or local initiatives in France, Senegal, Quebec first, and then in many countries on different continents. It quickly becomes necessary to allow each person to search by using key words in this documentation.</p></br><h1>From key words to the commons vocabulary</h1></br><p>When cataloging media objects on the Remix the Commons wiki (more than 500 media objects now), we describe the content of each production according to four axes which helps to position it in the field of the commons: object or resource to be commonified, stakes, associated actions and expected results. To date, more than 400 « key concepts » have been identified from the corpus gathered on the site. After that, ech concept is a card that uses the information on the Remix the Commons wiki, but also data from other sources accessible by using linking techniques by wikis and the semantic web. From each record, the user accesses information from the main documentary collections associated with the commons (P2P Foundation, Transformap, Digital Library of the Commons) and the large reference databases DBpedia, Wikidata, VIAF And WorldCat. Each concept is accompanied by definitions in several languages, resources published around the world that illustrate the point or refer to practices.</p></br><p>This set of key concepts provides a vivid and moving description of the world from the point of view of the commons. This collection is freely accessible, usable by all and open to contribution. Although this work is still at an experimental stage, it opens up interesting perspectives in terms of research, the production and the dissemination of knowledge about the commons. Holes, gaps and nuances between sources of information, between languages and cultures can be identified, documented and discussed among the actors involved in the field of the commons.</p></br><p>The vocabulary of the commons highlighted can support the emerging practices and contribute to the enrichment of the contents in Wikipedia and Wikidata, for example. The associations and collectives that contribute to the documentation of the commons, have there a resource that allows them to collaborate on the production of informational commons on the commons.</p>te to the documentation of the commons, have there a resource that allows them to collaborate on the production of informational commons on the commons.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>Avec la mise en<blockquote><p>Avec la mise en ligne de 76 clips vidéo, totalisant environ 8 heures de visionnement, réalisée lors de la conférence internationale <em>Economic and the Commons</em> à Berlin, Remix Biens Communs propose deux nouveaux dossiers sur les communs et complète la collection des capsules vidéos sur les définitions des biens communs.</p></blockquote></br><p>Le premier dossier a pour sujet <a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYR3nlESkj73h8CLnDhh2kY">Économies et Communs</a>. Il est composé de 13 vidéos sous forme d’entrevues individuelles ou de tables rondes avec les intervenants et les animateurs de la conférence. Ces conversations complètent et approfondissent les sujets abordés lors de la conférence : Terre et Nature, Travail, Connaissance, Culture et Sciences en Communs, Monnaie, Marché, Valeur et Communs et Infrastructures pour les communs. Leur durée varie entre 5 et 35 minutes et totalisent 5 heures de visionnement.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYA3AHFtDOUCQCcCvEzkn-S">Un agenda pour les Communs</a> comprend 11 vidéos qui explorent les enjeux des communs autour des thèmes comme l’éducation et la culture des communs, la recherche, la dimension politique et le rapport à l’État. Leur durée totale est de 3 heures et 10 minutes.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkatF08AS-5t1PJSU35khJ3S">Define/définir/definir les Communs</a> comprend 53 nouvelles brèves vidéos répondant à la question : « si vous aviez à définir les Communs en une phrase, quelle serait-elle? ». La plupart de ces entrevues sont en anglais, mais 28 sont aussi dans la langue originale du participant. La série de vidéos Define/définir/definir les Communs avait été inaugurée durant la conférence de Berlin de novembre 2010 et s’est enrichie au cours de différentes rencontres internationales de mouvement sociaux à travers le monde. La série compte maintenant 100 clips.</p></br><p>Les 76 clips vidéo produits à l’occasion de la conférence de Berlin totalisent environ 8 heures de visionnement. Ils se veulent une contribution à la documentation de la conférence et viennent ainsi en complément à l’excellent<a href="http://www.boell.de/sites/default/files/ecc_report_final.pdf">rapport réalisé par David Bollier</a> et aux <a href="http://commonsandeconomics.org">sites de la conférence</a> de la Fondation Henrich Boell.</p></br><p>L’inscription de tous les clips dans le catalogue Remix The Commons facilite la consultation et la recherche dans cette collection, par exemple par sujet, intervenant, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.</p></br><p>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</p>, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.</p> <p>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Avec la mise en<blockquote><p>Avec la mise en ligne de 76 clips vidéo, totalisant environ 8 heures de visionnement, réalisée lors de la conférence internationale <em>Economic and the Commons</em> à Berlin, Remix Biens Communs propose deux nouveaux dossiers sur les communs et complète la collection des capsules vidéos sur les définitions des biens communs.</p></blockquote></br><p>Le premier dossier a pour sujet <a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYR3nlESkj73h8CLnDhh2kY">Économies et Communs</a>. Il est composé de 13 vidéos sous forme d’entrevues individuelles ou de tables rondes avec les intervenants et les animateurs de la conférence. Ces conversations complètent et approfondissent les sujets abordés lors de la conférence : Terre et Nature, Travail, Connaissance, Culture et Sciences en Communs, Monnaie, Marché, Valeur et Communs et Infrastructures pour les communs. Leur durée varie entre 5 et 35 minutes et totalisent 5 heures de visionnement.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYA3AHFtDOUCQCcCvEzkn-S">Un agenda pour les Communs</a> comprend 11 vidéos qui explorent les enjeux des communs autour des thèmes comme l’éducation et la culture des communs, la recherche, la dimension politique et le rapport à l’État. Leur durée totale est de 3 heures et 10 minutes.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkatF08AS-5t1PJSU35khJ3S">Define/définir/definir les Communs</a> comprend 53 nouvelles brèves vidéos répondant à la question : « si vous aviez à définir les Communs en une phrase, quelle serait-elle? ». La plupart de ces entrevues sont en anglais, mais 28 sont aussi dans la langue originale du participant. La série de vidéos Define/définir/definir les Communs avait été inaugurée durant la conférence de Berlin de novembre 2010 et s’est enrichie au cours de différentes rencontres internationales de mouvement sociaux à travers le monde. La série compte maintenant 100 clips.</p></br><p>Les 76 clips vidéo produits à l’occasion de la conférence de Berlin totalisent environ 8 heures de visionnement. Ils se veulent une contribution à la documentation de la conférence et viennent ainsi en complément à l’excellent<a href="http://www.boell.de/sites/default/files/ecc_report_final.pdf">rapport réalisé par David Bollier</a> et aux <a href="http://commonsandeconomics.org">sites de la conférence</a> de la Fondation Henrich Boell.</p></br><p>L’inscription de tous les clips dans le catalogue Remix The Commons facilite la consultation et la recherche dans cette collection, par exemple par sujet, intervenant, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.</p></br><p>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</p>, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.</p> <p>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>By posting the <blockquote><p>By posting the 76 clips of the video interviews totalling 8 hours run time, produced at the Berlin <em>Economics and the Commons conference</em>, Remix the Commons initiates two new series on the Commons while adding to the already existing series on the definitions of the Commons.</p></blockquote></br><p>The first series named <a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYR3nlESkj73h8CLnDhh2kY">Economics and the Commons </a>includes 13 video individual interviews and round table discussions facilitated by us or the event organisers. The themes chosen reflect the conference streams on topics like: Natural commons management; Working and Caring; Knowledge,Culture and Science; Money, Market and Value; Infrastructures. Their duration varies between 5 and 35 minutes and the series totals 5 hours run time.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYA3AHFtDOUCQCcCvEzkn-S">An Agenda for the Commons</a> includes 11 videos covering themes such as education and the culture of the Commons, research, the political dimension and the relationship to the State.They total 3 hours and 10 minutes.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkatF08AS-5t1PJSU35khJ3S">Define/définir/definir the Commons</a> is composed of 53 short interviews responding to the question : « If you had to define the Commons in one sentence, what would it be?” Most of the interviews are in English, but 28 of them are in the original language of the participant. This series was begun at the 2010 Berlin conference and has been enriched during several international meetings of different social movements around the world since then. The series counts more than a hundred clips now.</p></br><p>The 76 clips of the video interviews done at the ECC in Berlin totals around 8 hours run time. Their aim is to contribute to documenting the conference, and they should thus be seen as a complement to the <a href="http://www.boell.de/sites/default/files/ecc_report_final.pdf">excellent report</a> by David Bollier and the <a href="http://commonsandeconomics.org">websites</a> prepared by the Heinrich Boell Foundation</p></br><p>All the clips have been catalogued on the Remix The Commons platform allowing for consultation, research by topics, contributors, language. Each entry allows also an access to the rushes for potential new uses and remix.</p></br><p>Alain Ambrosi and Frédéric Sultan</p>wing for consultation, research by topics, contributors, language. Each entry allows also an access to the rushes for potential new uses and remix.</p> <p>Alain Ambrosi and Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>By posting the <blockquote><p>By posting the 76 clips of the video interviews totalling 8 hours run time, produced at the Berlin <em>Economics and the Commons conference</em>, Remix the Commons initiates two new series on the Commons while adding to the already existing series on the definitions of the Commons.</p></blockquote></br><p>The first series named <a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYR3nlESkj73h8CLnDhh2kY">Economics and the Commons </a>includes 13 video individual interviews and round table discussions facilitated by us or the event organisers. The themes chosen reflect the conference streams on topics like: Natural commons management; Working and Caring; Knowledge,Culture and Science; Money, Market and Value; Infrastructures. Their duration varies between 5 and 35 minutes and the series totals 5 hours run time.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYA3AHFtDOUCQCcCvEzkn-S">An Agenda for the Commons</a> includes 11 videos covering themes such as education and the culture of the Commons, research, the political dimension and the relationship to the State.They total 3 hours and 10 minutes.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkatF08AS-5t1PJSU35khJ3S">Define/définir/definir the Commons</a> is composed of 53 short interviews responding to the question : « If you had to define the Commons in one sentence, what would it be?” Most of the interviews are in English, but 28 of them are in the original language of the participant. This series was begun at the 2010 Berlin conference and has been enriched during several international meetings of different social movements around the world since then. The series counts more than a hundred clips now.</p></br><p>The 76 clips of the video interviews done at the ECC in Berlin totals around 8 hours run time. Their aim is to contribute to documenting the conference, and they should thus be seen as a complement to the <a href="http://www.boell.de/sites/default/files/ecc_report_final.pdf">excellent report</a> by David Bollier and the <a href="http://commonsandeconomics.org">websites</a> prepared by the Heinrich Boell Foundation</p></br><p>All the clips have been catalogued on the Remix The Commons platform allowing for consultation, research by topics, contributors, language. Each entry allows also an access to the rushes for potential new uses and remix.</p></br><p>Alain Ambrosi and Frédéric Sultan</p>wing for consultation, research by topics, contributors, language. Each entry allows also an access to the rushes for potential new uses and remix.</p> <p>Alain Ambrosi and Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Comme l’écrivai<blockquote><p>Comme l’écrivait Alain Ambrosi en 2012, « <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Le_bien_commun_est_sur_toutes_les_l%C3%A8vres" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Le bien commun est sur toutes les lèvres</a> ». Pour faire connaître cette notion, et aussi éviter sa dilution dans des discours parfois trop flous, le collectif Remix the Commons s’attache à décrypter les pratiques et à esquisser les contours du champ sémantique et conceptuel du mouvement des communs à partir de la collecte et de l’analyse des documents qu’il produit. L’élaboration de ce vocabulaire, qui utilise les outils du web sémantique, permet de relier entre elles les initiatives de documentation et de promotion des communs sans gommer ce qui fait leurs identités propres. Ce faisant, le mouvement des communs se dote d’un espace de collaboration stratégique.</p></blockquote></br><figure id="attachment_4643" aria-describedby="caption-attachment-4643" style="width: 1024px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-large wp-image-4643" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/alaina-buzas-Samburu-vocabulary--1024x681.jpg" alt="By Alaina Buzas " width="1024" height="681" /><figcaption id="caption-attachment-4643" class="wp-caption-text">By Alaina Buzas</figcaption></figure></br><p>C’est en 2010 que Remix the Commons initie une démarche de documentation des communs. Au départ, le collectif s’est doté d’un simple site web pour identifier et signaler des contenus, vidéo pour la plupart, accessibles en ligne. Parallèlement une première série d’interviews vidéos est réalisée à l’occasion d’une rencontre internationale à Berlin (2010). D’autres suivront au rythme des forums sociaux mondiaux ou d’initiatives locales en France, au Sénégal, au Québec d’abord, puis dans de nombreux pays sur plusieurs continents. Rapidement, il devient nécessaire de permettre à chacun de faire des recherches à partir de mots clefs dans cette documentation.</p></br><h1>Des mots clefs au vocabulaire des communs</h1></br><p>Lors du catalogage d’objets médias sur le wiki de Remix the Commons (plus de 500 objets médias), nous décrivons le contenu de chaque production selon quatre axes qui aide à la positionner dans le champ d’action des communs : objet/ressource du commun, enjeux associés, actions et résultats attendus. Jusqu’à ce jour, plus de 400 « concepts clés » ont été identifiés à partir du corpus réuni sur le site. À leur tour, les concepts fontt l’objet de fiches qui utilisent les informations présentes sur le wiki de Remix the Commons, mais aussi celles en provenance d’autres sources d’information, en recourant pour ce faire aux techniques de liaison de données offertes par les wikis et le web sémantique. À partir de chaque fiche, l’utilisateur accède à l’information en provenance des principales collections documentaires associées aux Communs (P2P Foundation, Transformap, Digital Library of the Commons) et des grandes bases de données de référence que sont DBpedia, Wikidata, VIAF et WorldCat. Chaque concept est assorti de définitions dans plusieurs langues, de ressources publiées à travers le monde entier qui illustrent le propos ou renvoient vers des pratiques.</p></br><p>Cet ensemble de concepts clefs fournit une description vivante et mouvante du monde du point de vue des communs. Cette collection est librement accessible, utilisable par tous et ouverte à la contribution. Bien que ce travail en soit encore à une étape d’expérimentation, il ouvre sur des perspectives intéressantes tant sur le plan de la recherche, de la production de la connaissance que sur celui de la diffusion des savoirs sur les communs. Les trous, les écarts et les nuances entre les sources d’information, entre les langues et les cultures peuvent être identifiés, documentés et discutés entre les acteurs engagés sur le terrain des communs.</p></br><p>Le vocabulaire des communs ainsi mis en évidence peut appuyer les pratiques et contribuer à l’enrichissement des contenus dans Wikipedia et Wikidata, par exemple. Les associations et les collectifs qui contribuent à la documentation des communs, disposent ainsi d’une ressource qui leur permet de collaborer autour de la production de communs informationnels.</p>r permet de collaborer autour de la production de communs informationnels.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>From the 15th-1<blockquote><p>From the 15th-17th of November 2016 a European Commons Assembly will take place in Brussels. The commoners will convene, discuss, showcase, and reclaim Europe. On the afternoon of the 16th, around 150 will partcipate in a meeting in the European Parliament, organized in cooperation with the EP intergroup on Common Goods and Public Services (Led by Marisa Matias, Dario Tamburrano, Ernesto Urtasun, Sergio Cofferati). A variety of other events (and local assemblies) will take place outside Parliament, both in Brussels and across Europe.</br></p></blockquote></br><p><H1>Networking, unity and policy around the commons paradigm </H1></p></br><p>On September 26, a group of nonprofits, foundations, and other civil society organizations jointly publish a “Call for a European Commons Assembly” (https://europeancommonsassembly.eu/#section1). The collectively drafted document, which continues to garner signatures from groups and individuals around Europe, serves as a declaration of purpose for a distributed network of “commoners.”<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2016/09/ECA-300x212.jpg" alt="eca" width="900" height="636" class="aligncenter size-medium wp-image-4561" /><br /></br>Author: TILL GENTZSCH</p></br><p>The Assembly seeks to unite citizens in trans-local and trans-european solidarity to overcome Europe’s current challenges and reinvigorate the political process for the 21st century. The commons can be understood as a bridging paradigm that stresses cooperation in management of resources, knowledge, tools, and spaces as diverse as water, Wikipedia, a crowdfund, or a community garden. Their Call describes commoning as:</p></br><ul></br>…the network-based cooperation and localized bottom-up initiatives already sustained by millions of people around Europe and the world. These initiatives create self-managed systems that satisfy important needs, and often work outside of dominant markets and traditional state programmes while pioneering new hybrid structures.</ul></br><p> The Assembly emerged in May from a diverse, gender balanced pilot community of 28 activists from 15 European countries, working in different domains of the commons. New people are joining the Assembly every week, and ECA is inclusive and open for others to join, so that a broad and resilient European movement can coalesce. It seeks to visibilize acts of commoning by citizens for citizens, while promoting interaction with policy and institutions at both the national and European levels. </p></br><p><H1>Part of a broader movement</H1><br /></br>The rapid embrace of commons as an alternative holistic, sustainable and social worldview is in part an expression of unease with the unjust current economic system and democratic deficiencies. The commons movement has exploded in recent years, following the award of the Nobel Prize in Economics to Elinor Ostrom in 2009 for her work on managing common resources. It has also seen overlap with other movements, such as the Social and Solidarity and Sharing Economy movements, peer to peer production, and Degrowth.</p></br><p>Michel Bauwens, part of the ECA who is also a prominent figure in the peer-to-peer movement, explains: <em>All over the world, a new social movement is emerging, which is challenging the ‘extractive’ premises of the mainstream political economy and which is co-constructing the seed forms of a sustainable and solidary society. Commoners are also getting a voice, for example through the Assemblies of the Commons that are emerging in French cities and elsewhere. The time is ripe for a shoutout to the political world, through a European Assembly of the Commons.</em></p></br><p>The Call includes an open invitation to Brussels from November 15 to 17, 2016 for three days of activities and shared reflection on how to protect and promote the commons. It will include an official session in the European Parliament, hosted by the Intergroup on Common Goods and Public Services, on November 16 (limited capacity). </p></br><p>You can read and sign the full text of the Call, also available in French, Spanish, and soon other European languages, on the <a href="http://europeancommonsassembly.eu">ECA website</a>. There is an <a href="http://europeancommonsassembly.eu/sign-call/">option to sign</a> as an individual or an organization.</p></br><p>For more information, visit <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/ </a> or follow @CommonsAssembly on Twitter for regular updates.</p></br><p><strong>Media Contact: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu<br /></br></strong><br /></br>Keywords: Commons, European, Citizens, Parliament, Participatory Democracy, Civil Society</p>/ </a> or follow @CommonsAssembly on Twitter for regular updates.</p> <p><strong>Media Contact: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu<br /> </strong><br /> Keywords: Commons, European, Citizens, Parliament, Participatory Democracy, Civil Society</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Interview Joan <blockquote><p>Interview Joan Subirats(1) by Alain Ambrosi May 2018</p></blockquote></br><figure style="width: 700px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="700" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>vals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Italiano sotto&<blockquote><p>Italiano sotto</p></blockquote></br><p><strong>International Festival of the Commons, Chieri, Italia, Sunday July 12, from 12:00 to 18:00.</strong><br /></br>Room : Sala conferenze della biblioteca</p></br><p>Reclaim, protect and create commons in our neighborhoods and in our cities, urban commons, effective and contributes to the daily production of human and social rights.</p></br><p>In practice, these struggles take many forms. All are facing the need for the creation and use of original legal instruments to manage shared resources in common, to meet a specific need within a community. Each of these legal creations is unique. It corresponds to a specific context, vision, and culture. It provides information on the inventiveness and creative imagination of commoners and on their relationship with the State at the local, national or even international scale.</p></br><p>Knowledge of these legal experiences enriches those of other commoners. Analysis of the practices that have produced or inspired them, is a potential factor of development and multiplication of the commons. As part of the Festival of commons of Chieri, we offer a workshop to develop collaboratively a tool for the analysis of the legal instruments, statutes, charters and regulations for the commons. This tool, the Atlas of charters of the urban commons, will be used to know the nature, understand the operation, effects and the conditions of development, of legal instruments in favor of the commons. This will be an operational and critical resource for exchanges and collaborations between commoners engaged in collective claim of urban commons within various initiatives, from different cultural contexts and rights local and national.</p></br><p>The workshop will be organized in two separate times at which you can participate independently:</p></br><p><strong>From 12:00 to 15:00:</strong><br /></br>• The first workshop will take the stock and share all the approaches and experiences working with legal instruments for urban commons in order to facilitate cooperation between activists, initiatives and organizations already involved;</p></br><p><strong>From 15:00 to 18:00:</strong><br /></br>• The second time will be based on practice by analysing legal instruments, statutes, deliberation, regulations and charters of urban commons with a first matrix that will be used for the Atlas of charters of urban commons. The objective will be to achieve a first iteration with this matrix in order to improve it. It will also develop one or more possible use of this tool for identified needs.</p></br><p>Both workshops will be led by: Alain Ambrosi, Irene Favero, Daniela Festa, Frédéric Sultan</p></br><p><strong>Registration recommended to help the organization of the workshop :</strong> <a href=" http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p></br><p><strong>Contact : </strong><br /></br><a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /></br><a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /></br><a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /></br><a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p></br><blockquote><p>ITALIANO</p></blockquote></br><h2>WORKSHOP: Creazione di un Atlante degli statuti dei Commons Urbani</h2></br><p><strong>Festival Internazionale dei Beni Comuni, Domenica 12 luglio dalle 12:00 alle 18:00.</strong><br /></br>Sala conferenze della biblioteca</p></br><p>Rivendicare, proteggere e creare commons nei nostri quartieri e nelle le nostre città contribuisce all’attuazione effettiva e quotidiana di diritti fondamentali e di diritti sociali.</p></br><p>Nella pratica, le lotte per i beni comuni urbani possono assumere forme eterogenee. Tutte si trovano confrontate, tuttavia, alla necessità di usare o creare regole e strumenti giuridici che permettano di governare risorse condivise per rispondere a esigenze specifiche di un comunità. Tali strumenti hanno caratteri propri. Corrispondono a determinati contesti e visioni e sono espressioni di determinate culture. Forniscono informazioni sull’inventività e l’immaginazione creativa dei commoners e la relazione che questi hanno con lo Stato a livello locale, nazionale, internazionale.</p></br><p>La conoscenza di queste esperienze giuridiche può arricchire gli altri commoners. L’analisi delle pratiche che le hanno prodotte o ispirate è un potenziale fattore di sviluppo e moltiplicazione dei commons. Nel contesto del Festival dei beni comune di Chieri, proponiamo un workshop per elaborare collettivamente uno strumento di analisi di statuti, dichiarazioni e regolamenti che si sono prodotti a partire dai beni comuni. Questo strumento, “Atlante degli statuti dei commons urbani”, servirà a comprenderne la natura, analizzarne il funzionamento e gli effetti e individuare le condizioni e le premesse per lo sviluppo di strumenti giuridici che possano favorire i commons. Sarà una risorsa critica e operativa per gli scambi e la cooperazione tra i collettivi di commoners impegnati nella rivendicazione dei diversi beni comuni urbani situati in diversi contesti culturali e giuridici.</p></br><p>Il workshop sarà organizzato in due momenti diversi ai quali è possibile partecipare in modo indipendente:</p></br><p><strong>Delle 12:00 alle 15:00:</strong><br /></br>– Il primo workshop si propone di individuare e condividere le pratiche e le esperienze ascrivibili alle rivendicazioni di urban commons per facilitare la cooperazione tra attivisti, esperienze e realtà presenti;</p></br><p><strong>Delle 15:00 alle 18:00:</strong><br /></br>– Il seconda workshop consentirà di sperimentare l’analisi dei diversi strumenti giuridici elaborati: statuti, regolamenti, delibere, linee guida a partire da una prima griglia di lettura che servirà da matrice per L’Atlante degli statuti dei commons urbani.</p></br><p>L’obiettivo è quello di realizzare una prima sperimentazione della griglia d’analisi per correggerla e migliorarla e di proporre uno o più scenari di utilizzo dello strumento corrispondente alle necessità emerse durante l’insieme dei lavori.</p></br><p>Entrambi i laboratori saranno condotti da: Alain Ambrosi, Irene Favero, Daniela Festa, Frédéric Sultan</p></br><p><strong>Registrazione raccomanda di facilitare lo svolgimento del workshop :</strong> <a href=" http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p></br><p><strong>Contact : </strong><br /></br><a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /></br><a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /></br><a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /></br><a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p> Daniela Festa, Frédéric Sultan</p> <p><strong>Registrazione raccomanda di facilitare lo svolgimento del workshop :</strong> <a href=" http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p> <p><strong>Contact : </strong><br /> <a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /> <a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /> <a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /> <a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>L’Assemblée Eur<blockquote><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) est un <a href="http://europeancommonsassembly.eu">réseau de personnes engagées dans les communs</a> sur le terrain en Europe. Ce réseau s’est donné rendez-vous au Medialab Prado, Madrid du 25 au 27 octobre prochain. Cette rencontre se déroule en parallèle du Festival Transeuropa, lui-même une vaste réunion autour des alternatives politiques, sociales et environnementales. L’appel à participer est ouvert jusqu’au 4 août. [voir ici le <a href="https://goo.gl/forms/9vID21eSIojQsffk1">formulaire d’inscription</a>] </p></blockquote></br><p><a data-flickr-embed="true" data-footer="true" href="https://www.flickr.com/photos/medialab-prado/28100107155/" title="18.05.16 Taller"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://farm8.staticflickr.com/7379/28100107155_1659853c90_c.jpg" width="800" height="500" alt="18.05.16 Taller"></a><script async src="//embedr.flickr.com/assets/client-code.js" charset="utf-8"></script></p></br><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) a été lancée en novembre 2016 lors du <a href="https://europeancommonsassembly.eu/process/">premier événement public</a> sur les communs qui s’est déroulé au Parlement Européen et au centre social Zinneke à Bruxelles, en Belgique. Cette réunion a rassemblé plus de 150 commoners européens pour faire valoir la nécessité de politiques publiques pour les communs en Europe et développer les réseaux pour inscrire cette démarche dans la durée. </p></br><p>La rencontre de Madrid se structure autour d’ateliers thématiques sur les communs urbains, d’une rencontre avec les acteurs politiques de madrilènes et d’autres villes espagnoles, et de temps de délibération sur le futur de ECA à l’horizon 2018/2019. </p></br><p>Les ateliers thématiques, au coeur du processus de cette rencontre, permettront, à partir des échanges avec les initiatives madrilènes et espagnoles, d’expérimenter et de proto-typer les outils utiles au développement des communs urbains en Europe. Les premiers participants inscrits ont proposés de travailler sur dans thèmes tels que : Espace public, Migrations et réfugiés, Participation citoyenne à la politique urbaine, Culture, Aliments, Logement, Santé, Devise et financement pour les communs, Lois et mécanismes juridiques pour protéger les communs, Technologie pour la citoyenneté. Vous pouvez également proposer un thème qui ne figure pas déjà dans cette liste. Un processus d’agglutination permettra de définir la liste définitive des ateliers dans la limite de 8 atleirs. Pour cela remplissez le formulaire et proposez l’organisation d’un atelier spécifique et / ou de participer à l’un des ateliers déjà identifié qui vous intéresse.</p></br><p>Chaque atelier sera l’occasion de collaborations entre une ou plusieurs initiatives communautaires locales espagnoles et d’autres venant d’ailleurs en Europe engagées sur le thème de l’atelier. Ces ateliers seront conçus pour permettre le partage et l’exploration des connaissances et des stratégies fruits de ces expériences. À cette fin, l’équipe de coordination de ECA à Madrid organisera plusieurs vidéoconférences pour relier les différentes initiatives et co-concevoir les contenus de l’atelier avant la rencontre avec les participants. La méthodologie de facilitation sera aussi conçue pour inclure les participants dans la démarche structuration de la documentation des travaux collectifs afin de ressortir de la rencontre avec une boite à outils partagée sur les communs urbains. </p></br><p>Coté logistique, lorsque vous remplissez le formulaire, vous pouvez indiquer si vous avez besoin de faire couvrir vos frais de déplacement et / ou d’hébergement par l’organisation (dans le cas où il n’est pas possible de couvrir ces dépenses d’une autre manière). </p></br><p>Pour plus d’informations, contactez nicole.leonard [at] sciencespo.fr ou bien retrouvez plus d’informations sur le<a href="https://europeancommonsassembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>assembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Last 6, 7 and 8<blockquote><p>Last 6, 7 and 8 of November, the Art of commoning, an event the community Art of Hosting Montreal, saw 70 people come together to explore the commons and commoning, and develop a culture from the posture of commoner. The first two days were held in the beautiful local gardens Space for Life (Espace pour la vie) partner of the event. The third day, the participants were divided in different places (Tiers lieux) with commons projects throughout the city of Montreal.</p></br><p>David Bollier who participated with Silke Hefrich, Alain Ambrosi and myself, made a <a href="http://bollier.org/blog/art-commoning"> review of the meeting on his blog </a>. For more information you can look at the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2014/11/lart-de-len-commun/">full article</a> (in French only)</p></blockquote></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-large wp-image-4035" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-1024x576.jpg" alt="20141107_162027" width="1024" height="576" /></a></p>g/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-1024x576.jpg" alt="20141107_162027" width="1024" height="576" /></a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Le 12 octobre, <blockquote><p>Le 12 octobre, profitant de la <a href="http://villes.bienscommuns.org/evenement/qdxuznugt0p/view">rencontre ouverte parisienne</a>, une quinzaine de personnes, designers en formation et chercheurs se retrouvent autour de l’expérimentation simultanée de diverses formes de sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités, de leur définition à travers la mobilisation de ressources multimédia, elles aussi variées, et de mises en forme et éditorialisation de ces éléments.</br></p></blockquote></br><figure id="attachment_2901" aria-describedby="caption-attachment-2901" style="width: 450px" class="wp-caption alignnone"><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/wordl-mots-enjeux-RBC.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/wordl-mots-enjeux-RBC.jpg" alt="graph réalisé à partir des mots clefs enjeux de Remix Biens communs et initialement publié sur le site de Savoircom1" width="450" height="281" class="size-full wp-image-2901" /></a><figcaption id="caption-attachment-2901" class="wp-caption-text">graph réalisé à partir des mots clefs enjeux de Remix Biens communs et initialement publié sur le site de Savoircom1</figcaption></figure></br><p>A l’occasion de la<a href="http://villes.bienscommuns.org/evenement/qdxuznugt0p/view"> rencontre ouverte sur les biens communs</a> organisée par les collectifs porteurs de Paname en Biens Communs, sera conduite une expérience qui participe de l’élaboration d’un glossaire multimédia des biens communs. L’idée, l’envie de glossaire des biens communs est dans l’air du temps. Elle répond à un besoin qui s’est exprimée à travers diverses démarches. En avril dernier, le collectif Savoirscom1 à élaboré une première liste de termes à mieux définir tirés de son appel. Avec Remix The Commons, nous travaillons depuis le printemps sur l’organisation des documents à travers des « mots clefs enjeux des communs », qui doivent être définis en complément de la <a href="http://surface.syr.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1023&context=sul">cartographie des nouveaux communs de C. Hess</a>. De plus, chacun s’accorde sur la nécessité d’enrichir les définitions en français des termes en rapport avec les biens communs dans wikipédia et un <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet</a> vient d’être lancé dans ce sens qui sera nourrit par un atelier qui se déroulera le 15 octobre à Paris. Enfin, d’autres initiatives émergent s’inspirant du <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a> et de l’exploration du design des formes de communication et collaboration numériques par et autour de Knowtex et l’IRI. Ces initiatives se rejoignent et profitent du tempo de Panam en biens communs.<br /></br>A ce stade, le glossaire des biens communs est perçu comme une sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités. La liste des termes d’un glossaire des biens communs n’est pas figée. La définition fait appel à l’usage de documents multimédia choisis, organisés selon différents formats avec au premier rang celui désormais classique de wikipédia. Ces démarches de publication sont participatives et explorent des scénarii d’expérience utilisateur. A ce stade, il s’agit d’explorer diverses voies et de tirer les leçons de l’expérience plus que produire en direct un produit fini.<br /></br>L’élaboration des premières listes de termes met en évidence la tension entre la problématique de la définition et celle de l’éditorialisation qui sou-tendent des projets plus ou moins explicites. Un premier croisement des termes utilisés dans le manifeste savoircom1 avec ceux de Remix the commons donne par exemple la mind map suivante réalisée avec Pierre-Carl Langlais.<br /></br><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/Biens-communs-wikipédia-20130930-e1381355634741.jpeg"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/Biens-communs-wikipédia-20130930-e1381355634741.jpeg" alt="Biens communs wikipédia 20130930" width="600" height="388" class="alignnone size-full wp-image-2903" /></a><br /></br>Le 12 octobre, l’expérience est décomposée en 3 processus. Un groupe se consacre à identifier des éléments (termes pertinents et contenus, supports, objets contribuant à les définir) en vue de les recomposer à travers un dispositif développé par le collectif Encyclopetrie (à l’initiative du <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a>. Un autre groupe, piloté par les porteurs du<a href="http://livemapping.fr/"> projet mind-mapping</a> fera un travail de cartographie dans le but de mettre en évidence les liens entre les termes du vocabulaire utilisé dans les conversations. Enfin un denier groupe de travail conduira des interviews audio autour de termes en lien avec les communs et de leurs définitions (inspiré de <a href="http://notesondesign.org/biens-communs-10-definitions-partie-2/">la démarche de Sylvia Fredricksson</a>. Cette démarche n’a pas vocation à interférer avec le déroulement ou rendre compte de manière exhaustive de la rencontre. Elle propose des formes complémentaires de lecture de l’événement.<br /></br>Le 15 octobre, l’atelier wikipédia apportera une approche complémentaire avant que les premières leçons ne soient tirées de l’expérience.</p></br><p>F. Sultan</p>es leçons ne soient tirées de l’expérience.</p> <p>F. Sultan</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>Le 12 octobre, <blockquote><p>Le 12 octobre, profitant de la <a href="http://villes.bienscommuns.org/evenement/qdxuznugt0p/view">rencontre ouverte parisienne</a>, une quinzaine de personnes, designers en formation et chercheurs se retrouvent autour de l’expérimentation simultanée de diverses formes de sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités, de leur définition à travers la mobilisation de ressources multimédia, elles aussi variées, et de mises en forme et éditorialisation de ces éléments.</br></p></blockquote></br><figure id="attachment_2901" aria-describedby="caption-attachment-2901" style="width: 450px" class="wp-caption alignnone"><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/wordl-mots-enjeux-RBC.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/wordl-mots-enjeux-RBC.jpg" alt="graph réalisé à partir des mots clefs enjeux de Remix Biens communs et initialement publié sur le site de Savoircom1" width="450" height="281" class="size-full wp-image-2901" /></a><figcaption id="caption-attachment-2901" class="wp-caption-text">graph réalisé à partir des mots clefs enjeux de Remix Biens communs et initialement publié sur le site de Savoircom1</figcaption></figure></br><p>A l’occasion de la<a href="http://villes.bienscommuns.org/evenement/qdxuznugt0p/view"> rencontre ouverte sur les biens communs</a> organisée par les collectifs porteurs de Paname en Biens Communs, sera conduite une expérience qui participe de l’élaboration d’un glossaire multimédia des biens communs. L’idée, l’envie de glossaire des biens communs est dans l’air du temps. Elle répond à un besoin qui s’est exprimée à travers diverses démarches. En avril dernier, le collectif Savoirscom1 à élaboré une première liste de termes à mieux définir tirés de son appel. Avec Remix The Commons, nous travaillons depuis le printemps sur l’organisation des documents à travers des « mots clefs enjeux des communs », qui doivent être définis en complément de la <a href="http://surface.syr.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1023&context=sul">cartographie des nouveaux communs de C. Hess</a>. De plus, chacun s’accorde sur la nécessité d’enrichir les définitions en français des termes en rapport avec les biens communs dans wikipédia et un <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet</a> vient d’être lancé dans ce sens qui sera nourrit par un atelier qui se déroulera le 15 octobre à Paris. Enfin, d’autres initiatives émergent s’inspirant du <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a> et de l’exploration du design des formes de communication et collaboration numériques par et autour de Knowtex et l’IRI. Ces initiatives se rejoignent et profitent du tempo de Panam en biens communs.<br /></br>A ce stade, le glossaire des biens communs est perçu comme une sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités. La liste des termes d’un glossaire des biens communs n’est pas figée. La définition fait appel à l’usage de documents multimédia choisis, organisés selon différents formats avec au premier rang celui désormais classique de wikipédia. Ces démarches de publication sont participatives et explorent des scénarii d’expérience utilisateur. A ce stade, il s’agit d’explorer diverses voies et de tirer les leçons de l’expérience plus que produire en direct un produit fini.<br /></br>L’élaboration des premières listes de termes met en évidence la tension entre la problématique de la définition et celle de l’éditorialisation qui sou-tendent des projets plus ou moins explicites. Un premier croisement des termes utilisés dans le manifeste savoircom1 avec ceux de Remix the commons donne par exemple la mind map suivante réalisée avec Pierre-Carl Langlais.<br /></br><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/Biens-communs-wikipédia-20130930-e1381355634741.jpeg"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/Biens-communs-wikipédia-20130930-e1381355634741.jpeg" alt="Biens communs wikipédia 20130930" width="600" height="388" class="alignnone size-full wp-image-2903" /></a><br /></br>Le 12 octobre, l’expérience est décomposée en 3 processus. Un groupe se consacre à identifier des éléments (termes pertinents et contenus, supports, objets contribuant à les définir) en vue de les recomposer à travers un dispositif développé par le collectif Encyclopetrie (à l’initiative du <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a>. Un autre groupe, piloté par les porteurs du<a href="http://livemapping.fr/"> projet mind-mapping</a> fera un travail de cartographie dans le but de mettre en évidence les liens entre les termes du vocabulaire utilisé dans les conversations. Enfin un denier groupe de travail conduira des interviews audio autour de termes en lien avec les communs et de leurs définitions (inspiré de <a href="http://notesondesign.org/biens-communs-10-definitions-partie-2/">la démarche de Sylvia Fredricksson</a>. Cette démarche n’a pas vocation à interférer avec le déroulement ou rendre compte de manière exhaustive de la rencontre. Elle propose des formes complémentaires de lecture de l’événement.<br /></br>Le 15 octobre, l’atelier wikipédia apportera une approche complémentaire avant que les premières leçons ne soient tirées de l’expérience.</p></br><p>F. Sultan</p>es leçons ne soient tirées de l’expérience.</p> <p>F. Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Les 6, 7 et 8 n<blockquote><p>Les 6, 7 et 8 novembre, l’Art de l’en-commun, un événement de la communauté Art of Hosting Montréal, a vu 70 personnes se rencontrer pour explorer les biens communs et le commoning, et développer une culture à partir de la posture de commoner. Les deux premiers jours se sont déroulés dans les magnifiques locaux-jardins de l’Espace pour la Vie partenaire de l’événement. Le troisième jour, les participants se sont répartis dans différents tiers-lieux porteurs de projets de communs à travers la ville de Montréal.</p></blockquote></br><h2>Au croisement de Art of Hosting et du commoning</h2></br><p>Art of Hosting, ou l’<a href="http://www.aohmontreal.org/art-of-hosting-2">Art d’Accueillir des Conversations qui comptent</a> pour faire émerger la capacité d’auto-organisation et la sagesse collective des groupes, part de l’hypothèse que les gens mettent leur énergie et leurs compétences au service de ce qui compte le plus pour eux, au travail comme dans la vie. Cette pratique recouvre un ensemble de processus de conversation puissants, qui invitent les personnes à s’engager et à prendre en charge les défis qu’elles rencontrent. Pour en savoir plus, je vous invite aussi à voir l’<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=reflections-on-art-of-hosting-and-the-commons">interview</a> de Toke Moeller, l’un des fondateurs de ce mouvement, réalisée à Montréal, à l’occasion de Ville en biens communs 2013.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4035" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-300x168.jpg" alt="20141107_162027" width="300" height="168" /></a> Tout au long de ces trois jours, cette pratique a été mise au service d’une découverte approfondie des biens communs, de la posture du commoner et du commoning. Le premier jour a permis de poser les piliers de ces pratiques à travers des conversations entre les invités et les participants. La première d’entre elle consistait à demander aux invités étrangers, « experts » des communs, de raconter en se placant au centre d’un cercle, les défis qu’ils rencontrent lorsqu’ils doivent parler des biens communs. S’en suivait une ronde au cours de laquelle chaque personne qui le souhaitait pouvait prendre place au centre du cercle pour dialoguer avec l’expert. Une autre conversation visait à partager des piliers du commoning dans un temps de co-apprentissage.</p></br><p>Le lendemain, c’est autour d’une histoire de biens communs que la conversation s’est poursuivie. Chaque personne dans le cercle est<br /></br>invitée à écouter l’histoire avec une grille de lecture particulière afin que le groupe dans son ensemble se donne une capacité de réflexion et d’analyse collective démultipliée. Après ces explorations, les participants sont invités à élaborer un ensemble de questions fortes sur les biens communs et l’en-commun. Toutes ces questions seront collectées sous formes de capsules vidéos grâce à l’installation de <em>Com-fessional</em> proposée par Remix The Commons. Ces questions ouvrent la voie à des suites possibles pour l’Art de l’en-commun.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141109_054124.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4034" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141109_054124-300x168.jpg" alt="20141109_054124" width="300" height="168" /></a> Le troisième jour de rencontre a été consacré à contribuer à des communs vivants ou en projet : 14 initiatives ont été proposées par leurs initiateurs dans différents tiers-lieux de Montréal. Les participants avaient été invités à constituer une « banque de temps » volontairement dédié aux biens communs au moment de leur inscription. Une partie de ce temps à donc été dépensé lors de cette journée. Ce qu’il en reste pourra être mis au service des biens communs dans le futur proche. Avec Alain Ambrosi, nous avons invité les participants à prendre part au projet de « l’école des communs ». Nous avons commencé par partager l’histoire des écoles des communs telle que nous la connaissons. Nous avons présenté la chronologie des événements qui s’y rapportent depuis quelques années, ainsi que la diversité des pratiques qui s’y rattachent : festival, rencontres, ateliers, université d’été, plateforme de documentation des communs et du commoning, exploration et développement d’un vocabulaire des communs. Dans un deuxième temps, nous avons approfondies les visions de l’école des communs dans une conversation ouverte et alimentée par la <a href="https://dl.dropboxusercontent.com/u/2832349/Synth%C3%A8se%20%C3%A9cole%20des%20communs%20Montr%C3%A9al%202013.odt">synthèse du premier cercle d’Aprentissage sur l’école des communs</a> qui s’était déroulé à Montréal en 2013. Enfin, nous avons répondu à la question : « de quoi avons-nous besoin pour faire ensemble l’école des communs ? » Au cours de cet atelier, une vingtaine de personnes se sont engagées et ont proposé de dédier volontairement un quota d’heures à ce projet. Il y aura donc là aussi des suites. La journée s’est terminée par la célébration de notre rencontre des communs et l’art de l’en-commun, une fête conviviale ouverte aux personnes qui n’avaient pas pu rejoindre les trois jours.</p></br><h2>Mais qui fait la vaisselle ?</h2></br><p>Au cours de cette rencontre, le collectif organisateur a constamment cherché à rendre chaque moment vécu de la rencontre cohérent avec la posture du commoner et la culture du partage propre aux biens communs. Il a fait montre d’un souci de prendre en compte les personnes pour ce qu’elle sont, en recherchant pour chacun les meilleures conditions pour qu’il ou elle puisse découvrir, s’exprimer et partager son expérience et sa connaissance.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_190821-e1415896747655.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4044" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_190821-e1415896747655-210x300.jpg" alt="20141107_190821" width="210" height="300" /></a>Cela a été par exemple le cas pour les repas pris ensemble. Pour le premier jour, il a été fait appel à un traiteur bio et végétarien de très grande qualité afin de s’assurer de satisfaire les besoins de chacun. L’accent a été mis sur la convivialité et l’accueil des participants. Ce repas a été un régal et personne n’a pu résister à leur brownies ! Le deuxième jour, les participants ont été invités à préparer ce qui leur ferait plaisir de partager et à apporter de quoi manger pour 2 personnes. Une tablée magnifique, longue de 70 convivesn, a été dressée à l’heure du déjeuner et chacun a pu déguster les mets de son choix. Enfin le troisième jour, le repas (pour la soirée de célébration) a été cuisiné en commun et servi à table dans une agréable ambiance festive.</p></br><p>Le matin du troisième jours, la tâche de faire la vaisselle qui avait été partagée spontanément, a fait l’objet d’une discussion lors d’un atelier sur les « patterns » du commoning animé par Silke Helfrich. Cette tâche – faire la vaisselle – loin d’être anodine, a permis de mettre en exergue les conditions du commoning et d’alimenter une réflexion sur les rôles de chacun dans les processus de partage et la (re)connaissance des enjeux de pouvoir dans le commoning. Finalement, comme nous avions encore l’opportunité d’expérimenter sur ce point, notre réflexion collective a donné lieu à la création d’un jeu autour du partage des tâches de vaisselle de la dernière soirée de la rencontre.</p></br><h2>La récolte</h2></br><p>Ce jeu, tout comme les capsules vidéos du Com-fessional fera partie de la récolte de la rencontre. Tout au long de ces trois jours, le collectif a eu le souci constant de récolter et d’inviter chacun à partager, images, son, textes, notes pour en faire une richesse collective dans laquelle chacun pourra puiser pour la suite.</p></br><p>A la veille de la <a href="https://dl.dropboxusercontent.com/u/2832349/EcoledescommunsParisProgr20141014.pdf">rencontre sur l’école des communs</a> qui se déroule à Paris cette fin de semaine, la capacité à mettre en cohérence des pratiques avec des valeurs portées par les commoners jusque dans les tâches les plus humbles et anodines, celles qui se déroulent précisément dans les communs, l’arrière cour et la cuisine, permet de penser que l’Art de l’en-commun sera une graine féconde et libératrice dans le jardin de la pédagogie des communs.</p></br><p>David Bollier qui y participait avec Silke Hefrich, Alain Ambrosi et moi même, a fait une <a href="http://bollier.org/blog/art-commoning">recension de cette rencontre sur son blog</a>.</p></br><p><em>Merci à tous pour cette belle rencontre.</em></p>/p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Pour aider à re<blockquote><p>Pour aider à reconquérir, protéger et créer les communs dans nos quartiers et dans nos villes, nous proposons de créer un Atlas interactif des chartes des communs urbains. Le processus collaboratif de création permettra de développer, sur un mode interculturel et inter-disciplinaire, la production et le partage de connaissances sur les outils juridiques qui permettent de faire vivre les communs dans nos villes. Au cours d’ateliers et autres animations culturelles, nous explorerons avec les commoners/habitants les chartes des communs qui existent et leurs applications et nous contribuerons à la création de nouvelles. Une fois constitué, l’Atlas sera une plateforme de rencontre et d’interaction qui invitera les commoners à créer ou récupérer leurs communs urbains.</p></blockquote></br><figure id="attachment_4247" aria-describedby="caption-attachment-4247" style="width: 826px" class="wp-caption aligncenter"><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/04/Magna-Carta-1215-Document-num--ris---600x100.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class=" wp-image-4247" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/04/Magna-Carta-1215-Document-num--ris---600x100.jpg" alt="Fragment de la Magna Carta de la Cathédrale de Salisbury (UK)" width="826" height="59" /></a><figcaption id="caption-attachment-4247" class="wp-caption-text">Fragment de la Magna Carta de la Cathédrale de Salisbury (UK)</figcaption></figure></br><h2>S’inspirer et créer des chartes des communs urbains</h2></br><p>Les chartes des communs urbains sont des règles d’auto-gouvernance dont se dote une communauté de personnes pour faire vivre leurs communs dans leur quartier, leur ville, leur région. Elles peuvent devenir des instruments juridiques qui formalisent la reconnaissance des droits et la souveraineté des individus et de la communauté sur leurs richesses communes. Elles sont aussi un instrument pour organiser le commoning en vue de conserver, de partager et de transmettre les biens communs. Elles s’accompagnent d’une multitude d’activités, de récits, créations, illustrations, célébrations, fêtes, études, qui sont le coeur de la culture des communs et que nous voulons faire vivre et transmettre de génération en génération.</p></br><p>Nous voulons utiliser ce vecteur pour nous inspirer mutuellement et nourrir l’imaginaire autant que les pratiques des communs dans les villes à travers le monde.</p></br><p>La documentation vivante et collective, décentralisée et autogérée de l’expérience de chaque charte des communs, est une manière de faire culture commune. Notre proposition consiste à élaborer et rendre disponibles aux commoners des formats de documentation propices au partage de l’expérience des chartes des communs.</p></br><p>Nous envisageons d’organiser des camps, des résidences culturelles et de réaliser collectivement un Atlas des chartes des communs urbains sous forme d’une cartographie interactive en web sémantique.</p></br><p>Cette démarche est exploratoire, pragmatique, pédagogique, et politique. Elle est à la fois interdisciplinaire et Interculturelle. Elle permet de formaliser son expérience, de la relier avec les membres de sa communauté et de la partager avec ceux des autres communautés. Elle permet aussi de partager les outils juridiques élaborés au fil du temps et l’expérience accumulée à travers le monde (avec l’assistance de juristes et de designers urbains). Elle vise à faire connaître et reconnaître ce processus comme l’un des principaux leviers de la démocratie et d’une vie harmonieuse en société dans la ville.</p></br><h2>Apprendre de l’expérience historique et contemporaine des chartes</h2></br><p>Nos activités de documentation et d’animation sur les communs à remixthecommons nous ont fait découvrir la variété et la richesse des initiatives et propositions citoyennes en milieux urbain et territoriaux sur divers continents. Dans le processus de constitution d’un commun, les voisins et citoyens passent toujours par l’ importante et nécessaire étape de se doter de règles d’auto-gouvernance et de les formaliser. Des pratiques innovantes en la matière apparaissent entre voisins au niveau des quartiers comme à Dakar ou au niveau de villes entière comme à Bologne ou Djakarta pour ne citer que celles-là.</p></br><p>Les pratiques, pour nous les plus exemplaires, sont celles où les initiatives des citoyens ont su mobiliser des compétences et expertises diverses issues de différents secteurs d’activités (coopérativistes, activistes, architectes, juristes, designers urbains, informaticiens, etc) pour faire des propositions à la fois innovantes et pragmatiques qui invitent, encouragent, assurent et encadrent la participation active des citoyens dans la récupération, la construction et la gestion des communs urbains.</p></br><p>En Europe les exemples italiens de ABC de Milan et des Chartes des communs municipaux, maintenant adoptés dans plusieurs villes sont inspirants. D’autres initiatives émergent en Angleterre, en Espagne et ailleurs. Elles ne demandent qu’à être partagées, remixées et adaptées à un autre contexte socio-culturel et politique.</p></br><p>Cette floraison de chartes est un incitatif pour les apprentis commoners à partager avec leurs pairs et coproduire des connaissances et propositions dans leur localité.</p></br><p>La montée en puissance au niveau européen des réseaux d’activistes des communs garantit des échanges et une cross fertilisation interculturelle. En témoignent les récents séminaires franco-italiens sur le sujet.</p></br><p>Nous pensons finalement que cette mobilisation collective autour des chartes urbaines est une belle manière de célébrer le huit-centième anniversaire de la Magna Carta (1215)  qui a marqué l’histoire des communs.</p></br><h2>Une invitation à l’échange</h2></br><p>Nous souhaitons mettre en place un prototype numérique de l’Atlas des chartes des communs urbains. Il sera co-créé lors d’un premier atelier et amélioré de manière itérative. Ateliers en présentiel et en ligne vont stimuler la documentation de chartes existantes et la création de nouvelles, adaptées à leurs contextes et à aux droits locaux. Ces actions feront se croiser disciplines scientifiques et savoir-faire populaire. Et nous prendrons soin de disposer diversifier les procédés de travail pour être accessibles à tous, d’assurer le partage des données, comme celui de la conception des usages et des services inspirés par l’Atlas.</p></br><p>Nous sommes heureux d’inviter à participer tous les militants et les chercheurs motivés par les communes, en particulier ceux partie-prenante du réseau de francophone pour les communs, les organisations telles que Commons Josephat (Bruxelles), Marx Dormoy Labs (Paris) les Journées des Alternatives Urbaines (Lausanne ), ou la maison des communs (Montpellier), le LARTES à Dakar, … etc, ainsi que les collectifs européens comme Comuns Urban Activists à Barcelone, P2p plazas à Madrid, … etc.</p></br><p>Cette initiative nous conduira aussi à collaborer avec les militants des Droits à la Ville, comme en France, la coordination « Pas sans nous! ou le Collectif pour la Transition sur la Citoyenneté, et l’Alliance Internationale des Habitants.</p></br><p>Certaines municipalités et gouvernements locaux s’engagent déjà à soutenir les communs et ont leur propre charte. Ce sont autant d’espaces qui permettent d’expérimenter notre approche. Le Festival des communs à Chieri, en Italie (Juillet 2015) pourrait être une première occasion.</p></br><h2>L’apport de Remix the commons</h2></br><p>Remix the commons jouera son rôle d’incubateur de projet et partagera son expérience, tant en matière de cartographie interactive interculturelle et multilingue du <a href="https://www.remixthecommons.org/en/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/">projet de définition des communs</a>, que d’animation des processus de co-création (voir ‘<a href="http://bollier.org/blog/art-com">The Art of Commoning’)</a>. et la connaissance des réseaux européen et notamment en France, Espagne, Italie et Allemagne.  L’un des premiers rendez-vous que nous pouvons nous donner sera le Festival francophone « <a href="http://tempsdescommuns.org">Temps des Communs</a> » (du 5 au 18 octobre 2015).</p>al francophone « <a href="http://tempsdescommuns.org">Temps des Communs</a> » (du 5 au 18 octobre 2015).</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Préserver et en<blockquote><p>Préserver et enrichir le vocabulaire des biens communs est un double enjeu pour le mouvement des communs. En élaborant des définitions, les acteurs des biens communs proposent une grille de lecture du réel basée sur le paradigme des biens communs. En outre cette démarche contribue aussi à lutter contre les phénomènes de « commons washing » qui émergent aujourd’hui. Le vocabulaire des communs est un bien commun.</p></blockquote></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/08/nuage-de-mots.png"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-2706" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/08/nuage-de-mots.png" alt="Nuage de mots Les biens communs sont sur toutes les lèvres" width="600" height="296" /></a></p></br><p>Ce constat est à l’origine de l’<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Glossaire_des_biens_communs">idée</a> de rassembler des termes assez largement utilisés par le milieu qui s’identifie à la défense des biens communs, dans un processus de définition dynamique et participatif.</p></br><p>Un tel processus devra certainement s’attacher à croiser des définitions émanent de points de vues différents, différents acteurs, différents domaines d’action ou disciplines, différents registres de définition, … et permettre leur mise en regard, leur commentaire afin que cela s’offre comme une possibilité d’appropriation dynamique du paradigme des communs. Les ressources documentaires en rapport avec chacun de ces termes, qu’ils soient bribes de conversations numériques ou bien réflexions approfondies ou créations originales, permettent d’explorer de manière plus ou moins approfondie en mettant aussi en évidence les variations au sein du réseau des acteurs des communs.</p></br><p>L’idée de glossaire des communs comme rassemblement d’un corpus de termes a des .</p></br><p>Cette démarche croise les initiatives du groupe d’étudiants qui avec <a href="http://www.sylvia-fredriksson.net">Sylvia Fredriksson</a>, Enseignante et designer, ont réalisé le <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/ www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a>. Une <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/#contexte">première collaboration</a> s’échafaude autour des forums ouverts de <a href="http://villes.bienscommuns.org/">Ville en biens communs en octobre 2013</a>. Il s’agit de travailler sur les mots et les variations d’usage pour, selon Hélène Casado et Maxime Antremont, produire « un nouveau référentiel subtil, multiple et instantané. » et « permettre à un flux de médias de traduire un flux de pensées et de capter l’essence de la notion de biens communs aujourd’hui. »</p></br><p>Sylvia Fredriksson propose déjà quelques exemples intéressants de collages sonores de définitions avec <a href="http://notesondesign.org/biens-communs-10-defintions/">« Biens communs. 10 définitions »</a> réalisé à partir de sa <a href="soundcloud.com/sylviafredriksson">collection</a>. Cette démarche nous ramène aussi à l’origine de Remix The Commons et à la série Define the commons <a href="http://https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">I</a>, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-ii">II</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-iii">III</a> réalisée à Berlin en 2010 à partir des interviews des participants à la<a href="http://p2pfoundation.net/International_Commons_Conference"> International Commons Conference (ICC)</a>.</p></br><p>Cette démarche revisite des initiatives plus classiques</p>a<a href="http://p2pfoundation.net/International_Commons_Conference"> International Commons Conference (ICC)</a>.</p> <p>Cette démarche revisite des initiatives plus classiques</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>Préserver et en<blockquote><p>Préserver et enrichir le vocabulaire des biens communs est un double enjeu pour le mouvement des communs. En élaborant des définitions, les acteurs des biens communs proposent une grille de lecture du réel basée sur le paradigme des biens communs. En outre cette démarche contribue aussi à lutter contre les phénomènes de « commons washing » qui émergent aujourd’hui. Le vocabulaire des communs est un bien commun.</p></blockquote></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/08/nuage-de-mots.png"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-2706" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/08/nuage-de-mots.png" alt="Nuage de mots Les biens communs sont sur toutes les lèvres" width="600" height="296" /></a></p></br><p>Ce constat est à l’origine de l’<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Glossaire_des_biens_communs">idée</a> de rassembler des termes assez largement utilisés par le milieu qui s’identifie à la défense des biens communs, dans un processus de définition dynamique et participatif.</p></br><p>Un tel processus devra certainement s’attacher à croiser des définitions émanent de points de vues différents, différents acteurs, différents domaines d’action ou disciplines, différents registres de définition, … et permettre leur mise en regard, leur commentaire afin que cela s’offre comme une possibilité d’appropriation dynamique du paradigme des communs. Les ressources documentaires en rapport avec chacun de ces termes, qu’ils soient bribes de conversations numériques ou bien réflexions approfondies ou créations originales, permettent d’explorer de manière plus ou moins approfondie en mettant aussi en évidence les variations au sein du réseau des acteurs des communs.</p></br><p>L’idée de glossaire des communs comme rassemblement d’un corpus de termes a des .</p></br><p>Cette démarche croise les initiatives du groupe d’étudiants qui avec <a href="http://www.sylvia-fredriksson.net">Sylvia Fredriksson</a>, Enseignante et designer, ont réalisé le <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/ www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a>. Une <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/#contexte">première collaboration</a> s’échafaude autour des forums ouverts de <a href="http://villes.bienscommuns.org/">Ville en biens communs en octobre 2013</a>. Il s’agit de travailler sur les mots et les variations d’usage pour, selon Hélène Casado et Maxime Antremont, produire « un nouveau référentiel subtil, multiple et instantané. » et « permettre à un flux de médias de traduire un flux de pensées et de capter l’essence de la notion de biens communs aujourd’hui. »</p></br><p>Sylvia Fredriksson propose déjà quelques exemples intéressants de collages sonores de définitions avec <a href="http://notesondesign.org/biens-communs-10-defintions/">« Biens communs. 10 définitions »</a> réalisé à partir de sa <a href="soundcloud.com/sylviafredriksson">collection</a>. Cette démarche nous ramène aussi à l’origine de Remix The Commons et à la série Define the commons <a href="http://https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">I</a>, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-ii">II</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-iii">III</a> réalisée à Berlin en 2010 à partir des interviews des participants à la<a href="http://p2pfoundation.net/International_Commons_Conference"> International Commons Conference (ICC)</a>.</p></br><p>Cette démarche revisite des initiatives plus classiques</p>a<a href="http://p2pfoundation.net/International_Commons_Conference"> International Commons Conference (ICC)</a>.</p> <p>Cette démarche revisite des initiatives plus classiques</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Quelques expéri<blockquote><p>Quelques expériences de cartographie des communs, à partir des définitions et des descriptions brèves d’actions ou d’initiatives de commoning, avec une instance de Chimère installée par Frédéric Léon à Brest. Chimère permet de placer sur des cartes des « points d’intérêts » (définis par leur coordonnées géographiques) du texte + des documents multimédia (video, audio, images). Les points d’intérêts peuvent être classés dans des catégories organisées par familles. Les cartes par zones sont des sélections de territoires géographiques et de catégories.</p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" src="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/simple" width="900" height="550" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /></br><a href="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Agrandir</a> – <a href="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/edit/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Participer</a></p></br><p>La première idée, en commençant cette expérience, était de situer sur une carte la centaine de définition des biens communs réalisées depuis Berlin 2010 et de regarder comment utiliser ce support comme un moyen d’expression collectif sur la notion de biens communs. Pour le test, une quinzaine de définitions sont placées sur la carte. L’intégration de l’ensemble de la centaine de définitions disponibles donnera une carte plus fournie. Elles sont consultables par langues. Le tri par tag n’existe pas. Sa mise en place est la prochaine étape à mettre en oeuvre. Il permettra de rendre plus visible les «enjeux» mis en évidence via le site Remix The Commons. L’intégration de cette carte dans le site de remix se fait par widget dans un article de blog ou une page. A terme, la carte pourrait être alimentée par mashup de services multimédia.</p></br><p>Deuxième expérience : le placement sur une <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs">carte de documents descriptifs des pratiques de commoning</a> par catégories « types de communs » (uniquement avec les catégories parents de la classification de Charlotte Hess utilisée sur le site de Remix The Commons). Les cartes peuvent être réalisées par espaces géographiques. <a href="http://remixthecommons.infini.fr/visages-des-communs">Ici </a>une carte de quelques points situés au Quebec.</p></br><p>Chimère permet librement l’ajout de nouveaux points d’intérêt par les utilisateurs via un <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs/edit" target="_blank" rel="noopener noreferrer">formulaire</a> assez simple. Ce formulaire est configuré pour proposer aux utilisateurs de classer les points d’intérêts selon les catégories de la carte à laquelle on propose un nouveau point.</p></br><p>A ce stade, il serait utile de compléter Chimère avec les éléments tels qu’un dispositif de tags des points d’intérêts, la synchronisation des fiches sur les cartes, la synchronisation des points d’intérêts dans le catalogue de Remix.</p></br><p>Mais pour aller plus loin, il faudrait travailler sur les approches de cartographie des communs. Le recensement de ressources est le premier degré d’une cartographie des communs. Il faudrait imaginer de cartographier les éléments constitutifs des communs tels que les modes d’administration des ressources ou de répartition de droits de propriété, les systèmes de valeurs attachées aux pratiques de commoning et certainement d’autres choses encore.</p></br><p>Frédéric Sultan</p></br><p><iframe class="igtranslator-iframe" src="about:blank" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></p></br><div class="igtranslator-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div></br><p><iframe class="igtranslator-iframe" src="about:blank" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></p></br><div class="igtranslator-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div>or-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>Quelques expéri<blockquote><p>Quelques expériences de cartographie des communs, à partir des définitions et des descriptions brèves d’actions ou d’initiatives de commoning, avec une instance de Chimère installée par Frédéric Léon à Brest. Chimère permet de placer sur des cartes des « points d’intérêts » (définis par leur coordonnées géographiques) du texte + des documents multimédia (video, audio, images). Les points d’intérêts peuvent être classés dans des catégories organisées par familles. Les cartes par zones sont des sélections de territoires géographiques et de catégories.</p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" src="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/simple" width="900" height="550" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /></br><a href="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Agrandir</a> – <a href="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/edit/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Participer</a></p></br><p>La première idée, en commençant cette expérience, était de situer sur une carte la centaine de définition des biens communs réalisées depuis Berlin 2010 et de regarder comment utiliser ce support comme un moyen d’expression collectif sur la notion de biens communs. Pour le test, une quinzaine de définitions sont placées sur la carte. L’intégration de l’ensemble de la centaine de définitions disponibles donnera une carte plus fournie. Elles sont consultables par langues. Le tri par tag n’existe pas. Sa mise en place est la prochaine étape à mettre en oeuvre. Il permettra de rendre plus visible les «enjeux» mis en évidence via le site Remix The Commons. L’intégration de cette carte dans le site de remix se fait par widget dans un article de blog ou une page. A terme, la carte pourrait être alimentée par mashup de services multimédia.</p></br><p>Deuxième expérience : le placement sur une <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs">carte de documents descriptifs des pratiques de commoning</a> par catégories « types de communs » (uniquement avec les catégories parents de la classification de Charlotte Hess utilisée sur le site de Remix The Commons). Les cartes peuvent être réalisées par espaces géographiques. <a href="http://remixthecommons.infini.fr/visages-des-communs">Ici </a>une carte de quelques points situés au Quebec.</p></br><p>Chimère permet librement l’ajout de nouveaux points d’intérêt par les utilisateurs via un <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs/edit" target="_blank" rel="noopener noreferrer">formulaire</a> assez simple. Ce formulaire est configuré pour proposer aux utilisateurs de classer les points d’intérêts selon les catégories de la carte à laquelle on propose un nouveau point.</p></br><p>A ce stade, il serait utile de compléter Chimère avec les éléments tels qu’un dispositif de tags des points d’intérêts, la synchronisation des fiches sur les cartes, la synchronisation des points d’intérêts dans le catalogue de Remix.</p></br><p>Mais pour aller plus loin, il faudrait travailler sur les approches de cartographie des communs. Le recensement de ressources est le premier degré d’une cartographie des communs. Il faudrait imaginer de cartographier les éléments constitutifs des communs tels que les modes d’administration des ressources ou de répartition de droits de propriété, les systèmes de valeurs attachées aux pratiques de commoning et certainement d’autres choses encore.</p></br><p>Frédéric Sultan</p></br><p><iframe class="igtranslator-iframe" src="about:blank" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></p></br><div class="igtranslator-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div></br><p><iframe class="igtranslator-iframe" src="about:blank" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></p></br><div class="igtranslator-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div>or-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix Biens Com<blockquote><p>Remix Biens Communs est invité à présenter une sélection de vidéos sur le thème Biens communs de la connaissance à la BNF le 18 novembre prochain !</p></blockquote></br><p>Peuple et Culture et la BnF, proposent de consacrer leur troisième rendez-vous aux biens communs de la connaissance le 18 novembre 2013 avec la lecture collective du livre collectif <em>Libres savoirs, les biens communs de la connaissance</em> et la projection d’entretiens vidéos sélectionnés dans le catalogue interculturel, libre et collaboratif Remix The Commons. Cette journée permettra d’explorer les enjeux de la production collective, du partage et de la diffusion des connaissances en Biens Communs.</p></br><p>Elle se déroule à la Bibliothèque nationale de France, Entrée Ouest, Quai François Mauriac, Paris XIII.</p></br><p>Métro Quai de la Gare ou Bibliothèque François Mitterrand.</p></br><p>Pour toute précision, n’hésitez pas à contacter Adrien Thoreau ou Alexane à l’Union Peuple et Culture, 01 49 29 42 80 – 09 50 06 42 80<br /></br><strong><br /></br>La liste des documents projetés : </strong></p></br><ul></br><li>1’30 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">Définir le Bien Commun I</a></li></br><li>3’45 » <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=sk">Sansy Kaba Diakité, L’Harmattan Guinée</a></li></br><li>08’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=le-mouvement-des-biens-communs">La science au secours de la démocratie – Le mouvement des biens communs</a></li></br><li>2’26 La science vassalisée 1 – Privatisation et concentration du savoir humain</li></br><li>10’00 Jean-Claude Guédon (Université de Montréal – Québec) : <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=jcg1">Petite histoire du mouvement vers l’accès libre – La science est une grande conversation</a> Partie 1</li></br><li>6’39 La science au secours de la démocratie – l’expérience Indienne</li></br><li>1’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-abdourahmane-seck">Définir les communs – Abdourahmane Seck</a></li></br><li>19’00<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=sciences-et-democratie-la-lecon-du-tapajos"> « la leçon du Tapajos »</a></li></br><li>7’00 <a href=" https://www.remixthecommons.org/?fiche=science-et-democratie-la-science-autrement">Science et démocratie : La science autrement Forum Mondial Sciences et Démocratie à Bélem janvier 2009</a></li></br><li>10’56 : <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=the-commons-meet-social-movements-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li></br><li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li></br></ul>communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li> <li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li> </ul>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>Remix Biens Com<blockquote><p>Remix Biens Communs est invité à présenter une sélection de vidéos sur le thème Biens communs de la connaissance à la BNF le 18 novembre prochain !</p></blockquote></br><p>Peuple et Culture et la BnF, proposent de consacrer leur troisième rendez-vous aux biens communs de la connaissance le 18 novembre 2013 avec la lecture collective du livre collectif <em>Libres savoirs, les biens communs de la connaissance</em> et la projection d’entretiens vidéos sélectionnés dans le catalogue interculturel, libre et collaboratif Remix The Commons. Cette journée permettra d’explorer les enjeux de la production collective, du partage et de la diffusion des connaissances en Biens Communs.</p></br><p>Elle se déroule à la Bibliothèque nationale de France, Entrée Ouest, Quai François Mauriac, Paris XIII.</p></br><p>Métro Quai de la Gare ou Bibliothèque François Mitterrand.</p></br><p>Pour toute précision, n’hésitez pas à contacter Adrien Thoreau ou Alexane à l’Union Peuple et Culture, 01 49 29 42 80 – 09 50 06 42 80<br /></br><strong><br /></br>La liste des documents projetés : </strong></p></br><ul></br><li>1’30 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">Définir le Bien Commun I</a></li></br><li>3’45 » <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=sk">Sansy Kaba Diakité, L’Harmattan Guinée</a></li></br><li>08’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=le-mouvement-des-biens-communs">La science au secours de la démocratie – Le mouvement des biens communs</a></li></br><li>2’26 La science vassalisée 1 – Privatisation et concentration du savoir humain</li></br><li>10’00 Jean-Claude Guédon (Université de Montréal – Québec) : <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=jcg1">Petite histoire du mouvement vers l’accès libre – La science est une grande conversation</a> Partie 1</li></br><li>6’39 La science au secours de la démocratie – l’expérience Indienne</li></br><li>1’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-abdourahmane-seck">Définir les communs – Abdourahmane Seck</a></li></br><li>19’00<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=sciences-et-democratie-la-lecon-du-tapajos"> « la leçon du Tapajos »</a></li></br><li>7’00 <a href=" https://www.remixthecommons.org/?fiche=science-et-democratie-la-science-autrement">Science et démocratie : La science autrement Forum Mondial Sciences et Démocratie à Bélem janvier 2009</a></li></br><li>10’56 : <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=the-commons-meet-social-movements-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li></br><li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li></br></ul>communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li> <li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li> </ul>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix the Commo<blockquote><p>Remix the Commons is invited to present a selection of videos on the subject of common property knowledge to the BNF on November 18.</p></blockquote></br><p>Peuple et Culture and the National Library of France (BNF), will devoting their third workshop to the knowledge commons the 18 of November 2013, with a collective reading of the book <em>Libres savoirs, les biens communs de la connaissance </ em> and the show of video interviews selected in our catalog Remix the Commons. It aims at explore the issues of collective production, sharing and dissemination of knowledge as commons .</em></p></br><p>It takes place at the National Library of France , West Entrance , Quai François Mauriac , Paris XIII.</p></br><p>Metro : Quai de la Gare or Bibliothèque François Mitterrand.</p></br><p>For further information, please contact Adrien Thoreau or Alexane the Peuple et Culture Union , 01 49 29 42 80 – 09 50 06 42 80</p></br><p><strong><br /></br>List document presented: </strong></p></br><ul></br><li>1’30 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">Définir le Bien Commun I</a></li></br><li>3’45 » <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=sk">Sansy Kaba Diakité, L’Harmattan Guinée</a></li></br><li>08’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=le-mouvement-des-biens-communs">La science au secours de la démocratie – Le mouvement des biens communs</a></li></br><li>2’26 La science vassalisée 1 – Privatisation et concentration du savoir humain</li></br><li>10’00 Jean-Claude Guédon (Université de Montréal – Québec) : <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=jcg1">Petite histoire du mouvement vers l’accès libre – La science est une grande conversation</a> Partie 1</li></br><li>6’39 La science au secours de la démocratie – l’expérience Indienne</li></br><li>1’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-abdourahmane-seck">Définir les communs – Abdourahmane Seck</a></li></br><li>19’00<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=sciences-et-democratie-la-lecon-du-tapajos"> « la leçon du Tapajos »</a></li></br><li>7’00 <a href=" https://www.remixthecommons.org/?fiche=science-et-democratie-la-science-autrement">Science et démocratie : La science autrement Forum Mondial Sciences et Démocratie à Bélem janvier 2009</a></li></br><li>10’56 : <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=the-commons-meet-social-movements-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li></br><li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li></br></ul>ents-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li> <li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li> </ul>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>Remix the Commo<blockquote><p>Remix the Commons is invited to present a selection of videos on the subject of common property knowledge to the BNF on November 18.</p></blockquote></br><p>Peuple et Culture and the National Library of France (BNF), will devoting their third workshop to the knowledge commons the 18 of November 2013, with a collective reading of the book <em>Libres savoirs, les biens communs de la connaissance </ em> and the show of video interviews selected in our catalog Remix the Commons. It aims at explore the issues of collective production, sharing and dissemination of knowledge as commons .</em></p></br><p>It takes place at the National Library of France , West Entrance , Quai François Mauriac , Paris XIII.</p></br><p>Metro : Quai de la Gare or Bibliothèque François Mitterrand.</p></br><p>For further information, please contact Adrien Thoreau or Alexane the Peuple et Culture Union , 01 49 29 42 80 – 09 50 06 42 80</p></br><p><strong><br /></br>List document presented: </strong></p></br><ul></br><li>1’30 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">Définir le Bien Commun I</a></li></br><li>3’45 » <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=sk">Sansy Kaba Diakité, L’Harmattan Guinée</a></li></br><li>08’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=le-mouvement-des-biens-communs">La science au secours de la démocratie – Le mouvement des biens communs</a></li></br><li>2’26 La science vassalisée 1 – Privatisation et concentration du savoir humain</li></br><li>10’00 Jean-Claude Guédon (Université de Montréal – Québec) : <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=jcg1">Petite histoire du mouvement vers l’accès libre – La science est une grande conversation</a> Partie 1</li></br><li>6’39 La science au secours de la démocratie – l’expérience Indienne</li></br><li>1’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-abdourahmane-seck">Définir les communs – Abdourahmane Seck</a></li></br><li>19’00<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=sciences-et-democratie-la-lecon-du-tapajos"> « la leçon du Tapajos »</a></li></br><li>7’00 <a href=" https://www.remixthecommons.org/?fiche=science-et-democratie-la-science-autrement">Science et démocratie : La science autrement Forum Mondial Sciences et Démocratie à Bélem janvier 2009</a></li></br><li>10’56 : <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=the-commons-meet-social-movements-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li></br><li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li></br></ul>ents-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li> <li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li> </ul>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>To encourage re<blockquote><p>To encourage reflection on the integration of commons knowledge in the visions and perspectives of the actors involved in the transition, we propose a seminar around the FLOK Society project with Michel Bauwens on 22 and 23 September 2014 near Paris.</p></blockquote></br><p>The project FLOK Society (Free, Libre, Open Knowledge) is the first attempt to make practical proposals on the scale of a country for a transition to a society based on free and open knowledge. It aims to create the conditions for a simultaneous transformation of civil society, market and government based on the paradigm of commons knowledge.</p></br><p>The FLOK Society project has been developed in Ecuador at the request of governmental institutions. It was directed by Michel Bauwens, leading P2P Foundation, which mobilized around him a large team of researchers and activists in Ecuador, Latin America and worldwide. The work put into perspective the four major mobilizing and producing common knowledge sectors: education and culture, science, industry, agriculture and services, citizenship and participation (ref: <a href="http://tinyurl.com/obd9jdh">http://tinyurl.com/obd9jdh</a>), for brushing an analysis of the effects of changes in the market, the state and civil society, and propose cross-sectoral guidelines and public policies to social knowledge economy which contributes to the emergence of a social, economical and environmental transition. These proposals are the specific recommendations to the Ecuadorian local context of a more general matrix.</p></br><p>Regardless of how they are (or not) included in the public policies by the government or civil society initiatives in Ecuador, the work done within the FLOK Society project provides a corpus of proposals and methodology that deserve be tested in other contexts than Ecuador. This seminar invites to identify and deepen FLOK Society project proposals and put them into perspective with the existing research, experiments and initiatives in the French and European context.</p></br><p>In this context, the actors of the transition are involved in an history and an agenda of struggles, demonstrations and experiments. This seminar aims to help integrate the paradigm of commons knowledge, in a useful and effective perspective, in their political visions by the actors of the transition, such as social movements, trade unionism, and the Social Economy Solidarity.</p></br><p>How reflection on the place of commons knowledge will it inspire? What agendas build or join? In which territories and scale should we mobilize commons knowledge for social, cultural, economic and political change towards a conscious, fairer and more inclusive society in respect of the limits of the planet?</p></br><p>The seminar is structured around three phases corresponding to the three axes objects transformation: the market, the public authorities and civil society. For each of these times, it is to analyze the contributions of commons knowledge in the debates and social and political struggles in progress, to the extent possibilities, develop proposals, clear lines of force and improve the convergence of the sectoral and territorial strategies. These three areas of work will be preceded by a presentation of the project and FLOK Society and followed by a time of assessment of the seminar.</p></br><p>This seminary will take place at Villarceaux, OEcocentre de la Bergerie with the support of Fondation Charles Léopold Mayer – FPH</p></br><p>More information : <a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan</a></p> with the support of Fondation Charles Léopold Mayer – FPH</p> <p>More information : <a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Un CommonsCamp <blockquote><p>Un CommonsCamp aura lieu à Grenoble (France) du 22 au 26 août, lors de l’<a href="https://ue2018.org/">Université d’été des mouvements sociaux français</a>.</p></blockquote></br><figure style="width: 275px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/thumb/Flyer_CommonsCamp_VF.1-1.jpg/723px-Flyer_CommonsCamp_VF.1-1.jpg" alt="CommonsCamp programme" width="275" height="390" /><figcaption class="wp-caption-text">CommonsCamp programme</figcaption></figure></br><p>Rassemblement ouvert et auto-organisé, cet événement est structuré en 3 modules: COMMUNS, MUNICIPALISME et DROITS À LA VILLE et CARTOGRAPHIE et SYNERGY, deux réunions dédiés à la fabrication d’outils numériques pour les commoners. Le CommonsCamp se terminera par un atelier destiné à identifier les suites possibles ou les prochaines étapes.<br /></br>Deux expositions seront organisées lors de l’événement: « <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Expo_sur_les_communs">Les communs</a> » et « <a href="https://www.facebook.com/events/1651602484889455/">Les voies de la démocratie</a>« .</p></br><p>Ce CommonsCamp se concentrera sur le partage des connaissances et des compétences pratiques déployées dans le domaine des communs urbains. Il vise à stimuler l’émergence et la réalisation de projets concrets et de collaborations futures entre les commoners.</p></br><p>Pour plus d’informations, jetez un oeil au programme: en <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/ryZjgnXZm#">ANGLAIS</a><br /></br>ou bien en <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/SyLhb9ff7">FRANÇAIS</a>, à la liste des <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/By5srebX7#">contributeurs / participants</a>.</p></br><p>Toutes les informations (programme, préparation, contributeurs, actions, budget sont accessibles <a href="https://frama.link/commonscamp2018-sommaire">en ligne</a>.</p></br><p>Le CommonsCAmp bénéficie d’une interprétation en FR et EN lors des réunions plénières. Pour les autres activités, les organisateurs et le facilitateur feront en sorte que tout le monde soit en mesure de participer (ex: interprétation en chuchotant).</p></br><p>La documentation (prise de notes, photos, audio / vidéo) sera un effort collectif, chacun étant invité à contribuer à notre récolte collective de connaissances. Un groupe de bénévoles assistera quotidiennement à la récolte et à la publication du contenu sur le Web.</p></br><p>Vous pouvez déjà commencer à contribuer en envoyant des messages à cette liste, en<br /></br>éditant un pad ou en envoyant des demandes ou du matériel à Mélanie Pinet <pinet.melanie75@gmail.com> ou FrédéricSultan: fredericsultan@gmail.com.</p></br><p>Bel été à tous !</p>buer en envoyant des messages à cette liste, en<br /> éditant un pad ou en envoyant des demandes ou du matériel à Mélanie Pinet <pinet.melanie75@gmail.com> ou FrédéricSultan: fredericsultan@gmail.com.</p> <p>Bel été à tous !</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Une expérience <blockquote><p>Une expérience d’autogestion d’infrastructure computationnelle pour inscrire la souveraineté numérique dans le cadre de la réflexion sur la transition et passer à l’acte !</p></blockquote></br><p>Avec d’autres personnes et organisations, et en collaboration avec <a href="https://www.koumbit.org/">Koumbit</a>, Remix the commons développe une réponse collective aux besoins d’outils et d’infrastructures numériques. L’idée est d’assurer la pleine souveraineté numérique sur nos travaux, nos échanges et nos données en s’inscrivant dans la vision énoncée dans la Charter for Building a Data Commons for a Free, Fair and Sustainable Future.</p></br><p>Après avoir testé avec Koumbit hébergeur indépendant et solidaire de Montréal, notre capacité à mettre en place et gérer certains outils basés sur le libre et les communs sur un serveur partagé, nous avons conçu un dispositif de coopération sur un modèle proche de celui des AMAP, que nous appelons le Konbit numérique, en référence au<a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Konbit"> konbit des paysans haïtiens</a>. Le Konbit numérique est un prototype de « commun computationnel » au service des projets de commoners. Il propose une infrastructure de travail qui permet d’atteindre progressivement des objectifs d’indépendance et de souveraineté pour faire face aux besoins d’usages numériques.</p></br><p>Notre Konbit numérique est constitué par un groupe d’utilisateurs identifiés et un administrateur de serveur, coopérateur de Koumbit. Il repose sur un serveur de 6 To hébergé par Koumbit à Montréal (<a href="https://nuage.en-commun.net">https://nuage.en-commun.net)</a>, dans lequel sont installées les applications dont nous avons besoin, outils basés sur le libre et les communs : partage de fichiers, calendriers, gestion de taches, édition en ligne de documents textes, tableau, courriel, …et surtout ferme de wiki. Cela couvre une large part des usages numériques actuels de nos organisations.</p></br><p>Les utilisateurs prennent part à la gouvernance, et autant que faire se peut à la maintenance. Le travail de l’administrateur du serveur est pris en charge par le collectif à travers un système de crédit temps d’intervention mensuel. Celui-ci inclue en plus du temps dédié à la maintenance du serveur, du temps réservé à des développements techniques futurs qui sera affecté en fonction des besoins du Konbit. L’idée est donc de préfinancer solidairement une infrastructure numérique dédiée au collectif. Cette infrastructure sort d’une logique capitaliste. Elle ne cherche pas à faire plus rentabilité pour extraire un profit, mais à satisfaire les besoins du collectif. Elle permet d’entamer un processus en vue de « degoogliser » nos pratiques numériques.</p></br><p>Chaque personne engagé dans les projets des partenaires, parties prenantes de cette initiative, a accès à cet espace et l’utilise dans le cadre de ses activités en lien avec les communs. Chaque partenaire peut contribuer à faire vivre et à assurer l’évolution du konbit en souscrivant une ou plusieurs parts de soutien solidaire (montant suggéré : 15 € – 20 $CAD par mois, ou selon les budgets et les besoins des projets), et selon le principe qui vise à découpler usage et commerce (principe 3 de la Charte mentionnée ci-dessus). Nous nous sommes fixé comme objectif d’élargir progressivement le premier collectif jusqu’à un équilibre entre besoin/capacité technique et financement/gouvernance. On estime qu’une 20aine de membres serait une taille du collectif intéressante. Puis d’autres Konbits pourraient voir le jour et permettre un fonctionnement de type fédéré.</p></br><p>Le konbit numérique n’est pas une structure ouverte comme peut l’être un chaton (service en ligne ouvert à tous), encore moins un hébergeur alternatif, mais une expérience d’autogestion d’infrastructure computationnelle par ses usagers. Il est encore un peu tôt pour tirer des leçons de cette démarche, mais on peut penser que cette initiative permet aux organisations d’inscrire la souveraineté numérique dans le cadre de leur réflexion sur la transition et de passer à l’acte. Nous espérons que l’accompagnement de tels processus pourrait être un défi qui intéresse les libristes.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Une session de <blockquote><p>Une session de <a href="http://mappingthecommons.net/">mapping the commons</a> se déroulera à Rio du 18 to 26 october 2013 coordonnée par <a href="http://hackitectura.net/">Pablo de Soto</a> en collaboration avec <a href="http://www.bernardogutierrez.es/">Bernardo Gutiérrez</a> et le soutien de MediaLab (Madrid).</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/Nrtbi9gbuWw?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Mapping the commons est un projet développé par Pablo de Soto. Cette initiative vise à produire avec les habitants, les activistes dans le territoire, des cartographies vivantes, composées de courtes vidéos documentaires et de vidéoposts. La démarche proposée prend la forme d’un intense atelier de plusieurs jours avec des étudiants en communication et des activistes pour rechercher les communs, les définir et rendre visible sur le territoire en produisant les médias qui constitueront la carte.</p></br><p>Pablo de Soto a initié cette approche autour des biens communs urbains d’<a href="http://mappingthecommons.net/map-of-istanbul-commons/">istambul</a> et <a href="http://mappingthecommons.net/map-of-athens-commons/">Athènes</a>, On peut voir en particulier qu’un travail avait été conduit sur <a href="http://mappingthecommons.net/taksim-square/">Taksim Square</a>, dont la privatisation a été l’un des points de départ de la contestation en Turquie cette année. La cartographie est un outil stratégique. Mais la recherche des biens communs est un processus de cartographie de l’espace urbains qui doit se comprendre, bien sur « ainsi que le proposent Deleuze et Guattari, et l’ont utilisé de nombreux artistes et activistes durant la dernière décade, comme une <a href="http://cartografiaciudadana.net/athenscommons/auto.php">performance</a> qui peut devenir réflexion, travail artistique, ou action de transformation sociale » (Pablo Soto).</p></br><p>Le 20 mars 2013 un wikisprint a été réalisé à Barcelone utilisant les mêmes principes et méthodologie. Sous le titre de « Global P2P », il s’agissait de cartographier les pratiques de Communs et de P2P en Amérique latine et en Europe du sud. Voir en anglais <a href=" http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/08/07/globalp2p-the-wind-that-shook-the-net/">#GlobalP2P, the wind that shook the net</a>. </p></br><p>Rio, prochaine étape de Mapping the commons, est l’une des villes qui vient de vivre, comme le reste du Brésil, des mobilisations sociales et politiques intenses contre des festivités internationales à venir qui tendent à <a href="http://scinfolex.wordpress.com/?s=olympique">privatiser l’espace public</a>. Beaucoup considèrent que ces mobilisations, leurs revendications et leurs modes d’organisation relèvent du paradigme des Communs. Voir les analyses sur le sujet de Bernardo Guttierez dans <a href="http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/05/23/globalp2p-el-viento-que-desordeno-las-redes/">globalp2p el viento que desordeno las redes</a> et d’Alexandre Mendes dans <a href="http://uninomade.net/tenda/a-atualidade-de-uma-democracia-das-mobilizacoes-e-do-comum/"> A atualidade de uma democracia das mobilizacoes e do comum/</a></p></br><p>Pour aller plus loin, lire l’article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop">Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul</a>, Pablo De Soto, Daphne Dragona, Aslıhan Şenel, Demitri Delinikolas, José Pérez de Lama</p>"http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop">Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul</a>, Pablo De Soto, Daphne Dragona, Aslıhan Şenel, Demitri Delinikolas, José Pérez de Lama</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p>Une session de <blockquote><p>Une session de <a href="http://mappingthecommons.net/">mapping the commons</a> se déroulera à Rio du 18 to 26 october 2013 coordonnée par <a href="http://hackitectura.net/">Pablo de Soto</a> en collaboration avec <a href="http://www.bernardogutierrez.es/">Bernardo Gutiérrez</a> et le soutien de MediaLab (Madrid).</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/Nrtbi9gbuWw?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Mapping the commons est un projet développé par Pablo de Soto. Cette initiative vise à produire avec les habitants, les activistes dans le territoire, des cartographies vivantes, composées de courtes vidéos documentaires et de vidéoposts. La démarche proposée prend la forme d’un intense atelier de plusieurs jours avec des étudiants en communication et des activistes pour rechercher les communs, les définir et rendre visible sur le territoire en produisant les médias qui constitueront la carte.</p></br><p>Pablo de Soto a initié cette approche autour des biens communs urbains d’<a href="http://mappingthecommons.net/map-of-istanbul-commons/">istambul</a> et <a href="http://mappingthecommons.net/map-of-athens-commons/">Athènes</a>, On peut voir en particulier qu’un travail avait été conduit sur <a href="http://mappingthecommons.net/taksim-square/">Taksim Square</a>, dont la privatisation a été l’un des points de départ de la contestation en Turquie cette année. La cartographie est un outil stratégique. Mais la recherche des biens communs est un processus de cartographie de l’espace urbains qui doit se comprendre, bien sur « ainsi que le proposent Deleuze et Guattari, et l’ont utilisé de nombreux artistes et activistes durant la dernière décade, comme une <a href="http://cartografiaciudadana.net/athenscommons/auto.php">performance</a> qui peut devenir réflexion, travail artistique, ou action de transformation sociale » (Pablo Soto).</p></br><p>Le 20 mars 2013 un wikisprint a été réalisé à Barcelone utilisant les mêmes principes et méthodologie. Sous le titre de « Global P2P », il s’agissait de cartographier les pratiques de Communs et de P2P en Amérique latine et en Europe du sud. Voir en anglais <a href=" http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/08/07/globalp2p-the-wind-that-shook-the-net/">#GlobalP2P, the wind that shook the net</a>. </p></br><p>Rio, prochaine étape de Mapping the commons, est l’une des villes qui vient de vivre, comme le reste du Brésil, des mobilisations sociales et politiques intenses contre des festivités internationales à venir qui tendent à <a href="http://scinfolex.wordpress.com/?s=olympique">privatiser l’espace public</a>. Beaucoup considèrent que ces mobilisations, leurs revendications et leurs modes d’organisation relèvent du paradigme des Communs. Voir les analyses sur le sujet de Bernardo Guttierez dans <a href="http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/05/23/globalp2p-el-viento-que-desordeno-las-redes/">globalp2p el viento que desordeno las redes</a> et d’Alexandre Mendes dans <a href="http://uninomade.net/tenda/a-atualidade-de-uma-democracia-das-mobilizacoes-e-do-comum/"> A atualidade de uma democracia das mobilizacoes e do comum/</a></p></br><p>Pour aller plus loin, lire l’article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop">Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul</a>, Pablo De Soto, Daphne Dragona, Aslıhan Şenel, Demitri Delinikolas, José Pérez de Lama</p>"http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop">Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul</a>, Pablo De Soto, Daphne Dragona, Aslıhan Şenel, Demitri Delinikolas, José Pérez de Lama</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>italiano sotto&<blockquote><p>italiano sotto</p></blockquote></br><p><strong>Festival International des communs, Chieri, Italie, Dimanche, 12 juillet, de 12:00 à 18:00.</strong><br /></br>Salle : Sala conferenze della biblioteca</p></br><p>Reconquérir, protéger et créer des communs dans nos quartiers et dans nos villes, les communs urbains, contribue à la réalisation effective et quotidienne de droits fondamentaux et de droits sociaux.</p></br><p>En pratique, ces luttes prennent des formes multiples. Toutes sont confrontées à la nécessité de la création et de l’usage d’instruments juridiques originaux qui permettent d’administrer des ressources partagées en communs en vue de répondre à un besoin spécifique au sein d’une communauté. Chacune de ces créations juridiques est singulière. Elle correspond à un contexte, à une vision, à une culture.</p></br><p>Elle nous renseigne sur l’inventivité et l’imagination créative des commoners et sur la relation qu’ils entretiennent avec l’État à l’échelle locale, nationale ou même international.</p></br><p>La connaissance de ces expériences juridiques permet d’enrichir celles des autres commoners. L’analyse des pratiques qui les ont produites ou inspirées, est un facteur potentiel de développement et de multiplication des communs. Dans le cadre du Festival des communs de Chieri, nous proposons un atelier pour élaborer collaborativement un outil d’analyse des instruments juridiques, des statuts, des chartes et des règlements pour les communs. Cet outil, l’Atlas des chartes des communs urbains, servira à connaître la nature, comprendre le fonctionnement, les effets et les conditions de développement des instruments juridiques favorables aux communs. Ce sera une ressource opérationnelle et critique pour les échanges et les collaborations entre collectifs de commoners engagés dans la revendication de communs urbains, dans des projets de différentes natures, situés dans différents contextes culturels, droits locaux et nationaux.</p></br><p>L’atelier sera organisé en deux temps distincts auxquels il est possible de participer indépendamment :</p></br><p><strong>De 12:00 à 15:00.</strong><br /></br>– le premier atelier permettra de faire l’inventaire et de partager toutes les démarches et les expériences qui valorisent les instruments juridiques des communs urbains, afin de faciliter la coopération entre les militants, les initiatives et les organisations engagées;</p></br><p><strong>De 15:00 à 18:00.</strong><br /></br>– le deuxième temps permettra une mise en pratique de l’analyse d’instruments juridiques, statuts, délibération, règlements et chartes des communs urbains, à partir d’une première grille de lecture qui servira de matrice à l’Atlas des chartes des communs urbains. L’objectif sera de réaliser une première itération de cette grille d’analyse, afin de pouvoir l’améliorer. Il s’agira aussi élaborer un ou plusieurs scénario d’usage de cet outil correspondant à des besoins identifiés.</p></br><p>Les deux ateliers seront animés par : Alain Ambrosi, Irene Favero, Daniela Festa, Frédéric Sultan</p></br><p><strong>Inscription recommandées afin de faciliter l’organisation de l’atelier : </strong><a href=" http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p></br><p><strong>Contact : </strong><br /></br><a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /></br><a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /></br><a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /></br><a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p></br><blockquote><p>ITALIANO</p></blockquote></br><h2>WORKSHOP: Creazione di un Atlante degli statuti dei Commons Urbani</h2></br><p><strong>Festival Internazionale dei Beni Comuni, Domenica 12 luglio dalle 12:00 alle 18:00.</strong><br /></br>Sala conferenze della biblioteca</p></br><p>Rivendicare, proteggere e creare commons nei nostri quartieri e nelle le nostre città contribuisce all’attuazione effettiva e quotidiana di diritti fondamentali e di diritti sociali.</p></br><p>Nella pratica, le lotte per i beni comuni urbani possono assumere forme eterogenee. Tutte si trovano confrontate, tuttavia, alla necessità di usare o creare regole e strumenti giuridici che permettano di governare risorse condivise per rispondere a esigenze specifiche di un comunità. Tali strumenti hanno caratteri propri. Corrispondono a determinati contesti e visioni e sono espressioni di determinate culture. Forniscono informazioni sull’inventività e l’immaginazione creativa dei commoners e la relazione che questi hanno con lo Stato a livello locale, nazionale, internazionale.</p></br><p>La conoscenza di queste esperienze giuridiche può arricchire gli altri commoners. L’analisi delle pratiche che le hanno prodotte o ispirate è un potenziale fattore di sviluppo e moltiplicazione dei commons. Nel contesto del Festival dei beni comune di Chieri, proponiamo un workshop per elaborare collettivamente uno strumento di analisi di statuti, dichiarazioni e regolamenti che si sono prodotti a partire dai beni comuni. Questo strumento, “Atlante degli statuti dei commons urbani”, servirà a comprenderne la natura, analizzarne il funzionamento e gli effetti e individuare le condizioni e le premesse per lo sviluppo di strumenti giuridici che possano favorire i commons. Sarà una risorsa critica e operativa per gli scambi e la cooperazione tra i collettivi di commoners impegnati nella rivendicazione dei diversi beni comuni urbani situati in diversi contesti culturali e giuridici.</p></br><p>Il workshop sarà organizzato in due momenti diversi ai quali è possibile partecipare in modo indipendente:</p></br><p><strong>Delle 12:00 alle 15:00:</strong><br /></br>– Il primo workshop si propone di individuare e condividere le pratiche e le esperienze ascrivibili alle rivendicazioni di urban commons per facilitare la cooperazione tra attivisti, esperienze e realtà presenti;</p></br><p><strong>Dalle 15:00 alle 18:00:</strong><br /></br>– Il seconda workshop consentirà di sperimentare l’analisi dei diversi strumenti giuridici elaborati: statuti, regolamenti, delibere, linee guida a partire da una prima griglia di lettura che servirà da matrice per L’Atlante degli statuti dei commons urbani.</p></br><p>L’obiettivo è quello di realizzare una prima sperimentazione della griglia d’analisi per correggerla e migliorarla e di proporre uno o più scenari di utilizzo dello strumento corrispondente alle necessità emerse durante l’insieme dei lavori.</p></br><p>Entrambi i laboratori saranno condotti da: Alain Ambrosi, Irene Favero, Daniela Festa, Frédéric Sultan</p></br><p>Registrazione raccomanda di facilitare lo svolgimento del workshop : <a href=" http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p></br><p><strong>Contact : </strong><br /></br><a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /></br><a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /></br><a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /></br><a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p>/doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p> <p><strong>Contact : </strong><br /> <a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /> <a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /> <a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /> <a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<div class="mx_EventTile mx_EventTile_1<div class="mx_EventTile mx_EventTile_12hr mx_EventTile_continuation" tabindex="-1" aria-atomic="true"></br><div class="mx_EventTile_line"></br><figure id="attachment_6635" aria-describedby="caption-attachment-6635" style="width: 342px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6635 " src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-342x222.jpg" alt="La révolution des communs et le droit" width="342" height="222" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-342x222.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-607x395.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-768x499.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-1536x999.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240.jpg 1958w" sizes="(max-width: 342px) 100vw, 342px" /><figcaption id="caption-attachment-6635" class="wp-caption-text">La révolution des communs et le droit</figcaption></figure></br></div></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Étienne Le Roy est l’un des pères de l’anthropologie du droit, dont le creuset a été la connaissance des formes de partage de la terre dans les cultures africaines. </span></span><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Dans cet ouvrage il nous propose de mettre ce savoir au service d’une compréhension des communs émergents dans nos sociétés modernes. Déroulant le fil de la juridicité des communs, l’auteur nous amène à distinguer les néo-communs, ceux qui sont produits par la société capitaliste elle-même, pour en comprendre toute la complexité et dégager les implications autant politiques et juridiques que scientifiques, de leur émergence. </span></span></p></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Ouvrage posthume, La révolution des communs et le droit nous transmet toute l’énergie que son auteur n’a cessé de puiser dans le dialogue interculturel et la conviction que le pluralisme normatif nous apporte des outils pour nous projeter dans la postmodernité.</span></span></p></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Publié en collaboration par les <a href="https://www.editionscienceetbiencommun.org/la-revolution-des-communs-et-le-droit/" target="_blank" rel="noopener">Éditions Science et Bien Commun</a> </span></span><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">et Remix the Commons.</span></span></p></br><div class="mx_MessageActionBar" role="toolbar" aria-label="Actions de message" aria-live="off"></br><div class="mx_AccessibleButton mx_MessageActionBar_maskButton mx_MessageActionBar_replyButton" tabindex="-1" role="button" aria-label="Répondre"></br><div>Pour accéder au <a href="https://scienceetbiencommun.pressbooks.pub/communsdroit/" target="_blank" rel="noopener">livre en version html, cliquez ici</a>.<br /></br>Pour télécharger le <a href="https://doi.org/10.5281/zenodo.5730710" target="_blank" rel="noopener">PDF, cliquez ici</a>.</div></br><div>La version papier est à prix libre avec contribution aux frais de port (5,91€ pour un envoi en France métropolitaine et sur consultation pour l’Europe et le reste du monde). Rendez vous sur <a href="https://opencollective.com/la-revolution-des-communs#category-ABOUT">Open Collective</a>.</div></br></div></br><div class="mx_AccessibleButton mx_MessageActionBar_maskButton mx_MessageActionBar_optionsButton" tabindex="-1" role="button" aria-haspopup="true" aria-expanded="false" aria-label="Options"></br><div></div></br></div></br></div></br></div></br><div class="mx_EventTile mx_EventTile_12hr mx_EventTile_continuation" tabindex="-1" aria-atomic="true"></br><p class="mx_EventTile_line"><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Si vous souhaitez réaliser une recension de l’ouvrage, vous pouvez nous contacter en envoyant un courriel à <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a><br /></br></span></span></p></br></div>="true"> <p class="mx_EventTile_line"><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Si vous souhaitez réaliser une recension de l’ouvrage, vous pouvez nous contacter en envoyant un courriel à <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a><br /> </span></span></p> </div>)
  • Chargement/Site  + (<figure id="attachment_6619" aria-descr<figure id="attachment_6619" aria-describedby="caption-attachment-6619" style="width: 512px" class="wp-caption alignnone"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full wp-image-6619" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/08/Conseil_dEtat_Paris.jpg" alt="<a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Conseil_d%27%C3%89tat_(Paris).jpg">Gzen92</a>, <a href="https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0">CC BY-SA 4.0</a>, via Wikimedia Commons" width="512" height="384" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/08/Conseil_dEtat_Paris.jpg 512w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/08/Conseil_dEtat_Paris-342x257.jpg 342w" sizes="(max-width: 512px) 100vw, 512px" /><figcaption id="caption-attachment-6619" class="wp-caption-text"><a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Conseil_d%27%C3%89tat_(Paris).jpg">Gzen92</a>, <a href="https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0">CC BY-SA 4.0</a>, via Wikimedia Commons</figcaption></figure></br><p>Adopté par l’Assemblée nationale, le projet de loi confortant le respect des principes de la République a fait l’objet de deux saisines du Conseil Constitutionnel. L’une sur l’article 49 de la loi, relatif à l’enseignement en famille par les députés des groupes LR, UDI et Libertés et Territoires (<a href="https://www.deputes-les-republicains.fr/images/documents/Saisine-CC-PJL-respect-principes-de-la-Republique-et-lutte-contre-le-separatisme.pdf">lien</a>) et l’autre sur les articles 4, 6, 7, 8, 14 bis AA et 18 par 71 députés des groupes Gauche démocrate et républicaine, La France insoumise et Socialistes et apparentés (<a href="https://lafranceinsoumise.fr/2021/07/23/loi-separatisme-la-france-insoumise-participe-au-recours-collectif-devant-le-conseil-constitutionnel/">lien</a>). Le Conseil Constitutionnel prévoit de rendre sa décision le 13 août (<a href="https://www.conseil-constitutionnel.fr/actualites/calendrier-de-travail-sur-les-decisions-a-venir">https://www.conseil-constitutionnel.fr/actualites/calendrier-de-travail-sur-les-decisions-a-venir</a>).</p></br><p><strong>Remix est co-signataire de la contribution extérieure associative demandant la censure de plusieurs articles du projet de loi envoyée le lundi 26 juillet au Conseil Constitutionnel. </strong><strong>Vous retrouverez l’intégralité de la contribution extérieure sur le site de L.A. Coalition pour les libertés associatives en cliquant ici</strong> : <a href="https://www.lacoalition.fr/CP-LA-Coalition-pour-les-libertes-associatives-demande-au-Conseil">https://www.lacoalition.fr/CP-LA-Coalition-pour-les-libertes-associatives-demande-au-Conseil</a></p>.fr/CP-LA-Coalition-pour-les-libertes-associatives-demande-au-Conseil">https://www.lacoalition.fr/CP-LA-Coalition-pour-les-libertes-associatives-demande-au-Conseil</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<figure id="attachment_6626" aria-descr<figure id="attachment_6626" aria-describedby="caption-attachment-6626" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6626 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg" alt="" width="607" height="273" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-342x154.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-768x346.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1.jpg 1024w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6626" class="wp-caption-text">Photo Vincent Calle</figcaption></figure></br><h2>Appel en commun</h2></br><p>le 19 février 2021.Rencontre avec Joël Lecussan, coordinateur de Mix’art Myris et une personne membre d’un lieu, une réalité sociale du réseau italien des communs urbains, à partir des questions suivantes : <strong>Comment créer et maintenir des conditions d’une pérennité des lieux indépendants en communs ? Quelles stratégies ont été mises en place ? Quelles expériences partager et quelles solidarités pour soutenir les lieux menacés ?</strong></p></br><p style="padding-left: 40px;">Date : mardi 23/02/2021<br /></br>Heure : de 20 h à 21 h CET (Paris) – 14 h à 15 h EDT (Montréal)<br /></br>Rencontre en ligne : <a href="https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw">https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw</a><br /></br>(utilisez votre navigateur – aucune installation d’application n’est nécessaire)<br /></br>La rencontre se déroulera en français.</p></br><p>Un grand nombre de lieux occupés fonctionnent sur la base des communs. Les artistes y trouvent un espace de travail collectif alors qu’ils sont souvent confrontés à la rareté des espaces accessibles en milieu urbain. Ils sont le creuset où s’élabore la production artistique à laquelle aura accès le public. Ces lieux sont aussi des espaces les communautés produisent, diffusent et reproduisent de la connaissance utile à leur membres. Ils permettent de satisfaire de nombreux besoins d’utilisatrices et d’utilisateurs dans des domaines très variés : santé, alimentation, éducation, accès aux droits, accueil des réfugié-e-s pour ne citer que les plus courants. Ce rapport à la communauté en fait de véritables lieux en commun, de l’agir en commun : auto-organisation et horizontalité de la gouvernance, partage des ressources, soin apporté à la communauté et ses conditions d’existence.</p></br><p>Pourtant, l’existence de ces lieux est fragile. Leur rôle est remis en cause et ils sont souvent menacés d’expulsion sur des bases administratives. C’est ce qui arrive aujourd’hui à Mix’art à Toulouse. Mix’art Myris, c’est pourtant le squat emblématique de la scène artistique et sociale de la ville rose. Des générations de plasticiens, sculpteurs, circaciens s’y sont retrouvés. Et ces dernières années, le lieu est devenu un point de ralliement pour le mouvement des gilets jaunes. L’appel en commun sera l’occasion d’un échange sur entre militants français et italiens qui font face à ces questions et imaginent des stratégies pour défendre les lieux communs.</p>éfendre les lieux communs.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<h1 id="magicdomid852"><strong><h1 id="magicdomid852"><strong>Présentation</strong></h1></br><h3 id="magicdomid4">Contexte :</h3></br><div id="magicdomid63">En automne 2012, j’ai été invitée à accompagner un groupe de treize adolescents-es dans une expérience interculturelle et humanitaire en tant que vidéaste documentaire. Organisé par le Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVSEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine, le séjour s’est déroulé au Bénin (du 4 au 22 janvier 2013) avec la Société des Missions Africaines. Mon mandat: réaliser un documentaire sur l’expérience béninoise. Étant à ce moment animatrice vidéo chez Communautique, le séjour humanitaire a été l’occasion de créer des liens avec mon milieu de travail. J’ai donc proposé la création de capsules vidéo sur les biens communs au Bénin.</div></br><div id="magicdomid7"></div></br><div id="magicdomid8">Pour préparer l’expérience à l’étranger, il y a eu deux camps de formation. J’ai préparé des ateliers vidéo pour transmettre des connaissances techniques, pour expérimenter avec les jeunes et pour scénariser la vision du projet vidéo. Lors du deuxième camp, la notion de bien commun a été abordé en parallèle à la présentation de Remix Biens Communs. J’ai invité les jeunes à choisir trois thèmes qui les interpellaient. Ils ont identifié l’eau, l’éducation et la culture. Ceux-ci devenaient par la suite des sujets des discussions ou d’observations pour documenter notre séjour.</div></br><div id="magicdomid9"></div></br><div id="magicdomid10">Stéphanie L.-Bérubé</div></br><div id="magicdomid11">Vidéaste documentaire</div></br><div id="magicdomid12"></div></br><h3 id="magicdomid426">Projet final : Bénin Bien Commun</h3></br><div id="magicdomid14"></div></br><div id="magicdomid15">Le projet se traduit en une série de cinq capsules vidéo, réalisées à partir du matériel recueilli, qui ouvre sur des possibilités de remix.</div></br><div id="magicdomid17"></br><ul></br><li>Chapitre de l’eau</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid18"><b>Sô-Ava et ses heaurizons </b></div></br><div id="magicdomid19">La commune de So-Âva (Ganvié) regroupe plusieurs villages dont plusieurs sont bâtis sur pilotis. La sacralité de l’eau, l’accès à l’eau potable et la culture locale de la pêche sont abordés dans cette vidéo qui sert les objectifs de VOIR et d’ANALYSER du Service en animation et à la vie étudiante et communautaire (SAVEC).</div></br><div id="magicdomid20"></div></br><div id="magicdomid21"><b>PUITS</b></div></br><div id="magicdomid22">« Quand le puits est sec, on sait ce que vaut l’eau. » Ou encore, « c’est avec l’eau du corps qu’on tire celle du puits. » Vous trouverez beaucoup de ces proverbes africains, car le puits est un symbole connu de l’accès à l’eau en Afrique. Pendant notre séjour, nous avons vu une diversité de puits. Aussi, les jeunes ont pu essayer de leurs propres mains la courroie de l’accès. Une petite capsule a été réalisée afin de  lui rendre hommage, une ode indirecte à l’eau.</div></br><div id="magicdomid23"></div></br><div id="magicdomid24"></br><ul></br><li>Chapitre de l’éducation</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid25"><b>L’éducation dans tous ses états</b></div></br><div id="magicdomid26">La jeune COOP du Collège Sainte-Anne de Lachine appuie des projets d’éducation dans le monde. C’est donc avec grand intérêt que les jeunes ont souhaité abordé la diversité des lieux d’éducation au Bénin. Dans cette capsule, quatre situations (l’école rurale, l’école en pirogue, formation et réinsertion, l’éducation appliquée) sont abordées et  illustrent qu’un projet d’éducation doit s’inscrire d’abord dans le contexte local pour appuyer son développement national.</div></br><div id="magicdomid27"></div></br><div id="magicdomid28"></br><ul></br><li>Chapitre de la culture immatérielle</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid29">De l’histoire aux pratiques spirituelles, le bien commun se traduit également par la façon dont les individus se regroupent pour prendre en charge la culture immatérielle de leur nation et de notre humanité.</div></br><div id="magicdomid30"></div></br><div id="magicdomid31"><b>Le chez soi</b></div></br><div id="magicdomid32">Quel est le rôle de l’Histoire dans notre compréhension de la démocratie, des droits humains et, finalement, du bien commun? Comment le passé peut expliquer les réalités d’aujourd’hui et nous faire réfléchir sur l’avenir? Dans cette vidéo, l’histoire de l’esclavage est mis en parallèle (et donc en opposition) avec la notion du « chez soi » afin d’améliorer notre compréhension de la liberté des États africains et des Africains. Où ce chez soi commence-t-il?</div></br><div id="magicdomid33"></div></br><div id="magicdomid34" style="padding-left: 30px;">« Le chez soi est un droit inné que nul n’a le droit de violer parce qu’il est source d’affection, de bonheur, de liberté d’action, de liberté d’expression. Je crois que le chez soi commence dans le foyer. […] il s’entend à la cour, à l’environnement, à la région, au pays organisé. » <i>(intervention en introduction : « Jusqu’où es-tu chez soi? Petit déjeuner en commun à Kédougou » réalisé par Anne-Julie Rollet et Kër Thiossane en collaboration avec La Companyìa)</i></div></br><div id="magicdomid35"></div></br><div id="magicdomid36"><b>Le monde invisible</b></div></br><div id="magicdomid430">Tournée lors de la Journée internationale du vaudou au Bénin, cette vidéo présente une discussion avec les jeunes sur leur perception et  leur compréhension de la fête religieuse. Le caractère ethnographique de cette vidéo illustre la complexité de la diversité et permet de réfléchir à la façon d’aborder l’interculturel en matière de biens communs et de métaphysique à travers des questions telles que: D’où viennent  vos conceptions du monde? Comment se reflètent-elles dans vos actions, votre intégrité et, donc, votre approche du bien commun?</div></br><div id="magicdomid728"></div></br><h2 id="magicdomid850">Futur développement</h2></br><div id="magicdomid1023"></br><div id="magicdomid422">Actuellement, ce projet personnel est terminé. Il présente néanmoins un potentiel de développement et de réutilisation pour aborder les biens communs en Afrique ou la perspective interculturelle des biens communs.</div></br><div id="magicdomid410"></br><ul></br><li>Le matériel peut être utilisé pour des remixs.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid411"></br><ul></br><li>Les capsules sur l’eau pourraient être utilisées dans des projets vidéo sur l’eau selon différents pays. Par exemple, faire un remix de « Sô-AVA et ses heaurizons » de Bénin Biens Communs et de « Ô Saint-Laurent : une histoire de culture et d’appartenance » de Communautique.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid412"></br><ul></br><li>Le chapitre sur l’éducation offre du matériel intéressant à croiser dans une réflexion mondiale sur la diversité des projets ou des réalités de l’éducation.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid413"></br><ul></br><li>Les deux capsules du chapitre « culture » mériteraient d’être améliorées par du nouveau matériel qui permettent de mieux encadrer la réflexion (qu’est-ce qu’un bien commun culturel immatériel?) et donc de la clarifier. Aussi, un remix peut mettre en parralèle de nouveaux matériels audiovisuels qui illustrent d’autres exemples concrets.</li></br></ul></br></div></br></div></br><div id="magicdomid1141">Les vidéos seront sous-titrées en français pour l’accessibilité du web pour les sourds, mais pourraient également être traduites en anglais.</div></br><div id="magicdomid1143"></div></br><h2 id="magicdomid1347">Collaborateurs</h2></br><div id="magicdomid47">Réalisation et montage : Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid48">Caméra: captation collective (les treize jeunes du groupe*), sous la direction de Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid49">* Anne-Julie, Amélie, Ariane, Cassandra, Cédric, Charlotte, Daphnée, Élaine, Mathieu, Marika, Nathaniel, Roxanne et Zoé.</div></br><div id="magicdomid50">Accompagnateurs: Martin Chevalier et François Gnonhoussou</div></br><h2 id="magicdomid1364">Financement</h2></br><p>Une production de Communautique, avec l’appui du Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine.</p></br><div id="magicdomid54"></div></br><div id="magicdomid55"></br><h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2></br></div></br><div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>p> <div id="magicdomid54"></div> <div id="magicdomid55"> <h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2> </div> <div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>)
  • Chargement/Site  + (<h1 id="magicdomid852"><strong><h1 id="magicdomid852"><strong>Présentation</strong></h1></br><h3 id="magicdomid4">Contexte :</h3></br><div id="magicdomid63">En automne 2012, j’ai été invitée à accompagner un groupe de treize adolescents-es dans une expérience interculturelle et humanitaire en tant que vidéaste documentaire. Organisé par le Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVSEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine, le séjour s’est déroulé au Bénin (du 4 au 22 janvier 2013) avec la Société des Missions Africaines. Mon mandat: réaliser un documentaire sur l’expérience béninoise. Étant à ce moment animatrice vidéo chez Communautique, le séjour humanitaire a été l’occasion de créer des liens avec mon milieu de travail. J’ai donc proposé la création de capsules vidéo sur les biens communs au Bénin.</div></br><div id="magicdomid7"></div></br><div id="magicdomid8">Pour préparer l’expérience à l’étranger, il y a eu deux camps de formation. J’ai préparé des ateliers vidéo pour transmettre des connaissances techniques, pour expérimenter avec les jeunes et pour scénariser la vision du projet vidéo. Lors du deuxième camp, la notion de bien commun a été abordé en parallèle à la présentation de Remix Biens Communs. J’ai invité les jeunes à choisir trois thèmes qui les interpellaient. Ils ont identifié l’eau, l’éducation et la culture. Ceux-ci devenaient par la suite des sujets des discussions ou d’observations pour documenter notre séjour.</div></br><div id="magicdomid9"></div></br><div id="magicdomid10">Stéphanie L.-Bérubé</div></br><div id="magicdomid11">Vidéaste documentaire</div></br><div id="magicdomid12"></div></br><h3 id="magicdomid426">Projet final : Bénin Bien Commun</h3></br><div id="magicdomid14"></div></br><div id="magicdomid15">Le projet se traduit en une série de cinq capsules vidéo, réalisées à partir du matériel recueilli, qui ouvre sur des possibilités de remix.</div></br><div id="magicdomid17"></br><ul></br><li>Chapitre de l’eau</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid18"><b>Sô-Ava et ses heaurizons </b></div></br><div id="magicdomid19">La commune de So-Âva (Ganvié) regroupe plusieurs villages dont plusieurs sont bâtis sur pilotis. La sacralité de l’eau, l’accès à l’eau potable et la culture locale de la pêche sont abordés dans cette vidéo qui sert les objectifs de VOIR et d’ANALYSER du Service en animation et à la vie étudiante et communautaire (SAVEC).</div></br><div id="magicdomid20"></div></br><div id="magicdomid21"><b>PUITS</b></div></br><div id="magicdomid22">« Quand le puits est sec, on sait ce que vaut l’eau. » Ou encore, « c’est avec l’eau du corps qu’on tire celle du puits. » Vous trouverez beaucoup de ces proverbes africains, car le puits est un symbole connu de l’accès à l’eau en Afrique. Pendant notre séjour, nous avons vu une diversité de puits. Aussi, les jeunes ont pu essayer de leurs propres mains la courroie de l’accès. Une petite capsule a été réalisée afin de  lui rendre hommage, une ode indirecte à l’eau.</div></br><div id="magicdomid23"></div></br><div id="magicdomid24"></br><ul></br><li>Chapitre de l’éducation</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid25"><b>L’éducation dans tous ses états</b></div></br><div id="magicdomid26">La jeune COOP du Collège Sainte-Anne de Lachine appuie des projets d’éducation dans le monde. C’est donc avec grand intérêt que les jeunes ont souhaité abordé la diversité des lieux d’éducation au Bénin. Dans cette capsule, quatre situations (l’école rurale, l’école en pirogue, formation et réinsertion, l’éducation appliquée) sont abordées et  illustrent qu’un projet d’éducation doit s’inscrire d’abord dans le contexte local pour appuyer son développement national.</div></br><div id="magicdomid27"></div></br><div id="magicdomid28"></br><ul></br><li>Chapitre de la culture immatérielle</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid29">De l’histoire aux pratiques spirituelles, le bien commun se traduit également par la façon dont les individus se regroupent pour prendre en charge la culture immatérielle de leur nation et de notre humanité.</div></br><div id="magicdomid30"></div></br><div id="magicdomid31"><b>Le chez soi</b></div></br><div id="magicdomid32">Quel est le rôle de l’Histoire dans notre compréhension de la démocratie, des droits humains et, finalement, du bien commun? Comment le passé peut expliquer les réalités d’aujourd’hui et nous faire réfléchir sur l’avenir? Dans cette vidéo, l’histoire de l’esclavage est mis en parallèle (et donc en opposition) avec la notion du « chez soi » afin d’améliorer notre compréhension de la liberté des États africains et des Africains. Où ce chez soi commence-t-il?</div></br><div id="magicdomid33"></div></br><div id="magicdomid34" style="padding-left: 30px;">« Le chez soi est un droit inné que nul n’a le droit de violer parce qu’il est source d’affection, de bonheur, de liberté d’action, de liberté d’expression. Je crois que le chez soi commence dans le foyer. […] il s’entend à la cour, à l’environnement, à la région, au pays organisé. » <i>(intervention en introduction : « Jusqu’où es-tu chez soi? Petit déjeuner en commun à Kédougou » réalisé par Anne-Julie Rollet et Kër Thiossane en collaboration avec La Companyìa)</i></div></br><div id="magicdomid35"></div></br><div id="magicdomid36"><b>Le monde invisible</b></div></br><div id="magicdomid430">Tournée lors de la Journée internationale du vaudou au Bénin, cette vidéo présente une discussion avec les jeunes sur leur perception et  leur compréhension de la fête religieuse. Le caractère ethnographique de cette vidéo illustre la complexité de la diversité et permet de réfléchir à la façon d’aborder l’interculturel en matière de biens communs et de métaphysique à travers des questions telles que: D’où viennent  vos conceptions du monde? Comment se reflètent-elles dans vos actions, votre intégrité et, donc, votre approche du bien commun?</div></br><div id="magicdomid728"></div></br><h2 id="magicdomid850">Futur développement</h2></br><div id="magicdomid1023"></br><div id="magicdomid422">Actuellement, ce projet personnel est terminé. Il présente néanmoins un potentiel de développement et de réutilisation pour aborder les biens communs en Afrique ou la perspective interculturelle des biens communs.</div></br><div id="magicdomid410"></br><ul></br><li>Le matériel peut être utilisé pour des remixs.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid411"></br><ul></br><li>Les capsules sur l’eau pourraient être utilisées dans des projets vidéo sur l’eau selon différents pays. Par exemple, faire un remix de « Sô-AVA et ses heaurizons » de Bénin Biens Communs et de « Ô Saint-Laurent : une histoire de culture et d’appartenance » de Communautique.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid412"></br><ul></br><li>Le chapitre sur l’éducation offre du matériel intéressant à croiser dans une réflexion mondiale sur la diversité des projets ou des réalités de l’éducation.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid413"></br><ul></br><li>Les deux capsules du chapitre « culture » mériteraient d’être améliorées par du nouveau matériel qui permettent de mieux encadrer la réflexion (qu’est-ce qu’un bien commun culturel immatériel?) et donc de la clarifier. Aussi, un remix peut mettre en parralèle de nouveaux matériels audiovisuels qui illustrent d’autres exemples concrets.</li></br></ul></br></div></br></div></br><div id="magicdomid1141">Les vidéos seront sous-titrées en français pour l’accessibilité du web pour les sourds, mais pourraient également être traduites en anglais.</div></br><div id="magicdomid1143"></div></br><h2 id="magicdomid1347">Collaborateurs</h2></br><div id="magicdomid47">Réalisation et montage : Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid48">Caméra: captation collective (les treize jeunes du groupe*), sous la direction de Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid49">* Anne-Julie, Amélie, Ariane, Cassandra, Cédric, Charlotte, Daphnée, Élaine, Mathieu, Marika, Nathaniel, Roxanne et Zoé.</div></br><div id="magicdomid50">Accompagnateurs: Martin Chevalier et François Gnonhoussou</div></br><h2 id="magicdomid1364">Financement</h2></br><p>Une production de Communautique, avec l’appui du Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine.</p></br><div id="magicdomid54"></div></br><div id="magicdomid55"></br><h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2></br></div></br><div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>p> <div id="magicdomid54"></div> <div id="magicdomid55"> <h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2> </div> <div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>)
  • Chargement/Site 2  + (<h2>Background</h2> <p>I<h2>Background</h2></br><p>In fall 2012 , I was invited to accompany a group of thirteen teenagers in an intercultural and humanitarian experience as a documentary filmmaker. Organized by the Department of animation to the spiritual life and community involvement of Collège Sainte-Anne de Lachine, stay took place in Benin (from 4 to 22 January 2013) with the Society of African Missions. My mandate : make a film about the Benin experience. Being at that time in Communautique, humanitarian trip was an opportunity to build relationships with my workplace. So I proposed the creation of video clips on the commons in Benin.</p></br><p>To prepare for the experience abroad , there were two training camps. I prepared video workshops for imparting technical knowledge to experiment with youth and to script the vision of the video project. In the second camp, the notion of the common good has been addressed in parallel with the presentation Remix the Commons. I invited the young people to choose three themes that challenged them . They identified water , education and culture. These later became the subjects of discussions and observations to document our trip .</p></br><p>Stephanie L. Berube</p></br><p>documentary filmmaker</p></br><p> </p></br><h2>Final Draft : Benin Commons</h2></br><p>The project resulted in a series of five video clips , made from material collected , which opens opportunities remix .</p></br><h3>Chapter intangible culture</h3></br><p>History of spiritual practices , the common good is also reflected in the way people come together to support the intangible culture of their nation and of our humanity.</p></br><h3>The home</h3></br><p>What is the role of history in our understanding of democracy , human rights and ultimately the common good? How the past can explain the realities of today and make us think about the future ? In this video, the history of slavery in parallel (and in opposition ) with the notion of « home » in order to improve our understanding of the freedom of African countries and Africans. Where the home he starts ?</p></br><p style="padding-left: 30px;"><em>« The home is a birthright that nobody has the right to rape because it is the source of love , happiness , freedom of action , freedom of expression. I think the home begins in the home. [ … ] It refers to the court, the environment, locally, nationally organized . « ( Intervention introduction :  » How far are you from home breakfast joint in Kédougou « directed by Anne- Julie Rollet and Kër Thiossane in collaboration with The Companyia ? )</em></p></br><h3>The invisible world</h3></br><p>Shot during the International Day of Voodoo in Benin, this video presents a discussion with young people about their perception and understanding of the religious holiday. The ethnographic nature of this video shows the diversity and complexity of the opportunity to reflect on the intercultural approach in terms of public goods and metaphysics through questions such as: Where do your ideas come from the world ? How are they reflected in your actions , your integrity and , therefore, your approach to the common good ?</p></br><p> </p></br><h2>Future development</h2></br><p>Currently , this personal project is completed. Nevertheless, it has the potential for development and reuse to address common property in Africa or intercultural perspective of the commons .</p></br><p>The material can be used for remixes .</p></br><p>The caps on the water could be used in video projects on water according to different countries . For example, do a remix of  » Sô- AVA et ses heaurizons  » of Benin Commons and « Ô Saint-Laurent : une histoire de culture et d’appartenance » Communautique .</p></br><p>The chapter on education offers interesting material to cross in a global consideration of the diversity of projects and realities of education.</p></br><p>The two videos in the  » culture » deserve to be improved with new equipment to better frame the discussion ( what is a common good intangible cultural ? ) And thus clarified. Also, a remix can put parralèle new audiovisual materials that illustrate other examples.</p></br><p>The videos will be subtitled in French for web accessibility for deaf people , but could also be translated into English.</p></br><p> </p></br><h2>Collaborators</h2></br><p>And editing: Stephanie L. Bérubé .</p></br><p>Camera: collective shots ( thirteen youth group *) , under the direction of Stephanie L. Bérubé .</p></br><p>* Anne -Julie, Amélie , Ariane , Cassandra , Cedric , Charlotte, Daphne , Elaine , Matthew, Marika , Nathaniel , Roxanne and Zoe.</p></br><p>Accompanying Martin Chevalier François Gnonhoussou</p></br><p> </p></br><h2>Funding</h2></br><p>Production Communautique , with the support of the Department of animation to the spiritual life and community involvement ( SAVEC ) of the Collège Sainte-Anne de Lachine.</p></br><p> </p></br><h2>Contribution to the project ( Remix Benin Commons )</h2></br><p>The existence of such a project Remix common good has been the driving force in creating the vision of Benin common good as what his presence is a lever to the documentation of the common good . Remix the Commons also facilitates the re- use of the material produced as part of Benin Common Good.</p>( SAVEC ) of the Collège Sainte-Anne de Lachine.</p> <p> </p> <h2>Contribution to the project ( Remix Benin Commons )</h2> <p>The existence of such a project Remix common good has been the driving force in creating the vision of Benin common good as what his presence is a lever to the documentation of the common good . Remix the Commons also facilitates the re- use of the material produced as part of Benin Common Good.</p>)
  • Chargement/Site  + (<h2>Entrevue avec Ugo Mattei. Chieri<h2>Entrevue avec Ugo Mattei. Chieri, 14 juillet 2015</h2></br><p><strong>Auteur : Irene Favero</strong><br /></br><strong>Traduction de Camille Le Crosnier</strong></p></br><p>Cette interview a été réalisée sous la forme d’une promenade, partant de la mairie de Chieri, point central du Festival International des Communs, jusqu’à Ex Tabasso, une friche industrielle de 3000m2, située en centre ville, récupérée pour y instituer un espace en-commun.</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/images/Ugo_Mattei_-_Biennale_Democrazia_2013.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/Ugo_Mattei_-_Biennale_Democrazia_2013.jpg" width="512" height="700" /></a></p></br><p> </p></br><h3><span id="Histoire_d.27un_festival" class="mw-headline">Histoire d’un festival</span></h3></br><p>Ce festival est une tentative de travail sur l’alphabétisation des peuples par rapport aux biens communs. Dans un processus révolutionnaire il est nécessaire de ne pas retomber dans les erreurs du passé. Jusqu’à présent tous les processus révolutionnaires ont fini par retomber dans les mêmes mécanismes de pouvoir en se limitant à changer les personnes qui détiennent ces pouvoirs.</p></br><p>J’ai consacré presque toute ma carrière scientifique et académique à essayer de former des générations et des groupes de personnes qui pourront devenir des leaders une fois la révolution faite, sans retomber dans les erreurs du passé.</p></br><p>La fondation de l’IUC1 n’avait pas comme but de faire la révolution, puisqu’elle viendra de toute façon, mais de me préoccuper de ce qui viendra après. Pendant un certain temps j’ai pensé que cela pouvait se réaliser uniquement grâce aux élites, que l’on pourrait imaginer la construction d’une avant-garde. À partir de 2010-2011 environ, de la période de la première organisation du référendum, j’ai réalisé que les élites sont trop facilement corruptibles et qu’au contraire les masses ne peuvent pas être corrompues, sinon par des processus extrêmement complexes.</p></br><p>J’ai donc pensé que les biens communs devaient devenir une grammaire de masse, que l’on doive arriver d’abord à une fertilisation intellectuelle des personnes, pour leur faire comprendre ce que sont les biens communs, les risques que l’on encourt si on ne s’en préoccupe pas, la joie que l’on ressent à s’en occuper, en bref toutes ces expériences qui rendent la vie digne d’être vécue non pas comme une expérience de masturbation solipsiste mais comme une expérience plus sociale, politique. J’ai donc réfléchi à la façon de contaminer le plus de personnes possible. C’est ce que j’ai essayé de faire à Naples, avec l’idée d’alphabétisation écologique. J’avais introduit, dans le statut de l’Azienda Spéciale ABC (Acqua Bene Comune) de Naples, un chapitre consacré à cette question : investir dans la construction d’une conscience écologique dans les écoles etc. Et je l’ai fait en partie, mais ensuite l’expérience napolitaine s’est arrêtée, d’une façon plutôt dramatique d’ailleurs, et puis je me suis retrouvé avec cette opportunité.</p></br><h3><span id="Contexte_politique_de_Chieri" class="mw-headline">Contexte politique de Chieri</span></h3></br><p>Je n’aurais jamais imaginé participer à une élection administrative et encore moins vouloir devenir maire de Chieri. J’y ai une maison de vacances, mais je n’avais jamais fréquenté l’environnement politique de cette ville. Puis, un groupe de camarades m’ont dit « Ici, c’est l’ennui total, ils sont tous pareils, le Parti démocrate (centre gauche) est comme le PDL (centre droite)… », donc j’ai dit « Si vous voulez utiliser mon nom pour les menacer d’une candidature, allez-y », et ces camarades ont répandu la rumeur selon laquelle j’aurais voulu me porter candidat aux élections locales. Le Parti démocrate, surestimant mes possibilités de gagner l’élection, du fait de ma présence dans le contexte politique national, a proposé de faire un accord politique plutôt que de me laisser participer. Et dans cet accord j’ai négocié un certain nombre de points.</p></br><p>Le premier étant le refus de la construction du Périphérique Est, qui était un grand chantier qui devait se faire, voulu par le Parti démocrate, et ils ont finalement accepté malgré des désaccords importants. Le deuxième était la création d’un règlement pour le gouvernement des biens communs sur lequel j’aurais eu la main, donc différent et plus avancé que celui de Bologne et des autres plus subsidiaires, et qui puisse fonctionner d’une autre façon. Le troisième point était l’organisation d’un festival international des biens communs.</p></br><p>C’était donc un accord d’un an, un accord politique que j’ai respecté. Et nous avons donc organisé le festival avec les camarades : Freddy, Roberta, Ettore, Michele Spanò, les camarades de l’IUC, et toutes les personnes qui ont collaboré.</p></br><p>J’ai vu le festival comme un moyen de faire repartir en Italie le discours sur les biens communs après le référendum sur « l’Acqua bene commune », en remettant les communs au centre de la discussion, avec une dimension nationale et même internationale et pas seulement purement locale. L’idée était de sensibiliser cette population locale qui en a bien besoin : Chieri est une petite ville riche, petite-bourgeoise, très catholique, qui a donc un véritable besoin de pensée critique. Mais il y a aussi une dimension nationale, on voulait essayer de voir combien de personnes ayant participé aux luttes pour les biens communs ces dernières années voulaient y prendre part, et elles sont nombreuses. Il s’agissait d’ouvrir de nouveaux scénarios de dialogue international. L’équilibre entre le monde académique et les activistes en ce qui concerne les communs</p></br><p>Deux choses importantes se sont passées ici. La première étant celle de la réflexion politique : il y a eu un rapprochement en Italie entre les praticiens des biens communs « gentils », donc Rodotà et le monde issu de la commission sur les biens communs (les biens communs libéraux si on peux les appeler ainsi), et les praticiens des biens communs « méchants », les « méchants maîtres », Negri, EuroNomade etc… Et cette recomposition a eu lieu, c’est à dire que nous avons parlé un langage commun, nous nous sommes mis ensemble autour de la table, nous avons repris des conversations qui étaient en suspend depuis longtemps. C’était un point important. À cela s’est ajouté un fait nouveau très important, que l’on comprendra mieux avec le temps : le passage, dans la doctrine catholique relative aux biens communs, de la vision transcendante à la vision immanente. C’est l’un des sujets de discussion que l’on a fait avancer.</p></br><p>Il existe un acte constitutionnel (je prends le point de vue du juriste que je suis) du plus ancien système juridique occidental, celui de l’église catholique, qui a mis dans sa constitution le devoir pour plus d’un milliard de personnes de traiter les biens communs immanents, ceux de la terre, avec une attitude de soin et de protection. Avec une composition de ce type, on est face à une composition constituante. Remettre en jeu, contre le néolibéralisme et contre la pensée unique, une masse très vaste et hétérogène mais réunie autour d’un processus de résistance, cela a une importance énorme. Et cela a fonctionné comme cadre théorique.</p></br><p>Pour ce qui est de la participation citoyenne, il y a eu beaucoup de monde, il y a eu quelques articles dans les journaux, on en a parlé… Bien sûr, nombre de ces séminaires n’étaient pas simples, mais ils ont représenté un moment de discussion et beaucoup de personnes ont participé. Lors des conférences matinales, qui étaient pensées comme des moments d’étude, hier, vendredi matin, il y avait 150-160 personnes engagées dans les trois séminaires, ce matin, samedi, une centaine. Cela signifie qu’environ 250 personnes ont pensé aux communs avec un niveau technique plutôt avancé. Et puis on a parlé de beaucoup d’autres choses aussi, dont l’« Area Tabasso bene comune ».</p></br><p>C’est clair qu’il faut trouver des équilibres, mais on fait ce qu’on peut, c’était une première édition et on verra dans le futur. La suite</p></br><p>Dans l’idéologie de la modernité je refuse l’idée de l’obligation de résultat, l’important c’est le processus. Cette idée du résultat est un peu phallique, ce qui m’intéresse c’est le processus qui conduit au résultat. Ce festival est une partie d’un chemin, qui m’occupe complètement et qui occupe d’autres personnes aussi, qui est le chemin qui doit conduire à l’incendie du grand tas de bois mouillé qu’est le capitalisme, qui peut être incendié mais en s’y prenant de différentes façons. Si tu essayes d’incendier un tas de bois mouillé à partir d’un seul endroit tu n’y arriveras jamais, si tu t’y mets de différents endroits tu y arrives. Comme on ne sait pas quel pourrait être l’endroit le plus adapté, moi, de façon peut-être désordonnée, j’essaye à chaque fois que je peux et d’où je peux. Si chacun fait de même, ensemble, on construit un chemin d’émancipation, et cela serait très beau à mon avis.</p></br><h3><span id="La_dimension_internationale" class="mw-headline">La dimension internationale</span></h3></br><p>Il a été très important d’avoir avec nous le réseau francophone, les camarades des Balkans, des gens comme Bollier, très actif aux Etats Unis, des personnes venues de l’Allemagne, etc… Et pas que des activistes, par exemple des personnes de la European Cultural Foundation qui ont aussi soutenu ce festival et ont été, comme d’habitude, très éclairés. Donc il y a eu des premiers pas. Bien sûr, s’il fallait organiser des états généraux des communs en Europe on pourrait les faire mais il faudrait des ressources, un lieu un peu plus central que Chieri. On pourrait imaginer les mettre en place, mais pour le moment on a fait ce qu’on était en mesure de faire dans ce contexte.</p></br><h3><span id="Que_peut_apporter_Chieri_dans_un_contexte_international_?"></span><span id="Que_peut_apporter_Chieri_dans_un_contexte_international_.3F" class="mw-headline">Que peut apporter Chieri dans un contexte international ?</span></h3></br><p>Chieri, dans ce processus, amène une pratique et une expérimentation, le dépassement d’une fermeture culturelle et intellectuelle plutôt forte qui était là et que l’on a essayé de faire sauter avec ce festival. La politique de la représentativité n’a pas encore été comprise : je perdrai probablement mon poste de maire adjoint suite à ce festival, malgré le succès, à cause des polémiques… mais ça a donné des résultats. Ça a démontré que, dans n’importe quel contexte, il est possible de faire passer la discussion sur les biens communs. Je pense qu’à Chieri aujourd’hui beaucoup de personnes savent ce que sont les biens communs, ou en tout cas en ont entendu parler.</p></br><p>À chaque action correspond une réaction. Il y a des réactions qu’il vaut la peine de contraster et d’autres non. Je ne sais pas si ça en vaut la peine ici, ça dépend des capacités évolutives d’un chemin politique. Chacun n’a qu’une vie, je mène une lutte politique qui n’est pas locale, c’est une lutte politique pour les communs. Ici comme à Naples, qui sont les deux expériences d’administrateur public que j’ai eues, j’ai laissé une marque culturelle, beaucoup de monde a changé sa façon de voir les organisations hiérarchico-administratives suite au passage des biens communs et du travail que l’on a mené dans ces contextes. Et puis est-ce que ça vaut la peine de résister ? Ça dépend, peut-être que si on résistait on pourrait rester, mais ça dépend pour quoi faire. C’est un match politique ouvert. Nous referons sans doute le festival, ici ou ailleurs, à un moment ou un autre. Dans combien de temps ? On verra, on est libre. Si la formule a marché ça on le comprendra après…</p></br><h3><span id="Ex_Tabasso,_friche_et_charte_des_communs"></span><span id="Ex_Tabasso.2C_friche_et_charte_des_communs" class="mw-headline">Ex Tabasso, friche et charte des communs</span></h3></br><p>Cet endroit est une ancienne filature de coton qui a du fermer suite à la mondialisation, du jour au lendemain. L’endroit a été abandonné puis racheté par la mairie dans une opération visionnaire et en dépensant un peu de sous. La mairie a essayé ensuite d’en faire un project financing, elle voulait le transformer en un lieu avec un cinéma, un supermarché et des parkings, en le détruisant et le reconstruisant. Heureusement, le project financing a échoué à cause de la crise, et maintenant se pose la question de ce qu’on peut en faire. Par exemple, au cours de cette première année de mon mandat électoral, j’ai constaté que l’Area Tabasso avait de fait été déclarée bien commun par la population de Chieri, avec des pratiques, un comité qui s’est mis en place, des discussions… C’est un lieu important dans l’imaginaire des gens du coin… et si tu y penses ça ne peux être qu’ainsi pour les citoyens de Chieri. C’est une construction de 33000m2, énorme, très belle, on pourrait y faire beaucoup de choses, une partie de leur vie est liée à ce lieu, c’est leur histoire, le textile est très lié aux conditions de cette ville, donc c’est un endroit idéal…</p></br><p>Je dois dire (en parlant en tant que camarade et non en tant que maire-adjoint) que dans la plupart des autres contextes ce lieu aurait déjà été occupé. Ça aurait été une belle occasion d’occuper un lieu en ayant une administration qui parle de biens communs, on aurait pu voir quelle était la dynamique réelle sous-jacente et quelle part j’aurais pu jouer dans ce sens. Si on pense à une autre expérience comme celle du Colorificio (ancienne usine de peinture) à Pise, c’est une zone plus petite et moins belle que celle-ci, elle a été occupée en très peu de temps et a commencé à revivre. Ici, depuis un an que l’on en parle, aujourd’hui, pour un grand nombre d’habitants de Chieri, c’est la première fois qu’ils ont eu l’intérêt de venir voir et qu’ils sont rentrés, grâce à l’organisation de cette promenade. Cela démontre le type de tissu social existant à Chieri.</p></br><p>Ce festival a ouvert cet espace aux citoyens. Il a ré-ouvert aussi le Bastione della mina où se tiennent ce soir des performances, il y en a une magnifique où l’on va voir les étoiles tous ensemble. C’est un lieu magnifique, public, fermé depuis des années, personne n’y rentrait plus et nous l’avons ré-ouvert pour le festival. On a fait un pacte de partage avec un de mes amis qui s’est occupé de l’ouvrir, qui l’a nettoyé et remis aux normes. La population de Chieri sait maintenant qu’il y a un parc là, qu’elle ne connaissait pas avant. C’est un endroit émouvant de beauté. Chieri n’est pas une belle ville, elle a des côtés très beaux dans un tissu urbain qui a été transformé brutalement par un développement très extractif, il y a des grands immeubles très moches juste à côté de belles constructions du moyen âge. Ce Bastione est une forteresse médiévale qui défendait la ville, et il y a un parc magnifique à l’intérieur. La cour de la mairie, où nous avons fait l’ouverture du festival, est normalement le parking où se garent les employés et c’est un endroit très beau, et la partie devant la mairie c’est normalement l’endroit où on fait la queue pour payer les amendes…</p></br><h3><span id="Le_règlement_:_un_moyen_pour_étudier_un_projet_pour_l’Area_Tabasso"></span><span id="Le_r.C3.A8glement_:_un_moyen_pour_.C3.A9tudier_un_projet_pour_l.E2.80.99Area_Tabasso" class="mw-headline">Le règlement : un moyen pour étudier un projet pour l’Area Tabasso</span></h3></br><p>Le règlement prévoit déjà un avis pour la constitution d’une entité que l’on souhaite voir devenir l’entité de référence pour cet endroit. Si je restais maire-adjoint je soignerais en particulier l’interprétation du règlement, il y a toujours un risque que les règlements soient appliqués d’une façon détournée… Mais si on arrivait à mettre en place une entité autonome, partagée, avec des processus délibératifs de type démocratique, inclusive et non-verticale, cette entité deviendrait la titulaire de l’Area Tabasso et déciderait de ce qui se passe ici, ce qui est quelque chose d’énorme qui ne s’est jamais produit auparavant. Évidemment, il est très difficile de mettre en place cette entité, nous avons mis à disposition un espace public où un groupe de personnes se rencontre tous les mardis, c’est toujours un peu les mêmes mais ce sont eux qui ont organisé tout ça. L’idée est de commencer en transformant le lieu en un espace ouvert, une sorte de place couverte, en faisant les travaux minimum nécessaires pour garantir la sécurité du lieu et que ce soit peu coûteux. Ça serait un endroit où l’on puisse mettre 700 chaises et une scène pour faire des spectacles, y faire du skate, du parkour, du sport, ce qu’on veut… Ici il fait très froid l’hiver, donc avoir un endroit couvert comme celui-ci peut être utile.</p></br><h3><span id="Ne_pas_perdre_de_vue_la_dimension_festive_des_biens_communs" class="mw-headline">Ne pas perdre de vue la dimension festive des biens communs</span></h3></br><p>As-tu jamais essayé de récolter des cerises ? C’est un travail chiant. Au temps des biens communs les paysans récoltaient les cerises tous ensemble, en un jour, en faisant la fête des cerises. Donc, une même activité qui faite tout seul devient l’un des travaux les plus aliénants et ennuyeux qui existent, si faite dans un cadre festif devient une belle chose. On récolte les cerises tous ensemble, on moissonne tous ensemble, et ça devient un travail qui se transforme grâce à la dimension festive. La dimension festive pour les communs est fondamentale parce que tu peux faire la révolution avec le visage triste, tu peux essayer d’être révolutionnaire d’une façon sérieuse ou pensive, ou tu peux faire une révolution en riant. Et l’une des choses que l’on a appris c’est qu’on ne fait pas de révolution si on ne s’amuse pas. Donc oui, la dimension festive est incroyablement importante.</p></br><p>Ici il y aura la place couverte, si on la fait, de là bas jusqu’ici. Et ici c’est un théâtre naturel, il n’y aurait qu’à creuser là, ici tu mets les gradins, là-bas tu mets les écrans, et c’est un théâtre. Avec très peu tu peux imaginer de mettre une structure en bois et en faire une vraie salle de théâtre, dont on a un besoin dramatique dans cette petite ville.</p></br><p>Ça, ça appartient à tous les habitants de Chieri. Du fait de l’avoir ouvert, les gens maintenant se disent « ça c’est à nous ! à notre communauté, on peut construire de la cohésion, en travaillant dur et en investissant de l’argent dedans, mais en ayant un projet commun ». Et le processus pour définir cette vision commune devient un processus démocratique. Ce qui m’intéresserait, mais je ne sais pas si je vais y arriver, c’est de prendre tout ça et de le faire devenir un bien commun d’un point de vue juridique. Que ça ne soit plus public, que ça ne dépende plus de qui a gagné l’élection municipale, que ça ne dépende plus du fait qu’il y ait un maire praticien des biens communs, un maire du Parti démocrate ou un maire du PDL, mais que ça devienne un bien commun pour toujours, que ça devienne une fondation dans l’intérêt des générations futures, que ça devienne un Community Land Trust, que ça devienne une structure juridique différente, nouvelle, complètement autonome par rapport à la machine politique.</p></br><p>Le règlement permet de faire des pas dans ce sens. Évidemment il faut aussi une volonté politique, qui ne sera jamais accordée si le mouvement ne devient pas suffisamment fort autour de tout ça. Les luttes pour l’émancipation ne peuvent jamais être imposées d’en haut. Si socialement, dans cette petite ville, dans cette population, il y a une envie de lutter afin que ce lieu devienne une expérimentation au niveau international, les conditions sont déjà là pour pouvoir le faire et nous les avons construites également d’un point de vue juridique. Si cette volonté politique de la base n’est pas là, il y aura une volonté politique d’en haut, mais je doute fortement qu’elle accepte de se priver d’un bien d’une aussi grande valeur.</p></br><h3><span id="Quelles_convergences_entre_loi_et_pratiques_autour_des_communs_?"></span><span id="Quelles_convergences_entre_loi_et_pratiques_autour_des_communs_.3F" class="mw-headline">Quelles convergences entre loi et pratiques autour des communs ?</span></h3></br><p>En ce qui concerne le contexte de Chieri, jusqu’ici la partie légale est en avance par rapport à la partie sociale, qui n’est pas encore là. Il y a du mouvement autour de ça, je ne sais pas si c’est un mouvement structurellement relevant des communs, ni quels intérêts il y a derrière, mais c’est un processus, donc on verra bien. Ce que je sais c’est qu’il y a du scepticisme du côté électoral, donc on verra, c’est une bataille politique. Mais la partie légale est prête : on peut maintenant suivre un chemin légal pour arriver à ce que l’Area Tabasso soit un bien commun pour toujours. C’est déjà en place, on va voir si on peut remplir ce cadre légal. La loi est juste un contenant, tout dépend de ce que tu mets dedans.</p></br><p>D’une façon plus générale : la relation entre loi et mouvements sociaux est extrêmement compliquée. Je ne suis qu’un juriste, pas un philosophe, donc je ne sais pas vraiment comment faire abstraction de ça. Je me considère comme la preuve vivante du fait qu’on peut être juriste et praticien des biens communs en même temps. Tu peux être juriste et raisonner dans le cadre mental de la loi, qui se développe d’une façon très traditionnelle : s’il faut aller aux tribunaux, je vais aux tribunaux… Mais en même temps j’essaie d’être aux côtés des personnes qui essayent de se battre pour quelque chose et de prendre part à ces luttes, et de comprendre que la loi est là pour les citoyens et essayer de l’interpréter, donc je crois que c’est possible…</p></br><p>Nous avons une classe de juristes qui est prête à travailler dans ce sens, ils ne sont pas nombreux mais ça sera sans doute le cas pour les plus jeunes. Et quelques autres fous plus âgés… même plus âgés que moi !</p></br><p> </p>les citoyens et essayer de l’interpréter, donc je crois que c’est possible…</p> <p>Nous avons une classe de juristes qui est prête à travailler dans ce sens, ils ne sont pas nombreux mais ça sera sans doute le cas pour les plus jeunes. Et quelques autres fous plus âgés… même plus âgés que moi !</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<h2>Rendez-vous avec nos imaginaires<h2>Rendez-vous avec nos imaginaires !</h2></br></br></br></br><blockquote class="wp-block-quote"><p>L’Assemblée des communs est une rencontre  nationale pour mettre les communs à l’agenda, partager les expériences et les relier, débattre, se doter d’outils et de stratégies pour la reconnaissance des communs. Elle se déroule à Marseille du 12 au 14 Novembre 2021</p></blockquote></br></br></br></br><figure class="wp-block-image size-large"><img decoding="async" loading="lazy" width="607" height="752" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-607x752.png" alt="" class="wp-image-6605" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-607x752.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-342x424.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-768x951.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-1240x1536.png 1240w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-1654x2048.png 1654w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /></figure></br></br></br></br><p>Depuis les élections municipales de 2020 en France, les concepts de commun, communs, bien communs, ont été fortement mobilisés dans le discours public et électoral, quoique de manière floue. L’en-commun y apparaît comme une voie alternative entre l’Etat et le Marché, un moyen de renouveler l’action publique par l’initiative citoyenne. Cet intérêt nouveau des collectivités et de l’administration publique actualise pour les acteurs que nous sommes la nécessité de faire en-<br>tendre notre propre voix.</p></br></br></br></br><p>A l’échelle locale, les assemblées des communs s’inscrivent dans la perspective dessinée par le réseau francophone des communs initié par VECAM en 2012 pour relier les réalités urbaines émergentes aux communs alliant connaissance et numérique.</p></br></br></br></br><p>L’assemblée des communs de Lille se constitue lors des Roumics, un événement autour des communs organisé dans le cadre du festival « Temps des communs » en octobre 2015.La même année l’association La Plateforme organise à Marseille une quinzaine « Marseille en Communs » qui regroupe plusieurs acteurs et actrices venu.e.s de Marseille et d’ailleurs.</p></br></br></br></br><p>L’assemblée des communs de Grenoble (ACG) est créée en mars 2017 lors de la Biennale des Villes en Transition, par la convergence entre plusieurs initiatives dont la commission des communs de Nuit Debout Grenoble, la ville de Grenoble, Alpes Solidaires, Alternatiba, le Cairn, Terre de Liens, Planning, l’Atelier Populaire d’Urbanisme…</p></br></br></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="alignnone wp-image-6590 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-607x332.jpg" alt="" width="607" height="332" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-607x332.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-342x187.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-768x420.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-1536x841.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-2048x1121.jpg 2048w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /></p></br><p>A l’échelle translocale, le collectif Remix the commons organise depuis 2012 (Ker Thiossane, festival Afropixel) des rencontres autour des communs dans la francophonie et en Europe, bientôt baptisées « Commons camp » (Grenoble 2018 et Marseille 2020).</p></br><p>Dans le même temps, conscient que, des Nuits debout aux gilets jaunes, du squat à la ZAD comme au tiers-lieu, il se passe des choses du côté des pratiques spatiales, le centre de ressources Artfactories/autresparts, co-fondateur et cheville ouvrière de la CNLII (coordination nationale des lieux intermédiaires et indépendants), impulse une réflexion sur les liens entre communs et pratiques d’occupation d’espaces. Elle aboutit à la tenue en 2018, du 3è forum des lieux intermédiaires et indépendants, aux Ateliers du vent, à Rennes sous l’intitulé « faire commun(S), comment faire ? ». Les lieux intermédiaires s’y déterminent comme communs culturels, spatiaux et transformationnels.</p></br><p>Mais c’est à la faveur du commons camp de Marseille que naît l’idée d’une assemblée des communs, à l’échelle nationale. Les 17, 18 et 19 janvier 2020, à l’initiative de Remix the commons et Artfactories/autres-parts se rassemblent plus de 350 personnes venues tant de Marseille que du reste du monde (Italie, Espagne, Québec, Angleterre, Croatie…).</p></br><p>Les italiens y témoignent de la création toute récente d’une assemblée des communs italienne. En effet, en Italie, le mouvement des beni comuni, après avoir ouvert la voie juridique pour les communs, a vu naître en 2018, une assemblée nationale des communs qui a permis aux différentes expériences menées dans tous le pays de se fédérer et de devenir le creuset d’innovations politiques pour défendre les droits humains et une nouvelle rationalité démocratique.</p></br><p>A l’issue du commons camp se constitue à Marseille un laboratoire d’entraide juridique rassemblant des acteurs, chercheurs et juristes italiens, espagnols et français, dans la perspective de développer les outils et les stratégies juridico-politiques des communs à travers une approche translocale.<br />Entre le Laboratoire d’entraide juridique, Remix the commons, et Art-factories/Autresparts, l’idée d’une assemblée des communs à l’échelle<br />nationale a fait son chemin.</p></br><p>Nous en prenons aujourd’hui l’initiative.</p>Laboratoire d’entraide juridique, Remix the commons, et Art-factories/Autresparts, l’idée d’une assemblée des communs à l’échelle<br />nationale a fait son chemin.</p> <p>Nous en prenons aujourd’hui l’initiative.</p>)
  • Chargement/Site  + (<h3>Presentation</h3> <p><h3>Presentation</h3></br><p><em></em><em><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Penser_les_communs">Framing the commons</a></em> is a series of interviews made during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Boll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, took place in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to talk about their vision of the Commons and of the future of the movement.</p></br><p>Framing the commons is the second chapter produced by Remix The Commons in 2010/2011.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Alain Ambrosi and Abeille Tard</p>s is the second chapter produced by Remix The Commons in 2010/2011.</p> <h3>Collaborators</h3> <p>Alain Ambrosi and Abeille Tard</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<h3>Presentation</h3> <p><h3>Presentation</h3></br><p><em></em><em><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Penser_les_communs">Framing the commons</a></em> is a series of interviews made during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Boll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, took place in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to talk about their vision of the Commons and of the future of the movement.</p></br><p>Framing the commons is the second chapter produced by Remix The Commons in 2010/2011.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Alain Ambrosi and Abeille Tard</p>s is the second chapter produced by Remix The Commons in 2010/2011.</p> <h3>Collaborators</h3> <p>Alain Ambrosi and Abeille Tard</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<h3>Présentation</h3> <p><h3>Présentation</h3></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Penser_les_communs">Penser les communs</a> est une série d’entrevues réalisées lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Boell et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à s’exprimer sur leur vision sur les biens communs et de l’avenir du mouvement des communs.</p></br><p>Framing the commons est le deuxième chapitre produit par Remix The Commons en 2010/2011.</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Alain Ambrosi et Abeille Tard</p>The Commons en 2010/2011.</p> <h3>Collaborateurs</h3> <p>Alain Ambrosi et Abeille Tard</p>)
  • Chargement/Site  + (<h3>Présentation</h3> <p><h3>Présentation</h3></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Penser_les_communs">Penser les communs</a> est une série d’entrevues réalisées lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Boell et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à s’exprimer sur leur vision sur les biens communs et de l’avenir du mouvement des communs.</p></br><p>Framing the commons est le deuxième chapitre produit par Remix The Commons en 2010/2011.</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Alain Ambrosi et Abeille Tard</p>The Commons en 2010/2011.</p> <h3>Collaborateurs</h3> <p>Alain Ambrosi et Abeille Tard</p>)
  • Chargement/Site  + (<ol> <li style="list-style-type: <ol></br><li style="list-style-type: none;"></br><ol>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur</ol></br></li></br></ol></br><p><a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p></br><blockquote><p>En 1928, Ravel compose le Boléro, une partition qui va connaître un succès mondial et des centaines de versions et arrangements. Un crescendo harmonique qui rapporte aussi des millions.</p></br><p>Une excellent série de neuf vidéos de 8 minutes réalisée par Fabian Caux-Lahalle et diffusée par l’INA raconte cette histoire de l’accaparement post-mortem de ce bijou de Maurice Ravel, qui n’en profitera guère, tombant rapidement malade et mourrant moins de dix ans plus tard.</p></blockquote></br><p>Cette série vidéo se regarde comme un roman policier. Traitrises, marché clandestins, paradis fiscaux, et masseuse d’un côté, hommes politiques abreuvés par les lobbies et incapables de défendre le domaine public de l’autre. Nous avons ici une saga qui démontre la nocivité de la notion « d’ayants-droits », le détournement de toutes les lois et pratiques culturelles par des affairistes qui se servent ensuite du pouvoir acquis pour influencer les politiques et réduire toujours plus le domaine public.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/2885055/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN5464180431/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Le tout sur fond de Boléro, dans de nombreuses interprétations venant du monde entier, de tous les styles musicaux et de toutes les époques.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7910555309/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN6248963306/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Ah, les paradis fiscaux pour cacher l’argent récupéré des cendres de Maurice Ravel, mort sans enfants, léguant tout à son frère, lui-même sans enfants.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN2464909165/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Mais c’est bien une affaire politique, dans laquelle les lobbies des industries culturelles ont préempté les pouvoirs publics, et nos chers hommes politiques, prêts à se laisser séduire.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN8716173688/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>La Suisse, Monaco, Gibraltar, Panama… La culture ne connaît pas de frontières, l’argent non plus.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN9205650456/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN4764653149/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7455517816/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>C’est intéressant que ce soit l’INA qui ait produit ce brûlot, juste au lendemain du déclassement par le gouvernement, suite à la pression des lobbies soi-disant de la « culture », de l’article 8 de la Loi Lemaire. Celui-ci visait à protéger les communs informationnels, notamment en permettant aux associations spécialisées de porter plainte pour défendre le domaine public contre les accapareurs.</p></br><p>Il faudrait montrer cela aux membres de la commission mixte Sénat-Assemblée qui va définir au final cette loi. Il faut aussi le montrer à tous nos élus pour qu’ils voient combien leur manque d’intérêt pour la protection du domaine public n’est en réalité qu’une soumission aux arnaqueurs, aux lobbies, aux puissances de l’argent et le mépris de la société et de sa volonté de partage culturel, de ré-interprétation inventive des oeuvres. Qu’ils ne puissent plus fermer les yeux : ils sont responsables de ce qu’on vole au domaine public au profit de société panaméennes ou monégasques.</p></br><p>Qu’en aurait dit Maurice Ravel, qui écrivait : « Prenez un modèle, imitez-le. Si vous avez quelque chose à dire, votre personnalité ne paraîtra jamais mieux que dans votre inconsciente infidélité. » (cette phrase est la conclusion de ce superbe documentaire).</p></br><p>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p>ue chose à dire, votre personnalité ne paraîtra jamais mieux que dans votre inconsciente infidélité. » (cette phrase est la conclusion de ce superbe documentaire).</p> <p>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<ol> <li style="list-style-type: <ol></br><li style="list-style-type: none;"></br><ol>Original publication 21 of May 2016 by Hervé Le Crosnier in</ol></br></li></br></ol></br><p><a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p></br><ol>. Translation by Nicole Leonard</ol></br><blockquote><p>In 1928 Ravel composed Boléro, a piece that would become a worldwide success with hundreds of versions and arrangements. A harmonic crescendo that was also worth millions.</p></br><p>An excellent series of nine 8-minute videos, directed by Fabian Caus-Lahalle and distributed by France’s National Audiovisual Institute, tells the story of the post-mortem reach of this gem from Maurice Ravel, who barely profited from it, rapidly falling ill and dying less than 10 years later.</p></blockquote></br><p>The series looks like a detective story, with treachery, secret markets, fiscal paradises, and a masseuse on one side, and political men inundated by lobbies and incapable of defending the public domain on the other. Here we have a saga that shows the harmfulness of the notion of “rights-holders” – the hijacking of laws and cultural practices by businessmen who then use this acquired power to influence politics and further reduce the public domain.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/2885055/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN5464180431/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Everything is set against a background of Bolero and many interpretations of his work from around the world, in all musical styles and from all time periods.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7910555309/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN6248963306/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Tax havens hide the money coming from the ashes of Maurice Ravel, who died without children and left everything to his brother, who was also childless.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN2464909165/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>But it’s a real political affair in which the cultural industry lobbies pre-empted public powers and our dear political men, ready to be seduced.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN8716173688/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Switzerland, Monaco, Gibraltar, Panama.. culture does not know borders, and neither does money.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN9205650456/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN4764653149/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7455517816/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>It is interesting that it would be the National Audiovisual Institute who produced this rant, just one day after the government’s retraction of Article 8 of the Lemaire Act, following pressure from the supposed “culture” lobbies. This law aimed to protect the information commons, particularly by allowing specialized associations to submit complaints to defend the public domain against enclosure.</p></br><p>This needs to be shown to members of the mixed Senate-National Assembly commission that will definitively define this law. It also needs to be shown to all of our elected officials so that they see how their lack of interest for the protection of the public domain is nothing in reality but a submission to scammers, to lobbies, to monied powers, and to the disregard of society and its desire for cultural sharing and creative reinterpretations of cultural works. They can no longer close their eyes: they are responsible for what they steal from the public domaine for the profit of Panamanian or Monacan society.</p></br><p>What would Maurice Ravel say? He wrote, “Take a model, imitate it. If you have something to say, your personality will never be more evident than your unconscious infidelity” (this sentence is the conclusion to this superb documentary).</p></br><p>Publication 21 of May 2016 by Hervé Le Crosnier in <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a>. Translation by Nicole Leonard</p>gt; <p>What would Maurice Ravel say? He wrote, “Take a model, imitate it. If you have something to say, your personality will never be more evident than your unconscious infidelity” (this sentence is the conclusion to this superb documentary).</p> <p>Publication 21 of May 2016 by Hervé Le Crosnier in <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a>. Translation by Nicole Leonard</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="http://bollier.org/bl<p><a href="http://bollier.org/blog/crds-common-learning-about-commons-through-play" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Article original de David Bollier</a></p></br><blockquote><p>Parce que les pratiques de mise en commun se confrontent à la culture marchande, elles sont fréquemment mal comprises. Quelle est la nature de ce processus de collaboration engagé autour d’objectifs partagés, peut-on se demander. Comment cela fonctionne-t-il, surtout lorsque de nombreuses industries souhaitent privatiser le contrôle des ressources ou empêcher la concurrence par l’action en commun ?</br></p></blockquote></br><p>Matthieu Rhéaume, un commoner et créateur de jeux qui vit à Montréal, a décidé qu’un jeu de cartes pourrait être un excellent véhicule pour faire connaître les communs. « C@rtes en Commun : un jeu de collaboration politique» est le résultat de ses efforts. « Ce jeu a un potentiel immense en associant le sens et le plaisir », m’a expliqué Matthieu. « Les gens peuvent jouer de façon décontractée tout en étant surpris par le méta-apprentissage [sur les communs] qui en résulte ».</p></br><p><iframe loading="lazy" title="Les communs en jeu ... de cartes" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/ISGk4-pf2Ww?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Tout a commencé lors du Forum social mondial (FSM) à Montréal en août 2016. Matthieu Rhéaume a proposé de saisir cette opportunité pour synthétiser les points de vue sur les communs des participants et d’utiliser les résultats pour développer le jeu de cartes. Il a persuadé la Fondation Charles Léopold Mayer et Gazibo, toutes deux basées en France, de soutenir le développement de ce jeu. Quelques cinquante commoners ont ainsi co-créé le jeu avec l’aide d’une petite équipe constituée pour l’occasion. (Le processus est décrit <a href="http://cartesencommun.cc/index.php?title=Documentation_sur_le_processus_de_cr%C3%A9ation" target="_blank" rel="noopener noreferrer">ici</a> )</p></br><p>En tant que concepteur de jeux, Matthieu Rhéaume s’est rendu compte que les jeux réussis et amusants doivent comporter une certaine « rhétorique procédurale » et récompenser les récits. Il avait apprécié de jouer à « Magic: The Gathering », un jeu de cartes multijoueur très populaire et se demandait à quoi ce jeu ressemblerait s’il était collaboratif.</p></br><p>Au FSM, Matthieu Rhéaume a demandé aux participants de partager leurs propres idées sur les biens communs en créant des cartes dans six catégories. Les quatre premières composent le groupe des « cartes communes », comportant des « ressources », des « cartes d’action », des « cartes de proje t» et des «cartes d’attitude ». Deux autres catégories de cartes, les cartes des « forces oppressives », avec des dos noirs, donnent au jeu son moteur, en ce qu’elles appliquent des « effets négatifs » à « l’arène politique » que représente le plateau du jeu. Les effets négatifs sont les « accaparements (enclosures) » et les « crises » contre lesquelles les commoners doivent répondre dans un temps limité en s’organisant collectivement.</p></br><p>Conçu pour être joué par deux à cinq joueurs, une partie dure habituellement entre 60 et 90 minutes. Le principe de base est assez simple pour être compris facilement, mais assez sophistiqué et complexe pour être imprévisible et intéressant. L’objectif principal du jeu est de « créer un contexte politique assez résilient pour défendre les communs contre les crises et les accaparements ». Les joueurs gagnent quand il n’y a plus de cartes des « forces oppressives » dans l’arène politique. Ils perdent s’il y a plus de cinq de ces cartes présentes sur le plateau.</p></br><p>Au dos des cartes des forces oppressives figure un conquistador avec une lance et un texte : « Je suis là pour prendre les communs ». Une des cartes de « forces oppressives », «Élection de Trump!», a pour effet de démobiliser chaque campagne en cours pour les communs. Une autre de ces cartes, « Old Inner Culture », interdit l’usage des cartes d’attitude (qui pourraient autrement aider la mise en commun). Une carte « Peur de l’inconnu » interdit aux joueurs de tirer de nouvelles cartes pendant un tour de table. En revanche, les cartes communes comportent des choses telles que les jardins urbains, les Premières nations, la décroissance et les médias indépendants. La série de cartes « Attitude » influe sur la capacité d’un joueur à coopérer.</p></br><p>Les participants au FSM ont contribué au jeu en proposant et illustrant 240 cartes, fournissant de nombreux exemples de la mise en commun et des accaparements. Pour produire la première version du jeu, Matthieu Rheaume, en a retenu 120 qu’il a fait imprimer. Cela lui a permis de tester le jeu C@rtes en commun (plus de 25 parties) et quatre itérations de conception, essayant de rapprocher le taux de réussite au jeu de 50 %. Les joueurs vont découvrir que la coopération devient de plus en plus complexe à mesure que de nouvelles variables sont introduites sur le plateau de jeu. Un livret décrit comment les joueurs peuvent rendre la partie encore plus difficile – en accélérant les phénomènes d’enclosure et en réduisant le temps de mobilisation de la société civile.</p></br><p>Matthieu Rhéaume reconnait que la première partie de C@rtes en commun peut être difficile, mais il a réalisé des vidéos accessibles en ligne pour aider les nouveaux joueurs à apprendre à jouer. (Voir cette <a href="https://www.youtube.com/watch?v=5lr5Ohtn2sQ" target="_blank" rel="noopener noreferrer">vidéo d’introduction</a> qui présente le projet et ce tutoriel vidéo « <a href="https://www.youtube.com/watch?v=awK3Vft55LM" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Comment jouer</a> »)</p></br><p>Matthieu Rhéaume souhaite améliorer le jeu – en réduisant le nombre de cartes trop spécifiquement rattachées au contexte du FSM, ou en uniformisant la langue des cartes (présentement en français et en anglais). Mais il se félicite déjà que le jeu aide à faire connaître aux joueurs la vision du monde des communs et à susciter des conversations plus approfondies à ce sujet. Suite à la plupart des parties, les joueurs réfléchissent sur ce qui s’est passé et racontent des histoires de collaborations réussies ou d’enclosures.</p></br><p>Le jeu a été publié en février 2017. Un lancement s’est déroulé en Europe, supervisé par Fréderic Sultan de Remix biens communs, et il y a maintenant près de 70 jeux C@rtes en commun en circulation [ aujourd’hui, plus d’une centaine].</p></br><p>Le lancement canadien du jeu aura lieu à Montréal le 11 mai à 17h30 à 20h30 au 5248, boulevard Saint-Laurent à Montréal. Pour vous inscrire à l’événement (gratuit), voici le lien – <a href="http://www.brownpapertickets.com/event/2932824">http://www.brownpapertickets.com/event/2932824</a>.</p></br><p>Le jeu, dans sa version actuelle, peut être acheté directement, à prix coûtant, via un distributeur commercial <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rtes-en-commun" target="_blank" rel="noopener noreferrer">https://www.thegamecrafter.com/</a>. Jusqu’au 31 mai, les québécois peuvent acquérir le jeu à moindre coût en s’inscrivant à une commande groupée sur cette <a href="https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfjXe9GOd2HLAXwz1S2-y0jiE1vxrPg2Z1fGti2cAEApWx0XQ/viewform?c=0&w=1&fbzx=-5456162131876975000">page Web</a>. Matthieu distribuera ensuite les jeux aux acheteurs individuels.</p></br><p>David Bollier</p>;page Web</a>. Matthieu distribuera ensuite les jeux aux acheteurs individuels.</p> <p>David Bollier</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="http://wearelegionthe<p><a href="http://wearelegionthedocumentary.com/">We Are Legion | The Story of the Hacktivists Official Website.</a>.</p></br><p>2012</p></br><p>In recent years, the radical online community known as Anonymous has been associated with attacks or “raids” on hundreds of targets. Angered by issues as diverse as copyright abuse and police brutality, they’ve taken on child pornographers, the Bay Area Rapid Transit system and even forced a standoff with Mexican drug cartels. They’ve hit corporate targets like Sony, cyber-security firms like HBGary Federal and would-be web controllers like the Church of Scientology.</p></br><p>They shut down Mastercard, Visa and Paypal after those groups froze financial transactions to Wikileaks. Along with other hacktivist groups like Telecomix, they’ve launched cyber attacks against foreign governments in support of the Arab Spring. They served as tech support for the Occupy movement and have put their mark on countless uprisings around the world. One participant described their protests as “ultra coordinated motherfuckery.”</p></br><p>So who is Anonymous?</p></br><p>They’ve been called criminals, “hackers on steroids” and even terrorists. But the vast majority of those who identify as Anonymous don’t break the law. They see themselves as activists and protectors of free speech, and tend to rise up most powerfully when they perceive a threat to internet freedom or personal privacy. Whether you are a soccer mom or a member of Congress, you live in an electronic landscape that has exploded with largely unchecked intrusion and surveillance. You are tracked by government databases while corporate advertisers are looking to buy your personal data for pennies. In this landscape, the existence of the collective internet culture called Anonymous makes the case for anonymity.</p></br><p>Using tools of disruption and spectacle, they have also become the face of dissent for a variety of human rights and information freedom groups around the globe. They are a legion of loud but largely masked geeks, hackers, pranksters and outraged citizens who have unwittingly redefined civil disobedience for the digital age, and found themselves in the middle of one of the most important battles of our time.</p></br><p>WE ARE LEGION: The Story of the Hacktivists, takes us inside the complex culture and history of Anonymous. The film explores early hacktivist groups like Cult of the Dead Cow and Electronic Disturbance Theater, and then moves to Anonymous’ own raucous and unruly beginnings on the website 4Chan.</p></br><p>Through interviews with current members – some recently returned from prison, others still awaiting trial – as well as writers, academics and major players in various “raids,” WE ARE LEGION traces the collective’s breathtaking evolution from merry pranksters to a full-blown, global movement, one armed with new weapons of civil disobedience for an online world.</p></br><p>BRIAN KNAPPENBERGER (Director/Writer/Producer)</p></br><p>Director, Writer, Producer Brian Knappenberger has created numerous documentaries, commercials and feature films for the Sundance Channel, PBS FRONTLINE/World, The Travel Channel, National Geographic and the Discovery Channel. He is also Executive Producer of the 23 part Bloomberg Television documentary series “Bloomberg Game Changers” which chronicles luminary figures like Steve Jobs, Mark Zuckerberg and the Twitter and Google co-founders. His films have explored the changing politics and tensions in post 9/11 southern Afghanistan in “Life After War” along with abuses of power and freedom of speech issues with the killing of a journalist in Ukraine for “A Murder in Kyiv.” Other documentary work has ranged from tracking the changing climate conditions in the Arctic, to how advanced technology is changing our physical bodies in his film “Into The Body.” His work often centers on technology, its possibilities and the transformative effect it has on our lives, communication and culture.</p></br><p>ANDY ROBERTSON (Editor)</p></br><p>Andy developed a keen interest in filmmaking after his 4th grade art teacher assigned a Super-8mm film as a class project. His career highlights include editing the feature documentaries RHYME & REASON and the documentary television series AMERICAN HIGH and 30 DAYS. He received two Emmy Nominations for PROJECT RUNWAY, the first reality show to win a Peabody Award.</p></br><p>JOHN DRAGONETTI (Composer)</p></br><p>ToneTiger is the moniker of John Dragonetti, a music composer and producer living in Los Angeles, California. In the past few years John has the scored the music for several award-winning TV shows which have aired on HBO, Showtime, Sundance Channel, NBC and E!. He also composed the music for Doug Pray’s documentary film, Surfwise as well as the Broken Lizard produced comedy feature, Freeloaders.</p></br><p>John is also a founding member, along with Blake Hazard, of the band The Submarines. The group has released three critically acclaimed albums and continues to record and tour internationally.</p></br><p>As a record producer he started with the Boston based pop group, Jack Drag, recording five albums, the last of which was co-produced by Chris Shaw (Bob Dylan, Public Enemy, Weezer). Dragonetti collaborated with mixer, John O’Mahony (Metric, Cold Play) on the latest Submarines album. He has also just completed producing and mixing Simmerkane-II the solo project of Dispatch and State Radio singer, Chadwick Stokes. John had done authorized remixes for Josh, Ritter, Avril Lavigne, Leigh Nash and others.</p>on the latest Submarines album. He has also just completed producing and mixing Simmerkane-II the solo project of Dispatch and State Radio singer, Chadwick Stokes. John had done authorized remixes for Josh, Ritter, Avril Lavigne, Leigh Nash and others.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><a href="http://wearelegionthe<p><a href="http://wearelegionthedocumentary.com/">We Are Legion | The Story of the Hacktivists Official Website.</a>.</p></br><p>2012</p></br><p>In recent years, the radical online community known as Anonymous has been associated with attacks or “raids” on hundreds of targets. Angered by issues as diverse as copyright abuse and police brutality, they’ve taken on child pornographers, the Bay Area Rapid Transit system and even forced a standoff with Mexican drug cartels. They’ve hit corporate targets like Sony, cyber-security firms like HBGary Federal and would-be web controllers like the Church of Scientology.</p></br><p>They shut down Mastercard, Visa and Paypal after those groups froze financial transactions to Wikileaks. Along with other hacktivist groups like Telecomix, they’ve launched cyber attacks against foreign governments in support of the Arab Spring. They served as tech support for the Occupy movement and have put their mark on countless uprisings around the world. One participant described their protests as “ultra coordinated motherfuckery.”</p></br><p>So who is Anonymous?</p></br><p>They’ve been called criminals, “hackers on steroids” and even terrorists. But the vast majority of those who identify as Anonymous don’t break the law. They see themselves as activists and protectors of free speech, and tend to rise up most powerfully when they perceive a threat to internet freedom or personal privacy. Whether you are a soccer mom or a member of Congress, you live in an electronic landscape that has exploded with largely unchecked intrusion and surveillance. You are tracked by government databases while corporate advertisers are looking to buy your personal data for pennies. In this landscape, the existence of the collective internet culture called Anonymous makes the case for anonymity.</p></br><p>Using tools of disruption and spectacle, they have also become the face of dissent for a variety of human rights and information freedom groups around the globe. They are a legion of loud but largely masked geeks, hackers, pranksters and outraged citizens who have unwittingly redefined civil disobedience for the digital age, and found themselves in the middle of one of the most important battles of our time.</p></br><p>WE ARE LEGION: The Story of the Hacktivists, takes us inside the complex culture and history of Anonymous. The film explores early hacktivist groups like Cult of the Dead Cow and Electronic Disturbance Theater, and then moves to Anonymous’ own raucous and unruly beginnings on the website 4Chan.</p></br><p>Through interviews with current members – some recently returned from prison, others still awaiting trial – as well as writers, academics and major players in various “raids,” WE ARE LEGION traces the collective’s breathtaking evolution from merry pranksters to a full-blown, global movement, one armed with new weapons of civil disobedience for an online world.</p></br><p>BRIAN KNAPPENBERGER (Director/Writer/Producer)</p></br><p>Director, Writer, Producer Brian Knappenberger has created numerous documentaries, commercials and feature films for the Sundance Channel, PBS FRONTLINE/World, The Travel Channel, National Geographic and the Discovery Channel. He is also Executive Producer of the 23 part Bloomberg Television documentary series “Bloomberg Game Changers” which chronicles luminary figures like Steve Jobs, Mark Zuckerberg and the Twitter and Google co-founders. His films have explored the changing politics and tensions in post 9/11 southern Afghanistan in “Life After War” along with abuses of power and freedom of speech issues with the killing of a journalist in Ukraine for “A Murder in Kyiv.” Other documentary work has ranged from tracking the changing climate conditions in the Arctic, to how advanced technology is changing our physical bodies in his film “Into The Body.” His work often centers on technology, its possibilities and the transformative effect it has on our lives, communication and culture.</p></br><p>ANDY ROBERTSON (Editor)</p></br><p>Andy developed a keen interest in filmmaking after his 4th grade art teacher assigned a Super-8mm film as a class project. His career highlights include editing the feature documentaries RHYME & REASON and the documentary television series AMERICAN HIGH and 30 DAYS. He received two Emmy Nominations for PROJECT RUNWAY, the first reality show to win a Peabody Award.</p></br><p>JOHN DRAGONETTI (Composer)</p></br><p>ToneTiger is the moniker of John Dragonetti, a music composer and producer living in Los Angeles, California. In the past few years John has the scored the music for several award-winning TV shows which have aired on HBO, Showtime, Sundance Channel, NBC and E!. He also composed the music for Doug Pray’s documentary film, Surfwise as well as the Broken Lizard produced comedy feature, Freeloaders.</p></br><p>John is also a founding member, along with Blake Hazard, of the band The Submarines. The group has released three critically acclaimed albums and continues to record and tour internationally.</p></br><p>As a record producer he started with the Boston based pop group, Jack Drag, recording five albums, the last of which was co-produced by Chris Shaw (Bob Dylan, Public Enemy, Weezer). Dragonetti collaborated with mixer, John O’Mahony (Metric, Cold Play) on the latest Submarines album. He has also just completed producing and mixing Simmerkane-II the solo project of Dispatch and State Radio singer, Chadwick Stokes. John had done authorized remixes for Josh, Ritter, Avril Lavigne, Leigh Nash and others.</p>on the latest Submarines album. He has also just completed producing and mixing Simmerkane-II the solo project of Dispatch and State Radio singer, Chadwick Stokes. John had done authorized remixes for Josh, Ritter, Avril Lavigne, Leigh Nash and others.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="http://www.bollier.or<p><a href="http://www.bollier.org/blog/new-videos-explore-political-potential-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Original publication by David Bollier</a></p></br><p>Just released: a terrific 25-minute video overview of the commons as seen by frontline activists from around the world, “<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Les_communs_dans_l%E2%80%99espace_politique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">The Commons in Political Spaces: For a Post-capitalist Transition</a>,” along with more than a dozen separate interviews with activists on the frontlines of commons work around the globe. The videos were shot at the World Social Forum in Montreal last August, capturing the flavor of discussion and organizing there.</p></br><p>A big thanks to Remix the Commons and Commons Spaces – two groups in Montreal, and to Alain Ambrosi, Frédéric Sultan and Stépanie Lessard-Bérubé — for pulling together this wonderful snapshot of the commons world. The overview video is no introduction to the commons, but a wonderfully insightful set of advanced commentaries about the political and strategic promise of the commons paradigm today.Frédéric Sultan of Remix the Commons</p></br><p>The overview video (“Les communs dans l’espace politique,” with English subtitles as needed) is striking in its focus on frontier developments: the emerging political alliances of commoners with conventional movements, ideas about how commons should interact with state power, and ways in which commons thinking is entering policy debate and the general culture.</p></br><p>The video features commentary by people like Frédéric Sultan, Gaelle Krikorian, Alain Ambrosi, Ianik Marcil, Matthew Rhéaume, Silke Helfrich, Chantal Delmas, Pablo Solon, Christian Iaione, and Jason Nardi, among others.</p></br><p>The individual interviews with each of these people are quite absorbing. (See the full listing of videos <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Commons_Space" target="_blank" rel="noopener noreferrer">here</a>.) Six of these interviews are in English, nine are in French, and three are in Spanish. They range in length from ten minutes to twenty-seven minutes.</p>nterviews are in English, nine are in French, and three are in Spanish. They range in length from ten minutes to twenty-seven minutes.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://e-nautia.com/arzi77/disk?p=5584768">https://e-nautia.com/arzi77/disk?p=5584768</a></p> <p>trailer from M2R Films – merci Ray Zaharia</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://www.remixthec<p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4194" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water-198x300.jpg" alt="Move North South Water" width="198" height="300" /></a></p></br><p>Le « Nan Shui Bei Diao » – littéralement Sud Eau Nord Déplacer – est le plus gros projet de transfert d’eau au monde, entre le sud et le nord de la Chine. Sur les traces de ce chantier colossal, le film d’Antoine Boutet dresse la cartographie mouvementée d’un territoire d’ingénieur où le ciment bat les plaines, les fleuves quittent leur lit, les déserts deviennent forêts, où peu à peu des voix s’élèvent, réclamant justice et droit à la parole. Tandis que la matière se décompose et que les individus s’alarment, un paysage de science-fiction, contre nature, se recompose.</p></br><p>Sud Eau Nord Déplacer sortira mercredi 28 janvier 2915 dans les salles de cinéma. Si vous souhaitez vous associer à une de ces projections, contactez la salle de cinéma concernée ou la distribution du film : mdecout@zeugmafilms.fr. Si vous souhaitez accompagner une projection dans une ville où le film n’est pas encore programmé, contactez-nous : hague.philippe@gmail.com</p>film n’est pas encore programmé, contactez-nous : hague.philippe@gmail.com</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://www.remixthec<p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4194" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water-198x300.jpg" alt="Move North South Water" width="198" height="300" /></a></p></br><p>The « Nan Shui Bei Diao » – literally South North Water Move – is the largest water transfer project in the world, between the southern and northern China. In the footsteps of this colossal project, the film stands by Antoine Boutet eventful mapping a territory where cement beats plains, rivers leave their beds, deserts become forests, which gradually voices are in demand of justice and the right to speak. While the material decomposes and individuals are alarmed, a landscape of science fiction, against nature, is recomposed.</p></br><p>Move North South Water released Wednesday, January 28th. If you want to associate yourself with one projection, contact the respective theater or distribution of the film: mdecout@zeugmafilms.fr. And if you want to support a projection in a city where the film is not yet scheduled, contact us: hague.philippe@gmail.com</p> where the film is not yet scheduled, contact us: hague.philippe@gmail.com</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><b>Rendre visibles les méca<p><b>Rendre visibles les mécanismes de gouvernance des communs urbains et apprendre de l’expérience de la co-production du droit. Partager les tactiques de l’agir en commun (commoning) en milieu urbain. </b></p></br><p>Atlas des chartes des communs urbains propose de :</p></br><ol></br><li>Réaliser et entretenir un inventaire ouvert et interactif de mécanismes juridiques consacrés à la mise en œuvre des communs urbains.</li></br><li>fournir un espace collectif pour l’analyse et l’interprétation de ces mécanismes de gouvernance des communs urbains et produire et partager des connaissances avec les commoners dans une perspective interculturelle.</li></br><li>offrir un espace d’échange et d’entraide autour de l’élaboration de chartes et autres instruments juridiques pour la régénération ou la création des communs urbains.</li></br></ol></br><p> </p></br><p><iframe style="width: 900px; height: 500px; border: 1px solid black;" src="https://framindmap.org/c/maps/198701/embed?zoom=1"> </iframe></p></br><p>Pour contribuer à la grille d’analyse des communs urbains, utilisez<br /></br><a href="https://framindmap.org/c/maps/198701/edit">framindmap.org</a><br /></br>(Vous devez être titulaire d’un compte)</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p></p> <p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><em>Les voies maritimes<<p><em>Les voies maritimes</em>, a beautiful idea of video about a project of protected sea area. </p></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="//www.dailymotion.com/embed/video/xu8azp" allowfullscreen></iframe><br /></br>By <a href="http://www.aires-marines.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Aires-marines-protegees</a></i></p></br><p>Three photographers have traveled for months Normand Breton Gulf stretching from the island of Brehat to Cape of La Hague and which is the subject of a proposed marine park. Rodolphe Marics, Denis Bourges and Xavier Desmier propose an X-ray of the marine space in three different and complementary points of view: aerial photos, hiking and underwater.</p></br><p><em>Les voies maritimes</em> was born of a partnership between the Agency for Marine Protected Areas and the association Les champs photographiques.</p>maritimes</em> was born of a partnership between the Agency for Marine Protected Areas and the association Les champs photographiques.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/95117190" width="400" height="225" frameborder="0" webkitallowfullscreen mozallowfullscreen allowfullscreen></iframe> </p></br><p><a href="http://vimeo.com/95117190">Pêche durable en Méditarranée</a>, une capsule documentaire réalisée par <a href="http://www.l-encre-de-mer.fr/2014-05-26-mediterranee-une-peche-durable-video-de-france-nature-environnement"> FNE PACA</a>avec le soutien de la Fondation Ita.</p></br><p>Une video interessante sur les pratiques oubliées et marginalisées de la pêche côtiere en Méditerranée avec l’institution des prudhommies. Les pêcheurs élisent les membres du bureau de la prudhommies qui vont contrôler les pratiques de pêche en fonction des règles établies, qui éventuellement vont juger des pêcheurs qui auraient déroger aux règles établies…) . On se demande encore comment ces instituions ont pu résister et se maintenir vu les pressions de toutes parts qu’elles ont subies pour disparaître.</p></br><p>Pratiquée de longue date en Méditerranée, la pêche aux « petits métiers » est une pratique de pêche durable à différents égards. Découvrez dans ce reportage quelles sont les spécificités de ces pratiques, et plus encore, quels en sont les atouts pour le milieu littoral et les petits fonds si riches et diversifiés de nos côtes méditerranéennes.</p></br><p>France Nature Environnement Paca <br /></br>Fond de dotation ITANCIA<br /></br>2014</p>diterranéennes.</p> <p>France Nature Environnement Paca <br /> Fond de dotation ITANCIA<br /> 2014</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/ihDoZ5dYapw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Self-management and integral cooperativism: an experiment of the community on the length scale.</p></br><p>A group of coop at Barquisimeto (northeastern Venezuela), totally self-managed. More than 1,200 workers, no leader, no manager, no hierarchical structure, a lot of participation, confidence and learning, constant rotation in all workplaces … and more</p></br><p>For more information, see the article in <a href="http://www.utopiasproject.lautre.net/reportages/article/venezuela" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.utopiasproject.lautre.net/</a>…</p></br><p>See CECOSESOLA web site</p></br><p><a href="http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA">http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA</a></p></br><p>See also the remixthecommons productions:</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia">https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>-noel-vale-valera</a></p> <p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck?rel=0" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international. Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p>IPinCH (Intellectual Property Issues in Cultural Heritage) est un projet international de recherche participative autour de la réappropriation de l’héritage culturel par les communautés ancestrales. A qui appartient le passé ? A qui bénéficie-t-il ? quelles sont les conceptions culturelles de l’héritage culturel (de la mémoire) ? Comment distinguer accaparement et emprunts culturels (cultural borrowings) ? Ce projet croise des questions sur le domaine public, la nature de la recherche conduite par les communautés (et non pour elles) et sur les connaissances ancestrales (et culturelles en général). Il montre un éventail de processus de gestion collective des connaissances des communautés et tire des principes applicables à la recherche et pour comprendre les questions étudiées. Enfin, il propose l’usage de la <a href="http://www.localcontexts.org/">Traditional Knowledge licence</a> et un <a href="http://www.sfu.ca/ipinch/outputs/blog/appropriation-month-midterm-exam">questionnaire </a>pour évaluer accaparement ou emprunt culturel.</p></br><p>Speaker: George Nicholas<br /></br>Event: SFU Public Square<br /></br>Date: April 2, 2014</p>;/p> <p>Speaker: George Nicholas<br /> Event: SFU Public Square<br /> Date: April 2, 2014</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>This interview of Etienne Le Roy, made in Paris March 4, 2014, while presenting his work on land ownership synthesized in his book ‘The land of the other. An anthropology of land ownership schemes’ introduces us in the heart of anthropological paths of one of the founders of French anthropology of Law and awakens our curiosity to question otherwise, and by sharing with others, our world.</p></br><p>« The other is not a gap to fill. It is a fullness to discover. » Christoph Eberhard</p></br><p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/U4rDt0-pQG8" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>idth="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/95117190" width="400" height="225" frameborder="0" webkitallowfullscreen mozallowfullscreen allowfullscreen></iframe> </p></br><p><a href="http://vimeo.com/95117190">Pêche durable en Méditarranée</a>, a short documentary published by<a href="http://www.l-encre-de-mer.fr/2014-05-26-mediterranee-une-peche-durable-video-de-france-nature-environnement"> FNE PACA </a>with the support of Fondation Itancia.</p></br><p>Language : French</p></br><p>An interesting video on the very practical forgotten and marginalized coastal fisheries in the Mediterranean with the institution of prudhommies. Fishermen elect the office prudhommies who will control fishing practices based on established rules, which eventually will judge fishermen who would depart from the rules. One wonders how these institutions will have to resist and maintain given the pressure from all sides they suffered to go.</p></br><p>Long practiced in the Mediterranean fisheries « small business » is a practice of sustainable fisheries in several respects. Find out in this story what are the specifics of these practices, and more importantly, what are the advantages for the nearshore and shallow so rich and diversified our Mediterranean coasts.</p></br><p>France Nature Environnement Paca<br /></br>Fond de dotation ITANCIA<br /> <br /></br>2014</p>d diversified our Mediterranean coasts.</p> <p>France Nature Environnement Paca<br /> Fond de dotation ITANCIA<br /> <br /> 2014</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Pour Étienne Le Roy, l’anthropologie est la science de l’homme parce que fondamentalement science de l’autre. « J’ai souvent commenté cette observation de Jean-Jacques Rousseau dans son ‘Essai sur l’origine des langues’, que cite Claude Lévi-Strauss: ‘Quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin; il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés.’ Au sens de Jean-Jacques Rousseau, découvrir les propriétés, c’est mettre à jour les attributs de l’homme, les critères qui en fondent l’humanité dans leur plus grande généralité. Mais on ne pourra s’empêcher, dans un ouvrage consacré à l’appropriation de la terre et, pour une part, au régime de ‘propriété’ foncière, d’user de l’ambivalence de la dernière phrase (observer les différences pour découvrir les propriétés) et ainsi justifier un point de vue qui use d’un regard sur l’autre pour découvrir le sens que les hommes donnent, généralement mais aussi spécifiquement, au cas par cas, aux rapports de propriété. »</p></br><p>Étienne Le Roy « Le choix d’une démarche anthropologique pour traiter des régimes d’appropriation des terres et des ressources m’a conduit à plusieurs options de méthode et, en particulier, a obligé le lecteur à entrer dans l’étude du droit de propriété par la prise de conscience que cette forme juridique ne fait que traduire procéduralement une représentation du monde, de l’homme et de la nature originale et profondément liée à l’expérience de la modernité en Occident. Pour répondre à la vocation de l’anthropologie de réunir une connaissance valable pour l’ensemble du développement humain, il convenait de traiter analogiquement les autres civilisations et chercher derrière les réponses coutumières ou rituelles les représentations de l’espace qu’elles véhiculaient. »</p></br><p>Dans cette interview réalisée à Paris le 4 mars 2014, Étienne Le Roy, tout en présentant ses travaux sur les régimes d’appropriation foncière synthétisés dans son ouvrage ‘La terre de l’autre », nous introduit au coeur de l’anthropologie du droit francophone qu’il a participé à fondée et éveille notre curiosité de commoner sensible aux mécanismes juridiques et à ce qui les fait advenir dans la société d’interroger autrement, et dans le partage avec d’autres, le monde dans lequel nous vivons.</p></br><p>« L’autre n’est pas un vide à remplir. C’est une plénitude à découvrir. » Christoph Eberhard</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/a0J2gj80EVI?rel=0" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>« Sans Lendemain », est un film d’animation sur l’exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles et leurs conséquences sur la vie humaine sur la planète. Il est réalisé par Dermot O’ Connor et produit par Incubate Pictures. en 35 minutes, il aborde de façon très intelligible toute une série de problématiques liées à la croissance de notre système économique et à notre façon de consommer.</p></br><p>Réalisation : Dermot O’ Connor (35 minutes, 2012).<a href="http://www.idleworm.com">http://www.idleworm.com</a><br /></br><a href="http://www.incubatepictures.com">http://www.incubatepictures.com</a> – <a href="http://www.angryanimator.com">http://www.angryanimator.com</a></p></br><p>Information et documentation sur le site <a href="http://sansLendemain.mpOC.be">http://sansLendemain.mpOC.be</a>.</p></br><p>Titre original étasunien : There’s no tomorrow.<br /></br><a href="https://www.youtube.com/redirect?q=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DVOMWzjrRiBg&redir_token=PRF4kw9bwKfWe7SJ5S33XwpWSiZ8MTQwMTM2NzY0MEAxNDAxMjgxMjQw">https://www.youtube.com</a></p></br><p>Version française 2013 due à l’initiative du groupe de Liège du mpOC, Mouvement politique des objecteurs de croissance (le mpOC n’est pas un parti politique).</p></br><p>Avec le soutien de :<br /></br>Amis de la Terre Belgique, ASPO.be (section belge de l’Association for the Study of Peak Oil and Gas), GRAPPE (Groupe de Réflexion et d’Action Pour une Politique Ecologique), IEW (Inter-Environnement Wallonie), Imagine demain le monde, mpOC.</p></br><p>Traduction : Francis Leboutte.<br /></br>Voix : Caroline Lamarche.<br /></br>Mixage voix : Margarida Guia.<br /></br>Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.</p>aduction : Francis Leboutte.<br /> Voix : Caroline Lamarche.<br /> Mixage voix : Margarida Guia.<br /> Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>This interview of Etienne Le Roy, made in Paris March 4, 2014, while presenting his work on land ownership synthesized in his book ‘The land of the other. An anthropology of land ownership schemes’ introduces us in the heart of anthropological paths of one of the founders of French anthropology of Law and awakens our curiosity to question otherwise, and by sharing with others, our world.</p></br><p>« The other is not a gap to fill. It is a fullness to discover. » Christoph Eberhard</p></br><p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/U4rDt0-pQG8" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>idth="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Voici un film photographique (un nouveau genre ?) très intéressant, réalisé par Brygo et publié par Le Monde diplomatique, sur les rapports entre les riches et les pauvres à Glasgow en Ecosse.</p></br><p>Fiche technique :</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>Un film photographique de Julien Brygo<br /></br>Montage : Matthieu Parmentier et Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixage : Clément Chauvelle<br /></br>Prix du Jury au Festival Les Nuits Photographiques 2014.</p></br><p>Film photographique réalisé <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow">pour le site du Monde diplomatique</a><br /></br>Ce film est tiré de l’article « Vivre riche dans une ville de pauvres », paru dans Le Monde diplomatique d’août 2010 : monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</p></br><p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p></br><p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>GO/19565</p> <p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p> <p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Very interesting video made with pictures by Julien Brygo and edited by Le Monde diplomatique, about the relations between poor and rich people in Glasgow, Scotland.</p></br><p>MSDS:</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>A photographic film by Julien Brygo<br /></br>Editing: Matthieu Parmentier and Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixing: Clément Chauvelle<br /></br>Jury Prize at the 2014 Festival Photographic Nights.</p></br><p>Photographic film directed <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow"> for the website of Le Monde diplomatique </ a><br /></br>This film is taken from the article « Living in a city rich poor », published in Le Monde diplomatique, August 2010: monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</a></p></br><p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p></br><p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>BRYGO/19565</a></p> <p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p> <p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/95117190" width="400" height="225" frameborder="0" webkitallowfullscreen mozallowfullscreen allowfullscreen></iframe> </p></br><p><a href="http://vimeo.com/95117190">Pêche durable en Méditarranée</a>, une capsule documentaire réalisée par <a href="http://www.l-encre-de-mer.fr/2014-05-26-mediterranee-une-peche-durable-video-de-france-nature-environnement"> FNE PACA</a>avec le soutien de la Fondation Ita.</p></br><p>Une video interessante sur les pratiques oubliées et marginalisées de la pêche côtiere en Méditerranée avec l’institution des prudhommies. Les pêcheurs élisent les membres du bureau de la prudhommies qui vont contrôler les pratiques de pêche en fonction des règles établies, qui éventuellement vont juger des pêcheurs qui auraient déroger aux règles établies…) . On se demande encore comment ces instituions ont pu résister et se maintenir vu les pressions de toutes parts qu’elles ont subies pour disparaître.</p></br><p>Pratiquée de longue date en Méditerranée, la pêche aux « petits métiers » est une pratique de pêche durable à différents égards. Découvrez dans ce reportage quelles sont les spécificités de ces pratiques, et plus encore, quels en sont les atouts pour le milieu littoral et les petits fonds si riches et diversifiés de nos côtes méditerranéennes.</p></br><p>France Nature Environnement Paca <br /></br>Fond de dotation ITANCIA<br /></br>2014</p>diterranéennes.</p> <p>France Nature Environnement Paca <br /> Fond de dotation ITANCIA<br /> 2014</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Voici un film photographique (un nouveau genre ?) très intéressant, réalisé par Brygo et publié par Le Monde diplomatique, sur les rapports entre les riches et les pauvres à Glasgow en Ecosse.</p></br><p>Fiche technique :</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>Un film photographique de Julien Brygo<br /></br>Montage : Matthieu Parmentier et Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixage : Clément Chauvelle<br /></br>Prix du Jury au Festival Les Nuits Photographiques 2014.</p></br><p>Film photographique réalisé <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow">pour le site du Monde diplomatique</a><br /></br>Ce film est tiré de l’article « Vivre riche dans une ville de pauvres », paru dans Le Monde diplomatique d’août 2010 : monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</p></br><p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p></br><p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>GO/19565</p> <p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p> <p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/ihDoZ5dYapw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Autogestion et coopérativisme integral : une expérience sur la durée à l’échelle de la communauté.</p></br><p>Coopérative de Barquisimeto (nord-est du Venezuela), au fonctionnement totalement autogestionnaire. Plus de 1200 travailleurs, aucun chef, aucun gérant, aucune structure hiérarchique, énormément de participation, de confiance et d’apprentissage, une rotation constante dans tous les postes de travail … et bien plus</p></br><p>Pour en savoir plus,</p></br><p>voir l’article écrit disponible sur. <a href="http://www.utopiasproject.lautre.net/reportages/article/venezuela" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.utopiasproject.lautre.net/</a>…</p></br><p>voir le site de CECOSESOLA</p></br><p><a href="http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA">http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA</a></p></br><p>voir aussi les vidéos produits par remixthecommons :<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia">https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>lt;/a></p> <p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/95117190" width="400" height="225" frameborder="0" webkitallowfullscreen mozallowfullscreen allowfullscreen></iframe> </p></br><p><a href="http://vimeo.com/95117190">Pêche durable en Méditarranée</a>, a short documentary published by<a href="http://www.l-encre-de-mer.fr/2014-05-26-mediterranee-une-peche-durable-video-de-france-nature-environnement"> FNE PACA </a>with the support of Fondation Itancia.</p></br><p>Language : French</p></br><p>An interesting video on the very practical forgotten and marginalized coastal fisheries in the Mediterranean with the institution of prudhommies. Fishermen elect the office prudhommies who will control fishing practices based on established rules, which eventually will judge fishermen who would depart from the rules. One wonders how these institutions will have to resist and maintain given the pressure from all sides they suffered to go.</p></br><p>Long practiced in the Mediterranean fisheries « small business » is a practice of sustainable fisheries in several respects. Find out in this story what are the specifics of these practices, and more importantly, what are the advantages for the nearshore and shallow so rich and diversified our Mediterranean coasts.</p></br><p>France Nature Environnement Paca<br /></br>Fond de dotation ITANCIA<br /> <br /></br>2014</p>d diversified our Mediterranean coasts.</p> <p>France Nature Environnement Paca<br /> Fond de dotation ITANCIA<br /> <br /> 2014</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Very interesting video made with pictures by Julien Brygo and edited by Le Monde diplomatique, about the relations between poor and rich people in Glasgow, Scotland.</p></br><p>MSDS:</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>A photographic film by Julien Brygo<br /></br>Editing: Matthieu Parmentier and Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixing: Clément Chauvelle<br /></br>Jury Prize at the 2014 Festival Photographic Nights.</p></br><p>Photographic film directed <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow"> for the website of Le Monde diplomatique </ a><br /></br>This film is taken from the article « Living in a city rich poor », published in Le Monde diplomatique, August 2010: monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</a></p></br><p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p></br><p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>BRYGO/19565</a></p> <p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p> <p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Pour Étienne Le Roy, l’anthropologie est la science de l’homme parce que fondamentalement science de l’autre. « J’ai souvent commenté cette observation de Jean-Jacques Rousseau dans son ‘Essai sur l’origine des langues’, que cite Claude Lévi-Strauss: ‘Quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin; il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés.’ Au sens de Jean-Jacques Rousseau, découvrir les propriétés, c’est mettre à jour les attributs de l’homme, les critères qui en fondent l’humanité dans leur plus grande généralité. Mais on ne pourra s’empêcher, dans un ouvrage consacré à l’appropriation de la terre et, pour une part, au régime de ‘propriété’ foncière, d’user de l’ambivalence de la dernière phrase (observer les différences pour découvrir les propriétés) et ainsi justifier un point de vue qui use d’un regard sur l’autre pour découvrir le sens que les hommes donnent, généralement mais aussi spécifiquement, au cas par cas, aux rapports de propriété. »</p></br><p>Étienne Le Roy « Le choix d’une démarche anthropologique pour traiter des régimes d’appropriation des terres et des ressources m’a conduit à plusieurs options de méthode et, en particulier, a obligé le lecteur à entrer dans l’étude du droit de propriété par la prise de conscience que cette forme juridique ne fait que traduire procéduralement une représentation du monde, de l’homme et de la nature originale et profondément liée à l’expérience de la modernité en Occident. Pour répondre à la vocation de l’anthropologie de réunir une connaissance valable pour l’ensemble du développement humain, il convenait de traiter analogiquement les autres civilisations et chercher derrière les réponses coutumières ou rituelles les représentations de l’espace qu’elles véhiculaient. »</p></br><p>Dans cette interview réalisée à Paris le 4 mars 2014, Étienne Le Roy, tout en présentant ses travaux sur les régimes d’appropriation foncière synthétisés dans son ouvrage ‘La terre de l’autre », nous introduit au coeur de l’anthropologie du droit francophone qu’il a participé à fondée et éveille notre curiosité de commoner sensible aux mécanismes juridiques et à ce qui les fait advenir dans la société d’interroger autrement, et dans le partage avec d’autres, le monde dans lequel nous vivons.</p></br><p>« L’autre n’est pas un vide à remplir. C’est une plénitude à découvrir. » Christoph Eberhard</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="The London Orchard Project" src="https://player.vimeo.com/video/9785112?h=7e9899600f&dnt=1&app_id=122963" width="880" height="495" frameborder="0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p> </p></br><p><a href="http://www.vimeo.com/9785112#?pg=embed&sec=9785112#">The London Orchard Project on Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p> Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Les communs dans l'espace politique" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/bM72NS_P72g?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p><a href="http://www.bollier.org/blog/new-videos-explore-political-potential-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Publication originale en anglais par David Bollier</a></p></br><p>Vient de sortir : un superbe aperçu vidéo de 25 minutes sur les communs vu par les militants venus du monde entier, «<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Les_communs_dans_l%E2%80%99espace_politique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Les communs dans l’espace politique: pour une transition post-capitaliste</a>», ainsi que plus d’une douzaine d’entretiens individuels sur leur travail autour des communs. Les vidéos ont été tournées au Forum social mondial à Montréal en août dernier, et donnent à voir l’atmosphère et l’organisation sur place.</p></br><p>Un grand merci à Remix the Commons et Commons Spaces – deux groupes à Montréal, à Alain Ambrosi, Frédéric Sultan et Stépanie Lessard-Bérubé – pour avoir rassemblé ce superbe instantané sur le monde des commun. La vidéo d’ensemble n’est pas une introduction aux biens communs, mais plutôt une série de commentaires approfondis sur les stratégies et la promesse politique du paradigme des communs.</p></br><p>«Les communs dans l’espace politique», (avec les sous-titres anglais, espagnol et français) met l’accent sur les développements du mouvement des communs: quelles sont les alliances politiques émergentes des commoners avec les mouvements sociaux conventionnels ? Quelles sont les idées sur la manière dont les communs devraient interagir avec la puissance publique et l’État et de quelle manière la pensée sur les communs entre-t-elle dans le débat politique et la culture générale?</p></br><p>La vidéo comporte des commentaires de personnes comme Frédéric Sultan, Gaelle Krikorian, Alain Ambrosi, Ianik Marcil, Matthew Rhéaume, Silke Helfrich, Chantal Delmas, Pablo Solon, Christian Iaione et Jason Nardi, entre autres.</p></br><p>Les entretiens individuels avec chacune de ces personnes sont tout à fait absorbants. (Voir la liste complète des vidéos <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Commons_Space" target="_blank" rel="noopener noreferrer">ici</a>.) Six de ces entretiens sont en anglais, neuf sont en français et trois sont en espagnol. Ils vont de dix minutes à vingt-sept minutes.</p>uf sont en français et trois sont en espagnol. Ils vont de dix minutes à vingt-sept minutes.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Tragedies, comedies and other dramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/fbzUurdT_EY?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p><a href="http://www.youtube.com/watch?v=fbzUurdT_EY">Tragedies, comedies and other dramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013 – YouTube</a>.</p>ramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013 – YouTube</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/7kBgo-z3iCM?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo El profesor Rick Wolff explica los motivos por los que el crecimiento ha adquirido tal protagonismo en nuestros sistemas políticos. La desigualdad es consecuencia de la forma en la que están organizadas las empresas. Asumiendo que pasamos una parte significativa de nuestras vidas en el trabajo, ¿qué pasaría si extendiéramos nuestro afán democrático al entorno laboral? ¿en qué cambiaría la sociedad si todas las empresas fueran más democráticas? ¿cuáles serían las implicaciones sociales y políticas de un cambio como este? Para saber más de Rick Wolff, visitad rdwolff.com/ Vídeo y edición de The extraenvironmentalist.com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /></br>http://bit.ly/1l9t6ba</p></br><p> </p>com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /> http://bit.ly/1l9t6ba</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="The London Orchard Project" src="https://player.vimeo.com/video/9785112?h=7e9899600f&dnt=1&app_id=122963" width="880" height="495" frameborder="0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p> </p></br><p><a href="http://www.vimeo.com/9785112#?pg=embed&sec=9785112#">The London Orchard Project on Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p> Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Published Marsh 1st, 2012</p></br><p>Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a><br /></br>Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie</p></br><p>READ THE BOOK <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a></p></br><p>HELP ADD SUBTITLES <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a></p></br><p>Sacred Economics traces the history of money from ancient gift economies to modern capitalism, revealing how the money system has contributed to alienation, competition, and scarcity, destroyed community, and necessitated endless growth.</p></br><p>Today, these trends have reached their extreme – but in the wake of their collapse, we may find great opportunity to transition to a more connected, ecological, and sustainable way of being.</p></br><p>This short contains some visuals from the upcoming feature doc Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org<br /></br></a></p></br><p><strong>FULL CREDITS</strong></p></br><p>Directed & Edited by Ian MacKenzie<br /></br>Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill<br /></br>Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie<br /></br>Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy<br /></br>Music: Chris Zabriskie<br /></br>Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /></br>Stills: Kris Krug, NASA<br /></br>Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>dam Giangregorio, Brian Duffy<br /> Music: Chris Zabriskie<br /> Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /> Stills: Kris Krug, NASA<br /> Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Will Work For Free | 2013" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/0SuGRgdJA_c?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p> </p></br><p>Will Work For Free is a documentary by Sam Vallely on the subject of technological unemployment.</p></br><p>OFFICIAL RELEASE 2013</p></br><p>This work is protected under fair use and will always be free.</p>CIAL RELEASE 2013</p> <p>This work is protected under fair use and will always be free.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Published Marsh 1st, 2012</p></br><p>Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a><br /></br>Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie</p></br><p>READ THE BOOK <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a></p></br><p>HELP ADD SUBTITLES <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a></p></br><p>Sacred Economics traces the history of money from ancient gift economies to modern capitalism, revealing how the money system has contributed to alienation, competition, and scarcity, destroyed community, and necessitated endless growth.</p></br><p>Today, these trends have reached their extreme – but in the wake of their collapse, we may find great opportunity to transition to a more connected, ecological, and sustainable way of being.</p></br><p>This short contains some visuals from the upcoming feature doc Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org<br /></br></a></p></br><p><strong>FULL CREDITS</strong></p></br><p>Directed & Edited by Ian MacKenzie<br /></br>Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill<br /></br>Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie<br /></br>Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy<br /></br>Music: Chris Zabriskie<br /></br>Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /></br>Stills: Kris Krug, NASA<br /></br>Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>dam Giangregorio, Brian Duffy<br /> Music: Chris Zabriskie<br /> Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /> Stills: Kris Krug, NASA<br /> Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/7kBgo-z3iCM?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo El profesor Rick Wolff explica los motivos por los que el crecimiento ha adquirido tal protagonismo en nuestros sistemas políticos. La desigualdad es consecuencia de la forma en la que están organizadas las empresas. Asumiendo que pasamos una parte significativa de nuestras vidas en el trabajo, ¿qué pasaría si extendiéramos nuestro afán democrático al entorno laboral? ¿en qué cambiaría la sociedad si todas las empresas fueran más democráticas? ¿cuáles serían las implicaciones sociales y políticas de un cambio como este? Para saber más de Rick Wolff, visitad rdwolff.com/ Vídeo y edición de The extraenvironmentalist.com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /></br>http://bit.ly/1l9t6ba</p></br><p> </p>com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /> http://bit.ly/1l9t6ba</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Claiming the Commons - Food for All on Haultain Boulevard" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/25F_KbTz39o?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Espace urbain – Théories & Pratiques (Co-production) de SchoolofCommoning</p></br><p>Peak Moment 185: Rainey Hopewell’s crazy idea has ended up feeding a neighborhood and creating community. She and Margot Johnston planted vegetables in the parking strip in front of their house. They offer them free for the taking ? to anyone, anytime ? with messages chalked on the sidewalk noting when particular vegies are ready to pick. Neighboring children and adults are joining in to work on the garden, harvesting fun along with food, and even handing fresh-picked vegies to passers-by.</p></br><p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p></br><p>Licence YouTube standard</p></br><p>X CanadaX FoodX GardenX JardinX nourritureX Permaculture</p>lt;p>Licence YouTube standard</p> <p>X CanadaX FoodX GardenX JardinX nourritureX Permaculture</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Claiming the Commons - Food for All on Haultain Boulevard" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/25F_KbTz39o?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Espace urbain – Théories & Pratiques (Co-production) de SchoolofCommoning</p></br><p>Peak Moment 185: Rainey Hopewell’s crazy idea has ended up feeding a neighborhood and creating community. She and Margot Johnston planted vegetables in the parking strip in front of their house. They offer them free for the taking ? to anyone, anytime ? with messages chalked on the sidewalk noting when particular vegies are ready to pick. Neighboring children and adults are joining in to work on the garden, harvesting fun along with food, and even handing fresh-picked vegies to passers-by.</p></br><p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p></br><p>Licence YouTube standard</p></br><p>X CanadaX FoodX GardenX JardinX nourritureX Permaculture</p>lt;p>Licence YouTube standard</p> <p>X CanadaX FoodX GardenX JardinX nourritureX Permaculture</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Tragedies, comedies and other dramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/fbzUurdT_EY?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p><a href="http://www.youtube.com/watch?v=fbzUurdT_EY">Tragedies, comedies and other dramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013 – YouTube</a>.</p>ramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013 – YouTube</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Claiming the Commons - Food for All on Haultain Boulevard" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/25F_KbTz39o?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Peak Moment 185: Rainey Hopewell’s crazy idea has ended up feeding a neighborhood and creating community. She and Margot Johnston planted vegetables in the parking strip in front of their house. They offer them free for the taking ? to anyone, anytime ? with messages chalked on the sidewalk noting when particular vegies are ready to pick. Neighboring children and adults are joining in to work on the garden, harvesting fun along with food, and even handing fresh-picked vegies to passers-by.</p></br><p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p></br><p>Licence YouTube standard</p>gt; <p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p> <p>Licence YouTube standard</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Claiming the Commons - Food for All on Haultain Boulevard" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/25F_KbTz39o?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Peak Moment 185: Rainey Hopewell’s crazy idea has ended up feeding a neighborhood and creating community. She and Margot Johnston planted vegetables in the parking strip in front of their house. They offer them free for the taking ? to anyone, anytime ? with messages chalked on the sidewalk noting when particular vegies are ready to pick. Neighboring children and adults are joining in to work on the garden, harvesting fun along with food, and even handing fresh-picked vegies to passers-by.</p></br><p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p></br><p>Licence YouTube standard</p>gt; <p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p> <p>Licence YouTube standard</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>The RFUK and MEFP, in collaboration with the director Luis Leitao, have launched a new film on the way BaAka rainforest of Central African Republic make their voices heard through participatory mapping.</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. It works in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit the website and watch the clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth est une entrepreneur sociale basée à Harare, Zimbabwe. Elle raconte l’histoire de On the Up Village Kafunda, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>da, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/VOMWzjrRiBg?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> </p></br><p>« There’s no tomorrow » is an cartoon about the exploitation of fossil fuels and natural resources and their impact of human life on the planet. It is directed by Dermot O’ Connor and produced by Incubate Pictures. In 35 minutes, it addresses issues related to the growth of our economic system and how we consume.</p></br><p>Publication : Dermot O’ Connor (35 minutes, 2012). <a href="http://www.idleworm.com">http://www.idleworm.com</a><br /></br><a href="http://www.incubatepictures.com">http://www.incubatepictures.com</a> – <a href="http://www.angryanimator.com">http://www.angryanimator.com</a></p></br><p>Information and documentation in the website : <a href="http://sansLendemain.mpOC.be">http://sansLendemain.mpOC.be</a>.</p>on and documentation in the website : <a href="http://sansLendemain.mpOC.be">http://sansLendemain.mpOC.be</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth is a social entrepreneur based in Harare, Zimbabwe. She is telling On the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p> the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth est une entrepreneur sociale basée à Harare, Zimbabwe. Elle raconte l’histoire de On the Up Village Kafunda, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>da, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="560" height="315" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international.</p></br><p>Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>t;p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth is a social entrepreneur based in Harare, Zimbabwe. She is telling On the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p> the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>La RFUK et la MEFP, en collaboration avec le réalisateur Luis Leitao, ont lancé un nouveau film sur la manière dont les BaAka de la forêt tropicale de République Centrafrique font entendre leurs voix à travers la cartographie participative.</p></br><p>Afin de sensibiliser le public aux problèmes rencontrés par les communautés autochtones des forêts du bassin du Congo, et au rôle que la cartographie participative peut jouer dans la résolution de ces difficultés, la RFUK et l’ONG centrafricaine « Maison de l’Enfant et de la Femme Pygmées » (MEFP) ont produit un film de 30 minutes intitulé « Ndima — Les cartes de notre futur ». « Ndima », qui signifie « forêt » en BaAka, raconte la manière dont les communautés autochtones BaAka de la République centrafricaine ont utilisé la cartographie pour appuyer leurs revendications relatives à l’accès et à l’utilisation de leurs terres traditionnelles. Le film met en évidence ces enjeux dans le cas d’une aire protégée.</p></br><p>Le film s’adresse au tout public tant au « Nord » que dans le bassin du Congo – mais soulève également des questions importantes pour les décideurs, concernant les besoins et le rôle potentiel des premiers gardiens de la forêt dans les efforts de conservation au sens large.</p></br><p>Durée : 28mins<br /></br>Publiée le 2 juil. 2013<br /></br>Licence : Licence YouTube standard</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. We work in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit our website and watch our clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/O_pKnP-2mOQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>L’Afrique produit 10 pour cent de moins de nourriture qu’en 1960. Avec la montée de la monoculture et de la production alimentaire mondialisée, le paysage du continent est en train de changer et menace sa capacité de se nourrir. Au Mali, un plan américain pour une vaste opération de production de canne à sucre sur les rives du fleuve Niger menace les producteurs de riz à petite échelle qui ont nourri leurs communautés pendant des générations.</p></br><p>Comment nourrir le monde ? Pour en savoir plus et obtenir des ressources pédagogiques, aller à <a href="http://www.whypoverty.net">www.whypoverty.net</a></p></br><p>Director Hugo Berkeley & Osvalde Lewat<br /></br>Producer Eli Cane<br /></br>Produced by Normal Life Pictures<br /></br><a href="http://www.whypoverty.net/en/video/31/">Why Poverty?</a><br /></br>Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /></br>ITVS</p>overty?</a><br /> Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /> ITVS</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>The RFUK and MEFP, in collaboration with the director Luis Leitao, have launched a new film on the way BaAka rainforest of Central African Republic make their voices heard through participatory mapping.</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. It works in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit the website and watch the clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="560" height="315" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international.</p></br><p>Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>t;p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>La RFUK et la MEFP, en collaboration avec le réalisateur Luis Leitao, ont lancé un nouveau film sur la manière dont les BaAka de la forêt tropicale de République Centrafrique font entendre leurs voix à travers la cartographie participative.</p></br><p>Afin de sensibiliser le public aux problèmes rencontrés par les communautés autochtones des forêts du bassin du Congo, et au rôle que la cartographie participative peut jouer dans la résolution de ces difficultés, la RFUK et l’ONG centrafricaine « Maison de l’Enfant et de la Femme Pygmées » (MEFP) ont produit un film de 30 minutes intitulé « Ndima — Les cartes de notre futur ». « Ndima », qui signifie « forêt » en BaAka, raconte la manière dont les communautés autochtones BaAka de la République centrafricaine ont utilisé la cartographie pour appuyer leurs revendications relatives à l’accès et à l’utilisation de leurs terres traditionnelles. Le film met en évidence ces enjeux dans le cas d’une aire protégée.</p></br><p>Le film s’adresse au tout public tant au « Nord » que dans le bassin du Congo – mais soulève également des questions importantes pour les décideurs, concernant les besoins et le rôle potentiel des premiers gardiens de la forêt dans les efforts de conservation au sens large.</p></br><p>Durée : 28mins<br /></br>Publiée le 2 juil. 2013<br /></br>Licence : Licence YouTube standard</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. We work in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit our website and watch our clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/O_pKnP-2mOQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>75% of Mali’s population are farmers, but rich, land-hungry nations like China and Saudi Arabia are leasing Mali’s land in order to turn large areas into agribusiness farms. Many Malian peasants do not welcome these efforts, seeing them as yet another manifestation of imperialism. As Mali experiences a military coup, the developers are scared off – but can Mali’s farmers combat food shortages and escape poverty on their own terms?</p></br><p>How do you feed the world? To find out more and get teaching resources, go to <a href="http://www.whypoverty.net">www.whypoverty.net</a></p></br><p>Director Hugo Berkeley & Osvalde Lewat<br /></br>Producer Eli Cane<br /></br>Produced by Normal Life Pictures<br /></br><a href="http://www.whypoverty.net/en/video/31/">Why Poverty?</a><br /></br>Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /></br>ITVS</p>a><br /> Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /> ITVS</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><img decoding="async" loading=<p><img decoding="async" loading="lazy" class="alignnone size-large wp-image-6609" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin-607x455.jpeg" alt="" width="607" height="455" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin-607x455.jpeg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin-342x257.jpeg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin-768x576.jpeg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin.jpeg 1024w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><br /></br>Une <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Prendre_soin_ensemble" target="_blank" rel="noopener">collection de témoignages</a> autour des pratiques de soin en santé et des communs à partir desquels ont été produits trois montages, un triptyque Soin empêché / La santé sous pression néo-libérale / Auto-organiser le soin en commun. Cette série est une contribution de Remix the commons à l’Atelier pour la refondation du service public hospitalier, réalisée en collaboration avec <a class="external text" href="http://www.primitivi.org/Soigner-comme-neige-au-soleil-ou-l-Obsolescence-programmee-des-secteurs-de?" rel="nofollow">Primitivi</a> du 3 et 4 juillet 2021 à Marseille.</p> rel="nofollow">Primitivi</a> du 3 et 4 juillet 2021 à Marseille.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><span id="result_box" class=""<p><span id="result_box" class="" lang="en"><span class="hps">The</span> <span class="hps">world needs</span> <span class="hps">ideas for a better</span> <span class="hps">and sustainable future</span>, <span class="hps">but the ideas</span> <span class="hps">are not enough.</span> <span class="hps">The</span> <span class="hps">Futureperfect</span> <span class="hps">platform is</span> <span class="hps">a virtual</span> <span class="hps">encyclopedia</span> <span class="hps">of</span> <span class="hps">people</span> <span class="hps">taking</span> <span class="hps">initiatives</span><span class="">, organizations</span> <span class="hps">and businesses</span> <span class="hps">who</span> <span class="hps">move from</span> <span class="hps">thinking</span> <span class="hps">to action.</span> Sharing these<span class="hps"> stories</span> <span class="hps">aims to</span> <span class="hps">inform about</span> <span class="hps">alternative lifestyles</span> <span class="hps">and</span> <span class="hps">to</span> <span class="hps">encourage</span> <span class="hps">civic engagement</span>.</span></p></br><p><span class="hps">The</span> <span class="hps">French</span> <span class="hps">partners of</span> <span class="hps">Futureperfect</span>, the <span class="hps">German</span> <span class="hps">team of FUTURZWEI</span>, activists <span class="hps">and all</span> <span class="hps">interested public</span> <span class="hps">will meet to</span> <span class="hps">discuss</span> <span class="hps">the role of media</span> <span class="hps">in the developpement of</span> <span class="hps">social economy</span> <span class="hps">practices and</span> <span class="hps">sustainable lifestyles</span>.</p></br><div class="row"></br><div class="span12 nurText"></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/10/futureperfect_visuel_web-debzt-8-octobre-2015.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-4335 size-full" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/10/futureperfect_visuel_web-debzt-8-octobre-2015.jpg" alt="futureperfect_visuel_web debzt 8 octobre 2015" width="337" height="803" /></a></p></br><p><span class="hps">Debate</span> <span class="hps">part of la Semaine des cultures étrangères</span> <span class="hps">held by the</span> <span class="hps">FICEP</span> <span class="hps">and</span> <span class="hps">in cooperation with the<a href="http://tempsdescommuns.org"> Festival Temps des communs</a></span>.</p></br><ul></br><li><strong>Barnabé Binctin</strong>, Journaliste <i>Reporterre</i></li></br><li><i><strong>Peter Unfried</strong>, </i>Journaliste <i>TAZ</i></li></br><li><i><strong>Benoit Cassegrain </strong>and<strong> Hélène Legay</strong>,</i> <i>SideWays</i></li></br><li><i><strong>Mathias Lahiani</strong>, </i><i>On passe à l’acte</i></li></br></ul></br><p>Moderated by <strong>Luise Tremel</strong>, FUTURZWEI and <strong>Frédéric Sultan</strong>, <i>Remix the commons </i></p></br></div></br><div class="span12 nurText"> Goethe-Institut Paris</div></br><aside class="span6 artikelspalte nurText"></br><div class="teaserBox"></br><p class="vkEvent">17 avenue d’Iéna<br /></br>75116 Paris</p></br></div></br><p>Langage : En français et en allemand<br /></br>Free entry, registration : <span class="telefon">33 1 44439230 </span></p></br></aside></br></div>ong>, Journaliste <i>Reporterre</i></li> <li><i><strong>Peter Unfried</strong>, </i>Journaliste <i>TAZ</i></li> <li><i><strong>Benoit Cassegrain </strong>and<strong> Hélène Legay</strong>,</i> <i>SideWays</i></li> <li><i><strong>Mathias Lahiani</strong>, </i><i>On passe à l’acte</i></li> </ul> <p>Moderated by <strong>Luise Tremel</strong>, FUTURZWEI and <strong>Frédéric Sultan</strong>, <i>Remix the commons </i></p> </div> <div class="span12 nurText"> Goethe-Institut Paris</div> <aside class="span6 artikelspalte nurText"> <div class="teaserBox"> <p class="vkEvent">17 avenue d’Iéna<br /> 75116 Paris</p> </div> <p>Langage : En français et en allemand<br /> Free entry, registration : <span class="telefon">33 1 44439230 </span></p> </aside> </div>)
  • Chargement/Site  + (<p><strong>Glossary of the com<p><strong>Glossary of the commons</strong></p></br><p>The aim is to have a definition exercice, in French, of the vocabulary used in our community. The Glossary will be multi-dimensional using multimedia tools and different level of meanings. We intend also to work as well with non french speaking people to set up the list of terms. It will use Charlotte Hess mapping approach to classify terms into different fields.</p></br><p>See more information in the<a href="https://www.remixthecommons.org/2013/08/un-chantier-po…-biens-communs/"> french version</a> of this post.</p>mmons.org/2013/08/un-chantier-po…-biens-communs/"> french version</a> of this post.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><strong>Glossary of the com<p><strong>Glossary of the commons</strong></p></br><p>The aim is to have a definition exercice, in French, of the vocabulary used in our community. The Glossary will be multi-dimensional using multimedia tools and different level of meanings. We intend also to work as well with non french speaking people to set up the list of terms. It will use Charlotte Hess mapping approach to classify terms into different fields.</p></br><p>See more information in the<a href="https://www.remixthecommons.org/2013/08/un-chantier-po…-biens-communs/"> french version</a> of this post.</p>mmons.org/2013/08/un-chantier-po…-biens-communs/"> french version</a> of this post.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><strong>How to equip the in<p><strong>How to equip the inhabitants with tools and methods that allow them to claim the consideration of a joint management of the social, cultural and economic resources of urban life? We believe that knowledge and mastery of legal mechanisms that allow urban commons to prosper, is an essential part of the answer to this question.</strong></p></br><p>Atlas of the Charters of the Urban Commons is to provide socio-technical device to appropriate these tools, by articulating three actions:</p></br><ol></br><li>achieve and maintain an open and interactive inventory of legal mechanisms dedicated to the implementation of urban commons.</li></br><li>provide a collective space for analysis and interpretation of the governance mechanisms of the urban commons that will produce a new shared knowledge among commoners in a cross-cultural perspective.</li></br><li>provide a space for exchange and mutual aid around the development of charters and legal instruments for the regeneration or creation of urban commons.</li></br></ol></br><p>Analysis of the Bologna regulation :</p></br><p><iframe style="width: 900px; height: 500px; border: 1px solid black;" src="https://framindmap.org/c/maps/198701/embed?zoom=1"> </iframe></p></br><p>To contribute to this work, please use<br /></br><a href="https://framindmap.org/c/maps/198701/edit">framindmap.org</a><br /></br>(You need to be identified)</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">More information</a></p></br><p> </p>p.org</a><br /> (You need to be identified)</p> <p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">More information</a></p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p><strong>Le 21 mars de 17:00<p><strong>Le 21 mars de 17:00 à 20:00, Venez, REMIXER LES BIENS COMMUNS, à la Fondation Charles Léopold Mayer, (38 rue Saint-Sabin – Paris). </strong></p></br><p>Le 21 mars, profitant d’une session de travail du réseau en France, nous vous proposons un moment de dialogue convivial et de partage des initiatives culturelles et médiatiques sur les biens communs avec <a href="http://www.communautique.qc.ca/">Communautique</a>, Le <a href="http://www.forumalternatives.org/">Forum Marocain des Alternatives Solidaires</a>, <a href="http://www.ker-thiossane.org/">Ker Thiossane,</a> le <a href="http://www.lartes-ifan.gouv.sn/">LARTES</a> et <a href="http://vecam.org">VECAM</a>,.</p></br><p>Nous vous invitons à partager vos initiatives au même titre que celles du réseau Remix the Commons : la mosaïque et les chapitres de la collection multimédia, et de ses membres : les Petits déjeuners en-communs, À l’école des communs à Montréal, la Réparation Communautaire pour la transition dans la justice au Maroc, Afropixel, festival d’arts numériques sur les biens communs, les Chartes de gouvernance démocratique au Sénégal…</p></br><p>Nous vous proposerons également de participer à la préparation d’une démarche de curation des médias sur les thèmes de la conférence : <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a>, qui se déroule à Berlin du 22 au 24 mai.</p></br><p>Enfin, de 19:00 à 20:00, nous vous proposerons de profiter de la présence de membres du réseau francophone des biens communs venus de Montréal, Dakar et Rabat pour faire un tour d’horizon des initiatives en cours et un point sur le fonctionnement collectif.</p></br><p>Merci de confirmer votre participation en vous inscrivant sur le <a href="http://framadate.org/4jhn4ulkq7okavf9 ">sondage Framadate</a>.</p> <p>Merci de confirmer votre participation en vous inscrivant sur le <a href="http://framadate.org/4jhn4ulkq7okavf9 ">sondage Framadate</a>.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><strong>Le 21 mars de 17:00<p><strong>Le 21 mars de 17:00 à 20:00, Venez, REMIXER LES BIENS COMMUNS, à la Fondation Charles Léopold Mayer, (38 rue Saint-Sabin – Paris). </strong></p></br><p>Le 21 mars, profitant d’une session de travail du réseau en France, nous vous proposons un moment de dialogue convivial et de partage des initiatives culturelles et médiatiques sur les biens communs avec <a href="http://www.communautique.qc.ca/">Communautique</a>, Le <a href="http://www.forumalternatives.org/">Forum Marocain des Alternatives Solidaires</a>, <a href="http://www.ker-thiossane.org/">Ker Thiossane,</a> le <a href="http://www.lartes-ifan.gouv.sn/">LARTES</a> et <a href="http://vecam.org">VECAM</a>,.</p></br><p>Nous vous invitons à partager vos initiatives au même titre que celles du réseau Remix the Commons : la mosaïque et les chapitres de la collection multimédia, et de ses membres : les Petits déjeuners en-communs, À l’école des communs à Montréal, la Réparation Communautaire pour la transition dans la justice au Maroc, Afropixel, festival d’arts numériques sur les biens communs, les Chartes de gouvernance démocratique au Sénégal…</p></br><p>Nous vous proposerons également de participer à la préparation d’une démarche de curation des médias sur les thèmes de la conférence : <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a>, qui se déroule à Berlin du 22 au 24 mai.</p></br><p>Enfin, de 19:00 à 20:00, nous vous proposerons de profiter de la présence de membres du réseau francophone des biens communs venus de Montréal, Dakar et Rabat pour faire un tour d’horizon des initiatives en cours et un point sur le fonctionnement collectif.</p></br><p>Merci de confirmer votre participation en vous inscrivant sur le <a href="http://framadate.org/4jhn4ulkq7okavf9 ">sondage Framadate</a>.</p> <p>Merci de confirmer votre participation en vous inscrivant sur le <a href="http://framadate.org/4jhn4ulkq7okavf9 ">sondage Framadate</a>.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>A great new documentary that is c<p>A great new documentary that is currently in production, documenting the water struggles around Greece. The working title of the new documentary is « Wa(te)rdrops », and it aims to present, through in-depth research and fieldwork, struggles concerning water around Greece, including the struggle against the privatization of Thessaloniki’s water company (EYATH), against the gold mines in Chalkidiki and against local water reserve appropriation efforts in Volos and Crete.</p></br><p>First few trailers in the documentary’s <a href="http://www.stagonesdoc.gr/en">web page</a>. Make sure you activate the subtitles (English or Spanish) on the top right corner of the player.</p></br><p>It is being filmed by a group of militant filmmakers coordinated by researcher Nelly Psarou. The same people did « Golfland? » a few years ago, a doc about the disastrous effect of golf course development on the environment and local communities. You can watch « Golfland? » online <a href="http://www.golfland.gr/en/golfland_movie.php">here</a> (Soon in the Remix Catalogue). </p></br><p>It is a_proudly independent production_ relying on crowdfunding for its completion, and the outcome will be freely accessible under a creative commons license. « Donate » button on the bottom of the documentary’s webpage.</p>reative commons license. « Donate » button on the bottom of the documentary’s webpage.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>A great new documentary that is c<p>A great new documentary that is currently in production, documenting the water struggles around Greece. The working title of the new documentary is « Wa(te)rdrops », and it aims to present, through in-depth research and fieldwork, struggles concerning water around Greece, including the struggle against the privatization of Thessaloniki’s water company (EYATH), against the gold mines in Chalkidiki and against local water reserve appropriation efforts in Volos and Crete.</p></br><p>First few trailers in the documentary’s <a href="http://www.stagonesdoc.gr/en">web page</a>. Make sure you activate the subtitles (English or Spanish) on the top right corner of the player.</p></br><p>It is being filmed by a group of militant filmmakers coordinated by researcher Nelly Psarou. The same people did « Golfland? » a few years ago, a doc about the disastrous effect of golf course development on the environment and local communities. You can watch « Golfland? » online <a href="http://www.golfland.gr/en/golfland_movie.php">here</a> (Soon in the Remix Catalogue). </p></br><p>It is a_proudly independent production_ relying on crowdfunding for its completion, and the outcome will be freely accessible under a creative commons license. « Donate » button on the bottom of the documentary’s webpage.</p>reative commons license. « Donate » button on the bottom of the documentary’s webpage.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>After the festival « Temps des co<p>After the festival « Temps des communes », (October 2015), a small group has decided to produce an exhibition on the commons. The idea was to do a light, self editable and easy to use collection of posters. It is dedicated to places that welcome an audience that is not particularly sensitive to the commons. We were thinking for example of community centers, libraries or schools. After a few exchanges, notably around the game <a href="http://commonspoly.cc/">Commonspoly</a>, which had been prototyped by <a href="http://www.zemos98.org/">ZEMOS98</a> a few months before during a European meeting, we produced an exhibition of 12 posters that explain and illustrate the commons.</p></br><figure style="width: 1240px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/ExpoLesCommunsV0_panneau01.png" width="1240" height="1753" alt=" Expo Les communs page1 CC-BY-SA." class="size-medium" /><figcaption class="wp-caption-text"><br /></br>Expo Les communs page1 CC-BY-SA.</figcaption></figure></br><p>The exhibition proposes to discover the common through their definition and concrete illustration. The panels make us walk through different facets of the commons: the fragility of natural commons, the relationship between use and ownership, the role of hackers in the renewal of commons, the place of knowledge, and the reconquest of political space by commoners. Finally, it also proposes resources based on other cultural initiatives: Communauthèque, a best of bibliography of the 50 books on the commons, the game C@rds in common or Remix the commons of course!</p></br><p>This exhibition is a collective work leaded by Thierry Pasquier, and edited by Rosie Howe, with the support of Espace Mendès France at Poitiers, a center for scientific, technical and industrial culture in New Aquitaine, Vecam, and Remix the commons. The publication under the license « Attribution – Sharing under the same conditions 3.0 France (CC BY-SA 3.0 FR) » allows free imagination for the diffusion and adaptation of the exhibition to each context … and languages. The next step will be to set up a dedicated website that will allow each to publish according to his/her needs. We will give you news of this project in the coming months!</p></br><p>The PDF light version of the exhibition is available on the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Exposition_Les_communs">wiki Remix the commons</a>. In the next few weeks we will install a wiki with the content, including Pdf in high definition, texts images that can modified, as well as all associated media and InDesign sources. Do not hesitate to ask us for any specific request or offer your help.</p></br><p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p>edia and InDesign sources. Do not hesitate to ask us for any specific request or offer your help.</p> <p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Appel à idées !</p> <p&g<p>Appel à idées !</p></br><p>Soumettez une idée qui encourage l’Europe en laquelle nous croyons : une Europe fondée sur la solidarité et l’ouverture, façonné et nourrie par le peuple.</p></br><p>Nous vivons et travaillons dans un environnement de plus en plus complexe. À travers l’Europe et ses pays voisins, un nombre croissant de personnes sont confrontées quotidiennement à la discrimination et à l’exclusion, que ce soit sur un plan économique, politique ou culturel. </p></br><p>Un tel phénomène a pour conséquence une fragmentation croissante des sociétés, une montée de l’extrémisme et une division toujours plus grande entre les peuples, mais aussi entres les individus et les institutions qui les gouvernent.</p></br><p>Les mouvements migratoires, la méfiance envers les institutions traditionnelles et l’écart grandissant entre l’idée d’une Europe démocratique et la réalité d’un continent divisé sont parmi les plus grands défis auxquels nous sommes aujourd’hui confrontés. </p></br><p>Ces défis ne sont pas nouveaux, mais ils ont atteint un degré qui affecte directement les systèmes et les politiques existantes, tant au niveau national qu’au niveau européen.<br /></br>La troisième édition de l’Idea Camp portée par l’European Cultural Foundation (ECF) et intitulée « Communautés en mouvement », s’attachera à mettre en lumière les mouvements de résistance qui s’attachent à contrer des pratiques anti-démocratiques. </p></br><p>Organisé en collaboration avec Platoniq, l’Idea Camp aura lieu du 1er au 3 Mars 2017 en Espagne et réunira 50 participants dont les idées novatrices démontrent la ferme volonté d’encourager l’imagination politique, favoriser la construction de liens et contribuer au développement d’une société fondée sur le principe de justice sociale. Basé sur des valeurs de partage, d’inclusion et d’ouverture, l’Idea Camp offre aux participants une occasion unique de rencontrer des pairs venus de toute l’Europe et de ses pays voisins, dont les pratiques sont porteuses devisions différentes.<br /></br>Suite à l’appel à idées, 50 participants sont sélectionnés sur critères. ECF couvrira, pour la durée de l’Idea Camp, les frais de déplacement et de séjour en Espagne d’un représentant pour chaque idée.<br /></br>Après l’Idea Camp, les participants seront invités à soumettre une proposition concrète de recherche ou d’implémentation de leur idée. 25 propositions seront retenues et recevront une bourse de recherche et développement d’un montant maximum de 10.000 €. </p></br><p>Initié en 2014, l’Idea Camp est organisé dans le cadre de « Connected Action for the Commons », un programme d’action et de recherche développé par ECF en collaboration avec six organisation culturelles implantées dans toute l’Europe: Culture 2 Commons (Croatie), Les Têtes de l’Art (France), KrytykaPolityczna (Pologne), Oberliht (Moldavie), Platoniq – Goteo (Espagne) et Subtopia (Suède).</p></br><p>Pour soumettre votre idée, remplissez le formulaire en ligne suivant : http://www.culturalfoundation.eu/idea-camp-call/</p>ivant : http://www.culturalfoundation.eu/idea-camp-call/</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Après le festival Temps des commu<p>Après le festival Temps des communs, (octobre 2015), un petit groupe s’était retrouvé sur l’idée de produire une exposition sur les communs, légère, éditable à la demande et utilisable dans des lieux qui accueillent un public qui n’est pas spécialement sensible à ce sujet. Nous pensions alors aux centres sociaux, aux bibliothèques ou aux établissements scolaires par exemple. Après quelques échanges, notamment autour du jeu <a href="http://commonspoly.cc/">Commonspoly</a> qui avait été prototypé par <a href="http://www.zemos98.org/">ZEMOS98</a> quelques mois avant lors d’une rencontre européenne, nous avons produit 12 panneaux d’exposition qui expliquent et illustrent les communs.</p></br><figure style="width: 1240px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-medium" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/ExpoLesCommunsV0_panneau01.png" alt="Expo Les communs" width="1240" height="1753" /><figcaption class="wp-caption-text">Expo Les communs – CC-BY-SA.</figcaption></figure></br><p>L’exposition propose de découvrir les communs à travers des éléments de définition et leur illustration concrète. Les panneaux font cheminer à travers différentes facettes des communs : la fragilité des communs naturels, la relation entre usage et propriété, le rôle des hackers dans le renouvellement des communs, la place de la connaissance, et la reconquête de l’espace politique par les commoners. Enfin, elle propose aussi des ressources en s’appuyant sur d’autres initiatives culturelles autour des communs : Communauthèque et sa bibliographie, le jeu C@rtes en commun ou encore Remix the commons of course !</p></br><p>L’exposition est un travail collectif autour de Thierry Pasquier, mis en forme graphique par Rosie Howe, avec le soutien de l’Espace Mendès France — Poitiers, centre de culture scientifique, technique et industrielle en Nouvelle-Aquitaine, de l’association Vecam, et de Remix the commons. La publication sous la licence « Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 3.0 France (CC BY-SA 3.0 FR) » permet de laisser libre court à son imagination pour la diffusion et d’adaptation de l’exposition à chaque contexte. La prochaine étape consistera à mettre en place un site Web dédié qui permettra à chacun de publier selon ses besoins. Nous vous donnerons donc des nouvelles de ce projet dans les mois qui viennent !</p></br><p>Une version PDF légère de l’exposition est disponible sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Exposition_Les_communs">wiki Remix the commons</a>. Dans les semaines qui viennent, nous allons mettre en place un site web pour recevoir des PDF en haute définition pour l’impression en différents formats, les textes afin de permettre leur modification, correction, amendement, etc, ainsi que l’ensemble des médias associés et les sources InDesign. Le temps de mettre tout ça en place. N’hésitez pas à nous solliciter pour toute demande spécifique ou bien proposer de l’aide.</p></br><p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p><p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>At the last meeting of the Franco<p>At the last meeting of the Francophone network for the commons, popular education approaches have been discussed several times. Working groups should be set up to pursue this logic, one in particular, around the idea of school or university common folk. This article is a contribution to the debate and a proposal to organize a large meeting of the actors involved in different practices of learning the commons with a political perspective. The article is in French only. You can also find a list of refences of actions at the end. </p></br><p>Différentes initiatives s’inscrivent dans une logique d’école ou université populaire des communs. Celles que nous connaissons le mieux sont l’<a href="http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia">école des Communs de Barcelone</a>, <a href="http://www.schoolofcommoning.com">celle de Londres</a>, ou l’<a href="http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite">université d’été</a> qui se déroule en Allemagne depuis quelques années. A Montréal, une rencontre « <a href="http://bit.ly/1kPbTFK">A l’école des communs</a> » s’est déroulée à la fin de l’année 2012. </p></br><p>Ces initiatives prennent différentes formes. Certaines sont permanentes alors que d’autres sont des temps de rencontres ponctuels. Certaines allient auto formation et transmission de savoirs dans une perspective d’éducation populaire, d’autres veulent d ’emblée s’inscrire dans des cursus académiques. Pour les unes, une école des communs se doit d’être nomade et proactive dans son environnement socio politique. Pour les autres elles doivent plutôt s’ancrer dans les institutions d’enseignement. La place et les rôles respectifs du présentiel et du virtuel peuvent varier. </p></br><p>Les pédagogies appliquées sont plus ou moins ouvertes. Elles vont de la conférence, au format somme toute assez traditionnel (Londres), à un travail de construction de coalition locale d’activistes et de chercheurs (Barcelone ou Montréal).<br /></br>Finalement, une discussion sur la nature de ce que devrait être la pédagogie à l’ère des communs (peeragogie) s’est déroulée ces dernières semaines sur le forum de discussion Commoning (en anglais).</p></br><p>Ces initiatives incluent dans leurs objectifs de produire des documents de référence tels que par exemple les <a href="http://bit.ly/LtK064">interviews conférences de James Quilligan</a>, les interviews de <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Michel Bauwens</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Lionel Maurel</a> pour A l’école de communs ou la transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » par le groupe allemand (qui sera ensuite <a href="http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/">traduit en français par Savoircom1</a>). </p></br><p>La <a href="http://p2pfoundation.net/ECC2013">conférence de Berlin</a> de mai 2013 a été l’occasion de mutualiser ces expériences au cours de deux « side events » axés sur la « <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013">Culture et Communication des Communs </a>» et sur l’« <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013">Éducation des Communs</a> ». Une réflexion collective sur <a href="http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/">les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs</a> a été initiée à cette occasion. Dans ce contexte, une démarche ouverte d’éducation aux communs pour et par une coalition francophone pourrait enrichir l’offre existante et démultiplier sa puissance de transformation sociale et politique en systématisant ces démarches.</p></br><p>L’un des premiers enjeux que rencontre une démarche d’éducation populaire autour des communs aujourd’hui est certainement lié à l’étude et la stabilisation des catégories de définition des communs et du vocabulaire des communs. Elaborer des catégories des communs plus opérationnelles faciliterait la mise en réseau des commoneurs et la dissémination du paradigme des communs dans la société. Des initiatives existent sur ce terrain qu’il faut regarder de près et renforcer. <a href="http://movecommons.org">Move Commons</a> est une des plus avancées. Le site web propose d’attribuer un label à un projet selon des critères correspondant à la nature des communs (4 types) au mode de gouvernance de l’organisation ou de l’initiative concernée. Le formulaire permet alors de produire un badge, à la manière des licences Creative Commons qui pourra être inclus dans la page web du projet. Move Commons s’est développé dans l’écosystème des communs espagnols formé par le Medialab Prado et l’association Communes. Aujourd’hui, Bastien Guerry, l’un des initiateurs de Move commons, développe une deuxième version du site qui s’affranchit des catégories pour privilégier la qualification des initiatives sous la forme de tags. A travers la question des labels des communs, Move Commons interroge la possibilité et la pertinence de certification des pratiques et des communautés.</p></br><p>Le collectif Remix The Commons, composé de 5 organisations francophones (en France, au Maroc, au Sénégal, au Québec), s’attache à définir des catégories qui cette fois s’appliquent à des documents. Remix The Commons invite à documenter les pratiques et les enjeux des biens communs. Entre 2010 et 2013, le collectif Remix The Commons a notamment collecté auprès de commoneurs du monde entier, chercheurs ou activistes, leurs <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs/">définitions des biens communs</a> sous la forme de brèves capsules vidéos. Ces documents (et d’autres, actuellement le site en référence environ 260), sont classés en fonction d’une part des domaines d’action ou ressources mises en biens communs : l’eau, la connaissance, les infrastructures, …etc, et d’autre part, en fonction de l’agenda des luttes propres aux communautés et aux acteurs : le droit d’accès à l’eau potable, le libre accès à la connaissance, la neutralité des infrastructures telles que Internet, …etc. Le catalogue (et donc les catégories) de Remix The Commons est considéré comme une contribution (un commun) au mouvement des communs. Le principal artefact de ce catalogue est le <a href="http://remixthecommons.org">site web</a>.</p></br><p>Les vocabulaires (jeux de catégories) qui émergent de ces initiatives ne gagneraient-ils pas à être explicités collectivement afin de nourrir la culture commune des communs ? On a pu voir à travers le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet Biens Communs de Wikipédia</a> qu’il y a un vide à combler. Certaines définitions manquent lorsque d’autres sont tronquées ou le reflet d’un point de vue qui ne tient pas compte de la perspective des communs.</p></br><p>L’idée de glossaire des communs a fait l’objet des premières expérimentations autour de Ville en Biens Communs avec le <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/">groupe Encyclopétrie</a>. En partant de groupes de mots identifiés à la fois par Remix The Commons et dans le manifeste de Savoircom1, un dispositif de visualisation interactif a été expérimenté. Ce projet a le mérite d’ouvrir la réflexion sur l’objet lexique des communs et sur les conditions de production et d’interconnexion de glossaires des groupes, réseaux de commoneurs.</p></br><p>Mais en plus de la création / amélioration des définitions dans l’encyclopédie, il serait utile de mettre à contribution les outils de web sémantique tels que ceux développés sous le leadership de Wikimedia, pour définir et stabiliser des catégories qui seraient ainsi plus facilement partageables. Le partage de ces catégories permettraient de rendre interopérables certains projets, comme ceux cités, et probablement d’autres que nous n’identifions pas encore.</p></br><p>Un deuxième enjeu est certainement de mieux articuler transformations sociales et politiques.</p></br><p>A différentes échelles, locale, régionale, nationale (pour ne prendre que celles-là) des collectifs se saisissent de problématiques plus ou moins spécifiques, telles que l’alimentation, le transport, la santé, l’environnement, l’information et l’éducation, l’espace public, le travail, l’énergie et l’environnement, l’eau, … pour agir très concrètement sur le terrain. Dans bien des domaines, la capacité de ces initiatives à peser de manière significative aux moments et dans les espaces décisionnels, est restreinte et doit être développée. Il est évident que certains de ces champs sont aujourd’hui beaucoup mieux lotis que d’autres. La connaissance, l’informatique libre ou Internet par exemple sont défendus par des groupes qui ont su constituer une force de frappe auprès de la puissance publique et développer des dispositifs de création ou de protection des communs à grande échelle. Les causes liées aux communs ne se limitent pas aux domaines reconnus, et, même si tout n’est pas acquis sur ces terrains, loin s’en faut, accompagner le « passage à l’échelle » du politique dans d’autres domaines devrait faire partie des objectifs de la coalition des biens communs. L’expérience de ces mouvements plus influents montre qu’il sont d’autant plus puissants dans cette sphère, qu’ils savent rassembler des militants et développer des outils de coordination et réunir des compétences spécifiques ,notamment juridiques, à leur domaine d’action..</p></br><p>La mobilisation dépend en grande partie de la diffusion de la notion de communs dans la société. Dans une perspective d’éducation populaire, les modes de diffusion passent par une élaboration collective par les habitants des problématiques qu’ils partagent et sur lesquelles ils s’engagent (ou pas) dans la consolidation de liens sociaux ou symboliques qui fondent les communautés.</p></br><p>Les MOOC, sont une piste régulièrement invoquée, pour contribuer à la diffusion de la notion de communs. Ils pourraient faire l’objet de coopérations entre des acteurs de la formation issus de l’univers académique et du monde associatif qui se sont dédiés à la formation professionnelle. Le <a href="http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/">Master recherche Infocom</a> de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau et <a href="http://animacoop.net/">Animacoop</a> formation professionnelle à la coopération mise en place par Outils réseaux http://outils-reseaux.org/ et la ville de Brest, pourraient conduire ce type de démarche. La chaire dédiée aux communs, soutenue par le Crédit Coopératif, le CNAM, l’IAP organisateur d’une table ronde sur Web, associations et communs, et bien d’autres acteurs issus du secteur de la formation sont mobilisables.</p></br><p>Sous différentes formes, l’analyse de terrain, l’étude de cas, les recherches actions, des dispositifs qui sont conduits avec les personnes concernées, cette fois dans le but de peser sur la situation concrète, contribuent à (et s’appuient sur) l’élargissement des mobilisations. La <a href="http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun">fabrique du commun</a> du groupe Kom.post détourne le format habituel de la conférence pour créé un espace de partage des savoirs liés à une problématique partagée.<br /></br>Au Sénégal, les <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/">petits déjeuners des communs</a> organisent la rencontre des habitants et des artistes autour de problématiques inscrites dans l’espace local. La production des fiches d’expérience en vue de préparer de la <a href="http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html">rencontre de Guérande</a> organisée par L’Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) est un autre exemple de ces pratiques. Un travail de recherche action en cours d’élaboration au Sénégal à travers le projet <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique">Communs en Afrique</a> se situe dans une perspective très proche. Il vise à définir des processus participatifs et expérimentaux pour documenter la problématique des communs en lien avec les défis auxquels fait face le continent : l’alimentation, le transport, la Santé, l’environnement, l’information, l’éducation, et observer des processus de Biens Communs en Afrique.</p></br><p>Ce dernier projet fait appel à des <a href="https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/">démarches de cartographie des communs</a> que nous avons commencé à explorer en nous appuyant sur <a href=" http://remixthecommons.infini.fr/">Chimère</a>, une application qui permet de classer et documenter des points d’intérêt sur un territoire. La cartographie participative permet non seulement la recension et la visualisation de ressources (éventuellement mises en communs), mais s’offre aussi comme un support de médiation au sein de la communauté sur les racines et le devenir des biens communs et pour la résolution des problématiques auxquelles elle fait face. Les démarches de cartographie sont déjà largement répandues pour outiller des groupes sociaux qui ont le désir de prendre en main leur destinée. On peut voir les actions qui font référence en Inde, au Brésil, en Afrique du Sud, en Guinée, en associant la production de carte et le processus délibératif des communautés. Les formes de production collectives des cartes ont été renouvelées par l’avènement d’Open Street Map, puis par le développement des pratiques de visualisation et d’ouverture des données (Open data). La production par les collectifs de leur propres représentations, leur permet de redessiner les enjeux et leur stratégies à partir de leur propre vision, comme le montre clairement les expériences de cartographie radicale depuis plusieurs décennies (Nicolas Lambert <a href="http://neocarto.hypotheses.org/15">cartographie radicale</a>. Les initiatives lancées par <a href="https://www.academia.edu/3886909/Mapping_the_Urban_Commons._A_new_representation_system_for_cities_through_the_lenses_of_the_commons">hackitectura</a> de cartographies des communs des Villes d’Athènes et Istambul et en cours actuellement à Rio en sont un exemple remarquable. En outre, partager les classifications des communs, comme évoquées précédemment, permettrait de développer des démarches de recherche actions conjointes.</p></br><p>Cet embryon d’inventaire d’initiatives autour des définitions et de l’appropriation de la notion de communs ou de biens communs, est très bref. De toute évidence, il mériterait d’être étoffé. Aussi, n’hésitez pas à partager vos expériences et vos idées pour y contribuer.</p></br><p>Nous pourrions imaginer de faire se rencontrer et échanger les personnes intéressées par ces initiatives afin de favoriser l’émergence de collaborations. Nous y sommes intéressés. Cela pourrait être un des volets d’une rencontre, école des communs, ou quelque soit sont titre, qui pourrait se dérouler en 2014. L’expérience d’école des communs de Barcelone suit cette ligne. Dans une interview, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona">Mayo Fuster</a> décrit le mode de fonctionnement de l’école des communs de Barcelone comme un espace de rencontre et de fécondation des projets. Chaque rencontre se déroule dans un espace correspondant à la problématique abordée. C’est une manière ouverte de faire réseau et coalition. De telles rencontres contribueraient à créer les conditions de la production de discours savants et politiques sur les communs à partir des causes et des pratiques que nous défendons.</p></br><p>Frédéric Sultan et Alain Ambrosi.</p></br><p>Références :</p></br><p>Ecole des Communs de Barcelone (http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia)<br /></br>Ecole des Communs de Londres (www.schoolofcommoning.com),<br /></br>Université d’été en Allemagne http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite.<br /></br>A l’école des communs Montréal http://bit.ly/1kPbTFK.<br /></br>University of the Commons San Francisco https://vimeo.com/65627856<br /></br>Interviews conférences de James Quilligan http://bit.ly/LtK064<br /></br>Conversations avec Michel Bauwens Lionel Maurel pour A l’école de communs https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs et https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs<br /></br>Transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » traduit en français par Savoircom1 http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/<br /></br>Conférence de Berlin de mai 2013 http://p2pfoundation.net/ECC2013<br /></br>Side event Culture et Communication des Communs: http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013<br /></br>Side event Éducation des Communs. » (http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013<br /></br>Réflexion collective sur les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/<br /></br>Move Commons (http://movecommons.org)<br /></br>Définitions des biens communs : https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs<br /></br>Catalogue Remix The Commons : http://remixthecommons.org<br /></br>Projet Biens Communs de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs<br /></br>Glossaire des communs : http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/.<br /></br>Master recherche Infocom de l’université Paris Ouest (Louise Merzeau) http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/<br /></br>Outils réseaux http://outils-reseaux.org/<br /></br>Animacoop : http://animacoop.net/<br /></br>La fabrique du commun http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun<br /></br>les petits déjeuners des communs (https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Expérience de cartographies / Remix The Commons : https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/<br /></br>Chimère : http://remixthecommons.infini.fr<br /></br>Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) à l’occasion de la rencontre de Guérande http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Interview Mayo Fuster : https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona</li>ela-de-los-comunes-de-barcelona</li>)
  • Chargement/Site  + (<p>At the last meeting of the Franco<p>At the last meeting of the Francophone network for the commons, popular education approaches have been discussed several times. Working groups should be set up to pursue this logic, one in particular, around the idea of school or university common folk. This article is a contribution to the debate and a proposal to organize a large meeting of the actors involved in different practices of learning the commons with a political perspective. The article is in French only. You can also find a list of refences of actions at the end. </p></br><p>Différentes initiatives s’inscrivent dans une logique d’école ou université populaire des communs. Celles que nous connaissons le mieux sont l’<a href="http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia">école des Communs de Barcelone</a>, <a href="http://www.schoolofcommoning.com">celle de Londres</a>, ou l’<a href="http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite">université d’été</a> qui se déroule en Allemagne depuis quelques années. A Montréal, une rencontre « <a href="http://bit.ly/1kPbTFK">A l’école des communs</a> » s’est déroulée à la fin de l’année 2012. </p></br><p>Ces initiatives prennent différentes formes. Certaines sont permanentes alors que d’autres sont des temps de rencontres ponctuels. Certaines allient auto formation et transmission de savoirs dans une perspective d’éducation populaire, d’autres veulent d ’emblée s’inscrire dans des cursus académiques. Pour les unes, une école des communs se doit d’être nomade et proactive dans son environnement socio politique. Pour les autres elles doivent plutôt s’ancrer dans les institutions d’enseignement. La place et les rôles respectifs du présentiel et du virtuel peuvent varier. </p></br><p>Les pédagogies appliquées sont plus ou moins ouvertes. Elles vont de la conférence, au format somme toute assez traditionnel (Londres), à un travail de construction de coalition locale d’activistes et de chercheurs (Barcelone ou Montréal).<br /></br>Finalement, une discussion sur la nature de ce que devrait être la pédagogie à l’ère des communs (peeragogie) s’est déroulée ces dernières semaines sur le forum de discussion Commoning (en anglais).</p></br><p>Ces initiatives incluent dans leurs objectifs de produire des documents de référence tels que par exemple les <a href="http://bit.ly/LtK064">interviews conférences de James Quilligan</a>, les interviews de <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Michel Bauwens</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Lionel Maurel</a> pour A l’école de communs ou la transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » par le groupe allemand (qui sera ensuite <a href="http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/">traduit en français par Savoircom1</a>). </p></br><p>La <a href="http://p2pfoundation.net/ECC2013">conférence de Berlin</a> de mai 2013 a été l’occasion de mutualiser ces expériences au cours de deux « side events » axés sur la « <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013">Culture et Communication des Communs </a>» et sur l’« <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013">Éducation des Communs</a> ». Une réflexion collective sur <a href="http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/">les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs</a> a été initiée à cette occasion. Dans ce contexte, une démarche ouverte d’éducation aux communs pour et par une coalition francophone pourrait enrichir l’offre existante et démultiplier sa puissance de transformation sociale et politique en systématisant ces démarches.</p></br><p>L’un des premiers enjeux que rencontre une démarche d’éducation populaire autour des communs aujourd’hui est certainement lié à l’étude et la stabilisation des catégories de définition des communs et du vocabulaire des communs. Elaborer des catégories des communs plus opérationnelles faciliterait la mise en réseau des commoneurs et la dissémination du paradigme des communs dans la société. Des initiatives existent sur ce terrain qu’il faut regarder de près et renforcer. <a href="http://movecommons.org">Move Commons</a> est une des plus avancées. Le site web propose d’attribuer un label à un projet selon des critères correspondant à la nature des communs (4 types) au mode de gouvernance de l’organisation ou de l’initiative concernée. Le formulaire permet alors de produire un badge, à la manière des licences Creative Commons qui pourra être inclus dans la page web du projet. Move Commons s’est développé dans l’écosystème des communs espagnols formé par le Medialab Prado et l’association Communes. Aujourd’hui, Bastien Guerry, l’un des initiateurs de Move commons, développe une deuxième version du site qui s’affranchit des catégories pour privilégier la qualification des initiatives sous la forme de tags. A travers la question des labels des communs, Move Commons interroge la possibilité et la pertinence de certification des pratiques et des communautés.</p></br><p>Le collectif Remix The Commons, composé de 5 organisations francophones (en France, au Maroc, au Sénégal, au Québec), s’attache à définir des catégories qui cette fois s’appliquent à des documents. Remix The Commons invite à documenter les pratiques et les enjeux des biens communs. Entre 2010 et 2013, le collectif Remix The Commons a notamment collecté auprès de commoneurs du monde entier, chercheurs ou activistes, leurs <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs/">définitions des biens communs</a> sous la forme de brèves capsules vidéos. Ces documents (et d’autres, actuellement le site en référence environ 260), sont classés en fonction d’une part des domaines d’action ou ressources mises en biens communs : l’eau, la connaissance, les infrastructures, …etc, et d’autre part, en fonction de l’agenda des luttes propres aux communautés et aux acteurs : le droit d’accès à l’eau potable, le libre accès à la connaissance, la neutralité des infrastructures telles que Internet, …etc. Le catalogue (et donc les catégories) de Remix The Commons est considéré comme une contribution (un commun) au mouvement des communs. Le principal artefact de ce catalogue est le <a href="http://remixthecommons.org">site web</a>.</p></br><p>Les vocabulaires (jeux de catégories) qui émergent de ces initiatives ne gagneraient-ils pas à être explicités collectivement afin de nourrir la culture commune des communs ? On a pu voir à travers le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet Biens Communs de Wikipédia</a> qu’il y a un vide à combler. Certaines définitions manquent lorsque d’autres sont tronquées ou le reflet d’un point de vue qui ne tient pas compte de la perspective des communs.</p></br><p>L’idée de glossaire des communs a fait l’objet des premières expérimentations autour de Ville en Biens Communs avec le <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/">groupe Encyclopétrie</a>. En partant de groupes de mots identifiés à la fois par Remix The Commons et dans le manifeste de Savoircom1, un dispositif de visualisation interactif a été expérimenté. Ce projet a le mérite d’ouvrir la réflexion sur l’objet lexique des communs et sur les conditions de production et d’interconnexion de glossaires des groupes, réseaux de commoneurs.</p></br><p>Mais en plus de la création / amélioration des définitions dans l’encyclopédie, il serait utile de mettre à contribution les outils de web sémantique tels que ceux développés sous le leadership de Wikimedia, pour définir et stabiliser des catégories qui seraient ainsi plus facilement partageables. Le partage de ces catégories permettraient de rendre interopérables certains projets, comme ceux cités, et probablement d’autres que nous n’identifions pas encore.</p></br><p>Un deuxième enjeu est certainement de mieux articuler transformations sociales et politiques.</p></br><p>A différentes échelles, locale, régionale, nationale (pour ne prendre que celles-là) des collectifs se saisissent de problématiques plus ou moins spécifiques, telles que l’alimentation, le transport, la santé, l’environnement, l’information et l’éducation, l’espace public, le travail, l’énergie et l’environnement, l’eau, … pour agir très concrètement sur le terrain. Dans bien des domaines, la capacité de ces initiatives à peser de manière significative aux moments et dans les espaces décisionnels, est restreinte et doit être développée. Il est évident que certains de ces champs sont aujourd’hui beaucoup mieux lotis que d’autres. La connaissance, l’informatique libre ou Internet par exemple sont défendus par des groupes qui ont su constituer une force de frappe auprès de la puissance publique et développer des dispositifs de création ou de protection des communs à grande échelle. Les causes liées aux communs ne se limitent pas aux domaines reconnus, et, même si tout n’est pas acquis sur ces terrains, loin s’en faut, accompagner le « passage à l’échelle » du politique dans d’autres domaines devrait faire partie des objectifs de la coalition des biens communs. L’expérience de ces mouvements plus influents montre qu’il sont d’autant plus puissants dans cette sphère, qu’ils savent rassembler des militants et développer des outils de coordination et réunir des compétences spécifiques ,notamment juridiques, à leur domaine d’action..</p></br><p>La mobilisation dépend en grande partie de la diffusion de la notion de communs dans la société. Dans une perspective d’éducation populaire, les modes de diffusion passent par une élaboration collective par les habitants des problématiques qu’ils partagent et sur lesquelles ils s’engagent (ou pas) dans la consolidation de liens sociaux ou symboliques qui fondent les communautés.</p></br><p>Les MOOC, sont une piste régulièrement invoquée, pour contribuer à la diffusion de la notion de communs. Ils pourraient faire l’objet de coopérations entre des acteurs de la formation issus de l’univers académique et du monde associatif qui se sont dédiés à la formation professionnelle. Le <a href="http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/">Master recherche Infocom</a> de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau et <a href="http://animacoop.net/">Animacoop</a> formation professionnelle à la coopération mise en place par Outils réseaux http://outils-reseaux.org/ et la ville de Brest, pourraient conduire ce type de démarche. La chaire dédiée aux communs, soutenue par le Crédit Coopératif, le CNAM, l’IAP organisateur d’une table ronde sur Web, associations et communs, et bien d’autres acteurs issus du secteur de la formation sont mobilisables.</p></br><p>Sous différentes formes, l’analyse de terrain, l’étude de cas, les recherches actions, des dispositifs qui sont conduits avec les personnes concernées, cette fois dans le but de peser sur la situation concrète, contribuent à (et s’appuient sur) l’élargissement des mobilisations. La <a href="http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun">fabrique du commun</a> du groupe Kom.post détourne le format habituel de la conférence pour créé un espace de partage des savoirs liés à une problématique partagée.<br /></br>Au Sénégal, les <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/">petits déjeuners des communs</a> organisent la rencontre des habitants et des artistes autour de problématiques inscrites dans l’espace local. La production des fiches d’expérience en vue de préparer de la <a href="http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html">rencontre de Guérande</a> organisée par L’Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) est un autre exemple de ces pratiques. Un travail de recherche action en cours d’élaboration au Sénégal à travers le projet <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique">Communs en Afrique</a> se situe dans une perspective très proche. Il vise à définir des processus participatifs et expérimentaux pour documenter la problématique des communs en lien avec les défis auxquels fait face le continent : l’alimentation, le transport, la Santé, l’environnement, l’information, l’éducation, et observer des processus de Biens Communs en Afrique.</p></br><p>Ce dernier projet fait appel à des <a href="https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/">démarches de cartographie des communs</a> que nous avons commencé à explorer en nous appuyant sur <a href=" http://remixthecommons.infini.fr/">Chimère</a>, une application qui permet de classer et documenter des points d’intérêt sur un territoire. La cartographie participative permet non seulement la recension et la visualisation de ressources (éventuellement mises en communs), mais s’offre aussi comme un support de médiation au sein de la communauté sur les racines et le devenir des biens communs et pour la résolution des problématiques auxquelles elle fait face. Les démarches de cartographie sont déjà largement répandues pour outiller des groupes sociaux qui ont le désir de prendre en main leur destinée. On peut voir les actions qui font référence en Inde, au Brésil, en Afrique du Sud, en Guinée, en associant la production de carte et le processus délibératif des communautés. Les formes de production collectives des cartes ont été renouvelées par l’avènement d’Open Street Map, puis par le développement des pratiques de visualisation et d’ouverture des données (Open data). La production par les collectifs de leur propres représentations, leur permet de redessiner les enjeux et leur stratégies à partir de leur propre vision, comme le montre clairement les expériences de cartographie radicale depuis plusieurs décennies (Nicolas Lambert <a href="http://neocarto.hypotheses.org/15">cartographie radicale</a>. Les initiatives lancées par <a href="https://www.academia.edu/3886909/Mapping_the_Urban_Commons._A_new_representation_system_for_cities_through_the_lenses_of_the_commons">hackitectura</a> de cartographies des communs des Villes d’Athènes et Istambul et en cours actuellement à Rio en sont un exemple remarquable. En outre, partager les classifications des communs, comme évoquées précédemment, permettrait de développer des démarches de recherche actions conjointes.</p></br><p>Cet embryon d’inventaire d’initiatives autour des définitions et de l’appropriation de la notion de communs ou de biens communs, est très bref. De toute évidence, il mériterait d’être étoffé. Aussi, n’hésitez pas à partager vos expériences et vos idées pour y contribuer.</p></br><p>Nous pourrions imaginer de faire se rencontrer et échanger les personnes intéressées par ces initiatives afin de favoriser l’émergence de collaborations. Nous y sommes intéressés. Cela pourrait être un des volets d’une rencontre, école des communs, ou quelque soit sont titre, qui pourrait se dérouler en 2014. L’expérience d’école des communs de Barcelone suit cette ligne. Dans une interview, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona">Mayo Fuster</a> décrit le mode de fonctionnement de l’école des communs de Barcelone comme un espace de rencontre et de fécondation des projets. Chaque rencontre se déroule dans un espace correspondant à la problématique abordée. C’est une manière ouverte de faire réseau et coalition. De telles rencontres contribueraient à créer les conditions de la production de discours savants et politiques sur les communs à partir des causes et des pratiques que nous défendons.</p></br><p>Frédéric Sultan et Alain Ambrosi.</p></br><p>Références :</p></br><p>Ecole des Communs de Barcelone (http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia)<br /></br>Ecole des Communs de Londres (www.schoolofcommoning.com),<br /></br>Université d’été en Allemagne http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite.<br /></br>A l’école des communs Montréal http://bit.ly/1kPbTFK.<br /></br>University of the Commons San Francisco https://vimeo.com/65627856<br /></br>Interviews conférences de James Quilligan http://bit.ly/LtK064<br /></br>Conversations avec Michel Bauwens Lionel Maurel pour A l’école de communs https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs et https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs<br /></br>Transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » traduit en français par Savoircom1 http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/<br /></br>Conférence de Berlin de mai 2013 http://p2pfoundation.net/ECC2013<br /></br>Side event Culture et Communication des Communs: http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013<br /></br>Side event Éducation des Communs. » (http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013<br /></br>Réflexion collective sur les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/<br /></br>Move Commons (http://movecommons.org)<br /></br>Définitions des biens communs : https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs<br /></br>Catalogue Remix The Commons : http://remixthecommons.org<br /></br>Projet Biens Communs de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs<br /></br>Glossaire des communs : http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/.<br /></br>Master recherche Infocom de l’université Paris Ouest (Louise Merzeau) http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/<br /></br>Outils réseaux http://outils-reseaux.org/<br /></br>Animacoop : http://animacoop.net/<br /></br>La fabrique du commun http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun<br /></br>les petits déjeuners des communs (https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Expérience de cartographies / Remix The Commons : https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/<br /></br>Chimère : http://remixthecommons.infini.fr<br /></br>Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) à l’occasion de la rencontre de Guérande http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Interview Mayo Fuster : https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona</li>ela-de-los-comunes-de-barcelona</li>)
  • Chargement/Site  + (<p>By Samantha Slade</p> <p<p>By Samantha Slade</p></br><p>« From where I stand today, one of the challenges of advancing an emerging movement such as the commons lies in how we build the community and how we meet in ways that embody the values of commoning. This involves the thorny question: How can we honour the vast experience and expertise on the commons and come together inclusively and equitably in a participatory commoning fashion? The Art of Hosting certainly has something to offer here, but also, and most importantly, those that are consciously living and doing the daily work of commoning, in all its complexity, have deep learnings to share to the benefit of building our collective capacity. »</p></br><p>see the <a href="http://www.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/">whole article </a></p>ww.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/">whole article </a></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>By Samantha Slade</p> <p<p>By Samantha Slade</p></br><p>« From where I stand today, one of the challenges of advancing an emerging movement such as the commons lies in how we build the community and how we meet in ways that embody the values of commoning. This involves the thorny question: How can we honour the vast experience and expertise on the commons and come together inclusively and equitably in a participatory commoning fashion? The Art of Hosting certainly has something to offer here, but also, and most importantly, those that are consciously living and doing the daily work of commoning, in all its complexity, have deep learnings to share to the benefit of building our collective capacity. »</p></br><p>see the <a href="http://www.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/">whole article </a></p>ww.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/">whole article </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Call for Ideas !</p> <p&<p>Call for Ideas !</p></br><p>Please submit an idea that fosters the Europe we believe in: a Europe of solidarity and openness, shaped and nurtured by people.</p></br><p>We are living and working in an increasingly complex environment. Across Europe and its neighbouring countries, more and more people are confronted with discrimination and exclusion on a daily basis – whether economically, politically or culturally. As a result, societies are becoming increasingly fragmented, extremism is on the rise, and the divisions between people – and between individuals and institutions – are growing ever wider.</p></br><p>Migration, distrust towards traditional institutions and the widening gap between the idea of a democratic Europe and the reality of a divided continent are among the biggest challenges that we are facing at present. These challenges are not new, but they have reached a degree that directly affects existing systems and policies, both at national and European levels.</p></br><p>Living with a constant flow of images and information that sustains a ‘permanent state of emergency’, we often adopt defeat, the feeling that there’s-nothing-to-be-done. However, in this worrying situation, it is heartening to see citizens gathering together and taking action: countless bottom-up local, national, and transnational initiatives are enthusiastically showing that there-is-something-to-be-done, and that a more democratic, inclusive, egalitarian, and caring society is not only desired but possible.</p></br><p>In this continent of rapidly changing communities, building bridges to help us live alongside each other is an urgent imperative. We need to reinvent and jointly value our present and develop our future together. We need to recreate shared common values and foster open and inclusive communities and societies – with a focus on social justice and human rights.</p></br><p>Co-hosted by Platoniq in Spain, ECF’s third Idea Camp will take place from 1 to 3 March 2017. Following local elections in May 2015, which have seen several major cities and smaller towns now governed by citizen lists of candidates, Spain is on track to reinvent itself amidst a hive of social, cultural, and political activism. The many exciting new challenges this hive of activity has raised include a more inclusive and participatory society, ‘a home for all’. Although not free from contradictions, there are many tangible examples across different sectors (cultural, political, economical and social) that interweave inspiring institutional and grassroots actions. The myriad of different cross-sectoral practices in Spain constitute a resourceful laboratory for sharing and highlighting ways in which communities can promote change in Europe.</p></br><p>Organized in collaboration with Platoniq, Idea Camp will be held from 1 to 3 March 2017 in Spain and will bring together 50 participants whose innovative ideas demonstrate a firm commitment to encourage political imagination, encourage building links and contribute to the development a society based on the principle of social justice. Based on shared values, inclusion and openness, Idea Camp offers participants a unique opportunity to meet peers from all over Europe and its neighboring countries, whose practices are different carrier chatted.<br /></br>Following the call for ideas, 50 participants are selected on criteria. ECF cover for the duration of the Idea Camp, the cost of travel and living in Spain a representative for each idea.<br /></br>After the Idea Camp, participants will be invited to submit a concrete proposal for research or implementation of their idea. 25 proposals will be selected and will receive a fellowship and development to a maximum of € 10,000.</p></br><p>Initiated in 2014, Idea Camp is organized within the framework of « Connected Action for the Commons », an action and research program developed by ECF in collaboration with six cultural organization established in Europe: Culture 2 Commons (Croatia), Les Têtes de l’Art (France), KrytykaPolityczna (Poland), Oberliht (Moldavia), Platoniq – Goteo (Spain) et Subtopia (Sweden).</p></br><p>To submit your idea, please fill in the application form here: http://www.culturalfoundation.eu/idea-camp-call/</p>et Subtopia (Sweden).</p> <p>To submit your idea, please fill in the application form here: http://www.culturalfoundation.eu/idea-camp-call/</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Chaque troisième mardi du mois, d<p>Chaque troisième mardi du mois, de 20 h à 21 h (CET – heure de Paris), Remix propose un rendez-vous public sur le modèle du « community call » pour traiter une question et partager de l’information sur les projets en cours ou les sujets chauds dans le domaine des communs, tout en laissant une trace pour les absents.</p></br><p>Le rendez-vous est structuré selon un protocole toujours identique : durée de 60 minutes, présentation de 5 minutes, discussion de l’objet de l’appel pendant 45 minutes et enfin, conclusion et appel au prochain appel 10 minutes. Les appels en commun font l’objet d’un enregistrement audio et d’une prise de note collective sur un pad (bloc note numérique) pour préparer la rencontre, la documenter et en garder la mémoire.</p></br><p>L’archive audio et texte des Appels en commun est accessible via le <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Appel_en_commun">wiki de Remix</a>.</p></br><p>Pour être informé des prochains appels en commun, abonnez-vous à la liste de diffusion <strong>appel@bienscommuns.org</strong> (basse fréquence) en envoyant un courriel à <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a>.</p></br><p>Remix the commons ne fait aucun autre usage, ni ne partage avec personne vos données personnelles sans accord de votre part!</p> ni ne partage avec personne vos données personnelles sans accord de votre part!</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Dans le cadre de l’initiative por<p>Dans le cadre de l’initiative portée par l’UNESCO sur les futurs de l’éducation, l’Institut de l’UNESCO pour l’apprentissage tout au long de la vie (UIL, Hambourg) a publié récemment un rapport d’experts multidisciplinaires de prospective sur la culture de l’apprentissage tout au long de la vie (« <a href="https://uil.unesco.org/lifelong-learning/embracing-culture-lifelong-learning">Lifelong Learning </a>»)*. Dans un contexte où beaucoup d’États peinent à répondre aux besoins éducatifs de base de leur population et où les inégalités d’accès à la culture et aux savoirs se creusent de plus en plus, comment (re)donner toute sa place à une culture de l’apprentissage ouverte, accessible et inclusive qui permet à toute personne de pouvoir définir et réaliser ses projets de développement de sa capacité d’agir dans un monde de plus en plus complexe et exigeant?</p></br><p>S’inscrivant directement dans la filiation humaniste de l’éducation des adultes (Commission internationale sur l’éducation au XXIe siècle, UNESCO 1996), les auteurs présentent une série de recommandations parmi lesquelles figure celle de faire de l’apprentissage tout au long de la vie un bien commun. Dans leur énoncé de vision de la situation idéale de l’apprentissage tout au long de la vie en 2050, ils décrivent :</p></br><blockquote><p> /To ensure that learning opportunities are accessible to all, learning spaces beyond educational institutions have been reinvented to promote and support learning. Besides using public spaces and infrastructure for learning, there are also learner-friendly work environments in all sectors and opportunities for self-employed people. To enhance the free availability of learning resources further, an educational commons has been developed. p. 13/ **</p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" title="Les communs et l'éducation tout au long de la vie" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/r7c5UA5lluI?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>À titre de président du conseil d’administration de l’UIL, Daniel Baril, directeur général de l’Institut de coopération pour l’éducation des adultes (Montréal, Canada) a participé aux travaux du groupe d’expert.e.s. Dans le cadre de l’appel en commun, il nous partage ses réflexions sur le processus qui a mené à l’élaboration de ces recommandations, mais surtout sur la manière dont la notion de communs peut s’imbriquer dans l’élaboration des instruments normatifs internationaux en éducation.</p></br><p>* Document : <a href="https://uil.unesco.org/lifelong-learning/embracing-culture-lifelong-learning">UNESCO Institute for Lifelong Learning Embracing a culture of lifelong learning: contribution to the Futures of Education initiative. UNESCO Institute for Lifelong Learning, 2020</a>.</p></br><p>** Traduction : /Afin de garantir que les possibilités d’apprentissage soient accessibles à tous, les espaces d’apprentissage au-delà des établissements d’enseignement ont été réinventés pour promouvoir et soutenir l’apprentissage. Outre l’utilisation d’espaces et d’infrastructures publics pour l’apprentissage, il existe également des environnements de travail conviviaux pour les apprenants dans tous les secteurs, et des possibilités pour les travailleurs indépendants. Afin d’améliorer encore la disponibilité gratuite des ressources d’apprentissage, un patrimoine éducatif commun a été développé. p. 13/</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Defining « the commons »</p><p>Defining « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/aXzbcgj9F54?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The importance of « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/rbTuUMCNZvg?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>IASC Projects, goals and dreams</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/3v8ApjhECwc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The achievements of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/QVv5_GM1RPs?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Main challenges of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/bAv0FaAPEP8?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The agenda of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/YJcJGf6I7Sc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The future of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/qQZ_lyZq--U?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Work to be done</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p> </p>ight="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p>Work to be done</p> <p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Defining « the commons »</p><p>Defining « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/aXzbcgj9F54?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The importance of « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/rbTuUMCNZvg?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>IASC Projects, goals and dreams</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/3v8ApjhECwc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The achievements of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/QVv5_GM1RPs?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Main challenges of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/bAv0FaAPEP8?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The agenda of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/YJcJGf6I7Sc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The future of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/qQZ_lyZq--U?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Work to be done</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p> </p>ight="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p>Work to be done</p> <p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p> </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Defining « the commons »</p><p>Defining « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/aXzbcgj9F54?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The importance of « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/rbTuUMCNZvg?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>IASC Projects, goals and dreams</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/3v8ApjhECwc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The achievements of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/QVv5_GM1RPs?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Main challenges of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/bAv0FaAPEP8?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The agenda of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/YJcJGf6I7Sc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The future of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/qQZ_lyZq--U?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Work to be done</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p> </p>ight="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p>Work to be done</p> <p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p> </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Defining « the commons »</p><p>Defining « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/aXzbcgj9F54?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The importance of « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/rbTuUMCNZvg?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>IASC Projects, goals and dreams</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/3v8ApjhECwc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The achievements of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/QVv5_GM1RPs?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Main challenges of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/bAv0FaAPEP8?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The agenda of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/YJcJGf6I7Sc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The future of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/qQZ_lyZq--U?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Work to be done</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p> </p>ight="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p>Work to be done</p> <p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p> </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Droits en biens communs vise à do<p>Droits en biens communs vise à documenter la place du droit basé sur les biens communs dans le contexte des négociations de Rio+20.</p></br><p>Au cours de l’année 2011, la préparation de la conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20) avec le Collectif (français) Rio+20 et les participants au Forum Social Mondial, nous a amené à proposer de faire des droits basés sur les biens communs un horizon de revendication à l’échelle internationale. Encore faudrait-il être en mesure d’expliciter ce que serait le contenu de ces droits et d’envisager de quelles manières ils pourraient être mis en oeuvre. Pour tenter de répondre à cette question, un<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Des_droits_bas%C3%A9s_sur_les_biens_communs"> premier texte</a> à été rédigé par Silke Helfrich et Frédéric Sultan à la suite du Forum Social de Porto Alegre.</p></br><p>Le projet de Remix « Droits en Biens Communs » est une continuation de ce travail par la voie de la vidéo et du remix réalisé à partir de captation de vidéo au cours de la conférence des Nations Unies et du Sommet des Peuples.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Le projet Droits en biens communs se prolonge à travers l’organisation d’un atelier lors de la conférence Economics, Commons Conférence le 22 mai 2°13 à Berlin. Il s’agit de poursuivre le travail d’élaboration engagé et notamment de tester les hypothèses sous-jacentes sur divers domaines et exemples, pour essayer d’avoir une vision plus globale.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Frédéric Sultan coordonne ce projet. Emilano Bazan s’est chargé de la réalisation des vidéos.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Droits en biens communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a été un espace facilitant la coopération entre Communautique et VECAM pour réaliser les vidéos pendant le sommet des peuples de Rio + 20.</p>tant la coopération entre Communautique et VECAM pour réaliser les vidéos pendant le sommet des peuples de Rio + 20.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Droits en biens communs vise à do<p>Droits en biens communs vise à documenter la place du droit basé sur les biens communs dans le contexte des négociations de Rio+20.</p></br><p>Au cours de l’année 2011, la préparation de la conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20) avec le Collectif (français) Rio+20 et les participants au Forum Social Mondial, nous a amené à proposer de faire des droits basés sur les biens communs un horizon de revendication à l’échelle internationale. Encore faudrait-il être en mesure d’expliciter ce que serait le contenu de ces droits et d’envisager de quelles manières ils pourraient être mis en oeuvre. Pour tenter de répondre à cette question, un<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Des_droits_bas%C3%A9s_sur_les_biens_communs"> premier texte</a> à été rédigé par Silke Helfrich et Frédéric Sultan à la suite du Forum Social de Porto Alegre.</p></br><p>Le projet de Remix « Droits en Biens Communs » est une continuation de ce travail par la voie de la vidéo et du remix réalisé à partir de captation de vidéo au cours de la conférence des Nations Unies et du Sommet des Peuples.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Le projet Droits en biens communs se prolonge à travers l’organisation d’un atelier lors de la conférence Economics, Commons Conférence le 22 mai 2°13 à Berlin. Il s’agit de poursuivre le travail d’élaboration engagé et notamment de tester les hypothèses sous-jacentes sur divers domaines et exemples, pour essayer d’avoir une vision plus globale.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Frédéric Sultan coordonne ce projet. Emilano Bazan s’est chargé de la réalisation des vidéos.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Droits en biens communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a été un espace facilitant la coopération entre Communautique et VECAM pour réaliser les vidéos pendant le sommet des peuples de Rio + 20.</p>tant la coopération entre Communautique et VECAM pour réaliser les vidéos pendant le sommet des peuples de Rio + 20.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Every 3rd Tuesday of the month fr<p>Every 3rd Tuesday of the month from 8pm to 9pm (CET – Paris time), Remix offers a public meeting on the model of the « community call » to address a question and share information on current projects or hot topics in the field of commons, while leaving a trace for those who are absent.</p></br><p>The appointment is structured according to the same protocol: duration 60 minutes, presentation 5 minutes, discussion of the topic of the call 45 minutes and finally, conclusion and appeal for the next call 10 minutes.Audio recording and collective note-taking on a pad (digital notepad) are done and shared after the meeting, for documenting it and keeping the memory of it.</p></br><p>The audio and text archives of the Commons Calls are accessible via the <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Appel_en_commun">remix wiki </a>.</p></br><p>To be informed about future calls, send a message to the following e-mail address: <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a>.</p></br><div class="input-prepend">Remix the commons does not make any other use, nor share with anyone your personal data without your consent !</div>mix the commons does not make any other use, nor share with anyone your personal data without your consent !</div>)
  • Chargement/Site  + (<p>La Charte de la Forêt – <a hre<p>La Charte de la Forêt – <a href="http://www.nationalarchives.gov.uk/education/resources/magna-carta/charter-forest-1225-westminster/">Carta de Foresta</a> – publiée en 1217, est reconnue comme le premier acte officiel qui étend les protections et les droits essentielles de la <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Magna_Carta">Magna Carta</a> aux commoners anglais contre les abus de l’aristocratie. En vertu de cette charte, le peuple se voit garantir le droit l’accès aux ressources des forêts. L’impact de cette charte a été révolutionnaire. Elle est généralement considérée comme une des pierres angulaires de la Constitution Britannique et <a href="https://www.americanbar.org/groups/public_services/law_library_congress/charter_of_the_forest.html">inspiration de la Constitution Américaine</a>. Elle a permi de rendre de vastes étendues de terres aux paysans, de s’opposer au pillage des biens communs par la monarchie et l’aristocratie. Au 17ème siècle, elle inspire les Diggers et les Levellers et par la suite les protestations contre l’enclosure des terres par la bourgeoisie capitaliste. Mais elle sera abrogée en 1971, par un gouvernement conservateur, permettant ainsi la privatisation de ressources comme l’eau au bénéfice d’entreprises multinationales.</p></br><p>Aujourd’hui, les forêts demeurent des ressources essentielles pour l’habitat, la souveraineté alimentaire, et sont essentielles pour lutter contre les crises environnementales. Une <a href="http://charteroftheforest800.org/">campagne</a> de célébration de la Charte de la Forêt a commencé en Grande Bretagne au mois de Septembre et se poursuit en Novembre. La Lincoln Record Society a organisé une conférence internationale sur la Charte de la Forêt qui a débuté par un voyage en péniche sur la Tamise de Windsor à Runnymede, lieu de signature de la Magna Carta. Des experts ont présenté la Charte de la Forêt, son histoire et ses implications contemporaines. Les participants ont également pu voir l’un des exemplaires originaux et participer à une visite guidée de la Forêt de Sherwood que nous connaissons à travers l’histoire de Robin des Bois.</p></br><p>Aujourd’hui même, 7 novembre, se déroule un débat présidé par John McDonnell, Député et soutien de Jeremy Corbyn, les professeurs Peter Linebaugh et Guy Standing, et Julie Timbrell de <a href="https://thenewputneydebates.com/">New Putney Debates</a>. Ce débat fait parti d’un <a href="http://charteroftheforest800.org/november-2017/">programme </a> étalé sur une semaine qui appelle à la création d’un nouveau <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domesday_Book">Domesday Book</a>, un recensement national des propriétaires terriens britanniques et l’identification des communs ainsi qu’à une nouvelle Charte des communs et des Chartes locales. Il s’agit d’interroger la notion de propriété foncière dans un pays où elle est l’une des plus concentrée des pays occidentaux et d’élaborer des propositions politiques, y compris à travers une taxe sur la propriété foncière, pour une meilleure répartition des droits et des responsabilités sur les terres,</p></br><p>Merci à Yves Otis de m’avoir signalé l’article <a href="https://www.nakedcapitalism.com/2017/11/youve-never-heard-charter-important-magna-carta.html">Why You’ve Never Heard of a Charter as Important as the Magna Carta </a></p></br><p>Transcription de la Charte de la Forêt : <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La destruction violente des commu<p>La destruction violente des communs de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes par le gouvernement français est un acte infâme et révoltant. L’actuelle offensive policière, menée par plusieurs milliers de gendarmes et de CRS, avec engins blindés et hélicoptères n’est que l’exercice de la violence étatique la plus pure contre un ensemble de pratiques collectives en cours ou en gestation, dont les fragiles conditions matérielles (bâtiments, lieux de réunion, outils de travail, troupeaux) sont anéanties par les bulldozers et les escouades policières. </p></br><p>Dès la première journée d’assaut contre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes la destruction de la ferme des «cents noms» constituait une véritable déclaration de guerre sociale et politique. La destruction de ce lieu ne s’imposait nullement au regard des critères invoqués par le gouvernement dans sa «communication». Nicole Klein, préfète des pays de Loire, justifie l’opération policière en prétendant que les «cents noms» n’avaient pas déposé de projet agricole. Ce qui est de toute évidence faux : les habitants de cette ferme étaient porteurs d’un projet agricole alternatif et certains d’entre eux avaient déposé une demande de régularisation. </p></br><p>Quelle est la véritable raison de cette rage destructrice? Ce n’est pas l’absence de projet, c’est la nature des projets qui est en cause. Ce que ne supportent pas l’Etat et ses représentants c’est que s’expérimentent depuis 10 ans des formes de vie qui préfigurent ici et maintenant ce que pourrait être une société libérée de l’emprise de la logique propriétaire sous toutes ses formes. De ce point de vue, il est de la plus haute valeur symbolique que les habitants et défenseurs de<br /></br>la zone aient proposé dès le début que l’Assemblée des usages<br /></br> prenne en charge la gestion collective des terres et des espaces. Cette solution présentait l’avantage de prolonger directement l’expérience initiée et poursuivie durant tant d’années: faire prévaloir la logique de l’usage commun, qui est une logique de soin et d’entretien, sur la logique propriétaire, qui est une logique destructrice et mortifère.</p></br><p>Ce n’est pas «l’État de droit» qui se défend, comme le soutient le premier Ministre, c’est un État de force qui veut éliminer le plus vite et le plus complètement possible tout ce qui pourrait relever du principe en acte du commun: associations, coopératives de consommation et de production, projets agricoles et artisanaux, modes d’échange et de vie conviviaux. L’État veut empêcher par ses moyens policiers démesurés ce qui est une véritable invention dans la manière de produire et de vivre, il veut faire table rase d un modèle de vie collective et écologique dont nous avons besoin aujourd’hui. </p></br><p>L’Etat apparaît ici sous son vrai visage: il n’est pas simplement le garant de la propriété privée, il est lui-même soumis de fond en comble à la logique propriétaire, il est l’Etat propriétaire en guerre contre les communs. Il faut lui faire échec coûte que coûte pour préserver le trésor menacé<br /></br>des communs.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot et Christian Laval</strong></p></br><p>Publication originale : 12/04/2018, <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>lence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La démarche des <a href="https<p>La démarche des <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">petits déjeuners en commun</a> à été lancée par le centre d’art sénégalais Kër Thiossane au Sénégal et l’organisation Communautique au Québec, dans le cadre du projet Remix Biens Communs.</p></br><p>Nés dans une dynamique de recherche à propos des définitions endogènes des biens communs, les petits déjeuners en commun constituent des occasions pour réfléchir ensemble à ce que signifient les biens communs à partir d’une approche artistique. Le but des ces rencontres célébrées aussi bien à Dakar, qu’à Montréal, est de non seulement de « comprendre », mais aussi de sentir la signification qui existe entre mon « je » et le « nous » d’une démarche collective. Une expérience sensible qui permet de bâtir des récits capables de redonner du sens au fait de vivre ensemble. Des récits qui maintiennent la communauté en mouvement pour donner du sens à sa propre existence et à sa propre lutte.</p></br><h2>Prémices Dakar</h2></br><p>A partir de janvier 2012, à Dakar, dans un contexte pré-électoral violent, en pleine remise en question de la constitution et de prise de conscience citoyenne dans tout le Sénégal, Kër Thiossane a commencé à explorer un chantier autour des biens communs, en organisant, à raison d’une fois par mois, un cycle de Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><p>Trois Petit-Déjeuner en-Commun ont été organisés entre janvier et avril 2012 sur le thème « Les biens communs dans les villes africaines » ; « Biens Communs et Espace » et « Langues et savoirs ».</p></br><p>Ces Petit-Déjeuner en-Commun ont été des temps de rencontres et d’échanges qui constituent en soi même une pratique de l’en-commun, où tout le monde participe, en raison d’une dynamique horizontale de partage de savoir.</p></br><p>Ils démarrent à chaque fois à partir d’un film réalisé par l’équipe de Kër Thiossane, sur un artiste et son questionnement sur un aspect des biens communs, dans la société sénégalaise.</p></br><p>Certains films et des extraits de petits déjeuners sont accessibles en ligne, sur le site web de Kër Thiossane, avec « une boite à outils » constituée d’ouvrages, de textes, d’interviews… que chacun est invité à enrichir par ses contributions via un wiki ou lors des Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><h2>Festival Afropixel</h2></br><p>Cette matière accumulée depuis le début de l’année 2012 et la réflexion amorcée auprès de la communauté artistique et des habitants, ont servi à préparer différentes activités (résidences, ateliers, performances…), le temps du Festival Afropixel sur le thème « Création, Culture et Savoirs en Communs », en mai 2012.</p></br><p>Parmi cette programmation riche et diversifiée, Kër Thiossane a rassemblé de grand penseurs et artistes africains pour réfléchir ensemble à la question de « La responsabilité artistique dans la construction de l’en-commun ».</p></br><p>Tous autour d’un verre de thé, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat et Ibrahima Wane ont participé, non pas à une rencontre entre experts, mais plutôt à un espace où l’expertise de chacun était mise au service de la pensée collective, qui s’est tissée au long de la discussion.</p></br><h2>Kédougou, jusqu’où tu es chez toi ?</h2></br><p>En 2013, les petits déjeuners en-commun, se poursuivent, en collaboration avec le collectif La Companyía (http://www.lacompanyia.org/). Il se délocalisent avec un premier petit déjeuner hors de Dakar, en mars, dans le cadre du festival la Nuit des étoiles, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou.</p></br><p>Prenant comme thématique le sujet central du festival, « Jusqu’où tu es chez toi ? » , nous avons cherché à enquêter sur les problématiques de la région de Kédougou liées aux biens communs. L’ouverture de la question Jusqu’où tu es chez toi ? a permis d’aborder des questions liées à la gestion des ressources naturelles dans une région frontalière riche en or et minérales, ainsi que des questions liées à l’appartenance et à la construction de communautés de vie.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les Petits déjeuners en Communs et le festival Afropixel organisés jusqu’à présent ont suscité un grand intérêt, aussi bien de la part des artistes, des acteurs de la société civile que des citoyens, au Sénégal. Des graines ont été semées et une réelle prise de conscience de l’enjeu des Biens Communs, nous invite à poursuivre ces discussions de façon encore plus ouvertes, autour d’autres facettes des biens communs, dans le but toujours de rendre possible et d’élargir cet espace de réflexion collective.<br /></br>En 2013/2014, Kër Thiossane souhaite organiser à intervalles réguliers, d’autres petits déjeuners, en reconduisant d’avantage les expériences, hors de Dakar, en partenariat avec le réseau des radios communautaires du Sénégal.</p></br><p>Ces expériences continueront à être filmées, documentées et partagées avec Communautique à Montréal, et d’autres partenaires, acteurs des communs ailleurs dans le monde (Finlande, Colombie…). Les Vidéos et autres médias issus de ces petits déjeuners seront mis en ligne sur la plate-forme Remix Biens Communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane)<br /></br>Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Petits déjeuners en-communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.<br /></br>La réalisation des petits dej en Communs à Dakar a également pu se faire grâce à l’appui financier de Arts Collaboratory et de l’Organisation Internationale de la Francophonie à Kër Thiossane.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a contribué à l’émergence du projet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>jet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>La démarche des <a href="https<p>La démarche des <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">petits déjeuners en commun</a> à été lancée par le centre d’art sénégalais Kër Thiossane au Sénégal et l’organisation Communautique au Québec, dans le cadre du projet Remix Biens Communs.</p></br><p>Nés dans une dynamique de recherche à propos des définitions endogènes des biens communs, les petits déjeuners en commun constituent des occasions pour réfléchir ensemble à ce que signifient les biens communs à partir d’une approche artistique. Le but des ces rencontres célébrées aussi bien à Dakar, qu’à Montréal, est de non seulement de « comprendre », mais aussi de sentir la signification qui existe entre mon « je » et le « nous » d’une démarche collective. Une expérience sensible qui permet de bâtir des récits capables de redonner du sens au fait de vivre ensemble. Des récits qui maintiennent la communauté en mouvement pour donner du sens à sa propre existence et à sa propre lutte.</p></br><h2>Prémices Dakar</h2></br><p>A partir de janvier 2012, à Dakar, dans un contexte pré-électoral violent, en pleine remise en question de la constitution et de prise de conscience citoyenne dans tout le Sénégal, Kër Thiossane a commencé à explorer un chantier autour des biens communs, en organisant, à raison d’une fois par mois, un cycle de Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><p>Trois Petit-Déjeuner en-Commun ont été organisés entre janvier et avril 2012 sur le thème « Les biens communs dans les villes africaines » ; « Biens Communs et Espace » et « Langues et savoirs ».</p></br><p>Ces Petit-Déjeuner en-Commun ont été des temps de rencontres et d’échanges qui constituent en soi même une pratique de l’en-commun, où tout le monde participe, en raison d’une dynamique horizontale de partage de savoir.</p></br><p>Ils démarrent à chaque fois à partir d’un film réalisé par l’équipe de Kër Thiossane, sur un artiste et son questionnement sur un aspect des biens communs, dans la société sénégalaise.</p></br><p>Certains films et des extraits de petits déjeuners sont accessibles en ligne, sur le site web de Kër Thiossane, avec « une boite à outils » constituée d’ouvrages, de textes, d’interviews… que chacun est invité à enrichir par ses contributions via un wiki ou lors des Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><h2>Festival Afropixel</h2></br><p>Cette matière accumulée depuis le début de l’année 2012 et la réflexion amorcée auprès de la communauté artistique et des habitants, ont servi à préparer différentes activités (résidences, ateliers, performances…), le temps du Festival Afropixel sur le thème « Création, Culture et Savoirs en Communs », en mai 2012.</p></br><p>Parmi cette programmation riche et diversifiée, Kër Thiossane a rassemblé de grand penseurs et artistes africains pour réfléchir ensemble à la question de « La responsabilité artistique dans la construction de l’en-commun ».</p></br><p>Tous autour d’un verre de thé, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat et Ibrahima Wane ont participé, non pas à une rencontre entre experts, mais plutôt à un espace où l’expertise de chacun était mise au service de la pensée collective, qui s’est tissée au long de la discussion.</p></br><h2>Kédougou, jusqu’où tu es chez toi ?</h2></br><p>En 2013, les petits déjeuners en-commun, se poursuivent, en collaboration avec le collectif La Companyía (http://www.lacompanyia.org/). Il se délocalisent avec un premier petit déjeuner hors de Dakar, en mars, dans le cadre du festival la Nuit des étoiles, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou.</p></br><p>Prenant comme thématique le sujet central du festival, « Jusqu’où tu es chez toi ? » , nous avons cherché à enquêter sur les problématiques de la région de Kédougou liées aux biens communs. L’ouverture de la question Jusqu’où tu es chez toi ? a permis d’aborder des questions liées à la gestion des ressources naturelles dans une région frontalière riche en or et minérales, ainsi que des questions liées à l’appartenance et à la construction de communautés de vie.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les Petits déjeuners en Communs et le festival Afropixel organisés jusqu’à présent ont suscité un grand intérêt, aussi bien de la part des artistes, des acteurs de la société civile que des citoyens, au Sénégal. Des graines ont été semées et une réelle prise de conscience de l’enjeu des Biens Communs, nous invite à poursuivre ces discussions de façon encore plus ouvertes, autour d’autres facettes des biens communs, dans le but toujours de rendre possible et d’élargir cet espace de réflexion collective.<br /></br>En 2013/2014, Kër Thiossane souhaite organiser à intervalles réguliers, d’autres petits déjeuners, en reconduisant d’avantage les expériences, hors de Dakar, en partenariat avec le réseau des radios communautaires du Sénégal.</p></br><p>Ces expériences continueront à être filmées, documentées et partagées avec Communautique à Montréal, et d’autres partenaires, acteurs des communs ailleurs dans le monde (Finlande, Colombie…). Les Vidéos et autres médias issus de ces petits déjeuners seront mis en ligne sur la plate-forme Remix Biens Communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane)<br /></br>Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Petits déjeuners en-communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.<br /></br>La réalisation des petits dej en Communs à Dakar a également pu se faire grâce à l’appui financier de Arts Collaboratory et de l’Organisation Internationale de la Francophonie à Kër Thiossane.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a contribué à l’émergence du projet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>jet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La plupart d’entre vous sont cert<p>La plupart d’entre vous sont certainement déjà au courant que le <a href="https://transformadora.org">FSMET</a> se tiendra finalement en ligne du 25 juin au 1er Juillet suivi d’une seconde rencontre qui se tiendra probablement au mois d’octobre. <br /><br />Quelques uns d’entre nous ont discuté de ce qu’il était possible de faire pour se reconnecter, continuer d’échanger nos points de vue et réunir des énergies autour des changements qui sont en train de se produire dans la perspective du mouvement des communs. <br /><br />Aussi nous avons commencé à réfléchir informellement à l’idée d’un processus de réflexion/discussion/production sur les communs qui peut servir le forum et les commoners. Nous avons appelé cela « Horizons communs » (titre temporaire). Nous nous sommes inspiré des dernières expériences de rencontres virtuelles en ajoutant plusieurs ingrédients : la production de ressources utiles pour les militants et la présentation de perspectives ou propositions basées sur les communs. Pour chaque thème traité, ces 3 éléments formeront un chapitre de « Horizons communs ». L’idée est de produire 3 chapitres, chacun sur un sujet différent. <br /><br />Une 1ere chose qui nous intéresse, c’est l’idée d’inscrire cette démarche tout au long du cycle du forum de Juin à octobre, car le forum n’est pas seulement une addition de conférences pendant 5 jours, mais un processus. <br /><br />Un deuxième point est que cette proposition pourrait se réaliser <br />collectivement avec les commoners intéressés et aussi être ouverte aux <br />personnes de différents mouvements sociaux engagées dans le forum pour les économies transformatives. <br /><br />Les premières notes sur cette idée sont sur le pad suivant : https:// <br />pad.femprocomuns.cat/p/Horizonscommuns en FR, EN et ES. <br /><br />Alors, si vous êtes intéressé, faites vos propositions de contenus dont vous souhaitez discuter : <br /><a href="https://pad.femprocomuns.cat/FSMETCOMMONS_EventOnline_Production">https://pad.femprocomuns.cat/FSMETCOMMONS_EventOnline_Production</a> <br /><br />Si vous souhaitez en savoir plus sur l’idée d’<strong>Horizons communs</strong> et participer, retrouvez nous à la réunion en ligne : <a href="https://meet.jit.si/fsmet_procomuns">https://meet.jit.si/fsmet_procomuns</a> le lundi 15 juin, de 16h à 18h – heure de Barcelone. (Si votre fuseau horaire ne vous permet pas de participer, faites vos contributions sur le pad, et faites-le nous savoir et nous pourrons faire une réunion le mardi 16, dans notre matinée) <br /><br />A bientôt <br /><br />Monica Garriga <br />femProcomuns.coop <br />Frédéric Sultan <br />Remix the commons</p>t;br />A bientôt <br /><br />Monica Garriga <br />femProcomuns.coop <br />Frédéric Sultan <br />Remix the commons</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Le 19 avril 2012 Communautique or<p>Le 19 avril 2012 Communautique organisait le premier « <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/D%C3%A9jeuner_des_communs">Déjeuner des Communs</a> » dans ses locaux de Montréal. Le contexte de ce déjeuner est remarquable : Cela faisait déjà deux mois qu’un mouvement social sans précédent initié et animé par les étudiants envahissaient les rues de Montréal et des villes de province mobilisant toutes les couches de la population dans des manifestations d’une participation inégalée. Et ce 19 avril, ce qui fut appelé à juste titre le «printemps érable » par la profondeur de ses revendications, était à la veille de manifester le jour de la Terre qui devait être le point culminant du ralliement des différents secteurs de la société civile et qui, en se faisant sous nul autre thème que celui du « Bien Commun », a rassemblé près de 300 000 personnes. Ce déjeuner était donc fort à propos au moment où « le bien commun était sur toutes les lèvres », titre d’un texte lancé par Communautique, largement circulé sur la toile.</p></br><p>Préalablement à ce premier d’une série des 4 déjeuners en 2012, Communautique a contribué à l’animation sur le thème des biens communs à différentes occasions en organisant des ateliers ou en participant à des événements dans l’ambiance survoltée de la grève étudiante propice à la participation et à l’innovation.</p></br><p>Chacune des rencontres a favorisé l’échange des savoirs sous forme horizontale par des « conversations » et des « cercles d’apprentissage » selon une méthodologie d’animation éprouvée et de plus en plus utilisée dans les dynamiques de co-création, co-design et innovation sociale ascendante. Ces méthodes sont explicitées par Percolab partenaire de Communautique qui a assuré l’animation.</p></br><p>Chaque déjeuner a été documenté en vidéo mais a été aussi suivi de productions vidéos qui prolongeaint le débat en illustrant l’une ou l’autre des activités des participants au déjeuner par des entrevues et des prises de vue sur leur terrain d’opération. Ces productions sont éventuellement utilisées pour alimenter les déjeuners suivants.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La poursuite des déjeuners en communs de Montréal pourraient faire l’objet de remix tant avec ceux qui existent à Dakar que dans de nouvelles cités.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Alain Ambrosi et toute l’équipe de Communautique sont accompagnés par Samantha Slade de Percolab.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>La production vidéo des déjeuners des Communs de Montréal est réalisée grâce à l’appui du ministère de l’Éducation du Loisir et du Sport à la mission de formation continue et une contribution des stagiraires du programme Stages pour les jeunes d’Industrie Canada..</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix a été le creuset de la conception des déjeuners des Communs de Montréal, regards croisé avec Ker Thiossane à Dakar sur les biens communs.</p>Montréal, regards croisé avec Ker Thiossane à Dakar sur les biens communs.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Le 19 avril 2012 Communautique or<p>Le 19 avril 2012 Communautique organisait le premier « <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/D%C3%A9jeuner_des_communs">Déjeuner des Communs</a> » dans ses locaux de Montréal. Le contexte de ce déjeuner est remarquable : Cela faisait déjà deux mois qu’un mouvement social sans précédent initié et animé par les étudiants envahissaient les rues de Montréal et des villes de province mobilisant toutes les couches de la population dans des manifestations d’une participation inégalée. Et ce 19 avril, ce qui fut appelé à juste titre le «printemps érable » par la profondeur de ses revendications, était à la veille de manifester le jour de la Terre qui devait être le point culminant du ralliement des différents secteurs de la société civile et qui, en se faisant sous nul autre thème que celui du « Bien Commun », a rassemblé près de 300 000 personnes. Ce déjeuner était donc fort à propos au moment où « le bien commun était sur toutes les lèvres », titre d’un texte lancé par Communautique, largement circulé sur la toile.</p></br><p>Préalablement à ce premier d’une série des 4 déjeuners en 2012, Communautique a contribué à l’animation sur le thème des biens communs à différentes occasions en organisant des ateliers ou en participant à des événements dans l’ambiance survoltée de la grève étudiante propice à la participation et à l’innovation.</p></br><p>Chacune des rencontres a favorisé l’échange des savoirs sous forme horizontale par des « conversations » et des « cercles d’apprentissage » selon une méthodologie d’animation éprouvée et de plus en plus utilisée dans les dynamiques de co-création, co-design et innovation sociale ascendante. Ces méthodes sont explicitées par Percolab partenaire de Communautique qui a assuré l’animation.</p></br><p>Chaque déjeuner a été documenté en vidéo mais a été aussi suivi de productions vidéos qui prolongeaint le débat en illustrant l’une ou l’autre des activités des participants au déjeuner par des entrevues et des prises de vue sur leur terrain d’opération. Ces productions sont éventuellement utilisées pour alimenter les déjeuners suivants.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La poursuite des déjeuners en communs de Montréal pourraient faire l’objet de remix tant avec ceux qui existent à Dakar que dans de nouvelles cités.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Alain Ambrosi et toute l’équipe de Communautique sont accompagnés par Samantha Slade de Percolab.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>La production vidéo des déjeuners des Communs de Montréal est réalisée grâce à l’appui du ministère de l’Éducation du Loisir et du Sport à la mission de formation continue et une contribution des stagiraires du programme Stages pour les jeunes d’Industrie Canada..</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix a été le creuset de la conception des déjeuners des Communs de Montréal, regards croisé avec Ker Thiossane à Dakar sur les biens communs.</p>Montréal, regards croisé avec Ker Thiossane à Dakar sur les biens communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Le 2 mars dernier, Marion Louisgr<p>Le 2 mars dernier, Marion Louisgrand et Marta Vallejo de Ker Thiossane, partenaire de Remix The Commons, ont organisé à Kédougou au Sénégal, un DEJEUNER EN COMMUN sur le thème de l’En-commun et du “vivre ensemble” autour de la question « Jusqu’où tu es chez toi ? ».</p></br><p><a title="Par gbaku (Flickr [1]) [CC-BY-SA-2.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0)], via Wikimedia Commons" href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File%3AKolaNutsKedougou.jpg"><img decoding="async" alt="KolaNutsKedougou" src="//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1d/KolaNutsKedougou.jpg/400px-KolaNutsKedougou.jpg" width="400" /></a></p></br><p>Retrouvez une série de photos sur la<a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article147"> page web de Ker Thiossane</a>. Des émissions de radio ont été réalisées avec la radio communautaire. Enregistrement et des vidéos sont en cours de montage.</p></br><p><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9dougou">Kédougou</a> se situe aux frontières du Sénégal, du Mali et de la Guinée. près du Parc national du Niokolo où vivent les derniers éléphants du Sénégal.</p></br><p>Le DEJEUNER EN COMMUN se passait dans le cadre du festival “La Nuit des Etoiles”, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou (CMC), dans le Jardin public de la commune, avec l’appui du collectif grenoblois Culture Ailleurs (<a href="http://www.cultureailleurs.com/">http://www.cultureailleurs.com/</a>).</p>’appui du collectif grenoblois Culture Ailleurs (<a href="http://www.cultureailleurs.com/">http://www.cultureailleurs.com/</a>).</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Le 2 mars dernier, Marion Louisgr<p>Le 2 mars dernier, Marion Louisgrand et Marta Vallejo de Ker Thiossane, partenaire de Remix The Commons, ont organisé à Kédougou au Sénégal, un DEJEUNER EN COMMUN sur le thème de l’En-commun et du “vivre ensemble” autour de la question « Jusqu’où tu es chez toi ? ».</p></br><p><a title="Par gbaku (Flickr [1]) [CC-BY-SA-2.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0)], via Wikimedia Commons" href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File%3AKolaNutsKedougou.jpg"><img decoding="async" alt="KolaNutsKedougou" src="//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1d/KolaNutsKedougou.jpg/400px-KolaNutsKedougou.jpg" width="400" /></a></p></br><p>Retrouvez une série de photos sur la<a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article147"> page web de Ker Thiossane</a>. Des émissions de radio ont été réalisées avec la radio communautaire. Enregistrement et des vidéos sont en cours de montage.</p></br><p><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9dougou">Kédougou</a> se situe aux frontières du Sénégal, du Mali et de la Guinée. près du Parc national du Niokolo où vivent les derniers éléphants du Sénégal.</p></br><p>Le DEJEUNER EN COMMUN se passait dans le cadre du festival “La Nuit des Etoiles”, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou (CMC), dans le Jardin public de la commune, avec l’appui du collectif grenoblois Culture Ailleurs (<a href="http://www.cultureailleurs.com/">http://www.cultureailleurs.com/</a>).</p>’appui du collectif grenoblois Culture Ailleurs (<a href="http://www.cultureailleurs.com/">http://www.cultureailleurs.com/</a>).</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Le projet « Justice transitionnel<p>Le projet « Justice transitionnelle: l’expérience marocaine » a pour but de partager les expériences extrêmement importantes marocaines sur la justice transitionnelle et la réparation communautaire.</p></br><p>Au Maroc, de 1959 à 1999, l’ancien roi Hassan II a souvent gouverné son pays d’une main de fer. Cette période est appelée les années de plomb au Maroc, au cours de laquelle ceux qui étaient considérés comme une menace pour le régime étaient soumis à un large éventail de violations des droits de l’homme. Des milliers de personnes ont été soumis à des arrestations arbitraires, à la torture et les disparitions, laissant un héritage amer.</p></br><p>Cependant, dès le début des années 1990, un processus graduel de réconciliation avec le passé a commencé à prendre racine, culminant le plus récemment dans les travaux de l’Instance Equité et Réconciliation du Maroc (Instance Equité et Réconciliation (IER)), mise en place par le successeur sur le trône, le roi Mohammed VI.</p></br><p>Le 7 Janvier 2004, l’IER a été créé. C’est la première commission de la vérité dans le monde arabe. Cela a été saluée internationalement comme un grand pas en avant, et un exemple pour le monde arabe. Depuis, l’IER a travaillé sur le terrible héritage de cette époque en examinant certains des pires abus au Maroc et en organisant des réparations pour les victimes et leurs familles.</p></br><p>Pendant toute la durée de son mandat, l’IER a amassé une archive de plus de 20.000 témoignages de victimes et de leurs familles, qui ont été organisées dans une base de données centrale à Rabat. Elle a mené une série de réunions, de conférences et de séminaires autour d’une multitude de questions qui sont clés pour comprendre le Maroc passé et le présent.</p></br><p>Elle a également pris l’initiative de tenir des audiences publiques pour donner aux victimes une plate-forme à partir de laquelle partager leurs souffrances. Tout au long de ses travaux, la Commission a pour but de documenter, de conserver et d’analyser les racines de la crise dans une tentative pour aider le Maroc à se réconcilier avec son passé.</p></br><p>Le projet Justice transitionnelle: l’expérience marocaine vise à partager des vidéos sur ce processus de la justice transitionnelle et la réparation communautaire. Ces vidéos évoquent la façon de préserver la mémoire des communautés des victimes pendant les «années de plomb» au Maroc et quels types d’audiences publiques ont eu lieu. Ces audiences ont été le point culminant d’un vaste processus de délibération citoyenne, de compassion et de liberté d’expression au Maroc . Ces vidéos abordent la façon dont le projet de réparation communautaire fonctionne pour améliorer les conditions de vie des populations dans les communautés de victimes et de les responsabiliser. En fait, ces matériaux ont principalement porté sur les femmes et les enfants.</p></br><p>L’expérience marocaines en matière de justice transitionnelle comme communes est utile et précieuse dans d’autres pays, en particulier pour les pays arabes qui ont la même histoire de la justice transitionnelle, comme l’Irak, l’Egypte, la Tunisie, la Syrie, le Liban, la Palestine, Algérie et ainsi de suite.</p></br><h3>Futur Développement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine va continuer à partager des vidéos et des matériaux plus historiques sur les expériences en matière de justice de transition, tels que les vidéos des auditions publiques, les vidéos des séminaires et des conférences publiques, des photos historiques et des rapports finaux des le projet de réparation communautaire.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Ning, Mohamed Leghtas</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine est financé par les fonds de l’Instance Equité et Réconciliation (IER)</p></br><h3>Contribution au projet « Justice transitionnelle « </h3></br><p>Remix Biens Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Le projet « Justice transitionnel<p>Le projet « Justice transitionnelle: l’expérience marocaine » a pour but de partager les expériences extrêmement importantes marocaines sur la justice transitionnelle et la réparation communautaire.</p></br><p>Au Maroc, de 1959 à 1999, l’ancien roi Hassan II a souvent gouverné son pays d’une main de fer. Cette période est appelée les années de plomb au Maroc, au cours de laquelle ceux qui étaient considérés comme une menace pour le régime étaient soumis à un large éventail de violations des droits de l’homme. Des milliers de personnes ont été soumis à des arrestations arbitraires, à la torture et les disparitions, laissant un héritage amer.</p></br><p>Cependant, dès le début des années 1990, un processus graduel de réconciliation avec le passé a commencé à prendre racine, culminant le plus récemment dans les travaux de l’Instance Equité et Réconciliation du Maroc (Instance Equité et Réconciliation (IER)), mise en place par le successeur sur le trône, le roi Mohammed VI.</p></br><p>Le 7 Janvier 2004, l’IER a été créé. C’est la première commission de la vérité dans le monde arabe. Cela a été saluée internationalement comme un grand pas en avant, et un exemple pour le monde arabe. Depuis, l’IER a travaillé sur le terrible héritage de cette époque en examinant certains des pires abus au Maroc et en organisant des réparations pour les victimes et leurs familles.</p></br><p>Pendant toute la durée de son mandat, l’IER a amassé une archive de plus de 20.000 témoignages de victimes et de leurs familles, qui ont été organisées dans une base de données centrale à Rabat. Elle a mené une série de réunions, de conférences et de séminaires autour d’une multitude de questions qui sont clés pour comprendre le Maroc passé et le présent.</p></br><p>Elle a également pris l’initiative de tenir des audiences publiques pour donner aux victimes une plate-forme à partir de laquelle partager leurs souffrances. Tout au long de ses travaux, la Commission a pour but de documenter, de conserver et d’analyser les racines de la crise dans une tentative pour aider le Maroc à se réconcilier avec son passé.</p></br><p>Le projet Justice transitionnelle: l’expérience marocaine vise à partager des vidéos sur ce processus de la justice transitionnelle et la réparation communautaire. Ces vidéos évoquent la façon de préserver la mémoire des communautés des victimes pendant les «années de plomb» au Maroc et quels types d’audiences publiques ont eu lieu. Ces audiences ont été le point culminant d’un vaste processus de délibération citoyenne, de compassion et de liberté d’expression au Maroc . Ces vidéos abordent la façon dont le projet de réparation communautaire fonctionne pour améliorer les conditions de vie des populations dans les communautés de victimes et de les responsabiliser. En fait, ces matériaux ont principalement porté sur les femmes et les enfants.</p></br><p>L’expérience marocaines en matière de justice transitionnelle comme communes est utile et précieuse dans d’autres pays, en particulier pour les pays arabes qui ont la même histoire de la justice transitionnelle, comme l’Irak, l’Egypte, la Tunisie, la Syrie, le Liban, la Palestine, Algérie et ainsi de suite.</p></br><h3>Futur Développement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine va continuer à partager des vidéos et des matériaux plus historiques sur les expériences en matière de justice de transition, tels que les vidéos des auditions publiques, les vidéos des séminaires et des conférences publiques, des photos historiques et des rapports finaux des le projet de réparation communautaire.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Ning, Mohamed Leghtas</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine est financé par les fonds de l’Instance Equité et Réconciliation (IER)</p></br><h3>Contribution au projet « Justice transitionnelle « </h3></br><p>Remix Biens Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les 11 et 12 novembre derniers, l<p>Les 11 et 12 novembre derniers, le <a href="http://www.deeep.org">projet DEEEP</a>, un programme co-financé par l’Union européenne, a rassemblé à Johannesburg (Afrique du Sud) 200 militants venus du monde entier, pour repenser le cadre d’action de ONG de développement et engager la construction d’un « mouvement citoyen mondial ». Cette rencontre est le point de départ d’un processus qui durera deux ans de mobilisation citoyenne pour le changement et la justice globale. Une <a href="http://movement.deeep.org">plateforme numérique</a> lui est dédiée. Au cours de cette conférence, les participants ont commencé à tirer les leçons de l’action de la société civile, de ses modes d’organisation et d’action dans différents domaines à travers le monde et produit un document,<a href="http://www.deeep.org/component/content/article/395.html"> « The Johannesburg Compass: Questions and orientations » (Boussole de Johannesburg) </a> pour définir les principes qui pourraient guider les travaux des deux prochaines années. </p></br><p>Invité à participer à ce processus, j’ai pu contribuer aux discussions et à la rédaction du texte pour le nourrir autant que possible de la notion des communs. Pensé au départ comme une déclaration de principes appuyée sur une vision partagée, ce document est devenu un guide pour le processus lui-même, basé sur quelques idées fortes telles que la nécessité de dé-coloniser nos esprits et dé-institutionnaliser les organisations du développement. Le résultat reflète la volonté de renouvellement à la fois des formes et des contenus de l’action, mais laisse sans réponse, au moins pour l’instant, les interrogations sur la nature d’un mouvement citoyen mondial si c’en est un, et sur la nature du processus des deux années de travail qui s’engagent à la suite de cette conférence. </p></br><p>Alors comment l’idée des communs pourrait-elle nourrir cette démarche ? Au-delà du processus d’écriture, le contenu du texte est assez général et plutôt généreux. Les communs y sont considérés comme des ressources à gérer. Le texte appelle à revendiquer les communs « reclaim, protect and nurture our commons », et à gérer les ressources comme des « propriétés communes » (the earth’s natural environment, ecosystems and knowledge are common property, and should be managed for the common good). Il appelle au respect de ces ressources mais ignore la dimension participative des communs. On est encore assez loin de considérer les biens communs comme des processus qui permettent de faire société, et donc comme un moyen de renforcement des communautés, d’émancipation dont les ONG pourraient se saisir pour refonder leur mode d’action.</p></br><p>Il me semble qu’aujourd’hui, un mouvement mondial de citoyens devrait révolutionner la manière pour chacun d’exercer sa citoyenneté, et d’en avoir conscience. L’un des rôles des ONG et des CSO ne devrait-il pas être de prendre en compte et accompagner la politisation de la vie quotidienne dans le domaine de la santé, de l’alimentation, de l’éducation, du travail, …. etc, en les inscrivant dans la perspective des biens communs ? Comment faire cela à une échelle massive ? Sans que cela exclue la conduite de campagnes d’action sur des objectifs stratégiques à l’échelle régionale ou mondiale, par les organisations qui composent l’infrastructure de la société civile, il s’agit de renouveler et d’articuler ce qu’en France on appelle l’éducation populaire en s’appuyant sur les pratiques sociales de voisinage et celles médiatisées par les réseaux informatiques. Une telle dynamique permettrait que chacun s’inscrive dans une perspective plus large et de donner sens pour chacun à l’agenda international. L’enjeu est donc de construire des ponts avec les multiples communautés d’appartenance, non pas pour leur offrir le leadership des ONG ou des mouvements, mais pour reconnaître et légitimer leurs leaderships aux différents échelles d’exercice du pouvoir (du local au mondial). </p></br><p>A entendre les participants à la conférence de Johannesbourg, on dirait qu’il faut en passer aussi par la (re)découverte des communs au sein même des organisations (ce qui fait projet commun), quelque soit leur taille ou leur objet pour les refonder. Cela peut être une perspective à l’échelle de l’organisation (ONG/OCS) pour poursuivre le travail engagé à Johburg. Dans ce sens, mieux vaudra nommer et travailler sur SES communs que définir LES communs et essayer de transformer les organisations en travaillant sur leurs valeurs, leur projet et actions plutôt que de chercher un cadre théorique ou idéologique général. </p></br><p>Une autre piste consiste à partager les leçons des activistes des communs immatériels et de la connaissance, qui depuis l’émergence de l’informatique ont su construire un mouvement qui défend ses valeurs, des formes de collaboration distribuées, l’ouverture et la liberté, le partage et la solidarité, l’émancipation personnelle et la participation au collectif, l’agir à petite échelle tout en s’inscrivant dans une vision universelle. Ce mouvement est globalement invisible en tant que mouvement pour les personnes qui n’en sont pas les militants. Chacun utilise des logiciels libres, accède à la culture et au savoir libre, la plupart du temps sans y prêter attention. Pourtant les organisations du savoir et de la culture libre se sont structurées et sont des « ONG » ou des « OCS » de poids. Il suffit pour s’en rendre compte de considérer les plus visibles du public comme wikimédia fondation, ou le poids de ce mouvement dans le secteur industriel (IBM, Android, …) ou encore le travail des groupes de pression (EFF, Quadrature du net, …) pour s’en rendre compte. C’est un mouvement à maturité. Cette expérience et la culture qu’elle développe vaut la peine d’être partagée. Ne serait-il pas utile de penser un mouvement équivalent dans le domaine des communs matériels, urbains, ruraux et naturels ? </p></br><p>Frédéric Sultan </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Les 11 et 12 novembre derniers, l<p>Les 11 et 12 novembre derniers, le <a href="http://www.deeep.org">projet DEEEP</a>, un programme co-financé par l’Union européenne, a rassemblé à Johannesburg (Afrique du Sud) 200 militants venus du monde entier, pour repenser le cadre d’action de ONG de développement et engager la construction d’un « mouvement citoyen mondial ». Cette rencontre est le point de départ d’un processus qui durera deux ans de mobilisation citoyenne pour le changement et la justice globale. Une <a href="http://movement.deeep.org">plateforme numérique</a> lui est dédiée. Au cours de cette conférence, les participants ont commencé à tirer les leçons de l’action de la société civile, de ses modes d’organisation et d’action dans différents domaines à travers le monde et produit un document,<a href="http://www.deeep.org/component/content/article/395.html"> « The Johannesburg Compass: Questions and orientations » (Boussole de Johannesburg) </a> pour définir les principes qui pourraient guider les travaux des deux prochaines années. </p></br><p>Invité à participer à ce processus, j’ai pu contribuer aux discussions et à la rédaction du texte pour le nourrir autant que possible de la notion des communs. Pensé au départ comme une déclaration de principes appuyée sur une vision partagée, ce document est devenu un guide pour le processus lui-même, basé sur quelques idées fortes telles que la nécessité de dé-coloniser nos esprits et dé-institutionnaliser les organisations du développement. Le résultat reflète la volonté de renouvellement à la fois des formes et des contenus de l’action, mais laisse sans réponse, au moins pour l’instant, les interrogations sur la nature d’un mouvement citoyen mondial si c’en est un, et sur la nature du processus des deux années de travail qui s’engagent à la suite de cette conférence. </p></br><p>Alors comment l’idée des communs pourrait-elle nourrir cette démarche ? Au-delà du processus d’écriture, le contenu du texte est assez général et plutôt généreux. Les communs y sont considérés comme des ressources à gérer. Le texte appelle à revendiquer les communs « reclaim, protect and nurture our commons », et à gérer les ressources comme des « propriétés communes » (the earth’s natural environment, ecosystems and knowledge are common property, and should be managed for the common good). Il appelle au respect de ces ressources mais ignore la dimension participative des communs. On est encore assez loin de considérer les biens communs comme des processus qui permettent de faire société, et donc comme un moyen de renforcement des communautés, d’émancipation dont les ONG pourraient se saisir pour refonder leur mode d’action.</p></br><p>Il me semble qu’aujourd’hui, un mouvement mondial de citoyens devrait révolutionner la manière pour chacun d’exercer sa citoyenneté, et d’en avoir conscience. L’un des rôles des ONG et des CSO ne devrait-il pas être de prendre en compte et accompagner la politisation de la vie quotidienne dans le domaine de la santé, de l’alimentation, de l’éducation, du travail, …. etc, en les inscrivant dans la perspective des biens communs ? Comment faire cela à une échelle massive ? Sans que cela exclue la conduite de campagnes d’action sur des objectifs stratégiques à l’échelle régionale ou mondiale, par les organisations qui composent l’infrastructure de la société civile, il s’agit de renouveler et d’articuler ce qu’en France on appelle l’éducation populaire en s’appuyant sur les pratiques sociales de voisinage et celles médiatisées par les réseaux informatiques. Une telle dynamique permettrait que chacun s’inscrive dans une perspective plus large et de donner sens pour chacun à l’agenda international. L’enjeu est donc de construire des ponts avec les multiples communautés d’appartenance, non pas pour leur offrir le leadership des ONG ou des mouvements, mais pour reconnaître et légitimer leurs leaderships aux différents échelles d’exercice du pouvoir (du local au mondial). </p></br><p>A entendre les participants à la conférence de Johannesbourg, on dirait qu’il faut en passer aussi par la (re)découverte des communs au sein même des organisations (ce qui fait projet commun), quelque soit leur taille ou leur objet pour les refonder. Cela peut être une perspective à l’échelle de l’organisation (ONG/OCS) pour poursuivre le travail engagé à Johburg. Dans ce sens, mieux vaudra nommer et travailler sur SES communs que définir LES communs et essayer de transformer les organisations en travaillant sur leurs valeurs, leur projet et actions plutôt que de chercher un cadre théorique ou idéologique général. </p></br><p>Une autre piste consiste à partager les leçons des activistes des communs immatériels et de la connaissance, qui depuis l’émergence de l’informatique ont su construire un mouvement qui défend ses valeurs, des formes de collaboration distribuées, l’ouverture et la liberté, le partage et la solidarité, l’émancipation personnelle et la participation au collectif, l’agir à petite échelle tout en s’inscrivant dans une vision universelle. Ce mouvement est globalement invisible en tant que mouvement pour les personnes qui n’en sont pas les militants. Chacun utilise des logiciels libres, accède à la culture et au savoir libre, la plupart du temps sans y prêter attention. Pourtant les organisations du savoir et de la culture libre se sont structurées et sont des « ONG » ou des « OCS » de poids. Il suffit pour s’en rendre compte de considérer les plus visibles du public comme wikimédia fondation, ou le poids de ce mouvement dans le secteur industriel (IBM, Android, …) ou encore le travail des groupes de pression (EFF, Quadrature du net, …) pour s’en rendre compte. C’est un mouvement à maturité. Cette expérience et la culture qu’elle développe vaut la peine d’être partagée. Ne serait-il pas utile de penser un mouvement équivalent dans le domaine des communs matériels, urbains, ruraux et naturels ? </p></br><p>Frédéric Sultan </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les récentes élections municipale<p>Les récentes élections municipales et de quelques unes des communautés autonomes (régions) bouleversent l’échiquier politique espagnol. Les victoires inattendues aux municipales de nouvelles coalitions citoyennes issues des mouvements associatifs et de petits partis de gauche combinées à l’ irruption décisive des nouveaux partis nationaux Podemos et Ciudadanos dans les communautés autonomes met en échec le bipartidisme (Parti Populaire/Parti Socialiste) dominant depuis la Transition  démocratique de 1975. Vainqueurs dans 7 grandes villes  du nord au sud du pays dont les trois plus importantes , Madrid, Barcelone et Valencia, ces coalitions appellent à une transition d’un autre type en bousculant les mentalités et la culture politique et en forçant, dans la plupart des cas, à gouverner en mode minoritaire c’est à dire à composer avec les différents partis. À noter ici que le jeune parti de gauche Podemos qui a fait une apparition fulgurante au niveau européen en 2014 et fait aujourd’hui une entrée remarquée dans les communautés autonomes ne présentait pas de candidats aux municipales mais participait ou, le plus souvent, appuyait les coalitions citoyennes dans plusieurs villes.</p></br><h2>Ré-inventer les communs urbains du XXIème siècle</h2></br><p>Les nouveaux venus dans l’espace politique municipal se réclament des Communs allant pour certains jusqu’à associer ce terme à leur sigle : Barcelona en Comù, Zaragoza en Comun. Une lecture tant des programmes que des processus d’élaboration de ceux-ci montrent que, loin d’un simple effet de mode, la référence aux communs, introduit un nouveau discours et un nouvel horizon politique mais surtout une nouvelle manière de faire de la politique . Les nouveaux élus sont issus des mouvements sociaux et font leurs premiers pas en politique active. Leurs « non-partis » ont, pour la plupart , au plus une année d’existence mais les associations où ils ont milité ont connu des mobilisations et des victoires locales significatives. À y regarder de plus près, la nouvelle culture politique qu’ils proposent est ancrée dans des traditions de luttes urbaines aujourd’hui revues et améliorées par les initiatives citoyennes issues de la crise de 2008, des indignados en 2011 et des différentes «  marées » ou mobilisations qui ont suivi dans les domaines du logement, de la santé, de l’éducation, de la culture et de l’écologie urbaine. Ces traditions d’autogestion et d’ « auto-gouvernement » aux racines le plus souvent libertaires et connues sous le nom de « municipalisme » ont été revisitées par les cultures et pratiques des mouvements anti-croissance, écologiste, altermondialiste et de culture libre dans la foulée et dans l’esprit des indignados de 2011 avec une maîtrise et une utilisation raisonnée et intelligente des nouvelles technologies et des médias audiovisuels.</p></br><p>Les défis qui attendent ce nouveau municipalisme sont immenses dans un pays où au lendemain même des élections du 24 mai deux rapports internationaux faisaient état, l’un (1), d’une augmentation exponentielle (de 9 à 18%) de la pauvreté depuis le début de la crise et l’autre (2), de l’augmentation des grandes fortunes (40%) pendant la même période. Pour rajouter à la morosité régnante et bien planter le décor, le FMI n’a pas manqué, quelques jours avant les investitures municipales, de féliciter le gouvernement espagnol pour ses résultats économiques « encourageants » tout en lui rappelant qu’il devait continuer ses mesures d’austérité en augmentant les impôts indirects, en coupant les dépenses de santé et d’éducation et en baissant les salaires. Fallait-il s’attendre à moins des chantres de l’austérité ?</p></br><h2>Un Bien Vivre dans la dignité restaurée</h2></br><p>Mais cela ne semble pas entamer la confiance des nouveaux titulaires des mairies qui ont mené campagne et bâti leur programme sur des politiques anti-austérité et mettent déjà en place, comme à Barcelone, les mesures de leur « plan de choc » sur le logement, l’alimentation, l’accès garanti et à moindre coût aux services de base, le transport et une allocation municipale. Ce plan auquel ils consacrent des budgets significatifs de façon jusque là inédite au niveau municipal, vise à contrer la « déshumanisation » des politiques d’austérité et « restaurer la dignité » des personnes les plus démunies .</p></br><p>Cependant, l’ambition affichée des nouvelles administrations va bien au delà de ces mesures d’urgence des premiers mois de leur mandat. Ils veulent faire de leurs villes des lieux d’expérimentation et de promotion d’un Bien Vivre urbain qui interpelle les politiques sociales et économiques autant que les compétences et les pratiques démocratiques au plan municipal mais aussi régional, national et international. Dans son discours inaugural à la mairie de Barcelone, Ada Colau a évoqué la création « d’un réseau des villes démocratiques d’Europe du sud ».</p></br><h2>Transparence et Participation</h2></br><p>Cette petite révolution dans la culture et la pratique politique se fait dans la transparence la plus totale, en se donnant un code d’éthique, en réduisant les salaires des élus et supprimant leurs divers avantages collatéraux (voitures de service, perdiems, etc.), et surtout, en misant sur l’intelligence collective et la participation effective des citoyens. Beaucoup de ceux-ci sont d’ailleurs d ‘ores et déjà partie prenante du programme de la municipalité pour y avoir contribué avant et pendant la campagne au cours des nombreuses assemblées de « voisins » dans les quartiers et des différents moments de « crowdsourcing » sur une plateforme virtuelle. Le programme très structuré qui en résulte reste ouvert et est une invitation à participer. La page web de Barcelona en Comù l’annonce d’emblée : «  Le programme que tu as devant les yeux est un programme En Commun et, comme tu pourras voir, cela suppose un changement très important par rapport aux programmes politiques traditionnels. (…) c’est un document qui prétend être utile au dialogue citoyen. (…) »(3)</p></br><p>Lors de l’acte inaugural Ada Colau affirmait qu’  « il est indispensable de créer une nouvelle forme de gouvernance » , rappelait qu’elle n’est que « l’une des milliers de voisines » , qu’elle compte « gouverner en obéissant » et que si son équipe ne fait pas ce qui est promis dans le programme :«  Mettez nous dehors!». Les milliers de personnes qui l’attendaient sur la Place Saint Jaume à la fin de son discours diffusé sur de grands écrans, l’ont accueillie avec le « Si se puede » (Oui, c’est possible) qui avait scandé toutes les assemblées au cours de la campagne. Dans une foule dense où elle avait du mal à avancer mais visiblement à l’aise au milieu de ses « voisins », compagnons et partisans, Ada a retrouvé les mots et la manière de la présidente et militante de la PAH (4). Et à cette multitude enthousiaste elle pouvait dire avec un grand sourire « ça va être dur de gouverner  mais nous ne sommes pas seuls » et appeler à participer et se responsabiliser. Elle concluait en parlant d’empathie<br /></br>et en invitant à organiser une manifestation de soutien aux travailleurs de la compagnie de téléphonie Movistar, présents dans la foule, dont elle avait appuyé la grève avant et pendant la campagne.</p></br><p>Le ton est donné et donne à penser qu’avec les communs c’est aussi les Indignés qui sont entrés à l’Hotel de Ville.</p></br><h2>Le réalisme des communs.</h2></br><p>Dans un article intitulé « L’heure est au réalisme » Josep Ramoneda, chroniqueur du quotidien barcelonais ARA, opposait les propositions de Barcelone en Commun aux derniers diktats du FMI en montrant que les « utopistes nihilistes » , termes souvent utilisés par les médias et le parti au pouvoir pour dénigrer les alternatives de gauche, sont plutôt du côté des tenants du néolobéralisme incapables de sortir de la crise et creusant les inégalités. Il concluait en disant : « Soyons réalistes, pensons au bien commun »(5) Commentaire assez surprenant dans ce journal en langue catalane plus connu pour son indépendentisme que son « commun-isme ». Commentaire qui laisse entendre que les communs ne sont pas seulement entrés dans les hôtels de ville mais aussi dans l’imaginaire collectif et le discours politique et qu’il faudra maintenant compter avec eux.</p></br><h2>Un laboratoire vivant qui invite au commoning</h2></br><p>Le mouvement émergeant des commoners et apprentis commoners du local à l’international devront prêter une attention particulière à ce véritable laboratoire vivant des communs urbains.</p></br><p>Il y a beaucoup à apprendre de ces communs en action sur la nature même des communs, le faire en commun (commoning) et la possible transition vers une société des communs? C’est aussi une occasion unique de pouvoir y contribuer de « pair à pair » en y apportant les compétences, expériences et expertises développées sous différentes latitudes et dans les différents contextes socio-culturels où se réinventent les communs depuis une dizaine d’années.</p></br><p><strong>Alain Ambrosi, Barcelone, 17 juin 2015</strong></p></br><p>(1) Rapport de l’OCDE mai 2015 <a href="http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en">http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en</a><br /></br>(2) Rapport réalisé par Capgemini et Royal Bank of Canada (RBC) Wealth Management. (El Pais du 17 juin 2015)<br /></br>(3) <a href="https://barcelonaencomu.cat">https://barcelonaencomu.cat</a><br /></br>(4) PAH Plateforme des affectés par l’hypothèque ( contre les expulsions) créée en 2009 à Barcelone et qui compte aujourd’hui 200 associations en Espagne.<br /></br>(5) ARA du 10 juin 2015</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les voies maritimes, une belle id<p>Les voies maritimes, une belle idée de vidéo autour d’un projet d’aire maritime à protéger</p></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="//www.dailymotion.com/embed/video/xu8azp" allowfullscreen></iframe><br /></br>Par <a href="http://www.aires-marines.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Aires-marines-protegees</a></i></p></br><p>Trois photographes ont sillonné pendant plusieurs mois le golfe normand breton qui s’étend de l’île de Bréhat au Cap de La Hague et qui fait l’objet d’un projet de parc naturel marin. Rodolphe Marics, Denis Bourges et Xavier Desmier proposent une radiographie de cet espace marin selon trois points de vue différents et complémentaires : photos aériennes, pédestres et sous-marines. </p></br><p>Les voies maritimes est né d’un partenariat entre l’Agence des aires marines protégées et l’association Les champs photographiques. </p> des aires marines protégées et l’association Les champs photographiques. </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Lors de la dernière rencontre du <p>Lors de la dernière rencontre du réseau francophone des biens communs, les démarches d’éducation populaire ont été évoquées à plusieurs reprises. Des groupes de travail doivent se mettre en place afin de poursuivre dans cette logique, dont un notamment, autour de l’idée d’école ou d’université populaire des communs.</p></br><p>Différentes initiatives s’inscrivent dans une logique d’école ou université populaire des communs. Celles que nous connaissons le mieux sont l’<a href="http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia">école des Communs de Barcelone</a>, <a href="http://www.schoolofcommoning.com">celle de Londres</a>, ou l’<a href="http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite">université d’été</a> qui se déroule en Allemagne depuis quelques années. A Montréal, une rencontre « <a href="http://bit.ly/1kPbTFK">A l’école des communs</a> » s’est déroulée à la fin de l’année 2012.  </p></br><p>Ces initiatives prennent différentes formes. Certaines sont permanentes alors que d’autres sont des temps de rencontres ponctuels. Certaines allient auto formation et transmission de savoirs dans une perspective d’éducation populaire, d’autres veulent d ’emblée s’inscrire dans des cursus académiques. Pour les unes, une école des communs se doit d’être nomade et proactive dans son environnement socio politique. Pour les autres elles doivent plutôt s’ancrer dans les institutions d’enseignement. La place et les rôles respectifs du présentiel et du virtuel peuvent varier. </p></br><p>Les pédagogies appliquées sont plus ou moins ouvertes. Elles vont de la conférence, au format somme toute assez traditionnel (Londres), à un travail de construction de coalition locale d’activistes et de chercheurs (Barcelone ou Montréal).<br /></br>Finalement, une discussion sur la nature de ce que devrait être la pédagogie à l’ère des communs (peeragogie) s’est déroulée ces dernières semaines sur le forum de discussion Commoning (en anglais).</p></br><p>Ces initiatives incluent dans leurs objectifs de produire des documents de référence tels que par exemple les <a href="http://bit.ly/LtK064">interviews conférences de James Quilligan</a>, les interviews de <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Michel Bauwens</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Lionel Maurel</a> pour A l’école de communs ou la transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » par le groupe allemand (qui sera ensuite <a href="http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/">traduit en français par Savoircom1</a>). </p></br><p>La <a href="http://p2pfoundation.net/ECC2013">conférence de Berlin</a> de mai 2013 a été l’occasion de mutualiser ces expériences au cours de deux « side events » axés sur la « <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013">Culture et Communication des Communs </a>» et sur l’« <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013">Éducation des Communs</a> ». Une réflexion collective sur <a href="http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/">les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs</a> a été initiée à cette occasion. Dans ce contexte, une démarche ouverte d’éducation aux communs pour et par une coalition francophone pourrait enrichir l’offre existante et démultiplier sa puissance de transformation sociale et politique en systématisant ces démarches.</p></br><p>L’un des premiers enjeux que rencontre une démarche d’éducation populaire autour des communs aujourd’hui est certainement lié à l’étude et la stabilisation des catégories de définition des communs et du vocabulaire des communs. Elaborer des catégories des communs plus opérationnelles faciliterait la mise en réseau des commoneurs et la dissémination du paradigme des communs dans la société. Des initiatives existent sur ce terrain qu’il faut regarder de près et renforcer. <a href="http://movecommons.org">Move Commons</a> est une des plus avancées. Le site web propose d’attribuer un label à un projet selon des critères correspondant à la nature des communs (4 types) au mode de gouvernance de l’organisation ou de l’initiative concernée. Le formulaire permet alors de produire un badge, à la manière des licences Creative Commons qui pourra être inclus dans la page web du projet. Move Commons s’est développé dans l’écosystème des communs espagnols formé par le Medialab Prado et l’association Communes. Aujourd’hui, Bastien Guerry, l’un des initiateurs de Move commons, développe une deuxième version du site qui s’affranchit des catégories pour privilégier la qualification des initiatives sous la forme de tags. A travers la question des labels des communs, Move Commons interroge la possibilité et la pertinence de certification des pratiques et des communautés.</p></br><p>Le collectif Remix The Commons, composé de 5 organisations francophones (en France, au Maroc, au Sénégal, au Québec), s’attache à définir des catégories qui cette fois s’appliquent à des documents. Remix The Commons invite à documenter les pratiques et les enjeux des biens communs. Entre 2010 et 2013, le collectif Remix The Commons a notamment collecté auprès de commoneurs du monde entier, chercheurs ou activistes, leurs <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs/">définitions des biens communs</a> sous la forme de brèves capsules vidéos. Ces documents (et d’autres, actuellement le site en référence environ 260), sont classés en fonction d’une part des domaines d’action ou ressources mises en biens communs : l’eau, la connaissance, les infrastructures, …etc, et d’autre part, en fonction de l’agenda des luttes propres aux communautés et aux acteurs : le droit d’accès à l’eau potable, le libre accès à la connaissance, la neutralité des infrastructures telles que Internet, …etc. Le catalogue (et donc les catégories) de Remix The Commons est considéré comme une contribution (un commun) au mouvement des communs. Le principal artefact de ce catalogue est le <a href="http://remixthecommons.org">site web</a>.</p></br><p>Les vocabulaires (jeux de catégories) qui émergent de ces initiatives ne gagneraient-ils pas à être explicités collectivement afin de nourrir la culture commune des communs ? On a pu voir à travers le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet Biens Communs de Wikipédia</a> qu’il y a un vide à combler. Certaines définitions manquent lorsque d’autres sont tronquées ou le reflet d’un point de vue qui ne tient pas compte de la perspective des communs.</p></br><p>L’idée de glossaire des communs a fait l’objet des premières expérimentations autour de Ville en Biens Communs avec le <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/">groupe Encyclopétrie</a>. En partant de groupes de mots identifiés à la fois par Remix The Commons et dans le manifeste de Savoircom1, un dispositif de visualisation interactif a été expérimenté. Ce projet a le mérite d’ouvrir la réflexion sur l’objet lexique des communs et sur les conditions de production et d’interconnexion de glossaires des groupes, réseaux de commoneurs.</p></br><p>Mais en plus de la création / amélioration des définitions dans l’encyclopédie, il serait utile de mettre à contribution les outils de web sémantique tels que ceux développés sous le leadership de Wikimedia, pour définir et stabiliser des catégories qui seraient ainsi plus facilement partageables. Le partage de ces catégories permettraient de rendre interopérables certains projets, comme ceux cités, et probablement d’autres que nous n’identifions pas encore.</p></br><p>Un deuxième enjeu est certainement de mieux articuler transformations sociales et politiques.</p></br><p>A différentes échelles, locale, régionale, nationale (pour ne prendre que celles-là) des collectifs se saisissent de problématiques plus ou moins spécifiques, telles que l’alimentation, le transport, la santé, l’environnement, l’information et l’éducation, l’espace public, le travail, l’énergie et l’environnement, l’eau, … pour agir très concrètement sur le terrain. Dans bien des domaines, la capacité de ces initiatives à peser de manière significative aux moments et dans les espaces décisionnels, est restreinte et doit être développée. Il est évident que certains de ces champs sont aujourd’hui beaucoup mieux lotis que d’autres. La connaissance, l’informatique libre ou Internet par exemple sont défendus par des groupes qui ont su constituer une force de frappe auprès de la puissance publique et développer des dispositifs de création ou de protection des communs à grande échelle. Les causes liées aux communs ne se limitent pas aux domaines reconnus, et, même si tout n’est pas acquis sur ces terrains, loin s’en faut, accompagner le « passage à l’échelle » du politique dans d’autres domaines devrait faire partie des objectifs de la coalition des biens communs. L’expérience de ces mouvements plus influents montre qu’il sont d’autant plus puissants dans cette sphère, qu’ils savent rassembler des militants et développer des outils de coordination et réunir des compétences spécifiques ,notamment juridiques, à leur domaine d’action..</p></br><p>La mobilisation dépend en grande partie de la diffusion de la notion de communs dans la société. Dans une perspective d’éducation populaire, les modes de diffusion passent par une élaboration collective par les habitants des problématiques qu’ils partagent et sur lesquelles ils s’engagent (ou pas) dans la consolidation de liens sociaux ou symboliques qui fondent les communautés.</p></br><p>Les MOOC, sont une piste régulièrement invoquée, pour contribuer à la diffusion de la notion de communs. Ils pourraient faire l’objet de coopérations entre des acteurs de la formation issus de l’univers académique et du monde associatif qui se sont dédiés à la formation professionnelle. Le <a href="http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/">Master recherche Infocom</a> de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau et <a href="http://animacoop.net/">Animacoop</a> formation professionnelle à la coopération mise en place par Outils réseaux http://outils-reseaux.org/ et la ville de Brest, pourraient conduire ce type de démarche. La chaire dédiée aux communs, soutenue par le Crédit Coopératif, le CNAM, l’IAP organisateur d’une table ronde sur Web, associations et communs, et bien d’autres acteurs issus du secteur de la formation sont mobilisables.</p></br><p>Sous différentes formes, l’analyse de terrain, l’étude de cas, les recherches actions, des dispositifs qui sont conduits avec les personnes concernées, cette fois dans le but de peser sur la situation concrète, contribuent à (et s’appuient sur) l’élargissement des mobilisations. La <a href="http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun">fabrique du commun</a> du groupe Kom.post  détourne le format habituel de la conférence pour créé un espace de partage des savoirs liés à une problématique partagée.<br /></br>Au Sénégal, les <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/">petits déjeuners des communs</a> organisent la rencontre des habitants et des artistes autour de problématiques inscrites dans l’espace local. La production des fiches d’expérience en vue de préparer  de la <a href="http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html">rencontre de Guérande</a> organisée par L’Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) est un autre exemple de ces pratiques. Un travail de recherche action en cours d’élaboration au Sénégal à travers le projet <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique">Communs en Afrique</a> se situe dans une perspective très proche. Il vise à  définir des processus participatifs et expérimentaux pour documenter la problématique des communs en lien avec les défis auxquels fait face le continent : l’alimentation, le transport, la Santé, l’environnement, l’information, l’éducation, et observer des processus de Biens Communs en Afrique.</p></br><p>Ce dernier projet fait appel à des <a href="https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/">démarches de cartographie des communs</a> que nous avons commencé à explorer  en nous appuyant sur <a href=" http://remixthecommons.infini.fr/">Chimère</a>, une application qui permet de classer et documenter des points d’intérêt sur un territoire. La cartographie participative permet non seulement la recension et la visualisation de ressources (éventuellement mises en communs), mais s’offre aussi comme un support de médiation au sein de la communauté sur les racines et le devenir des biens communs et pour la résolution des problématiques auxquelles elle fait face. Les démarches de cartographie sont déjà largement répandues pour outiller des groupes sociaux qui ont le désir de prendre en main leur destinée. On peut voir les actions qui font référence en Inde, au Brésil, en Afrique du Sud, en Guinée, en associant la production de carte et le processus délibératif des communautés. Les formes de production collectives des cartes ont été renouvelées par l’avènement d’Open Street Map, puis par le développement des pratiques de visualisation et d’ouverture des données (Open data). La production par les collectifs de leur propres représentations, leur permet de redessiner les enjeux et leur stratégies à partir de leur propre vision, comme le montre clairement les expériences de cartographie radicale depuis plusieurs décennies (Nicolas Lambert <a href="http://neocarto.hypotheses.org/15">cartographie radicale</a>. Les initiatives lancées par <a href="https://www.academia.edu/3886909/Mapping_the_Urban_Commons._A_new_representation_system_for_cities_through_the_lenses_of_the_commons">hackitectura</a> de cartographies des communs des Villes d’Athènes et Istambul et en cours actuellement à Rio en sont un exemple remarquable. En outre, partager les classifications des communs, comme évoquées précédemment, permettrait de développer des démarches de recherche actions conjointes.</p></br><p>Cet embryon d’inventaire d’initiatives autour des définitions et de l’appropriation de la notion de communs ou de biens communs, est très bref. De toute évidence, il mériterait d’être étoffé. Aussi, n’hésitez pas à partager vos expériences et vos idées pour y contribuer.</p></br><p>Nous pourrions imaginer de faire se rencontrer et échanger les personnes intéressées par ces initiatives afin de favoriser l’émergence de collaborations. Nous y sommes intéressés. Cela pourrait être un des volets d’une rencontre, école des communs, ou quelque soit sont titre, qui pourrait se dérouler en 2014. L’expérience d’école des communs de Barcelone suit cette ligne. Dans une interview, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona">Mayo Fuster</a> décrit le mode de fonctionnement de l’école des communs de Barcelone comme un espace de rencontre et de fécondation des projets. Chaque rencontre se déroule dans un espace correspondant à la problématique abordée. C’est une manière ouverte de faire réseau et coalition. De telles rencontres contribueraient à créer les conditions de la production de discours savants et politiques sur les communs à partir des causes et des pratiques que nous défendons.</p></br><p>Frédéric Sultan et Alain Ambrosi.</p></br><p>Références :</p></br><p>Ecole des Communs de Barcelone (http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia)<br /></br>Ecole des Communs de Londres (www.schoolofcommoning.com),<br /></br>Université d’été en Allemagne http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite.<br /></br>A l’école des communs Montréal http://bit.ly/1kPbTFK.  <br /></br>University of the Commons San Francisco https://vimeo.com/65627856<br /></br>Interviews conférences de James Quilligan  http://bit.ly/LtK064<br /></br>Conversations avec Michel Bauwens Lionel Maurel pour A l’école de communs https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs et https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs<br /></br>Transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » traduit en français par Savoircom1 http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/<br /></br>Conférence de Berlin de mai 2013 http://p2pfoundation.net/ECC2013<br /></br>Side event Culture et Communication des Communs: http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013<br /></br>Side event Éducation des Communs. » (http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013<br /></br>Réflexion collective sur les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/<br /></br>Move Commons (http://movecommons.org)<br /></br>Définitions des biens communs : https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs<br /></br>Catalogue Remix The Commons : http://remixthecommons.org<br /></br>Projet Biens Communs de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs<br /></br>Glossaire des communs : http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/.<br /></br>Master recherche Infocom de l’université Paris Ouest (Louise Merzeau) http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/<br /></br>Outils réseaux http://outils-reseaux.org/<br /></br>Animacoop : http://animacoop.net/<br /></br>La fabrique du commun http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun<br /></br>les petits déjeuners des communs (https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Expérience de cartographies / Remix The Commons : https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/<br /></br>Chimère : http://remixthecommons.infini.fr<br /></br>Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) à l’occasion de la rencontre de Guérande http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Interview Mayo Fuster : https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona</li>rcelona</li>)
  • Chargement/Site  + (<p>Lors de la dernière rencontre du <p>Lors de la dernière rencontre du réseau francophone des biens communs, les démarches d’éducation populaire ont été évoquées à plusieurs reprises. Des groupes de travail doivent se mettre en place afin de poursuivre dans cette logique, dont un notamment, autour de l’idée d’école ou d’université populaire des communs.</p></br><p>Différentes initiatives s’inscrivent dans une logique d’école ou université populaire des communs. Celles que nous connaissons le mieux sont l’<a href="http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia">école des Communs de Barcelone</a>, <a href="http://www.schoolofcommoning.com">celle de Londres</a>, ou l’<a href="http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite">université d’été</a> qui se déroule en Allemagne depuis quelques années. A Montréal, une rencontre « <a href="http://bit.ly/1kPbTFK">A l’école des communs</a> » s’est déroulée à la fin de l’année 2012.  </p></br><p>Ces initiatives prennent différentes formes. Certaines sont permanentes alors que d’autres sont des temps de rencontres ponctuels. Certaines allient auto formation et transmission de savoirs dans une perspective d’éducation populaire, d’autres veulent d ’emblée s’inscrire dans des cursus académiques. Pour les unes, une école des communs se doit d’être nomade et proactive dans son environnement socio politique. Pour les autres elles doivent plutôt s’ancrer dans les institutions d’enseignement. La place et les rôles respectifs du présentiel et du virtuel peuvent varier. </p></br><p>Les pédagogies appliquées sont plus ou moins ouvertes. Elles vont de la conférence, au format somme toute assez traditionnel (Londres), à un travail de construction de coalition locale d’activistes et de chercheurs (Barcelone ou Montréal).<br /></br>Finalement, une discussion sur la nature de ce que devrait être la pédagogie à l’ère des communs (peeragogie) s’est déroulée ces dernières semaines sur le forum de discussion Commoning (en anglais).</p></br><p>Ces initiatives incluent dans leurs objectifs de produire des documents de référence tels que par exemple les <a href="http://bit.ly/LtK064">interviews conférences de James Quilligan</a>, les interviews de <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Michel Bauwens</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Lionel Maurel</a> pour A l’école de communs ou la transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » par le groupe allemand (qui sera ensuite <a href="http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/">traduit en français par Savoircom1</a>). </p></br><p>La <a href="http://p2pfoundation.net/ECC2013">conférence de Berlin</a> de mai 2013 a été l’occasion de mutualiser ces expériences au cours de deux « side events » axés sur la « <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013">Culture et Communication des Communs </a>» et sur l’« <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013">Éducation des Communs</a> ». Une réflexion collective sur <a href="http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/">les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs</a> a été initiée à cette occasion. Dans ce contexte, une démarche ouverte d’éducation aux communs pour et par une coalition francophone pourrait enrichir l’offre existante et démultiplier sa puissance de transformation sociale et politique en systématisant ces démarches.</p></br><p>L’un des premiers enjeux que rencontre une démarche d’éducation populaire autour des communs aujourd’hui est certainement lié à l’étude et la stabilisation des catégories de définition des communs et du vocabulaire des communs. Elaborer des catégories des communs plus opérationnelles faciliterait la mise en réseau des commoneurs et la dissémination du paradigme des communs dans la société. Des initiatives existent sur ce terrain qu’il faut regarder de près et renforcer. <a href="http://movecommons.org">Move Commons</a> est une des plus avancées. Le site web propose d’attribuer un label à un projet selon des critères correspondant à la nature des communs (4 types) au mode de gouvernance de l’organisation ou de l’initiative concernée. Le formulaire permet alors de produire un badge, à la manière des licences Creative Commons qui pourra être inclus dans la page web du projet. Move Commons s’est développé dans l’écosystème des communs espagnols formé par le Medialab Prado et l’association Communes. Aujourd’hui, Bastien Guerry, l’un des initiateurs de Move commons, développe une deuxième version du site qui s’affranchit des catégories pour privilégier la qualification des initiatives sous la forme de tags. A travers la question des labels des communs, Move Commons interroge la possibilité et la pertinence de certification des pratiques et des communautés.</p></br><p>Le collectif Remix The Commons, composé de 5 organisations francophones (en France, au Maroc, au Sénégal, au Québec), s’attache à définir des catégories qui cette fois s’appliquent à des documents. Remix The Commons invite à documenter les pratiques et les enjeux des biens communs. Entre 2010 et 2013, le collectif Remix The Commons a notamment collecté auprès de commoneurs du monde entier, chercheurs ou activistes, leurs <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs/">définitions des biens communs</a> sous la forme de brèves capsules vidéos. Ces documents (et d’autres, actuellement le site en référence environ 260), sont classés en fonction d’une part des domaines d’action ou ressources mises en biens communs : l’eau, la connaissance, les infrastructures, …etc, et d’autre part, en fonction de l’agenda des luttes propres aux communautés et aux acteurs : le droit d’accès à l’eau potable, le libre accès à la connaissance, la neutralité des infrastructures telles que Internet, …etc. Le catalogue (et donc les catégories) de Remix The Commons est considéré comme une contribution (un commun) au mouvement des communs. Le principal artefact de ce catalogue est le <a href="http://remixthecommons.org">site web</a>.</p></br><p>Les vocabulaires (jeux de catégories) qui émergent de ces initiatives ne gagneraient-ils pas à être explicités collectivement afin de nourrir la culture commune des communs ? On a pu voir à travers le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet Biens Communs de Wikipédia</a> qu’il y a un vide à combler. Certaines définitions manquent lorsque d’autres sont tronquées ou le reflet d’un point de vue qui ne tient pas compte de la perspective des communs.</p></br><p>L’idée de glossaire des communs a fait l’objet des premières expérimentations autour de Ville en Biens Communs avec le <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/">groupe Encyclopétrie</a>. En partant de groupes de mots identifiés à la fois par Remix The Commons et dans le manifeste de Savoircom1, un dispositif de visualisation interactif a été expérimenté. Ce projet a le mérite d’ouvrir la réflexion sur l’objet lexique des communs et sur les conditions de production et d’interconnexion de glossaires des groupes, réseaux de commoneurs.</p></br><p>Mais en plus de la création / amélioration des définitions dans l’encyclopédie, il serait utile de mettre à contribution les outils de web sémantique tels que ceux développés sous le leadership de Wikimedia, pour définir et stabiliser des catégories qui seraient ainsi plus facilement partageables. Le partage de ces catégories permettraient de rendre interopérables certains projets, comme ceux cités, et probablement d’autres que nous n’identifions pas encore.</p></br><p>Un deuxième enjeu est certainement de mieux articuler transformations sociales et politiques.</p></br><p>A différentes échelles, locale, régionale, nationale (pour ne prendre que celles-là) des collectifs se saisissent de problématiques plus ou moins spécifiques, telles que l’alimentation, le transport, la santé, l’environnement, l’information et l’éducation, l’espace public, le travail, l’énergie et l’environnement, l’eau, … pour agir très concrètement sur le terrain. Dans bien des domaines, la capacité de ces initiatives à peser de manière significative aux moments et dans les espaces décisionnels, est restreinte et doit être développée. Il est évident que certains de ces champs sont aujourd’hui beaucoup mieux lotis que d’autres. La connaissance, l’informatique libre ou Internet par exemple sont défendus par des groupes qui ont su constituer une force de frappe auprès de la puissance publique et développer des dispositifs de création ou de protection des communs à grande échelle. Les causes liées aux communs ne se limitent pas aux domaines reconnus, et, même si tout n’est pas acquis sur ces terrains, loin s’en faut, accompagner le « passage à l’échelle » du politique dans d’autres domaines devrait faire partie des objectifs de la coalition des biens communs. L’expérience de ces mouvements plus influents montre qu’il sont d’autant plus puissants dans cette sphère, qu’ils savent rassembler des militants et développer des outils de coordination et réunir des compétences spécifiques ,notamment juridiques, à leur domaine d’action..</p></br><p>La mobilisation dépend en grande partie de la diffusion de la notion de communs dans la société. Dans une perspective d’éducation populaire, les modes de diffusion passent par une élaboration collective par les habitants des problématiques qu’ils partagent et sur lesquelles ils s’engagent (ou pas) dans la consolidation de liens sociaux ou symboliques qui fondent les communautés.</p></br><p>Les MOOC, sont une piste régulièrement invoquée, pour contribuer à la diffusion de la notion de communs. Ils pourraient faire l’objet de coopérations entre des acteurs de la formation issus de l’univers académique et du monde associatif qui se sont dédiés à la formation professionnelle. Le <a href="http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/">Master recherche Infocom</a> de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau et <a href="http://animacoop.net/">Animacoop</a> formation professionnelle à la coopération mise en place par Outils réseaux http://outils-reseaux.org/ et la ville de Brest, pourraient conduire ce type de démarche. La chaire dédiée aux communs, soutenue par le Crédit Coopératif, le CNAM, l’IAP organisateur d’une table ronde sur Web, associations et communs, et bien d’autres acteurs issus du secteur de la formation sont mobilisables.</p></br><p>Sous différentes formes, l’analyse de terrain, l’étude de cas, les recherches actions, des dispositifs qui sont conduits avec les personnes concernées, cette fois dans le but de peser sur la situation concrète, contribuent à (et s’appuient sur) l’élargissement des mobilisations. La <a href="http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun">fabrique du commun</a> du groupe Kom.post  détourne le format habituel de la conférence pour créé un espace de partage des savoirs liés à une problématique partagée.<br /></br>Au Sénégal, les <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/">petits déjeuners des communs</a> organisent la rencontre des habitants et des artistes autour de problématiques inscrites dans l’espace local. La production des fiches d’expérience en vue de préparer  de la <a href="http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html">rencontre de Guérande</a> organisée par L’Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) est un autre exemple de ces pratiques. Un travail de recherche action en cours d’élaboration au Sénégal à travers le projet <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique">Communs en Afrique</a> se situe dans une perspective très proche. Il vise à  définir des processus participatifs et expérimentaux pour documenter la problématique des communs en lien avec les défis auxquels fait face le continent : l’alimentation, le transport, la Santé, l’environnement, l’information, l’éducation, et observer des processus de Biens Communs en Afrique.</p></br><p>Ce dernier projet fait appel à des <a href="https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/">démarches de cartographie des communs</a> que nous avons commencé à explorer  en nous appuyant sur <a href=" http://remixthecommons.infini.fr/">Chimère</a>, une application qui permet de classer et documenter des points d’intérêt sur un territoire. La cartographie participative permet non seulement la recension et la visualisation de ressources (éventuellement mises en communs), mais s’offre aussi comme un support de médiation au sein de la communauté sur les racines et le devenir des biens communs et pour la résolution des problématiques auxquelles elle fait face. Les démarches de cartographie sont déjà largement répandues pour outiller des groupes sociaux qui ont le désir de prendre en main leur destinée. On peut voir les actions qui font référence en Inde, au Brésil, en Afrique du Sud, en Guinée, en associant la production de carte et le processus délibératif des communautés. Les formes de production collectives des cartes ont été renouvelées par l’avènement d’Open Street Map, puis par le développement des pratiques de visualisation et d’ouverture des données (Open data). La production par les collectifs de leur propres représentations, leur permet de redessiner les enjeux et leur stratégies à partir de leur propre vision, comme le montre clairement les expériences de cartographie radicale depuis plusieurs décennies (Nicolas Lambert <a href="http://neocarto.hypotheses.org/15">cartographie radicale</a>. Les initiatives lancées par <a href="https://www.academia.edu/3886909/Mapping_the_Urban_Commons._A_new_representation_system_for_cities_through_the_lenses_of_the_commons">hackitectura</a> de cartographies des communs des Villes d’Athènes et Istambul et en cours actuellement à Rio en sont un exemple remarquable. En outre, partager les classifications des communs, comme évoquées précédemment, permettrait de développer des démarches de recherche actions conjointes.</p></br><p>Cet embryon d’inventaire d’initiatives autour des définitions et de l’appropriation de la notion de communs ou de biens communs, est très bref. De toute évidence, il mériterait d’être étoffé. Aussi, n’hésitez pas à partager vos expériences et vos idées pour y contribuer.</p></br><p>Nous pourrions imaginer de faire se rencontrer et échanger les personnes intéressées par ces initiatives afin de favoriser l’émergence de collaborations. Nous y sommes intéressés. Cela pourrait être un des volets d’une rencontre, école des communs, ou quelque soit sont titre, qui pourrait se dérouler en 2014. L’expérience d’école des communs de Barcelone suit cette ligne. Dans une interview, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona">Mayo Fuster</a> décrit le mode de fonctionnement de l’école des communs de Barcelone comme un espace de rencontre et de fécondation des projets. Chaque rencontre se déroule dans un espace correspondant à la problématique abordée. C’est une manière ouverte de faire réseau et coalition. De telles rencontres contribueraient à créer les conditions de la production de discours savants et politiques sur les communs à partir des causes et des pratiques que nous défendons.</p></br><p>Frédéric Sultan et Alain Ambrosi.</p></br><p>Références :</p></br><p>Ecole des Communs de Barcelone (http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia)<br /></br>Ecole des Communs de Londres (www.schoolofcommoning.com),<br /></br>Université d’été en Allemagne http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite.<br /></br>A l’école des communs Montréal http://bit.ly/1kPbTFK.  <br /></br>University of the Commons San Francisco https://vimeo.com/65627856<br /></br>Interviews conférences de James Quilligan  http://bit.ly/LtK064<br /></br>Conversations avec Michel Bauwens Lionel Maurel pour A l’école de communs https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs et https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs<br /></br>Transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » traduit en français par Savoircom1 http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/<br /></br>Conférence de Berlin de mai 2013 http://p2pfoundation.net/ECC2013<br /></br>Side event Culture et Communication des Communs: http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013<br /></br>Side event Éducation des Communs. » (http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013<br /></br>Réflexion collective sur les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/<br /></br>Move Commons (http://movecommons.org)<br /></br>Définitions des biens communs : https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs<br /></br>Catalogue Remix The Commons : http://remixthecommons.org<br /></br>Projet Biens Communs de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs<br /></br>Glossaire des communs : http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/.<br /></br>Master recherche Infocom de l’université Paris Ouest (Louise Merzeau) http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/<br /></br>Outils réseaux http://outils-reseaux.org/<br /></br>Animacoop : http://animacoop.net/<br /></br>La fabrique du commun http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun<br /></br>les petits déjeuners des communs (https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Expérience de cartographies / Remix The Commons : https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/<br /></br>Chimère : http://remixthecommons.infini.fr<br /></br>Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) à l’occasion de la rencontre de Guérande http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Interview Mayo Fuster : https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona</li>rcelona</li>)
  • Chargement/Site  + (<p>L’encyclopédie en ligne Wikipédia<p>L’encyclopédie en ligne Wikipédia est l’un des principaux biens communs intellectuels de notre temps. Pourtant, la thématique des biens communs y reste peu développée.</p></br><p>Afin de remédier à cette situation paradoxale, Frédéric Sultan (coordinateur de Remix the Commons) et Pierre-Carl Langlais (administrateur de la Wikipédia francophone) ont entrepris d’initier une série d’ateliers contributifs. Un premier atelier, organisé le 15 octobre, avait permis d’initier plusieurs articles fondamentaux sur l’histoire récente des biens communs (tels que le mouvement des communs).</p></br><p>Le prochain atelier aura lieu le 21 janvier de 17h30 à 20h30 à la Fondation Charles Mayer pour le Progrès de l’Homme (38 rue saint Sabin). Il portera sur les biens communs de la connaissance et plus spécifiquement sur le domaine public. En dépit de l’engagement durable des communautés wikimédiennes en faveur du domaine public, l’<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domaine_public_%28propri%C3%A9t%C3%A9_intellectuelle%29">article sur le sujet</a> demeure une simple ébauche.</p></br><p>Cette série d’atelier s’inscrit dans le cadre du projet Biens communs. Ce projet de la Wikipédia francophone comprend une liste suggestive d’articles à améliorer ou à créer, ainsi qu’une compilation de références en ligne à utiliser. En vertu du principe de neutralité de point de vue, chaque information ajoutée sur Wikipédia doit en effet être étayée avec une source fiable.</p></br><p>Si vous souhaitez participer, vous pouvez vous inscrire dès maintenant sur ce <a href="http://www.framadate.org/studs.php?sondage=p7dcl99c8n1ya3xn">formulaire</a>. Il est aussi possible de contribuer à distance.</p></br><p>Aucun prérequis n’est nécessaire : que vous soyez chercheur, praticien, wikipédien ou simple curieux, toutes les bonnes volontés sont bienvenues.</p>’est nécessaire : que vous soyez chercheur, praticien, wikipédien ou simple curieux, toutes les bonnes volontés sont bienvenues.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>L’encyclopédie en ligne Wikipédia<p>L’encyclopédie en ligne Wikipédia est l’un des principaux biens communs intellectuels de notre temps. Pourtant, la thématique des biens communs y reste peu développée.</p></br><p>Afin de remédier à cette situation paradoxale, Frédéric Sultan (coordinateur de Remix the Commons) et Pierre-Carl Langlais (administrateur de la Wikipédia francophone) ont entrepris d’initier une série d’ateliers contributifs. Un premier atelier, organisé le 15 octobre, avait permis d’initier plusieurs articles fondamentaux sur l’histoire récente des biens communs (tels que le mouvement des communs).</p></br><p>Le prochain atelier aura lieu le 21 janvier de 17h30 à 20h30 à la Fondation Charles Mayer pour le Progrès de l’Homme (38 rue saint Sabin). Il portera sur les biens communs de la connaissance et plus spécifiquement sur le domaine public. En dépit de l’engagement durable des communautés wikimédiennes en faveur du domaine public, l’<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domaine_public_%28propri%C3%A9t%C3%A9_intellectuelle%29">article sur le sujet</a> demeure une simple ébauche.</p></br><p>Cette série d’atelier s’inscrit dans le cadre du projet Biens communs. Ce projet de la Wikipédia francophone comprend une liste suggestive d’articles à améliorer ou à créer, ainsi qu’une compilation de références en ligne à utiliser. En vertu du principe de neutralité de point de vue, chaque information ajoutée sur Wikipédia doit en effet être étayée avec une source fiable.</p></br><p>Si vous souhaitez participer, vous pouvez vous inscrire dès maintenant sur ce <a href="http://www.framadate.org/studs.php?sondage=p7dcl99c8n1ya3xn">formulaire</a>. Il est aussi possible de contribuer à distance.</p></br><p>Aucun prérequis n’est nécessaire : que vous soyez chercheur, praticien, wikipédien ou simple curieux, toutes les bonnes volontés sont bienvenues.</p>’est nécessaire : que vous soyez chercheur, praticien, wikipédien ou simple curieux, toutes les bonnes volontés sont bienvenues.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Maxime Combes produced a <a hr<p>Maxime Combes produced a <a href="http://www.boell.de/en/2014/01/21/valuing-natural-capital-or-devaluing-nature"> report on the first « Global Forum on natural capital » </a> which took place in late November 2013 in Edinburgh (Scotland).</p></br><p>The document decrypts the process of developing new tools for natural capital accounting based on the valuation of the natural and ecosystemic services in large-scale capital. This approach is a very concrete translation of the consequences of Rio +20 results and the green economy that continues to be justified with the argument of the tragedy of the commons.</p></br><p>We are facing a major challenge for so-called natural commons. It confirms the importance of defining the tools of accounting and management principles that preserve commons and nature.</p></br><p>Report for the Heinrich Boll Foundation </p>hat preserve commons and nature.</p> <p>Report for the Heinrich Boll Foundation </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Maxime Combes produced a <a hr<p>Maxime Combes produced a <a href="http://www.boell.de/en/2014/01/21/valuing-natural-capital-or-devaluing-nature"> report on the first « Global Forum on natural capital » </a> which took place in late November 2013 in Edinburgh (Scotland).</p></br><p>The document decrypts the process of developing new tools for natural capital accounting based on the valuation of the natural and ecosystemic services in large-scale capital. This approach is a very concrete translation of the consequences of Rio +20 results and the green economy that continues to be justified with the argument of the tragedy of the commons.</p></br><p>We are facing a major challenge for so-called natural commons. It confirms the importance of defining the tools of accounting and management principles that preserve commons and nature.</p></br><p>Report for the Heinrich Boll Foundation </p>hat preserve commons and nature.</p> <p>Report for the Heinrich Boll Foundation </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>On April 19th 2012, Communautique<p>On April 19th 2012, Communautique organized the first working lunch <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/D%C3%A9jeuner_des_communs">« Commons lunches »</a> at its offices in Montreal. The context of the event was remarkable; for two months already an unprecedented social movement initiated and driven by students had taken over the streets of Montreal and other cities in the province, mobilizing people across all layers of society with unrivaled levels of involvement. And on this 19th of April, during what was called a “printemps érable” (or maple spring), and rightly so by the depth of its demands, on the eve of the march for Earth Day, reaching what would be the climax of the union of all sectors of the civil society, the protest was held under no other theme but the Commons and gathered nearly 300 000 people. This lunch was indeed very relevant at a time when « the Commons was on every lips », a paper issued by Communautique was widely circulated on the web.<br /></br>Prior to this first of a series of four in 2012, Communautique had contributed to the animation of this subject of the Commons on various occasions by organizing workshops or taking part in events in the charged ambiance of the student protests, particularly suited for participation and innovation.<br /></br>Each of the meetings facilitated the exchange of knowledge in a horizontal way through discussions and « learning circles » following a proven animation methodology that is increasingly used in co-creation, co-design projects and bottom-up social innovation. These methods are described by Percolab, partner of Communautique, who facilitated the discussion at the event.<br /></br>Each lunch was video recorded but was also followed by video productions extending the debate by illustrating some activities of the participants’ activities through interviews and shots taken on their field of operation. These productions were eventually used to fuel the debates at the next breakfasts.<br /></br><H3>Futur development</H3><br /></br>The continuation of Montreal lunches could be an occasion for a remix, whether in Dakar or other cities.<br /></br><H3>Collaborators</H3><br /></br>Alain Ambrosi and the Communautique team are assisted by Samatha Slade of Percolab.<br /></br><H3>Financing</H3><br /></br>Video production of Montréal lunches is made possible by support from the Ministry of Education, Recreation and Sports in the training mission and a contribution of trainees from Industry Canada’s Youth Internship program.<br /></br><H3>Rôle of Remix Bien communs</H3><br /></br>Remix the Commons was the melting pot for the concept of the montreal lunches, and helped by sharing views on the commons with Kër Thiossane from Dakar.</p>/> Remix the Commons was the melting pot for the concept of the montreal lunches, and helped by sharing views on the commons with Kër Thiossane from Dakar.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>On April 19th 2012, Communautique<p>On April 19th 2012, Communautique organized the first working lunch <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/D%C3%A9jeuner_des_communs">« Commons lunches »</a> at its offices in Montreal. The context of the event was remarkable; for two months already an unprecedented social movement initiated and driven by students had taken over the streets of Montreal and other cities in the province, mobilizing people across all layers of society with unrivaled levels of involvement. And on this 19th of April, during what was called a “printemps érable” (or maple spring), and rightly so by the depth of its demands, on the eve of the march for Earth Day, reaching what would be the climax of the union of all sectors of the civil society, the protest was held under no other theme but the Commons and gathered nearly 300 000 people. This lunch was indeed very relevant at a time when « the Commons was on every lips », a paper issued by Communautique was widely circulated on the web.<br /></br>Prior to this first of a series of four in 2012, Communautique had contributed to the animation of this subject of the Commons on various occasions by organizing workshops or taking part in events in the charged ambiance of the student protests, particularly suited for participation and innovation.<br /></br>Each of the meetings facilitated the exchange of knowledge in a horizontal way through discussions and « learning circles » following a proven animation methodology that is increasingly used in co-creation, co-design projects and bottom-up social innovation. These methods are described by Percolab, partner of Communautique, who facilitated the discussion at the event.<br /></br>Each lunch was video recorded but was also followed by video productions extending the debate by illustrating some activities of the participants’ activities through interviews and shots taken on their field of operation. These productions were eventually used to fuel the debates at the next breakfasts.<br /></br><H3>Futur development</H3><br /></br>The continuation of Montreal lunches could be an occasion for a remix, whether in Dakar or other cities.<br /></br><H3>Collaborators</H3><br /></br>Alain Ambrosi and the Communautique team are assisted by Samatha Slade of Percolab.<br /></br><H3>Financing</H3><br /></br>Video production of Montréal lunches is made possible by support from the Ministry of Education, Recreation and Sports in the training mission and a contribution of trainees from Industry Canada’s Youth Internship program.<br /></br><H3>Rôle of Remix Bien communs</H3><br /></br>Remix the Commons was the melting pot for the concept of the montreal lunches, and helped by sharing views on the commons with Kër Thiossane from Dakar.</p>/> Remix the Commons was the melting pot for the concept of the montreal lunches, and helped by sharing views on the commons with Kër Thiossane from Dakar.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Organized by Remix The Commons, V<p>Organized by Remix The Commons, VECAM and radio Libre @ Toi</p></br><blockquote><p>Projection debate: Commons in political space,<br /></br>Broadcast live by the radio Libre @ Toi,<br /></br>7 April 2017, from 18:30 to 20:30<br /></br>At the Foundation for the Progress of Man, 38, rue Saint Sabin, 75011 Paris – France</p></br><h2>What are the relations between commons and politic?</h2></br><p>After the conquest of city governement by the commons candidates in the large Spanish cities, the introduction in the constitution of « buen vivir » (Bolivia and Ecuador), the development of community’s charters in Great Britain and the regulations for the protection of the common goods by Italian cities, ZADIism and Zapatista experience, assemblies of commoners throughout the Western world, … recent years have seen the commons enrich their experience of politics. How can it inspire us in France?</p></br><p>Come to debate after the screening of the short documentary « Les communs dans l’espace politique » (23 ‘), based on the testimonies of the actors involved in all these initiatives, of the place of the commons in the transformation of politics, the lessons that can be drawn from some of these experiences, and the challenges and dynamics of the commons movement.</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-4658" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/04/Sylviafredriksson_du-possible.jpg" alt="Sylviafredriksson_du possible" width="640" height="640" /><br /></br>Par Sylvia Fredriksson Certains droits réservés</p></br><p>At the moment when the presidential campaign is in full swing in France. Which candidate has not yet incorporated this notion in his vocabulary, sometimes playing on the polysemy of terms and sailing between « Common Good », « common » or « common goods »? This echo indicates both a great penetration of this notion in society and a need to give a stronger consistency around the idea that we are able to develop mechanisms of cooperation that start from our needs and usages to build new rights.</p></br><p>In this debate, we will focus more on the transformation of possible practices in the French political sequence, elections, loss of credit for the institutional system, than to make an inventory or a comparison of electoral measures or promises of the candidates and parties.</p></br><p>« The commons in the political space » (23 ‘) is a document realized from interviews of activists met on the occasion of the World Social Forum and the World Forum of social economy GSEF which took place in Montreal in August and September 2016. The documentary and interviews will be available on http://remixthecommons.org in the coming days.</p></br><p>Remix The Commons is an intercultural space for sharing and co-creating multimedia documents on the commons. The project is carried out by an intercultural collective composed of people and organizations who believe that the collection, exchange and remix of stories, definitions and images … of the commons are an active and convivial way to disseminate it in society. <a href="http://remixthecommons.org"> http://remixthecommons.org </a></p></br><p>Radio Libre @ Toi will broadcast this live debate and podcast, prefiguring the activities of the radio Causes Communes on the airwaves. <a href="http://asso.libre-a-toi.org"> http://asso.libre-a-toi.org </a></p></br><p>Vecam is an association that contributes to the political and social decoding of the digital age since 1995. <a href="http://vecam.org"> http://vecam.org </a></p></blockquote>gt;</p> <p>Vecam is an association that contributes to the political and social decoding of the digital age since 1995. <a href="http://vecam.org"> http://vecam.org </a></p></blockquote>)
  • Chargement/Site  + (<p>Original : <a href="https://bl<p>Original : <a href="https://blogs.mediapart.fr/gkrikorian/blog/260920/refuser-de-financer-la-recherche-vaccinale-en-double-aveugle">Refuser de financer la recherche vaccinale en «double aveugle»</a> 26 sept. 2020</p></br><blockquote><p>The scale of the COVID epidemic has led to strong and rapid public commitments by national governments. In particular, more than 10 billion Euros have been released in just a few months for vaccine research. Public investment and collective risk should go hand in hand with full transparency in the use of funds and research results. But the reality is very different.</p></blockquote></br><p>In normal times State support to medical research that takes place via funding of research programmes and public research institutions, partnerships with private firms, tax credits and of course, the purchase or reimbursement of health products, generally goes unnoticed. The billions being spent currently on for vaccine for Covid19 gives an unusually high-profile to the massive and dazzling involvement of public authorities in this medical research. This therefore justifies the common sense view that any effective vaccines that are developed should be considered and treated as common goods, i.e. an essential resource developed through a collective effort, whose production and access should be organised and governed in a transparent and collective manner.</p></br><p>However, the opacity which usually prevails in the pharmaceutical economy and the control by a few actors, is still in place. On the one hand, countries with more resources are seeking to monopolise the first (and best) future vaccines through bilateral contracts with firms: the United States, France, the United Kingdom, Italy, etc. have signed agreements with AstraZeneca, BioNTech and Pfizer, Novavax, Moderna, GSK, Johnson & Johnson, etc. They wish to cover themselves politically by securing access to possible vaccines for part of their population, but clearly do not feel more accountable than that for the use of public resources. They transfer massive amounts of public money to industry while leaving the corporations with property rights over future products, and keeping their people unaware of any of the details and the conditions of the use of the billions.</p></br><p>The big pharmaceutical companies, on the other hand, are proving to be very bold and are using the situation to push their lobbying agenda forward. In addition to colossal public funding for Research & Development (R&D) they require the advance purchase of large quantities of the potential vaccines that will be developed. They also demand streamlined product registration systems that exempt them from providing all the data for efficacy and safety usually required, and at the same time they wish to be relieved of responsibility in the event of side effects and even be compensated by governments. Meanwhile they claim the need for confidentiality of contracts, clinical trial results, manufacturing costs and pricing structures for future vaccines – all in the name of business secrecy.</p></br><p>The firms want to take the risk out of their actions as much as possible while still ensuring their profits. The public in contrast should assume the risks, both financial and health-related. The public finances and supplies hospitals, medical staff and volunteers by the hundreds of thousands throughout the world1. The public invests its resources without any guarantee of effectiveness or protection from dangerous side effects, or even any control over effectiveness or possibilities of dangerous side effects (since the requirements of the drug agencies are being revised downwards. The Food and Drug Administration (FDA) has led the way2 and the European Medical Agency (EMA) seems determined to do the same). The public to which we all belong does not have the capacity to appreciate what prices should be – since it has no access to cost data, nor to the exact sums that are granted to individual firms, the conditions under which these sums are allocated, or even to the CVs of the handful of « experts » who negotiate with the industry.</p></br><p>The leaders of many Western countries condemned or ridiculed the positions taken by former US president Donald Trump, denounced those of conspirators and demagogues of all stripes, and claim to be the proponents of science, the real science, the one based on evidence and validated methods (« evidence-based »). However, under the pretext of urgency, the requirements are being scrapped, the transparency within the pharmaceutical field that has emerged in recent years as an imperative social demand and a political necessity is being pushed aside3. The collective risks that the world’s population is currently taking for the development of vaccines justifies public access to the results of vaccine trials in real time, to allow the greatest number of scientists (from the public, private and civil society sectors) to independently analyse the data and understand what these candidate vaccines will do not only to the virus but also to the organisms of the individuals vaccinated. This is especially true when testing technologies that have never been validated before (such as messenger RNA vaccines).<br /></br>And yet, things continue to be done in the secrecy demanded by a handful of firms – the new « double blind ».</p></br><p>In these conditions, in demanding equitable access to the COVID vaccine, there is a growing feeling that this is above all a manoeuvre in the service of a few firms. In the name of the right to access, and because we know that there will be no effective fight against the virus on a global scale without sharing technologies, we demand access for all. But we cannot ignore the fact that, despite the rhetoric, no real solidarity is being put in place. The COVAX initiative is collecting crumbs, and behind what looks like a charity mechanism on the fringes, we are witnessing the consolidation of an international practice of pre-purchasing (« market advance commitment ») without clear information on costs, funding received by each companies, contracts or prices, the vast majority of which benefits the multinationals. The social demand for access then serves above all to justify the rush of public commitments without transparency or conditions; and one accepts turning a blind eye to an absurd economy, which corrupts science and medicine and makes global health look like a playground for financiers and other investment funds.</p></br><p>As the experiences of 2020 have shown, and in particular with the fiasco in terms of care capacity and shortages of basic health products in wealthy countries, this global epidemic should lead us to seriously review the way we fund medical research and health: how we govern public resources, protect the public interest and involve the public in achieving access to health for all. Instead of this necessary reformulation of public health policies, we are witnessing a forced shift to a market logic that benefits only a few actors, and every day excludes a little more people from the right to health, in poor countries as well as in rich countries.</p></br><p>(*) The practice of double-blinding in clinical trials consists of ensuring that neither the doctor nor the patient knows whether it is the active product being tested or a placebo that is being used. On the other hand the « double-blind » approach to research funding, which consists of refusing to make public, information on the use of resources and the results of trials leaving the public « blind », – is totally inappropriate. One scenario is designed to create impartiality and fairness the other to favour special interests and create injustice. </p></br><p>1 Many candidate vaccines have been or still are currently being tested in dozens of phase III trials, i.e. efficacy and benefit/risk ratio trials on volunteers; and nearly 200 candidate vaccines are being developed worldwide. See the Landscape of COVID-19, a World Health Organization (WHO) candidate vaccine: https://www.who.int/publications/m/item/draft-landscape-of-covid-19-candidate-vaccines</p></br><p>2 See statements by Stephen Hahn, Director of the Food and Drug Administration (FDA) at the end of August 2020: https://www.ft.com/content/f8ecf7b5-f8d2-4726-ba3f-233b8497b91a</p></br><p>3 See the resolution adopted by the WHO on 28 May 2019: https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/329301/A72_R8-en.pdf?sequence=1&isAllowed=yRefuser to fund « double-blind » vaccine research</p>gt;3 See the resolution adopted by the WHO on 28 May 2019: https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/329301/A72_R8-en.pdf?sequence=1&isAllowed=yRefuser to fund « double-blind » vaccine research</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Original publication from <a h<p>Original publication from <a href="https://blog.p2pfoundation.net/european-commons-assembly-at-medialab-prado/2017/07/24">P2P Fondation blog</a></p></br><blockquote><p>The European Commons Assembly (ECA) is a network of grassroots initiatives promoting commons management practices at the European level. The next stop for the network will be Medialab Prado, Madrid. These activities are part of the Transeuropa Festival program, a large meeting of political, social and environmental alternatives.</p></blockquote></br><p>The call to participate in the Madrid workshops will be open until August 4th.</p></br><p>Form</p></br><p><a title="18.05.16 Taller" href="https://www.flickr.com/photos/medialab-prado/28100107155/" data-flickr-embed="true" data-footer="true"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://farm8.staticflickr.com/7379/28100107155_1659853c90_c.jpg" alt="18.05.16 Taller" width="800" height="500" /></a><script async src="//embedr.flickr.com/assets/client-code.js" charset="utf-8"></script></p></br><p>The European Commons Assembly was launched in November 2016 with public events that took place in several spaces in Brussels, Belgium, including the Zinneke social center and European Parliament. This meeting gathered from different parts of Europe more than 150 commoners to promote public policies for the commons at the European level and to develop mutual support networks that enable long-term sustainability..</p></br><p>The call to participate in the Madrid workshops will be open until August 4th. Proposed topics related to the urban commons include:</p></br><ul></br><li>Public space<br /></br>Migrations and refugees<br /></br>Citizen participation in urban politics<br /></br>Culture<br /></br>Food<br /></br>Housing<br /></br>Health<br /></br>Currency and financing for the commons<br /></br>Laws and legal mechanisms to protect the commons<br /></br>Technology for citizenship.</li></br></ul></br><p>You may also propose a topic not already on this list; fill out the form to propose the organization of a specific workshop, and/or to participate in any of the workshops that you find interesting.</p></br><p>Each workshop will be co-organized by both a local and an international community project around the proposed topic. Workshops will be coordinated to offer valuable knowledge and strategies to apply to other, ongoing experiences. To this end, the ECA Madrid coordination team will hold several video conferences to connect the different initiatives and develop the workshop contents prior to the meeting. Workshops will employ facilitation methodology designed to guide the coordination team members in structuring and eventual documentation of the contents generated.</p></br><p>When completing the form, you may indicate if you need the organization to cover travel and / or accommodation if it will not be possible to cover these expenses another way. For more information, contact nicole.leonard [at] sciencespo.fr.</p></br><p>You can find more information on the European Commons Assembly website or fill out the form.</p>the organization to cover travel and / or accommodation if it will not be possible to cover these expenses another way. For more information, contact nicole.leonard [at] sciencespo.fr.</p> <p>You can find more information on the European Commons Assembly website or fill out the form.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Original published on <a href=<p>Original published on <a href="https://commonsjosaphat.wordpress.com/">Commons Josaphat</a>. Translation by Nicole Leonard. </p></br><blockquote><p>Commons Josaphat is an independent platform of residents, activists and associations. You have heard talk of it as one of the flagship European initiatives for the reconquest of the city by its inhabitants. </p></br><p>Commons Josaphat needs support from commoners to assert the work that has been accomplished over the course of the last 2 years with the public authorities in Brussels. </p></br><p>Show your support by sending your message directly to the collective. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="http://vecam.org/local/cache-vignettes/L566xH800/commons_josaphat-2da3d.png?1472031936" alt="" /></p></br><p><H1>The common good neighborhood project </H1></p></br><p>Commons Josaphat wants to build a proposal for the development of the city as a commons on the vacant lot of the former Josaphat training station. A new part of town will be developed there in the coming years. The challenge is to transform this piece of land, which is public property, into territory where a city for the common good can be started and established, a city district imagined and developed through partnership between the public authorities and the citizens. Our proposal, the results of two years of exchange and reflection in common, is summarized <a href="https://commonsjosaphat.files.wordpress.com/2015/11/commons-josaphat_josaphat-en-commun01light.pdf">in this document</a>. </p></br><p><H1>Commons Josaphat today</H1></p></br><p>The collective continues to work in three main ways:</p></br><p>Effective occupation of the lot with other partners aiming to “make” this city as a commons, to immediately occupy its squares and spaces by using them. The agreement which places usage limits on individuals in order to preserve others’ use and access is an innovative first experience in the field for a new governance;</p></br><p>Development of an “example island” of commons. This island should shape the city in common (through accessibility to the largest number of people over the long run, collective decision-making on land rents, environmental integration, promotion of the solidarity economy and open source, inscribing values of health in the design of the city, anchoring in local neighborhoods…) But it must also be realistic about the needs of public authorities (revenues generated, realization times and amounts realized). This island should serve as a point of evaluation that follows the issuing of the first phase of the master plan for the region; </p></br><p>Building broad political conviction</p></br><li>1. Strengthening social support to the “Josaphat in common” proposal: support of associations, academics, intellectuals, unions, mutual societies<br /></br>2. Strengthening cooperation with local residents to involve all those concerned in this part of town today<br /></br>3. Improving conventional political support: obtain the support of PS, MR, ToT, Ecolo, PTB and CDH and their Dutch counterparts at regional and municipal levels.</br></li></br><p><H1>Here we reproduce their call</H1></p></br><p>You’ve heard of Commons Josaphat over the last two years, as they’ve been organizing action with partners – by participating in the call for ideas for the future development of the area or through the working groups themselves.<br /></br>Maybe you practiced fallow during the current summer festival or are participating in conferences organized around the possibility to construct the city as a commons. </p></br><p>Today we want to shed light on these examples of support, convergence, and cooperation around the production of the city as a commons, and give it weight in public debate!</p></br><p><H1>What can you do? </H1><br /></br>To show your support:<br /></br>Send an email to: <a href="mailto:ideascommonsjosaphat@gmail.com">ideascommonsjosaphat@gmail.com</a></p></br><p>Associations like BRAL, Pass-âge, RBDH (Rally for the right to housing), les Equipes Populaires de Schaerbeek, and SACOPAR (Health community participation non-profit association) have already done so. Academics such as Christian Laval and Tine de Moor have too. This support will be documented on the Commons Josaphat website and will support the proposal in public debate. </p></br><p>To participate in the construction of knowledge on the commons to be diffused to the city level of production, send an email to: <a href="mailto:commons_jos_transversal@lists.entransition.be">commons_jos_transversal@lists.entransition.be</a> </p></br><p>To get involved and work concretely with the project for transforming the lot into a common good, come to the lot the coming Sundays (7 July or 8 August), to the next general assembly on the 28th of August, or sign up on the list-serve: <a href="mailto:communs-dest@lists.entransition.be">communs-dest@lists.entransition.be</a></p></br><p>We count on your response from now until the 28th of August, the day of our next general assembly. We invite you there to declare your support during the aperitif planned at 19:30 (7:30pm)!</p></br><p>We’re hoping we can count on your participation.</p>h of August, or sign up on the list-serve: <a href="mailto:communs-dest@lists.entransition.be">communs-dest@lists.entransition.be</a></p> <p>We count on your response from now until the 28th of August, the day of our next general assembly. We invite you there to declare your support during the aperitif planned at 19:30 (7:30pm)!</p> <p>We’re hoping we can count on your participation.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Par Samantha Slade</p> <<p>Par Samantha Slade</p></br><p>« De là où je me trouve aujourd’hui , l’un des défis de l’émergence d’un mouvement tel que celui pour la promotion des communs, réside dans la façon dont nous construisons la communauté et la façon dont nous élaborons différentes manières d’incarner les valeurs de ce qui fait le commun. Il s’agit d’une question épineuse : comment pouvons-nous reconnaître la vaste expérience et expertise sur les biens communs et nous rassembler de façon inclusive et équitable en mode d’ « en-commun » participatif ? L’ art de recevoir (Art of Hosting) a certainement quelque chose à nous offrir ici, mais aussi , et surtout, ceux qui vivent et font consciemment le travail quotidien de  l' »en-commun » (commoning) dans toute sa complexité, ont de profonds enseignements à partager pour construire notre capacité collective. »</p></br><p>Voir<a href="http://www.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/"> l’article</a></p> l’article</a></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Par Samantha Slade</p> <<p>Par Samantha Slade</p></br><p>« De là où je me trouve aujourd’hui , l’un des défis de l’émergence d’un mouvement tel que celui pour la promotion des communs, réside dans la façon dont nous construisons la communauté et la façon dont nous élaborons différentes manières d’incarner les valeurs de ce qui fait le commun. Il s’agit d’une question épineuse : comment pouvons-nous reconnaître la vaste expérience et expertise sur les biens communs et nous rassembler de façon inclusive et équitable en mode d’ « en-commun » participatif ? L’ art de recevoir (Art of Hosting) a certainement quelque chose à nous offrir ici, mais aussi , et surtout, ceux qui vivent et font consciemment le travail quotidien de  l' »en-commun » (commoning) dans toute sa complexité, ont de profonds enseignements à partager pour construire notre capacité collective. »</p></br><p>Voir<a href="http://www.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/"> l’article</a></p> l’article</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Project « Justice transitionnelle<p>Project « Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine » plans to share those extremely important Moroccan experiences about transitional justice and community reparation. </p></br><p>In Morocco, from 1959 to 1999, Former King Hassan II often ruled his country with an iron fist. That period is called as the years of lead in Morocco, during which those who were considered a threat to the regime were subject to a wide range of human rights violations. Thousands were subjected to arbitrary arrest, torture, and enforced disappearance, leaving behind a bitter legacy.</p></br><p>However, starting in the early 1990s, a gradual process of dealing with the past began to take root, culminating most recently in the work of the Moroccan Equity and Reconciliation Commission (Instance Équité et Réconciliation (IER)), established by the successor to the throne, King Mohammed VI.</p></br><p>On January 7, 2004, the IER was created, which is the first truth commission in the Arab world. This also has been hailed internationally as a big step forward, and an example to the Arab world. Since that, the IER has been working on addressing the terrible legacy of this era by investigating some of the worst abuses in Morocco and arranging reparations for victims and their families.</p></br><p>Over the duration of its mandate, the IER has amassed an archive of more than 20,000 personal testimonies from victims and their families, which has been organized in a central database in Rabat. It has conducted a range of meetings, conferences, and seminars around a multitude of issues that are keys to understanding Morocco’s past and present.</p></br><p>It has also taken the monumental step of holding public hearings to give victims a platform from which to share their sufferings. Throughout its work, the Commission has aimed to document, preserve, and analyze the roots of the crisis in an attempt to help Morocco come to terms with its past. </p></br><p>Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine aims to share videos about this process of transitional justice and community reparation. For Morocco, the Community Reparation Project is a huge project contributed to transitional justice. A total sum of 159 million Dirhams was mobilized and total number of completed projects was 149.</p></br><p>These videos talked about how to preserve memory of victim communities during “the years of lead” in Morocco and what kinds of public hearings took place, in fact those hearings gave the highlight of an extensive process of citizen deliberation, compassion and free expression in Morocco. They also talked about lots of stories about how community reparation project aimed to improve the living conditions of the people in victim communities and empower them. In fact, those materials mainly focused on women and children.</p></br><p>Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine believes Moroccan experiences in transitional justice as commons are useful and valuable to other countries, especially to Arabic countries have the similar history of transitional justice, such as Iraq, Egypt, Tunisia, Syria, Lebanon, Palestine, Algeria and so on.</p></br><p>As open resources, these documentaries, videos and reports are free to use for the public goods. </p></br><h3>Futur development</h3></br><p>In the next step, Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine will keep on sharing more historical videos and materials about experiences in transitional justice, such as the videos of public hearings, the videos of public seminars and conferences, historical pictures and final reports of the community reparation project.</p></br><h3>People involved</h3></br><p>Ning and Mohamed Leghtas, from Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p></br><h3>Ressources</h3></br><p>The project Transitional Justice: the Moroccan experience is financed by the funds of the Equity and Reconciliation Commission (IER)</p></br><h3>Contribution to the projet « Justice transitionnelle</h3></br><p>Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p>IER)</p> <h3>Contribution to the projet « Justice transitionnelle</h3> <p>Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Project « Justice transitionnelle<p>Project « Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine » plans to share those extremely important Moroccan experiences about transitional justice and community reparation. </p></br><p>In Morocco, from 1959 to 1999, Former King Hassan II often ruled his country with an iron fist. That period is called as the years of lead in Morocco, during which those who were considered a threat to the regime were subject to a wide range of human rights violations. Thousands were subjected to arbitrary arrest, torture, and enforced disappearance, leaving behind a bitter legacy.</p></br><p>However, starting in the early 1990s, a gradual process of dealing with the past began to take root, culminating most recently in the work of the Moroccan Equity and Reconciliation Commission (Instance Équité et Réconciliation (IER)), established by the successor to the throne, King Mohammed VI.</p></br><p>On January 7, 2004, the IER was created, which is the first truth commission in the Arab world. This also has been hailed internationally as a big step forward, and an example to the Arab world. Since that, the IER has been working on addressing the terrible legacy of this era by investigating some of the worst abuses in Morocco and arranging reparations for victims and their families.</p></br><p>Over the duration of its mandate, the IER has amassed an archive of more than 20,000 personal testimonies from victims and their families, which has been organized in a central database in Rabat. It has conducted a range of meetings, conferences, and seminars around a multitude of issues that are keys to understanding Morocco’s past and present.</p></br><p>It has also taken the monumental step of holding public hearings to give victims a platform from which to share their sufferings. Throughout its work, the Commission has aimed to document, preserve, and analyze the roots of the crisis in an attempt to help Morocco come to terms with its past. </p></br><p>Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine aims to share videos about this process of transitional justice and community reparation. For Morocco, the Community Reparation Project is a huge project contributed to transitional justice. A total sum of 159 million Dirhams was mobilized and total number of completed projects was 149.</p></br><p>These videos talked about how to preserve memory of victim communities during “the years of lead” in Morocco and what kinds of public hearings took place, in fact those hearings gave the highlight of an extensive process of citizen deliberation, compassion and free expression in Morocco. They also talked about lots of stories about how community reparation project aimed to improve the living conditions of the people in victim communities and empower them. In fact, those materials mainly focused on women and children.</p></br><p>Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine believes Moroccan experiences in transitional justice as commons are useful and valuable to other countries, especially to Arabic countries have the similar history of transitional justice, such as Iraq, Egypt, Tunisia, Syria, Lebanon, Palestine, Algeria and so on.</p></br><p>As open resources, these documentaries, videos and reports are free to use for the public goods. </p></br><h3>Futur development</h3></br><p>In the next step, Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine will keep on sharing more historical videos and materials about experiences in transitional justice, such as the videos of public hearings, the videos of public seminars and conferences, historical pictures and final reports of the community reparation project.</p></br><h3>People involved</h3></br><p>Ning and Mohamed Leghtas, from Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p></br><h3>Ressources</h3></br><p>The project Transitional Justice: the Moroccan experience is financed by the funds of the Equity and Reconciliation Commission (IER)</p></br><h3>Contribution to the projet « Justice transitionnelle</h3></br><p>Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p>IER)</p> <h3>Contribution to the projet « Justice transitionnelle</h3> <p>Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Rights in Common aims at document<p>Rights in Common aims at documenting the place of law based on commons in the context of the Rio+20 negociations.<br /></br>During 2011, the preparation of the United Nations conference on sustainable development (Rio+20) with the Rio+20 french collective and the participants of the World Social Forum, lead us to suggest making the rights based on the commons a skyline of social demand at the international scale. But as a prerequisite we’d have to be able to explicit the contents of these rights and forsee how these would be implemented and enforced.<br /></br>To try to answer this question, a <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Des_droits_bas%C3%A9s_sur_les_biens_communs"> first text </ a> was written by Silke Helfrich and Frédéric Sultan after the Social Forum in Porto Alegre.</p></br><p>The remix project « Rights in Commons » is the continuation of this work by means of video and the remix made from video recordings of the United Nations conference and of the Peoples Summit.</p></br><h3>Futur development</h3></br><p>The Rights in Commons project move on by the organization of a workshop during the Economics, Commons Conference on May the 22nd 2013 in Berlin. It’s about continuing the ellaboration work initiated and particularly test the underling hypotheses on various domains and use cases, to reach a more global vision.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Frédéric Sultan is coordinator of this project. Emiliano Bazan has taken charge of the video production.</p></br><h3>Financing</h3></br><p>The Rights in Commons project gets financial support from the « Fonds Francophone des inforoutes » through the project Remix the Commons.</p></br><h3>Role of Remix the Commons</h3></br><p>Remix the Commons has been a space facilitating cooperation between Communautique and VECAM to produce videos during the Peoples Summit at Rio+20.</p>;/h3> <p>Remix the Commons has been a space facilitating cooperation between Communautique and VECAM to produce videos during the Peoples Summit at Rio+20.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Rights in Common aims at document<p>Rights in Common aims at documenting the place of law based on commons in the context of the Rio+20 negociations.<br /></br>During 2011, the preparation of the United Nations conference on sustainable development (Rio+20) with the Rio+20 french collective and the participants of the World Social Forum, lead us to suggest making the rights based on the commons a skyline of social demand at the international scale. But as a prerequisite we’d have to be able to explicit the contents of these rights and forsee how these would be implemented and enforced.<br /></br>To try to answer this question, a <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Des_droits_bas%C3%A9s_sur_les_biens_communs"> first text </ a> was written by Silke Helfrich and Frédéric Sultan after the Social Forum in Porto Alegre.</p></br><p>The remix project « Rights in Commons » is the continuation of this work by means of video and the remix made from video recordings of the United Nations conference and of the Peoples Summit.</p></br><h3>Futur development</h3></br><p>The Rights in Commons project move on by the organization of a workshop during the Economics, Commons Conference on May the 22nd 2013 in Berlin. It’s about continuing the ellaboration work initiated and particularly test the underling hypotheses on various domains and use cases, to reach a more global vision.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Frédéric Sultan is coordinator of this project. Emiliano Bazan has taken charge of the video production.</p></br><h3>Financing</h3></br><p>The Rights in Commons project gets financial support from the « Fonds Francophone des inforoutes » through the project Remix the Commons.</p></br><h3>Role of Remix the Commons</h3></br><p>Remix the Commons has been a space facilitating cooperation between Communautique and VECAM to produce videos during the Peoples Summit at Rio+20.</p>;/h3> <p>Remix the Commons has been a space facilitating cooperation between Communautique and VECAM to produce videos during the Peoples Summit at Rio+20.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Santiago Hoerth Moura de <a hr<p>Santiago Hoerth Moura de <a href="http://www.pillku.org/">Revista Pillku</a> a rencontré Alain Ambrosi à Mexico en novembre 2012 dans le cadre de la rencontre préparatoire à la <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">conférence Economics, Commons Conference</a>. Tous deux ont échangé sur les biens communs et le projet Remix Biens Communs. Santiago Hoerth Moura a publié l’interview suivante en espagnol.</p></br><h4></h4></br><h4></h4></br><h4>Entrevista con Alain Ambrosi</h4></br><h2>Remix the Commons es una plataforma de intercambio multimedia</h2></br><p>Alain Ambrosi es de Québec, la ciudad de Montreal en Canadá y trabaja para una organización que se llama COMMUNOTIC como investigador asociado, y específicamente para un proyecto que se llama Remix the Commons o Remezcla los comunes que es un proyecto internacional de plataforma en la web.</p></br><p><strong>Por Redacción Pillku</strong></p></br><p><strong>¿Cuál es tu experiencia de trabajo con los comunes?</strong></p></br><p>Mi experiencia de trabajo en los comunes empieza en la documentación de todo lo que se hace y lo que se dice sobre los comunes desde hace ya tres años. Empezando en el Foro Social de Belém en 2009, donde tuvimos el primer Encuentro Internacional Ciencia y Democracia, donde se habló de los commons. En este tiempo se hablaba de los bienes comunes, y la declaración final de este foro social mundial de Belém integró una declaración de recuperación de los Bienes Comunes. Desde este tiempo yo hice como siguiendo un poco las manifestaciones, conferencias, que se hacían sobre los comunes, hubo después la conferencia de Berlín organizado también por el Commons Strategies Group pero con la Fundación Heinrich Böll, era el primer encuentro donde la gente de los comunes materiales y de los comunes inmateriales se encontraron por primera vez digamos. Y fue en esta ocasión que hemos pensando y lanzado la idea de un proyecto que se llama Remix the Commons.</p></br><p><strong>Entonces contamos un poco en qué consiste Remix the Commons.</strong></p></br><p>Remix the Commons es una plataforma de intercambio de difusión, de producción, de documentos multimedia sobre el tema de los comunes. Es una plataforma socio-técnica, donde preferimos hablar más de lo socio que de lo técnico, y decir que es una plataforma que es un espacio de co-creación sobre los comunes. Entonces hemos empezado con entrevistas en todas estas reuniones, foros sociales, pero estamos integrando varios documentos sobre los comunes. Pero la plataforma no es solamente una cosa que va hacer sobre internet; es realmente un espacio de trabajo de co-creación, quiere decir que ya tenemos un montón de problemas que resolver, problemas técnicos que para nosotros es algo menor, pero a nivel jurídico legal porque vamos a hacer circular imágenes, videos, lo cual es un problema grande, y a nivel económico también, porque hay que sustentar este tipo de proyectos y ya tenemos varias ideas de trabajar a nivel de los comunes, porque nosotros nos consideramos com un bien común, quiero decir el proyecto Remix the Commons, queremos funcionar como un bien común, una comunidad de “partenarios” que van a decir las reglas propias, para ir adelante con el proyecto.</p></br><p>Entonces tenemos otras dimensiones muy importantes, como la gobernanza, como cuáles reglas vamos a poner y, también, otra dimensión que me parece muy importante que es la dimensión intercultural porque es muy difícil, por ejemplo que hemos visto desde el principio en Berlín: hace dos años tenemos una serie de entrevistas, de series que hablan de los comunes en chino o en otros idiomas, y se ve que el concepto mismo de commons corresponde a algo bien profundo en todas las culturas, y a veces hay diferencias, etc., y entonces es un desafío que me parece muy grande eso, el de la interculturalidad, las traducciones, etc.</p></br><p>Remix The Commons es un proyecto colaborativo sobre obras multimedia. Su objetivo es documentar e ilustrar las ideas y prácticas en torno a la cuestión del bien común en el proceso creativo. Para conocer más su trabajo visita: <a href="https://www.remixthecommons.org">https://www.remixthecommons.org</a></p></br><p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p>emixthecommons.org</a></p> <p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Santiago Hoerth Moura from <a <p>Santiago Hoerth Moura from <a href="http://www.pillku.org/">Revista Pillku</a> met Alain Ambrosi in Mexico City last November 2012 during the preparatory meeting for the <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">Economics, Commons Conference</a>. They have discussed about commons and about Remix the Commons project. Santiago Hoerth Moura has published the following interview in Spanish.</p></br><h4>Entrevista con Alain Ambrosi</h4></br><h2>Remix the Commons es una plataforma de intercambio multimedia</h2></br><p>Alain Ambrosi es de Québec, la ciudad de Montreal en Canadá y trabaja para una organización que se llama COMMUNOTIC como investigador asociado, y específicamente para un proyecto que se llama Remix the Commons o Remezcla los comunes que es un proyecto internacional de plataforma en la web.</p></br><p><strong>Por Redacción Pillku</strong></p></br><p><strong>¿Cuál es tu experiencia de trabajo con los comunes?</strong></p></br><p>Mi experiencia de trabajo en los comunes empieza en la documentación de todo lo que se hace y lo que se dice sobre los comunes desde hace ya tres años. Empezando en el Foro Social de Belém en 2009, donde tuvimos el primer Encuentro Internacional Ciencia y Democracia, donde se habló de los commons. En este tiempo se hablaba de los bienes comunes, y la declaración final de este foro social mundial de Belém integró una declaración de recuperación de los Bienes Comunes. Desde este tiempo yo hice como siguiendo un poco las manifestaciones, conferencias, que se hacían sobre los comunes, hubo después la conferencia de Berlín organizado también por el Commons Strategies Group pero con la Fundación Heinrich Böll, era el primer encuentro donde la gente de los comunes materiales y de los comunes inmateriales se encontraron por primera vez digamos. Y fue en esta ocasión que hemos pensando y lanzado la idea de un proyecto que se llama Remix the Commons.</p></br><p><strong>Entonces contamos un poco en qué consiste Remix the Commons.</strong></p></br><p>Remix the Commons es una plataforma de intercambio de difusión, de producción, de documentos multimedia sobre el tema de los comunes. Es una plataforma socio-técnica, donde preferimos hablar más de lo socio que de lo técnico, y decir que es una plataforma que es un espacio de co-creación sobre los comunes. Entonces hemos empezado con entrevistas en todas estas reuniones, foros sociales, pero estamos integrando varios documentos sobre los comunes. Pero la plataforma no es solamente una cosa que va hacer sobre internet; es realmente un espacio de trabajo de co-creación, quiere decir que ya tenemos un montón de problemas que resolver, problemas técnicos que para nosotros es algo menor, pero a nivel jurídico legal porque vamos a hacer circular imágenes, videos, lo cual es un problema grande, y a nivel económico también, porque hay que sustentar este tipo de proyectos y ya tenemos varias ideas de trabajar a nivel de los comunes, porque nosotros nos consideramos com un bien común, quiero decir el proyecto Remix the Commons, queremos funcionar como un bien común, una comunidad de “partenarios” que van a decir las reglas propias, para ir adelante con el proyecto.</p></br><p>Entonces tenemos otras dimensiones muy importantes, como la gobernanza, como cuáles reglas vamos a poner y, también, otra dimensión que me parece muy importante que es la dimensión intercultural porque es muy difícil, por ejemplo que hemos visto desde el principio en Berlín: hace dos años tenemos una serie de entrevistas, de series que hablan de los comunes en chino o en otros idiomas, y se ve que el concepto mismo de commons corresponde a algo bien profundo en todas las culturas, y a veces hay diferencias, etc., y entonces es un desafío que me parece muy grande eso, el de la interculturalidad, las traducciones, etc.</p></br><p>Remix The Commons es un proyecto colaborativo sobre obras multimedia. Su objetivo es documentar e ilustrar las ideas y prácticas en torno a la cuestión del bien común en el proceso creativo. Para conocer más su trabajo visita: <a href="https://www.remixthecommons.org">https://www.remixthecommons.org</a></p></br><p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p></a></p> <p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Santiago Hoerth Moura from <a <p>Santiago Hoerth Moura from <a href="http://www.pillku.org/">Revista Pillku</a> met Alain Ambrosi in Mexico City last November 2012 during the preparatory meeting for the <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">Economics, Commons Conference</a>. They have discussed about commons and about Remix the Commons project. Santiago Hoerth Moura has published the following interview in Spanish.</p></br><h4>Entrevista con Alain Ambrosi</h4></br><h2>Remix the Commons es una plataforma de intercambio multimedia</h2></br><p>Alain Ambrosi es de Québec, la ciudad de Montreal en Canadá y trabaja para una organización que se llama COMMUNOTIC como investigador asociado, y específicamente para un proyecto que se llama Remix the Commons o Remezcla los comunes que es un proyecto internacional de plataforma en la web.</p></br><p><strong>Por Redacción Pillku</strong></p></br><p><strong>¿Cuál es tu experiencia de trabajo con los comunes?</strong></p></br><p>Mi experiencia de trabajo en los comunes empieza en la documentación de todo lo que se hace y lo que se dice sobre los comunes desde hace ya tres años. Empezando en el Foro Social de Belém en 2009, donde tuvimos el primer Encuentro Internacional Ciencia y Democracia, donde se habló de los commons. En este tiempo se hablaba de los bienes comunes, y la declaración final de este foro social mundial de Belém integró una declaración de recuperación de los Bienes Comunes. Desde este tiempo yo hice como siguiendo un poco las manifestaciones, conferencias, que se hacían sobre los comunes, hubo después la conferencia de Berlín organizado también por el Commons Strategies Group pero con la Fundación Heinrich Böll, era el primer encuentro donde la gente de los comunes materiales y de los comunes inmateriales se encontraron por primera vez digamos. Y fue en esta ocasión que hemos pensando y lanzado la idea de un proyecto que se llama Remix the Commons.</p></br><p><strong>Entonces contamos un poco en qué consiste Remix the Commons.</strong></p></br><p>Remix the Commons es una plataforma de intercambio de difusión, de producción, de documentos multimedia sobre el tema de los comunes. Es una plataforma socio-técnica, donde preferimos hablar más de lo socio que de lo técnico, y decir que es una plataforma que es un espacio de co-creación sobre los comunes. Entonces hemos empezado con entrevistas en todas estas reuniones, foros sociales, pero estamos integrando varios documentos sobre los comunes. Pero la plataforma no es solamente una cosa que va hacer sobre internet; es realmente un espacio de trabajo de co-creación, quiere decir que ya tenemos un montón de problemas que resolver, problemas técnicos que para nosotros es algo menor, pero a nivel jurídico legal porque vamos a hacer circular imágenes, videos, lo cual es un problema grande, y a nivel económico también, porque hay que sustentar este tipo de proyectos y ya tenemos varias ideas de trabajar a nivel de los comunes, porque nosotros nos consideramos com un bien común, quiero decir el proyecto Remix the Commons, queremos funcionar como un bien común, una comunidad de “partenarios” que van a decir las reglas propias, para ir adelante con el proyecto.</p></br><p>Entonces tenemos otras dimensiones muy importantes, como la gobernanza, como cuáles reglas vamos a poner y, también, otra dimensión que me parece muy importante que es la dimensión intercultural porque es muy difícil, por ejemplo que hemos visto desde el principio en Berlín: hace dos años tenemos una serie de entrevistas, de series que hablan de los comunes en chino o en otros idiomas, y se ve que el concepto mismo de commons corresponde a algo bien profundo en todas las culturas, y a veces hay diferencias, etc., y entonces es un desafío que me parece muy grande eso, el de la interculturalidad, las traducciones, etc.</p></br><p>Remix The Commons es un proyecto colaborativo sobre obras multimedia. Su objetivo es documentar e ilustrar las ideas y prácticas en torno a la cuestión del bien común en el proceso creativo. Para conocer más su trabajo visita: <a href="https://www.remixthecommons.org">https://www.remixthecommons.org</a></p></br><p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p></a></p> <p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Spain’s recent municipal and regi<p>Spain’s recent municipal and regional elections have transformed the entire political scene. New citizen coalitions with roots in community groups allied with small progressive political parties won unexpected victories in several large cities. This, plus the fact that two new national political parties – Podemos and Ciudadanos – burst decisively onto the political stage in the regional elections, has blocked the bipartisan (PP-PSOE) system created with the 1975 democratic transition. Victorious in 7 major cities throughout the country, including the 3 largest ones (Madrid, Barcelona, Valencia), these coalitions open the door to a different sort of transition, questioning the dominant political culture and mentality, and in most cases putting in place minority governments, thus obliging various parties to negotiate joint platforms. It is interesting to note that Podemos, the young political party that made a surprise showing in the 2014 European elections and made strong gains on the regional level this year, decided not to present its own candidates in the municipal elections, but rather participated in or – more frequently – supported the new citizen coalitions in various cities.</p></br><h2>Reinventing Urban Commons for the XXIst Century</h2></br><p>These newcomers to the municipal political scene identifiy with the Commons, and in some cases even include the term in their names : Barcelona en Comù, Zaragoza en Comun… A perusal of their programmes and of the manner in which they were developed demonstrates that this is not simply an empty phrase, but the reference to the Commons introduces instead a new political discourse and horizon and, above all, a new way of ‘doing’ politics. The new candidates-elect come from different social movements and this is their first experience in electoral politics. Their ‘non-parties’ are in general less than a year old but the organisations they come from have held massive mobilisations and won significant local victories. On analysis, the new political culture they aim for is rooted in the tradition of urban struggle now revisited and improved on the basis of the citizen movements that originated in the 2008 financial crisis, the indignados of 2011, and the successive ‘waves’ (mareas) that followed in the housing, health, education, culture and urban ecology sectors. The tradition of self-management and ‘self-government’ often rooted in libertarianism and long known as ‘municipalism’ has been revisited by the culture and practices of the many anti-growth, ecological, alter-globalisation, and cultural movements inspired by the spirit of the Indignados of 2011 with an impressive mastery and intelligent use of new technologies and audiovisual media.</p></br><p>The challenges facing this new municipalism are enormous : the problems are illustrated by the findings of two international reports revealed immediately following the May 24 elections. The firsti underlined the explosion of the level of poverty since the beginning of the crisis (increase from 9% to 18%) while the secondii demonstrated an increase of 40% of the number of extremely rich during the same period. Adding to the general morosity by reiterating prevailing logic, the IMF seized the occasion, shortly prior to the investiture of the new municipal governments, to congratulate the Spanish government on its ‘encouraging’ economic results while publicly reminding it that it must continue its austerity measures by increasing indirect taxes, cutting health and education budgets still more and lowering wages. What else could be expected from the fans of austerity?</p></br><h2>The Re-dignified Good Life In Common</h2></br><p>But such dire pronouncements do not scathe the confidence of the new mayors whose campaigns were run and programmes built on an anti-austerity stance; they are already putting in place (Barcelona is a good example) some of the measures set out in their plan of attack for affordable housing, food, accessible public utilities and transportation, and a basic living allowance. They are dedicating an unprecedented quantity of resources for municipal governments to these measures in an explicit attempt to counter the ‘de-humanising’ effects of austerity policies and to ‘restore the dignity’ of the most vulnerable. But the declared intentions of the new municipal leaders go far beyond the emergency measures of the first few months of their term. They want to turn their cities into living experiments in promoting an urban Good Life that redefines economic and social policy and municipal responsabilities as well as democratic practices on the municipal but also the regional, national and international levels. In her inaugural speech as Mayor of Barcelona, Ada Colau called for the creation of a ‘network of democratic cities in Southern Europe’.</p></br><h2>Transparency and Participation</h2></br><p>This incipient revolution in political culture and practice is taking place with total transparency, with the creation of a code of ethics, cutting the salaries of the elected representatives and eliminating statutory perks (official cars, per diems, etc) and, above all, by wagering on the collective intelligence and active participation of local citizens. Indeed, many of them have already taken part in the municipal programme by contributing to its elaboration prior to and during the campaign in the many neighbourhood meetings and various ‘crowd-sourcing’ moments on virtual platforms. The resulting highly structured programme remains an open document and is in itself an invitation to participate. The web page of Barcelona en Comù boldly states : ‘The programme you have before you is a programme In Common and, as you can see, that requires a major change from traditional political programmes […] it’s a document that aims to be useful to dialogue amongst citizens.’ iii</p></br><p>During her inauguration ceremony, Ada Colau asserted that ‘it is indispensable to create a new form of governance’, reminding the crowd that she is but ‘one of thousands of neighbours’, that she plans to ‘govern by obeying’ and that if she and her team do not deliver on their programme promises ‘Kick us out!’. The thousands of people watching the ceremony on giant screens in Plaza Sant Jaume greeted her speech with shouts of ‘Yes we can!’ (Si se puede), echoing the slogans of the public meetings held throughout the campaign. In a crowd so dense that she could hardly make her way through, but clearly at ease surrounded by ‘neighbours’, comrades and partisans, Ada slipped into the discourse and manner of the ex-president and activist of the PAHiv. With her charming smile, she declared to the enthusiastic crowd that ‘governing will not be easy but we are not alone’ and called on them to show responsability and to actively participate. She concluded evoking the need for empathy and invited the crowd to organise a demonstration in support of the strking telephone workers of Movistar, present in the crowd, and whose struggle she has supported throughout the campaign. The tone has been set, and indicates that it is not only the Commons but also the spirit of the Indignados movement that has come to City Hall.</p></br><h2>The Realism of the Commons</h2></br><p>In an article titled ‘It’s time for realism’, Josep Ramoneda, columnist for the catalan daily Ara, compared the proposals of Barcelona en Comù to the latest demands of the IMF, demonstrating that the ‘nihilist utopias’ – a label often used by the media and the governing right wing PP party to denigrate progressive alternatives – are instead found in the proposals of the neoliberal hardliners, incapable as they have shown themselves to be of finding a solution to the economic crisis and deepening inequality. He concludes by affirming ‘Let’s be realistic, let us consider the common good’v – a somewhat astonishing comment in this newpaper reputed to be more interested in supporting independence than the Commons. A comment that also reveals that the Commons have come not only to Town Hall, but are emerging in the collective imagination and in political discourse.</p></br><h2>A Living Laboratory, an Invitation to Commoning</h2></br><p>The emerging glocal movement of commoners and their apprentices should observe closely what transpires in this living laboratory of the urban commons. There is a lot to learn from this commons in action about the nature of the commons, the process of commoning and the possible transition to a commons society. This is also a unique opportunity to contribute peer-to-peer with our own experiences and know-how, developed all over the globe in the many different socio-cultural contexts where the Commons are being reinvented in recent years.</p></br><p><strong>Alain Ambrosi, Barcelona, 17 June 2015</strong></p></br><p>1 OECD, May 2015 <a href="http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en">http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en</a><br /></br>2 Capgemini and Royal Bank of Canada (RBC) Wealth Management. Cited in El Pais 17 June 2015.<br /></br>3 <a href="https://barcelonaencomu.cat">https://barcelonaencomu.cat</a><br /></br>4 PAH : Plataforma des los afectados por la hipoteca – Platform of those affected by mortgage (ie, against expulsions) created in 2009 in Barcelona and which now counts some 200 member associations in Spain.<br /></br>5 Ara, 10 June 2015.</p>;/a><br /> 4 PAH : Plataforma des los afectados por la hipoteca – Platform of those affected by mortgage (ie, against expulsions) created in 2009 in Barcelona and which now counts some 200 member associations in Spain.<br /> 5 Ara, 10 June 2015.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>The 11 and 12 November, the <a<p>The 11 and 12 November, the <a href=" http://www.deeep.org/"> DEEEP project </a> , co-funded by the European Union program , gathered in Johannesburg (South Africa) 200 activists from around the world to rethink the framework of development NGOs and initiate the construction of a  » World Citizens Movement . » This meeting is the starting point of a process that will last two years of citizen mobilization for change and global justice. <a Href="http://movement.deeep.org"> A digital platform </a> is dedicated to it. During the conference, the participants began to learn from the work of civil society, its modes of organization and action in different areas around the world and produced a document, <a href = " http://www.deeep.org/component/content/article/395.html " >« The Johannesburg Compass: Questions and orientations »</a> to define the principles that should guide the work of the two coming years.</p></br><p>Invited to participate in this process, I have contributed to discussions and writing text to feed as much as possible of the concept of the commons. Conceived initially as a declaration of principles supported by a shared vision, this document has become a guide for the process itself, based on a few key ideas such as the need to de-colonize our minds and de-institutionalize development organizations. The result reflects the will of renewal in both form and content of the action, but leaves unanswered, at least for the moment, questions about the nature of a worl citizen movement, if it is one motion, and the nature of the process of the two next years of workfollowing the conference.</p></br><p>It seems to me that today , a world citizens movement has to revolutionize the way for everyone to exercise their citizenship, and to be aware of. One of the roles of NGOs and CSOs should be to support the politicization of everyday life in the field of health , nutrition , education , work, .. .. etc, within the perspective of the commons. How to do this on a massive scale ? Appart from action campaigns on strategic objectives at the regional or global level, made by organizations, that are the infrastructure of civil society, it is to renew and articulate what is in France called popular education by integration of social neighborhood and mediated by computer networks practices. Such a dynamic would allow each to be more confortable with broader perspective and the international agenda. The challenge is to build bridges with multiple communities of belonging, not to provide them with the leadership of NGOs and movements, but to recognize and legitimize their leaderships at different scales of power (from local to global).</p></br><p>To listen to the conference participants at Johannesburg , it looks like it must also go through the (re)discovery of the commons within organizations, regardless of their size or intended to rebuild the project itself. This can be a wide perspective of the organization (NGOs / CSOs ) to continue the work from Johburg. In this sense, it will be better to work on Our commons than to define THE commons and to try to transform organizations working on their values, projects and actions, rather than seeking Commons as a theoretical or ideological framework.</p></br><p>Another avenue is to share les lessons learned by activists of the intangible and knowledge commons that, since the emergence of the computer have been able to build a movement that defends their values, distributed forms of collaboration , openness and freedom , sharing and solidarity , personal empowerment and participation in collectives, acting on a small scale while remaining in a universal vision. This movement is generally invisible as a social movement for people who are not activists. Everyone uses free software, access to culture and free knowledge, most of the time without paying attention. Yet organizations of knowledge and free culture are structured and are  » NGO  » or  » OCS  » weighty. Just consider the most visible in the public area alike Wikimedia Foundation, or the weight of this movement in the industrial sector (IBM , Android, …) or the work of lobbying done by groups aloke EFF Quadrature net, to realize that. It is a movement to maturity. This experience and the culture it develops worth sharing. </p></br><p>Would not it be helpful to think a similar movement in the field of materials, urban, rural and natural commons?</p></br><p>Frédéric Sultan</p>ould not it be helpful to think a similar movement in the field of materials, urban, rural and natural commons?</p> <p>Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The 11 and 12 November, the <a<p>The 11 and 12 November, the <a href=" http://www.deeep.org/"> DEEEP project </a> , co-funded by the European Union program , gathered in Johannesburg (South Africa) 200 activists from around the world to rethink the framework of development NGOs and initiate the construction of a  » World Citizens Movement . » This meeting is the starting point of a process that will last two years of citizen mobilization for change and global justice. <a Href="http://movement.deeep.org"> A digital platform </a> is dedicated to it. During the conference, the participants began to learn from the work of civil society, its modes of organization and action in different areas around the world and produced a document, <a href = " http://www.deeep.org/component/content/article/395.html " >« The Johannesburg Compass: Questions and orientations »</a> to define the principles that should guide the work of the two coming years.</p></br><p>Invited to participate in this process, I have contributed to discussions and writing text to feed as much as possible of the concept of the commons. Conceived initially as a declaration of principles supported by a shared vision, this document has become a guide for the process itself, based on a few key ideas such as the need to de-colonize our minds and de-institutionalize development organizations. The result reflects the will of renewal in both form and content of the action, but leaves unanswered, at least for the moment, questions about the nature of a worl citizen movement, if it is one motion, and the nature of the process of the two next years of workfollowing the conference.</p></br><p>It seems to me that today , a world citizens movement has to revolutionize the way for everyone to exercise their citizenship, and to be aware of. One of the roles of NGOs and CSOs should be to support the politicization of everyday life in the field of health , nutrition , education , work, .. .. etc, within the perspective of the commons. How to do this on a massive scale ? Appart from action campaigns on strategic objectives at the regional or global level, made by organizations, that are the infrastructure of civil society, it is to renew and articulate what is in France called popular education by integration of social neighborhood and mediated by computer networks practices. Such a dynamic would allow each to be more confortable with broader perspective and the international agenda. The challenge is to build bridges with multiple communities of belonging, not to provide them with the leadership of NGOs and movements, but to recognize and legitimize their leaderships at different scales of power (from local to global).</p></br><p>To listen to the conference participants at Johannesburg , it looks like it must also go through the (re)discovery of the commons within organizations, regardless of their size or intended to rebuild the project itself. This can be a wide perspective of the organization (NGOs / CSOs ) to continue the work from Johburg. In this sense, it will be better to work on Our commons than to define THE commons and to try to transform organizations working on their values, projects and actions, rather than seeking Commons as a theoretical or ideological framework.</p></br><p>Another avenue is to share les lessons learned by activists of the intangible and knowledge commons that, since the emergence of the computer have been able to build a movement that defends their values, distributed forms of collaboration , openness and freedom , sharing and solidarity , personal empowerment and participation in collectives, acting on a small scale while remaining in a universal vision. This movement is generally invisible as a social movement for people who are not activists. Everyone uses free software, access to culture and free knowledge, most of the time without paying attention. Yet organizations of knowledge and free culture are structured and are  » NGO  » or  » OCS  » weighty. Just consider the most visible in the public area alike Wikimedia Foundation, or the weight of this movement in the industrial sector (IBM , Android, …) or the work of lobbying done by groups aloke EFF Quadrature net, to realize that. It is a movement to maturity. This experience and the culture it develops worth sharing. </p></br><p>Would not it be helpful to think a similar movement in the field of materials, urban, rural and natural commons?</p></br><p>Frédéric Sultan</p>ould not it be helpful to think a similar movement in the field of materials, urban, rural and natural commons?</p> <p>Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>The <a href="https://wiki.remi<p>The <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">Breakfasts in-Common </a>process was initiated by Senegal’s « Centre d’Art Senegalais Kër Thiossane » and Quebec’s « Communautique », as part of the project Remix the Commons.</p></br><p>Born from a research dynamic about endogenous definitions of commons, Breakfasts in-Common bring occasions to think collectively about what commons mean, from an artistic approach. The goal of these meetings whether in Dakar or Montréal is not only to understand but also to feel the meaning difference that exists between my « I » and the « we » of a collective process. A sensitive approach that allows to craft stories able to give some meaning to the fact of living together. Stories that help maintain the community in motion and give a purpose to one’s own existence and thriving.</p></br><p><H2>First light in Dakar</H2><br /></br>From January 2012, in Dakar, in a violent pre-election context, in the midst of doubts about the constitution and the rise of citizenship awareness in all Senegal, Kër Thiossane started an exploratory work around Commons by organizing Breakfasts in-Common in a monthy cycle.</p></br><p>Three Breakfasts in-Common were organized between January and April 2012 on the subjects « The commons in African cities » ; « Commons and space » and « Languages and knowledge ».</p></br><p>These Breakfasts in-Common were moments of gathering and exchanges constituting by themselves a practice of the « in-Common », where each participates in sharing knowledge in a horizontal dynamic.</p></br><p>Each Breakfast started by viewing a film produced by the Kër Thiossane team on an artist and his or her questioning about one aspect of the Commons in the Senegalese society.</p></br><p>Some of the films and extracts from the breakfasts recordings are available online on the Kër Thiossane website, along with a toolbox of books, texts, interviews that anyone is welcomed to enrich with their own contributions via a wiki or at a breakfast in-Common.</p></br><p>Afropixel Festival<br /></br>This material, accumulated since early 2012 and the thinking initiated among the artistic community and the inhabitants was used to prepare a variety of activities, residences, workshops and performances at the time of the Afropixel festival as part of the theme « Creation, culture and knowledge in Common », that took place in may 2012.</p></br><p>Among this diverse and rich programming, Kër Thiossane gathered great African thinkers and artists to elaborate collectively on the question of « Artistic responsibility in the construction of the in-Common ».</p></br><p>All around a glass of tea, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat and Ibrahima Wane took part in what was not an expert group but rather a meeting where everyone’s expertise was to profit the collective thinking that was woven along the talks.</p></br><h2>Kédougou, until where is your place ?</h2></br><p>In 2013, the Breakfasts in-Common keep on with the collaboration of the collective « La companyía (http://www.lacompanyia.org/). They delocalize with a first breakfast outside Dakar in March as part of the « Night of the stars » festival organised by the Multimedia Community center of Kédougou.</p></br><p>Taking the same theme as the festival, « Kédougou, until where is your place ? », we investigated on the problematic of the Kédougou region associated with Commons. The opening of the question « where is your place » allowed to approach the questions about managing natural resources in a boundary region rich in gold and ore, as well as belonging and building of communities.</p></br><p><H3>Futur development</h3></br><p>The Breakfasts in-Common and the Afropixel festival organized so far have drawn a great interest, as much from artists and members of the civil society as from citizens, in Senegal. Seeds were sown and a real awareness of the stake of Commons invites us to continue these meetings in an even more open way, about other aspects of Commons, with the objective to enable and widen this collective thinking space.<br /></br>In 2013-2014, Kër Thiossane would like to organize other breakfasts at regular intervals and repeat more of the delocalised experiments, outside Dakar, in partnership with Senegal’s community radios network.</p></br><p>These experiments with continue to be filmed, documented and shared with Communautique in Montréal and other partners, actors of commons elsewhere in the world (Finland, Colombia…). Videos and other documents from these with be posted online on the Remix the commons platform.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane). Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financing</h3></br><p>The Breakfasts in-Common receives financial support from the « Fonds Francophone des inforoutes » through the project Remix the Commons.<br /></br>The production of the Breakfasts in-Common in Dakar was made possible thanks to the financial support from Arts Collaboratory and the « Organisation Internationale de la Froncophonie in Kër Thiossane.</p></br><h3>Contribution of Remix the Commons</h3></br><p>Remix the Commons contributed in the onset of the project and spread the word of it’s existance among commoners. Remix the Commons supports formalisation of the process and the deployement of a network of similar practices.</p>Thiossane.</p> <h3>Contribution of Remix the Commons</h3> <p>Remix the Commons contributed in the onset of the project and spread the word of it’s existance among commoners. Remix the Commons supports formalisation of the process and the deployement of a network of similar practices.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The <a href="https://wiki.remi<p>The <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">Breakfasts in-Common </a>process was initiated by Senegal’s « Centre d’Art Senegalais Kër Thiossane » and Quebec’s « Communautique », as part of the project Remix the Commons.</p></br><p>Born from a research dynamic about endogenous definitions of commons, Breakfasts in-Common bring occasions to think collectively about what commons mean, from an artistic approach. The goal of these meetings whether in Dakar or Montréal is not only to understand but also to feel the meaning difference that exists between my « I » and the « we » of a collective process. A sensitive approach that allows to craft stories able to give some meaning to the fact of living together. Stories that help maintain the community in motion and give a purpose to one’s own existence and thriving.</p></br><p><H2>First light in Dakar</H2><br /></br>From January 2012, in Dakar, in a violent pre-election context, in the midst of doubts about the constitution and the rise of citizenship awareness in all Senegal, Kër Thiossane started an exploratory work around Commons by organizing Breakfasts in-Common in a monthy cycle.</p></br><p>Three Breakfasts in-Common were organized between January and April 2012 on the subjects « The commons in African cities » ; « Commons and space » and « Languages and knowledge ».</p></br><p>These Breakfasts in-Common were moments of gathering and exchanges constituting by themselves a practice of the « in-Common », where each participates in sharing knowledge in a horizontal dynamic.</p></br><p>Each Breakfast started by viewing a film produced by the Kër Thiossane team on an artist and his or her questioning about one aspect of the Commons in the Senegalese society.</p></br><p>Some of the films and extracts from the breakfasts recordings are available online on the Kër Thiossane website, along with a toolbox of books, texts, interviews that anyone is welcomed to enrich with their own contributions via a wiki or at a breakfast in-Common.</p></br><p>Afropixel Festival<br /></br>This material, accumulated since early 2012 and the thinking initiated among the artistic community and the inhabitants was used to prepare a variety of activities, residences, workshops and performances at the time of the Afropixel festival as part of the theme « Creation, culture and knowledge in Common », that took place in may 2012.</p></br><p>Among this diverse and rich programming, Kër Thiossane gathered great African thinkers and artists to elaborate collectively on the question of « Artistic responsibility in the construction of the in-Common ».</p></br><p>All around a glass of tea, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat and Ibrahima Wane took part in what was not an expert group but rather a meeting where everyone’s expertise was to profit the collective thinking that was woven along the talks.</p></br><h2>Kédougou, until where is your place ?</h2></br><p>In 2013, the Breakfasts in-Common keep on with the collaboration of the collective « La companyía (http://www.lacompanyia.org/). They delocalize with a first breakfast outside Dakar in March as part of the « Night of the stars » festival organised by the Multimedia Community center of Kédougou.</p></br><p>Taking the same theme as the festival, « Kédougou, until where is your place ? », we investigated on the problematic of the Kédougou region associated with Commons. The opening of the question « where is your place » allowed to approach the questions about managing natural resources in a boundary region rich in gold and ore, as well as belonging and building of communities.</p></br><p><H3>Futur development</h3></br><p>The Breakfasts in-Common and the Afropixel festival organized so far have drawn a great interest, as much from artists and members of the civil society as from citizens, in Senegal. Seeds were sown and a real awareness of the stake of Commons invites us to continue these meetings in an even more open way, about other aspects of Commons, with the objective to enable and widen this collective thinking space.<br /></br>In 2013-2014, Kër Thiossane would like to organize other breakfasts at regular intervals and repeat more of the delocalised experiments, outside Dakar, in partnership with Senegal’s community radios network.</p></br><p>These experiments with continue to be filmed, documented and shared with Communautique in Montréal and other partners, actors of commons elsewhere in the world (Finland, Colombia…). Videos and other documents from these with be posted online on the Remix the commons platform.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane). Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financing</h3></br><p>The Breakfasts in-Common receives financial support from the « Fonds Francophone des inforoutes » through the project Remix the Commons.<br /></br>The production of the Breakfasts in-Common in Dakar was made possible thanks to the financial support from Arts Collaboratory and the « Organisation Internationale de la Froncophonie in Kër Thiossane.</p></br><h3>Contribution of Remix the Commons</h3></br><p>Remix the Commons contributed in the onset of the project and spread the word of it’s existance among commoners. Remix the Commons supports formalisation of the process and the deployement of a network of similar practices.</p>Thiossane.</p> <h3>Contribution of Remix the Commons</h3> <p>Remix the Commons contributed in the onset of the project and spread the word of it’s existance among commoners. Remix the Commons supports formalisation of the process and the deployement of a network of similar practices.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The Charter of the Forest – Carta<p>The Charter of the Forest – Carta de Foresta – published in 1217, is recognized as the first official act that extends the protections and essential rights of the Magna Carta to the English commoners against the abuses of the aristocracy. Under this charter, the people are guaranteed the right to access forest resources. The impact of this charter has been revolutionary. It is generally considered one of the cornerstones of the British Constitution and<a href="https://www.americanbar.org/groups/public_services/law_library_congress/charter_of_the_forest.html"> inspiration of the American Constitution</a> (2). It has made it possible to render vast expanses of land to the peasants, to oppose the plundering of the common goods by the monarchy and the aristocracy. In the 17th century, it has inspired the Diggers and Levellers and later protests against the enclosure of lands by the capitalist bourgeoisie. But it was repealed in 1971 by a conservative government, allowing the privatization of resources such as water for the benefit of multinational companies.</p></br><p>Today, forests remain essential resources for housing, food sovereignty, and are essential for fighting environmental crises. A <a href="http://charteroftheforest800.org/">campaign</a> to celebrate the Forest Charter began in Britain in September and continues in November. The Lincoln Record Society has organized an international conference on the Charter of the Forest that began with a houseboat trip on the River Thames from Windsor to Runnymede, the place where was signed the Magna Carta. Experts presented the Charter of the Forest, its history and its contemporary implications. Participants were also able to see one of the original copies of the Forest Charter and participated in a guided tour of the Forest of Sherwood that (in France) we know through Robin Hood story.</p></br><p>Today, there is a debate chaired by the Shadow Chancellor, John McDonnell MP, with Professors Peter Linebaugh and Guy Standing, and Julie Timbrell of <a href="https://thenewputneydebates.com/">New Putney Debates</a>. This debate is part of a week-long program (6) calling for the creation of a <a href="https://en.wikipedia.org/wiki/Domesday_Book">new Domesday Book</a>, a national census of UK landowners and the identification of the common goods as well as a new Commons Charter and Communities Charters. This is to question the notion of land ownership in a country where it is one of the most concentrated in the western countries, and to elaborate proposals, including a possible tax on land ownership, for a better distribution of rights and responsibilities to land.</p></br><p>Thanks to Yves Otis for reporting the article <a href="https://www.nakedcapitalism.com/2017/11/youve-never-heard-charter-important-magna-carta.html">Why You’ve Never Heard of a Charter as Important as the Magna Carta</a></p></br><p>Transcript of the Forest Charter: <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p> Forest Charter: <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The violent destruction of the co<p>The violent destruction of the commons of the ZAD (Zone To Defend) of Notre-Dame-des-Landes by the French government is an infamous and revolting act. The current police offensive, led by several thousand gendarmes and CRS equipped with armored vehicles and helicopters is only the exercise of the purest State violence against a set of collective practices that are in progress or in preparation. This includes their fragile material conditions (buildings, meeting places, work tools, herds), and they  are now destroyed by bulldozers and police squads.</p></br><p>Since the first day of assault on the ZAD of Notre-Dame-des-Landes, the destruction of the farm of the «Cents Noms» was a true declaration of social and political war. The destruction of this place was by no means imperative given the criteria invoked by the government in its « communication ». Nicole Klein, Prefect of Loire Region(<a href="#note1" name="retour au texte1"> 1</a>), justifies the police operation by claiming that the «Cents Noms» had not submitted an agricultural project. This is obviously false: the inhabitants of this farm were carrying an alternative agricultural project and some of them had submitted a request for regularization.</p></br><p>What is the real reason for this destructive rage? It is not the absence of a project, it is the nature of the projects that is at stake. The State and its representatives do not support the life forms that are experimented here and now, and for the past 10 years. These life forms prefigure a society free from the ownership logic in all its dimensions. From this point of view, it is of the highest symbolic value that the inhabitants and defenders of the zone propose the Assembly of Uses to take charge of the collective management of lands and spaces from the beginning. This solution would’ve had the advantage to straightly extend the experience initiated and pursued for so many years: to make the logic of the common use which is a logic of care and nurture, or to prevail over the logic of land ownership which is a destructive and deadly logic.</p></br><p>It is not the « Constitutional State » that defends itself, as the Prime Minister affirms, it is a State of force that wants to eliminate as quickly and completely as possible all actions that could perform the principle of the Common: associations, consumers and workers cooperatives, agricultural and craft projects, convivial modes of exchange and of life. The government wants to prevent the invention of what is a real way of producing and living by using its excessive police force. It also wants to eliminate a solidary and ecological model of life that we need today.</p></br><p>The State shows its true face here. It is not only protecting  private ownership, but it is itself completely under the logic of ownership. It is the Owner State in war against the commons. It must be defeated at all costs to preserve the treasure threatened of the commons.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot and Christian Laval</strong></p></br><p>—–</p></br><p>Note :<br /></br><a name="note1"></a>(1) The Prefect is a representative of the public authority in the department, directly appointed by the President of the Republic (and not elected as mayors).</p></br><p>—–<br /></br>Original edition : <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a> Thursday, April 12 2018</p></br><p>Translated in English by Frédéric Sultan and Alexandre Guttmann</p>gt;NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a> Thursday, April 12 2018</p> <p>Translated in English by Frédéric Sultan and Alexandre Guttmann</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The « At the school of Commons » <p>The « At the school of Commons » meeting has the goal of bringing in all sorts of creative people, activists and users of common goods, in order to help the exchange between these people and allow the development and social appropriation of the Commons. This contributes to the understanding, finding and preservation of the Commons.</p></br><p>Organized by Communautique and Remix the Commons, and in collaboration with the Nycole Turmel chair on public spaces and political innovations at UQÀM, the event « At the school of Commons », on November the 2nd and 3rd 2012, was the first event of the project. Participants were able to exchange on political, legal, economic and cultural prerequisites needed for the rise of an economy of commons in the presence of international guests Michel Bauwens, founder of the P2P foundation, Lionel Maurel a.k.a. « Calimaq », founder of Savoircom1 and their Quebecois counterparts Ianick Marcil, independent economist and Stéphane Guidoin from OpenNorth.<br /></br><H3>Futur development</H3><br /></br>« At the school of Commons » is structured around bespoke meetings. A following meeting should be scheduled for autumn 2013.<br /></br><H3>Collaborators</H3><br /></br>The project is lead by Alain Ambrosi, supported by the Communautique team and Frédéric Sultan.<br /></br><H3>Financing</H3><br /></br>The project receives financial help from « Organisation Internationnale de la Francophonie » through « Remix the Commons ».<br /></br><H3>The Contribution of Remix the Commons</H3><br /></br>Remix the Commons served as an infrastructure, and placed itself as a resource to the project in Montreal. Networking was used to gather resources and speakers. Documents were produced. An attempt at a transcription was made.</p>urce to the project in Montreal. Networking was used to gather resources and speakers. Documents were produced. An attempt at a transcription was made.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>The « At the school of Commons » <p>The « At the school of Commons » meeting has the goal of bringing in all sorts of creative people, activists and users of common goods, in order to help the exchange between these people and allow the development and social appropriation of the Commons. This contributes to the understanding, finding and preservation of the Commons.</p></br><p>Organized by Communautique and Remix the Commons, and in collaboration with the Nycole Turmel chair on public spaces and political innovations at UQÀM, the event « At the school of Commons », on November the 2nd and 3rd 2012, was the first event of the project. Participants were able to exchange on political, legal, economic and cultural prerequisites needed for the rise of an economy of commons in the presence of international guests Michel Bauwens, founder of the P2P foundation, Lionel Maurel a.k.a. « Calimaq », founder of Savoircom1 and their Quebecois counterparts Ianick Marcil, independent economist and Stéphane Guidoin from OpenNorth.<br /></br><H3>Futur development</H3><br /></br>« At the school of Commons » is structured around bespoke meetings. A following meeting should be scheduled for autumn 2013.<br /></br><H3>Collaborators</H3><br /></br>The project is lead by Alain Ambrosi, supported by the Communautique team and Frédéric Sultan.<br /></br><H3>Financing</H3><br /></br>The project receives financial help from « Organisation Internationnale de la Francophonie » through « Remix the Commons ».<br /></br><H3>The Contribution of Remix the Commons</H3><br /></br>Remix the Commons served as an infrastructure, and placed itself as a resource to the project in Montreal. Networking was used to gather resources and speakers. Documents were produced. An attempt at a transcription was made.</p>urce to the project in Montreal. Networking was used to gather resources and speakers. Documents were produced. An attempt at a transcription was made.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Un nouveau documentaire est actue<p>Un nouveau documentaire est actuellement en production, sur les luttes en relation avec l’eau en Grèce. Le titre de travail du documentaire est  » Wa(te)rdrops « , et il a pour objectif de mettre en perspective recherches approfondies et travail sur le terrain, les luttes concernant l’eau autour en Grèce, y compris la lutte contre la privatisation de la compagnie des eaux de Thessalonique ( EYATH ), contre les mines d’or en Chalcidique et contre les l’accaparement des réserves d’eau locales à Volos et en Crète.</p></br><p>Premières trailers sont visibles dans la page web <a href="http://www.stagonesdoc.gr/en"> du documentaire </a> . Assurez-vous d’activer les sous-titres (anglais ou espagnol) dans le coin supérieur droit du lecteur.</p></br><p>Ce documentaire est filmé par un groupe de cinéastes militants coordonnée par le chercheur Nelly Psarou. Les mêmes personnes ont travaillé sur  » Golfland ?  » il ya quelques années, un document sur l’effet désastreux du développement de terrains de golf sur l’environnement et les communautés locales. Vous pouvez regarder  » Golfland ?  » en ligne <a href="http://www.golfland.gr/en/golfland_movie.php"> ici </a> (Bientôt dans le catalogue Remix ).</p></br><p>Il est fièrement produit en toute indépendance en s’appuyant sur crowdfunding, et le résultat sera librement accessible sous une licence creative commons.<br /></br>Bouton « Donate » sur le fond de la page Web du documentaire.</p>n « Donate » sur le fond de la page Web du documentaire.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Un nouveau documentaire est actue<p>Un nouveau documentaire est actuellement en production, sur les luttes en relation avec l’eau en Grèce. Le titre de travail du documentaire est  » Wa(te)rdrops « , et il a pour objectif de mettre en perspective recherches approfondies et travail sur le terrain, les luttes concernant l’eau autour en Grèce, y compris la lutte contre la privatisation de la compagnie des eaux de Thessalonique ( EYATH ), contre les mines d’or en Chalcidique et contre les l’accaparement des réserves d’eau locales à Volos et en Crète.</p></br><p>Premières trailers sont visibles dans la page web <a href="http://www.stagonesdoc.gr/en"> du documentaire </a> . Assurez-vous d’activer les sous-titres (anglais ou espagnol) dans le coin supérieur droit du lecteur.</p></br><p>Ce documentaire est filmé par un groupe de cinéastes militants coordonnée par le chercheur Nelly Psarou. Les mêmes personnes ont travaillé sur  » Golfland ?  » il ya quelques années, un document sur l’effet désastreux du développement de terrains de golf sur l’environnement et les communautés locales. Vous pouvez regarder  » Golfland ?  » en ligne <a href="http://www.golfland.gr/en/golfland_movie.php"> ici </a> (Bientôt dans le catalogue Remix ).</p></br><p>Il est fièrement produit en toute indépendance en s’appuyant sur crowdfunding, et le résultat sera librement accessible sous une licence creative commons.<br /></br>Bouton « Donate » sur le fond de la page Web du documentaire.</p>n « Donate » sur le fond de la page Web du documentaire.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Un ouvrage incontournable ! </<p>Un ouvrage incontournable ! </p></br><p>La publication du dernier livre de Peter Linebaugh. <a href="http://ift.tt/O62hZa">Stop, Thief!: The Commons, Enclosures, and Resistance</a> (PM Press) avec des chapitres sur Karl Marx, les Luddites, William Morris, Thomas Paine, les peuples autochtones, est prévue pour le 1er mars, mais il est déjà accessible en ibook … par ailleurs auteur de Magna Carta dont on peut trouver l’introduction dans <a href="http://ift.tt/AmSWqc">Libres Savoirs</a>. </p></br><p>A noter que 2015 sera le 800ième anniversaire de la signature de la Magna Carta en Grande Bretagne, une date à commémorer alors que se dérouleront la même année la COP 21 sur le climat, les négociations sur les OMD et que nous serons probablement à la fin de la négociation de l’accord transatlantique (TAFTA).</p>obablement à la fin de la négociation de l’accord transatlantique (TAFTA).</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Un ouvrage incontournable ! </<p>Un ouvrage incontournable ! </p></br><p>La publication du dernier livre de Peter Linebaugh. <a href="http://ift.tt/O62hZa">Stop, Thief!: The Commons, Enclosures, and Resistance</a> (PM Press) avec des chapitres sur Karl Marx, les Luddites, William Morris, Thomas Paine, les peuples autochtones, est prévue pour le 1er mars, mais il est déjà accessible en ibook … par ailleurs auteur de Magna Carta dont on peut trouver l’introduction dans <a href="http://ift.tt/AmSWqc">Libres Savoirs</a>. </p></br><p>A noter que 2015 sera le 800ième anniversaire de la signature de la Magna Carta en Grande Bretagne, une date à commémorer alors que se dérouleront la même année la COP 21 sur le climat, les négociations sur les OMD et que nous serons probablement à la fin de la négociation de l’accord transatlantique (TAFTA).</p>obablement à la fin de la négociation de l’accord transatlantique (TAFTA).</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Video créée par Connor Turland po<p>Video créée par Connor Turland pour la campagne de collecte de fonds pour l’organisation du séminaire « Commons based economy » de Quilligan School of Commoning à Londres</p></br><p>Texte de la vidéo : </p></br><blockquote><p>There are at least 2 major factors at play in the universe.<br /></br>For our purposes we’ll call them Unity … and Diversity.<br /></br>Generally today, we tend to you think that you just can’t have both.<br /></br>And consequently, as a human, you can’t be working towards both. You’re either working towards this. Or this. And that decides which camp you’re in, warring against the other.<br /></br>Predictably, this gets us a net progress of … NOWHERE.<br /></br>The same place that 1 dimensional, polaristic thinking is getting us.<br /></br>So what if we thought in another dimension.<br /></br>Collectively, what we’ve gained over here…we’ve lost over here.<br /></br>The Commons is the word that encompasses all those things that have been depleted to get us where we are today.<br /></br>We are rapidly depleting the social, cultural, intellectual, natural, genetic, and material commons.<br /></br>But can we replenish this…<br /></br>Without losing what we’ve gained?<br /></br>Frankly, millions of people, and institutions, businesses, and even countries already are.<br /></br>And whether everyone knows it or not, we all seem to be converging…<br /></br>On what? … we could call it a Commons-Based Economy.<br /></br>But time is of the essence! As other forces threaten to throw us into a worse dark age than ever.<br /></br>That’s why the people in this campaign are working tirelessly for me AND we to support the emergence of a commons-based economy.<br /></br>Help us help the world as we build a commons for the commons.<br /></br>That means learning resources, a learning platform, and sharing the vital work of James Quilligan, who just gave 12 seminars in 12 days on the emergence of a commons-based economy.<br /></br>It will take all of our collective intentions and intelligence to learn our way together towards the more beautiful world our hearts tell us is possible.<br /></br>To take the human project to the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /></br>Internet, your move.</p></blockquote>next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /> Internet, your move.</p></blockquote>)
  • Chargement/Site  + (<p>Video créée par Connor Turland po<p>Video créée par Connor Turland pour la campagne de collecte de fonds pour l’organisation du séminaire « Commons based economy » de Quilligan School of Commoning à Londres</p></br><p>Texte de la vidéo : </p></br><blockquote><p>There are at least 2 major factors at play in the universe.<br /></br>For our purposes we’ll call them Unity … and Diversity.<br /></br>Generally today, we tend to you think that you just can’t have both.<br /></br>And consequently, as a human, you can’t be working towards both. You’re either working towards this. Or this. And that decides which camp you’re in, warring against the other.<br /></br>Predictably, this gets us a net progress of … NOWHERE.<br /></br>The same place that 1 dimensional, polaristic thinking is getting us.<br /></br>So what if we thought in another dimension.<br /></br>Collectively, what we’ve gained over here…we’ve lost over here.<br /></br>The Commons is the word that encompasses all those things that have been depleted to get us where we are today.<br /></br>We are rapidly depleting the social, cultural, intellectual, natural, genetic, and material commons.<br /></br>But can we replenish this…<br /></br>Without losing what we’ve gained?<br /></br>Frankly, millions of people, and institutions, businesses, and even countries already are.<br /></br>And whether everyone knows it or not, we all seem to be converging…<br /></br>On what? … we could call it a Commons-Based Economy.<br /></br>But time is of the essence! As other forces threaten to throw us into a worse dark age than ever.<br /></br>That’s why the people in this campaign are working tirelessly for me AND we to support the emergence of a commons-based economy.<br /></br>Help us help the world as we build a commons for the commons.<br /></br>That means learning resources, a learning platform, and sharing the vital work of James Quilligan, who just gave 12 seminars in 12 days on the emergence of a commons-based economy.<br /></br>It will take all of our collective intentions and intelligence to learn our way together towards the more beautiful world our hearts tell us is possible.<br /></br>To take the human project to the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /></br>Internet, your move.</p></blockquote>next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /> Internet, your move.</p></blockquote>)
  • Chargement/Site  + (<p>Video that Connor created for the<p>Video that Connor created for the School of Commoning crowdfunding that allowed us to organize the Quilligan seminar series in London.</p></br><p>Text : </p></br><blockquote><p>There are at least 2 major factors at play in the universe.<br /></br>For our purposes we’ll call them Unity … and Diversity.<br /></br>Generally today, we tend to you think that you just can’t have both.<br /></br>And consequently, as a human, you can’t be working towards both. You’re either working towards this. Or this. And that decides which camp you’re in, warring against the other.<br /></br>Predictably, this gets us a net progress of … NOWHERE.<br /></br>The same place that 1 dimensional, polaristic thinking is getting us.<br /></br>So what if we thought in another dimension.<br /></br>Collectively, what we’ve gained over here…we’ve lost over here.<br /></br>The Commons is the word that encompasses all those things that have been depleted to get us where we are today.<br /></br>We are rapidly depleting the social, cultural, intellectual, natural, genetic, and material commons.<br /></br>But can we replenish this…<br /></br>Without losing what we’ve gained?<br /></br>Frankly, millions of people, and institutions, businesses, and even countries already are.<br /></br>And whether everyone knows it or not, we all seem to be converging…<br /></br>On what? … we could call it a Commons-Based Economy.<br /></br>But time is of the essence! As other forces threaten to throw us into a worse dark age than ever.<br /></br>That’s why the people in this campaign are working tirelessly for me AND we to support the emergence of a commons-based economy.<br /></br>Help us help the world as we build a commons for the commons.<br /></br>That means learning resources, a learning platform, and sharing the vital work of James Quilligan, who just gave 12 seminars in 12 days on the emergence of a commons-based economy.<br /></br>It will take all of our collective intentions and intelligence to learn our way together towards the more beautiful world our hearts tell us is possible.<br /></br>To take the human project to the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /></br>Internet, your move.</p></blockquote>o the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /> Internet, your move.</p></blockquote>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Video that Connor created for the<p>Video that Connor created for the School of Commoning crowdfunding that allowed us to organize the Quilligan seminar series in London.</p></br><p>Text : </p></br><blockquote><p>There are at least 2 major factors at play in the universe.<br /></br>For our purposes we’ll call them Unity … and Diversity.<br /></br>Generally today, we tend to you think that you just can’t have both.<br /></br>And consequently, as a human, you can’t be working towards both. You’re either working towards this. Or this. And that decides which camp you’re in, warring against the other.<br /></br>Predictably, this gets us a net progress of … NOWHERE.<br /></br>The same place that 1 dimensional, polaristic thinking is getting us.<br /></br>So what if we thought in another dimension.<br /></br>Collectively, what we’ve gained over here…we’ve lost over here.<br /></br>The Commons is the word that encompasses all those things that have been depleted to get us where we are today.<br /></br>We are rapidly depleting the social, cultural, intellectual, natural, genetic, and material commons.<br /></br>But can we replenish this…<br /></br>Without losing what we’ve gained?<br /></br>Frankly, millions of people, and institutions, businesses, and even countries already are.<br /></br>And whether everyone knows it or not, we all seem to be converging…<br /></br>On what? … we could call it a Commons-Based Economy.<br /></br>But time is of the essence! As other forces threaten to throw us into a worse dark age than ever.<br /></br>That’s why the people in this campaign are working tirelessly for me AND we to support the emergence of a commons-based economy.<br /></br>Help us help the world as we build a commons for the commons.<br /></br>That means learning resources, a learning platform, and sharing the vital work of James Quilligan, who just gave 12 seminars in 12 days on the emergence of a commons-based economy.<br /></br>It will take all of our collective intentions and intelligence to learn our way together towards the more beautiful world our hearts tell us is possible.<br /></br>To take the human project to the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /></br>Internet, your move.</p></blockquote>o the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /> Internet, your move.</p></blockquote>)
  • Chargement/Site  + (<p>We are organising a Barcamp dedic<p>We are organising a Barcamp dedicated to video as commons in Paris <strong>the 4th of october from 14:00 to 18:00 at <a href="http://labodeledition.com/contenu/222/remix-video-tech?symfony=vek5amij7du0s2jsiqjhit6jd2">Labo de l’édition</a> 75005 Paris.<br /></br></strong><br /></br>Documentary production provides a largely untapped source of video, images and audio files. For each documentary produced, many hours of rushes are carried out and a large part will seldom be used. It is estimated that for every documentary produced several dozen hours of rushes for only 52 minutes used.</p></br><p>However, the pooling of rushes could multiply the forms of collaboration such as productions geographically distributed, creations adapted to local contexts, or adopting the point of view of different producers and multiple users for the same subject or content. In addition, the sharing of rushes may be accompanied by other exchanges: tools, know-how, good ideas and ultimately generate new projects.</p></br><p>The idea that these resources can be shared and remixed is the basis of projects such as Remix The Commons and sideways. So we invite directors, producers and users of multimedia content to explore the possibiliies of sharing and re-use in the field the documentary video.</p></br><p><strong>See the details of the <a href="https://www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>We are organising a Barcamp dedic<p>We are organising a Barcamp dedicated to video as commons in Paris <strong>the 4th of october from 14:00 to 18:00 at <a href="http://labodeledition.com/contenu/222/remix-video-tech?symfony=vek5amij7du0s2jsiqjhit6jd2">Labo de l’édition</a> 75005 Paris.<br /></br></strong><br /></br>Documentary production provides a largely untapped source of video, images and audio files. For each documentary produced, many hours of rushes are carried out and a large part will seldom be used. It is estimated that for every documentary produced several dozen hours of rushes for only 52 minutes used.</p></br><p>However, the pooling of rushes could multiply the forms of collaboration such as productions geographically distributed, creations adapted to local contexts, or adopting the point of view of different producers and multiple users for the same subject or content. In addition, the sharing of rushes may be accompanied by other exchanges: tools, know-how, good ideas and ultimately generate new projects.</p></br><p>The idea that these resources can be shared and remixed is the basis of projects such as Remix The Commons and sideways. So we invite directors, producers and users of multimedia content to explore the possibiliies of sharing and re-use in the field the documentary video.</p></br><p><strong>See the details of the <a href="https://www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>)
  • Entretien avec Benjamin Borel de Bou'Sol - Pain et Partage  + (Benjamin Borel est responsable de Bou'Sol Benjamin Borel est responsable de Bou'Sol et Pain et Partage. Le réseau Bou’Sol a été créé en 2013 sous format SCIC. Né de la rencontre et de la mobilisation de l’association Pain et Partage à Marseille, de deux entrepreneurs sociaux (Samuel Mougin et Benjamin Borel) et de différents acteurs de la filière agricole, le réseau Bou’Sol vise à structurer un écosystème lié à la filière blé/farine/pains. Plus précisément Pain et Partage est une boulangerie solidaire qui produit du pain bio, local et solidaire à destination de la restauration collective. Dans la production du pain leur modalité opérationnelle est l'insertion par l'activité économique, ce qui leur permet de croiser la question de l'accessibilité alimentaire avec celle de la création d'emploi.ntaire avec celle de la création d'emploi.)
  • Charte Remix - Version 6 mai 2013  + (Charte de Remix Biens Communs - Version 0.1 - 6 mai 2013)
  • Épisode 2 L'homme augmenté en eau  + (Dans ce podcast Jean-Sébastien Steyer (palDans ce podcast Jean-Sébastien Steyer (paléontologue au CNRS et au MNHN de Paris), Christian Clot (explorateur-chercheur) et Guillaume Levrier (chercheur au CEVIPOF en Politique Comparée) nous parle des possibilités d'adaptation de l'humain dans des conditions de rareté des ressources en eau à la croisée entre démarche scientifique et science-fiction. Chacun avec sa propre perspective, les intervenants approche cette question sous différents angles : technologique, scientifique et comportemental.nologique, scientifique et comportemental.)
  • La charte des engagements d'Eau publique du Grand Lyon  + (Dans cette charte on retrouve les engagemeDans cette charte on retrouve les engagements divisés par points de l'acteur public maintenant en charge de la gestion de l'eau dans la Métropole de Lyon. Ces engagements visent à assurer la qualité et l'accessibilité de l'eau ainsi que la disponibilité et la transparence de l'agence dans la relation avec les usagers ce qui concerne le partage des informations mais aussi la réactivité de la réponse dans le cas où il y ait de problèmes.onse dans le cas où il y ait de problèmes.)
  • Le(s) commun(s) comme mode de production et comme principe politique  + (Dans cette intervention, issue de sa thèseDans cette intervention, issue de sa thèse, Ludovic Bonduel se propose de catégoriser les théories des/du commun(s) en trois groupes : les théories libérales (e.g., Ostrom, Benkler), les théories du/des communs comme mode de production (Bauwens & Kostakis, Hardt & Negri, Vercellone et al.), la théorie du commun comme principe politique (Dardot & Laval). Il interroge notamment les deux derniers ensembles de théories qui, à la différence du premier, considèrent qu’il est possible et souhaitable de dépasser le mode de production capitaliste. Tout en insistant sur la proximité politique entre les deux approches, il examine leurs avantages et limites respectives.es, il examine leurs avantages et limites respectives.)
  • Projet de territoire de gestion de l'eau du bassin du Clain  + (Dans cette vidéo Christine Graval (conseilDans cette vidéo Christine Graval (conseillère régionale de la Vienne), Nicolas Fortin (secrétaire national Confédération Paysanne), Jean-Claude Hallouin (conseiller juridique Vienne Nature) et Jean-Pierre Coillot (vice-président UFC que choisir de la Vienne) présentent le projet territorial de gestion de l'eau du bassin du Clain. Chacun et chacune à partir de sa propre perspective (politique, juridique, sanitaire, agricole) les intervenants nous expliquent les raisons qui ont motivé le lancement de ce projet, ainsi que les défis, les enjeux et les objectifs qui concernent surtout la répartition équitable, l'accessibilité et la qualité de l'eau.e, l'accessibilité et la qualité de l'eau.)
  • La Gestion de l'eau en France  + (Dans cette vidéo de la chaîne Youtube « LeDans cette vidéo de la chaîne Youtube « Le monde de l'hydrobiologie » il nous est expliqué comment la gestion de l'eau s'articule en France. On retrouve une présentation synthétique des trois grandes lois (1964 Gestion de l'eau par grands bassins, 1992 Loi sur l'eau, 2006 Loi sur l'eau et les milieux aquatiques) autour desquelles cette gestion est aménagée. Pour chacune des lois il y a une description des mesures et des organes spécifiques mis en place pour régler la gestion de l'eau. en place pour régler la gestion de l'eau.)
  • Chartes de gouvernance au Sénégal  + (Nous reprenons ici le travail documentatioNous reprenons ici le travail documentation de l'élaboration de deux chartes de gouvernance réalisé par le LARTES IFAN en 2013 dans le cadre des démarches de préfiguration de Remix the commons. </br></br>L'une est la charte de bon voisinage d'une association d'ahabitants d'un quartier à Dakar, et l'autre est la charte de Gouvernance démocratique élaborée tout au long des Assises Nationales du Sénégal qui ont préparé les élections présidentielles au Sénégal en 2009.ctions présidentielles au Sénégal en 2009.)
  • FLOK Society - Séminaire de Villarceaux  + (Comment la réflexion sur la place des commComment la réflexion sur la place des communs de la connaissance inspire-t-elle les forces de la transition ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ? Ce séminaire, loin d'épuiser le sujet, est un moment pour ébaucher les pistes de travail qui permettent de mobiliser les forces de la transition, qu'il s'agisse d'activistes ou de chercheurs, de acteurs publics ou de la société civile.</br></br>Pour explorer ces questions, le séminaire se structure autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Le dialogue sur ces trois axes de travail sera précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps de bilan du séminaire.et suivi d'un temps de bilan du séminaire.)
  • Ateliers populaire de cartographie des communs  + (Les ''Ateliers populaires de cartographie Les ''Ateliers populaires de cartographie des communs'' sont nées dans la dynamique de coalition autour des biens communs de la rencontre Internationale "Economics and the Commons" (Berlin 2013). Celle-ci a révélé la nécessité développer une pratique d'appropriation sociale, culturelle et politique des communs avec les militants africains. Les ''Ateliers populaires de cartographie des communs'' visent à développer la capacité du continent à produire des discours savants à propos des biens communs sur la base de recherche-action susceptibles de rentrer en dialogue avec le reste de la communauté des biens communs et ainsi contribuer au développement d'un mouvement autour des biens communs en Afrique. </br></br>Observations, recherches documentaires, enquêtes et études de cas, focus groupe, ... réalisés avec la population, portant sur l'alimentation, le transport, la Santé, l'environnement, l'information, l'éducation, ... défis actuels qui traversent la société africaine contemporaine, permettent de définir des projets concrets pour révéler les processus de Biens Communs en Afrique. Ces recherches-actions doivent nous permettre de dévoiler les pratiques et les enjeux des biens communs, d'articuler la recherche sur les communs, en Afrique, aux débats généraux sur les définitions et la cartographie des communs d’une part, et, d’autre part, de contribuer à enrichir l’agenda international des communs.richir l’agenda international des communs.)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Publiée le 5 juil. 2013</p><p>Publiée le 5 juil. 2013</p></br><p>Bordeaux Forum de l’Economie Collaborative</p></br><p>4 juillet 2013, au Rocher de Palmer.</p></br><p>Plus d’informations sur le Forum et ses intervenants sur www.bordeaux-economie-collaborative.org</p></br><p>www.facebook.com/BXecocollab</p></br><p>www.twitter.com/BXecocollab</p></br><p>via <a href='https://www.youtube.com/watch?v=XAZnv4IEo9g'>Michel Bauwens – "En route vers de nouveaux territoires économiques" 3/4 – YouTube</a>.</p>4IEo9g'>Michel Bauwens – "En route vers de nouveaux territoires économiques" 3/4 – YouTube</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Publiée le 5 juil. 2013</p><p>Publiée le 5 juil. 2013</p></br><p>Bordeaux Forum de l’Economie Collaborative</p></br><p>4 juillet 2013, au Rocher de Palmer.</p></br><p>Plus d’informations sur le Forum et ses intervenants sur www.bordeaux-economie-collaborative.org</p></br><p>www.facebook.com/BXecocollab</p></br><p>www.twitter.com/BXecocollab</p></br><p>via <a href='https://www.youtube.com/watch?v=XAZnv4IEo9g'>Michel Bauwens – "En route vers de nouveaux territoires économiques" 3/4 – YouTube</a>.</p>4IEo9g'>Michel Bauwens – "En route vers de nouveaux territoires économiques" 3/4 – YouTube</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Publiée le 5 juil. 2013</p><p>Publiée le 5 juil. 2013</p></br><p>Bordeaux Forum de l’Economie Collaborative</p></br><p>4 juillet 2013, au Rocher de Palmer.</p></br><p>Plus d’informations sur le Forum et ses intervenants sur www.bordeaux-economie-collaborative.org</p></br><p>www.facebook.com/BXecocollab</p></br><p>www.twitter.com/BXecocollab</p></br><p>via <a href='https://www.youtube.com/watch?v=XAZnv4IEo9g'>Michel Bauwens – "En route vers de nouveaux territoires économiques" 3/4 – YouTube</a>.</p>4IEo9g'>Michel Bauwens – "En route vers de nouveaux territoires économiques" 3/4 – YouTube</a>.</p>)
  • 19.09 L'engagement du mouvement des communs dans le FSMET Barcelone 2020  + ('''L'Appel en commun de septembre 2019''' '''L'Appel en commun de septembre 2019''' a été dédié à un temps d'échange sur l'engagement du mouvement des communs dans le FSMET. Dans la logique de l'Assemblée Européenne des communs, et du Commons camp, nous sommes nombreux à inscrire le Forum Barcelone juin 2020 (FSMET) à notre agenda pour faire de cette rencontre un point d'étape pour organiser, renforcer et propager des initiatives du mouvement des communs. La préparation a commencé. Ateliers, rencontres sont en cours ou programmées : autour de la cartographie (dès les 24 et 25 septembre à Paris), de l'élaboration et du partage d'outils juridiques des communs urbains, de l'organisation d'un Commons camp en janvier à Marseille. L'appel en commun sera consacré à un partage d'information pour permettre à chacun et chacune de s'engager dans les espaces et avec les acteurs.trices de cette dynamique.vec les acteurs.trices de cette dynamique.)
  • 100 en 1 jour Montréal: la ville comme bien commun  + (100 actions citoyennes le 5 octobre 2013 à Montréal. Un festival de création urbaine durant lequel les citoyens se réapproprient leur ville et y créent un meilleur endroit où vivre." http://www.100en1jourmontreal.com/)
  • Chargement/Site  + (<blockquote> <div class="clearfix<blockquote></br><div class="clearfix with-navigation">This post is a re-publication of the introduction of David Bollier’s blog from <span class="submitted">Monday 01/19/2015. David Bollier is presenting the report of a two-day workshop, “Toward an Open Co-operativism,” held in August 2014 in Germany. This post is translated in the French and available in the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2015/01/the-promise-of-open-co-operativism-david-bollier/">French part of blog Remix The Commons</a>. You can read the introduction below and the original <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">there</a>. </span></div></br><div class="clearfix with-navigation"></div></br></blockquote></br><div id="main" class="clearfix with-navigation"></br><p>Is it possible to imagine a new sort of synthesis or synergy between the emerging peer production and commons movement on the one hand, and growing, innovative elements of the co-operative and solidarity economy movements on the other?</p></br><div id="content" class="column"></br><div class="section"></br><div id="content-area"></br><div id="node-1138" class="node node-type-blog node-promoted build-mode-full clearfix"></br><div class="content"></br><p>That was the animating question behind a two-day workshop, “Toward an Open Co-operativism,” held in August 2014 and now chronicled in <a href="http://bollier.org/open-co-operativism-report">a new report </a>by UK co-operative expert Pat Conaty and me.  (Pat is a Fellow of the New Economics Foundation and a Research Associate of Co-operatives UK, and attended the workshop.)</p></br><p>The workshop was convened because the commons movement and peer production share a great deal with co-operatives….but they also differ in profound ways.  Both share a deep commitment to social cooperation as a constructive social and economic force.  Yet both draw upon very different histories, cultures, identities and aspirations in formulating their visions of the future.  There is great promise in the two movements growing more closely together, but also significant barriers to that occurring.</p></br><p>The workshop explored this topic, as captured by the subtitle of the report:  “A New Social Economy Based on Open Platforms, Co-operative Models and the Commons,” hosted by the Commons Strategies Group in Berlin, Germany, on August 27 and 28, 2014. The workshop was supported by the Heinrich Böll Foundation, with assistance with the Charles Léopold Mayer Foundation of France.</p></br><p>Below, the Introduction to the report followed by the Contents page. You can download a pdf of the full report (28 pages) <a href="http://bollier.org/open-co-operativism-report">here.</a> The entire report is licensed under a Creative Commons Attribution-ShareAlike (BY-SA) 3.0 license, so feel free to re-post it.</p></br><p>Read on <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">David Bollier’s blog </a></p></br></div></br></div></br></div></br></div></br></div></br></div>A) 3.0 license, so feel free to re-post it.</p> <p>Read on <a href="http://bollier.org/blog/promise-%E2%80%9Copen-co-operativism%E2%80%9D">David Bollier’s blog </a></p> </div> </div> </div> </div> </div> </div>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Interview de P<blockquote><p> Interview de Philippe Minard sur l’ouvrage de l’historien britannique E. P. Thompson: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, traduit et publié en français en 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard. Boîte à Idées</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p></br><p>A propos de la Guerre des Forêts, de Edward P. Thompson</p></br><p>L’ouvrage, paru à Londres en 1975, est une enquête vivante d’histoire sociale : au début du XVIIIe siècle, un conflit oppose, d’un côté, les propriétaires et administrateurs de la forêt – celle de Windsor notamment – et, de l’autre, ses usagers. Au point qu’une loi promulguée en 1723 punit de mort certains des usages coutumiers : ce « Black Act », ainsi nommé parce que les braconniers se couvraient le visage de suie, est particulièrement impitoyable : si un vol de cerf est un crime capital, l’abattage de jeunes arbres ou la mutilation du bétail peuvent conduire aussi la potence. Les habitants des forêts opposent, à cette répression « sanguinaire », le droit coutumier des usages collectifs (droits de pâturage, d’extraction de tourbe, d’abattage et de ramassage du bois…).</p></br><p>Ainsi, outre la mise en place d’une évidente « politique de classes », ce que Thompson, grande figure intellectuelle inspirée par le marxisme et pionnier de « l’histoire par le bas », nous oblige à penser, c’est un monde dans lequel survivaient, avant que le XVIIIe siècle ne les arase au profit d’une conception exclusive, des modes et des degrés de propriété fort différents : « Ce qui était en jeu, écrit-il, (…) c’était des définitions concurrentes du droit de la propriété : pour le propriétaire terrien, l’enclosure ; pour le petit paysan, les droits collectifs ; pour les autorités de la forêt, les “chasses gardées” des cerfs ; pour les habitants des forêts, le droit de prélever de la tourbe ».</p></br><p>Selon Philippe Minard, c’est l’un des aspects les plus frappants de cet ouvrage : « Thompson nous aide à penser la diversité des régimes d’accès possibles, tout ce qui existe entre la propriété individuelle et l’absence totale de propriété. » Resurgi dans les années 1970, à la faveur de l’écologie (quand il a fallu déterminer à qui appartenaient les forêts, les océans ou encore l’atmosphère, en passe d’être durablement souillés), ce questionnement s’est poursuivi avec le développement d’Internet. Depuis la fin des années 1990, des activistes se battent contre tout ce qui entrave la circulation et l’appropriation collective des connaissances, en faisant explicitement référence aux pratiques des droits collectifs et des commons. Il se déroule sur le Net, selon eux, ce que Thompson décrivait dans les forêts anglaises : « Un conflit entre les utilisateurs et les exploiteurs. »</p></br><p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>;/p> <p>Extrait de : A l’usage de tous. « La Guerre des forêts », d’Edward P. Thompson dans LE MONDE DES LIVRES | 23.01.2014 | Julie Clarini </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Some experimen<blockquote><p> Some experiments for mapping the commons, from the definitions and brief descriptions of commoning actions or initiatives, with an instance of Chimere installed by Frédéric Léon at Brest. Chimere allows to place on a maps « points of interest » as defined by their geographic coordinates, text + multimedia documents (video , audio, images). Points of interest can be classified into categories organized by families. Maps are defined by selections of geographical zones and categories.<br /></br></ blockquote></p></br><p><iframe width='660' height='350' frameborder='0' scrolling='no' marginheight='0' marginwidth='0' src='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/simple'></iframe><br /><a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons' rel="noopener noreferrer">Agrandir</a> – <a target='_blank' href='http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/edit/' rel="noopener noreferrer">Participer</a></p></br><p>The first idea, starting this experiment was to locate on a map hundred of definitions of the commons made since the Berlin Conference of 2010, and look at how to use this medium as a collective means of expression on the notion of commons. For the test, a douzen of definitions is placed on the map. The integration of all the hundreds of available definitions give more card provided. They are searchable by language. Sorting by tag does not exist. It is the next step we are chalenging. It will allow to make more visible the « issues » generated on the Remix The Commons website. The integration of this map in the site remix is done by widget in a blog post or page. Eventually, the card could be powered by mashup multimedia services.</p></br><p>Second experiment : <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs">mapping documents of commoning practices</a> by category « types of commons » (only with the parents of the categories of Charlotte Hess’ classification, used on the web site Remix the Commons) . The maps can be made by geographical areas. <a href="http://remixthecommons.infini.fr/visages-des-communs">Here</a> a map of a few points in Quebec .</p></br><p>Chimere freely allows the addition of new points of interest by users via <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs/edit" target="_blank" rel="noopener noreferrer">a form</a> pretty simple. Each zone provides to the users a form that allows to classify points of interest by the category of the zone.</p></br><p>At this level, it would be useful to complete chimere with elements such as a device of tags of points of interest, a synchronization of files on the map, a synchronization of the points of interest in the catalog of Remix the Commons.</p></br><p>But to go further, it should be necessary to work on approaches of mapping the commons. The identification of resources is the first degree of a mapping of the commons. Should imagine mapping commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p></br><p>Frédéric Sultan</p>ng commons based modes of administration of resources, or models of distribution of property rights, or value systems attached to commoning practices and certainly other things.</p> <p>Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 mois après l’<blockquote><p>6 mois après l’espace des communs au Forum Social Mondial, notre outil de documentation / jeu de carte sur les communs est prêt à circuler, animer des conversations et vous aider à faire avancer les communs près de chez vous !</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" /></p></br><p>C@rtes en Commun est un jeu où 2 à 5 joueurs collaborant pour construire une société civile résiliente qui défend les communs contre les forces d’accaparement. Outre le plaisir de jouer, C@rtes en commun a été imaginé comme un moyen de documenter la présence des communs à l’Espace de communs, dispositif éphémère de rencontre au Forum Social Mondial à Montréal qui se déroulait en août 2016. Les cartes qui composent le jeu ont été conçues par les personnes présentes volontaires qui ont partagé leur vision et leur expérience des communs sur la base d’un design du jeu réalisé par Mathhieu Rhéaume et son équipe. Cette expérience permet de penser qu’il serait possible d’utiliser une même approche et ces outils méthodologiques pour documenter les communs dans d’autres contextes locaux, votre quartier, ou thématique comme les communs de la connaissance par exemple. Nous avons hâte de pouvoir mener de telles expériences ! </p></br><p>Pour en savoir plus sur le jeu, visitez le <a href="http://cartesencommun.cc/">site Internet</a>. Le jeu est publié à la demande par The Game Crafter aux USA pour le prix de 22,99 $US l’unité plus frais de port et de douane via : <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rtes-en-commun">https://www.thegamecrafter.com/</a> </p></br><p>Pour réduire les frais de port et douane pour les européens, nous lançons une commande groupée et nous espérons que cela ramènera le coût de chaque jeu livré en Europe à environ de 30/35 $US. </p></br><p>Si vous souhaitez participer à cette première commande groupée, <a href="https://goo.gl/forms/UdXsgNWxqklo4bJq2">remplissez le formulaire</a> avant le 18 mars à 20:00 GMT: </p></br><p>Vous devrez aussi versez une avance correspondant uniquement au prix du ou des jeux commandés. Le reste à payer (port et douane) vous sera demandé une fois la commande terminée, lorsque nous connaîtrons les coûts des frais postaux et de douane. </p></br><p>Ensuite, soyez patient ! La commande groupée sera initiée le 18 mars et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 months after <blockquote><p>6 months after the World Social Forum, our Documentation / Card Play tool on the commons is ready to circulate, to animate conversations and to help you to move the commons close to you!</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" /></p></br><p>C@rds in Common is a game where 2 to 5 players collaborate to build a resilient civil society that defends the commons against the forces of monopolization. Apart from the pleasure of playing, C@rds in common was conceived as a means of documenting the presence of the commons at the Commons Space, an ephemeral encounter at the World Social Forum in Montreal in August 2016. The cards that composed the game were designed by volunteers who shared their vision and experience of the commons and the game mecanism designed by Mathieu Rhéaume and his team. This experience suggests that it would be possible to use the same approach and these methodological tools to document the commons in other local contexts, alike your neighborhood, or thematics as the commons of knowledge for example. We look forward to such experiments!</p></br><p>To learn more about the game, have a look at the <a href="http://cartesencommun.cc">website</a>.</p></br><p>The game is released on demand by The Game Crafter in the US for $ 22.99 each plus shipping and customs via: <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rds-in-common">https://www.thegamecrafter.com</a></p></br><p>To reduce shipping and customs for Europeans, we are launching a bulk order and hopefully this will bring the cost of each game delivered to Europe to around US $ 30/35.</p></br><p>If you wish to participate in this first bulk order, fill in <a href="https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfVa7DsY3rbjkxPoui-KzHqpPtmhhV1_KBstEMebKWVceaPnQ/viewform?c=0&w=1">the form</a> before March 18th at 20:00 GMT.</p></br><p>You will also have to pay an advance corresponding only to the price of the game(s) ordered. The remainder to be paid (port and customs) will be asked when the order is completed, when we will know the costs of postage and customs.</p></br><p>Then, be patient! The group order will be initiated on 19 March and will arrive in Paris during the month of April. As soon as they arrive in Paris, the games will be mailed to their recipients.</p>>Then, be patient! The group order will be initiated on 19 March and will arrive in Paris during the month of April. As soon as they arrive in Paris, the games will be mailed to their recipients.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #1</em>, is the first serie of 20 videos and remixes of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The commons</em></a>. This serie has been gathered at the <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin, November 1 and 2, 2010,</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world.</p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings.</p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ork of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #3</em>, is the third serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 16 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #2</em>, is the second serie of 10 videos of definitions of the commons, (presented below), produced by Communautique and VECAM for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a>. This serie has been gathered at the World Science and Democracy Forum, organized at Dakar in February 2011, </p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>hase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Defin<blockquote><p><em>Define the commons #5</em>, is the fifth serie of short videos of definitions of the commons, produced by Communautique and Gazibo for <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Define The Commons</em></a>. It contains 12 capsules presented below. This serie has been gathered at the Internationale conference <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> , co-organized by <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, the <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> and <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> Foundations and <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, in Berlin, May 24 and 25, 2013.</p></blockquote></br><h3>Presentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Define The Commons</em></a> is a multilingual project sharing definitions of commons. It is a process of collecting spontaneous and very brief definitions of the commons, made over several years and in different places around the world. </p></br><p>The project started in the first by interviewing people during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Böll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to define the commons with just one sentence in their own langage. Since 2010, many other definitions have been collected during other meetings. </p></br><h3>Future developpement</h3></br><p>Collection of the definitions of the commons continues. It is open to individuals and organizations contributions to define the paradigm of the commons. Publications and uses of the collection of definitions are in preparation, such as a mapping of the definitions of the commons. This project will also contribute to the creation of a glossary of commons through the identification of the terms used in the definitions.</p></br><p>If you want to participate, please sent an email to Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) or Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com). </p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>This initiative is an idea of Alain Ambrosi. Join contributors in the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki-page</a>.</p></br><h3>Funding</h3></br><p>The project have been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p></br><h3>Contribution of Remix The Commons</h3></br><p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>ve been launched within the framework of the prototyping phase of <em>Remix The Commons</em> supported by the International Organization of Francophonie and the Foundation for the Progress of Human (FPH).</p> <h3>Contribution of Remix The Commons</h3> <p>Remix The Commons is the methodological and technical support of this approach.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la quatrième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la troisième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 16 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #1</em>, est la première série de 20 capsules vidéos et remix de définitions des communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les communs</em></a>. Cette série à été réalisée à l’occasion de la <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Commons (ECC)</a> co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a> à Berlin les 1er et 2 novembre 2010,</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #5</em>, est la cinquième série de courtes vidéos de définitions des biens communs produite par Communautique et Gazibo pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Elle est composée de 12 capsules vidéos présentées ci-dessous. Cette série à été réalisée à l’occasion de la conférence Internationale <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a> co-organisée par le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, les Fondations <a href="http://www.boell.de">Heinrich Böll</a> et <a href="http://www.fph.ch">Charles Leopold Mayer Pour le Progrès de l’Homme</a> et <a href="http://remixthecommons.org">Remix The Commons</a>, qui se déroulait à Berlin en mai 2013.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète. </p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit. Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui le souhaite qui peut contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions. </p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p> cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><em>Défin<blockquote><p><em>Définir les biens communs #2</em>, est la deuxième série de 10 capsules vidéos de définitions des biens communs (visibles ci-dessous), produite par Communautique et VECAM pour le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun">projet <em>Définir les biens communs</em></a>. Cette série a été réalisée à l’occasion du Forum Mondial Sciences et Démocratie qui se déroulait à Dakar en Février 2011.</p></blockquote></br><h3>Présentation</h3></br><p><a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun&action"><em>Définir les biens communs</em></a> est un projet multilingue de partage et de remix de définitions des biens communs très brèves et spontanées, collectées sur plusieurs années et dans différents lieux tout autour de la planète.</p></br><p>Le recueil des définitions a commencé lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">Conférence Internationale sur les Communs (ECC)</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Böll et le<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à exprimer, si possible en une seule phrase, et dans leur propre langue, leur définition des biens communs. Depuis 2010, un grand nombre de définitions ont été recueillies à l’occasion d’autres rencontres.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La collecte de définitions des biens communs se poursuit.  Elle est ouverte à chaque personne et organisation qui souhaite contribuer à la définition collective du paradigme des biens communs. Des publications et exploitations de ce fond documentaire sont en préparation, telle que la mise en place d’une cartographie interactive des définitions. Ce projet contribuera aussi à la constitution d’un glossaire des biens communs à travers l’identification des termes utilisés par les contributeurs dans leurs définitions.</p></br><p>Pour participer à ce projet envoyer un message à Alain Ambrosi (ambrosia/at/web.ca) ou bien Frédéric Sultan (fredericsultan/at/gmail.com).</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Cette initiative est une idée d’Alain Ambrosi. Retrouver les contributeurs sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Definir_le_bien_commun"> wiki</a>.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet a été réalisé dans le cadre de la phase de prototypage de Remix The Commons soutenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p></br><h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>tenue par l’Organisation Internationale de la Francophonie et la Fondation Pour le Progrès de l’Homme.</p> <h3>Contribution de Remix Biens Communs</h3> <p>Remix est le support méthodologique et technique de cette démarche.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p><strong>E<blockquote><p><strong>Entrevue avec Joan Subirats(1) par Alain Ambrosi Mai 2018 </strong></p></blockquote></br><blockquote><p>Joan Subirats est commissaire à la culture de la ville de Barcelone, dirigée par le groupe Barcelona en comu. Il est également professeur de sciences politiques à l’Universitat autonoma de Barcelona et fondateur de l’Institut sur la gouvernance et les politiques publiques (IGOP). Dans cette interview en anglais, il présente les enjeux de la politique culturelle pour la municipalité de Barcelone actuellement dirigée par Barcelona en Comù.</p></blockquote></br><figure style="width: 800px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="800" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>nnual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>A must read ! &<blockquote><p>A must read !</br></p></blockquote></br><p>PM Press has published the last book of Peter Linebaugh: <a href=" http://ift.tt/O62hZa ">Stop, Thief: The Commons, Enclosures, and Resistance</a>. </p></br><p> with chapters on Karl Marx, the Luddites, William Morris, Thomas Paine, indigenous peoples, is scheduled for March 1, but it is already available in ibook also … author of Magna Carta which can be found in the introduction of<a href="http://ift.tt/AmSWqc"> Libres Savoirs </a>.</p></br><p>Note that 2015 will be the 800th anniversary of the signing of the Magna Carta in Britain. It is a date to commemorate in 2015, while the same year will take place the COP 21 climate negotiations, the MDGs and probably, at the same time will happen the end of the negotiation of the transatlantic agreement (TAFTA). </p>and probably, at the same time will happen the end of the negotiation of the transatlantic agreement (TAFTA). </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>A workshop <<blockquote><p>A workshop <a href="http://mappingthecommons.net/">mapping the commons</a> will take place at Rio (Brazil) from 18 to 26 of october 2013, coordinated by <a href="http://hackitectura.net/">Pablo de Soto</a> with the collaboration of <a href="http://www.bernardogutierrez.es/">Bernardo Gutiérrez</a> and the support of MediaLab (Madrid).</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/Nrtbi9gbuWw?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Mapping the commons was developed by Pablo Soto. This initiative aims to produce with inhabitants, activists in the place, living maps, consisting of short video documentaries and vidéoposts. The proposed approach takes the form of an intense multi-day workshop with communication students and activists to find the Commons, define and make them visible in the territory by producing media that form the map.</p></br><p>Pablo Soto initiated this approach around urban commons of <a href="http://mappingthecommons.net/map-of-istanbul-commons/">istanbul</a> and <a href = "http://mappingthecommons.net/map-of-athens-commons/"> Athens </ a>. See the work done about <a href="http://mappingthecommons.net/taksim-square/"> Taksim Square </a>, whose privatization was one of the starting points of protest in Turkey this year. The mapping is a strategic tool. To research of the urban commons is a process of mapping the space, that Pablo Soto understand « as proposed by Deleuze and Guattari, and used many artists and activists during the last decade, as a <a href="http://cartografiaciudadana.net/athenscommons/auto.php"> performance</a> which can be thinking, artistic work, or social change ».</p></br><p>On 20 March 2013, a wikisprint was performed in Barcelona using the same principles and methodology . Under the title  » Global P2P  » , it was to map Common practices and P2P in Latin America and southern Europe. See in English <a href=" http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/08/07/globalp2p-the-wind-that-shook-the-net/"> # GlobalP2P , the wind that shook the net </a>.</p></br><p>Rio next step Mapping the commons is one of the cities that comes from living like the rest of Brazil, an intense social and political mobilization against international festivities that tend to <a href= "http:// scinfolex.wordpress.com/?s=Olympic"> privatize public space </a>. Many consider these mobilizations, their claims and modes of organization fall within the paradigm of Commons. See analysis on the subject of Bernardo Gutierrez in <a href="http://blogs.20minutos.es/codigo-abierto/2013/05/23/globalp2p-el-viento-que-desordeno-las-redes/">el viento that desordeno las redes</a> and Alexandre Mendes in <a href ="http://uninomade.net/tenda/a-atualidade-de-uma-democracia-das-mobilizacoes-e-do-comum/"> A atualidade uma das democracia mobilizacoes do comum e</a>.</p></br><p>To go further , we recommand to read the article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop"> Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul </a> , Pablo De Soto, Daphne Dragona , Aslihan Şenel , Demitri Delinikolas José Pérez de Lama</p>lt;p>To go further , we recommand to read the article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop"> Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul </a> , Pablo De Soto, Daphne Dragona , Aslihan Şenel , Demitri Delinikolas José Pérez de Lama</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>An experience o<blockquote><p>An experience of self-management of computational infrastructure, that allows organizations to embed digital sovereignty into their thinking on transition and take action!</p></blockquote></br><p>Together with other individuals and organizations, and in collaboration with <a href="https://www.koumbit.org/">Koumbit</a>, Remix the commons is developing a collective response to the need for digital tools and infrastructures. The idea is to ensure full digital sovereignty over our work, exchanges and data in coherence with the vision set out in the Charter for Building a Data Commons for a Free, Fair and Sustainable Future.</p></br><p>After having tested with Koumbit, an independent and solidary hosting company in Montreal, our ability to set up and manage some tools based on open source and the commons on a shared server, we designed a cooperation system based on a model similar to that of AMAPs, which we call the « Konbit numerique », in reference to the konbit of Haitian farmers. <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Konbit">Konbit</a> numerique is a prototype of « computational commons » for commoners’ projects. It proposes a working infrastructure that makes it possible to gradually achieve the objectives of independence and sovereignty on information and communication technology.</p></br><p>Our Konbit numerique consists of a group of identified users and a server administrator, Koumbit cooperator. It is based on a 6 TB server hosted by Koumbit in Montreal (<a href="https://nuage.en-commun.net">https://nuage.en-commun.net)</a>, in which are installed the applications we need, tools based on open source and commons: file sharing, calendars, task management, online editing of text documents, table, email,… and most importantly for us a wiki farm. This is coverering a large part of the current digital uses of our organizations.</p></br><p>Users are involved in the governance, and as much as possible in maintenance. The work of the server administrator is handled by the collective through a monthly intervention time credit system. This includes, in addition to the time dedicated to server maintenance, time reserved for future technical developments that will be allocated according to the Konbit’s needs. The idea is therefore to jointly pre-finance a digital infrastructure dedicated to the collective. This infrastructure is not based on capitalist logic. It does not seek to make more profit in the perspective of extraction, but to satisfy the needs of the collective. It allows us to start a process to degoogling our digital practices.</p></br><p>Each person involved in the projects of the partners, stakeholders of this initiative, has access to this space and uses it within the framework of their activities in relation to the commons. Each partner can contribute to the life and development of the konbit by subscribing one or more shares of solidarity support (suggested amount: 15 € – 20 $CAD per month, or according to the budgets and needs of the projects), and according to the principle which aims to decouple use and trade (principle 3 of the Charter mentioned above). We have set ourselves the objective of gradually expanding the first collective to a balance between technical need/capacity and finance/governance. It is estimated that about 20 members would be an interesting size of the collective. Then other Konbits could be created and allow a federated type of operation.</p></br><p>The konbit numerique is not an open structure like a Chaton (online service open to all), or an alternative hoster, but an experience of self-management of computational infrastructure by its users. It is still a little early to draw lessons from this approach, but it is likely that this initiative allows organizations to embed digital sovereignty into their thinking on transition and take action. We hope that accompanying such processes could be a challenge of interest to free software activists.</p>hinking on transition and take action. We hope that accompanying such processes could be a challenge of interest to free software activists.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>As Alain Ambros<blockquote><p>As Alain Ambrosi wrote in 2012, « <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Le_bien_commun_est_sur_toutes_les_l%C3%A8vres" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Commons is on everyone’s lips</a>« 1. In order to make this notion known and to avoid its dilution in sometimes too vague speeches, the collective Remix the Commons endeavors to decipher the practices and to sketch out the semantic and conceptual field of the movement of the commons from the collection and analysis of the documents it produces. The development of this vocabulary, which uses the tools of the semantic web, makes it possible to link the initiatives of documentation and promotion of the commons without erasing what makes their identities unique. By doing that, the movement of the commons has a space for strategic collaboration.</p></blockquote></br><figure id="attachment_4643" aria-describedby="caption-attachment-4643" style="width: 1024px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-large wp-image-4643" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/alaina-buzas-Samburu-vocabulary--1024x681.jpg" alt="By Alaina Buzas " width="1024" height="681" /><figcaption id="caption-attachment-4643" class="wp-caption-text">By Alaina Buzas</figcaption></figure></br><p>It is in 2010 that Remix the Commons initiates a process of documentation of the commons. Initially, the collective has a simple web site to identify and report content, mostly video, accessible online. At the same time, an initial series of video interviews was conducted at an international meeting in Berlin (2010). Others will follow the rhythm of World Social Forums or local initiatives in France, Senegal, Quebec first, and then in many countries on different continents. It quickly becomes necessary to allow each person to search by using key words in this documentation.</p></br><h1>From key words to the commons vocabulary</h1></br><p>When cataloging media objects on the Remix the Commons wiki (more than 500 media objects now), we describe the content of each production according to four axes which helps to position it in the field of the commons: object or resource to be commonified, stakes, associated actions and expected results. To date, more than 400 « key concepts » have been identified from the corpus gathered on the site. After that, ech concept is a card that uses the information on the Remix the Commons wiki, but also data from other sources accessible by using linking techniques by wikis and the semantic web. From each record, the user accesses information from the main documentary collections associated with the commons (P2P Foundation, Transformap, Digital Library of the Commons) and the large reference databases DBpedia, Wikidata, VIAF And WorldCat. Each concept is accompanied by definitions in several languages, resources published around the world that illustrate the point or refer to practices.</p></br><p>This set of key concepts provides a vivid and moving description of the world from the point of view of the commons. This collection is freely accessible, usable by all and open to contribution. Although this work is still at an experimental stage, it opens up interesting perspectives in terms of research, the production and the dissemination of knowledge about the commons. Holes, gaps and nuances between sources of information, between languages and cultures can be identified, documented and discussed among the actors involved in the field of the commons.</p></br><p>The vocabulary of the commons highlighted can support the emerging practices and contribute to the enrichment of the contents in Wikipedia and Wikidata, for example. The associations and collectives that contribute to the documentation of the commons, have there a resource that allows them to collaborate on the production of informational commons on the commons.</p>te to the documentation of the commons, have there a resource that allows them to collaborate on the production of informational commons on the commons.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Avec la mise en<blockquote><p>Avec la mise en ligne de 76 clips vidéo, totalisant environ 8 heures de visionnement, réalisée lors de la conférence internationale <em>Economic and the Commons</em> à Berlin, Remix Biens Communs propose deux nouveaux dossiers sur les communs et complète la collection des capsules vidéos sur les définitions des biens communs.</p></blockquote></br><p>Le premier dossier a pour sujet <a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYR3nlESkj73h8CLnDhh2kY">Économies et Communs</a>. Il est composé de 13 vidéos sous forme d’entrevues individuelles ou de tables rondes avec les intervenants et les animateurs de la conférence. Ces conversations complètent et approfondissent les sujets abordés lors de la conférence : Terre et Nature, Travail, Connaissance, Culture et Sciences en Communs, Monnaie, Marché, Valeur et Communs et Infrastructures pour les communs. Leur durée varie entre 5 et 35 minutes et totalisent 5 heures de visionnement.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYA3AHFtDOUCQCcCvEzkn-S">Un agenda pour les Communs</a> comprend 11 vidéos qui explorent les enjeux des communs autour des thèmes comme l’éducation et la culture des communs, la recherche, la dimension politique et le rapport à l’État. Leur durée totale est de 3 heures et 10 minutes.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkatF08AS-5t1PJSU35khJ3S">Define/définir/definir les Communs</a> comprend 53 nouvelles brèves vidéos répondant à la question : « si vous aviez à définir les Communs en une phrase, quelle serait-elle? ». La plupart de ces entrevues sont en anglais, mais 28 sont aussi dans la langue originale du participant. La série de vidéos Define/définir/definir les Communs avait été inaugurée durant la conférence de Berlin de novembre 2010 et s’est enrichie au cours de différentes rencontres internationales de mouvement sociaux à travers le monde. La série compte maintenant 100 clips.</p></br><p>Les 76 clips vidéo produits à l’occasion de la conférence de Berlin totalisent environ 8 heures de visionnement. Ils se veulent une contribution à la documentation de la conférence et viennent ainsi en complément à l’excellent<a href="http://www.boell.de/sites/default/files/ecc_report_final.pdf">rapport réalisé par David Bollier</a> et aux <a href="http://commonsandeconomics.org">sites de la conférence</a> de la Fondation Henrich Boell.</p></br><p>L’inscription de tous les clips dans le catalogue Remix The Commons facilite la consultation et la recherche dans cette collection, par exemple par sujet, intervenant, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.</p></br><p>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</p>, ou langue. Elle nous permet aussi de rendre disponibles les rushes des vidéos pour de nouveaux usages que nous espérons aussi nombreux que variés.</p> <p>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>By posting the <blockquote><p>By posting the 76 clips of the video interviews totalling 8 hours run time, produced at the Berlin <em>Economics and the Commons conference</em>, Remix the Commons initiates two new series on the Commons while adding to the already existing series on the definitions of the Commons.</p></blockquote></br><p>The first series named <a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYR3nlESkj73h8CLnDhh2kY">Economics and the Commons </a>includes 13 video individual interviews and round table discussions facilitated by us or the event organisers. The themes chosen reflect the conference streams on topics like: Natural commons management; Working and Caring; Knowledge,Culture and Science; Money, Market and Value; Infrastructures. Their duration varies between 5 and 35 minutes and the series totals 5 hours run time.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkYA3AHFtDOUCQCcCvEzkn-S">An Agenda for the Commons</a> includes 11 videos covering themes such as education and the culture of the Commons, research, the political dimension and the relationship to the State.They total 3 hours and 10 minutes.</p></br><p><a href="http://www.youtube.com/playlist?list=PLiO9RvnsUfkatF08AS-5t1PJSU35khJ3S">Define/définir/definir the Commons</a> is composed of 53 short interviews responding to the question : « If you had to define the Commons in one sentence, what would it be?” Most of the interviews are in English, but 28 of them are in the original language of the participant. This series was begun at the 2010 Berlin conference and has been enriched during several international meetings of different social movements around the world since then. The series counts more than a hundred clips now.</p></br><p>The 76 clips of the video interviews done at the ECC in Berlin totals around 8 hours run time. Their aim is to contribute to documenting the conference, and they should thus be seen as a complement to the <a href="http://www.boell.de/sites/default/files/ecc_report_final.pdf">excellent report</a> by David Bollier and the <a href="http://commonsandeconomics.org">websites</a> prepared by the Heinrich Boell Foundation</p></br><p>All the clips have been catalogued on the Remix The Commons platform allowing for consultation, research by topics, contributors, language. Each entry allows also an access to the rushes for potential new uses and remix.</p></br><p>Alain Ambrosi and Frédéric Sultan</p>wing for consultation, research by topics, contributors, language. Each entry allows also an access to the rushes for potential new uses and remix.</p> <p>Alain Ambrosi and Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Comme l’écrivai<blockquote><p>Comme l’écrivait Alain Ambrosi en 2012, « <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Le_bien_commun_est_sur_toutes_les_l%C3%A8vres" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Le bien commun est sur toutes les lèvres</a> ». Pour faire connaître cette notion, et aussi éviter sa dilution dans des discours parfois trop flous, le collectif Remix the Commons s’attache à décrypter les pratiques et à esquisser les contours du champ sémantique et conceptuel du mouvement des communs à partir de la collecte et de l’analyse des documents qu’il produit. L’élaboration de ce vocabulaire, qui utilise les outils du web sémantique, permet de relier entre elles les initiatives de documentation et de promotion des communs sans gommer ce qui fait leurs identités propres. Ce faisant, le mouvement des communs se dote d’un espace de collaboration stratégique.</p></blockquote></br><figure id="attachment_4643" aria-describedby="caption-attachment-4643" style="width: 1024px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-large wp-image-4643" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/alaina-buzas-Samburu-vocabulary--1024x681.jpg" alt="By Alaina Buzas " width="1024" height="681" /><figcaption id="caption-attachment-4643" class="wp-caption-text">By Alaina Buzas</figcaption></figure></br><p>C’est en 2010 que Remix the Commons initie une démarche de documentation des communs. Au départ, le collectif s’est doté d’un simple site web pour identifier et signaler des contenus, vidéo pour la plupart, accessibles en ligne. Parallèlement une première série d’interviews vidéos est réalisée à l’occasion d’une rencontre internationale à Berlin (2010). D’autres suivront au rythme des forums sociaux mondiaux ou d’initiatives locales en France, au Sénégal, au Québec d’abord, puis dans de nombreux pays sur plusieurs continents. Rapidement, il devient nécessaire de permettre à chacun de faire des recherches à partir de mots clefs dans cette documentation.</p></br><h1>Des mots clefs au vocabulaire des communs</h1></br><p>Lors du catalogage d’objets médias sur le wiki de Remix the Commons (plus de 500 objets médias), nous décrivons le contenu de chaque production selon quatre axes qui aide à la positionner dans le champ d’action des communs : objet/ressource du commun, enjeux associés, actions et résultats attendus. Jusqu’à ce jour, plus de 400 « concepts clés » ont été identifiés à partir du corpus réuni sur le site. À leur tour, les concepts fontt l’objet de fiches qui utilisent les informations présentes sur le wiki de Remix the Commons, mais aussi celles en provenance d’autres sources d’information, en recourant pour ce faire aux techniques de liaison de données offertes par les wikis et le web sémantique. À partir de chaque fiche, l’utilisateur accède à l’information en provenance des principales collections documentaires associées aux Communs (P2P Foundation, Transformap, Digital Library of the Commons) et des grandes bases de données de référence que sont DBpedia, Wikidata, VIAF et WorldCat. Chaque concept est assorti de définitions dans plusieurs langues, de ressources publiées à travers le monde entier qui illustrent le propos ou renvoient vers des pratiques.</p></br><p>Cet ensemble de concepts clefs fournit une description vivante et mouvante du monde du point de vue des communs. Cette collection est librement accessible, utilisable par tous et ouverte à la contribution. Bien que ce travail en soit encore à une étape d’expérimentation, il ouvre sur des perspectives intéressantes tant sur le plan de la recherche, de la production de la connaissance que sur celui de la diffusion des savoirs sur les communs. Les trous, les écarts et les nuances entre les sources d’information, entre les langues et les cultures peuvent être identifiés, documentés et discutés entre les acteurs engagés sur le terrain des communs.</p></br><p>Le vocabulaire des communs ainsi mis en évidence peut appuyer les pratiques et contribuer à l’enrichissement des contenus dans Wikipedia et Wikidata, par exemple. Les associations et les collectifs qui contribuent à la documentation des communs, disposent ainsi d’une ressource qui leur permet de collaborer autour de la production de communs informationnels.</p>r permet de collaborer autour de la production de communs informationnels.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Comme l’écrivai<blockquote><p>Comme l’écrivait Alain Ambrosi en 2012, « <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Le_bien_commun_est_sur_toutes_les_l%C3%A8vres" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Le bien commun est sur toutes les lèvres</a> ». Pour faire connaître cette notion, et aussi éviter sa dilution dans des discours parfois trop flous, le collectif Remix the Commons s’attache à décrypter les pratiques et à esquisser les contours du champ sémantique et conceptuel du mouvement des communs à partir de la collecte et de l’analyse des documents qu’il produit. L’élaboration de ce vocabulaire, qui utilise les outils du web sémantique, permet de relier entre elles les initiatives de documentation et de promotion des communs sans gommer ce qui fait leurs identités propres. Ce faisant, le mouvement des communs se dote d’un espace de collaboration stratégique.</p></blockquote></br><figure id="attachment_4643" aria-describedby="caption-attachment-4643" style="width: 1024px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-large wp-image-4643" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/alaina-buzas-Samburu-vocabulary--1024x681.jpg" alt="By Alaina Buzas " width="1024" height="681" /><figcaption id="caption-attachment-4643" class="wp-caption-text">By Alaina Buzas</figcaption></figure></br><p>C’est en 2010 que Remix the Commons initie une démarche de documentation des communs. Au départ, le collectif s’est doté d’un simple site web pour identifier et signaler des contenus, vidéo pour la plupart, accessibles en ligne. Parallèlement une première série d’interviews vidéos est réalisée à l’occasion d’une rencontre internationale à Berlin (2010). D’autres suivront au rythme des forums sociaux mondiaux ou d’initiatives locales en France, au Sénégal, au Québec d’abord, puis dans de nombreux pays sur plusieurs continents. Rapidement, il devient nécessaire de permettre à chacun de faire des recherches à partir de mots clefs dans cette documentation.</p></br><h1>Des mots clefs au vocabulaire des communs</h1></br><p>Lors du catalogage d’objets médias sur le wiki de Remix the Commons (plus de 500 objets médias), nous décrivons le contenu de chaque production selon quatre axes qui aide à la positionner dans le champ d’action des communs : objet/ressource du commun, enjeux associés, actions et résultats attendus. Jusqu’à ce jour, plus de 400 « concepts clés » ont été identifiés à partir du corpus réuni sur le site. À leur tour, les concepts fontt l’objet de fiches qui utilisent les informations présentes sur le wiki de Remix the Commons, mais aussi celles en provenance d’autres sources d’information, en recourant pour ce faire aux techniques de liaison de données offertes par les wikis et le web sémantique. À partir de chaque fiche, l’utilisateur accède à l’information en provenance des principales collections documentaires associées aux Communs (P2P Foundation, Transformap, Digital Library of the Commons) et des grandes bases de données de référence que sont DBpedia, Wikidata, VIAF et WorldCat. Chaque concept est assorti de définitions dans plusieurs langues, de ressources publiées à travers le monde entier qui illustrent le propos ou renvoient vers des pratiques.</p></br><p>Cet ensemble de concepts clefs fournit une description vivante et mouvante du monde du point de vue des communs. Cette collection est librement accessible, utilisable par tous et ouverte à la contribution. Bien que ce travail en soit encore à une étape d’expérimentation, il ouvre sur des perspectives intéressantes tant sur le plan de la recherche, de la production de la connaissance que sur celui de la diffusion des savoirs sur les communs. Les trous, les écarts et les nuances entre les sources d’information, entre les langues et les cultures peuvent être identifiés, documentés et discutés entre les acteurs engagés sur le terrain des communs.</p></br><p>Le vocabulaire des communs ainsi mis en évidence peut appuyer les pratiques et contribuer à l’enrichissement des contenus dans Wikipedia et Wikidata, par exemple. Les associations et les collectifs qui contribuent à la documentation des communs, disposent ainsi d’une ressource qui leur permet de collaborer autour de la production de communs informationnels.</p>r permet de collaborer autour de la production de communs informationnels.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>From the 15th-1<blockquote><p>From the 15th-17th of November 2016 a European Commons Assembly will take place in Brussels. The commoners will convene, discuss, showcase, and reclaim Europe. On the afternoon of the 16th, around 150 will partcipate in a meeting in the European Parliament, organized in cooperation with the EP intergroup on Common Goods and Public Services (Led by Marisa Matias, Dario Tamburrano, Ernesto Urtasun, Sergio Cofferati). A variety of other events (and local assemblies) will take place outside Parliament, both in Brussels and across Europe.</br></p></blockquote></br><p><H1>Networking, unity and policy around the commons paradigm </H1></p></br><p>On September 26, a group of nonprofits, foundations, and other civil society organizations jointly publish a “Call for a European Commons Assembly” (https://europeancommonsassembly.eu/#section1). The collectively drafted document, which continues to garner signatures from groups and individuals around Europe, serves as a declaration of purpose for a distributed network of “commoners.”<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2016/09/ECA-300x212.jpg" alt="eca" width="900" height="636" class="aligncenter size-medium wp-image-4561" /><br /></br>Author: TILL GENTZSCH</p></br><p>The Assembly seeks to unite citizens in trans-local and trans-european solidarity to overcome Europe’s current challenges and reinvigorate the political process for the 21st century. The commons can be understood as a bridging paradigm that stresses cooperation in management of resources, knowledge, tools, and spaces as diverse as water, Wikipedia, a crowdfund, or a community garden. Their Call describes commoning as:</p></br><ul></br>…the network-based cooperation and localized bottom-up initiatives already sustained by millions of people around Europe and the world. These initiatives create self-managed systems that satisfy important needs, and often work outside of dominant markets and traditional state programmes while pioneering new hybrid structures.</ul></br><p> The Assembly emerged in May from a diverse, gender balanced pilot community of 28 activists from 15 European countries, working in different domains of the commons. New people are joining the Assembly every week, and ECA is inclusive and open for others to join, so that a broad and resilient European movement can coalesce. It seeks to visibilize acts of commoning by citizens for citizens, while promoting interaction with policy and institutions at both the national and European levels. </p></br><p><H1>Part of a broader movement</H1><br /></br>The rapid embrace of commons as an alternative holistic, sustainable and social worldview is in part an expression of unease with the unjust current economic system and democratic deficiencies. The commons movement has exploded in recent years, following the award of the Nobel Prize in Economics to Elinor Ostrom in 2009 for her work on managing common resources. It has also seen overlap with other movements, such as the Social and Solidarity and Sharing Economy movements, peer to peer production, and Degrowth.</p></br><p>Michel Bauwens, part of the ECA who is also a prominent figure in the peer-to-peer movement, explains: <em>All over the world, a new social movement is emerging, which is challenging the ‘extractive’ premises of the mainstream political economy and which is co-constructing the seed forms of a sustainable and solidary society. Commoners are also getting a voice, for example through the Assemblies of the Commons that are emerging in French cities and elsewhere. The time is ripe for a shoutout to the political world, through a European Assembly of the Commons.</em></p></br><p>The Call includes an open invitation to Brussels from November 15 to 17, 2016 for three days of activities and shared reflection on how to protect and promote the commons. It will include an official session in the European Parliament, hosted by the Intergroup on Common Goods and Public Services, on November 16 (limited capacity). </p></br><p>You can read and sign the full text of the Call, also available in French, Spanish, and soon other European languages, on the <a href="http://europeancommonsassembly.eu">ECA website</a>. There is an <a href="http://europeancommonsassembly.eu/sign-call/">option to sign</a> as an individual or an organization.</p></br><p>For more information, visit <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/ </a> or follow @CommonsAssembly on Twitter for regular updates.</p></br><p><strong>Media Contact: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu<br /></br></strong><br /></br>Keywords: Commons, European, Citizens, Parliament, Participatory Democracy, Civil Society</p>/ </a> or follow @CommonsAssembly on Twitter for regular updates.</p> <p><strong>Media Contact: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu<br /> </strong><br /> Keywords: Commons, European, Citizens, Parliament, Participatory Democracy, Civil Society</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Interview Joan <blockquote><p>Interview Joan Subirats(1) by Alain Ambrosi May 2018</p></blockquote></br><figure style="width: 700px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://s1.qwant.com/thumbr/0x380/b/4/cf4cf4f48af794bc54dc5384e88975c9e7cd020dbccf80dc35882a989230be/joan%20subirats.jpg?u=http%3A%2F%2Fwww.fepsu.es%2Fimage%2Fjoan%2520subirats.jpg&q=0&b=1&p=0&a=1" alt="Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016" width="700" height="400" /><figcaption class="wp-caption-text">Joan Subirats (UAB) Conferencia FEPSU 2016</figcaption></figure></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your recent article in La Vanguardia(2), you set out a framework for a cultural policy, you refer to putting into practice the key community values that should underpin that policy… Maybe we could start there?</ul></br><p><strong>JS</strong>: For me, whereas in the 20th century the defining conflict was between freedom and equality – and this marked the tension between right and left throughout the 20th century because in a way this is the frame in which capitalism and the need for social protection evolved together with the commodification of life while at the same time the market called for freedom – ie: no rules, no submission. But the need for protection demanded equality. But in the 21st century there is rejection of the notion of protection linked to statism: Nancy Fraser published an article(3) in the New Left Review, it is a re-reading of Polanyi and she claims that this double movement between commodification and protection is still valid, but that the State-based protection typical of the 20th century, where equality is guaranteed by the State, clashes since the end of the 20th century with the growing importance of heterogeneity, diversity and personal autonomy. Therefore, if in order to obtain equality, we have to be dependent on what the State does, this is going to be a contradiction…. So we could translate those values that informed the definition of policies in the 20th century, in 21st century terms they would be the idea of freedom (or personal autonomy, the idea of empowerment, not subjection, non-dependence) and at the same time equality, but no longer simply equality of opportunities but also equality of condition because we have to compensate for what is not the same (equal) in society. If you say « equal opportunities », that everyone has access to cultural facilities, to libraries, you are disregarding the fact that the starting conditions of people are not the same, this is the great contribution of Amartya Sen, no? You have to compensate for unequal starting situations because otherwise you depoliticize inequality and consider that inequality is the result of people’s lack of effort to get out of poverty. So equality yes, but the approach is different. And we must incorporate the idea of diversity as a key element in the recognition of people and groups on the basis of their specific dignity. That seems easy to say, but in reality it is complicated, especially if you relate it to culture, because culture has to do with all these things: it has to do with the construction of your personality, it has to do with equal access to culture just as cultural rights and culture have to do with the recognition of different forms of knowledge and culture – canonical culture, high culture, popular culture, everyday culture, neighbourhood culture …<br /></br>So for me, a cultural policy should be framed within the triple focus of personal autonomy, equality and diversity. And this is contradictory, in part, with the cultural policies developed in the past, where there is usually confusion between equality and homogeneity. In other words, the left has tended to consider that equality meant the same thing for everyone and that is wrong, isn’t it?, because you are confusing equality with homogeneity. The opposite of equality is inequality, the opposite of homogeneity is diversity. So you have to work with equality and diversity as values that are not antagonistic, but can be complementary. And this is a challenge for public institutions because they do not like heterogeneity, they find it complicated because it is simpler to treat everyone the same, as the administrative law manual used to prescribe `indifferent efficiency’: it is a way of understanding inequality as indifference, right?</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: In your article you also talk about the opposition between investing in infrastructures versus creating spaces and environments that are attractive to creators and you put an emphasis on the generation of spaces. What is being done, what has been done, what could be done about this?</ul></br><p><strong>JS</strong> : In Barcelona we want to ensure that the city’s cultural policies do not imply producing culture itself, but rather to try to influence the values in the production processes that already exist, in the facilities, in the cultural and artistic infrastructures: the role of the city council, of the municipality, is not so much to produce culture as to contribute to the production of culture. Which is different, helping to produce culture…. Obviously, the city council will give priority to those initiatives that coincide with the values, with the normative approach that we promote. There are some exceptions, for example, the Grec festival in Barcelona(4) in July, or the Mercé(5), which is the Festa Mayor, where the city council does in fact subsidize the production of culture, so some productions are subsidised but generally what we have is a policy of aid to creators. What is being done is that 11 creative factories (fablabs) have been built, these are factories with collectives that manage them chosen through public tenders. There are now 3 factories of circus and visual arts, 2 factories of dance creation, one factory of more global creation housed at Fabra & Coats, 3 theatre factories and 2 visual arts and technology sites. So there are 11 factories of different sorts and there are plans to create others, for example in the field of feminist culture where we are in discussion with a very well consolidated group : normally all these creative factories have their management entrusted to collectives that already become highly consolidated in the process of creation and that need a space to ensure their continuity. Often the city council will cede municipal spaces to these collectives, sometimes through public competitions where the creators are asked to present their project for directing a factory. This is one aspect. Another aspect is what is called living culture, which is a programme for the promotion of cultural activities that arise from the community or from collectives in the form of cooperatives and this is a process of aid to collectives that are already functioning, or occasionally to highlight cultural activities and cultural dynamics that have existed for a long time but have not been dignified, that have not been valued, for example the Catalan rumba of the Gypsies, which is a very important movement in Barcelona that emerged from the gypsy community of El Raval, where there were some very famous artists like Peret. There we invested in creating a group to work on the historical memory of the rumba, looking for the roots of this movement, where it came from and why. Then some signposts were set up in streets where this took place, such as La Cera in El Raval, where there are two murals that symbolise the history of the Catalan rumba and the gypsy community in this area so that this type of thing is publicly visible. That is the key issue for culture: a recognition that there are many different cultures.</p></br><p>Then there is the area of civic centres: approximately 15% of the civic centres in the city are managed by civic entities as citizen heritage, and those civic centres also have cultural activities that they decide on, and the city council, the municipality helps them develop the ideas put forward by the entities that manage those centres.</p></br><p>So, if we put all those things together, we could talk about a culture of the urban commons. It is still early stages, this is still more of a concept than a reality, but the underlying idea is that in the end the density and the autonomous cultural-social fabric will be strong enough to be resilient to political changes. In other words, that you have helped to build cultural practices and communities that are strong and autonomous enough that they are not dependent on the political conjuncture. This would be ideal. A bit like the example I often cite about the housing cooperatives in Copenhagen, that there was 50% public housing in Copenhagen, and a right-wing government privatised 17% of that public housing, but it couldn’t touch the 33% of housing that was in the hands of co-operatives. Collective social capital has been more resilient than state assets: the latter is more vulnerable to changes in political majorities.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: You also speak of situated culture which I think is very important: setting it in time and space. Now Facebook has announced it is coming to Barcelona so the Barcelona brand is going to be a brand that includes Facebook and its allies. But your conception of a situated culture is more about a culture where social innovation, participation, popular creativity in the community are very important…</ul></br><p><strong>JS</strong> : Yes, it seems contradictory. In fact what you’re asking is the extent to which it makes sense to talk about situated culture in an increasingly globalized environment which is more and more dependent on global platforms. I believe that tension exists and conflict exists, this is undeniable, the city is a zone of conflict, therefore, the first thing we have to accept is that the city is a battleground between political alternatives with different cultural models. It is very difficult for a city council to set out univocal views of a cultural reality that is intrinsically plural. Talking about situated culture is an attempt to highlight the significance of the distinguishing factors that Barcelona possesses in its cultural production. This does not mean that this situated culture should be a strictly localist culture – a situated culture does not mean a culture that cuts off global links – it is a culture that relates to the global on the basis of its own specificity. What is most reprehensible from my point of view are cultural dynamics that have a global logic but that can just as well be here or anywhere else. And it’s true that the platforms generate this. An example: the other day the former minister of culture of Brazil, Lluca Ferreira, was here and talked about a program of living culture they developed, and they posted a photograph of some indigenous people where the man wore something that covered his pubic parts but the woman’s breasts were naked. So Facebook took the photograph off the site, and when the Minister called Facebook Brazil to say ‘what is going on?’, they told him that they didn’t have any duty towards the Brazilian government, that the only control over them was from a judge in San Francisco and that, therefore, if the judge in San Francisco forced them to put the photograph back, they would put it back, otherwise they wouldn’t have to listen to any minister from Brazil or anywhere else. In the end, there was a public movement of protest, and they put the photo back. The same thing happened here a few days ago, a group from a municipal theatre creation factory put up a poster with a man’s ass advertising a play by Virginia Wolff and Facebook took their entire account off the net – not just the photograph, they totally removed them from Facebook. And here too Facebook said that they are independent and that only the judge from San Francisco and so on. I believe that this is the opposite of situated culture because it is a global cultural logic, but at the same time it allows itself to be censored in Saudi Arabia, in China, that is to say it has different codes in each place. So to speak of situated culture means to speak of social transformation, of the relationship between culture and social transformation situated in the context in which you are working. But at the same time to have the will to dialogue with similar processes that exist in any other part of the world and that is the strength of a situated culture. And those processes of mutuality, of hybridization, that can happen when you have a Pakistani community here, you have a Filipino community, you have a Chinese community, you have a Gypsy community, you have an Italian community, you have an Argentinean community: they can be treated as typical folkloric elements in a theme park, or you can try to generate hybridization processes. Now at the Festival Grec this year there will be poetry in Urdu from the Pakistanis, there will be a Filipino theatre coming and a Filipino film fest at the Filmoteca – and this means mixing, situating, the cultural debate in the space where it is happening and trying to steep it in issues of cultural diversity. What I understand is that we need to strive for a local that is increasingly global, that this dialogue between the local and the global is very important.</p></br><p><strong>AA</strong></p></br><ul>: Returning to social innovation and popular creativity, social innovation is also a concept taken up pretty much everywhere: how is it understood here? Taking into account that in the world of the commons, Catalonia, and especially Barcelona, is very well known for its fablabs, which are also situated in this new era. How then do you understand social innovation and how do you see the relationship between education and social innovation?</ul></br><p><strong>JS</strong> : What I am trying to convey is that the traditional education system is doing little to prepare people and to enhance inclusive logics in our changing and transforming society, so in very broad lines I would say that if health and education were the basic redistributive policies of the 20th century, in the 21st century we must incorporate culture as a basic redistributive policy. Because before, the job market had very specific demands for the education sector: it knew very well what types of job profiles it needed because there was a very Taylorist logic to the world of work – what is the profile of a baker, of a plumber, of a miller? How many years you have to study for this kind of work. There is now a great deal of uncertainty about the future of the labour market, about how people will be able to work in the future and the key words that appear are innovation, creativity, entrepreneurship, flexibility, ability to understand a diverse world, teamwork , being open to new ideas: this has little to do with traditional educational profiles, but it has much to do with culture, with things that allow you to acquire that backpack of basic tools that will help you navigate in a much more uncertain environment. And for me, to find the right connection between culture and education is very important because it allows the educational system to constantly transform itself by taking advantage of the creative potential of an environment that is much more accessible now than before because of new technologies, and therefore to make the transition from a deductive system where there is a teacher who knows and tells people what they need to know – to an inductive system: how do we explore what we need to know in order to be able to act. And that more inductive, more experimental logic has to do with creativity whereas the traditional education system didn’t postulate creativity, it postulated your ability to learn what someone else had decided you needed to study. It’s art, it is culture that allows you to play in that field much more easily …</p></br><p><strong> Translated from Spanish by Nancy Thede.</strong></p></br><p>1 Joan Subirats is Commissioner for culture in the city government of Barcelona led by the group Barcelona en comu. He is also professor of political science at the Universitat<br /></br>autonoma de Barcelona and founder of the Institute on Governance and Public Policy.</p></br><p>2 « Salvara la cultura a las ciudades? », La Vanguardia (Barcelona), Culturals supplement, 12<br /></br>May 2018, pp. 20-21. https://www.lavanguardia.com/cultura/20180511/443518454074/cultura-ciudadesbarcelona-crisis.html</p></br><p>3 Nancy Fraser, « A Triple Movement », New Left Review 81, May-June 2013. Published in Spanish in Jean-Louis Laville and José Luis Coraggio (Eds.), La izquierda del<br /></br>siglo XXI. Ideas y diálogo Norte-Sur para un proyecto necesario Icaria, Madrid 2018.</p></br><p>4 Festival Grec, an annual multidisciplinary festival in Barcelona, now in its 42nd year. It is<br /></br>named for the Greek Theatre built for the 1929 Universal Exhibition in Barcelona:<br /></br>http://lameva.barcelona.cat/grec/en/.</p></br><p>5 Barcelona’s annual ‘Festival of Festivals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>vals’ begins on Sept 24, day of Our Lady of Mercy, a city holiday in Barcelona. It especially highlights catalan and barcelonian cultural traditions and in recent years has especially featured neighbourhood cultural activities like street theatre. See: https://en.wikipedia.org/wiki/La_Mercè.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>L’Assemblée Eur<blockquote><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) est un <a href="http://europeancommonsassembly.eu">réseau de personnes engagées dans les communs</a> sur le terrain en Europe. Ce réseau s’est donné rendez-vous au Medialab Prado, Madrid du 25 au 27 octobre prochain. Cette rencontre se déroule en parallèle du Festival Transeuropa, lui-même une vaste réunion autour des alternatives politiques, sociales et environnementales. L’appel à participer est ouvert jusqu’au 4 août. [voir ici le <a href="https://goo.gl/forms/9vID21eSIojQsffk1">formulaire d’inscription</a>] </p></blockquote></br><p><a data-flickr-embed="true" data-footer="true" href="https://www.flickr.com/photos/medialab-prado/28100107155/" title="18.05.16 Taller"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://farm8.staticflickr.com/7379/28100107155_1659853c90_c.jpg" width="800" height="500" alt="18.05.16 Taller"></a><script async src="//embedr.flickr.com/assets/client-code.js" charset="utf-8"></script></p></br><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) a été lancée en novembre 2016 lors du <a href="https://europeancommonsassembly.eu/process/">premier événement public</a> sur les communs qui s’est déroulé au Parlement Européen et au centre social Zinneke à Bruxelles, en Belgique. Cette réunion a rassemblé plus de 150 commoners européens pour faire valoir la nécessité de politiques publiques pour les communs en Europe et développer les réseaux pour inscrire cette démarche dans la durée. </p></br><p>La rencontre de Madrid se structure autour d’ateliers thématiques sur les communs urbains, d’une rencontre avec les acteurs politiques de madrilènes et d’autres villes espagnoles, et de temps de délibération sur le futur de ECA à l’horizon 2018/2019. </p></br><p>Les ateliers thématiques, au coeur du processus de cette rencontre, permettront, à partir des échanges avec les initiatives madrilènes et espagnoles, d’expérimenter et de proto-typer les outils utiles au développement des communs urbains en Europe. Les premiers participants inscrits ont proposés de travailler sur dans thèmes tels que : Espace public, Migrations et réfugiés, Participation citoyenne à la politique urbaine, Culture, Aliments, Logement, Santé, Devise et financement pour les communs, Lois et mécanismes juridiques pour protéger les communs, Technologie pour la citoyenneté. Vous pouvez également proposer un thème qui ne figure pas déjà dans cette liste. Un processus d’agglutination permettra de définir la liste définitive des ateliers dans la limite de 8 atleirs. Pour cela remplissez le formulaire et proposez l’organisation d’un atelier spécifique et / ou de participer à l’un des ateliers déjà identifié qui vous intéresse.</p></br><p>Chaque atelier sera l’occasion de collaborations entre une ou plusieurs initiatives communautaires locales espagnoles et d’autres venant d’ailleurs en Europe engagées sur le thème de l’atelier. Ces ateliers seront conçus pour permettre le partage et l’exploration des connaissances et des stratégies fruits de ces expériences. À cette fin, l’équipe de coordination de ECA à Madrid organisera plusieurs vidéoconférences pour relier les différentes initiatives et co-concevoir les contenus de l’atelier avant la rencontre avec les participants. La méthodologie de facilitation sera aussi conçue pour inclure les participants dans la démarche structuration de la documentation des travaux collectifs afin de ressortir de la rencontre avec une boite à outils partagée sur les communs urbains. </p></br><p>Coté logistique, lorsque vous remplissez le formulaire, vous pouvez indiquer si vous avez besoin de faire couvrir vos frais de déplacement et / ou d’hébergement par l’organisation (dans le cas où il n’est pas possible de couvrir ces dépenses d’une autre manière). </p></br><p>Pour plus d’informations, contactez nicole.leonard [at] sciencespo.fr ou bien retrouvez plus d’informations sur le<a href="https://europeancommonsassembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>assembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>L’Assemblée Eur<blockquote><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) est un <a href="http://europeancommonsassembly.eu">réseau de personnes engagées dans les communs</a> sur le terrain en Europe. Ce réseau s’est donné rendez-vous au Medialab Prado, Madrid du 25 au 27 octobre prochain. Cette rencontre se déroule en parallèle du Festival Transeuropa, lui-même une vaste réunion autour des alternatives politiques, sociales et environnementales. L’appel à participer est ouvert jusqu’au 4 août. [voir ici le <a href="https://goo.gl/forms/9vID21eSIojQsffk1">formulaire d’inscription</a>] </p></blockquote></br><p><a data-flickr-embed="true" data-footer="true" href="https://www.flickr.com/photos/medialab-prado/28100107155/" title="18.05.16 Taller"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://farm8.staticflickr.com/7379/28100107155_1659853c90_c.jpg" width="800" height="500" alt="18.05.16 Taller"></a><script async src="//embedr.flickr.com/assets/client-code.js" charset="utf-8"></script></p></br><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) a été lancée en novembre 2016 lors du <a href="https://europeancommonsassembly.eu/process/">premier événement public</a> sur les communs qui s’est déroulé au Parlement Européen et au centre social Zinneke à Bruxelles, en Belgique. Cette réunion a rassemblé plus de 150 commoners européens pour faire valoir la nécessité de politiques publiques pour les communs en Europe et développer les réseaux pour inscrire cette démarche dans la durée. </p></br><p>La rencontre de Madrid se structure autour d’ateliers thématiques sur les communs urbains, d’une rencontre avec les acteurs politiques de madrilènes et d’autres villes espagnoles, et de temps de délibération sur le futur de ECA à l’horizon 2018/2019. </p></br><p>Les ateliers thématiques, au coeur du processus de cette rencontre, permettront, à partir des échanges avec les initiatives madrilènes et espagnoles, d’expérimenter et de proto-typer les outils utiles au développement des communs urbains en Europe. Les premiers participants inscrits ont proposés de travailler sur dans thèmes tels que : Espace public, Migrations et réfugiés, Participation citoyenne à la politique urbaine, Culture, Aliments, Logement, Santé, Devise et financement pour les communs, Lois et mécanismes juridiques pour protéger les communs, Technologie pour la citoyenneté. Vous pouvez également proposer un thème qui ne figure pas déjà dans cette liste. Un processus d’agglutination permettra de définir la liste définitive des ateliers dans la limite de 8 atleirs. Pour cela remplissez le formulaire et proposez l’organisation d’un atelier spécifique et / ou de participer à l’un des ateliers déjà identifié qui vous intéresse.</p></br><p>Chaque atelier sera l’occasion de collaborations entre une ou plusieurs initiatives communautaires locales espagnoles et d’autres venant d’ailleurs en Europe engagées sur le thème de l’atelier. Ces ateliers seront conçus pour permettre le partage et l’exploration des connaissances et des stratégies fruits de ces expériences. À cette fin, l’équipe de coordination de ECA à Madrid organisera plusieurs vidéoconférences pour relier les différentes initiatives et co-concevoir les contenus de l’atelier avant la rencontre avec les participants. La méthodologie de facilitation sera aussi conçue pour inclure les participants dans la démarche structuration de la documentation des travaux collectifs afin de ressortir de la rencontre avec une boite à outils partagée sur les communs urbains. </p></br><p>Coté logistique, lorsque vous remplissez le formulaire, vous pouvez indiquer si vous avez besoin de faire couvrir vos frais de déplacement et / ou d’hébergement par l’organisation (dans le cas où il n’est pas possible de couvrir ces dépenses d’une autre manière). </p></br><p>Pour plus d’informations, contactez nicole.leonard [at] sciencespo.fr ou bien retrouvez plus d’informations sur le<a href="https://europeancommonsassembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>assembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Last 6, 7 and 8<blockquote><p>Last 6, 7 and 8 of November, the Art of commoning, an event the community Art of Hosting Montreal, saw 70 people come together to explore the commons and commoning, and develop a culture from the posture of commoner. The first two days were held in the beautiful local gardens Space for Life (Espace pour la vie) partner of the event. The third day, the participants were divided in different places (Tiers lieux) with commons projects throughout the city of Montreal.</p></br><p>David Bollier who participated with Silke Hefrich, Alain Ambrosi and myself, made a <a href="http://bollier.org/blog/art-commoning"> review of the meeting on his blog </a>. For more information you can look at the <a href="https://www.remixthecommons.org/fr/2014/11/lart-de-len-commun/">full article</a> (in French only)</p></blockquote></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-large wp-image-4035" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-1024x576.jpg" alt="20141107_162027" width="1024" height="576" /></a></p>g/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-1024x576.jpg" alt="20141107_162027" width="1024" height="576" /></a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Le 12 octobre, <blockquote><p>Le 12 octobre, profitant de la <a href="http://villes.bienscommuns.org/evenement/qdxuznugt0p/view">rencontre ouverte parisienne</a>, une quinzaine de personnes, designers en formation et chercheurs se retrouvent autour de l’expérimentation simultanée de diverses formes de sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités, de leur définition à travers la mobilisation de ressources multimédia, elles aussi variées, et de mises en forme et éditorialisation de ces éléments.</br></p></blockquote></br><figure id="attachment_2901" aria-describedby="caption-attachment-2901" style="width: 450px" class="wp-caption alignnone"><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/wordl-mots-enjeux-RBC.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/wordl-mots-enjeux-RBC.jpg" alt="graph réalisé à partir des mots clefs enjeux de Remix Biens communs et initialement publié sur le site de Savoircom1" width="450" height="281" class="size-full wp-image-2901" /></a><figcaption id="caption-attachment-2901" class="wp-caption-text">graph réalisé à partir des mots clefs enjeux de Remix Biens communs et initialement publié sur le site de Savoircom1</figcaption></figure></br><p>A l’occasion de la<a href="http://villes.bienscommuns.org/evenement/qdxuznugt0p/view"> rencontre ouverte sur les biens communs</a> organisée par les collectifs porteurs de Paname en Biens Communs, sera conduite une expérience qui participe de l’élaboration d’un glossaire multimédia des biens communs. L’idée, l’envie de glossaire des biens communs est dans l’air du temps. Elle répond à un besoin qui s’est exprimée à travers diverses démarches. En avril dernier, le collectif Savoirscom1 à élaboré une première liste de termes à mieux définir tirés de son appel. Avec Remix The Commons, nous travaillons depuis le printemps sur l’organisation des documents à travers des « mots clefs enjeux des communs », qui doivent être définis en complément de la <a href="http://surface.syr.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1023&context=sul">cartographie des nouveaux communs de C. Hess</a>. De plus, chacun s’accorde sur la nécessité d’enrichir les définitions en français des termes en rapport avec les biens communs dans wikipédia et un <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet</a> vient d’être lancé dans ce sens qui sera nourrit par un atelier qui se déroulera le 15 octobre à Paris. Enfin, d’autres initiatives émergent s’inspirant du <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a> et de l’exploration du design des formes de communication et collaboration numériques par et autour de Knowtex et l’IRI. Ces initiatives se rejoignent et profitent du tempo de Panam en biens communs.<br /></br>A ce stade, le glossaire des biens communs est perçu comme une sélection de termes en rapport avec les communs qui méritent d’être explicités. La liste des termes d’un glossaire des biens communs n’est pas figée. La définition fait appel à l’usage de documents multimédia choisis, organisés selon différents formats avec au premier rang celui désormais classique de wikipédia. Ces démarches de publication sont participatives et explorent des scénarii d’expérience utilisateur. A ce stade, il s’agit d’explorer diverses voies et de tirer les leçons de l’expérience plus que produire en direct un produit fini.<br /></br>L’élaboration des premières listes de termes met en évidence la tension entre la problématique de la définition et celle de l’éditorialisation qui sou-tendent des projets plus ou moins explicites. Un premier croisement des termes utilisés dans le manifeste savoircom1 avec ceux de Remix the commons donne par exemple la mind map suivante réalisée avec Pierre-Carl Langlais.<br /></br><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/Biens-communs-wikipédia-20130930-e1381355634741.jpeg"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/10/Biens-communs-wikipédia-20130930-e1381355634741.jpeg" alt="Biens communs wikipédia 20130930" width="600" height="388" class="alignnone size-full wp-image-2903" /></a><br /></br>Le 12 octobre, l’expérience est décomposée en 3 processus. Un groupe se consacre à identifier des éléments (termes pertinents et contenus, supports, objets contribuant à les définir) en vue de les recomposer à travers un dispositif développé par le collectif Encyclopetrie (à l’initiative du <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a>. Un autre groupe, piloté par les porteurs du<a href="http://livemapping.fr/"> projet mind-mapping</a> fera un travail de cartographie dans le but de mettre en évidence les liens entre les termes du vocabulaire utilisé dans les conversations. Enfin un denier groupe de travail conduira des interviews audio autour de termes en lien avec les communs et de leurs définitions (inspiré de <a href="http://notesondesign.org/biens-communs-10-definitions-partie-2/">la démarche de Sylvia Fredricksson</a>. Cette démarche n’a pas vocation à interférer avec le déroulement ou rendre compte de manière exhaustive de la rencontre. Elle propose des formes complémentaires de lecture de l’événement.<br /></br>Le 15 octobre, l’atelier wikipédia apportera une approche complémentaire avant que les premières leçons ne soient tirées de l’expérience.</p></br><p>F. Sultan</p>es leçons ne soient tirées de l’expérience.</p> <p>F. Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Les 6, 7 et 8 n<blockquote><p>Les 6, 7 et 8 novembre, l’Art de l’en-commun, un événement de la communauté Art of Hosting Montréal, a vu 70 personnes se rencontrer pour explorer les biens communs et le commoning, et développer une culture à partir de la posture de commoner. Les deux premiers jours se sont déroulés dans les magnifiques locaux-jardins de l’Espace pour la Vie partenaire de l’événement. Le troisième jour, les participants se sont répartis dans différents tiers-lieux porteurs de projets de communs à travers la ville de Montréal.</p></blockquote></br><h2>Au croisement de Art of Hosting et du commoning</h2></br><p>Art of Hosting, ou l’<a href="http://www.aohmontreal.org/art-of-hosting-2">Art d’Accueillir des Conversations qui comptent</a> pour faire émerger la capacité d’auto-organisation et la sagesse collective des groupes, part de l’hypothèse que les gens mettent leur énergie et leurs compétences au service de ce qui compte le plus pour eux, au travail comme dans la vie. Cette pratique recouvre un ensemble de processus de conversation puissants, qui invitent les personnes à s’engager et à prendre en charge les défis qu’elles rencontrent. Pour en savoir plus, je vous invite aussi à voir l’<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=reflections-on-art-of-hosting-and-the-commons">interview</a> de Toke Moeller, l’un des fondateurs de ce mouvement, réalisée à Montréal, à l’occasion de Ville en biens communs 2013.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4035" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_162027-300x168.jpg" alt="20141107_162027" width="300" height="168" /></a> Tout au long de ces trois jours, cette pratique a été mise au service d’une découverte approfondie des biens communs, de la posture du commoner et du commoning. Le premier jour a permis de poser les piliers de ces pratiques à travers des conversations entre les invités et les participants. La première d’entre elle consistait à demander aux invités étrangers, « experts » des communs, de raconter en se placant au centre d’un cercle, les défis qu’ils rencontrent lorsqu’ils doivent parler des biens communs. S’en suivait une ronde au cours de laquelle chaque personne qui le souhaitait pouvait prendre place au centre du cercle pour dialoguer avec l’expert. Une autre conversation visait à partager des piliers du commoning dans un temps de co-apprentissage.</p></br><p>Le lendemain, c’est autour d’une histoire de biens communs que la conversation s’est poursuivie. Chaque personne dans le cercle est<br /></br>invitée à écouter l’histoire avec une grille de lecture particulière afin que le groupe dans son ensemble se donne une capacité de réflexion et d’analyse collective démultipliée. Après ces explorations, les participants sont invités à élaborer un ensemble de questions fortes sur les biens communs et l’en-commun. Toutes ces questions seront collectées sous formes de capsules vidéos grâce à l’installation de <em>Com-fessional</em> proposée par Remix The Commons. Ces questions ouvrent la voie à des suites possibles pour l’Art de l’en-commun.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141109_054124.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4034" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141109_054124-300x168.jpg" alt="20141109_054124" width="300" height="168" /></a> Le troisième jour de rencontre a été consacré à contribuer à des communs vivants ou en projet : 14 initiatives ont été proposées par leurs initiateurs dans différents tiers-lieux de Montréal. Les participants avaient été invités à constituer une « banque de temps » volontairement dédié aux biens communs au moment de leur inscription. Une partie de ce temps à donc été dépensé lors de cette journée. Ce qu’il en reste pourra être mis au service des biens communs dans le futur proche. Avec Alain Ambrosi, nous avons invité les participants à prendre part au projet de « l’école des communs ». Nous avons commencé par partager l’histoire des écoles des communs telle que nous la connaissons. Nous avons présenté la chronologie des événements qui s’y rapportent depuis quelques années, ainsi que la diversité des pratiques qui s’y rattachent : festival, rencontres, ateliers, université d’été, plateforme de documentation des communs et du commoning, exploration et développement d’un vocabulaire des communs. Dans un deuxième temps, nous avons approfondies les visions de l’école des communs dans une conversation ouverte et alimentée par la <a href="https://dl.dropboxusercontent.com/u/2832349/Synth%C3%A8se%20%C3%A9cole%20des%20communs%20Montr%C3%A9al%202013.odt">synthèse du premier cercle d’Aprentissage sur l’école des communs</a> qui s’était déroulé à Montréal en 2013. Enfin, nous avons répondu à la question : « de quoi avons-nous besoin pour faire ensemble l’école des communs ? » Au cours de cet atelier, une vingtaine de personnes se sont engagées et ont proposé de dédier volontairement un quota d’heures à ce projet. Il y aura donc là aussi des suites. La journée s’est terminée par la célébration de notre rencontre des communs et l’art de l’en-commun, une fête conviviale ouverte aux personnes qui n’avaient pas pu rejoindre les trois jours.</p></br><h2>Mais qui fait la vaisselle ?</h2></br><p>Au cours de cette rencontre, le collectif organisateur a constamment cherché à rendre chaque moment vécu de la rencontre cohérent avec la posture du commoner et la culture du partage propre aux biens communs. Il a fait montre d’un souci de prendre en compte les personnes pour ce qu’elle sont, en recherchant pour chacun les meilleures conditions pour qu’il ou elle puisse découvrir, s’exprimer et partager son expérience et sa connaissance.</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_190821-e1415896747655.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="alignleft size-medium wp-image-4044" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2014/11/20141107_190821-e1415896747655-210x300.jpg" alt="20141107_190821" width="210" height="300" /></a>Cela a été par exemple le cas pour les repas pris ensemble. Pour le premier jour, il a été fait appel à un traiteur bio et végétarien de très grande qualité afin de s’assurer de satisfaire les besoins de chacun. L’accent a été mis sur la convivialité et l’accueil des participants. Ce repas a été un régal et personne n’a pu résister à leur brownies ! Le deuxième jour, les participants ont été invités à préparer ce qui leur ferait plaisir de partager et à apporter de quoi manger pour 2 personnes. Une tablée magnifique, longue de 70 convivesn, a été dressée à l’heure du déjeuner et chacun a pu déguster les mets de son choix. Enfin le troisième jour, le repas (pour la soirée de célébration) a été cuisiné en commun et servi à table dans une agréable ambiance festive.</p></br><p>Le matin du troisième jours, la tâche de faire la vaisselle qui avait été partagée spontanément, a fait l’objet d’une discussion lors d’un atelier sur les « patterns » du commoning animé par Silke Helfrich. Cette tâche – faire la vaisselle – loin d’être anodine, a permis de mettre en exergue les conditions du commoning et d’alimenter une réflexion sur les rôles de chacun dans les processus de partage et la (re)connaissance des enjeux de pouvoir dans le commoning. Finalement, comme nous avions encore l’opportunité d’expérimenter sur ce point, notre réflexion collective a donné lieu à la création d’un jeu autour du partage des tâches de vaisselle de la dernière soirée de la rencontre.</p></br><h2>La récolte</h2></br><p>Ce jeu, tout comme les capsules vidéos du Com-fessional fera partie de la récolte de la rencontre. Tout au long de ces trois jours, le collectif a eu le souci constant de récolter et d’inviter chacun à partager, images, son, textes, notes pour en faire une richesse collective dans laquelle chacun pourra puiser pour la suite.</p></br><p>A la veille de la <a href="https://dl.dropboxusercontent.com/u/2832349/EcoledescommunsParisProgr20141014.pdf">rencontre sur l’école des communs</a> qui se déroule à Paris cette fin de semaine, la capacité à mettre en cohérence des pratiques avec des valeurs portées par les commoners jusque dans les tâches les plus humbles et anodines, celles qui se déroulent précisément dans les communs, l’arrière cour et la cuisine, permet de penser que l’Art de l’en-commun sera une graine féconde et libératrice dans le jardin de la pédagogie des communs.</p></br><p>David Bollier qui y participait avec Silke Hefrich, Alain Ambrosi et moi même, a fait une <a href="http://bollier.org/blog/art-commoning">recension de cette rencontre sur son blog</a>.</p></br><p><em>Merci à tous pour cette belle rencontre.</em></p>/p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Pour aider à re<blockquote><p>Pour aider à reconquérir, protéger et créer les communs dans nos quartiers et dans nos villes, nous proposons de créer un Atlas interactif des chartes des communs urbains. Le processus collaboratif de création permettra de développer, sur un mode interculturel et inter-disciplinaire, la production et le partage de connaissances sur les outils juridiques qui permettent de faire vivre les communs dans nos villes. Au cours d’ateliers et autres animations culturelles, nous explorerons avec les commoners/habitants les chartes des communs qui existent et leurs applications et nous contribuerons à la création de nouvelles. Une fois constitué, l’Atlas sera une plateforme de rencontre et d’interaction qui invitera les commoners à créer ou récupérer leurs communs urbains.</p></blockquote></br><figure id="attachment_4247" aria-describedby="caption-attachment-4247" style="width: 826px" class="wp-caption aligncenter"><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/04/Magna-Carta-1215-Document-num--ris---600x100.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class=" wp-image-4247" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/04/Magna-Carta-1215-Document-num--ris---600x100.jpg" alt="Fragment de la Magna Carta de la Cathédrale de Salisbury (UK)" width="826" height="59" /></a><figcaption id="caption-attachment-4247" class="wp-caption-text">Fragment de la Magna Carta de la Cathédrale de Salisbury (UK)</figcaption></figure></br><h2>S’inspirer et créer des chartes des communs urbains</h2></br><p>Les chartes des communs urbains sont des règles d’auto-gouvernance dont se dote une communauté de personnes pour faire vivre leurs communs dans leur quartier, leur ville, leur région. Elles peuvent devenir des instruments juridiques qui formalisent la reconnaissance des droits et la souveraineté des individus et de la communauté sur leurs richesses communes. Elles sont aussi un instrument pour organiser le commoning en vue de conserver, de partager et de transmettre les biens communs. Elles s’accompagnent d’une multitude d’activités, de récits, créations, illustrations, célébrations, fêtes, études, qui sont le coeur de la culture des communs et que nous voulons faire vivre et transmettre de génération en génération.</p></br><p>Nous voulons utiliser ce vecteur pour nous inspirer mutuellement et nourrir l’imaginaire autant que les pratiques des communs dans les villes à travers le monde.</p></br><p>La documentation vivante et collective, décentralisée et autogérée de l’expérience de chaque charte des communs, est une manière de faire culture commune. Notre proposition consiste à élaborer et rendre disponibles aux commoners des formats de documentation propices au partage de l’expérience des chartes des communs.</p></br><p>Nous envisageons d’organiser des camps, des résidences culturelles et de réaliser collectivement un Atlas des chartes des communs urbains sous forme d’une cartographie interactive en web sémantique.</p></br><p>Cette démarche est exploratoire, pragmatique, pédagogique, et politique. Elle est à la fois interdisciplinaire et Interculturelle. Elle permet de formaliser son expérience, de la relier avec les membres de sa communauté et de la partager avec ceux des autres communautés. Elle permet aussi de partager les outils juridiques élaborés au fil du temps et l’expérience accumulée à travers le monde (avec l’assistance de juristes et de designers urbains). Elle vise à faire connaître et reconnaître ce processus comme l’un des principaux leviers de la démocratie et d’une vie harmonieuse en société dans la ville.</p></br><h2>Apprendre de l’expérience historique et contemporaine des chartes</h2></br><p>Nos activités de documentation et d’animation sur les communs à remixthecommons nous ont fait découvrir la variété et la richesse des initiatives et propositions citoyennes en milieux urbain et territoriaux sur divers continents. Dans le processus de constitution d’un commun, les voisins et citoyens passent toujours par l’ importante et nécessaire étape de se doter de règles d’auto-gouvernance et de les formaliser. Des pratiques innovantes en la matière apparaissent entre voisins au niveau des quartiers comme à Dakar ou au niveau de villes entière comme à Bologne ou Djakarta pour ne citer que celles-là.</p></br><p>Les pratiques, pour nous les plus exemplaires, sont celles où les initiatives des citoyens ont su mobiliser des compétences et expertises diverses issues de différents secteurs d’activités (coopérativistes, activistes, architectes, juristes, designers urbains, informaticiens, etc) pour faire des propositions à la fois innovantes et pragmatiques qui invitent, encouragent, assurent et encadrent la participation active des citoyens dans la récupération, la construction et la gestion des communs urbains.</p></br><p>En Europe les exemples italiens de ABC de Milan et des Chartes des communs municipaux, maintenant adoptés dans plusieurs villes sont inspirants. D’autres initiatives émergent en Angleterre, en Espagne et ailleurs. Elles ne demandent qu’à être partagées, remixées et adaptées à un autre contexte socio-culturel et politique.</p></br><p>Cette floraison de chartes est un incitatif pour les apprentis commoners à partager avec leurs pairs et coproduire des connaissances et propositions dans leur localité.</p></br><p>La montée en puissance au niveau européen des réseaux d’activistes des communs garantit des échanges et une cross fertilisation interculturelle. En témoignent les récents séminaires franco-italiens sur le sujet.</p></br><p>Nous pensons finalement que cette mobilisation collective autour des chartes urbaines est une belle manière de célébrer le huit-centième anniversaire de la Magna Carta (1215)  qui a marqué l’histoire des communs.</p></br><h2>Une invitation à l’échange</h2></br><p>Nous souhaitons mettre en place un prototype numérique de l’Atlas des chartes des communs urbains. Il sera co-créé lors d’un premier atelier et amélioré de manière itérative. Ateliers en présentiel et en ligne vont stimuler la documentation de chartes existantes et la création de nouvelles, adaptées à leurs contextes et à aux droits locaux. Ces actions feront se croiser disciplines scientifiques et savoir-faire populaire. Et nous prendrons soin de disposer diversifier les procédés de travail pour être accessibles à tous, d’assurer le partage des données, comme celui de la conception des usages et des services inspirés par l’Atlas.</p></br><p>Nous sommes heureux d’inviter à participer tous les militants et les chercheurs motivés par les communes, en particulier ceux partie-prenante du réseau de francophone pour les communs, les organisations telles que Commons Josephat (Bruxelles), Marx Dormoy Labs (Paris) les Journées des Alternatives Urbaines (Lausanne ), ou la maison des communs (Montpellier), le LARTES à Dakar, … etc, ainsi que les collectifs européens comme Comuns Urban Activists à Barcelone, P2p plazas à Madrid, … etc.</p></br><p>Cette initiative nous conduira aussi à collaborer avec les militants des Droits à la Ville, comme en France, la coordination « Pas sans nous! ou le Collectif pour la Transition sur la Citoyenneté, et l’Alliance Internationale des Habitants.</p></br><p>Certaines municipalités et gouvernements locaux s’engagent déjà à soutenir les communs et ont leur propre charte. Ce sont autant d’espaces qui permettent d’expérimenter notre approche. Le Festival des communs à Chieri, en Italie (Juillet 2015) pourrait être une première occasion.</p></br><h2>L’apport de Remix the commons</h2></br><p>Remix the commons jouera son rôle d’incubateur de projet et partagera son expérience, tant en matière de cartographie interactive interculturelle et multilingue du <a href="https://www.remixthecommons.org/en/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/">projet de définition des communs</a>, que d’animation des processus de co-création (voir ‘<a href="http://bollier.org/blog/art-com">The Art of Commoning’)</a>. et la connaissance des réseaux européen et notamment en France, Espagne, Italie et Allemagne.  L’un des premiers rendez-vous que nous pouvons nous donner sera le Festival francophone « <a href="http://tempsdescommuns.org">Temps des Communs</a> » (du 5 au 18 octobre 2015).</p>al francophone « <a href="http://tempsdescommuns.org">Temps des Communs</a> » (du 5 au 18 octobre 2015).</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Préserver et en<blockquote><p>Préserver et enrichir le vocabulaire des biens communs est un double enjeu pour le mouvement des communs. En élaborant des définitions, les acteurs des biens communs proposent une grille de lecture du réel basée sur le paradigme des biens communs. En outre cette démarche contribue aussi à lutter contre les phénomènes de « commons washing » qui émergent aujourd’hui. Le vocabulaire des communs est un bien commun.</p></blockquote></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/08/nuage-de-mots.png"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-2706" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2013/08/nuage-de-mots.png" alt="Nuage de mots Les biens communs sont sur toutes les lèvres" width="600" height="296" /></a></p></br><p>Ce constat est à l’origine de l’<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Glossaire_des_biens_communs">idée</a> de rassembler des termes assez largement utilisés par le milieu qui s’identifie à la défense des biens communs, dans un processus de définition dynamique et participatif.</p></br><p>Un tel processus devra certainement s’attacher à croiser des définitions émanent de points de vues différents, différents acteurs, différents domaines d’action ou disciplines, différents registres de définition, … et permettre leur mise en regard, leur commentaire afin que cela s’offre comme une possibilité d’appropriation dynamique du paradigme des communs. Les ressources documentaires en rapport avec chacun de ces termes, qu’ils soient bribes de conversations numériques ou bien réflexions approfondies ou créations originales, permettent d’explorer de manière plus ou moins approfondie en mettant aussi en évidence les variations au sein du réseau des acteurs des communs.</p></br><p>L’idée de glossaire des communs comme rassemblement d’un corpus de termes a des .</p></br><p>Cette démarche croise les initiatives du groupe d’étudiants qui avec <a href="http://www.sylvia-fredriksson.net">Sylvia Fredriksson</a>, Enseignante et designer, ont réalisé le <a href="http://www.enmi12.org/glossaire/ www.enmi12.org/glossaire/">glossaire des ENMI 2012</a>. Une <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/#contexte">première collaboration</a> s’échafaude autour des forums ouverts de <a href="http://villes.bienscommuns.org/">Ville en biens communs en octobre 2013</a>. Il s’agit de travailler sur les mots et les variations d’usage pour, selon Hélène Casado et Maxime Antremont, produire « un nouveau référentiel subtil, multiple et instantané. » et « permettre à un flux de médias de traduire un flux de pensées et de capter l’essence de la notion de biens communs aujourd’hui. »</p></br><p>Sylvia Fredriksson propose déjà quelques exemples intéressants de collages sonores de définitions avec <a href="http://notesondesign.org/biens-communs-10-defintions/">« Biens communs. 10 définitions »</a> réalisé à partir de sa <a href="soundcloud.com/sylviafredriksson">collection</a>. Cette démarche nous ramène aussi à l’origine de Remix The Commons et à la série Define the commons <a href="http://https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">I</a>, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-ii">II</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-iii">III</a> réalisée à Berlin en 2010 à partir des interviews des participants à la<a href="http://p2pfoundation.net/International_Commons_Conference"> International Commons Conference (ICC)</a>.</p></br><p>Cette démarche revisite des initiatives plus classiques</p>a<a href="http://p2pfoundation.net/International_Commons_Conference"> International Commons Conference (ICC)</a>.</p> <p>Cette démarche revisite des initiatives plus classiques</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Quelques expéri<blockquote><p>Quelques expériences de cartographie des communs, à partir des définitions et des descriptions brèves d’actions ou d’initiatives de commoning, avec une instance de Chimère installée par Frédéric Léon à Brest. Chimère permet de placer sur des cartes des « points d’intérêts » (définis par leur coordonnées géographiques) du texte + des documents multimédia (video, audio, images). Les points d’intérêts peuvent être classés dans des catégories organisées par familles. Les cartes par zones sont des sélections de territoires géographiques et de catégories.</p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" src="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/simple" width="900" height="550" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe><br /></br><a href="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Agrandir</a> – <a href="http://remixthecommons.infini.fr/def-commons/edit/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Participer</a></p></br><p>La première idée, en commençant cette expérience, était de situer sur une carte la centaine de définition des biens communs réalisées depuis Berlin 2010 et de regarder comment utiliser ce support comme un moyen d’expression collectif sur la notion de biens communs. Pour le test, une quinzaine de définitions sont placées sur la carte. L’intégration de l’ensemble de la centaine de définitions disponibles donnera une carte plus fournie. Elles sont consultables par langues. Le tri par tag n’existe pas. Sa mise en place est la prochaine étape à mettre en oeuvre. Il permettra de rendre plus visible les «enjeux» mis en évidence via le site Remix The Commons. L’intégration de cette carte dans le site de remix se fait par widget dans un article de blog ou une page. A terme, la carte pourrait être alimentée par mashup de services multimédia.</p></br><p>Deuxième expérience : le placement sur une <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs">carte de documents descriptifs des pratiques de commoning</a> par catégories « types de communs » (uniquement avec les catégories parents de la classification de Charlotte Hess utilisée sur le site de Remix The Commons). Les cartes peuvent être réalisées par espaces géographiques. <a href="http://remixthecommons.infini.fr/visages-des-communs">Ici </a>une carte de quelques points situés au Quebec.</p></br><p>Chimère permet librement l’ajout de nouveaux points d’intérêt par les utilisateurs via un <a href="http://remixthecommons.infini.fr/type-de-biens-communs/edit" target="_blank" rel="noopener noreferrer">formulaire</a> assez simple. Ce formulaire est configuré pour proposer aux utilisateurs de classer les points d’intérêts selon les catégories de la carte à laquelle on propose un nouveau point.</p></br><p>A ce stade, il serait utile de compléter Chimère avec les éléments tels qu’un dispositif de tags des points d’intérêts, la synchronisation des fiches sur les cartes, la synchronisation des points d’intérêts dans le catalogue de Remix.</p></br><p>Mais pour aller plus loin, il faudrait travailler sur les approches de cartographie des communs. Le recensement de ressources est le premier degré d’une cartographie des communs. Il faudrait imaginer de cartographier les éléments constitutifs des communs tels que les modes d’administration des ressources ou de répartition de droits de propriété, les systèmes de valeurs attachées aux pratiques de commoning et certainement d’autres choses encore.</p></br><p>Frédéric Sultan</p></br><p><iframe class="igtranslator-iframe" src="about:blank" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></p></br><div class="igtranslator-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div></br><p><iframe class="igtranslator-iframe" src="about:blank" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></p></br><div class="igtranslator-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div>or-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png');" title="Click to Show Translation"></div>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix Biens Com<blockquote><p>Remix Biens Communs est invité à présenter une sélection de vidéos sur le thème Biens communs de la connaissance à la BNF le 18 novembre prochain !</p></blockquote></br><p>Peuple et Culture et la BnF, proposent de consacrer leur troisième rendez-vous aux biens communs de la connaissance le 18 novembre 2013 avec la lecture collective du livre collectif <em>Libres savoirs, les biens communs de la connaissance</em> et la projection d’entretiens vidéos sélectionnés dans le catalogue interculturel, libre et collaboratif Remix The Commons. Cette journée permettra d’explorer les enjeux de la production collective, du partage et de la diffusion des connaissances en Biens Communs.</p></br><p>Elle se déroule à la Bibliothèque nationale de France, Entrée Ouest, Quai François Mauriac, Paris XIII.</p></br><p>Métro Quai de la Gare ou Bibliothèque François Mitterrand.</p></br><p>Pour toute précision, n’hésitez pas à contacter Adrien Thoreau ou Alexane à l’Union Peuple et Culture, 01 49 29 42 80 – 09 50 06 42 80<br /></br><strong><br /></br>La liste des documents projetés : </strong></p></br><ul></br><li>1’30 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">Définir le Bien Commun I</a></li></br><li>3’45 » <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=sk">Sansy Kaba Diakité, L’Harmattan Guinée</a></li></br><li>08’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=le-mouvement-des-biens-communs">La science au secours de la démocratie – Le mouvement des biens communs</a></li></br><li>2’26 La science vassalisée 1 – Privatisation et concentration du savoir humain</li></br><li>10’00 Jean-Claude Guédon (Université de Montréal – Québec) : <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=jcg1">Petite histoire du mouvement vers l’accès libre – La science est une grande conversation</a> Partie 1</li></br><li>6’39 La science au secours de la démocratie – l’expérience Indienne</li></br><li>1’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-abdourahmane-seck">Définir les communs – Abdourahmane Seck</a></li></br><li>19’00<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=sciences-et-democratie-la-lecon-du-tapajos"> « la leçon du Tapajos »</a></li></br><li>7’00 <a href=" https://www.remixthecommons.org/?fiche=science-et-democratie-la-science-autrement">Science et démocratie : La science autrement Forum Mondial Sciences et Démocratie à Bélem janvier 2009</a></li></br><li>10’56 : <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=the-commons-meet-social-movements-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li></br><li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li></br></ul>communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li> <li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li> </ul>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix partage s<blockquote><p>Remix partage sa documentation sur les communs en utilisant Zotero dans un groupe nommé <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters" rel="noopener" target="_blank">Urban Commons and Charters</a> et contribue à la bibliographie <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp" rel="noopener" target="_blank">Communauthèque (NDDL, pour CEDIDELP) </a> à l’origine réalisée pour la ZAD Notre Dame des Landes par SavoirsCom1 et le CEDIDELP. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png" alt="" width="800" class="alignnone size-full wp-image-6841" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1.png 509w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/08/Zotero1_Capture_2022-08-24_10-16-53-1-342x198.png 342w" sizes="(max-width: 509px) 100vw, 509px" /></p></br><p><a href="https://www.zotero.org/">Zotero</a> est un outil gratuit et facile à utiliser pour collecter, organiser, citer et partager vos recherches documentaires.</p></br><p>Vous pouvez vous inscrire en cliquant sur « Login – Register for a free account ».</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-6795" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image1-303x341.jpg" alt="" width="307" height="346" /></p></br><p>Une fois votre compte créé, vous pouvez rejoindre les groupes qui vous intéressent. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/1201109/urban_commons_and_charters">Urban Commons and Charters</a>« , référence des documents sur les communs en général et les communs urbains avec une attention particulière aux chartes et mécanismes juridiques qui activent les communs. Il inclue une entrée « pour débuter », une « Pour approfondir » et des études de cas ou expériences, ainsi que des entrées correspondantes aux thématiques des projets plus récents de Remix. Le groupe « <a href="https://www.zotero.org/groups/964423/communauthque_nddl_pour_cedidelp">Communauthèque</a> » collecte une bibliographie plus large sur les communs. </p></br><p>Pour rejoindre un groupe, vous devez cliquer sur « join the group » en bas de la page correspondante :<br /></br><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-6796" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /></br>Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>ww.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2022/06/Image2.jpg" alt="" width="304" height="480" /><br /> Vous pouvez aussi adresser un message à info@remixthecommons.org pour plus de renseignements. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Remix the Commo<blockquote><p>Remix the Commons is invited to present a selection of videos on the subject of common property knowledge to the BNF on November 18.</p></blockquote></br><p>Peuple et Culture and the National Library of France (BNF), will devoting their third workshop to the knowledge commons the 18 of November 2013, with a collective reading of the book <em>Libres savoirs, les biens communs de la connaissance </ em> and the show of video interviews selected in our catalog Remix the Commons. It aims at explore the issues of collective production, sharing and dissemination of knowledge as commons .</em></p></br><p>It takes place at the National Library of France , West Entrance , Quai François Mauriac , Paris XIII.</p></br><p>Metro : Quai de la Gare or Bibliothèque François Mitterrand.</p></br><p>For further information, please contact Adrien Thoreau or Alexane the Peuple et Culture Union , 01 49 29 42 80 – 09 50 06 42 80</p></br><p><strong><br /></br>List document presented: </strong></p></br><ul></br><li>1’30 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=define-the-commons-i">Définir le Bien Commun I</a></li></br><li>3’45 » <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=sk">Sansy Kaba Diakité, L’Harmattan Guinée</a></li></br><li>08’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=le-mouvement-des-biens-communs">La science au secours de la démocratie – Le mouvement des biens communs</a></li></br><li>2’26 La science vassalisée 1 – Privatisation et concentration du savoir humain</li></br><li>10’00 Jean-Claude Guédon (Université de Montréal – Québec) : <a href="http://cfeditions.com/sciences-et-democratie/?a=jcg1">Petite histoire du mouvement vers l’accès libre – La science est une grande conversation</a> Partie 1</li></br><li>6’39 La science au secours de la démocratie – l’expérience Indienne</li></br><li>1’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-abdourahmane-seck">Définir les communs – Abdourahmane Seck</a></li></br><li>19’00<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=sciences-et-democratie-la-lecon-du-tapajos"> « la leçon du Tapajos »</a></li></br><li>7’00 <a href=" https://www.remixthecommons.org/?fiche=science-et-democratie-la-science-autrement">Science et démocratie : La science autrement Forum Mondial Sciences et Démocratie à Bélem janvier 2009</a></li></br><li>10’56 : <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=the-commons-meet-social-movements-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li></br><li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li></br></ul>ents-olivier-sagna-in-dakar">Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar</a></li> <li>8’00 <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=jean-luc-nancy-pour-une-commune-pensee">Jean-Luc Nancy – « Pour une commune pensée »</a></li> </ul>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Un CommonsCamp <blockquote><p>Un CommonsCamp aura lieu à Grenoble (France) du 22 au 26 août, lors de l’<a href="https://ue2018.org/">Université d’été des mouvements sociaux français</a>.</p></blockquote></br><figure style="width: 275px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/thumb/Flyer_CommonsCamp_VF.1-1.jpg/723px-Flyer_CommonsCamp_VF.1-1.jpg" alt="CommonsCamp programme" width="275" height="390" /><figcaption class="wp-caption-text">CommonsCamp programme</figcaption></figure></br><p>Rassemblement ouvert et auto-organisé, cet événement est structuré en 3 modules: COMMUNS, MUNICIPALISME et DROITS À LA VILLE et CARTOGRAPHIE et SYNERGY, deux réunions dédiés à la fabrication d’outils numériques pour les commoners. Le CommonsCamp se terminera par un atelier destiné à identifier les suites possibles ou les prochaines étapes.<br /></br>Deux expositions seront organisées lors de l’événement: « <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Expo_sur_les_communs">Les communs</a> » et « <a href="https://www.facebook.com/events/1651602484889455/">Les voies de la démocratie</a>« .</p></br><p>Ce CommonsCamp se concentrera sur le partage des connaissances et des compétences pratiques déployées dans le domaine des communs urbains. Il vise à stimuler l’émergence et la réalisation de projets concrets et de collaborations futures entre les commoners.</p></br><p>Pour plus d’informations, jetez un oeil au programme: en <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/ryZjgnXZm#">ANGLAIS</a><br /></br>ou bien en <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/SyLhb9ff7">FRANÇAIS</a>, à la liste des <a href="https://hackmd.lescommuns.org/s/By5srebX7#">contributeurs / participants</a>.</p></br><p>Toutes les informations (programme, préparation, contributeurs, actions, budget sont accessibles <a href="https://frama.link/commonscamp2018-sommaire">en ligne</a>.</p></br><p>Le CommonsCAmp bénéficie d’une interprétation en FR et EN lors des réunions plénières. Pour les autres activités, les organisateurs et le facilitateur feront en sorte que tout le monde soit en mesure de participer (ex: interprétation en chuchotant).</p></br><p>La documentation (prise de notes, photos, audio / vidéo) sera un effort collectif, chacun étant invité à contribuer à notre récolte collective de connaissances. Un groupe de bénévoles assistera quotidiennement à la récolte et à la publication du contenu sur le Web.</p></br><p>Vous pouvez déjà commencer à contribuer en envoyant des messages à cette liste, en<br /></br>éditant un pad ou en envoyant des demandes ou du matériel à Mélanie Pinet <pinet.melanie75@gmail.com> ou FrédéricSultan: fredericsultan@gmail.com.</p></br><p>Bel été à tous !</p>buer en envoyant des messages à cette liste, en<br /> éditant un pad ou en envoyant des demandes ou du matériel à Mélanie Pinet <pinet.melanie75@gmail.com> ou FrédéricSultan: fredericsultan@gmail.com.</p> <p>Bel été à tous !</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Une expérience <blockquote><p>Une expérience d’autogestion d’infrastructure computationnelle pour inscrire la souveraineté numérique dans le cadre de la réflexion sur la transition et passer à l’acte !</p></blockquote></br><p>Avec d’autres personnes et organisations, et en collaboration avec <a href="https://www.koumbit.org/">Koumbit</a>, Remix the commons développe une réponse collective aux besoins d’outils et d’infrastructures numériques. L’idée est d’assurer la pleine souveraineté numérique sur nos travaux, nos échanges et nos données en s’inscrivant dans la vision énoncée dans la Charter for Building a Data Commons for a Free, Fair and Sustainable Future.</p></br><p>Après avoir testé avec Koumbit hébergeur indépendant et solidaire de Montréal, notre capacité à mettre en place et gérer certains outils basés sur le libre et les communs sur un serveur partagé, nous avons conçu un dispositif de coopération sur un modèle proche de celui des AMAP, que nous appelons le Konbit numérique, en référence au<a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Konbit"> konbit des paysans haïtiens</a>. Le Konbit numérique est un prototype de « commun computationnel » au service des projets de commoners. Il propose une infrastructure de travail qui permet d’atteindre progressivement des objectifs d’indépendance et de souveraineté pour faire face aux besoins d’usages numériques.</p></br><p>Notre Konbit numérique est constitué par un groupe d’utilisateurs identifiés et un administrateur de serveur, coopérateur de Koumbit. Il repose sur un serveur de 6 To hébergé par Koumbit à Montréal (<a href="https://nuage.en-commun.net">https://nuage.en-commun.net)</a>, dans lequel sont installées les applications dont nous avons besoin, outils basés sur le libre et les communs : partage de fichiers, calendriers, gestion de taches, édition en ligne de documents textes, tableau, courriel, …et surtout ferme de wiki. Cela couvre une large part des usages numériques actuels de nos organisations.</p></br><p>Les utilisateurs prennent part à la gouvernance, et autant que faire se peut à la maintenance. Le travail de l’administrateur du serveur est pris en charge par le collectif à travers un système de crédit temps d’intervention mensuel. Celui-ci inclue en plus du temps dédié à la maintenance du serveur, du temps réservé à des développements techniques futurs qui sera affecté en fonction des besoins du Konbit. L’idée est donc de préfinancer solidairement une infrastructure numérique dédiée au collectif. Cette infrastructure sort d’une logique capitaliste. Elle ne cherche pas à faire plus rentabilité pour extraire un profit, mais à satisfaire les besoins du collectif. Elle permet d’entamer un processus en vue de « degoogliser » nos pratiques numériques.</p></br><p>Chaque personne engagé dans les projets des partenaires, parties prenantes de cette initiative, a accès à cet espace et l’utilise dans le cadre de ses activités en lien avec les communs. Chaque partenaire peut contribuer à faire vivre et à assurer l’évolution du konbit en souscrivant une ou plusieurs parts de soutien solidaire (montant suggéré : 15 € – 20 $CAD par mois, ou selon les budgets et les besoins des projets), et selon le principe qui vise à découpler usage et commerce (principe 3 de la Charte mentionnée ci-dessus). Nous nous sommes fixé comme objectif d’élargir progressivement le premier collectif jusqu’à un équilibre entre besoin/capacité technique et financement/gouvernance. On estime qu’une 20aine de membres serait une taille du collectif intéressante. Puis d’autres Konbits pourraient voir le jour et permettre un fonctionnement de type fédéré.</p></br><p>Le konbit numérique n’est pas une structure ouverte comme peut l’être un chaton (service en ligne ouvert à tous), encore moins un hébergeur alternatif, mais une expérience d’autogestion d’infrastructure computationnelle par ses usagers. Il est encore un peu tôt pour tirer des leçons de cette démarche, mais on peut penser que cette initiative permet aux organisations d’inscrire la souveraineté numérique dans le cadre de leur réflexion sur la transition et de passer à l’acte. Nous espérons que l’accompagnement de tels processus pourrait être un défi qui intéresse les libristes.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Une session de <blockquote><p>Une session de <a href="http://mappingthecommons.net/">mapping the commons</a> se déroulera à Rio du 18 to 26 october 2013 coordonnée par <a href="http://hackitectura.net/">Pablo de Soto</a> en collaboration avec <a href="http://www.bernardogutierrez.es/">Bernardo Gutiérrez</a> et le soutien de MediaLab (Madrid).</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/Nrtbi9gbuWw?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Mapping the commons est un projet développé par Pablo de Soto. Cette initiative vise à produire avec les habitants, les activistes dans le territoire, des cartographies vivantes, composées de courtes vidéos documentaires et de vidéoposts. La démarche proposée prend la forme d’un intense atelier de plusieurs jours avec des étudiants en communication et des activistes pour rechercher les communs, les définir et rendre visible sur le territoire en produisant les médias qui constitueront la carte.</p></br><p>Pablo de Soto a initié cette approche autour des biens communs urbains d’<a href="http://mappingthecommons.net/map-of-istanbul-commons/">istambul</a> et <a href="http://mappingthecommons.net/map-of-athens-commons/">Athènes</a>, On peut voir en particulier qu’un travail avait été conduit sur <a href="http://mappingthecommons.net/taksim-square/">Taksim Square</a>, dont la privatisation a été l’un des points de départ de la contestation en Turquie cette année. La cartographie est un outil stratégique. Mais la recherche des biens communs est un processus de cartographie de l’espace urbains qui doit se comprendre, bien sur « ainsi que le proposent Deleuze et Guattari, et l’ont utilisé de nombreux artistes et activistes durant la dernière décade, comme une <a href="http://cartografiaciudadana.net/athenscommons/auto.php">performance</a> qui peut devenir réflexion, travail artistique, ou action de transformation sociale » (Pablo Soto).</p></br><p>Le 20 mars 2013 un wikisprint a été réalisé à Barcelone utilisant les mêmes principes et méthodologie. Sous le titre de « Global P2P », il s’agissait de cartographier les pratiques de Communs et de P2P en Amérique latine et en Europe du sud. Voir en anglais <a href=" http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/08/07/globalp2p-the-wind-that-shook-the-net/">#GlobalP2P, the wind that shook the net</a>. </p></br><p>Rio, prochaine étape de Mapping the commons, est l’une des villes qui vient de vivre, comme le reste du Brésil, des mobilisations sociales et politiques intenses contre des festivités internationales à venir qui tendent à <a href="http://scinfolex.wordpress.com/?s=olympique">privatiser l’espace public</a>. Beaucoup considèrent que ces mobilisations, leurs revendications et leurs modes d’organisation relèvent du paradigme des Communs. Voir les analyses sur le sujet de Bernardo Guttierez dans <a href="http://codigoabiertocc.wordpress.com/2013/05/23/globalp2p-el-viento-que-desordeno-las-redes/">globalp2p el viento que desordeno las redes</a> et d’Alexandre Mendes dans <a href="http://uninomade.net/tenda/a-atualidade-de-uma-democracia-das-mobilizacoes-e-do-comum/"> A atualidade de uma democracia das mobilizacoes e do comum/</a></p></br><p>Pour aller plus loin, lire l’article <a href="http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop">Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul</a>, Pablo De Soto, Daphne Dragona, Aslıhan Şenel, Demitri Delinikolas, José Pérez de Lama</p>"http://www.academia.edu/2637017/Mapping_the_Commons_Workshop">Mapping the Commons Workshop: Athens and Istanbul</a>, Pablo De Soto, Daphne Dragona, Aslıhan Şenel, Demitri Delinikolas, José Pérez de Lama</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>italiano sotto&<blockquote><p>italiano sotto</p></blockquote></br><p><strong>Festival International des communs, Chieri, Italie, Dimanche, 12 juillet, de 12:00 à 18:00.</strong><br /></br>Salle : Sala conferenze della biblioteca</p></br><p>Reconquérir, protéger et créer des communs dans nos quartiers et dans nos villes, les communs urbains, contribue à la réalisation effective et quotidienne de droits fondamentaux et de droits sociaux.</p></br><p>En pratique, ces luttes prennent des formes multiples. Toutes sont confrontées à la nécessité de la création et de l’usage d’instruments juridiques originaux qui permettent d’administrer des ressources partagées en communs en vue de répondre à un besoin spécifique au sein d’une communauté. Chacune de ces créations juridiques est singulière. Elle correspond à un contexte, à une vision, à une culture.</p></br><p>Elle nous renseigne sur l’inventivité et l’imagination créative des commoners et sur la relation qu’ils entretiennent avec l’État à l’échelle locale, nationale ou même international.</p></br><p>La connaissance de ces expériences juridiques permet d’enrichir celles des autres commoners. L’analyse des pratiques qui les ont produites ou inspirées, est un facteur potentiel de développement et de multiplication des communs. Dans le cadre du Festival des communs de Chieri, nous proposons un atelier pour élaborer collaborativement un outil d’analyse des instruments juridiques, des statuts, des chartes et des règlements pour les communs. Cet outil, l’Atlas des chartes des communs urbains, servira à connaître la nature, comprendre le fonctionnement, les effets et les conditions de développement des instruments juridiques favorables aux communs. Ce sera une ressource opérationnelle et critique pour les échanges et les collaborations entre collectifs de commoners engagés dans la revendication de communs urbains, dans des projets de différentes natures, situés dans différents contextes culturels, droits locaux et nationaux.</p></br><p>L’atelier sera organisé en deux temps distincts auxquels il est possible de participer indépendamment :</p></br><p><strong>De 12:00 à 15:00.</strong><br /></br>– le premier atelier permettra de faire l’inventaire et de partager toutes les démarches et les expériences qui valorisent les instruments juridiques des communs urbains, afin de faciliter la coopération entre les militants, les initiatives et les organisations engagées;</p></br><p><strong>De 15:00 à 18:00.</strong><br /></br>– le deuxième temps permettra une mise en pratique de l’analyse d’instruments juridiques, statuts, délibération, règlements et chartes des communs urbains, à partir d’une première grille de lecture qui servira de matrice à l’Atlas des chartes des communs urbains. L’objectif sera de réaliser une première itération de cette grille d’analyse, afin de pouvoir l’améliorer. Il s’agira aussi élaborer un ou plusieurs scénario d’usage de cet outil correspondant à des besoins identifiés.</p></br><p>Les deux ateliers seront animés par : Alain Ambrosi, Irene Favero, Daniela Festa, Frédéric Sultan</p></br><p><strong>Inscription recommandées afin de faciliter l’organisation de l’atelier : </strong><a href=" http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p></br><p><strong>Contact : </strong><br /></br><a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /></br><a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /></br><a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /></br><a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p></br><blockquote><p>ITALIANO</p></blockquote></br><h2>WORKSHOP: Creazione di un Atlante degli statuti dei Commons Urbani</h2></br><p><strong>Festival Internazionale dei Beni Comuni, Domenica 12 luglio dalle 12:00 alle 18:00.</strong><br /></br>Sala conferenze della biblioteca</p></br><p>Rivendicare, proteggere e creare commons nei nostri quartieri e nelle le nostre città contribuisce all’attuazione effettiva e quotidiana di diritti fondamentali e di diritti sociali.</p></br><p>Nella pratica, le lotte per i beni comuni urbani possono assumere forme eterogenee. Tutte si trovano confrontate, tuttavia, alla necessità di usare o creare regole e strumenti giuridici che permettano di governare risorse condivise per rispondere a esigenze specifiche di un comunità. Tali strumenti hanno caratteri propri. Corrispondono a determinati contesti e visioni e sono espressioni di determinate culture. Forniscono informazioni sull’inventività e l’immaginazione creativa dei commoners e la relazione che questi hanno con lo Stato a livello locale, nazionale, internazionale.</p></br><p>La conoscenza di queste esperienze giuridiche può arricchire gli altri commoners. L’analisi delle pratiche che le hanno prodotte o ispirate è un potenziale fattore di sviluppo e moltiplicazione dei commons. Nel contesto del Festival dei beni comune di Chieri, proponiamo un workshop per elaborare collettivamente uno strumento di analisi di statuti, dichiarazioni e regolamenti che si sono prodotti a partire dai beni comuni. Questo strumento, “Atlante degli statuti dei commons urbani”, servirà a comprenderne la natura, analizzarne il funzionamento e gli effetti e individuare le condizioni e le premesse per lo sviluppo di strumenti giuridici che possano favorire i commons. Sarà una risorsa critica e operativa per gli scambi e la cooperazione tra i collettivi di commoners impegnati nella rivendicazione dei diversi beni comuni urbani situati in diversi contesti culturali e giuridici.</p></br><p>Il workshop sarà organizzato in due momenti diversi ai quali è possibile partecipare in modo indipendente:</p></br><p><strong>Delle 12:00 alle 15:00:</strong><br /></br>– Il primo workshop si propone di individuare e condividere le pratiche e le esperienze ascrivibili alle rivendicazioni di urban commons per facilitare la cooperazione tra attivisti, esperienze e realtà presenti;</p></br><p><strong>Dalle 15:00 alle 18:00:</strong><br /></br>– Il seconda workshop consentirà di sperimentare l’analisi dei diversi strumenti giuridici elaborati: statuti, regolamenti, delibere, linee guida a partire da una prima griglia di lettura che servirà da matrice per L’Atlante degli statuti dei commons urbani.</p></br><p>L’obiettivo è quello di realizzare una prima sperimentazione della griglia d’analisi per correggerla e migliorarla e di proporre uno o più scenari di utilizzo dello strumento corrispondente alle necessità emerse durante l’insieme dei lavori.</p></br><p>Entrambi i laboratori saranno condotti da: Alain Ambrosi, Irene Favero, Daniela Festa, Frédéric Sultan</p></br><p>Registrazione raccomanda di facilitare lo svolgimento del workshop : <a href=" http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p></br><p><strong>Contact : </strong><br /></br><a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /></br><a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /></br><a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /></br><a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p>/doodle.com/9myczsrttbb7mvu8">http://doodle.com/9myczsrttbb7mvu8</a></p> <p><strong>Contact : </strong><br /> <a href="mailto:ambrosia@web.net">Alain Ambrosi</a><br /> <a href="mailto:irenefavero@reseauculture21.fr">Irene Favero</a><br /> <a href="mailto:festadaniela@gmail.com">Daniela Festa</a><br /> <a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan </a></p>)
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  • Chargement/Site  + (<div class="mx_EventTile mx_EventTile_1<div class="mx_EventTile mx_EventTile_12hr mx_EventTile_continuation" tabindex="-1" aria-atomic="true"></br><div class="mx_EventTile_line"></br><figure id="attachment_6635" aria-describedby="caption-attachment-6635" style="width: 342px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6635 " src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-342x222.jpg" alt="La révolution des communs et le droit" width="342" height="222" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-342x222.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-607x395.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-768x499.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-1536x999.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240.jpg 1958w" sizes="(max-width: 342px) 100vw, 342px" /><figcaption id="caption-attachment-6635" class="wp-caption-text">La révolution des communs et le droit</figcaption></figure></br></div></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Étienne Le Roy est l’un des pères de l’anthropologie du droit, dont le creuset a été la connaissance des formes de partage de la terre dans les cultures africaines. </span></span><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Dans cet ouvrage il nous propose de mettre ce savoir au service d’une compréhension des communs émergents dans nos sociétés modernes. Déroulant le fil de la juridicité des communs, l’auteur nous amène à distinguer les néo-communs, ceux qui sont produits par la société capitaliste elle-même, pour en comprendre toute la complexité et dégager les implications autant politiques et juridiques que scientifiques, de leur émergence. </span></span></p></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Ouvrage posthume, La révolution des communs et le droit nous transmet toute l’énergie que son auteur n’a cessé de puiser dans le dialogue interculturel et la conviction que le pluralisme normatif nous apporte des outils pour nous projeter dans la postmodernité.</span></span></p></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Publié en collaboration par les <a href="https://www.editionscienceetbiencommun.org/la-revolution-des-communs-et-le-droit/" target="_blank" rel="noopener">Éditions Science et Bien Commun</a> </span></span><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">et Remix the Commons.</span></span></p></br><div class="mx_MessageActionBar" role="toolbar" aria-label="Actions de message" aria-live="off"></br><div class="mx_AccessibleButton mx_MessageActionBar_maskButton mx_MessageActionBar_replyButton" tabindex="-1" role="button" aria-label="Répondre"></br><div>Pour accéder au <a href="https://scienceetbiencommun.pressbooks.pub/communsdroit/" target="_blank" rel="noopener">livre en version html, cliquez ici</a>.<br /></br>Pour télécharger le <a href="https://doi.org/10.5281/zenodo.5730710" target="_blank" rel="noopener">PDF, cliquez ici</a>.</div></br><div>La version papier est à prix libre avec contribution aux frais de port (5,91€ pour un envoi en France métropolitaine et sur consultation pour l’Europe et le reste du monde). Rendez vous sur <a href="https://opencollective.com/la-revolution-des-communs#category-ABOUT">Open Collective</a>.</div></br></div></br><div class="mx_AccessibleButton mx_MessageActionBar_maskButton mx_MessageActionBar_optionsButton" tabindex="-1" role="button" aria-haspopup="true" aria-expanded="false" aria-label="Options"></br><div></div></br></div></br></div></br></div></br><div class="mx_EventTile mx_EventTile_12hr mx_EventTile_continuation" tabindex="-1" aria-atomic="true"></br><p class="mx_EventTile_line"><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Si vous souhaitez réaliser une recension de l’ouvrage, vous pouvez nous contacter en envoyant un courriel à <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a><br /></br></span></span></p></br></div>="true"> <p class="mx_EventTile_line"><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Si vous souhaitez réaliser une recension de l’ouvrage, vous pouvez nous contacter en envoyant un courriel à <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a><br /> </span></span></p> </div>)
  • Chargement/Site  + (<div class="mx_EventTile mx_EventTile_1<div class="mx_EventTile mx_EventTile_12hr mx_EventTile_continuation" tabindex="-1" aria-atomic="true"></br><div class="mx_EventTile_line"></br><figure id="attachment_6635" aria-describedby="caption-attachment-6635" style="width: 342px" class="wp-caption alignleft"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6635 " src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-342x222.jpg" alt="La révolution des communs et le droit" width="342" height="222" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-342x222.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-607x395.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-768x499.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240-1536x999.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/11/IMG_20211110_162559509-scaled-e1638039020240.jpg 1958w" sizes="(max-width: 342px) 100vw, 342px" /><figcaption id="caption-attachment-6635" class="wp-caption-text">La révolution des communs et le droit</figcaption></figure></br></div></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Étienne Le Roy est l’un des pères de l’anthropologie du droit, dont le creuset a été la connaissance des formes de partage de la terre dans les cultures africaines. </span></span><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Dans cet ouvrage il nous propose de mettre ce savoir au service d’une compréhension des communs émergents dans nos sociétés modernes. Déroulant le fil de la juridicité des communs, l’auteur nous amène à distinguer les néo-communs, ceux qui sont produits par la société capitaliste elle-même, pour en comprendre toute la complexité et dégager les implications autant politiques et juridiques que scientifiques, de leur émergence. </span></span></p></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Ouvrage posthume, La révolution des communs et le droit nous transmet toute l’énergie que son auteur n’a cessé de puiser dans le dialogue interculturel et la conviction que le pluralisme normatif nous apporte des outils pour nous projeter dans la postmodernité.</span></span></p></br><p><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Publié en collaboration par les <a href="https://www.editionscienceetbiencommun.org/la-revolution-des-communs-et-le-droit/" target="_blank" rel="noopener">Éditions Science et Bien Commun</a> </span></span><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">et Remix the Commons.</span></span></p></br><div class="mx_MessageActionBar" role="toolbar" aria-label="Actions de message" aria-live="off"></br><div class="mx_AccessibleButton mx_MessageActionBar_maskButton mx_MessageActionBar_replyButton" tabindex="-1" role="button" aria-label="Répondre"></br><div>Pour accéder au <a href="https://scienceetbiencommun.pressbooks.pub/communsdroit/" target="_blank" rel="noopener">livre en version html, cliquez ici</a>.<br /></br>Pour télécharger le <a href="https://doi.org/10.5281/zenodo.5730710" target="_blank" rel="noopener">PDF, cliquez ici</a>.</div></br><div>La version papier est à prix libre avec contribution aux frais de port (5,91€ pour un envoi en France métropolitaine et sur consultation pour l’Europe et le reste du monde). Rendez vous sur <a href="https://opencollective.com/la-revolution-des-communs#category-ABOUT">Open Collective</a>.</div></br></div></br><div class="mx_AccessibleButton mx_MessageActionBar_maskButton mx_MessageActionBar_optionsButton" tabindex="-1" role="button" aria-haspopup="true" aria-expanded="false" aria-label="Options"></br><div></div></br></div></br></div></br></div></br><div class="mx_EventTile mx_EventTile_12hr mx_EventTile_continuation" tabindex="-1" aria-atomic="true"></br><p class="mx_EventTile_line"><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Si vous souhaitez réaliser une recension de l’ouvrage, vous pouvez nous contacter en envoyant un courriel à <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a><br /></br></span></span></p></br></div>="true"> <p class="mx_EventTile_line"><span class="mx_MTextBody mx_EventTile_content"><span class="mx_EventTile_body" dir="auto">Si vous souhaitez réaliser une recension de l’ouvrage, vous pouvez nous contacter en envoyant un courriel à <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a><br /> </span></span></p> </div>)
  • Chargement/Site  + (<figure id="attachment_6619" aria-descr<figure id="attachment_6619" aria-describedby="caption-attachment-6619" style="width: 512px" class="wp-caption alignnone"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-full wp-image-6619" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/08/Conseil_dEtat_Paris.jpg" alt="<a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Conseil_d%27%C3%89tat_(Paris).jpg">Gzen92</a>, <a href="https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0">CC BY-SA 4.0</a>, via Wikimedia Commons" width="512" height="384" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/08/Conseil_dEtat_Paris.jpg 512w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/08/Conseil_dEtat_Paris-342x257.jpg 342w" sizes="(max-width: 512px) 100vw, 512px" /><figcaption id="caption-attachment-6619" class="wp-caption-text"><a href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Conseil_d%27%C3%89tat_(Paris).jpg">Gzen92</a>, <a href="https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0">CC BY-SA 4.0</a>, via Wikimedia Commons</figcaption></figure></br><p>Adopté par l’Assemblée nationale, le projet de loi confortant le respect des principes de la République a fait l’objet de deux saisines du Conseil Constitutionnel. L’une sur l’article 49 de la loi, relatif à l’enseignement en famille par les députés des groupes LR, UDI et Libertés et Territoires (<a href="https://www.deputes-les-republicains.fr/images/documents/Saisine-CC-PJL-respect-principes-de-la-Republique-et-lutte-contre-le-separatisme.pdf">lien</a>) et l’autre sur les articles 4, 6, 7, 8, 14 bis AA et 18 par 71 députés des groupes Gauche démocrate et républicaine, La France insoumise et Socialistes et apparentés (<a href="https://lafranceinsoumise.fr/2021/07/23/loi-separatisme-la-france-insoumise-participe-au-recours-collectif-devant-le-conseil-constitutionnel/">lien</a>). Le Conseil Constitutionnel prévoit de rendre sa décision le 13 août (<a href="https://www.conseil-constitutionnel.fr/actualites/calendrier-de-travail-sur-les-decisions-a-venir">https://www.conseil-constitutionnel.fr/actualites/calendrier-de-travail-sur-les-decisions-a-venir</a>).</p></br><p><strong>Remix est co-signataire de la contribution extérieure associative demandant la censure de plusieurs articles du projet de loi envoyée le lundi 26 juillet au Conseil Constitutionnel. </strong><strong>Vous retrouverez l’intégralité de la contribution extérieure sur le site de L.A. Coalition pour les libertés associatives en cliquant ici</strong> : <a href="https://www.lacoalition.fr/CP-LA-Coalition-pour-les-libertes-associatives-demande-au-Conseil">https://www.lacoalition.fr/CP-LA-Coalition-pour-les-libertes-associatives-demande-au-Conseil</a></p>.fr/CP-LA-Coalition-pour-les-libertes-associatives-demande-au-Conseil">https://www.lacoalition.fr/CP-LA-Coalition-pour-les-libertes-associatives-demande-au-Conseil</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<figure id="attachment_6626" aria-descr<figure id="attachment_6626" aria-describedby="caption-attachment-6626" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6626 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg" alt="" width="607" height="273" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-342x154.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-768x346.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1.jpg 1024w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6626" class="wp-caption-text">Photo Vincent Calle</figcaption></figure></br><h2>Appel en commun</h2></br><p>le 19 février 2021.Rencontre avec Joël Lecussan, coordinateur de Mix’art Myris et une personne membre d’un lieu, une réalité sociale du réseau italien des communs urbains, à partir des questions suivantes : <strong>Comment créer et maintenir des conditions d’une pérennité des lieux indépendants en communs ? Quelles stratégies ont été mises en place ? Quelles expériences partager et quelles solidarités pour soutenir les lieux menacés ?</strong></p></br><p style="padding-left: 40px;">Date : mardi 23/02/2021<br /></br>Heure : de 20 h à 21 h CET (Paris) – 14 h à 15 h EDT (Montréal)<br /></br>Rencontre en ligne : <a href="https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw">https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw</a><br /></br>(utilisez votre navigateur – aucune installation d’application n’est nécessaire)<br /></br>La rencontre se déroulera en français.</p></br><p>Un grand nombre de lieux occupés fonctionnent sur la base des communs. Les artistes y trouvent un espace de travail collectif alors qu’ils sont souvent confrontés à la rareté des espaces accessibles en milieu urbain. Ils sont le creuset où s’élabore la production artistique à laquelle aura accès le public. Ces lieux sont aussi des espaces les communautés produisent, diffusent et reproduisent de la connaissance utile à leur membres. Ils permettent de satisfaire de nombreux besoins d’utilisatrices et d’utilisateurs dans des domaines très variés : santé, alimentation, éducation, accès aux droits, accueil des réfugié-e-s pour ne citer que les plus courants. Ce rapport à la communauté en fait de véritables lieux en commun, de l’agir en commun : auto-organisation et horizontalité de la gouvernance, partage des ressources, soin apporté à la communauté et ses conditions d’existence.</p></br><p>Pourtant, l’existence de ces lieux est fragile. Leur rôle est remis en cause et ils sont souvent menacés d’expulsion sur des bases administratives. C’est ce qui arrive aujourd’hui à Mix’art à Toulouse. Mix’art Myris, c’est pourtant le squat emblématique de la scène artistique et sociale de la ville rose. Des générations de plasticiens, sculpteurs, circaciens s’y sont retrouvés. Et ces dernières années, le lieu est devenu un point de ralliement pour le mouvement des gilets jaunes. L’appel en commun sera l’occasion d’un échange sur entre militants français et italiens qui font face à ces questions et imaginent des stratégies pour défendre les lieux communs.</p>éfendre les lieux communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<figure id="attachment_6626" aria-descr<figure id="attachment_6626" aria-describedby="caption-attachment-6626" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6626 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg" alt="" width="607" height="273" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-342x154.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-768x346.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1.jpg 1024w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6626" class="wp-caption-text">Photo Vincent Calle</figcaption></figure></br><h2>Appel en commun</h2></br><p>le 19 février 2021.Rencontre avec Joël Lecussan, coordinateur de Mix’art Myris et une personne membre d’un lieu, une réalité sociale du réseau italien des communs urbains, à partir des questions suivantes : <strong>Comment créer et maintenir des conditions d’une pérennité des lieux indépendants en communs ? Quelles stratégies ont été mises en place ? Quelles expériences partager et quelles solidarités pour soutenir les lieux menacés ?</strong></p></br><p style="padding-left: 40px;">Date : mardi 23/02/2021<br /></br>Heure : de 20 h à 21 h CET (Paris) – 14 h à 15 h EDT (Montréal)<br /></br>Rencontre en ligne : <a href="https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw">https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw</a><br /></br>(utilisez votre navigateur – aucune installation d’application n’est nécessaire)<br /></br>La rencontre se déroulera en français.</p></br><p>Un grand nombre de lieux occupés fonctionnent sur la base des communs. Les artistes y trouvent un espace de travail collectif alors qu’ils sont souvent confrontés à la rareté des espaces accessibles en milieu urbain. Ils sont le creuset où s’élabore la production artistique à laquelle aura accès le public. Ces lieux sont aussi des espaces les communautés produisent, diffusent et reproduisent de la connaissance utile à leur membres. Ils permettent de satisfaire de nombreux besoins d’utilisatrices et d’utilisateurs dans des domaines très variés : santé, alimentation, éducation, accès aux droits, accueil des réfugié-e-s pour ne citer que les plus courants. Ce rapport à la communauté en fait de véritables lieux en commun, de l’agir en commun : auto-organisation et horizontalité de la gouvernance, partage des ressources, soin apporté à la communauté et ses conditions d’existence.</p></br><p>Pourtant, l’existence de ces lieux est fragile. Leur rôle est remis en cause et ils sont souvent menacés d’expulsion sur des bases administratives. C’est ce qui arrive aujourd’hui à Mix’art à Toulouse. Mix’art Myris, c’est pourtant le squat emblématique de la scène artistique et sociale de la ville rose. Des générations de plasticiens, sculpteurs, circaciens s’y sont retrouvés. Et ces dernières années, le lieu est devenu un point de ralliement pour le mouvement des gilets jaunes. L’appel en commun sera l’occasion d’un échange sur entre militants français et italiens qui font face à ces questions et imaginent des stratégies pour défendre les lieux communs.</p>éfendre les lieux communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<h1 id="magicdomid852"><strong><h1 id="magicdomid852"><strong>Présentation</strong></h1></br><h3 id="magicdomid4">Contexte :</h3></br><div id="magicdomid63">En automne 2012, j’ai été invitée à accompagner un groupe de treize adolescents-es dans une expérience interculturelle et humanitaire en tant que vidéaste documentaire. Organisé par le Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVSEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine, le séjour s’est déroulé au Bénin (du 4 au 22 janvier 2013) avec la Société des Missions Africaines. Mon mandat: réaliser un documentaire sur l’expérience béninoise. Étant à ce moment animatrice vidéo chez Communautique, le séjour humanitaire a été l’occasion de créer des liens avec mon milieu de travail. J’ai donc proposé la création de capsules vidéo sur les biens communs au Bénin.</div></br><div id="magicdomid7"></div></br><div id="magicdomid8">Pour préparer l’expérience à l’étranger, il y a eu deux camps de formation. J’ai préparé des ateliers vidéo pour transmettre des connaissances techniques, pour expérimenter avec les jeunes et pour scénariser la vision du projet vidéo. Lors du deuxième camp, la notion de bien commun a été abordé en parallèle à la présentation de Remix Biens Communs. J’ai invité les jeunes à choisir trois thèmes qui les interpellaient. Ils ont identifié l’eau, l’éducation et la culture. Ceux-ci devenaient par la suite des sujets des discussions ou d’observations pour documenter notre séjour.</div></br><div id="magicdomid9"></div></br><div id="magicdomid10">Stéphanie L.-Bérubé</div></br><div id="magicdomid11">Vidéaste documentaire</div></br><div id="magicdomid12"></div></br><h3 id="magicdomid426">Projet final : Bénin Bien Commun</h3></br><div id="magicdomid14"></div></br><div id="magicdomid15">Le projet se traduit en une série de cinq capsules vidéo, réalisées à partir du matériel recueilli, qui ouvre sur des possibilités de remix.</div></br><div id="magicdomid17"></br><ul></br><li>Chapitre de l’eau</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid18"><b>Sô-Ava et ses heaurizons </b></div></br><div id="magicdomid19">La commune de So-Âva (Ganvié) regroupe plusieurs villages dont plusieurs sont bâtis sur pilotis. La sacralité de l’eau, l’accès à l’eau potable et la culture locale de la pêche sont abordés dans cette vidéo qui sert les objectifs de VOIR et d’ANALYSER du Service en animation et à la vie étudiante et communautaire (SAVEC).</div></br><div id="magicdomid20"></div></br><div id="magicdomid21"><b>PUITS</b></div></br><div id="magicdomid22">« Quand le puits est sec, on sait ce que vaut l’eau. » Ou encore, « c’est avec l’eau du corps qu’on tire celle du puits. » Vous trouverez beaucoup de ces proverbes africains, car le puits est un symbole connu de l’accès à l’eau en Afrique. Pendant notre séjour, nous avons vu une diversité de puits. Aussi, les jeunes ont pu essayer de leurs propres mains la courroie de l’accès. Une petite capsule a été réalisée afin de  lui rendre hommage, une ode indirecte à l’eau.</div></br><div id="magicdomid23"></div></br><div id="magicdomid24"></br><ul></br><li>Chapitre de l’éducation</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid25"><b>L’éducation dans tous ses états</b></div></br><div id="magicdomid26">La jeune COOP du Collège Sainte-Anne de Lachine appuie des projets d’éducation dans le monde. C’est donc avec grand intérêt que les jeunes ont souhaité abordé la diversité des lieux d’éducation au Bénin. Dans cette capsule, quatre situations (l’école rurale, l’école en pirogue, formation et réinsertion, l’éducation appliquée) sont abordées et  illustrent qu’un projet d’éducation doit s’inscrire d’abord dans le contexte local pour appuyer son développement national.</div></br><div id="magicdomid27"></div></br><div id="magicdomid28"></br><ul></br><li>Chapitre de la culture immatérielle</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid29">De l’histoire aux pratiques spirituelles, le bien commun se traduit également par la façon dont les individus se regroupent pour prendre en charge la culture immatérielle de leur nation et de notre humanité.</div></br><div id="magicdomid30"></div></br><div id="magicdomid31"><b>Le chez soi</b></div></br><div id="magicdomid32">Quel est le rôle de l’Histoire dans notre compréhension de la démocratie, des droits humains et, finalement, du bien commun? Comment le passé peut expliquer les réalités d’aujourd’hui et nous faire réfléchir sur l’avenir? Dans cette vidéo, l’histoire de l’esclavage est mis en parallèle (et donc en opposition) avec la notion du « chez soi » afin d’améliorer notre compréhension de la liberté des États africains et des Africains. Où ce chez soi commence-t-il?</div></br><div id="magicdomid33"></div></br><div id="magicdomid34" style="padding-left: 30px;">« Le chez soi est un droit inné que nul n’a le droit de violer parce qu’il est source d’affection, de bonheur, de liberté d’action, de liberté d’expression. Je crois que le chez soi commence dans le foyer. […] il s’entend à la cour, à l’environnement, à la région, au pays organisé. » <i>(intervention en introduction : « Jusqu’où es-tu chez soi? Petit déjeuner en commun à Kédougou » réalisé par Anne-Julie Rollet et Kër Thiossane en collaboration avec La Companyìa)</i></div></br><div id="magicdomid35"></div></br><div id="magicdomid36"><b>Le monde invisible</b></div></br><div id="magicdomid430">Tournée lors de la Journée internationale du vaudou au Bénin, cette vidéo présente une discussion avec les jeunes sur leur perception et  leur compréhension de la fête religieuse. Le caractère ethnographique de cette vidéo illustre la complexité de la diversité et permet de réfléchir à la façon d’aborder l’interculturel en matière de biens communs et de métaphysique à travers des questions telles que: D’où viennent  vos conceptions du monde? Comment se reflètent-elles dans vos actions, votre intégrité et, donc, votre approche du bien commun?</div></br><div id="magicdomid728"></div></br><h2 id="magicdomid850">Futur développement</h2></br><div id="magicdomid1023"></br><div id="magicdomid422">Actuellement, ce projet personnel est terminé. Il présente néanmoins un potentiel de développement et de réutilisation pour aborder les biens communs en Afrique ou la perspective interculturelle des biens communs.</div></br><div id="magicdomid410"></br><ul></br><li>Le matériel peut être utilisé pour des remixs.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid411"></br><ul></br><li>Les capsules sur l’eau pourraient être utilisées dans des projets vidéo sur l’eau selon différents pays. Par exemple, faire un remix de « Sô-AVA et ses heaurizons » de Bénin Biens Communs et de « Ô Saint-Laurent : une histoire de culture et d’appartenance » de Communautique.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid412"></br><ul></br><li>Le chapitre sur l’éducation offre du matériel intéressant à croiser dans une réflexion mondiale sur la diversité des projets ou des réalités de l’éducation.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid413"></br><ul></br><li>Les deux capsules du chapitre « culture » mériteraient d’être améliorées par du nouveau matériel qui permettent de mieux encadrer la réflexion (qu’est-ce qu’un bien commun culturel immatériel?) et donc de la clarifier. Aussi, un remix peut mettre en parralèle de nouveaux matériels audiovisuels qui illustrent d’autres exemples concrets.</li></br></ul></br></div></br></div></br><div id="magicdomid1141">Les vidéos seront sous-titrées en français pour l’accessibilité du web pour les sourds, mais pourraient également être traduites en anglais.</div></br><div id="magicdomid1143"></div></br><h2 id="magicdomid1347">Collaborateurs</h2></br><div id="magicdomid47">Réalisation et montage : Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid48">Caméra: captation collective (les treize jeunes du groupe*), sous la direction de Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid49">* Anne-Julie, Amélie, Ariane, Cassandra, Cédric, Charlotte, Daphnée, Élaine, Mathieu, Marika, Nathaniel, Roxanne et Zoé.</div></br><div id="magicdomid50">Accompagnateurs: Martin Chevalier et François Gnonhoussou</div></br><h2 id="magicdomid1364">Financement</h2></br><p>Une production de Communautique, avec l’appui du Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine.</p></br><div id="magicdomid54"></div></br><div id="magicdomid55"></br><h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2></br></div></br><div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>p> <div id="magicdomid54"></div> <div id="magicdomid55"> <h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2> </div> <div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>)
  • Chargement/Site  + (<h2>Entrevue avec Ugo Mattei. Chieri<h2>Entrevue avec Ugo Mattei. Chieri, 14 juillet 2015</h2></br><p><strong>Auteur : Irene Favero</strong><br /></br><strong>Traduction de Camille Le Crosnier</strong></p></br><p>Cette interview a été réalisée sous la forme d’une promenade, partant de la mairie de Chieri, point central du Festival International des Communs, jusqu’à Ex Tabasso, une friche industrielle de 3000m2, située en centre ville, récupérée pour y instituer un espace en-commun.</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/images/Ugo_Mattei_-_Biennale_Democrazia_2013.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/Ugo_Mattei_-_Biennale_Democrazia_2013.jpg" width="512" height="700" /></a></p></br><p> </p></br><h3><span id="Histoire_d.27un_festival" class="mw-headline">Histoire d’un festival</span></h3></br><p>Ce festival est une tentative de travail sur l’alphabétisation des peuples par rapport aux biens communs. Dans un processus révolutionnaire il est nécessaire de ne pas retomber dans les erreurs du passé. Jusqu’à présent tous les processus révolutionnaires ont fini par retomber dans les mêmes mécanismes de pouvoir en se limitant à changer les personnes qui détiennent ces pouvoirs.</p></br><p>J’ai consacré presque toute ma carrière scientifique et académique à essayer de former des générations et des groupes de personnes qui pourront devenir des leaders une fois la révolution faite, sans retomber dans les erreurs du passé.</p></br><p>La fondation de l’IUC1 n’avait pas comme but de faire la révolution, puisqu’elle viendra de toute façon, mais de me préoccuper de ce qui viendra après. Pendant un certain temps j’ai pensé que cela pouvait se réaliser uniquement grâce aux élites, que l’on pourrait imaginer la construction d’une avant-garde. À partir de 2010-2011 environ, de la période de la première organisation du référendum, j’ai réalisé que les élites sont trop facilement corruptibles et qu’au contraire les masses ne peuvent pas être corrompues, sinon par des processus extrêmement complexes.</p></br><p>J’ai donc pensé que les biens communs devaient devenir une grammaire de masse, que l’on doive arriver d’abord à une fertilisation intellectuelle des personnes, pour leur faire comprendre ce que sont les biens communs, les risques que l’on encourt si on ne s’en préoccupe pas, la joie que l’on ressent à s’en occuper, en bref toutes ces expériences qui rendent la vie digne d’être vécue non pas comme une expérience de masturbation solipsiste mais comme une expérience plus sociale, politique. J’ai donc réfléchi à la façon de contaminer le plus de personnes possible. C’est ce que j’ai essayé de faire à Naples, avec l’idée d’alphabétisation écologique. J’avais introduit, dans le statut de l’Azienda Spéciale ABC (Acqua Bene Comune) de Naples, un chapitre consacré à cette question : investir dans la construction d’une conscience écologique dans les écoles etc. Et je l’ai fait en partie, mais ensuite l’expérience napolitaine s’est arrêtée, d’une façon plutôt dramatique d’ailleurs, et puis je me suis retrouvé avec cette opportunité.</p></br><h3><span id="Contexte_politique_de_Chieri" class="mw-headline">Contexte politique de Chieri</span></h3></br><p>Je n’aurais jamais imaginé participer à une élection administrative et encore moins vouloir devenir maire de Chieri. J’y ai une maison de vacances, mais je n’avais jamais fréquenté l’environnement politique de cette ville. Puis, un groupe de camarades m’ont dit « Ici, c’est l’ennui total, ils sont tous pareils, le Parti démocrate (centre gauche) est comme le PDL (centre droite)… », donc j’ai dit « Si vous voulez utiliser mon nom pour les menacer d’une candidature, allez-y », et ces camarades ont répandu la rumeur selon laquelle j’aurais voulu me porter candidat aux élections locales. Le Parti démocrate, surestimant mes possibilités de gagner l’élection, du fait de ma présence dans le contexte politique national, a proposé de faire un accord politique plutôt que de me laisser participer. Et dans cet accord j’ai négocié un certain nombre de points.</p></br><p>Le premier étant le refus de la construction du Périphérique Est, qui était un grand chantier qui devait se faire, voulu par le Parti démocrate, et ils ont finalement accepté malgré des désaccords importants. Le deuxième était la création d’un règlement pour le gouvernement des biens communs sur lequel j’aurais eu la main, donc différent et plus avancé que celui de Bologne et des autres plus subsidiaires, et qui puisse fonctionner d’une autre façon. Le troisième point était l’organisation d’un festival international des biens communs.</p></br><p>C’était donc un accord d’un an, un accord politique que j’ai respecté. Et nous avons donc organisé le festival avec les camarades : Freddy, Roberta, Ettore, Michele Spanò, les camarades de l’IUC, et toutes les personnes qui ont collaboré.</p></br><p>J’ai vu le festival comme un moyen de faire repartir en Italie le discours sur les biens communs après le référendum sur « l’Acqua bene commune », en remettant les communs au centre de la discussion, avec une dimension nationale et même internationale et pas seulement purement locale. L’idée était de sensibiliser cette population locale qui en a bien besoin : Chieri est une petite ville riche, petite-bourgeoise, très catholique, qui a donc un véritable besoin de pensée critique. Mais il y a aussi une dimension nationale, on voulait essayer de voir combien de personnes ayant participé aux luttes pour les biens communs ces dernières années voulaient y prendre part, et elles sont nombreuses. Il s’agissait d’ouvrir de nouveaux scénarios de dialogue international. L’équilibre entre le monde académique et les activistes en ce qui concerne les communs</p></br><p>Deux choses importantes se sont passées ici. La première étant celle de la réflexion politique : il y a eu un rapprochement en Italie entre les praticiens des biens communs « gentils », donc Rodotà et le monde issu de la commission sur les biens communs (les biens communs libéraux si on peux les appeler ainsi), et les praticiens des biens communs « méchants », les « méchants maîtres », Negri, EuroNomade etc… Et cette recomposition a eu lieu, c’est à dire que nous avons parlé un langage commun, nous nous sommes mis ensemble autour de la table, nous avons repris des conversations qui étaient en suspend depuis longtemps. C’était un point important. À cela s’est ajouté un fait nouveau très important, que l’on comprendra mieux avec le temps : le passage, dans la doctrine catholique relative aux biens communs, de la vision transcendante à la vision immanente. C’est l’un des sujets de discussion que l’on a fait avancer.</p></br><p>Il existe un acte constitutionnel (je prends le point de vue du juriste que je suis) du plus ancien système juridique occidental, celui de l’église catholique, qui a mis dans sa constitution le devoir pour plus d’un milliard de personnes de traiter les biens communs immanents, ceux de la terre, avec une attitude de soin et de protection. Avec une composition de ce type, on est face à une composition constituante. Remettre en jeu, contre le néolibéralisme et contre la pensée unique, une masse très vaste et hétérogène mais réunie autour d’un processus de résistance, cela a une importance énorme. Et cela a fonctionné comme cadre théorique.</p></br><p>Pour ce qui est de la participation citoyenne, il y a eu beaucoup de monde, il y a eu quelques articles dans les journaux, on en a parlé… Bien sûr, nombre de ces séminaires n’étaient pas simples, mais ils ont représenté un moment de discussion et beaucoup de personnes ont participé. Lors des conférences matinales, qui étaient pensées comme des moments d’étude, hier, vendredi matin, il y avait 150-160 personnes engagées dans les trois séminaires, ce matin, samedi, une centaine. Cela signifie qu’environ 250 personnes ont pensé aux communs avec un niveau technique plutôt avancé. Et puis on a parlé de beaucoup d’autres choses aussi, dont l’« Area Tabasso bene comune ».</p></br><p>C’est clair qu’il faut trouver des équilibres, mais on fait ce qu’on peut, c’était une première édition et on verra dans le futur. La suite</p></br><p>Dans l’idéologie de la modernité je refuse l’idée de l’obligation de résultat, l’important c’est le processus. Cette idée du résultat est un peu phallique, ce qui m’intéresse c’est le processus qui conduit au résultat. Ce festival est une partie d’un chemin, qui m’occupe complètement et qui occupe d’autres personnes aussi, qui est le chemin qui doit conduire à l’incendie du grand tas de bois mouillé qu’est le capitalisme, qui peut être incendié mais en s’y prenant de différentes façons. Si tu essayes d’incendier un tas de bois mouillé à partir d’un seul endroit tu n’y arriveras jamais, si tu t’y mets de différents endroits tu y arrives. Comme on ne sait pas quel pourrait être l’endroit le plus adapté, moi, de façon peut-être désordonnée, j’essaye à chaque fois que je peux et d’où je peux. Si chacun fait de même, ensemble, on construit un chemin d’émancipation, et cela serait très beau à mon avis.</p></br><h3><span id="La_dimension_internationale" class="mw-headline">La dimension internationale</span></h3></br><p>Il a été très important d’avoir avec nous le réseau francophone, les camarades des Balkans, des gens comme Bollier, très actif aux Etats Unis, des personnes venues de l’Allemagne, etc… Et pas que des activistes, par exemple des personnes de la European Cultural Foundation qui ont aussi soutenu ce festival et ont été, comme d’habitude, très éclairés. Donc il y a eu des premiers pas. Bien sûr, s’il fallait organiser des états généraux des communs en Europe on pourrait les faire mais il faudrait des ressources, un lieu un peu plus central que Chieri. On pourrait imaginer les mettre en place, mais pour le moment on a fait ce qu’on était en mesure de faire dans ce contexte.</p></br><h3><span id="Que_peut_apporter_Chieri_dans_un_contexte_international_?"></span><span id="Que_peut_apporter_Chieri_dans_un_contexte_international_.3F" class="mw-headline">Que peut apporter Chieri dans un contexte international ?</span></h3></br><p>Chieri, dans ce processus, amène une pratique et une expérimentation, le dépassement d’une fermeture culturelle et intellectuelle plutôt forte qui était là et que l’on a essayé de faire sauter avec ce festival. La politique de la représentativité n’a pas encore été comprise : je perdrai probablement mon poste de maire adjoint suite à ce festival, malgré le succès, à cause des polémiques… mais ça a donné des résultats. Ça a démontré que, dans n’importe quel contexte, il est possible de faire passer la discussion sur les biens communs. Je pense qu’à Chieri aujourd’hui beaucoup de personnes savent ce que sont les biens communs, ou en tout cas en ont entendu parler.</p></br><p>À chaque action correspond une réaction. Il y a des réactions qu’il vaut la peine de contraster et d’autres non. Je ne sais pas si ça en vaut la peine ici, ça dépend des capacités évolutives d’un chemin politique. Chacun n’a qu’une vie, je mène une lutte politique qui n’est pas locale, c’est une lutte politique pour les communs. Ici comme à Naples, qui sont les deux expériences d’administrateur public que j’ai eues, j’ai laissé une marque culturelle, beaucoup de monde a changé sa façon de voir les organisations hiérarchico-administratives suite au passage des biens communs et du travail que l’on a mené dans ces contextes. Et puis est-ce que ça vaut la peine de résister ? Ça dépend, peut-être que si on résistait on pourrait rester, mais ça dépend pour quoi faire. C’est un match politique ouvert. Nous referons sans doute le festival, ici ou ailleurs, à un moment ou un autre. Dans combien de temps ? On verra, on est libre. Si la formule a marché ça on le comprendra après…</p></br><h3><span id="Ex_Tabasso,_friche_et_charte_des_communs"></span><span id="Ex_Tabasso.2C_friche_et_charte_des_communs" class="mw-headline">Ex Tabasso, friche et charte des communs</span></h3></br><p>Cet endroit est une ancienne filature de coton qui a du fermer suite à la mondialisation, du jour au lendemain. L’endroit a été abandonné puis racheté par la mairie dans une opération visionnaire et en dépensant un peu de sous. La mairie a essayé ensuite d’en faire un project financing, elle voulait le transformer en un lieu avec un cinéma, un supermarché et des parkings, en le détruisant et le reconstruisant. Heureusement, le project financing a échoué à cause de la crise, et maintenant se pose la question de ce qu’on peut en faire. Par exemple, au cours de cette première année de mon mandat électoral, j’ai constaté que l’Area Tabasso avait de fait été déclarée bien commun par la population de Chieri, avec des pratiques, un comité qui s’est mis en place, des discussions… C’est un lieu important dans l’imaginaire des gens du coin… et si tu y penses ça ne peux être qu’ainsi pour les citoyens de Chieri. C’est une construction de 33000m2, énorme, très belle, on pourrait y faire beaucoup de choses, une partie de leur vie est liée à ce lieu, c’est leur histoire, le textile est très lié aux conditions de cette ville, donc c’est un endroit idéal…</p></br><p>Je dois dire (en parlant en tant que camarade et non en tant que maire-adjoint) que dans la plupart des autres contextes ce lieu aurait déjà été occupé. Ça aurait été une belle occasion d’occuper un lieu en ayant une administration qui parle de biens communs, on aurait pu voir quelle était la dynamique réelle sous-jacente et quelle part j’aurais pu jouer dans ce sens. Si on pense à une autre expérience comme celle du Colorificio (ancienne usine de peinture) à Pise, c’est une zone plus petite et moins belle que celle-ci, elle a été occupée en très peu de temps et a commencé à revivre. Ici, depuis un an que l’on en parle, aujourd’hui, pour un grand nombre d’habitants de Chieri, c’est la première fois qu’ils ont eu l’intérêt de venir voir et qu’ils sont rentrés, grâce à l’organisation de cette promenade. Cela démontre le type de tissu social existant à Chieri.</p></br><p>Ce festival a ouvert cet espace aux citoyens. Il a ré-ouvert aussi le Bastione della mina où se tiennent ce soir des performances, il y en a une magnifique où l’on va voir les étoiles tous ensemble. C’est un lieu magnifique, public, fermé depuis des années, personne n’y rentrait plus et nous l’avons ré-ouvert pour le festival. On a fait un pacte de partage avec un de mes amis qui s’est occupé de l’ouvrir, qui l’a nettoyé et remis aux normes. La population de Chieri sait maintenant qu’il y a un parc là, qu’elle ne connaissait pas avant. C’est un endroit émouvant de beauté. Chieri n’est pas une belle ville, elle a des côtés très beaux dans un tissu urbain qui a été transformé brutalement par un développement très extractif, il y a des grands immeubles très moches juste à côté de belles constructions du moyen âge. Ce Bastione est une forteresse médiévale qui défendait la ville, et il y a un parc magnifique à l’intérieur. La cour de la mairie, où nous avons fait l’ouverture du festival, est normalement le parking où se garent les employés et c’est un endroit très beau, et la partie devant la mairie c’est normalement l’endroit où on fait la queue pour payer les amendes…</p></br><h3><span id="Le_règlement_:_un_moyen_pour_étudier_un_projet_pour_l’Area_Tabasso"></span><span id="Le_r.C3.A8glement_:_un_moyen_pour_.C3.A9tudier_un_projet_pour_l.E2.80.99Area_Tabasso" class="mw-headline">Le règlement : un moyen pour étudier un projet pour l’Area Tabasso</span></h3></br><p>Le règlement prévoit déjà un avis pour la constitution d’une entité que l’on souhaite voir devenir l’entité de référence pour cet endroit. Si je restais maire-adjoint je soignerais en particulier l’interprétation du règlement, il y a toujours un risque que les règlements soient appliqués d’une façon détournée… Mais si on arrivait à mettre en place une entité autonome, partagée, avec des processus délibératifs de type démocratique, inclusive et non-verticale, cette entité deviendrait la titulaire de l’Area Tabasso et déciderait de ce qui se passe ici, ce qui est quelque chose d’énorme qui ne s’est jamais produit auparavant. Évidemment, il est très difficile de mettre en place cette entité, nous avons mis à disposition un espace public où un groupe de personnes se rencontre tous les mardis, c’est toujours un peu les mêmes mais ce sont eux qui ont organisé tout ça. L’idée est de commencer en transformant le lieu en un espace ouvert, une sorte de place couverte, en faisant les travaux minimum nécessaires pour garantir la sécurité du lieu et que ce soit peu coûteux. Ça serait un endroit où l’on puisse mettre 700 chaises et une scène pour faire des spectacles, y faire du skate, du parkour, du sport, ce qu’on veut… Ici il fait très froid l’hiver, donc avoir un endroit couvert comme celui-ci peut être utile.</p></br><h3><span id="Ne_pas_perdre_de_vue_la_dimension_festive_des_biens_communs" class="mw-headline">Ne pas perdre de vue la dimension festive des biens communs</span></h3></br><p>As-tu jamais essayé de récolter des cerises ? C’est un travail chiant. Au temps des biens communs les paysans récoltaient les cerises tous ensemble, en un jour, en faisant la fête des cerises. Donc, une même activité qui faite tout seul devient l’un des travaux les plus aliénants et ennuyeux qui existent, si faite dans un cadre festif devient une belle chose. On récolte les cerises tous ensemble, on moissonne tous ensemble, et ça devient un travail qui se transforme grâce à la dimension festive. La dimension festive pour les communs est fondamentale parce que tu peux faire la révolution avec le visage triste, tu peux essayer d’être révolutionnaire d’une façon sérieuse ou pensive, ou tu peux faire une révolution en riant. Et l’une des choses que l’on a appris c’est qu’on ne fait pas de révolution si on ne s’amuse pas. Donc oui, la dimension festive est incroyablement importante.</p></br><p>Ici il y aura la place couverte, si on la fait, de là bas jusqu’ici. Et ici c’est un théâtre naturel, il n’y aurait qu’à creuser là, ici tu mets les gradins, là-bas tu mets les écrans, et c’est un théâtre. Avec très peu tu peux imaginer de mettre une structure en bois et en faire une vraie salle de théâtre, dont on a un besoin dramatique dans cette petite ville.</p></br><p>Ça, ça appartient à tous les habitants de Chieri. Du fait de l’avoir ouvert, les gens maintenant se disent « ça c’est à nous ! à notre communauté, on peut construire de la cohésion, en travaillant dur et en investissant de l’argent dedans, mais en ayant un projet commun ». Et le processus pour définir cette vision commune devient un processus démocratique. Ce qui m’intéresserait, mais je ne sais pas si je vais y arriver, c’est de prendre tout ça et de le faire devenir un bien commun d’un point de vue juridique. Que ça ne soit plus public, que ça ne dépende plus de qui a gagné l’élection municipale, que ça ne dépende plus du fait qu’il y ait un maire praticien des biens communs, un maire du Parti démocrate ou un maire du PDL, mais que ça devienne un bien commun pour toujours, que ça devienne une fondation dans l’intérêt des générations futures, que ça devienne un Community Land Trust, que ça devienne une structure juridique différente, nouvelle, complètement autonome par rapport à la machine politique.</p></br><p>Le règlement permet de faire des pas dans ce sens. Évidemment il faut aussi une volonté politique, qui ne sera jamais accordée si le mouvement ne devient pas suffisamment fort autour de tout ça. Les luttes pour l’émancipation ne peuvent jamais être imposées d’en haut. Si socialement, dans cette petite ville, dans cette population, il y a une envie de lutter afin que ce lieu devienne une expérimentation au niveau international, les conditions sont déjà là pour pouvoir le faire et nous les avons construites également d’un point de vue juridique. Si cette volonté politique de la base n’est pas là, il y aura une volonté politique d’en haut, mais je doute fortement qu’elle accepte de se priver d’un bien d’une aussi grande valeur.</p></br><h3><span id="Quelles_convergences_entre_loi_et_pratiques_autour_des_communs_?"></span><span id="Quelles_convergences_entre_loi_et_pratiques_autour_des_communs_.3F" class="mw-headline">Quelles convergences entre loi et pratiques autour des communs ?</span></h3></br><p>En ce qui concerne le contexte de Chieri, jusqu’ici la partie légale est en avance par rapport à la partie sociale, qui n’est pas encore là. Il y a du mouvement autour de ça, je ne sais pas si c’est un mouvement structurellement relevant des communs, ni quels intérêts il y a derrière, mais c’est un processus, donc on verra bien. Ce que je sais c’est qu’il y a du scepticisme du côté électoral, donc on verra, c’est une bataille politique. Mais la partie légale est prête : on peut maintenant suivre un chemin légal pour arriver à ce que l’Area Tabasso soit un bien commun pour toujours. C’est déjà en place, on va voir si on peut remplir ce cadre légal. La loi est juste un contenant, tout dépend de ce que tu mets dedans.</p></br><p>D’une façon plus générale : la relation entre loi et mouvements sociaux est extrêmement compliquée. Je ne suis qu’un juriste, pas un philosophe, donc je ne sais pas vraiment comment faire abstraction de ça. Je me considère comme la preuve vivante du fait qu’on peut être juriste et praticien des biens communs en même temps. Tu peux être juriste et raisonner dans le cadre mental de la loi, qui se développe d’une façon très traditionnelle : s’il faut aller aux tribunaux, je vais aux tribunaux… Mais en même temps j’essaie d’être aux côtés des personnes qui essayent de se battre pour quelque chose et de prendre part à ces luttes, et de comprendre que la loi est là pour les citoyens et essayer de l’interpréter, donc je crois que c’est possible…</p></br><p>Nous avons une classe de juristes qui est prête à travailler dans ce sens, ils ne sont pas nombreux mais ça sera sans doute le cas pour les plus jeunes. Et quelques autres fous plus âgés… même plus âgés que moi !</p></br><p> </p>les citoyens et essayer de l’interpréter, donc je crois que c’est possible…</p> <p>Nous avons une classe de juristes qui est prête à travailler dans ce sens, ils ne sont pas nombreux mais ça sera sans doute le cas pour les plus jeunes. Et quelques autres fous plus âgés… même plus âgés que moi !</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<h2>Rendez-vous avec nos imaginaires<h2>Rendez-vous avec nos imaginaires !</h2></br></br></br></br><blockquote class="wp-block-quote"><p>L’Assemblée des communs est une rencontre  nationale pour mettre les communs à l’agenda, partager les expériences et les relier, débattre, se doter d’outils et de stratégies pour la reconnaissance des communs. Elle se déroule à Marseille du 12 au 14 Novembre 2021</p></blockquote></br></br></br></br><figure class="wp-block-image size-large"><img decoding="async" loading="lazy" width="607" height="752" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-607x752.png" alt="" class="wp-image-6605" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-607x752.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-342x424.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-768x951.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-1240x1536.png 1240w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-1654x2048.png 1654w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /></figure></br></br></br></br><p>Depuis les élections municipales de 2020 en France, les concepts de commun, communs, bien communs, ont été fortement mobilisés dans le discours public et électoral, quoique de manière floue. L’en-commun y apparaît comme une voie alternative entre l’Etat et le Marché, un moyen de renouveler l’action publique par l’initiative citoyenne. Cet intérêt nouveau des collectivités et de l’administration publique actualise pour les acteurs que nous sommes la nécessité de faire en-<br>tendre notre propre voix.</p></br></br></br></br><p>A l’échelle locale, les assemblées des communs s’inscrivent dans la perspective dessinée par le réseau francophone des communs initié par VECAM en 2012 pour relier les réalités urbaines émergentes aux communs alliant connaissance et numérique.</p></br></br></br></br><p>L’assemblée des communs de Lille se constitue lors des Roumics, un événement autour des communs organisé dans le cadre du festival « Temps des communs » en octobre 2015.La même année l’association La Plateforme organise à Marseille une quinzaine « Marseille en Communs » qui regroupe plusieurs acteurs et actrices venu.e.s de Marseille et d’ailleurs.</p></br></br></br></br><p>L’assemblée des communs de Grenoble (ACG) est créée en mars 2017 lors de la Biennale des Villes en Transition, par la convergence entre plusieurs initiatives dont la commission des communs de Nuit Debout Grenoble, la ville de Grenoble, Alpes Solidaires, Alternatiba, le Cairn, Terre de Liens, Planning, l’Atelier Populaire d’Urbanisme…</p></br></br></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="alignnone wp-image-6590 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-607x332.jpg" alt="" width="607" height="332" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-607x332.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-342x187.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-768x420.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-1536x841.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-2048x1121.jpg 2048w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /></p></br><p>A l’échelle translocale, le collectif Remix the commons organise depuis 2012 (Ker Thiossane, festival Afropixel) des rencontres autour des communs dans la francophonie et en Europe, bientôt baptisées « Commons camp » (Grenoble 2018 et Marseille 2020).</p></br><p>Dans le même temps, conscient que, des Nuits debout aux gilets jaunes, du squat à la ZAD comme au tiers-lieu, il se passe des choses du côté des pratiques spatiales, le centre de ressources Artfactories/autresparts, co-fondateur et cheville ouvrière de la CNLII (coordination nationale des lieux intermédiaires et indépendants), impulse une réflexion sur les liens entre communs et pratiques d’occupation d’espaces. Elle aboutit à la tenue en 2018, du 3è forum des lieux intermédiaires et indépendants, aux Ateliers du vent, à Rennes sous l’intitulé « faire commun(S), comment faire ? ». Les lieux intermédiaires s’y déterminent comme communs culturels, spatiaux et transformationnels.</p></br><p>Mais c’est à la faveur du commons camp de Marseille que naît l’idée d’une assemblée des communs, à l’échelle nationale. Les 17, 18 et 19 janvier 2020, à l’initiative de Remix the commons et Artfactories/autres-parts se rassemblent plus de 350 personnes venues tant de Marseille que du reste du monde (Italie, Espagne, Québec, Angleterre, Croatie…).</p></br><p>Les italiens y témoignent de la création toute récente d’une assemblée des communs italienne. En effet, en Italie, le mouvement des beni comuni, après avoir ouvert la voie juridique pour les communs, a vu naître en 2018, une assemblée nationale des communs qui a permis aux différentes expériences menées dans tous le pays de se fédérer et de devenir le creuset d’innovations politiques pour défendre les droits humains et une nouvelle rationalité démocratique.</p></br><p>A l’issue du commons camp se constitue à Marseille un laboratoire d’entraide juridique rassemblant des acteurs, chercheurs et juristes italiens, espagnols et français, dans la perspective de développer les outils et les stratégies juridico-politiques des communs à travers une approche translocale.<br />Entre le Laboratoire d’entraide juridique, Remix the commons, et Art-factories/Autresparts, l’idée d’une assemblée des communs à l’échelle<br />nationale a fait son chemin.</p></br><p>Nous en prenons aujourd’hui l’initiative.</p>Laboratoire d’entraide juridique, Remix the commons, et Art-factories/Autresparts, l’idée d’une assemblée des communs à l’échelle<br />nationale a fait son chemin.</p> <p>Nous en prenons aujourd’hui l’initiative.</p>)
  • Chargement/Site  + (<h2>Rendez-vous avec nos imaginaires<h2>Rendez-vous avec nos imaginaires !</h2></br></br></br></br><blockquote class="wp-block-quote"><p>L’Assemblée des communs est une rencontre  nationale pour mettre les communs à l’agenda, partager les expériences et les relier, débattre, se doter d’outils et de stratégies pour la reconnaissance des communs. Elle se déroule à Marseille du 12 au 14 Novembre 2021</p></blockquote></br></br></br></br><figure class="wp-block-image size-large"><img decoding="async" loading="lazy" width="607" height="752" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-607x752.png" alt="" class="wp-image-6605" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-607x752.png 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-342x424.png 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-768x951.png 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-1240x1536.png 1240w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/flyer-adc2021_image-1-1654x2048.png 1654w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /></figure></br></br></br></br><p>Depuis les élections municipales de 2020 en France, les concepts de commun, communs, bien communs, ont été fortement mobilisés dans le discours public et électoral, quoique de manière floue. L’en-commun y apparaît comme une voie alternative entre l’Etat et le Marché, un moyen de renouveler l’action publique par l’initiative citoyenne. Cet intérêt nouveau des collectivités et de l’administration publique actualise pour les acteurs que nous sommes la nécessité de faire en-<br>tendre notre propre voix.</p></br></br></br></br><p>A l’échelle locale, les assemblées des communs s’inscrivent dans la perspective dessinée par le réseau francophone des communs initié par VECAM en 2012 pour relier les réalités urbaines émergentes aux communs alliant connaissance et numérique.</p></br></br></br></br><p>L’assemblée des communs de Lille se constitue lors des Roumics, un événement autour des communs organisé dans le cadre du festival « Temps des communs » en octobre 2015.La même année l’association La Plateforme organise à Marseille une quinzaine « Marseille en Communs » qui regroupe plusieurs acteurs et actrices venu.e.s de Marseille et d’ailleurs.</p></br></br></br></br><p>L’assemblée des communs de Grenoble (ACG) est créée en mars 2017 lors de la Biennale des Villes en Transition, par la convergence entre plusieurs initiatives dont la commission des communs de Nuit Debout Grenoble, la ville de Grenoble, Alpes Solidaires, Alternatiba, le Cairn, Terre de Liens, Planning, l’Atelier Populaire d’Urbanisme…</p></br></br></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="alignnone wp-image-6590 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-607x332.jpg" alt="" width="607" height="332" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-607x332.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-342x187.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-768x420.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-1536x841.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/IMG_20200117_143658614-1-scaled-e1633428620129-2048x1121.jpg 2048w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /></p></br><p>A l’échelle translocale, le collectif Remix the commons organise depuis 2012 (Ker Thiossane, festival Afropixel) des rencontres autour des communs dans la francophonie et en Europe, bientôt baptisées « Commons camp » (Grenoble 2018 et Marseille 2020).</p></br><p>Dans le même temps, conscient que, des Nuits debout aux gilets jaunes, du squat à la ZAD comme au tiers-lieu, il se passe des choses du côté des pratiques spatiales, le centre de ressources Artfactories/autresparts, co-fondateur et cheville ouvrière de la CNLII (coordination nationale des lieux intermédiaires et indépendants), impulse une réflexion sur les liens entre communs et pratiques d’occupation d’espaces. Elle aboutit à la tenue en 2018, du 3è forum des lieux intermédiaires et indépendants, aux Ateliers du vent, à Rennes sous l’intitulé « faire commun(S), comment faire ? ». Les lieux intermédiaires s’y déterminent comme communs culturels, spatiaux et transformationnels.</p></br><p>Mais c’est à la faveur du commons camp de Marseille que naît l’idée d’une assemblée des communs, à l’échelle nationale. Les 17, 18 et 19 janvier 2020, à l’initiative de Remix the commons et Artfactories/autres-parts se rassemblent plus de 350 personnes venues tant de Marseille que du reste du monde (Italie, Espagne, Québec, Angleterre, Croatie…).</p></br><p>Les italiens y témoignent de la création toute récente d’une assemblée des communs italienne. En effet, en Italie, le mouvement des beni comuni, après avoir ouvert la voie juridique pour les communs, a vu naître en 2018, une assemblée nationale des communs qui a permis aux différentes expériences menées dans tous le pays de se fédérer et de devenir le creuset d’innovations politiques pour défendre les droits humains et une nouvelle rationalité démocratique.</p></br><p>A l’issue du commons camp se constitue à Marseille un laboratoire d’entraide juridique rassemblant des acteurs, chercheurs et juristes italiens, espagnols et français, dans la perspective de développer les outils et les stratégies juridico-politiques des communs à travers une approche translocale.<br />Entre le Laboratoire d’entraide juridique, Remix the commons, et Art-factories/Autresparts, l’idée d’une assemblée des communs à l’échelle<br />nationale a fait son chemin.</p></br><p>Nous en prenons aujourd’hui l’initiative.</p>Laboratoire d’entraide juridique, Remix the commons, et Art-factories/Autresparts, l’idée d’une assemblée des communs à l’échelle<br />nationale a fait son chemin.</p> <p>Nous en prenons aujourd’hui l’initiative.</p>)
  • Chargement/Site  + (<h3>Presentation</h3> <p><h3>Presentation</h3></br><p><em></em><em><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Penser_les_communs">Framing the commons</a></em> is a series of interviews made during the first <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organized by the Heinrich Boll Foundation and the<a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, took place in Berlin November 1 and 2, 2010. The conference organizers and participants were invited to talk about their vision of the Commons and of the future of the movement.</p></br><p>Framing the commons is the second chapter produced by Remix The Commons in 2010/2011.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Alain Ambrosi and Abeille Tard</p>s is the second chapter produced by Remix The Commons in 2010/2011.</p> <h3>Collaborators</h3> <p>Alain Ambrosi and Abeille Tard</p>)
  • Chargement/Site  + (<h3>Présentation</h3> <p><h3>Présentation</h3></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Penser_les_communs">Penser les communs</a> est une série d’entrevues réalisées lors de la première <a href="http://p2pfoundation.net/Berlin_Commons_Conference">International Commons Conference</a>, co-organisée par la Fondation Heinrich Boell et le <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Strategies_Group"> Commons Strategies Group</a>, à Berlin en 2010. Les organisateurs de la conférence et des participants ont été invités à s’exprimer sur leur vision sur les biens communs et de l’avenir du mouvement des communs.</p></br><p>Framing the commons est le deuxième chapitre produit par Remix The Commons en 2010/2011.</p></br><h3>Collaborateurs</h3></br><p>Alain Ambrosi et Abeille Tard</p>The Commons en 2010/2011.</p> <h3>Collaborateurs</h3> <p>Alain Ambrosi et Abeille Tard</p>)
  • Chargement/Site  + (<ol> <li style="list-style-type: <ol></br><li style="list-style-type: none;"></br><ol>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur</ol></br></li></br></ol></br><p><a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p></br><blockquote><p>En 1928, Ravel compose le Boléro, une partition qui va connaître un succès mondial et des centaines de versions et arrangements. Un crescendo harmonique qui rapporte aussi des millions.</p></br><p>Une excellent série de neuf vidéos de 8 minutes réalisée par Fabian Caux-Lahalle et diffusée par l’INA raconte cette histoire de l’accaparement post-mortem de ce bijou de Maurice Ravel, qui n’en profitera guère, tombant rapidement malade et mourrant moins de dix ans plus tard.</p></blockquote></br><p>Cette série vidéo se regarde comme un roman policier. Traitrises, marché clandestins, paradis fiscaux, et masseuse d’un côté, hommes politiques abreuvés par les lobbies et incapables de défendre le domaine public de l’autre. Nous avons ici une saga qui démontre la nocivité de la notion « d’ayants-droits », le détournement de toutes les lois et pratiques culturelles par des affairistes qui se servent ensuite du pouvoir acquis pour influencer les politiques et réduire toujours plus le domaine public.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/2885055/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN5464180431/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Le tout sur fond de Boléro, dans de nombreuses interprétations venant du monde entier, de tous les styles musicaux et de toutes les époques.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7910555309/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN6248963306/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Ah, les paradis fiscaux pour cacher l’argent récupéré des cendres de Maurice Ravel, mort sans enfants, léguant tout à son frère, lui-même sans enfants.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN2464909165/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Mais c’est bien une affaire politique, dans laquelle les lobbies des industries culturelles ont préempté les pouvoirs publics, et nos chers hommes politiques, prêts à se laisser séduire.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN8716173688/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>La Suisse, Monaco, Gibraltar, Panama… La culture ne connaît pas de frontières, l’argent non plus.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN9205650456/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN4764653149/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7455517816/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>C’est intéressant que ce soit l’INA qui ait produit ce brûlot, juste au lendemain du déclassement par le gouvernement, suite à la pression des lobbies soi-disant de la « culture », de l’article 8 de la Loi Lemaire. Celui-ci visait à protéger les communs informationnels, notamment en permettant aux associations spécialisées de porter plainte pour défendre le domaine public contre les accapareurs.</p></br><p>Il faudrait montrer cela aux membres de la commission mixte Sénat-Assemblée qui va définir au final cette loi. Il faut aussi le montrer à tous nos élus pour qu’ils voient combien leur manque d’intérêt pour la protection du domaine public n’est en réalité qu’une soumission aux arnaqueurs, aux lobbies, aux puissances de l’argent et le mépris de la société et de sa volonté de partage culturel, de ré-interprétation inventive des oeuvres. Qu’ils ne puissent plus fermer les yeux : ils sont responsables de ce qu’on vole au domaine public au profit de société panaméennes ou monégasques.</p></br><p>Qu’en aurait dit Maurice Ravel, qui écrivait : « Prenez un modèle, imitez-le. Si vous avez quelque chose à dire, votre personnalité ne paraîtra jamais mieux que dans votre inconsciente infidélité. » (cette phrase est la conclusion de ce superbe documentaire).</p></br><p>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p>ue chose à dire, votre personnalité ne paraîtra jamais mieux que dans votre inconsciente infidélité. » (cette phrase est la conclusion de ce superbe documentaire).</p> <p>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="http://bollier.org/bl<p><a href="http://bollier.org/blog/crds-common-learning-about-commons-through-play" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Article original de David Bollier</a></p></br><blockquote><p>Parce que les pratiques de mise en commun se confrontent à la culture marchande, elles sont fréquemment mal comprises. Quelle est la nature de ce processus de collaboration engagé autour d’objectifs partagés, peut-on se demander. Comment cela fonctionne-t-il, surtout lorsque de nombreuses industries souhaitent privatiser le contrôle des ressources ou empêcher la concurrence par l’action en commun ?</br></p></blockquote></br><p>Matthieu Rhéaume, un commoner et créateur de jeux qui vit à Montréal, a décidé qu’un jeu de cartes pourrait être un excellent véhicule pour faire connaître les communs. « C@rtes en Commun : un jeu de collaboration politique» est le résultat de ses efforts. « Ce jeu a un potentiel immense en associant le sens et le plaisir », m’a expliqué Matthieu. « Les gens peuvent jouer de façon décontractée tout en étant surpris par le méta-apprentissage [sur les communs] qui en résulte ».</p></br><p><iframe loading="lazy" title="Les communs en jeu ... de cartes" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/ISGk4-pf2Ww?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Tout a commencé lors du Forum social mondial (FSM) à Montréal en août 2016. Matthieu Rhéaume a proposé de saisir cette opportunité pour synthétiser les points de vue sur les communs des participants et d’utiliser les résultats pour développer le jeu de cartes. Il a persuadé la Fondation Charles Léopold Mayer et Gazibo, toutes deux basées en France, de soutenir le développement de ce jeu. Quelques cinquante commoners ont ainsi co-créé le jeu avec l’aide d’une petite équipe constituée pour l’occasion. (Le processus est décrit <a href="http://cartesencommun.cc/index.php?title=Documentation_sur_le_processus_de_cr%C3%A9ation" target="_blank" rel="noopener noreferrer">ici</a> )</p></br><p>En tant que concepteur de jeux, Matthieu Rhéaume s’est rendu compte que les jeux réussis et amusants doivent comporter une certaine « rhétorique procédurale » et récompenser les récits. Il avait apprécié de jouer à « Magic: The Gathering », un jeu de cartes multijoueur très populaire et se demandait à quoi ce jeu ressemblerait s’il était collaboratif.</p></br><p>Au FSM, Matthieu Rhéaume a demandé aux participants de partager leurs propres idées sur les biens communs en créant des cartes dans six catégories. Les quatre premières composent le groupe des « cartes communes », comportant des « ressources », des « cartes d’action », des « cartes de proje t» et des «cartes d’attitude ». Deux autres catégories de cartes, les cartes des « forces oppressives », avec des dos noirs, donnent au jeu son moteur, en ce qu’elles appliquent des « effets négatifs » à « l’arène politique » que représente le plateau du jeu. Les effets négatifs sont les « accaparements (enclosures) » et les « crises » contre lesquelles les commoners doivent répondre dans un temps limité en s’organisant collectivement.</p></br><p>Conçu pour être joué par deux à cinq joueurs, une partie dure habituellement entre 60 et 90 minutes. Le principe de base est assez simple pour être compris facilement, mais assez sophistiqué et complexe pour être imprévisible et intéressant. L’objectif principal du jeu est de « créer un contexte politique assez résilient pour défendre les communs contre les crises et les accaparements ». Les joueurs gagnent quand il n’y a plus de cartes des « forces oppressives » dans l’arène politique. Ils perdent s’il y a plus de cinq de ces cartes présentes sur le plateau.</p></br><p>Au dos des cartes des forces oppressives figure un conquistador avec une lance et un texte : « Je suis là pour prendre les communs ». Une des cartes de « forces oppressives », «Élection de Trump!», a pour effet de démobiliser chaque campagne en cours pour les communs. Une autre de ces cartes, « Old Inner Culture », interdit l’usage des cartes d’attitude (qui pourraient autrement aider la mise en commun). Une carte « Peur de l’inconnu » interdit aux joueurs de tirer de nouvelles cartes pendant un tour de table. En revanche, les cartes communes comportent des choses telles que les jardins urbains, les Premières nations, la décroissance et les médias indépendants. La série de cartes « Attitude » influe sur la capacité d’un joueur à coopérer.</p></br><p>Les participants au FSM ont contribué au jeu en proposant et illustrant 240 cartes, fournissant de nombreux exemples de la mise en commun et des accaparements. Pour produire la première version du jeu, Matthieu Rheaume, en a retenu 120 qu’il a fait imprimer. Cela lui a permis de tester le jeu C@rtes en commun (plus de 25 parties) et quatre itérations de conception, essayant de rapprocher le taux de réussite au jeu de 50 %. Les joueurs vont découvrir que la coopération devient de plus en plus complexe à mesure que de nouvelles variables sont introduites sur le plateau de jeu. Un livret décrit comment les joueurs peuvent rendre la partie encore plus difficile – en accélérant les phénomènes d’enclosure et en réduisant le temps de mobilisation de la société civile.</p></br><p>Matthieu Rhéaume reconnait que la première partie de C@rtes en commun peut être difficile, mais il a réalisé des vidéos accessibles en ligne pour aider les nouveaux joueurs à apprendre à jouer. (Voir cette <a href="https://www.youtube.com/watch?v=5lr5Ohtn2sQ" target="_blank" rel="noopener noreferrer">vidéo d’introduction</a> qui présente le projet et ce tutoriel vidéo « <a href="https://www.youtube.com/watch?v=awK3Vft55LM" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Comment jouer</a> »)</p></br><p>Matthieu Rhéaume souhaite améliorer le jeu – en réduisant le nombre de cartes trop spécifiquement rattachées au contexte du FSM, ou en uniformisant la langue des cartes (présentement en français et en anglais). Mais il se félicite déjà que le jeu aide à faire connaître aux joueurs la vision du monde des communs et à susciter des conversations plus approfondies à ce sujet. Suite à la plupart des parties, les joueurs réfléchissent sur ce qui s’est passé et racontent des histoires de collaborations réussies ou d’enclosures.</p></br><p>Le jeu a été publié en février 2017. Un lancement s’est déroulé en Europe, supervisé par Fréderic Sultan de Remix biens communs, et il y a maintenant près de 70 jeux C@rtes en commun en circulation [ aujourd’hui, plus d’une centaine].</p></br><p>Le lancement canadien du jeu aura lieu à Montréal le 11 mai à 17h30 à 20h30 au 5248, boulevard Saint-Laurent à Montréal. Pour vous inscrire à l’événement (gratuit), voici le lien – <a href="http://www.brownpapertickets.com/event/2932824">http://www.brownpapertickets.com/event/2932824</a>.</p></br><p>Le jeu, dans sa version actuelle, peut être acheté directement, à prix coûtant, via un distributeur commercial <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rtes-en-commun" target="_blank" rel="noopener noreferrer">https://www.thegamecrafter.com/</a>. Jusqu’au 31 mai, les québécois peuvent acquérir le jeu à moindre coût en s’inscrivant à une commande groupée sur cette <a href="https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfjXe9GOd2HLAXwz1S2-y0jiE1vxrPg2Z1fGti2cAEApWx0XQ/viewform?c=0&w=1&fbzx=-5456162131876975000">page Web</a>. Matthieu distribuera ensuite les jeux aux acheteurs individuels.</p></br><p>David Bollier</p>;page Web</a>. Matthieu distribuera ensuite les jeux aux acheteurs individuels.</p> <p>David Bollier</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="http://www.bollier.or<p><a href="http://www.bollier.org/blog/new-videos-explore-political-potential-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Original publication by David Bollier</a></p></br><p>Just released: a terrific 25-minute video overview of the commons as seen by frontline activists from around the world, “<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Les_communs_dans_l%E2%80%99espace_politique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">The Commons in Political Spaces: For a Post-capitalist Transition</a>,” along with more than a dozen separate interviews with activists on the frontlines of commons work around the globe. The videos were shot at the World Social Forum in Montreal last August, capturing the flavor of discussion and organizing there.</p></br><p>A big thanks to Remix the Commons and Commons Spaces – two groups in Montreal, and to Alain Ambrosi, Frédéric Sultan and Stépanie Lessard-Bérubé — for pulling together this wonderful snapshot of the commons world. The overview video is no introduction to the commons, but a wonderfully insightful set of advanced commentaries about the political and strategic promise of the commons paradigm today.Frédéric Sultan of Remix the Commons</p></br><p>The overview video (“Les communs dans l’espace politique,” with English subtitles as needed) is striking in its focus on frontier developments: the emerging political alliances of commoners with conventional movements, ideas about how commons should interact with state power, and ways in which commons thinking is entering policy debate and the general culture.</p></br><p>The video features commentary by people like Frédéric Sultan, Gaelle Krikorian, Alain Ambrosi, Ianik Marcil, Matthew Rhéaume, Silke Helfrich, Chantal Delmas, Pablo Solon, Christian Iaione, and Jason Nardi, among others.</p></br><p>The individual interviews with each of these people are quite absorbing. (See the full listing of videos <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Commons_Space" target="_blank" rel="noopener noreferrer">here</a>.) Six of these interviews are in English, nine are in French, and three are in Spanish. They range in length from ten minutes to twenty-seven minutes.</p>nterviews are in English, nine are in French, and three are in Spanish. They range in length from ten minutes to twenty-seven minutes.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="http://www.bollier.or<p><a href="http://www.bollier.org/blog/new-videos-explore-political-potential-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Original publication by David Bollier</a></p></br><p>Just released: a terrific 25-minute video overview of the commons as seen by frontline activists from around the world, “<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Les_communs_dans_l%E2%80%99espace_politique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">The Commons in Political Spaces: For a Post-capitalist Transition</a>,” along with more than a dozen separate interviews with activists on the frontlines of commons work around the globe. The videos were shot at the World Social Forum in Montreal last August, capturing the flavor of discussion and organizing there.</p></br><p>A big thanks to Remix the Commons and Commons Spaces – two groups in Montreal, and to Alain Ambrosi, Frédéric Sultan and Stépanie Lessard-Bérubé — for pulling together this wonderful snapshot of the commons world. The overview video is no introduction to the commons, but a wonderfully insightful set of advanced commentaries about the political and strategic promise of the commons paradigm today.Frédéric Sultan of Remix the Commons</p></br><p>The overview video (“Les communs dans l’espace politique,” with English subtitles as needed) is striking in its focus on frontier developments: the emerging political alliances of commoners with conventional movements, ideas about how commons should interact with state power, and ways in which commons thinking is entering policy debate and the general culture.</p></br><p>The video features commentary by people like Frédéric Sultan, Gaelle Krikorian, Alain Ambrosi, Ianik Marcil, Matthew Rhéaume, Silke Helfrich, Chantal Delmas, Pablo Solon, Christian Iaione, and Jason Nardi, among others.</p></br><p>The individual interviews with each of these people are quite absorbing. (See the full listing of videos <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Commons_Space" target="_blank" rel="noopener noreferrer">here</a>.) Six of these interviews are in English, nine are in French, and three are in Spanish. They range in length from ten minutes to twenty-seven minutes.</p>nterviews are in English, nine are in French, and three are in Spanish. They range in length from ten minutes to twenty-seven minutes.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://e-nautia.com/arzi77/disk?p=5584768">https://e-nautia.com/arzi77/disk?p=5584768</a></p> <p>trailer from M2R Films – merci Ray Zaharia</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://www.remixthec<p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4194" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water-198x300.jpg" alt="Move North South Water" width="198" height="300" /></a></p></br><p>Le « Nan Shui Bei Diao » – littéralement Sud Eau Nord Déplacer – est le plus gros projet de transfert d’eau au monde, entre le sud et le nord de la Chine. Sur les traces de ce chantier colossal, le film d’Antoine Boutet dresse la cartographie mouvementée d’un territoire d’ingénieur où le ciment bat les plaines, les fleuves quittent leur lit, les déserts deviennent forêts, où peu à peu des voix s’élèvent, réclamant justice et droit à la parole. Tandis que la matière se décompose et que les individus s’alarment, un paysage de science-fiction, contre nature, se recompose.</p></br><p>Sud Eau Nord Déplacer sortira mercredi 28 janvier 2915 dans les salles de cinéma. Si vous souhaitez vous associer à une de ces projections, contactez la salle de cinéma concernée ou la distribution du film : mdecout@zeugmafilms.fr. Si vous souhaitez accompagner une projection dans une ville où le film n’est pas encore programmé, contactez-nous : hague.philippe@gmail.com</p>film n’est pas encore programmé, contactez-nous : hague.philippe@gmail.com</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><b>Rendre visibles les méca<p><b>Rendre visibles les mécanismes de gouvernance des communs urbains et apprendre de l’expérience de la co-production du droit. Partager les tactiques de l’agir en commun (commoning) en milieu urbain. </b></p></br><p>Atlas des chartes des communs urbains propose de :</p></br><ol></br><li>Réaliser et entretenir un inventaire ouvert et interactif de mécanismes juridiques consacrés à la mise en œuvre des communs urbains.</li></br><li>fournir un espace collectif pour l’analyse et l’interprétation de ces mécanismes de gouvernance des communs urbains et produire et partager des connaissances avec les commoners dans une perspective interculturelle.</li></br><li>offrir un espace d’échange et d’entraide autour de l’élaboration de chartes et autres instruments juridiques pour la régénération ou la création des communs urbains.</li></br></ol></br><p> </p></br><p><iframe style="width: 900px; height: 500px; border: 1px solid black;" src="https://framindmap.org/c/maps/198701/embed?zoom=1"> </iframe></p></br><p>Pour contribuer à la grille d’analyse des communs urbains, utilisez<br /></br><a href="https://framindmap.org/c/maps/198701/edit">framindmap.org</a><br /></br>(Vous devez être titulaire d’un compte)</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p></p> <p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><b>Rendre visibles les méca<p><b>Rendre visibles les mécanismes de gouvernance des communs urbains et apprendre de l’expérience de la co-production du droit. Partager les tactiques de l’agir en commun (commoning) en milieu urbain. </b></p></br><p>Atlas des chartes des communs urbains propose de :</p></br><ol></br><li>Réaliser et entretenir un inventaire ouvert et interactif de mécanismes juridiques consacrés à la mise en œuvre des communs urbains.</li></br><li>fournir un espace collectif pour l’analyse et l’interprétation de ces mécanismes de gouvernance des communs urbains et produire et partager des connaissances avec les commoners dans une perspective interculturelle.</li></br><li>offrir un espace d’échange et d’entraide autour de l’élaboration de chartes et autres instruments juridiques pour la régénération ou la création des communs urbains.</li></br></ol></br><p> </p></br><p><iframe style="width: 900px; height: 500px; border: 1px solid black;" src="https://framindmap.org/c/maps/198701/embed?zoom=1"> </iframe></p></br><p>Pour contribuer à la grille d’analyse des communs urbains, utilisez<br /></br><a href="https://framindmap.org/c/maps/198701/edit">framindmap.org</a><br /></br>(Vous devez être titulaire d’un compte)</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p></p> <p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><em>Les voies maritimes<<p><em>Les voies maritimes</em>, a beautiful idea of video about a project of protected sea area. </p></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="//www.dailymotion.com/embed/video/xu8azp" allowfullscreen></iframe><br /></br>By <a href="http://www.aires-marines.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Aires-marines-protegees</a></i></p></br><p>Three photographers have traveled for months Normand Breton Gulf stretching from the island of Brehat to Cape of La Hague and which is the subject of a proposed marine park. Rodolphe Marics, Denis Bourges and Xavier Desmier propose an X-ray of the marine space in three different and complementary points of view: aerial photos, hiking and underwater.</p></br><p><em>Les voies maritimes</em> was born of a partnership between the Agency for Marine Protected Areas and the association Les champs photographiques.</p>maritimes</em> was born of a partnership between the Agency for Marine Protected Areas and the association Les champs photographiques.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Voici un film photographique (un nouveau genre ?) très intéressant, réalisé par Brygo et publié par Le Monde diplomatique, sur les rapports entre les riches et les pauvres à Glasgow en Ecosse.</p></br><p>Fiche technique :</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>Un film photographique de Julien Brygo<br /></br>Montage : Matthieu Parmentier et Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixage : Clément Chauvelle<br /></br>Prix du Jury au Festival Les Nuits Photographiques 2014.</p></br><p>Film photographique réalisé <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow">pour le site du Monde diplomatique</a><br /></br>Ce film est tiré de l’article « Vivre riche dans une ville de pauvres », paru dans Le Monde diplomatique d’août 2010 : monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</p></br><p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p></br><p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>GO/19565</p> <p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p> <p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>This interview of Etienne Le Roy, made in Paris March 4, 2014, while presenting his work on land ownership synthesized in his book ‘The land of the other. An anthropology of land ownership schemes’ introduces us in the heart of anthropological paths of one of the founders of French anthropology of Law and awakens our curiosity to question otherwise, and by sharing with others, our world.</p></br><p>« The other is not a gap to fill. It is a fullness to discover. » Christoph Eberhard</p></br><p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/U4rDt0-pQG8" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>idth="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/ihDoZ5dYapw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Self-management and integral cooperativism: an experiment of the community on the length scale.</p></br><p>A group of coop at Barquisimeto (northeastern Venezuela), totally self-managed. More than 1,200 workers, no leader, no manager, no hierarchical structure, a lot of participation, confidence and learning, constant rotation in all workplaces … and more</p></br><p>For more information, see the article in <a href="http://www.utopiasproject.lautre.net/reportages/article/venezuela" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.utopiasproject.lautre.net/</a>…</p></br><p>See CECOSESOLA web site</p></br><p><a href="http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA">http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA</a></p></br><p>See also the remixthecommons productions:</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia">https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>-noel-vale-valera</a></p> <p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/a0J2gj80EVI?rel=0" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>« Sans Lendemain », est un film d’animation sur l’exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles et leurs conséquences sur la vie humaine sur la planète. Il est réalisé par Dermot O’ Connor et produit par Incubate Pictures. en 35 minutes, il aborde de façon très intelligible toute une série de problématiques liées à la croissance de notre système économique et à notre façon de consommer.</p></br><p>Réalisation : Dermot O’ Connor (35 minutes, 2012).<a href="http://www.idleworm.com">http://www.idleworm.com</a><br /></br><a href="http://www.incubatepictures.com">http://www.incubatepictures.com</a> – <a href="http://www.angryanimator.com">http://www.angryanimator.com</a></p></br><p>Information et documentation sur le site <a href="http://sansLendemain.mpOC.be">http://sansLendemain.mpOC.be</a>.</p></br><p>Titre original étasunien : There’s no tomorrow.<br /></br><a href="https://www.youtube.com/redirect?q=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DVOMWzjrRiBg&redir_token=PRF4kw9bwKfWe7SJ5S33XwpWSiZ8MTQwMTM2NzY0MEAxNDAxMjgxMjQw">https://www.youtube.com</a></p></br><p>Version française 2013 due à l’initiative du groupe de Liège du mpOC, Mouvement politique des objecteurs de croissance (le mpOC n’est pas un parti politique).</p></br><p>Avec le soutien de :<br /></br>Amis de la Terre Belgique, ASPO.be (section belge de l’Association for the Study of Peak Oil and Gas), GRAPPE (Groupe de Réflexion et d’Action Pour une Politique Ecologique), IEW (Inter-Environnement Wallonie), Imagine demain le monde, mpOC.</p></br><p>Traduction : Francis Leboutte.<br /></br>Voix : Caroline Lamarche.<br /></br>Mixage voix : Margarida Guia.<br /></br>Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.</p>aduction : Francis Leboutte.<br /> Voix : Caroline Lamarche.<br /> Mixage voix : Margarida Guia.<br /> Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Pour Étienne Le Roy, l’anthropologie est la science de l’homme parce que fondamentalement science de l’autre. « J’ai souvent commenté cette observation de Jean-Jacques Rousseau dans son ‘Essai sur l’origine des langues’, que cite Claude Lévi-Strauss: ‘Quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin; il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés.’ Au sens de Jean-Jacques Rousseau, découvrir les propriétés, c’est mettre à jour les attributs de l’homme, les critères qui en fondent l’humanité dans leur plus grande généralité. Mais on ne pourra s’empêcher, dans un ouvrage consacré à l’appropriation de la terre et, pour une part, au régime de ‘propriété’ foncière, d’user de l’ambivalence de la dernière phrase (observer les différences pour découvrir les propriétés) et ainsi justifier un point de vue qui use d’un regard sur l’autre pour découvrir le sens que les hommes donnent, généralement mais aussi spécifiquement, au cas par cas, aux rapports de propriété. »</p></br><p>Étienne Le Roy « Le choix d’une démarche anthropologique pour traiter des régimes d’appropriation des terres et des ressources m’a conduit à plusieurs options de méthode et, en particulier, a obligé le lecteur à entrer dans l’étude du droit de propriété par la prise de conscience que cette forme juridique ne fait que traduire procéduralement une représentation du monde, de l’homme et de la nature originale et profondément liée à l’expérience de la modernité en Occident. Pour répondre à la vocation de l’anthropologie de réunir une connaissance valable pour l’ensemble du développement humain, il convenait de traiter analogiquement les autres civilisations et chercher derrière les réponses coutumières ou rituelles les représentations de l’espace qu’elles véhiculaient. »</p></br><p>Dans cette interview réalisée à Paris le 4 mars 2014, Étienne Le Roy, tout en présentant ses travaux sur les régimes d’appropriation foncière synthétisés dans son ouvrage ‘La terre de l’autre », nous introduit au coeur de l’anthropologie du droit francophone qu’il a participé à fondée et éveille notre curiosité de commoner sensible aux mécanismes juridiques et à ce qui les fait advenir dans la société d’interroger autrement, et dans le partage avec d’autres, le monde dans lequel nous vivons.</p></br><p>« L’autre n’est pas un vide à remplir. C’est une plénitude à découvrir. » Christoph Eberhard</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/ihDoZ5dYapw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Autogestion et coopérativisme integral : une expérience sur la durée à l’échelle de la communauté.</p></br><p>Coopérative de Barquisimeto (nord-est du Venezuela), au fonctionnement totalement autogestionnaire. Plus de 1200 travailleurs, aucun chef, aucun gérant, aucune structure hiérarchique, énormément de participation, de confiance et d’apprentissage, une rotation constante dans tous les postes de travail … et bien plus</p></br><p>Pour en savoir plus,</p></br><p>voir l’article écrit disponible sur. <a href="http://www.utopiasproject.lautre.net/reportages/article/venezuela" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.utopiasproject.lautre.net/</a>…</p></br><p>voir le site de CECOSESOLA</p></br><p><a href="http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA">http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA</a></p></br><p>voir aussi les vidéos produits par remixthecommons :<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia">https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>lt;/a></p> <p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/95117190" width="400" height="225" frameborder="0" webkitallowfullscreen mozallowfullscreen allowfullscreen></iframe> </p></br><p><a href="http://vimeo.com/95117190">Pêche durable en Méditarranée</a>, a short documentary published by<a href="http://www.l-encre-de-mer.fr/2014-05-26-mediterranee-une-peche-durable-video-de-france-nature-environnement"> FNE PACA </a>with the support of Fondation Itancia.</p></br><p>Language : French</p></br><p>An interesting video on the very practical forgotten and marginalized coastal fisheries in the Mediterranean with the institution of prudhommies. Fishermen elect the office prudhommies who will control fishing practices based on established rules, which eventually will judge fishermen who would depart from the rules. One wonders how these institutions will have to resist and maintain given the pressure from all sides they suffered to go.</p></br><p>Long practiced in the Mediterranean fisheries « small business » is a practice of sustainable fisheries in several respects. Find out in this story what are the specifics of these practices, and more importantly, what are the advantages for the nearshore and shallow so rich and diversified our Mediterranean coasts.</p></br><p>France Nature Environnement Paca<br /></br>Fond de dotation ITANCIA<br /> <br /></br>2014</p>d diversified our Mediterranean coasts.</p> <p>France Nature Environnement Paca<br /> Fond de dotation ITANCIA<br /> <br /> 2014</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck?rel=0" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international. Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p>IPinCH (Intellectual Property Issues in Cultural Heritage) est un projet international de recherche participative autour de la réappropriation de l’héritage culturel par les communautés ancestrales. A qui appartient le passé ? A qui bénéficie-t-il ? quelles sont les conceptions culturelles de l’héritage culturel (de la mémoire) ? Comment distinguer accaparement et emprunts culturels (cultural borrowings) ? Ce projet croise des questions sur le domaine public, la nature de la recherche conduite par les communautés (et non pour elles) et sur les connaissances ancestrales (et culturelles en général). Il montre un éventail de processus de gestion collective des connaissances des communautés et tire des principes applicables à la recherche et pour comprendre les questions étudiées. Enfin, il propose l’usage de la <a href="http://www.localcontexts.org/">Traditional Knowledge licence</a> et un <a href="http://www.sfu.ca/ipinch/outputs/blog/appropriation-month-midterm-exam">questionnaire </a>pour évaluer accaparement ou emprunt culturel.</p></br><p>Speaker: George Nicholas<br /></br>Event: SFU Public Square<br /></br>Date: April 2, 2014</p>;/p> <p>Speaker: George Nicholas<br /> Event: SFU Public Square<br /> Date: April 2, 2014</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/95117190" width="400" height="225" frameborder="0" webkitallowfullscreen mozallowfullscreen allowfullscreen></iframe> </p></br><p><a href="http://vimeo.com/95117190">Pêche durable en Méditarranée</a>, une capsule documentaire réalisée par <a href="http://www.l-encre-de-mer.fr/2014-05-26-mediterranee-une-peche-durable-video-de-france-nature-environnement"> FNE PACA</a>avec le soutien de la Fondation Ita.</p></br><p>Une video interessante sur les pratiques oubliées et marginalisées de la pêche côtiere en Méditerranée avec l’institution des prudhommies. Les pêcheurs élisent les membres du bureau de la prudhommies qui vont contrôler les pratiques de pêche en fonction des règles établies, qui éventuellement vont juger des pêcheurs qui auraient déroger aux règles établies…) . On se demande encore comment ces instituions ont pu résister et se maintenir vu les pressions de toutes parts qu’elles ont subies pour disparaître.</p></br><p>Pratiquée de longue date en Méditerranée, la pêche aux « petits métiers » est une pratique de pêche durable à différents égards. Découvrez dans ce reportage quelles sont les spécificités de ces pratiques, et plus encore, quels en sont les atouts pour le milieu littoral et les petits fonds si riches et diversifiés de nos côtes méditerranéennes.</p></br><p>France Nature Environnement Paca <br /></br>Fond de dotation ITANCIA<br /></br>2014</p>diterranéennes.</p> <p>France Nature Environnement Paca <br /> Fond de dotation ITANCIA<br /> 2014</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Very interesting video made with pictures by Julien Brygo and edited by Le Monde diplomatique, about the relations between poor and rich people in Glasgow, Scotland.</p></br><p>MSDS:</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>A photographic film by Julien Brygo<br /></br>Editing: Matthieu Parmentier and Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixing: Clément Chauvelle<br /></br>Jury Prize at the 2014 Festival Photographic Nights.</p></br><p>Photographic film directed <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow"> for the website of Le Monde diplomatique </ a><br /></br>This film is taken from the article « Living in a city rich poor », published in Le Monde diplomatique, August 2010: monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</a></p></br><p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p></br><p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>BRYGO/19565</a></p> <p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p> <p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Claiming the Commons - Food for All on Haultain Boulevard" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/25F_KbTz39o?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Espace urbain – Théories & Pratiques (Co-production) de SchoolofCommoning</p></br><p>Peak Moment 185: Rainey Hopewell’s crazy idea has ended up feeding a neighborhood and creating community. She and Margot Johnston planted vegetables in the parking strip in front of their house. They offer them free for the taking ? to anyone, anytime ? with messages chalked on the sidewalk noting when particular vegies are ready to pick. Neighboring children and adults are joining in to work on the garden, harvesting fun along with food, and even handing fresh-picked vegies to passers-by.</p></br><p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p></br><p>Licence YouTube standard</p></br><p>X CanadaX FoodX GardenX JardinX nourritureX Permaculture</p>lt;p>Licence YouTube standard</p> <p>X CanadaX FoodX GardenX JardinX nourritureX Permaculture</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="The London Orchard Project" src="https://player.vimeo.com/video/9785112?h=7e9899600f&dnt=1&app_id=122963" width="880" height="495" frameborder="0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p> </p></br><p><a href="http://www.vimeo.com/9785112#?pg=embed&sec=9785112#">The London Orchard Project on Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p> Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Published Marsh 1st, 2012</p></br><p>Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a><br /></br>Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie</p></br><p>READ THE BOOK <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a></p></br><p>HELP ADD SUBTITLES <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a></p></br><p>Sacred Economics traces the history of money from ancient gift economies to modern capitalism, revealing how the money system has contributed to alienation, competition, and scarcity, destroyed community, and necessitated endless growth.</p></br><p>Today, these trends have reached their extreme – but in the wake of their collapse, we may find great opportunity to transition to a more connected, ecological, and sustainable way of being.</p></br><p>This short contains some visuals from the upcoming feature doc Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org<br /></br></a></p></br><p><strong>FULL CREDITS</strong></p></br><p>Directed & Edited by Ian MacKenzie<br /></br>Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill<br /></br>Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie<br /></br>Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy<br /></br>Music: Chris Zabriskie<br /></br>Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /></br>Stills: Kris Krug, NASA<br /></br>Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>dam Giangregorio, Brian Duffy<br /> Music: Chris Zabriskie<br /> Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /> Stills: Kris Krug, NASA<br /> Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Will Work For Free | 2013" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/0SuGRgdJA_c?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p> </p></br><p>Will Work For Free is a documentary by Sam Vallely on the subject of technological unemployment.</p></br><p>OFFICIAL RELEASE 2013</p></br><p>This work is protected under fair use and will always be free.</p>CIAL RELEASE 2013</p> <p>This work is protected under fair use and will always be free.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/7kBgo-z3iCM?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo El profesor Rick Wolff explica los motivos por los que el crecimiento ha adquirido tal protagonismo en nuestros sistemas políticos. La desigualdad es consecuencia de la forma en la que están organizadas las empresas. Asumiendo que pasamos una parte significativa de nuestras vidas en el trabajo, ¿qué pasaría si extendiéramos nuestro afán democrático al entorno laboral? ¿en qué cambiaría la sociedad si todas las empresas fueran más democráticas? ¿cuáles serían las implicaciones sociales y políticas de un cambio como este? Para saber más de Rick Wolff, visitad rdwolff.com/ Vídeo y edición de The extraenvironmentalist.com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /></br>http://bit.ly/1l9t6ba</p></br><p> </p>com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /> http://bit.ly/1l9t6ba</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Les communs dans l'espace politique" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/bM72NS_P72g?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p><a href="http://www.bollier.org/blog/new-videos-explore-political-potential-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Publication originale en anglais par David Bollier</a></p></br><p>Vient de sortir : un superbe aperçu vidéo de 25 minutes sur les communs vu par les militants venus du monde entier, «<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Les_communs_dans_l%E2%80%99espace_politique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Les communs dans l’espace politique: pour une transition post-capitaliste</a>», ainsi que plus d’une douzaine d’entretiens individuels sur leur travail autour des communs. Les vidéos ont été tournées au Forum social mondial à Montréal en août dernier, et donnent à voir l’atmosphère et l’organisation sur place.</p></br><p>Un grand merci à Remix the Commons et Commons Spaces – deux groupes à Montréal, à Alain Ambrosi, Frédéric Sultan et Stépanie Lessard-Bérubé – pour avoir rassemblé ce superbe instantané sur le monde des commun. La vidéo d’ensemble n’est pas une introduction aux biens communs, mais plutôt une série de commentaires approfondis sur les stratégies et la promesse politique du paradigme des communs.</p></br><p>«Les communs dans l’espace politique», (avec les sous-titres anglais, espagnol et français) met l’accent sur les développements du mouvement des communs: quelles sont les alliances politiques émergentes des commoners avec les mouvements sociaux conventionnels ? Quelles sont les idées sur la manière dont les communs devraient interagir avec la puissance publique et l’État et de quelle manière la pensée sur les communs entre-t-elle dans le débat politique et la culture générale?</p></br><p>La vidéo comporte des commentaires de personnes comme Frédéric Sultan, Gaelle Krikorian, Alain Ambrosi, Ianik Marcil, Matthew Rhéaume, Silke Helfrich, Chantal Delmas, Pablo Solon, Christian Iaione et Jason Nardi, entre autres.</p></br><p>Les entretiens individuels avec chacune de ces personnes sont tout à fait absorbants. (Voir la liste complète des vidéos <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Commons_Space" target="_blank" rel="noopener noreferrer">ici</a>.) Six de ces entretiens sont en anglais, neuf sont en français et trois sont en espagnol. Ils vont de dix minutes à vingt-sept minutes.</p>uf sont en français et trois sont en espagnol. Ils vont de dix minutes à vingt-sept minutes.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Les communs dans l'espace politique" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/bM72NS_P72g?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p><a href="http://www.bollier.org/blog/new-videos-explore-political-potential-commons" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Publication originale en anglais par David Bollier</a></p></br><p>Vient de sortir : un superbe aperçu vidéo de 25 minutes sur les communs vu par les militants venus du monde entier, «<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Les_communs_dans_l%E2%80%99espace_politique" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Les communs dans l’espace politique: pour une transition post-capitaliste</a>», ainsi que plus d’une douzaine d’entretiens individuels sur leur travail autour des communs. Les vidéos ont été tournées au Forum social mondial à Montréal en août dernier, et donnent à voir l’atmosphère et l’organisation sur place.</p></br><p>Un grand merci à Remix the Commons et Commons Spaces – deux groupes à Montréal, à Alain Ambrosi, Frédéric Sultan et Stépanie Lessard-Bérubé – pour avoir rassemblé ce superbe instantané sur le monde des commun. La vidéo d’ensemble n’est pas une introduction aux biens communs, mais plutôt une série de commentaires approfondis sur les stratégies et la promesse politique du paradigme des communs.</p></br><p>«Les communs dans l’espace politique», (avec les sous-titres anglais, espagnol et français) met l’accent sur les développements du mouvement des communs: quelles sont les alliances politiques émergentes des commoners avec les mouvements sociaux conventionnels ? Quelles sont les idées sur la manière dont les communs devraient interagir avec la puissance publique et l’État et de quelle manière la pensée sur les communs entre-t-elle dans le débat politique et la culture générale?</p></br><p>La vidéo comporte des commentaires de personnes comme Frédéric Sultan, Gaelle Krikorian, Alain Ambrosi, Ianik Marcil, Matthew Rhéaume, Silke Helfrich, Chantal Delmas, Pablo Solon, Christian Iaione et Jason Nardi, entre autres.</p></br><p>Les entretiens individuels avec chacune de ces personnes sont tout à fait absorbants. (Voir la liste complète des vidéos <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Commons_Space" target="_blank" rel="noopener noreferrer">ici</a>.) Six de ces entretiens sont en anglais, neuf sont en français et trois sont en espagnol. Ils vont de dix minutes à vingt-sept minutes.</p>uf sont en français et trois sont en espagnol. Ils vont de dix minutes à vingt-sept minutes.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Claiming the Commons - Food for All on Haultain Boulevard" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/25F_KbTz39o?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Peak Moment 185: Rainey Hopewell’s crazy idea has ended up feeding a neighborhood and creating community. She and Margot Johnston planted vegetables in the parking strip in front of their house. They offer them free for the taking ? to anyone, anytime ? with messages chalked on the sidewalk noting when particular vegies are ready to pick. Neighboring children and adults are joining in to work on the garden, harvesting fun along with food, and even handing fresh-picked vegies to passers-by.</p></br><p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p></br><p>Licence YouTube standard</p>gt; <p>Mise en ligne le 20 nov. 2010</p> <p>Licence YouTube standard</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Tragedies, comedies and other dramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/fbzUurdT_EY?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p><a href="http://www.youtube.com/watch?v=fbzUurdT_EY">Tragedies, comedies and other dramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013 – YouTube</a>.</p>ramas of the Commons by Bonnie McCay #IASC #Japan2013 – YouTube</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/O_pKnP-2mOQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>L’Afrique produit 10 pour cent de moins de nourriture qu’en 1960. Avec la montée de la monoculture et de la production alimentaire mondialisée, le paysage du continent est en train de changer et menace sa capacité de se nourrir. Au Mali, un plan américain pour une vaste opération de production de canne à sucre sur les rives du fleuve Niger menace les producteurs de riz à petite échelle qui ont nourri leurs communautés pendant des générations.</p></br><p>Comment nourrir le monde ? Pour en savoir plus et obtenir des ressources pédagogiques, aller à <a href="http://www.whypoverty.net">www.whypoverty.net</a></p></br><p>Director Hugo Berkeley & Osvalde Lewat<br /></br>Producer Eli Cane<br /></br>Produced by Normal Life Pictures<br /></br><a href="http://www.whypoverty.net/en/video/31/">Why Poverty?</a><br /></br>Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /></br>ITVS</p>overty?</a><br /> Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /> ITVS</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>La RFUK et la MEFP, en collaboration avec le réalisateur Luis Leitao, ont lancé un nouveau film sur la manière dont les BaAka de la forêt tropicale de République Centrafrique font entendre leurs voix à travers la cartographie participative.</p></br><p>Afin de sensibiliser le public aux problèmes rencontrés par les communautés autochtones des forêts du bassin du Congo, et au rôle que la cartographie participative peut jouer dans la résolution de ces difficultés, la RFUK et l’ONG centrafricaine « Maison de l’Enfant et de la Femme Pygmées » (MEFP) ont produit un film de 30 minutes intitulé « Ndima — Les cartes de notre futur ». « Ndima », qui signifie « forêt » en BaAka, raconte la manière dont les communautés autochtones BaAka de la République centrafricaine ont utilisé la cartographie pour appuyer leurs revendications relatives à l’accès et à l’utilisation de leurs terres traditionnelles. Le film met en évidence ces enjeux dans le cas d’une aire protégée.</p></br><p>Le film s’adresse au tout public tant au « Nord » que dans le bassin du Congo – mais soulève également des questions importantes pour les décideurs, concernant les besoins et le rôle potentiel des premiers gardiens de la forêt dans les efforts de conservation au sens large.</p></br><p>Durée : 28mins<br /></br>Publiée le 2 juil. 2013<br /></br>Licence : Licence YouTube standard</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. We work in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit our website and watch our clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="560" height="315" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international.</p></br><p>Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>t;p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth is a social entrepreneur based in Harare, Zimbabwe. She is telling On the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p> the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/VOMWzjrRiBg?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> </p></br><p>« There’s no tomorrow » is an cartoon about the exploitation of fossil fuels and natural resources and their impact of human life on the planet. It is directed by Dermot O’ Connor and produced by Incubate Pictures. In 35 minutes, it addresses issues related to the growth of our economic system and how we consume.</p></br><p>Publication : Dermot O’ Connor (35 minutes, 2012). <a href="http://www.idleworm.com">http://www.idleworm.com</a><br /></br><a href="http://www.incubatepictures.com">http://www.incubatepictures.com</a> – <a href="http://www.angryanimator.com">http://www.angryanimator.com</a></p></br><p>Information and documentation in the website : <a href="http://sansLendemain.mpOC.be">http://sansLendemain.mpOC.be</a>.</p>on and documentation in the website : <a href="http://sansLendemain.mpOC.be">http://sansLendemain.mpOC.be</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth est une entrepreneur sociale basée à Harare, Zimbabwe. Elle raconte l’histoire de On the Up Village Kafunda, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>da, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/O_pKnP-2mOQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>75% of Mali’s population are farmers, but rich, land-hungry nations like China and Saudi Arabia are leasing Mali’s land in order to turn large areas into agribusiness farms. Many Malian peasants do not welcome these efforts, seeing them as yet another manifestation of imperialism. As Mali experiences a military coup, the developers are scared off – but can Mali’s farmers combat food shortages and escape poverty on their own terms?</p></br><p>How do you feed the world? To find out more and get teaching resources, go to <a href="http://www.whypoverty.net">www.whypoverty.net</a></p></br><p>Director Hugo Berkeley & Osvalde Lewat<br /></br>Producer Eli Cane<br /></br>Produced by Normal Life Pictures<br /></br><a href="http://www.whypoverty.net/en/video/31/">Why Poverty?</a><br /></br>Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /></br>ITVS</p>a><br /> Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /> ITVS</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>The RFUK and MEFP, in collaboration with the director Luis Leitao, have launched a new film on the way BaAka rainforest of Central African Republic make their voices heard through participatory mapping.</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. It works in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit the website and watch the clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><img decoding="async" loading=<p><img decoding="async" loading="lazy" class="alignnone size-large wp-image-6609" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin-607x455.jpeg" alt="" width="607" height="455" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin-607x455.jpeg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin-342x257.jpeg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin-768x576.jpeg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/10/aquarelle-AtelierDessin.jpeg 1024w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><br /></br>Une <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Prendre_soin_ensemble" target="_blank" rel="noopener">collection de témoignages</a> autour des pratiques de soin en santé et des communs à partir desquels ont été produits trois montages, un triptyque Soin empêché / La santé sous pression néo-libérale / Auto-organiser le soin en commun. Cette série est une contribution de Remix the commons à l’Atelier pour la refondation du service public hospitalier, réalisée en collaboration avec <a class="external text" href="http://www.primitivi.org/Soigner-comme-neige-au-soleil-ou-l-Obsolescence-programmee-des-secteurs-de?" rel="nofollow">Primitivi</a> du 3 et 4 juillet 2021 à Marseille.</p> rel="nofollow">Primitivi</a> du 3 et 4 juillet 2021 à Marseille.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><span id="result_box" class=""<p><span id="result_box" class="" lang="en"><span class="hps">The</span> <span class="hps">world needs</span> <span class="hps">ideas for a better</span> <span class="hps">and sustainable future</span>, <span class="hps">but the ideas</span> <span class="hps">are not enough.</span> <span class="hps">The</span> <span class="hps">Futureperfect</span> <span class="hps">platform is</span> <span class="hps">a virtual</span> <span class="hps">encyclopedia</span> <span class="hps">of</span> <span class="hps">people</span> <span class="hps">taking</span> <span class="hps">initiatives</span><span class="">, organizations</span> <span class="hps">and businesses</span> <span class="hps">who</span> <span class="hps">move from</span> <span class="hps">thinking</span> <span class="hps">to action.</span> Sharing these<span class="hps"> stories</span> <span class="hps">aims to</span> <span class="hps">inform about</span> <span class="hps">alternative lifestyles</span> <span class="hps">and</span> <span class="hps">to</span> <span class="hps">encourage</span> <span class="hps">civic engagement</span>.</span></p></br><p><span class="hps">The</span> <span class="hps">French</span> <span class="hps">partners of</span> <span class="hps">Futureperfect</span>, the <span class="hps">German</span> <span class="hps">team of FUTURZWEI</span>, activists <span class="hps">and all</span> <span class="hps">interested public</span> <span class="hps">will meet to</span> <span class="hps">discuss</span> <span class="hps">the role of media</span> <span class="hps">in the developpement of</span> <span class="hps">social economy</span> <span class="hps">practices and</span> <span class="hps">sustainable lifestyles</span>.</p></br><div class="row"></br><div class="span12 nurText"></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/10/futureperfect_visuel_web-debzt-8-octobre-2015.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter wp-image-4335 size-full" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/10/futureperfect_visuel_web-debzt-8-octobre-2015.jpg" alt="futureperfect_visuel_web debzt 8 octobre 2015" width="337" height="803" /></a></p></br><p><span class="hps">Debate</span> <span class="hps">part of la Semaine des cultures étrangères</span> <span class="hps">held by the</span> <span class="hps">FICEP</span> <span class="hps">and</span> <span class="hps">in cooperation with the<a href="http://tempsdescommuns.org"> Festival Temps des communs</a></span>.</p></br><ul></br><li><strong>Barnabé Binctin</strong>, Journaliste <i>Reporterre</i></li></br><li><i><strong>Peter Unfried</strong>, </i>Journaliste <i>TAZ</i></li></br><li><i><strong>Benoit Cassegrain </strong>and<strong> Hélène Legay</strong>,</i> <i>SideWays</i></li></br><li><i><strong>Mathias Lahiani</strong>, </i><i>On passe à l’acte</i></li></br></ul></br><p>Moderated by <strong>Luise Tremel</strong>, FUTURZWEI and <strong>Frédéric Sultan</strong>, <i>Remix the commons </i></p></br></div></br><div class="span12 nurText"> Goethe-Institut Paris</div></br><aside class="span6 artikelspalte nurText"></br><div class="teaserBox"></br><p class="vkEvent">17 avenue d’Iéna<br /></br>75116 Paris</p></br></div></br><p>Langage : En français et en allemand<br /></br>Free entry, registration : <span class="telefon">33 1 44439230 </span></p></br></aside></br></div>ong>, Journaliste <i>Reporterre</i></li> <li><i><strong>Peter Unfried</strong>, </i>Journaliste <i>TAZ</i></li> <li><i><strong>Benoit Cassegrain </strong>and<strong> Hélène Legay</strong>,</i> <i>SideWays</i></li> <li><i><strong>Mathias Lahiani</strong>, </i><i>On passe à l’acte</i></li> </ul> <p>Moderated by <strong>Luise Tremel</strong>, FUTURZWEI and <strong>Frédéric Sultan</strong>, <i>Remix the commons </i></p> </div> <div class="span12 nurText"> Goethe-Institut Paris</div> <aside class="span6 artikelspalte nurText"> <div class="teaserBox"> <p class="vkEvent">17 avenue d’Iéna<br /> 75116 Paris</p> </div> <p>Langage : En français et en allemand<br /> Free entry, registration : <span class="telefon">33 1 44439230 </span></p> </aside> </div>)
  • Chargement/Site  + (<p><strong>Glossary of the com<p><strong>Glossary of the commons</strong></p></br><p>The aim is to have a definition exercice, in French, of the vocabulary used in our community. The Glossary will be multi-dimensional using multimedia tools and different level of meanings. We intend also to work as well with non french speaking people to set up the list of terms. It will use Charlotte Hess mapping approach to classify terms into different fields.</p></br><p>See more information in the<a href="https://www.remixthecommons.org/2013/08/un-chantier-po…-biens-communs/"> french version</a> of this post.</p>mmons.org/2013/08/un-chantier-po…-biens-communs/"> french version</a> of this post.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><strong>How to equip the in<p><strong>How to equip the inhabitants with tools and methods that allow them to claim the consideration of a joint management of the social, cultural and economic resources of urban life? We believe that knowledge and mastery of legal mechanisms that allow urban commons to prosper, is an essential part of the answer to this question.</strong></p></br><p>Atlas of the Charters of the Urban Commons is to provide socio-technical device to appropriate these tools, by articulating three actions:</p></br><ol></br><li>achieve and maintain an open and interactive inventory of legal mechanisms dedicated to the implementation of urban commons.</li></br><li>provide a collective space for analysis and interpretation of the governance mechanisms of the urban commons that will produce a new shared knowledge among commoners in a cross-cultural perspective.</li></br><li>provide a space for exchange and mutual aid around the development of charters and legal instruments for the regeneration or creation of urban commons.</li></br></ol></br><p>Analysis of the Bologna regulation :</p></br><p><iframe style="width: 900px; height: 500px; border: 1px solid black;" src="https://framindmap.org/c/maps/198701/embed?zoom=1"> </iframe></p></br><p>To contribute to this work, please use<br /></br><a href="https://framindmap.org/c/maps/198701/edit">framindmap.org</a><br /></br>(You need to be identified)</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">More information</a></p></br><p> </p>p.org</a><br /> (You need to be identified)</p> <p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">More information</a></p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p><strong>Le 21 mars de 17:00<p><strong>Le 21 mars de 17:00 à 20:00, Venez, REMIXER LES BIENS COMMUNS, à la Fondation Charles Léopold Mayer, (38 rue Saint-Sabin – Paris). </strong></p></br><p>Le 21 mars, profitant d’une session de travail du réseau en France, nous vous proposons un moment de dialogue convivial et de partage des initiatives culturelles et médiatiques sur les biens communs avec <a href="http://www.communautique.qc.ca/">Communautique</a>, Le <a href="http://www.forumalternatives.org/">Forum Marocain des Alternatives Solidaires</a>, <a href="http://www.ker-thiossane.org/">Ker Thiossane,</a> le <a href="http://www.lartes-ifan.gouv.sn/">LARTES</a> et <a href="http://vecam.org">VECAM</a>,.</p></br><p>Nous vous invitons à partager vos initiatives au même titre que celles du réseau Remix the Commons : la mosaïque et les chapitres de la collection multimédia, et de ses membres : les Petits déjeuners en-communs, À l’école des communs à Montréal, la Réparation Communautaire pour la transition dans la justice au Maroc, Afropixel, festival d’arts numériques sur les biens communs, les Chartes de gouvernance démocratique au Sénégal…</p></br><p>Nous vous proposerons également de participer à la préparation d’une démarche de curation des médias sur les thèmes de la conférence : <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">ECONOMICS AND THE COMMON(S): FROM SEED FORM TO CORE PARADIGM</a>, qui se déroule à Berlin du 22 au 24 mai.</p></br><p>Enfin, de 19:00 à 20:00, nous vous proposerons de profiter de la présence de membres du réseau francophone des biens communs venus de Montréal, Dakar et Rabat pour faire un tour d’horizon des initiatives en cours et un point sur le fonctionnement collectif.</p></br><p>Merci de confirmer votre participation en vous inscrivant sur le <a href="http://framadate.org/4jhn4ulkq7okavf9 ">sondage Framadate</a>.</p> <p>Merci de confirmer votre participation en vous inscrivant sur le <a href="http://framadate.org/4jhn4ulkq7okavf9 ">sondage Framadate</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>A great new documentary that is c<p>A great new documentary that is currently in production, documenting the water struggles around Greece. The working title of the new documentary is « Wa(te)rdrops », and it aims to present, through in-depth research and fieldwork, struggles concerning water around Greece, including the struggle against the privatization of Thessaloniki’s water company (EYATH), against the gold mines in Chalkidiki and against local water reserve appropriation efforts in Volos and Crete.</p></br><p>First few trailers in the documentary’s <a href="http://www.stagonesdoc.gr/en">web page</a>. Make sure you activate the subtitles (English or Spanish) on the top right corner of the player.</p></br><p>It is being filmed by a group of militant filmmakers coordinated by researcher Nelly Psarou. The same people did « Golfland? » a few years ago, a doc about the disastrous effect of golf course development on the environment and local communities. You can watch « Golfland? » online <a href="http://www.golfland.gr/en/golfland_movie.php">here</a> (Soon in the Remix Catalogue). </p></br><p>It is a_proudly independent production_ relying on crowdfunding for its completion, and the outcome will be freely accessible under a creative commons license. « Donate » button on the bottom of the documentary’s webpage.</p>reative commons license. « Donate » button on the bottom of the documentary’s webpage.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>After the festival « Temps des co<p>After the festival « Temps des communes », (October 2015), a small group has decided to produce an exhibition on the commons. The idea was to do a light, self editable and easy to use collection of posters. It is dedicated to places that welcome an audience that is not particularly sensitive to the commons. We were thinking for example of community centers, libraries or schools. After a few exchanges, notably around the game <a href="http://commonspoly.cc/">Commonspoly</a>, which had been prototyped by <a href="http://www.zemos98.org/">ZEMOS98</a> a few months before during a European meeting, we produced an exhibition of 12 posters that explain and illustrate the commons.</p></br><figure style="width: 1240px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/ExpoLesCommunsV0_panneau01.png" width="1240" height="1753" alt=" Expo Les communs page1 CC-BY-SA." class="size-medium" /><figcaption class="wp-caption-text"><br /></br>Expo Les communs page1 CC-BY-SA.</figcaption></figure></br><p>The exhibition proposes to discover the common through their definition and concrete illustration. The panels make us walk through different facets of the commons: the fragility of natural commons, the relationship between use and ownership, the role of hackers in the renewal of commons, the place of knowledge, and the reconquest of political space by commoners. Finally, it also proposes resources based on other cultural initiatives: Communauthèque, a best of bibliography of the 50 books on the commons, the game C@rds in common or Remix the commons of course!</p></br><p>This exhibition is a collective work leaded by Thierry Pasquier, and edited by Rosie Howe, with the support of Espace Mendès France at Poitiers, a center for scientific, technical and industrial culture in New Aquitaine, Vecam, and Remix the commons. The publication under the license « Attribution – Sharing under the same conditions 3.0 France (CC BY-SA 3.0 FR) » allows free imagination for the diffusion and adaptation of the exhibition to each context … and languages. The next step will be to set up a dedicated website that will allow each to publish according to his/her needs. We will give you news of this project in the coming months!</p></br><p>The PDF light version of the exhibition is available on the <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Exposition_Les_communs">wiki Remix the commons</a>. In the next few weeks we will install a wiki with the content, including Pdf in high definition, texts images that can modified, as well as all associated media and InDesign sources. Do not hesitate to ask us for any specific request or offer your help.</p></br><p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p>edia and InDesign sources. Do not hesitate to ask us for any specific request or offer your help.</p> <p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Appel à idées !</p> <p&g<p>Appel à idées !</p></br><p>Soumettez une idée qui encourage l’Europe en laquelle nous croyons : une Europe fondée sur la solidarité et l’ouverture, façonné et nourrie par le peuple.</p></br><p>Nous vivons et travaillons dans un environnement de plus en plus complexe. À travers l’Europe et ses pays voisins, un nombre croissant de personnes sont confrontées quotidiennement à la discrimination et à l’exclusion, que ce soit sur un plan économique, politique ou culturel. </p></br><p>Un tel phénomène a pour conséquence une fragmentation croissante des sociétés, une montée de l’extrémisme et une division toujours plus grande entre les peuples, mais aussi entres les individus et les institutions qui les gouvernent.</p></br><p>Les mouvements migratoires, la méfiance envers les institutions traditionnelles et l’écart grandissant entre l’idée d’une Europe démocratique et la réalité d’un continent divisé sont parmi les plus grands défis auxquels nous sommes aujourd’hui confrontés. </p></br><p>Ces défis ne sont pas nouveaux, mais ils ont atteint un degré qui affecte directement les systèmes et les politiques existantes, tant au niveau national qu’au niveau européen.<br /></br>La troisième édition de l’Idea Camp portée par l’European Cultural Foundation (ECF) et intitulée « Communautés en mouvement », s’attachera à mettre en lumière les mouvements de résistance qui s’attachent à contrer des pratiques anti-démocratiques. </p></br><p>Organisé en collaboration avec Platoniq, l’Idea Camp aura lieu du 1er au 3 Mars 2017 en Espagne et réunira 50 participants dont les idées novatrices démontrent la ferme volonté d’encourager l’imagination politique, favoriser la construction de liens et contribuer au développement d’une société fondée sur le principe de justice sociale. Basé sur des valeurs de partage, d’inclusion et d’ouverture, l’Idea Camp offre aux participants une occasion unique de rencontrer des pairs venus de toute l’Europe et de ses pays voisins, dont les pratiques sont porteuses devisions différentes.<br /></br>Suite à l’appel à idées, 50 participants sont sélectionnés sur critères. ECF couvrira, pour la durée de l’Idea Camp, les frais de déplacement et de séjour en Espagne d’un représentant pour chaque idée.<br /></br>Après l’Idea Camp, les participants seront invités à soumettre une proposition concrète de recherche ou d’implémentation de leur idée. 25 propositions seront retenues et recevront une bourse de recherche et développement d’un montant maximum de 10.000 €. </p></br><p>Initié en 2014, l’Idea Camp est organisé dans le cadre de « Connected Action for the Commons », un programme d’action et de recherche développé par ECF en collaboration avec six organisation culturelles implantées dans toute l’Europe: Culture 2 Commons (Croatie), Les Têtes de l’Art (France), KrytykaPolityczna (Pologne), Oberliht (Moldavie), Platoniq – Goteo (Espagne) et Subtopia (Suède).</p></br><p>Pour soumettre votre idée, remplissez le formulaire en ligne suivant : http://www.culturalfoundation.eu/idea-camp-call/</p>ivant : http://www.culturalfoundation.eu/idea-camp-call/</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Après le festival Temps des commu<p>Après le festival Temps des communs, (octobre 2015), un petit groupe s’était retrouvé sur l’idée de produire une exposition sur les communs, légère, éditable à la demande et utilisable dans des lieux qui accueillent un public qui n’est pas spécialement sensible à ce sujet. Nous pensions alors aux centres sociaux, aux bibliothèques ou aux établissements scolaires par exemple. Après quelques échanges, notamment autour du jeu <a href="http://commonspoly.cc/">Commonspoly</a> qui avait été prototypé par <a href="http://www.zemos98.org/">ZEMOS98</a> quelques mois avant lors d’une rencontre européenne, nous avons produit 12 panneaux d’exposition qui expliquent et illustrent les communs.</p></br><figure style="width: 1240px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-medium" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/ExpoLesCommunsV0_panneau01.png" alt="Expo Les communs" width="1240" height="1753" /><figcaption class="wp-caption-text">Expo Les communs – CC-BY-SA.</figcaption></figure></br><p>L’exposition propose de découvrir les communs à travers des éléments de définition et leur illustration concrète. Les panneaux font cheminer à travers différentes facettes des communs : la fragilité des communs naturels, la relation entre usage et propriété, le rôle des hackers dans le renouvellement des communs, la place de la connaissance, et la reconquête de l’espace politique par les commoners. Enfin, elle propose aussi des ressources en s’appuyant sur d’autres initiatives culturelles autour des communs : Communauthèque et sa bibliographie, le jeu C@rtes en commun ou encore Remix the commons of course !</p></br><p>L’exposition est un travail collectif autour de Thierry Pasquier, mis en forme graphique par Rosie Howe, avec le soutien de l’Espace Mendès France — Poitiers, centre de culture scientifique, technique et industrielle en Nouvelle-Aquitaine, de l’association Vecam, et de Remix the commons. La publication sous la licence « Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 3.0 France (CC BY-SA 3.0 FR) » permet de laisser libre court à son imagination pour la diffusion et d’adaptation de l’exposition à chaque contexte. La prochaine étape consistera à mettre en place un site Web dédié qui permettra à chacun de publier selon ses besoins. Nous vous donnerons donc des nouvelles de ce projet dans les mois qui viennent !</p></br><p>Une version PDF légère de l’exposition est disponible sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Exposition_Les_communs">wiki Remix the commons</a>. Dans les semaines qui viennent, nous allons mettre en place un site web pour recevoir des PDF en haute définition pour l’impression en différents formats, les textes afin de permettre leur modification, correction, amendement, etc, ainsi que l’ensemble des médias associés et les sources InDesign. Le temps de mettre tout ça en place. N’hésitez pas à nous solliciter pour toute demande spécifique ou bien proposer de l’aide.</p></br><p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p><p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Après le festival Temps des commu<p>Après le festival Temps des communs, (octobre 2015), un petit groupe s’était retrouvé sur l’idée de produire une exposition sur les communs, légère, éditable à la demande et utilisable dans des lieux qui accueillent un public qui n’est pas spécialement sensible à ce sujet. Nous pensions alors aux centres sociaux, aux bibliothèques ou aux établissements scolaires par exemple. Après quelques échanges, notamment autour du jeu <a href="http://commonspoly.cc/">Commonspoly</a> qui avait été prototypé par <a href="http://www.zemos98.org/">ZEMOS98</a> quelques mois avant lors d’une rencontre européenne, nous avons produit 12 panneaux d’exposition qui expliquent et illustrent les communs.</p></br><figure style="width: 1240px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="size-medium" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/ExpoLesCommunsV0_panneau01.png" alt="Expo Les communs" width="1240" height="1753" /><figcaption class="wp-caption-text">Expo Les communs – CC-BY-SA.</figcaption></figure></br><p>L’exposition propose de découvrir les communs à travers des éléments de définition et leur illustration concrète. Les panneaux font cheminer à travers différentes facettes des communs : la fragilité des communs naturels, la relation entre usage et propriété, le rôle des hackers dans le renouvellement des communs, la place de la connaissance, et la reconquête de l’espace politique par les commoners. Enfin, elle propose aussi des ressources en s’appuyant sur d’autres initiatives culturelles autour des communs : Communauthèque et sa bibliographie, le jeu C@rtes en commun ou encore Remix the commons of course !</p></br><p>L’exposition est un travail collectif autour de Thierry Pasquier, mis en forme graphique par Rosie Howe, avec le soutien de l’Espace Mendès France — Poitiers, centre de culture scientifique, technique et industrielle en Nouvelle-Aquitaine, de l’association Vecam, et de Remix the commons. La publication sous la licence « Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 3.0 France (CC BY-SA 3.0 FR) » permet de laisser libre court à son imagination pour la diffusion et d’adaptation de l’exposition à chaque contexte. La prochaine étape consistera à mettre en place un site Web dédié qui permettra à chacun de publier selon ses besoins. Nous vous donnerons donc des nouvelles de ce projet dans les mois qui viennent !</p></br><p>Une version PDF légère de l’exposition est disponible sur le <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php?title=Exposition_Les_communs">wiki Remix the commons</a>. Dans les semaines qui viennent, nous allons mettre en place un site web pour recevoir des PDF en haute définition pour l’impression en différents formats, les textes afin de permettre leur modification, correction, amendement, etc, ainsi que l’ensemble des médias associés et les sources InDesign. Le temps de mettre tout ça en place. N’hésitez pas à nous solliciter pour toute demande spécifique ou bien proposer de l’aide.</p></br><p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p><p>Thierry Pasquier et Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>At the last meeting of the Franco<p>At the last meeting of the Francophone network for the commons, popular education approaches have been discussed several times. Working groups should be set up to pursue this logic, one in particular, around the idea of school or university common folk. This article is a contribution to the debate and a proposal to organize a large meeting of the actors involved in different practices of learning the commons with a political perspective. The article is in French only. You can also find a list of refences of actions at the end. </p></br><p>Différentes initiatives s’inscrivent dans une logique d’école ou université populaire des communs. Celles que nous connaissons le mieux sont l’<a href="http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia">école des Communs de Barcelone</a>, <a href="http://www.schoolofcommoning.com">celle de Londres</a>, ou l’<a href="http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite">université d’été</a> qui se déroule en Allemagne depuis quelques années. A Montréal, une rencontre « <a href="http://bit.ly/1kPbTFK">A l’école des communs</a> » s’est déroulée à la fin de l’année 2012. </p></br><p>Ces initiatives prennent différentes formes. Certaines sont permanentes alors que d’autres sont des temps de rencontres ponctuels. Certaines allient auto formation et transmission de savoirs dans une perspective d’éducation populaire, d’autres veulent d ’emblée s’inscrire dans des cursus académiques. Pour les unes, une école des communs se doit d’être nomade et proactive dans son environnement socio politique. Pour les autres elles doivent plutôt s’ancrer dans les institutions d’enseignement. La place et les rôles respectifs du présentiel et du virtuel peuvent varier. </p></br><p>Les pédagogies appliquées sont plus ou moins ouvertes. Elles vont de la conférence, au format somme toute assez traditionnel (Londres), à un travail de construction de coalition locale d’activistes et de chercheurs (Barcelone ou Montréal).<br /></br>Finalement, une discussion sur la nature de ce que devrait être la pédagogie à l’ère des communs (peeragogie) s’est déroulée ces dernières semaines sur le forum de discussion Commoning (en anglais).</p></br><p>Ces initiatives incluent dans leurs objectifs de produire des documents de référence tels que par exemple les <a href="http://bit.ly/LtK064">interviews conférences de James Quilligan</a>, les interviews de <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Michel Bauwens</a> et <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs">Lionel Maurel</a> pour A l’école de communs ou la transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » par le groupe allemand (qui sera ensuite <a href="http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/">traduit en français par Savoircom1</a>). </p></br><p>La <a href="http://p2pfoundation.net/ECC2013">conférence de Berlin</a> de mai 2013 a été l’occasion de mutualiser ces expériences au cours de deux « side events » axés sur la « <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013">Culture et Communication des Communs </a>» et sur l’« <a href="http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013">Éducation des Communs</a> ». Une réflexion collective sur <a href="http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/">les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs</a> a été initiée à cette occasion. Dans ce contexte, une démarche ouverte d’éducation aux communs pour et par une coalition francophone pourrait enrichir l’offre existante et démultiplier sa puissance de transformation sociale et politique en systématisant ces démarches.</p></br><p>L’un des premiers enjeux que rencontre une démarche d’éducation populaire autour des communs aujourd’hui est certainement lié à l’étude et la stabilisation des catégories de définition des communs et du vocabulaire des communs. Elaborer des catégories des communs plus opérationnelles faciliterait la mise en réseau des commoneurs et la dissémination du paradigme des communs dans la société. Des initiatives existent sur ce terrain qu’il faut regarder de près et renforcer. <a href="http://movecommons.org">Move Commons</a> est une des plus avancées. Le site web propose d’attribuer un label à un projet selon des critères correspondant à la nature des communs (4 types) au mode de gouvernance de l’organisation ou de l’initiative concernée. Le formulaire permet alors de produire un badge, à la manière des licences Creative Commons qui pourra être inclus dans la page web du projet. Move Commons s’est développé dans l’écosystème des communs espagnols formé par le Medialab Prado et l’association Communes. Aujourd’hui, Bastien Guerry, l’un des initiateurs de Move commons, développe une deuxième version du site qui s’affranchit des catégories pour privilégier la qualification des initiatives sous la forme de tags. A travers la question des labels des communs, Move Commons interroge la possibilité et la pertinence de certification des pratiques et des communautés.</p></br><p>Le collectif Remix The Commons, composé de 5 organisations francophones (en France, au Maroc, au Sénégal, au Québec), s’attache à définir des catégories qui cette fois s’appliquent à des documents. Remix The Commons invite à documenter les pratiques et les enjeux des biens communs. Entre 2010 et 2013, le collectif Remix The Commons a notamment collecté auprès de commoneurs du monde entier, chercheurs ou activistes, leurs <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs/">définitions des biens communs</a> sous la forme de brèves capsules vidéos. Ces documents (et d’autres, actuellement le site en référence environ 260), sont classés en fonction d’une part des domaines d’action ou ressources mises en biens communs : l’eau, la connaissance, les infrastructures, …etc, et d’autre part, en fonction de l’agenda des luttes propres aux communautés et aux acteurs : le droit d’accès à l’eau potable, le libre accès à la connaissance, la neutralité des infrastructures telles que Internet, …etc. Le catalogue (et donc les catégories) de Remix The Commons est considéré comme une contribution (un commun) au mouvement des communs. Le principal artefact de ce catalogue est le <a href="http://remixthecommons.org">site web</a>.</p></br><p>Les vocabulaires (jeux de catégories) qui émergent de ces initiatives ne gagneraient-ils pas à être explicités collectivement afin de nourrir la culture commune des communs ? On a pu voir à travers le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs">projet Biens Communs de Wikipédia</a> qu’il y a un vide à combler. Certaines définitions manquent lorsque d’autres sont tronquées ou le reflet d’un point de vue qui ne tient pas compte de la perspective des communs.</p></br><p>L’idée de glossaire des communs a fait l’objet des premières expérimentations autour de Ville en Biens Communs avec le <a href="http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/">groupe Encyclopétrie</a>. En partant de groupes de mots identifiés à la fois par Remix The Commons et dans le manifeste de Savoircom1, un dispositif de visualisation interactif a été expérimenté. Ce projet a le mérite d’ouvrir la réflexion sur l’objet lexique des communs et sur les conditions de production et d’interconnexion de glossaires des groupes, réseaux de commoneurs.</p></br><p>Mais en plus de la création / amélioration des définitions dans l’encyclopédie, il serait utile de mettre à contribution les outils de web sémantique tels que ceux développés sous le leadership de Wikimedia, pour définir et stabiliser des catégories qui seraient ainsi plus facilement partageables. Le partage de ces catégories permettraient de rendre interopérables certains projets, comme ceux cités, et probablement d’autres que nous n’identifions pas encore.</p></br><p>Un deuxième enjeu est certainement de mieux articuler transformations sociales et politiques.</p></br><p>A différentes échelles, locale, régionale, nationale (pour ne prendre que celles-là) des collectifs se saisissent de problématiques plus ou moins spécifiques, telles que l’alimentation, le transport, la santé, l’environnement, l’information et l’éducation, l’espace public, le travail, l’énergie et l’environnement, l’eau, … pour agir très concrètement sur le terrain. Dans bien des domaines, la capacité de ces initiatives à peser de manière significative aux moments et dans les espaces décisionnels, est restreinte et doit être développée. Il est évident que certains de ces champs sont aujourd’hui beaucoup mieux lotis que d’autres. La connaissance, l’informatique libre ou Internet par exemple sont défendus par des groupes qui ont su constituer une force de frappe auprès de la puissance publique et développer des dispositifs de création ou de protection des communs à grande échelle. Les causes liées aux communs ne se limitent pas aux domaines reconnus, et, même si tout n’est pas acquis sur ces terrains, loin s’en faut, accompagner le « passage à l’échelle » du politique dans d’autres domaines devrait faire partie des objectifs de la coalition des biens communs. L’expérience de ces mouvements plus influents montre qu’il sont d’autant plus puissants dans cette sphère, qu’ils savent rassembler des militants et développer des outils de coordination et réunir des compétences spécifiques ,notamment juridiques, à leur domaine d’action..</p></br><p>La mobilisation dépend en grande partie de la diffusion de la notion de communs dans la société. Dans une perspective d’éducation populaire, les modes de diffusion passent par une élaboration collective par les habitants des problématiques qu’ils partagent et sur lesquelles ils s’engagent (ou pas) dans la consolidation de liens sociaux ou symboliques qui fondent les communautés.</p></br><p>Les MOOC, sont une piste régulièrement invoquée, pour contribuer à la diffusion de la notion de communs. Ils pourraient faire l’objet de coopérations entre des acteurs de la formation issus de l’univers académique et du monde associatif qui se sont dédiés à la formation professionnelle. Le <a href="http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/">Master recherche Infocom</a> de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau et <a href="http://animacoop.net/">Animacoop</a> formation professionnelle à la coopération mise en place par Outils réseaux http://outils-reseaux.org/ et la ville de Brest, pourraient conduire ce type de démarche. La chaire dédiée aux communs, soutenue par le Crédit Coopératif, le CNAM, l’IAP organisateur d’une table ronde sur Web, associations et communs, et bien d’autres acteurs issus du secteur de la formation sont mobilisables.</p></br><p>Sous différentes formes, l’analyse de terrain, l’étude de cas, les recherches actions, des dispositifs qui sont conduits avec les personnes concernées, cette fois dans le but de peser sur la situation concrète, contribuent à (et s’appuient sur) l’élargissement des mobilisations. La <a href="http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun">fabrique du commun</a> du groupe Kom.post détourne le format habituel de la conférence pour créé un espace de partage des savoirs liés à une problématique partagée.<br /></br>Au Sénégal, les <a href="https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/">petits déjeuners des communs</a> organisent la rencontre des habitants et des artistes autour de problématiques inscrites dans l’espace local. La production des fiches d’expérience en vue de préparer de la <a href="http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html">rencontre de Guérande</a> organisée par L’Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) est un autre exemple de ces pratiques. Un travail de recherche action en cours d’élaboration au Sénégal à travers le projet <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique">Communs en Afrique</a> se situe dans une perspective très proche. Il vise à définir des processus participatifs et expérimentaux pour documenter la problématique des communs en lien avec les défis auxquels fait face le continent : l’alimentation, le transport, la Santé, l’environnement, l’information, l’éducation, et observer des processus de Biens Communs en Afrique.</p></br><p>Ce dernier projet fait appel à des <a href="https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/">démarches de cartographie des communs</a> que nous avons commencé à explorer en nous appuyant sur <a href=" http://remixthecommons.infini.fr/">Chimère</a>, une application qui permet de classer et documenter des points d’intérêt sur un territoire. La cartographie participative permet non seulement la recension et la visualisation de ressources (éventuellement mises en communs), mais s’offre aussi comme un support de médiation au sein de la communauté sur les racines et le devenir des biens communs et pour la résolution des problématiques auxquelles elle fait face. Les démarches de cartographie sont déjà largement répandues pour outiller des groupes sociaux qui ont le désir de prendre en main leur destinée. On peut voir les actions qui font référence en Inde, au Brésil, en Afrique du Sud, en Guinée, en associant la production de carte et le processus délibératif des communautés. Les formes de production collectives des cartes ont été renouvelées par l’avènement d’Open Street Map, puis par le développement des pratiques de visualisation et d’ouverture des données (Open data). La production par les collectifs de leur propres représentations, leur permet de redessiner les enjeux et leur stratégies à partir de leur propre vision, comme le montre clairement les expériences de cartographie radicale depuis plusieurs décennies (Nicolas Lambert <a href="http://neocarto.hypotheses.org/15">cartographie radicale</a>. Les initiatives lancées par <a href="https://www.academia.edu/3886909/Mapping_the_Urban_Commons._A_new_representation_system_for_cities_through_the_lenses_of_the_commons">hackitectura</a> de cartographies des communs des Villes d’Athènes et Istambul et en cours actuellement à Rio en sont un exemple remarquable. En outre, partager les classifications des communs, comme évoquées précédemment, permettrait de développer des démarches de recherche actions conjointes.</p></br><p>Cet embryon d’inventaire d’initiatives autour des définitions et de l’appropriation de la notion de communs ou de biens communs, est très bref. De toute évidence, il mériterait d’être étoffé. Aussi, n’hésitez pas à partager vos expériences et vos idées pour y contribuer.</p></br><p>Nous pourrions imaginer de faire se rencontrer et échanger les personnes intéressées par ces initiatives afin de favoriser l’émergence de collaborations. Nous y sommes intéressés. Cela pourrait être un des volets d’une rencontre, école des communs, ou quelque soit sont titre, qui pourrait se dérouler en 2014. L’expérience d’école des communs de Barcelone suit cette ligne. Dans une interview, <a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona">Mayo Fuster</a> décrit le mode de fonctionnement de l’école des communs de Barcelone comme un espace de rencontre et de fécondation des projets. Chaque rencontre se déroule dans un espace correspondant à la problématique abordée. C’est une manière ouverte de faire réseau et coalition. De telles rencontres contribueraient à créer les conditions de la production de discours savants et politiques sur les communs à partir des causes et des pratiques que nous défendons.</p></br><p>Frédéric Sultan et Alain Ambrosi.</p></br><p>Références :</p></br><p>Ecole des Communs de Barcelone (http://p2pfoundation.net/School_of_the_Commons_-_Catalonia)<br /></br>Ecole des Communs de Londres (www.schoolofcommoning.com),<br /></br>Université d’été en Allemagne http://web03.webcoach.at/w16/commons/index.php/Hauptseite.<br /></br>A l’école des communs Montréal http://bit.ly/1kPbTFK.<br /></br>University of the Commons San Francisco https://vimeo.com/65627856<br /></br>Interviews conférences de James Quilligan http://bit.ly/LtK064<br /></br>Conversations avec Michel Bauwens Lionel Maurel pour A l’école de communs https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-premiere-conversation-sur-leco-nomie-des-communs et https://www.remixthecommons.org/?fiche=a-lecole-des-communs-deuxieme-conversation-sur-leco-nomie-des-communs<br /></br>Transposition des principes définis par E. Ostrom dans un « langage activiste » traduit en français par Savoircom1 http://www.savoirscom1.info/2012/11/03/huit-points-de-reference-pour-la-mise-en-commun-des-biens-2/<br /></br>Conférence de Berlin de mai 2013 http://p2pfoundation.net/ECC2013<br /></br>Side event Culture et Communication des Communs: http://p2pfoundation.net/Commons_Culture_Communications_-_2013<br /></br>Side event Éducation des Communs. » (http://p2pfoundation.net/Commons_Education_Commons_-_2013<br /></br>Réflexion collective sur les modes d’animation d’assemblées et de conférences sur les communs http://www.percolab.com/2014/01/hosting-the-commons/<br /></br>Move Commons (http://movecommons.org)<br /></br>Définitions des biens communs : https://www.remixthecommons.org/projet/definir-les-biens-communs<br /></br>Catalogue Remix The Commons : http://remixthecommons.org<br /></br>Projet Biens Communs de Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet:Biens_communs<br /></br>Glossaire des communs : http://www.encyclopetrie.org/experiment/glossaire-biens-communs/.<br /></br>Master recherche Infocom de l’université Paris Ouest (Louise Merzeau) http://master-recherche-infocom.u-paris10.fr/<br /></br>Outils réseaux http://outils-reseaux.org/<br /></br>Animacoop : http://animacoop.net/<br /></br>La fabrique du commun http://about.kompost.me/filter/fabrique%20du%20commun<br /></br>les petits déjeuners des communs (https://www.remixthecommons.org/projet/petits-dejeuners-en-commun/<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Expérience de cartographies / Remix The Commons : https://www.remixthecommons.org/2013/12/definir-les-communs-sur-une-carte/<br /></br>Chimère : http://remixthecommons.infini.fr<br /></br>Université Internationale Terre Citoyenne (UITC), l’Association des Peuples de Montagnes du Monde (APMM) et l’Alliance Internationale Terre Citoyenne (AITC) à l’occasion de la rencontre de Guérande http://www.terre-citoyenne.org/des-initiatives/guerande-2013/le-magazine-de-guerande.html<br /></br>projet Communs en Afrique http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Communs_en_Afrique<br /></br>Nicolas Lambert cartographie radicale http://neocarto.hypotheses.org/15).<br /></br>Interview Mayo Fuster : https://www.remixthecommons.org/?fiche=la-escuela-de-los-comunes-de-barcelona</li>ela-de-los-comunes-de-barcelona</li>)
  • Chargement/Site  + (<p>By Samantha Slade</p> <p<p>By Samantha Slade</p></br><p>« From where I stand today, one of the challenges of advancing an emerging movement such as the commons lies in how we build the community and how we meet in ways that embody the values of commoning. This involves the thorny question: How can we honour the vast experience and expertise on the commons and come together inclusively and equitably in a participatory commoning fashion? The Art of Hosting certainly has something to offer here, but also, and most importantly, those that are consciously living and doing the daily work of commoning, in all its complexity, have deep learnings to share to the benefit of building our collective capacity. »</p></br><p>see the <a href="http://www.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/">whole article </a></p>ww.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/">whole article </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Call for Ideas !</p> <p&<p>Call for Ideas !</p></br><p>Please submit an idea that fosters the Europe we believe in: a Europe of solidarity and openness, shaped and nurtured by people.</p></br><p>We are living and working in an increasingly complex environment. Across Europe and its neighbouring countries, more and more people are confronted with discrimination and exclusion on a daily basis – whether economically, politically or culturally. As a result, societies are becoming increasingly fragmented, extremism is on the rise, and the divisions between people – and between individuals and institutions – are growing ever wider.</p></br><p>Migration, distrust towards traditional institutions and the widening gap between the idea of a democratic Europe and the reality of a divided continent are among the biggest challenges that we are facing at present. These challenges are not new, but they have reached a degree that directly affects existing systems and policies, both at national and European levels.</p></br><p>Living with a constant flow of images and information that sustains a ‘permanent state of emergency’, we often adopt defeat, the feeling that there’s-nothing-to-be-done. However, in this worrying situation, it is heartening to see citizens gathering together and taking action: countless bottom-up local, national, and transnational initiatives are enthusiastically showing that there-is-something-to-be-done, and that a more democratic, inclusive, egalitarian, and caring society is not only desired but possible.</p></br><p>In this continent of rapidly changing communities, building bridges to help us live alongside each other is an urgent imperative. We need to reinvent and jointly value our present and develop our future together. We need to recreate shared common values and foster open and inclusive communities and societies – with a focus on social justice and human rights.</p></br><p>Co-hosted by Platoniq in Spain, ECF’s third Idea Camp will take place from 1 to 3 March 2017. Following local elections in May 2015, which have seen several major cities and smaller towns now governed by citizen lists of candidates, Spain is on track to reinvent itself amidst a hive of social, cultural, and political activism. The many exciting new challenges this hive of activity has raised include a more inclusive and participatory society, ‘a home for all’. Although not free from contradictions, there are many tangible examples across different sectors (cultural, political, economical and social) that interweave inspiring institutional and grassroots actions. The myriad of different cross-sectoral practices in Spain constitute a resourceful laboratory for sharing and highlighting ways in which communities can promote change in Europe.</p></br><p>Organized in collaboration with Platoniq, Idea Camp will be held from 1 to 3 March 2017 in Spain and will bring together 50 participants whose innovative ideas demonstrate a firm commitment to encourage political imagination, encourage building links and contribute to the development a society based on the principle of social justice. Based on shared values, inclusion and openness, Idea Camp offers participants a unique opportunity to meet peers from all over Europe and its neighboring countries, whose practices are different carrier chatted.<br /></br>Following the call for ideas, 50 participants are selected on criteria. ECF cover for the duration of the Idea Camp, the cost of travel and living in Spain a representative for each idea.<br /></br>After the Idea Camp, participants will be invited to submit a concrete proposal for research or implementation of their idea. 25 proposals will be selected and will receive a fellowship and development to a maximum of € 10,000.</p></br><p>Initiated in 2014, Idea Camp is organized within the framework of « Connected Action for the Commons », an action and research program developed by ECF in collaboration with six cultural organization established in Europe: Culture 2 Commons (Croatia), Les Têtes de l’Art (France), KrytykaPolityczna (Poland), Oberliht (Moldavia), Platoniq – Goteo (Spain) et Subtopia (Sweden).</p></br><p>To submit your idea, please fill in the application form here: http://www.culturalfoundation.eu/idea-camp-call/</p>et Subtopia (Sweden).</p> <p>To submit your idea, please fill in the application form here: http://www.culturalfoundation.eu/idea-camp-call/</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Chaque troisième mardi du mois, d<p>Chaque troisième mardi du mois, de 20 h à 21 h (CET – heure de Paris), Remix propose un rendez-vous public sur le modèle du « community call » pour traiter une question et partager de l’information sur les projets en cours ou les sujets chauds dans le domaine des communs, tout en laissant une trace pour les absents.</p></br><p>Le rendez-vous est structuré selon un protocole toujours identique : durée de 60 minutes, présentation de 5 minutes, discussion de l’objet de l’appel pendant 45 minutes et enfin, conclusion et appel au prochain appel 10 minutes. Les appels en commun font l’objet d’un enregistrement audio et d’une prise de note collective sur un pad (bloc note numérique) pour préparer la rencontre, la documenter et en garder la mémoire.</p></br><p>L’archive audio et texte des Appels en commun est accessible via le <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Appel_en_commun">wiki de Remix</a>.</p></br><p>Pour être informé des prochains appels en commun, abonnez-vous à la liste de diffusion <strong>appel@bienscommuns.org</strong> (basse fréquence) en envoyant un courriel à <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a>.</p></br><p>Remix the commons ne fait aucun autre usage, ni ne partage avec personne vos données personnelles sans accord de votre part!</p> ni ne partage avec personne vos données personnelles sans accord de votre part!</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Dans le cadre de l’initiative por<p>Dans le cadre de l’initiative portée par l’UNESCO sur les futurs de l’éducation, l’Institut de l’UNESCO pour l’apprentissage tout au long de la vie (UIL, Hambourg) a publié récemment un rapport d’experts multidisciplinaires de prospective sur la culture de l’apprentissage tout au long de la vie (« <a href="https://uil.unesco.org/lifelong-learning/embracing-culture-lifelong-learning">Lifelong Learning </a>»)*. Dans un contexte où beaucoup d’États peinent à répondre aux besoins éducatifs de base de leur population et où les inégalités d’accès à la culture et aux savoirs se creusent de plus en plus, comment (re)donner toute sa place à une culture de l’apprentissage ouverte, accessible et inclusive qui permet à toute personne de pouvoir définir et réaliser ses projets de développement de sa capacité d’agir dans un monde de plus en plus complexe et exigeant?</p></br><p>S’inscrivant directement dans la filiation humaniste de l’éducation des adultes (Commission internationale sur l’éducation au XXIe siècle, UNESCO 1996), les auteurs présentent une série de recommandations parmi lesquelles figure celle de faire de l’apprentissage tout au long de la vie un bien commun. Dans leur énoncé de vision de la situation idéale de l’apprentissage tout au long de la vie en 2050, ils décrivent :</p></br><blockquote><p> /To ensure that learning opportunities are accessible to all, learning spaces beyond educational institutions have been reinvented to promote and support learning. Besides using public spaces and infrastructure for learning, there are also learner-friendly work environments in all sectors and opportunities for self-employed people. To enhance the free availability of learning resources further, an educational commons has been developed. p. 13/ **</p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" title="Les communs et l'éducation tout au long de la vie" width="880" height="660" src="https://www.youtube.com/embed/r7c5UA5lluI?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>À titre de président du conseil d’administration de l’UIL, Daniel Baril, directeur général de l’Institut de coopération pour l’éducation des adultes (Montréal, Canada) a participé aux travaux du groupe d’expert.e.s. Dans le cadre de l’appel en commun, il nous partage ses réflexions sur le processus qui a mené à l’élaboration de ces recommandations, mais surtout sur la manière dont la notion de communs peut s’imbriquer dans l’élaboration des instruments normatifs internationaux en éducation.</p></br><p>* Document : <a href="https://uil.unesco.org/lifelong-learning/embracing-culture-lifelong-learning">UNESCO Institute for Lifelong Learning Embracing a culture of lifelong learning: contribution to the Futures of Education initiative. UNESCO Institute for Lifelong Learning, 2020</a>.</p></br><p>** Traduction : /Afin de garantir que les possibilités d’apprentissage soient accessibles à tous, les espaces d’apprentissage au-delà des établissements d’enseignement ont été réinventés pour promouvoir et soutenir l’apprentissage. Outre l’utilisation d’espaces et d’infrastructures publics pour l’apprentissage, il existe également des environnements de travail conviviaux pour les apprenants dans tous les secteurs, et des possibilités pour les travailleurs indépendants. Afin d’améliorer encore la disponibilité gratuite des ressources d’apprentissage, un patrimoine éducatif commun a été développé. p. 13/</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Defining « the commons »</p><p>Defining « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/aXzbcgj9F54?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The importance of « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/rbTuUMCNZvg?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>IASC Projects, goals and dreams</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/3v8ApjhECwc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The achievements of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/QVv5_GM1RPs?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Main challenges of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/bAv0FaAPEP8?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The agenda of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/YJcJGf6I7Sc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The future of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/qQZ_lyZq--U?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Work to be done</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p> </p>ight="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p>Work to be done</p> <p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Defining « the commons »</p><p>Defining « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/aXzbcgj9F54?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The importance of « the commons »</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/rbTuUMCNZvg?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>IASC Projects, goals and dreams</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/3v8ApjhECwc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The achievements of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/QVv5_GM1RPs?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Main challenges of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/bAv0FaAPEP8?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The agenda of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/YJcJGf6I7Sc?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>The future of IASC</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/qQZ_lyZq--U?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Work to be done</p></br><p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p> </p>ight="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p>Work to be done</p> <p><iframe loading="lazy" src="http://www.youtube.com/embed/TC3Rcm7ctcE?rel=0" width="420" height="315" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Droits en biens communs vise à do<p>Droits en biens communs vise à documenter la place du droit basé sur les biens communs dans le contexte des négociations de Rio+20.</p></br><p>Au cours de l’année 2011, la préparation de la conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio+20) avec le Collectif (français) Rio+20 et les participants au Forum Social Mondial, nous a amené à proposer de faire des droits basés sur les biens communs un horizon de revendication à l’échelle internationale. Encore faudrait-il être en mesure d’expliciter ce que serait le contenu de ces droits et d’envisager de quelles manières ils pourraient être mis en oeuvre. Pour tenter de répondre à cette question, un<a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Des_droits_bas%C3%A9s_sur_les_biens_communs"> premier texte</a> à été rédigé par Silke Helfrich et Frédéric Sultan à la suite du Forum Social de Porto Alegre.</p></br><p>Le projet de Remix « Droits en Biens Communs » est une continuation de ce travail par la voie de la vidéo et du remix réalisé à partir de captation de vidéo au cours de la conférence des Nations Unies et du Sommet des Peuples.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Le projet Droits en biens communs se prolonge à travers l’organisation d’un atelier lors de la conférence Economics, Commons Conférence le 22 mai 2°13 à Berlin. Il s’agit de poursuivre le travail d’élaboration engagé et notamment de tester les hypothèses sous-jacentes sur divers domaines et exemples, pour essayer d’avoir une vision plus globale.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Frédéric Sultan coordonne ce projet. Emilano Bazan s’est chargé de la réalisation des vidéos.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Droits en biens communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a été un espace facilitant la coopération entre Communautique et VECAM pour réaliser les vidéos pendant le sommet des peuples de Rio + 20.</p>tant la coopération entre Communautique et VECAM pour réaliser les vidéos pendant le sommet des peuples de Rio + 20.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Every 3rd Tuesday of the month fr<p>Every 3rd Tuesday of the month from 8pm to 9pm (CET – Paris time), Remix offers a public meeting on the model of the « community call » to address a question and share information on current projects or hot topics in the field of commons, while leaving a trace for those who are absent.</p></br><p>The appointment is structured according to the same protocol: duration 60 minutes, presentation 5 minutes, discussion of the topic of the call 45 minutes and finally, conclusion and appeal for the next call 10 minutes.Audio recording and collective note-taking on a pad (digital notepad) are done and shared after the meeting, for documenting it and keeping the memory of it.</p></br><p>The audio and text archives of the Commons Calls are accessible via the <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Appel_en_commun">remix wiki </a>.</p></br><p>To be informed about future calls, send a message to the following e-mail address: <a href="mailto:info@remixthecommons.org">info@remixthecommons.org</a>.</p></br><div class="input-prepend">Remix the commons does not make any other use, nor share with anyone your personal data without your consent !</div>mix the commons does not make any other use, nor share with anyone your personal data without your consent !</div>)
  • Chargement/Site  + (<p>La Charte de la Forêt – <a hre<p>La Charte de la Forêt – <a href="http://www.nationalarchives.gov.uk/education/resources/magna-carta/charter-forest-1225-westminster/">Carta de Foresta</a> – publiée en 1217, est reconnue comme le premier acte officiel qui étend les protections et les droits essentielles de la <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Magna_Carta">Magna Carta</a> aux commoners anglais contre les abus de l’aristocratie. En vertu de cette charte, le peuple se voit garantir le droit l’accès aux ressources des forêts. L’impact de cette charte a été révolutionnaire. Elle est généralement considérée comme une des pierres angulaires de la Constitution Britannique et <a href="https://www.americanbar.org/groups/public_services/law_library_congress/charter_of_the_forest.html">inspiration de la Constitution Américaine</a>. Elle a permi de rendre de vastes étendues de terres aux paysans, de s’opposer au pillage des biens communs par la monarchie et l’aristocratie. Au 17ème siècle, elle inspire les Diggers et les Levellers et par la suite les protestations contre l’enclosure des terres par la bourgeoisie capitaliste. Mais elle sera abrogée en 1971, par un gouvernement conservateur, permettant ainsi la privatisation de ressources comme l’eau au bénéfice d’entreprises multinationales.</p></br><p>Aujourd’hui, les forêts demeurent des ressources essentielles pour l’habitat, la souveraineté alimentaire, et sont essentielles pour lutter contre les crises environnementales. Une <a href="http://charteroftheforest800.org/">campagne</a> de célébration de la Charte de la Forêt a commencé en Grande Bretagne au mois de Septembre et se poursuit en Novembre. La Lincoln Record Society a organisé une conférence internationale sur la Charte de la Forêt qui a débuté par un voyage en péniche sur la Tamise de Windsor à Runnymede, lieu de signature de la Magna Carta. Des experts ont présenté la Charte de la Forêt, son histoire et ses implications contemporaines. Les participants ont également pu voir l’un des exemplaires originaux et participer à une visite guidée de la Forêt de Sherwood que nous connaissons à travers l’histoire de Robin des Bois.</p></br><p>Aujourd’hui même, 7 novembre, se déroule un débat présidé par John McDonnell, Député et soutien de Jeremy Corbyn, les professeurs Peter Linebaugh et Guy Standing, et Julie Timbrell de <a href="https://thenewputneydebates.com/">New Putney Debates</a>. Ce débat fait parti d’un <a href="http://charteroftheforest800.org/november-2017/">programme </a> étalé sur une semaine qui appelle à la création d’un nouveau <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domesday_Book">Domesday Book</a>, un recensement national des propriétaires terriens britanniques et l’identification des communs ainsi qu’à une nouvelle Charte des communs et des Chartes locales. Il s’agit d’interroger la notion de propriété foncière dans un pays où elle est l’une des plus concentrée des pays occidentaux et d’élaborer des propositions politiques, y compris à travers une taxe sur la propriété foncière, pour une meilleure répartition des droits et des responsabilités sur les terres,</p></br><p>Merci à Yves Otis de m’avoir signalé l’article <a href="https://www.nakedcapitalism.com/2017/11/youve-never-heard-charter-important-magna-carta.html">Why You’ve Never Heard of a Charter as Important as the Magna Carta </a></p></br><p>Transcription de la Charte de la Forêt : <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La Charte de la Forêt – <a hre<p>La Charte de la Forêt – <a href="http://www.nationalarchives.gov.uk/education/resources/magna-carta/charter-forest-1225-westminster/">Carta de Foresta</a> – publiée en 1217, est reconnue comme le premier acte officiel qui étend les protections et les droits essentielles de la <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Magna_Carta">Magna Carta</a> aux commoners anglais contre les abus de l’aristocratie. En vertu de cette charte, le peuple se voit garantir le droit l’accès aux ressources des forêts. L’impact de cette charte a été révolutionnaire. Elle est généralement considérée comme une des pierres angulaires de la Constitution Britannique et <a href="https://www.americanbar.org/groups/public_services/law_library_congress/charter_of_the_forest.html">inspiration de la Constitution Américaine</a>. Elle a permi de rendre de vastes étendues de terres aux paysans, de s’opposer au pillage des biens communs par la monarchie et l’aristocratie. Au 17ème siècle, elle inspire les Diggers et les Levellers et par la suite les protestations contre l’enclosure des terres par la bourgeoisie capitaliste. Mais elle sera abrogée en 1971, par un gouvernement conservateur, permettant ainsi la privatisation de ressources comme l’eau au bénéfice d’entreprises multinationales.</p></br><p>Aujourd’hui, les forêts demeurent des ressources essentielles pour l’habitat, la souveraineté alimentaire, et sont essentielles pour lutter contre les crises environnementales. Une <a href="http://charteroftheforest800.org/">campagne</a> de célébration de la Charte de la Forêt a commencé en Grande Bretagne au mois de Septembre et se poursuit en Novembre. La Lincoln Record Society a organisé une conférence internationale sur la Charte de la Forêt qui a débuté par un voyage en péniche sur la Tamise de Windsor à Runnymede, lieu de signature de la Magna Carta. Des experts ont présenté la Charte de la Forêt, son histoire et ses implications contemporaines. Les participants ont également pu voir l’un des exemplaires originaux et participer à une visite guidée de la Forêt de Sherwood que nous connaissons à travers l’histoire de Robin des Bois.</p></br><p>Aujourd’hui même, 7 novembre, se déroule un débat présidé par John McDonnell, Député et soutien de Jeremy Corbyn, les professeurs Peter Linebaugh et Guy Standing, et Julie Timbrell de <a href="https://thenewputneydebates.com/">New Putney Debates</a>. Ce débat fait parti d’un <a href="http://charteroftheforest800.org/november-2017/">programme </a> étalé sur une semaine qui appelle à la création d’un nouveau <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domesday_Book">Domesday Book</a>, un recensement national des propriétaires terriens britanniques et l’identification des communs ainsi qu’à une nouvelle Charte des communs et des Chartes locales. Il s’agit d’interroger la notion de propriété foncière dans un pays où elle est l’une des plus concentrée des pays occidentaux et d’élaborer des propositions politiques, y compris à travers une taxe sur la propriété foncière, pour une meilleure répartition des droits et des responsabilités sur les terres,</p></br><p>Merci à Yves Otis de m’avoir signalé l’article <a href="https://www.nakedcapitalism.com/2017/11/youve-never-heard-charter-important-magna-carta.html">Why You’ve Never Heard of a Charter as Important as the Magna Carta </a></p></br><p>Transcription de la Charte de la Forêt : <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La destruction violente des commu<p>La destruction violente des communs de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes par le gouvernement français est un acte infâme et révoltant. L’actuelle offensive policière, menée par plusieurs milliers de gendarmes et de CRS, avec engins blindés et hélicoptères n’est que l’exercice de la violence étatique la plus pure contre un ensemble de pratiques collectives en cours ou en gestation, dont les fragiles conditions matérielles (bâtiments, lieux de réunion, outils de travail, troupeaux) sont anéanties par les bulldozers et les escouades policières. </p></br><p>Dès la première journée d’assaut contre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes la destruction de la ferme des «cents noms» constituait une véritable déclaration de guerre sociale et politique. La destruction de ce lieu ne s’imposait nullement au regard des critères invoqués par le gouvernement dans sa «communication». Nicole Klein, préfète des pays de Loire, justifie l’opération policière en prétendant que les «cents noms» n’avaient pas déposé de projet agricole. Ce qui est de toute évidence faux : les habitants de cette ferme étaient porteurs d’un projet agricole alternatif et certains d’entre eux avaient déposé une demande de régularisation. </p></br><p>Quelle est la véritable raison de cette rage destructrice? Ce n’est pas l’absence de projet, c’est la nature des projets qui est en cause. Ce que ne supportent pas l’Etat et ses représentants c’est que s’expérimentent depuis 10 ans des formes de vie qui préfigurent ici et maintenant ce que pourrait être une société libérée de l’emprise de la logique propriétaire sous toutes ses formes. De ce point de vue, il est de la plus haute valeur symbolique que les habitants et défenseurs de<br /></br>la zone aient proposé dès le début que l’Assemblée des usages<br /></br> prenne en charge la gestion collective des terres et des espaces. Cette solution présentait l’avantage de prolonger directement l’expérience initiée et poursuivie durant tant d’années: faire prévaloir la logique de l’usage commun, qui est une logique de soin et d’entretien, sur la logique propriétaire, qui est une logique destructrice et mortifère.</p></br><p>Ce n’est pas «l’État de droit» qui se défend, comme le soutient le premier Ministre, c’est un État de force qui veut éliminer le plus vite et le plus complètement possible tout ce qui pourrait relever du principe en acte du commun: associations, coopératives de consommation et de production, projets agricoles et artisanaux, modes d’échange et de vie conviviaux. L’État veut empêcher par ses moyens policiers démesurés ce qui est une véritable invention dans la manière de produire et de vivre, il veut faire table rase d un modèle de vie collective et écologique dont nous avons besoin aujourd’hui. </p></br><p>L’Etat apparaît ici sous son vrai visage: il n’est pas simplement le garant de la propriété privée, il est lui-même soumis de fond en comble à la logique propriétaire, il est l’Etat propriétaire en guerre contre les communs. Il faut lui faire échec coûte que coûte pour préserver le trésor menacé<br /></br>des communs.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot et Christian Laval</strong></p></br><p>Publication originale : 12/04/2018, <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>lence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La destruction violente des commu<p>La destruction violente des communs de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes par le gouvernement français est un acte infâme et révoltant. L’actuelle offensive policière, menée par plusieurs milliers de gendarmes et de CRS, avec engins blindés et hélicoptères n’est que l’exercice de la violence étatique la plus pure contre un ensemble de pratiques collectives en cours ou en gestation, dont les fragiles conditions matérielles (bâtiments, lieux de réunion, outils de travail, troupeaux) sont anéanties par les bulldozers et les escouades policières. </p></br><p>Dès la première journée d’assaut contre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes la destruction de la ferme des «cents noms» constituait une véritable déclaration de guerre sociale et politique. La destruction de ce lieu ne s’imposait nullement au regard des critères invoqués par le gouvernement dans sa «communication». Nicole Klein, préfète des pays de Loire, justifie l’opération policière en prétendant que les «cents noms» n’avaient pas déposé de projet agricole. Ce qui est de toute évidence faux : les habitants de cette ferme étaient porteurs d’un projet agricole alternatif et certains d’entre eux avaient déposé une demande de régularisation. </p></br><p>Quelle est la véritable raison de cette rage destructrice? Ce n’est pas l’absence de projet, c’est la nature des projets qui est en cause. Ce que ne supportent pas l’Etat et ses représentants c’est que s’expérimentent depuis 10 ans des formes de vie qui préfigurent ici et maintenant ce que pourrait être une société libérée de l’emprise de la logique propriétaire sous toutes ses formes. De ce point de vue, il est de la plus haute valeur symbolique que les habitants et défenseurs de<br /></br>la zone aient proposé dès le début que l’Assemblée des usages<br /></br> prenne en charge la gestion collective des terres et des espaces. Cette solution présentait l’avantage de prolonger directement l’expérience initiée et poursuivie durant tant d’années: faire prévaloir la logique de l’usage commun, qui est une logique de soin et d’entretien, sur la logique propriétaire, qui est une logique destructrice et mortifère.</p></br><p>Ce n’est pas «l’État de droit» qui se défend, comme le soutient le premier Ministre, c’est un État de force qui veut éliminer le plus vite et le plus complètement possible tout ce qui pourrait relever du principe en acte du commun: associations, coopératives de consommation et de production, projets agricoles et artisanaux, modes d’échange et de vie conviviaux. L’État veut empêcher par ses moyens policiers démesurés ce qui est une véritable invention dans la manière de produire et de vivre, il veut faire table rase d un modèle de vie collective et écologique dont nous avons besoin aujourd’hui. </p></br><p>L’Etat apparaît ici sous son vrai visage: il n’est pas simplement le garant de la propriété privée, il est lui-même soumis de fond en comble à la logique propriétaire, il est l’Etat propriétaire en guerre contre les communs. Il faut lui faire échec coûte que coûte pour préserver le trésor menacé<br /></br>des communs.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot et Christian Laval</strong></p></br><p>Publication originale : 12/04/2018, <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>lence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La démarche des <a href="https<p>La démarche des <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">petits déjeuners en commun</a> à été lancée par le centre d’art sénégalais Kër Thiossane au Sénégal et l’organisation Communautique au Québec, dans le cadre du projet Remix Biens Communs.</p></br><p>Nés dans une dynamique de recherche à propos des définitions endogènes des biens communs, les petits déjeuners en commun constituent des occasions pour réfléchir ensemble à ce que signifient les biens communs à partir d’une approche artistique. Le but des ces rencontres célébrées aussi bien à Dakar, qu’à Montréal, est de non seulement de « comprendre », mais aussi de sentir la signification qui existe entre mon « je » et le « nous » d’une démarche collective. Une expérience sensible qui permet de bâtir des récits capables de redonner du sens au fait de vivre ensemble. Des récits qui maintiennent la communauté en mouvement pour donner du sens à sa propre existence et à sa propre lutte.</p></br><h2>Prémices Dakar</h2></br><p>A partir de janvier 2012, à Dakar, dans un contexte pré-électoral violent, en pleine remise en question de la constitution et de prise de conscience citoyenne dans tout le Sénégal, Kër Thiossane a commencé à explorer un chantier autour des biens communs, en organisant, à raison d’une fois par mois, un cycle de Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><p>Trois Petit-Déjeuner en-Commun ont été organisés entre janvier et avril 2012 sur le thème « Les biens communs dans les villes africaines » ; « Biens Communs et Espace » et « Langues et savoirs ».</p></br><p>Ces Petit-Déjeuner en-Commun ont été des temps de rencontres et d’échanges qui constituent en soi même une pratique de l’en-commun, où tout le monde participe, en raison d’une dynamique horizontale de partage de savoir.</p></br><p>Ils démarrent à chaque fois à partir d’un film réalisé par l’équipe de Kër Thiossane, sur un artiste et son questionnement sur un aspect des biens communs, dans la société sénégalaise.</p></br><p>Certains films et des extraits de petits déjeuners sont accessibles en ligne, sur le site web de Kër Thiossane, avec « une boite à outils » constituée d’ouvrages, de textes, d’interviews… que chacun est invité à enrichir par ses contributions via un wiki ou lors des Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><h2>Festival Afropixel</h2></br><p>Cette matière accumulée depuis le début de l’année 2012 et la réflexion amorcée auprès de la communauté artistique et des habitants, ont servi à préparer différentes activités (résidences, ateliers, performances…), le temps du Festival Afropixel sur le thème « Création, Culture et Savoirs en Communs », en mai 2012.</p></br><p>Parmi cette programmation riche et diversifiée, Kër Thiossane a rassemblé de grand penseurs et artistes africains pour réfléchir ensemble à la question de « La responsabilité artistique dans la construction de l’en-commun ».</p></br><p>Tous autour d’un verre de thé, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat et Ibrahima Wane ont participé, non pas à une rencontre entre experts, mais plutôt à un espace où l’expertise de chacun était mise au service de la pensée collective, qui s’est tissée au long de la discussion.</p></br><h2>Kédougou, jusqu’où tu es chez toi ?</h2></br><p>En 2013, les petits déjeuners en-commun, se poursuivent, en collaboration avec le collectif La Companyía (http://www.lacompanyia.org/). Il se délocalisent avec un premier petit déjeuner hors de Dakar, en mars, dans le cadre du festival la Nuit des étoiles, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou.</p></br><p>Prenant comme thématique le sujet central du festival, « Jusqu’où tu es chez toi ? » , nous avons cherché à enquêter sur les problématiques de la région de Kédougou liées aux biens communs. L’ouverture de la question Jusqu’où tu es chez toi ? a permis d’aborder des questions liées à la gestion des ressources naturelles dans une région frontalière riche en or et minérales, ainsi que des questions liées à l’appartenance et à la construction de communautés de vie.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les Petits déjeuners en Communs et le festival Afropixel organisés jusqu’à présent ont suscité un grand intérêt, aussi bien de la part des artistes, des acteurs de la société civile que des citoyens, au Sénégal. Des graines ont été semées et une réelle prise de conscience de l’enjeu des Biens Communs, nous invite à poursuivre ces discussions de façon encore plus ouvertes, autour d’autres facettes des biens communs, dans le but toujours de rendre possible et d’élargir cet espace de réflexion collective.<br /></br>En 2013/2014, Kër Thiossane souhaite organiser à intervalles réguliers, d’autres petits déjeuners, en reconduisant d’avantage les expériences, hors de Dakar, en partenariat avec le réseau des radios communautaires du Sénégal.</p></br><p>Ces expériences continueront à être filmées, documentées et partagées avec Communautique à Montréal, et d’autres partenaires, acteurs des communs ailleurs dans le monde (Finlande, Colombie…). Les Vidéos et autres médias issus de ces petits déjeuners seront mis en ligne sur la plate-forme Remix Biens Communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane)<br /></br>Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Petits déjeuners en-communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.<br /></br>La réalisation des petits dej en Communs à Dakar a également pu se faire grâce à l’appui financier de Arts Collaboratory et de l’Organisation Internationale de la Francophonie à Kër Thiossane.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a contribué à l’émergence du projet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>jet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La plupart d’entre vous sont cert<p>La plupart d’entre vous sont certainement déjà au courant que le <a href="https://transformadora.org">FSMET</a> se tiendra finalement en ligne du 25 juin au 1er Juillet suivi d’une seconde rencontre qui se tiendra probablement au mois d’octobre. <br /><br />Quelques uns d’entre nous ont discuté de ce qu’il était possible de faire pour se reconnecter, continuer d’échanger nos points de vue et réunir des énergies autour des changements qui sont en train de se produire dans la perspective du mouvement des communs. <br /><br />Aussi nous avons commencé à réfléchir informellement à l’idée d’un processus de réflexion/discussion/production sur les communs qui peut servir le forum et les commoners. Nous avons appelé cela « Horizons communs » (titre temporaire). Nous nous sommes inspiré des dernières expériences de rencontres virtuelles en ajoutant plusieurs ingrédients : la production de ressources utiles pour les militants et la présentation de perspectives ou propositions basées sur les communs. Pour chaque thème traité, ces 3 éléments formeront un chapitre de « Horizons communs ». L’idée est de produire 3 chapitres, chacun sur un sujet différent. <br /><br />Une 1ere chose qui nous intéresse, c’est l’idée d’inscrire cette démarche tout au long du cycle du forum de Juin à octobre, car le forum n’est pas seulement une addition de conférences pendant 5 jours, mais un processus. <br /><br />Un deuxième point est que cette proposition pourrait se réaliser <br />collectivement avec les commoners intéressés et aussi être ouverte aux <br />personnes de différents mouvements sociaux engagées dans le forum pour les économies transformatives. <br /><br />Les premières notes sur cette idée sont sur le pad suivant : https:// <br />pad.femprocomuns.cat/p/Horizonscommuns en FR, EN et ES. <br /><br />Alors, si vous êtes intéressé, faites vos propositions de contenus dont vous souhaitez discuter : <br /><a href="https://pad.femprocomuns.cat/FSMETCOMMONS_EventOnline_Production">https://pad.femprocomuns.cat/FSMETCOMMONS_EventOnline_Production</a> <br /><br />Si vous souhaitez en savoir plus sur l’idée d’<strong>Horizons communs</strong> et participer, retrouvez nous à la réunion en ligne : <a href="https://meet.jit.si/fsmet_procomuns">https://meet.jit.si/fsmet_procomuns</a> le lundi 15 juin, de 16h à 18h – heure de Barcelone. (Si votre fuseau horaire ne vous permet pas de participer, faites vos contributions sur le pad, et faites-le nous savoir et nous pourrons faire une réunion le mardi 16, dans notre matinée) <br /><br />A bientôt <br /><br />Monica Garriga <br />femProcomuns.coop <br />Frédéric Sultan <br />Remix the commons</p>t;br />A bientôt <br /><br />Monica Garriga <br />femProcomuns.coop <br />Frédéric Sultan <br />Remix the commons</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Le 2 mars dernier, Marion Louisgr<p>Le 2 mars dernier, Marion Louisgrand et Marta Vallejo de Ker Thiossane, partenaire de Remix The Commons, ont organisé à Kédougou au Sénégal, un DEJEUNER EN COMMUN sur le thème de l’En-commun et du “vivre ensemble” autour de la question « Jusqu’où tu es chez toi ? ».</p></br><p><a title="Par gbaku (Flickr [1]) [CC-BY-SA-2.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0)], via Wikimedia Commons" href="https://commons.wikimedia.org/wiki/File%3AKolaNutsKedougou.jpg"><img decoding="async" alt="KolaNutsKedougou" src="//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/1/1d/KolaNutsKedougou.jpg/400px-KolaNutsKedougou.jpg" width="400" /></a></p></br><p>Retrouvez une série de photos sur la<a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article147"> page web de Ker Thiossane</a>. Des émissions de radio ont été réalisées avec la radio communautaire. Enregistrement et des vidéos sont en cours de montage.</p></br><p><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/K%C3%A9dougou">Kédougou</a> se situe aux frontières du Sénégal, du Mali et de la Guinée. près du Parc national du Niokolo où vivent les derniers éléphants du Sénégal.</p></br><p>Le DEJEUNER EN COMMUN se passait dans le cadre du festival “La Nuit des Etoiles”, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou (CMC), dans le Jardin public de la commune, avec l’appui du collectif grenoblois Culture Ailleurs (<a href="http://www.cultureailleurs.com/">http://www.cultureailleurs.com/</a>).</p>’appui du collectif grenoblois Culture Ailleurs (<a href="http://www.cultureailleurs.com/">http://www.cultureailleurs.com/</a>).</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Le projet « Justice transitionnel<p>Le projet « Justice transitionnelle: l’expérience marocaine » a pour but de partager les expériences extrêmement importantes marocaines sur la justice transitionnelle et la réparation communautaire.</p></br><p>Au Maroc, de 1959 à 1999, l’ancien roi Hassan II a souvent gouverné son pays d’une main de fer. Cette période est appelée les années de plomb au Maroc, au cours de laquelle ceux qui étaient considérés comme une menace pour le régime étaient soumis à un large éventail de violations des droits de l’homme. Des milliers de personnes ont été soumis à des arrestations arbitraires, à la torture et les disparitions, laissant un héritage amer.</p></br><p>Cependant, dès le début des années 1990, un processus graduel de réconciliation avec le passé a commencé à prendre racine, culminant le plus récemment dans les travaux de l’Instance Equité et Réconciliation du Maroc (Instance Equité et Réconciliation (IER)), mise en place par le successeur sur le trône, le roi Mohammed VI.</p></br><p>Le 7 Janvier 2004, l’IER a été créé. C’est la première commission de la vérité dans le monde arabe. Cela a été saluée internationalement comme un grand pas en avant, et un exemple pour le monde arabe. Depuis, l’IER a travaillé sur le terrible héritage de cette époque en examinant certains des pires abus au Maroc et en organisant des réparations pour les victimes et leurs familles.</p></br><p>Pendant toute la durée de son mandat, l’IER a amassé une archive de plus de 20.000 témoignages de victimes et de leurs familles, qui ont été organisées dans une base de données centrale à Rabat. Elle a mené une série de réunions, de conférences et de séminaires autour d’une multitude de questions qui sont clés pour comprendre le Maroc passé et le présent.</p></br><p>Elle a également pris l’initiative de tenir des audiences publiques pour donner aux victimes une plate-forme à partir de laquelle partager leurs souffrances. Tout au long de ses travaux, la Commission a pour but de documenter, de conserver et d’analyser les racines de la crise dans une tentative pour aider le Maroc à se réconcilier avec son passé.</p></br><p>Le projet Justice transitionnelle: l’expérience marocaine vise à partager des vidéos sur ce processus de la justice transitionnelle et la réparation communautaire. Ces vidéos évoquent la façon de préserver la mémoire des communautés des victimes pendant les «années de plomb» au Maroc et quels types d’audiences publiques ont eu lieu. Ces audiences ont été le point culminant d’un vaste processus de délibération citoyenne, de compassion et de liberté d’expression au Maroc . Ces vidéos abordent la façon dont le projet de réparation communautaire fonctionne pour améliorer les conditions de vie des populations dans les communautés de victimes et de les responsabiliser. En fait, ces matériaux ont principalement porté sur les femmes et les enfants.</p></br><p>L’expérience marocaines en matière de justice transitionnelle comme communes est utile et précieuse dans d’autres pays, en particulier pour les pays arabes qui ont la même histoire de la justice transitionnelle, comme l’Irak, l’Egypte, la Tunisie, la Syrie, le Liban, la Palestine, Algérie et ainsi de suite.</p></br><h3>Futur Développement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine va continuer à partager des vidéos et des matériaux plus historiques sur les expériences en matière de justice de transition, tels que les vidéos des auditions publiques, les vidéos des séminaires et des conférences publiques, des photos historiques et des rapports finaux des le projet de réparation communautaire.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Ning, Mohamed Leghtas</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine est financé par les fonds de l’Instance Equité et Réconciliation (IER)</p></br><h3>Contribution au projet « Justice transitionnelle « </h3></br><p>Remix Biens Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les 11 et 12 novembre derniers, l<p>Les 11 et 12 novembre derniers, le <a href="http://www.deeep.org">projet DEEEP</a>, un programme co-financé par l’Union européenne, a rassemblé à Johannesburg (Afrique du Sud) 200 militants venus du monde entier, pour repenser le cadre d’action de ONG de développement et engager la construction d’un « mouvement citoyen mondial ». Cette rencontre est le point de départ d’un processus qui durera deux ans de mobilisation citoyenne pour le changement et la justice globale. Une <a href="http://movement.deeep.org">plateforme numérique</a> lui est dédiée. Au cours de cette conférence, les participants ont commencé à tirer les leçons de l’action de la société civile, de ses modes d’organisation et d’action dans différents domaines à travers le monde et produit un document,<a href="http://www.deeep.org/component/content/article/395.html"> « The Johannesburg Compass: Questions and orientations » (Boussole de Johannesburg) </a> pour définir les principes qui pourraient guider les travaux des deux prochaines années. </p></br><p>Invité à participer à ce processus, j’ai pu contribuer aux discussions et à la rédaction du texte pour le nourrir autant que possible de la notion des communs. Pensé au départ comme une déclaration de principes appuyée sur une vision partagée, ce document est devenu un guide pour le processus lui-même, basé sur quelques idées fortes telles que la nécessité de dé-coloniser nos esprits et dé-institutionnaliser les organisations du développement. Le résultat reflète la volonté de renouvellement à la fois des formes et des contenus de l’action, mais laisse sans réponse, au moins pour l’instant, les interrogations sur la nature d’un mouvement citoyen mondial si c’en est un, et sur la nature du processus des deux années de travail qui s’engagent à la suite de cette conférence. </p></br><p>Alors comment l’idée des communs pourrait-elle nourrir cette démarche ? Au-delà du processus d’écriture, le contenu du texte est assez général et plutôt généreux. Les communs y sont considérés comme des ressources à gérer. Le texte appelle à revendiquer les communs « reclaim, protect and nurture our commons », et à gérer les ressources comme des « propriétés communes » (the earth’s natural environment, ecosystems and knowledge are common property, and should be managed for the common good). Il appelle au respect de ces ressources mais ignore la dimension participative des communs. On est encore assez loin de considérer les biens communs comme des processus qui permettent de faire société, et donc comme un moyen de renforcement des communautés, d’émancipation dont les ONG pourraient se saisir pour refonder leur mode d’action.</p></br><p>Il me semble qu’aujourd’hui, un mouvement mondial de citoyens devrait révolutionner la manière pour chacun d’exercer sa citoyenneté, et d’en avoir conscience. L’un des rôles des ONG et des CSO ne devrait-il pas être de prendre en compte et accompagner la politisation de la vie quotidienne dans le domaine de la santé, de l’alimentation, de l’éducation, du travail, …. etc, en les inscrivant dans la perspective des biens communs ? Comment faire cela à une échelle massive ? Sans que cela exclue la conduite de campagnes d’action sur des objectifs stratégiques à l’échelle régionale ou mondiale, par les organisations qui composent l’infrastructure de la société civile, il s’agit de renouveler et d’articuler ce qu’en France on appelle l’éducation populaire en s’appuyant sur les pratiques sociales de voisinage et celles médiatisées par les réseaux informatiques. Une telle dynamique permettrait que chacun s’inscrive dans une perspective plus large et de donner sens pour chacun à l’agenda international. L’enjeu est donc de construire des ponts avec les multiples communautés d’appartenance, non pas pour leur offrir le leadership des ONG ou des mouvements, mais pour reconnaître et légitimer leurs leaderships aux différents échelles d’exercice du pouvoir (du local au mondial). </p></br><p>A entendre les participants à la conférence de Johannesbourg, on dirait qu’il faut en passer aussi par la (re)découverte des communs au sein même des organisations (ce qui fait projet commun), quelque soit leur taille ou leur objet pour les refonder. Cela peut être une perspective à l’échelle de l’organisation (ONG/OCS) pour poursuivre le travail engagé à Johburg. Dans ce sens, mieux vaudra nommer et travailler sur SES communs que définir LES communs et essayer de transformer les organisations en travaillant sur leurs valeurs, leur projet et actions plutôt que de chercher un cadre théorique ou idéologique général. </p></br><p>Une autre piste consiste à partager les leçons des activistes des communs immatériels et de la connaissance, qui depuis l’émergence de l’informatique ont su construire un mouvement qui défend ses valeurs, des formes de collaboration distribuées, l’ouverture et la liberté, le partage et la solidarité, l’émancipation personnelle et la participation au collectif, l’agir à petite échelle tout en s’inscrivant dans une vision universelle. Ce mouvement est globalement invisible en tant que mouvement pour les personnes qui n’en sont pas les militants. Chacun utilise des logiciels libres, accède à la culture et au savoir libre, la plupart du temps sans y prêter attention. Pourtant les organisations du savoir et de la culture libre se sont structurées et sont des « ONG » ou des « OCS » de poids. Il suffit pour s’en rendre compte de considérer les plus visibles du public comme wikimédia fondation, ou le poids de ce mouvement dans le secteur industriel (IBM, Android, …) ou encore le travail des groupes de pression (EFF, Quadrature du net, …) pour s’en rendre compte. C’est un mouvement à maturité. Cette expérience et la culture qu’elle développe vaut la peine d’être partagée. Ne serait-il pas utile de penser un mouvement équivalent dans le domaine des communs matériels, urbains, ruraux et naturels ? </p></br><p>Frédéric Sultan </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les récentes élections municipale<p>Les récentes élections municipales et de quelques unes des communautés autonomes (régions) bouleversent l’échiquier politique espagnol. Les victoires inattendues aux municipales de nouvelles coalitions citoyennes issues des mouvements associatifs et de petits partis de gauche combinées à l’ irruption décisive des nouveaux partis nationaux Podemos et Ciudadanos dans les communautés autonomes met en échec le bipartidisme (Parti Populaire/Parti Socialiste) dominant depuis la Transition  démocratique de 1975. Vainqueurs dans 7 grandes villes  du nord au sud du pays dont les trois plus importantes , Madrid, Barcelone et Valencia, ces coalitions appellent à une transition d’un autre type en bousculant les mentalités et la culture politique et en forçant, dans la plupart des cas, à gouverner en mode minoritaire c’est à dire à composer avec les différents partis. À noter ici que le jeune parti de gauche Podemos qui a fait une apparition fulgurante au niveau européen en 2014 et fait aujourd’hui une entrée remarquée dans les communautés autonomes ne présentait pas de candidats aux municipales mais participait ou, le plus souvent, appuyait les coalitions citoyennes dans plusieurs villes.</p></br><h2>Ré-inventer les communs urbains du XXIème siècle</h2></br><p>Les nouveaux venus dans l’espace politique municipal se réclament des Communs allant pour certains jusqu’à associer ce terme à leur sigle : Barcelona en Comù, Zaragoza en Comun. Une lecture tant des programmes que des processus d’élaboration de ceux-ci montrent que, loin d’un simple effet de mode, la référence aux communs, introduit un nouveau discours et un nouvel horizon politique mais surtout une nouvelle manière de faire de la politique . Les nouveaux élus sont issus des mouvements sociaux et font leurs premiers pas en politique active. Leurs « non-partis » ont, pour la plupart , au plus une année d’existence mais les associations où ils ont milité ont connu des mobilisations et des victoires locales significatives. À y regarder de plus près, la nouvelle culture politique qu’ils proposent est ancrée dans des traditions de luttes urbaines aujourd’hui revues et améliorées par les initiatives citoyennes issues de la crise de 2008, des indignados en 2011 et des différentes «  marées » ou mobilisations qui ont suivi dans les domaines du logement, de la santé, de l’éducation, de la culture et de l’écologie urbaine. Ces traditions d’autogestion et d’ « auto-gouvernement » aux racines le plus souvent libertaires et connues sous le nom de « municipalisme » ont été revisitées par les cultures et pratiques des mouvements anti-croissance, écologiste, altermondialiste et de culture libre dans la foulée et dans l’esprit des indignados de 2011 avec une maîtrise et une utilisation raisonnée et intelligente des nouvelles technologies et des médias audiovisuels.</p></br><p>Les défis qui attendent ce nouveau municipalisme sont immenses dans un pays où au lendemain même des élections du 24 mai deux rapports internationaux faisaient état, l’un (1), d’une augmentation exponentielle (de 9 à 18%) de la pauvreté depuis le début de la crise et l’autre (2), de l’augmentation des grandes fortunes (40%) pendant la même période. Pour rajouter à la morosité régnante et bien planter le décor, le FMI n’a pas manqué, quelques jours avant les investitures municipales, de féliciter le gouvernement espagnol pour ses résultats économiques « encourageants » tout en lui rappelant qu’il devait continuer ses mesures d’austérité en augmentant les impôts indirects, en coupant les dépenses de santé et d’éducation et en baissant les salaires. Fallait-il s’attendre à moins des chantres de l’austérité ?</p></br><h2>Un Bien Vivre dans la dignité restaurée</h2></br><p>Mais cela ne semble pas entamer la confiance des nouveaux titulaires des mairies qui ont mené campagne et bâti leur programme sur des politiques anti-austérité et mettent déjà en place, comme à Barcelone, les mesures de leur « plan de choc » sur le logement, l’alimentation, l’accès garanti et à moindre coût aux services de base, le transport et une allocation municipale. Ce plan auquel ils consacrent des budgets significatifs de façon jusque là inédite au niveau municipal, vise à contrer la « déshumanisation » des politiques d’austérité et « restaurer la dignité » des personnes les plus démunies .</p></br><p>Cependant, l’ambition affichée des nouvelles administrations va bien au delà de ces mesures d’urgence des premiers mois de leur mandat. Ils veulent faire de leurs villes des lieux d’expérimentation et de promotion d’un Bien Vivre urbain qui interpelle les politiques sociales et économiques autant que les compétences et les pratiques démocratiques au plan municipal mais aussi régional, national et international. Dans son discours inaugural à la mairie de Barcelone, Ada Colau a évoqué la création « d’un réseau des villes démocratiques d’Europe du sud ».</p></br><h2>Transparence et Participation</h2></br><p>Cette petite révolution dans la culture et la pratique politique se fait dans la transparence la plus totale, en se donnant un code d’éthique, en réduisant les salaires des élus et supprimant leurs divers avantages collatéraux (voitures de service, perdiems, etc.), et surtout, en misant sur l’intelligence collective et la participation effective des citoyens. Beaucoup de ceux-ci sont d’ailleurs d ‘ores et déjà partie prenante du programme de la municipalité pour y avoir contribué avant et pendant la campagne au cours des nombreuses assemblées de « voisins » dans les quartiers et des différents moments de « crowdsourcing » sur une plateforme virtuelle. Le programme très structuré qui en résulte reste ouvert et est une invitation à participer. La page web de Barcelona en Comù l’annonce d’emblée : «  Le programme que tu as devant les yeux est un programme En Commun et, comme tu pourras voir, cela suppose un changement très important par rapport aux programmes politiques traditionnels. (…) c’est un document qui prétend être utile au dialogue citoyen. (…) »(3)</p></br><p>Lors de l’acte inaugural Ada Colau affirmait qu’  « il est indispensable de créer une nouvelle forme de gouvernance » , rappelait qu’elle n’est que « l’une des milliers de voisines » , qu’elle compte « gouverner en obéissant » et que si son équipe ne fait pas ce qui est promis dans le programme :«  Mettez nous dehors!». Les milliers de personnes qui l’attendaient sur la Place Saint Jaume à la fin de son discours diffusé sur de grands écrans, l’ont accueillie avec le « Si se puede » (Oui, c’est possible) qui avait scandé toutes les assemblées au cours de la campagne. Dans une foule dense où elle avait du mal à avancer mais visiblement à l’aise au milieu de ses « voisins », compagnons et partisans, Ada a retrouvé les mots et la manière de la présidente et militante de la PAH (4). Et à cette multitude enthousiaste elle pouvait dire avec un grand sourire « ça va être dur de gouverner  mais nous ne sommes pas seuls » et appeler à participer et se responsabiliser. Elle concluait en parlant d’empathie<br /></br>et en invitant à organiser une manifestation de soutien aux travailleurs de la compagnie de téléphonie Movistar, présents dans la foule, dont elle avait appuyé la grève avant et pendant la campagne.</p></br><p>Le ton est donné et donne à penser qu’avec les communs c’est aussi les Indignés qui sont entrés à l’Hotel de Ville.</p></br><h2>Le réalisme des communs.</h2></br><p>Dans un article intitulé « L’heure est au réalisme » Josep Ramoneda, chroniqueur du quotidien barcelonais ARA, opposait les propositions de Barcelone en Commun aux derniers diktats du FMI en montrant que les « utopistes nihilistes » , termes souvent utilisés par les médias et le parti au pouvoir pour dénigrer les alternatives de gauche, sont plutôt du côté des tenants du néolobéralisme incapables de sortir de la crise et creusant les inégalités. Il concluait en disant : « Soyons réalistes, pensons au bien commun »(5) Commentaire assez surprenant dans ce journal en langue catalane plus connu pour son indépendentisme que son « commun-isme ». Commentaire qui laisse entendre que les communs ne sont pas seulement entrés dans les hôtels de ville mais aussi dans l’imaginaire collectif et le discours politique et qu’il faudra maintenant compter avec eux.</p></br><h2>Un laboratoire vivant qui invite au commoning</h2></br><p>Le mouvement émergeant des commoners et apprentis commoners du local à l’international devront prêter une attention particulière à ce véritable laboratoire vivant des communs urbains.</p></br><p>Il y a beaucoup à apprendre de ces communs en action sur la nature même des communs, le faire en commun (commoning) et la possible transition vers une société des communs? C’est aussi une occasion unique de pouvoir y contribuer de « pair à pair » en y apportant les compétences, expériences et expertises développées sous différentes latitudes et dans les différents contextes socio-culturels où se réinventent les communs depuis une dizaine d’années.</p></br><p><strong>Alain Ambrosi, Barcelone, 17 juin 2015</strong></p></br><p>(1) Rapport de l’OCDE mai 2015 <a href="http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en">http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en</a><br /></br>(2) Rapport réalisé par Capgemini et Royal Bank of Canada (RBC) Wealth Management. (El Pais du 17 juin 2015)<br /></br>(3) <a href="https://barcelonaencomu.cat">https://barcelonaencomu.cat</a><br /></br>(4) PAH Plateforme des affectés par l’hypothèque ( contre les expulsions) créée en 2009 à Barcelone et qui compte aujourd’hui 200 associations en Espagne.<br /></br>(5) ARA du 10 juin 2015</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les voies maritimes, une belle id<p>Les voies maritimes, une belle idée de vidéo autour d’un projet d’aire maritime à protéger</p></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="//www.dailymotion.com/embed/video/xu8azp" allowfullscreen></iframe><br /></br>Par <a href="http://www.aires-marines.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Aires-marines-protegees</a></i></p></br><p>Trois photographes ont sillonné pendant plusieurs mois le golfe normand breton qui s’étend de l’île de Bréhat au Cap de La Hague et qui fait l’objet d’un projet de parc naturel marin. Rodolphe Marics, Denis Bourges et Xavier Desmier proposent une radiographie de cet espace marin selon trois points de vue différents et complémentaires : photos aériennes, pédestres et sous-marines. </p></br><p>Les voies maritimes est né d’un partenariat entre l’Agence des aires marines protégées et l’association Les champs photographiques. </p> des aires marines protégées et l’association Les champs photographiques. </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>L’encyclopédie en ligne Wikipédia<p>L’encyclopédie en ligne Wikipédia est l’un des principaux biens communs intellectuels de notre temps. Pourtant, la thématique des biens communs y reste peu développée.</p></br><p>Afin de remédier à cette situation paradoxale, Frédéric Sultan (coordinateur de Remix the Commons) et Pierre-Carl Langlais (administrateur de la Wikipédia francophone) ont entrepris d’initier une série d’ateliers contributifs. Un premier atelier, organisé le 15 octobre, avait permis d’initier plusieurs articles fondamentaux sur l’histoire récente des biens communs (tels que le mouvement des communs).</p></br><p>Le prochain atelier aura lieu le 21 janvier de 17h30 à 20h30 à la Fondation Charles Mayer pour le Progrès de l’Homme (38 rue saint Sabin). Il portera sur les biens communs de la connaissance et plus spécifiquement sur le domaine public. En dépit de l’engagement durable des communautés wikimédiennes en faveur du domaine public, l’<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domaine_public_%28propri%C3%A9t%C3%A9_intellectuelle%29">article sur le sujet</a> demeure une simple ébauche.</p></br><p>Cette série d’atelier s’inscrit dans le cadre du projet Biens communs. Ce projet de la Wikipédia francophone comprend une liste suggestive d’articles à améliorer ou à créer, ainsi qu’une compilation de références en ligne à utiliser. En vertu du principe de neutralité de point de vue, chaque information ajoutée sur Wikipédia doit en effet être étayée avec une source fiable.</p></br><p>Si vous souhaitez participer, vous pouvez vous inscrire dès maintenant sur ce <a href="http://www.framadate.org/studs.php?sondage=p7dcl99c8n1ya3xn">formulaire</a>. Il est aussi possible de contribuer à distance.</p></br><p>Aucun prérequis n’est nécessaire : que vous soyez chercheur, praticien, wikipédien ou simple curieux, toutes les bonnes volontés sont bienvenues.</p>’est nécessaire : que vous soyez chercheur, praticien, wikipédien ou simple curieux, toutes les bonnes volontés sont bienvenues.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Maxime Combes produced a <a hr<p>Maxime Combes produced a <a href="http://www.boell.de/en/2014/01/21/valuing-natural-capital-or-devaluing-nature"> report on the first « Global Forum on natural capital » </a> which took place in late November 2013 in Edinburgh (Scotland).</p></br><p>The document decrypts the process of developing new tools for natural capital accounting based on the valuation of the natural and ecosystemic services in large-scale capital. This approach is a very concrete translation of the consequences of Rio +20 results and the green economy that continues to be justified with the argument of the tragedy of the commons.</p></br><p>We are facing a major challenge for so-called natural commons. It confirms the importance of defining the tools of accounting and management principles that preserve commons and nature.</p></br><p>Report for the Heinrich Boll Foundation </p>hat preserve commons and nature.</p> <p>Report for the Heinrich Boll Foundation </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>On April 19th 2012, Communautique<p>On April 19th 2012, Communautique organized the first working lunch <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/D%C3%A9jeuner_des_communs">« Commons lunches »</a> at its offices in Montreal. The context of the event was remarkable; for two months already an unprecedented social movement initiated and driven by students had taken over the streets of Montreal and other cities in the province, mobilizing people across all layers of society with unrivaled levels of involvement. And on this 19th of April, during what was called a “printemps érable” (or maple spring), and rightly so by the depth of its demands, on the eve of the march for Earth Day, reaching what would be the climax of the union of all sectors of the civil society, the protest was held under no other theme but the Commons and gathered nearly 300 000 people. This lunch was indeed very relevant at a time when « the Commons was on every lips », a paper issued by Communautique was widely circulated on the web.<br /></br>Prior to this first of a series of four in 2012, Communautique had contributed to the animation of this subject of the Commons on various occasions by organizing workshops or taking part in events in the charged ambiance of the student protests, particularly suited for participation and innovation.<br /></br>Each of the meetings facilitated the exchange of knowledge in a horizontal way through discussions and « learning circles » following a proven animation methodology that is increasingly used in co-creation, co-design projects and bottom-up social innovation. These methods are described by Percolab, partner of Communautique, who facilitated the discussion at the event.<br /></br>Each lunch was video recorded but was also followed by video productions extending the debate by illustrating some activities of the participants’ activities through interviews and shots taken on their field of operation. These productions were eventually used to fuel the debates at the next breakfasts.<br /></br><H3>Futur development</H3><br /></br>The continuation of Montreal lunches could be an occasion for a remix, whether in Dakar or other cities.<br /></br><H3>Collaborators</H3><br /></br>Alain Ambrosi and the Communautique team are assisted by Samatha Slade of Percolab.<br /></br><H3>Financing</H3><br /></br>Video production of Montréal lunches is made possible by support from the Ministry of Education, Recreation and Sports in the training mission and a contribution of trainees from Industry Canada’s Youth Internship program.<br /></br><H3>Rôle of Remix Bien communs</H3><br /></br>Remix the Commons was the melting pot for the concept of the montreal lunches, and helped by sharing views on the commons with Kër Thiossane from Dakar.</p>/> Remix the Commons was the melting pot for the concept of the montreal lunches, and helped by sharing views on the commons with Kër Thiossane from Dakar.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Organized by Remix The Commons, V<p>Organized by Remix The Commons, VECAM and radio Libre @ Toi</p></br><blockquote><p>Projection debate: Commons in political space,<br /></br>Broadcast live by the radio Libre @ Toi,<br /></br>7 April 2017, from 18:30 to 20:30<br /></br>At the Foundation for the Progress of Man, 38, rue Saint Sabin, 75011 Paris – France</p></br><h2>What are the relations between commons and politic?</h2></br><p>After the conquest of city governement by the commons candidates in the large Spanish cities, the introduction in the constitution of « buen vivir » (Bolivia and Ecuador), the development of community’s charters in Great Britain and the regulations for the protection of the common goods by Italian cities, ZADIism and Zapatista experience, assemblies of commoners throughout the Western world, … recent years have seen the commons enrich their experience of politics. How can it inspire us in France?</p></br><p>Come to debate after the screening of the short documentary « Les communs dans l’espace politique » (23 ‘), based on the testimonies of the actors involved in all these initiatives, of the place of the commons in the transformation of politics, the lessons that can be drawn from some of these experiences, and the challenges and dynamics of the commons movement.</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-4658" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/04/Sylviafredriksson_du-possible.jpg" alt="Sylviafredriksson_du possible" width="640" height="640" /><br /></br>Par Sylvia Fredriksson Certains droits réservés</p></br><p>At the moment when the presidential campaign is in full swing in France. Which candidate has not yet incorporated this notion in his vocabulary, sometimes playing on the polysemy of terms and sailing between « Common Good », « common » or « common goods »? This echo indicates both a great penetration of this notion in society and a need to give a stronger consistency around the idea that we are able to develop mechanisms of cooperation that start from our needs and usages to build new rights.</p></br><p>In this debate, we will focus more on the transformation of possible practices in the French political sequence, elections, loss of credit for the institutional system, than to make an inventory or a comparison of electoral measures or promises of the candidates and parties.</p></br><p>« The commons in the political space » (23 ‘) is a document realized from interviews of activists met on the occasion of the World Social Forum and the World Forum of social economy GSEF which took place in Montreal in August and September 2016. The documentary and interviews will be available on http://remixthecommons.org in the coming days.</p></br><p>Remix The Commons is an intercultural space for sharing and co-creating multimedia documents on the commons. The project is carried out by an intercultural collective composed of people and organizations who believe that the collection, exchange and remix of stories, definitions and images … of the commons are an active and convivial way to disseminate it in society. <a href="http://remixthecommons.org"> http://remixthecommons.org </a></p></br><p>Radio Libre @ Toi will broadcast this live debate and podcast, prefiguring the activities of the radio Causes Communes on the airwaves. <a href="http://asso.libre-a-toi.org"> http://asso.libre-a-toi.org </a></p></br><p>Vecam is an association that contributes to the political and social decoding of the digital age since 1995. <a href="http://vecam.org"> http://vecam.org </a></p></blockquote>gt;</p> <p>Vecam is an association that contributes to the political and social decoding of the digital age since 1995. <a href="http://vecam.org"> http://vecam.org </a></p></blockquote>)
  • Chargement/Site  + (<p>Organized by Remix The Commons, V<p>Organized by Remix The Commons, VECAM and radio Libre @ Toi</p></br><blockquote><p>Projection debate: Commons in political space,<br /></br>Broadcast live by the radio Libre @ Toi,<br /></br>7 April 2017, from 18:30 to 20:30<br /></br>At the Foundation for the Progress of Man, 38, rue Saint Sabin, 75011 Paris – France</p></br><h2>What are the relations between commons and politic?</h2></br><p>After the conquest of city governement by the commons candidates in the large Spanish cities, the introduction in the constitution of « buen vivir » (Bolivia and Ecuador), the development of community’s charters in Great Britain and the regulations for the protection of the common goods by Italian cities, ZADIism and Zapatista experience, assemblies of commoners throughout the Western world, … recent years have seen the commons enrich their experience of politics. How can it inspire us in France?</p></br><p>Come to debate after the screening of the short documentary « Les communs dans l’espace politique » (23 ‘), based on the testimonies of the actors involved in all these initiatives, of the place of the commons in the transformation of politics, the lessons that can be drawn from some of these experiences, and the challenges and dynamics of the commons movement.</p></br><p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-4658" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/04/Sylviafredriksson_du-possible.jpg" alt="Sylviafredriksson_du possible" width="640" height="640" /><br /></br>Par Sylvia Fredriksson Certains droits réservés</p></br><p>At the moment when the presidential campaign is in full swing in France. Which candidate has not yet incorporated this notion in his vocabulary, sometimes playing on the polysemy of terms and sailing between « Common Good », « common » or « common goods »? This echo indicates both a great penetration of this notion in society and a need to give a stronger consistency around the idea that we are able to develop mechanisms of cooperation that start from our needs and usages to build new rights.</p></br><p>In this debate, we will focus more on the transformation of possible practices in the French political sequence, elections, loss of credit for the institutional system, than to make an inventory or a comparison of electoral measures or promises of the candidates and parties.</p></br><p>« The commons in the political space » (23 ‘) is a document realized from interviews of activists met on the occasion of the World Social Forum and the World Forum of social economy GSEF which took place in Montreal in August and September 2016. The documentary and interviews will be available on http://remixthecommons.org in the coming days.</p></br><p>Remix The Commons is an intercultural space for sharing and co-creating multimedia documents on the commons. The project is carried out by an intercultural collective composed of people and organizations who believe that the collection, exchange and remix of stories, definitions and images … of the commons are an active and convivial way to disseminate it in society. <a href="http://remixthecommons.org"> http://remixthecommons.org </a></p></br><p>Radio Libre @ Toi will broadcast this live debate and podcast, prefiguring the activities of the radio Causes Communes on the airwaves. <a href="http://asso.libre-a-toi.org"> http://asso.libre-a-toi.org </a></p></br><p>Vecam is an association that contributes to the political and social decoding of the digital age since 1995. <a href="http://vecam.org"> http://vecam.org </a></p></blockquote>gt;</p> <p>Vecam is an association that contributes to the political and social decoding of the digital age since 1995. <a href="http://vecam.org"> http://vecam.org </a></p></blockquote>)
  • Chargement/Site  + (<p>Original publication from <a h<p>Original publication from <a href="https://blog.p2pfoundation.net/european-commons-assembly-at-medialab-prado/2017/07/24">P2P Fondation blog</a></p></br><blockquote><p>The European Commons Assembly (ECA) is a network of grassroots initiatives promoting commons management practices at the European level. The next stop for the network will be Medialab Prado, Madrid. These activities are part of the Transeuropa Festival program, a large meeting of political, social and environmental alternatives.</p></blockquote></br><p>The call to participate in the Madrid workshops will be open until August 4th.</p></br><p>Form</p></br><p><a title="18.05.16 Taller" href="https://www.flickr.com/photos/medialab-prado/28100107155/" data-flickr-embed="true" data-footer="true"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://farm8.staticflickr.com/7379/28100107155_1659853c90_c.jpg" alt="18.05.16 Taller" width="800" height="500" /></a><script async src="//embedr.flickr.com/assets/client-code.js" charset="utf-8"></script></p></br><p>The European Commons Assembly was launched in November 2016 with public events that took place in several spaces in Brussels, Belgium, including the Zinneke social center and European Parliament. This meeting gathered from different parts of Europe more than 150 commoners to promote public policies for the commons at the European level and to develop mutual support networks that enable long-term sustainability..</p></br><p>The call to participate in the Madrid workshops will be open until August 4th. Proposed topics related to the urban commons include:</p></br><ul></br><li>Public space<br /></br>Migrations and refugees<br /></br>Citizen participation in urban politics<br /></br>Culture<br /></br>Food<br /></br>Housing<br /></br>Health<br /></br>Currency and financing for the commons<br /></br>Laws and legal mechanisms to protect the commons<br /></br>Technology for citizenship.</li></br></ul></br><p>You may also propose a topic not already on this list; fill out the form to propose the organization of a specific workshop, and/or to participate in any of the workshops that you find interesting.</p></br><p>Each workshop will be co-organized by both a local and an international community project around the proposed topic. Workshops will be coordinated to offer valuable knowledge and strategies to apply to other, ongoing experiences. To this end, the ECA Madrid coordination team will hold several video conferences to connect the different initiatives and develop the workshop contents prior to the meeting. Workshops will employ facilitation methodology designed to guide the coordination team members in structuring and eventual documentation of the contents generated.</p></br><p>When completing the form, you may indicate if you need the organization to cover travel and / or accommodation if it will not be possible to cover these expenses another way. For more information, contact nicole.leonard [at] sciencespo.fr.</p></br><p>You can find more information on the European Commons Assembly website or fill out the form.</p>the organization to cover travel and / or accommodation if it will not be possible to cover these expenses another way. For more information, contact nicole.leonard [at] sciencespo.fr.</p> <p>You can find more information on the European Commons Assembly website or fill out the form.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Original published on <a href=<p>Original published on <a href="https://commonsjosaphat.wordpress.com/">Commons Josaphat</a>. Translation by Nicole Leonard. </p></br><blockquote><p>Commons Josaphat is an independent platform of residents, activists and associations. You have heard talk of it as one of the flagship European initiatives for the reconquest of the city by its inhabitants. </p></br><p>Commons Josaphat needs support from commoners to assert the work that has been accomplished over the course of the last 2 years with the public authorities in Brussels. </p></br><p>Show your support by sending your message directly to the collective. </p></blockquote></br><p><img decoding="async" src="http://vecam.org/local/cache-vignettes/L566xH800/commons_josaphat-2da3d.png?1472031936" alt="" /></p></br><p><H1>The common good neighborhood project </H1></p></br><p>Commons Josaphat wants to build a proposal for the development of the city as a commons on the vacant lot of the former Josaphat training station. A new part of town will be developed there in the coming years. The challenge is to transform this piece of land, which is public property, into territory where a city for the common good can be started and established, a city district imagined and developed through partnership between the public authorities and the citizens. Our proposal, the results of two years of exchange and reflection in common, is summarized <a href="https://commonsjosaphat.files.wordpress.com/2015/11/commons-josaphat_josaphat-en-commun01light.pdf">in this document</a>. </p></br><p><H1>Commons Josaphat today</H1></p></br><p>The collective continues to work in three main ways:</p></br><p>Effective occupation of the lot with other partners aiming to “make” this city as a commons, to immediately occupy its squares and spaces by using them. The agreement which places usage limits on individuals in order to preserve others’ use and access is an innovative first experience in the field for a new governance;</p></br><p>Development of an “example island” of commons. This island should shape the city in common (through accessibility to the largest number of people over the long run, collective decision-making on land rents, environmental integration, promotion of the solidarity economy and open source, inscribing values of health in the design of the city, anchoring in local neighborhoods…) But it must also be realistic about the needs of public authorities (revenues generated, realization times and amounts realized). This island should serve as a point of evaluation that follows the issuing of the first phase of the master plan for the region; </p></br><p>Building broad political conviction</p></br><li>1. Strengthening social support to the “Josaphat in common” proposal: support of associations, academics, intellectuals, unions, mutual societies<br /></br>2. Strengthening cooperation with local residents to involve all those concerned in this part of town today<br /></br>3. Improving conventional political support: obtain the support of PS, MR, ToT, Ecolo, PTB and CDH and their Dutch counterparts at regional and municipal levels.</br></li></br><p><H1>Here we reproduce their call</H1></p></br><p>You’ve heard of Commons Josaphat over the last two years, as they’ve been organizing action with partners – by participating in the call for ideas for the future development of the area or through the working groups themselves.<br /></br>Maybe you practiced fallow during the current summer festival or are participating in conferences organized around the possibility to construct the city as a commons. </p></br><p>Today we want to shed light on these examples of support, convergence, and cooperation around the production of the city as a commons, and give it weight in public debate!</p></br><p><H1>What can you do? </H1><br /></br>To show your support:<br /></br>Send an email to: <a href="mailto:ideascommonsjosaphat@gmail.com">ideascommonsjosaphat@gmail.com</a></p></br><p>Associations like BRAL, Pass-âge, RBDH (Rally for the right to housing), les Equipes Populaires de Schaerbeek, and SACOPAR (Health community participation non-profit association) have already done so. Academics such as Christian Laval and Tine de Moor have too. This support will be documented on the Commons Josaphat website and will support the proposal in public debate. </p></br><p>To participate in the construction of knowledge on the commons to be diffused to the city level of production, send an email to: <a href="mailto:commons_jos_transversal@lists.entransition.be">commons_jos_transversal@lists.entransition.be</a> </p></br><p>To get involved and work concretely with the project for transforming the lot into a common good, come to the lot the coming Sundays (7 July or 8 August), to the next general assembly on the 28th of August, or sign up on the list-serve: <a href="mailto:communs-dest@lists.entransition.be">communs-dest@lists.entransition.be</a></p></br><p>We count on your response from now until the 28th of August, the day of our next general assembly. We invite you there to declare your support during the aperitif planned at 19:30 (7:30pm)!</p></br><p>We’re hoping we can count on your participation.</p>h of August, or sign up on the list-serve: <a href="mailto:communs-dest@lists.entransition.be">communs-dest@lists.entransition.be</a></p> <p>We count on your response from now until the 28th of August, the day of our next general assembly. We invite you there to declare your support during the aperitif planned at 19:30 (7:30pm)!</p> <p>We’re hoping we can count on your participation.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Par Samantha Slade</p> <<p>Par Samantha Slade</p></br><p>« De là où je me trouve aujourd’hui , l’un des défis de l’émergence d’un mouvement tel que celui pour la promotion des communs, réside dans la façon dont nous construisons la communauté et la façon dont nous élaborons différentes manières d’incarner les valeurs de ce qui fait le commun. Il s’agit d’une question épineuse : comment pouvons-nous reconnaître la vaste expérience et expertise sur les biens communs et nous rassembler de façon inclusive et équitable en mode d’ « en-commun » participatif ? L’ art de recevoir (Art of Hosting) a certainement quelque chose à nous offrir ici, mais aussi , et surtout, ceux qui vivent et font consciemment le travail quotidien de  l' »en-commun » (commoning) dans toute sa complexité, ont de profonds enseignements à partager pour construire notre capacité collective. »</p></br><p>Voir<a href="http://www.percolab.com/2014/01/art-of-hosting-the-commons/"> l’article</a></p> l’article</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Project « Justice transitionnelle<p>Project « Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine » plans to share those extremely important Moroccan experiences about transitional justice and community reparation. </p></br><p>In Morocco, from 1959 to 1999, Former King Hassan II often ruled his country with an iron fist. That period is called as the years of lead in Morocco, during which those who were considered a threat to the regime were subject to a wide range of human rights violations. Thousands were subjected to arbitrary arrest, torture, and enforced disappearance, leaving behind a bitter legacy.</p></br><p>However, starting in the early 1990s, a gradual process of dealing with the past began to take root, culminating most recently in the work of the Moroccan Equity and Reconciliation Commission (Instance Équité et Réconciliation (IER)), established by the successor to the throne, King Mohammed VI.</p></br><p>On January 7, 2004, the IER was created, which is the first truth commission in the Arab world. This also has been hailed internationally as a big step forward, and an example to the Arab world. Since that, the IER has been working on addressing the terrible legacy of this era by investigating some of the worst abuses in Morocco and arranging reparations for victims and their families.</p></br><p>Over the duration of its mandate, the IER has amassed an archive of more than 20,000 personal testimonies from victims and their families, which has been organized in a central database in Rabat. It has conducted a range of meetings, conferences, and seminars around a multitude of issues that are keys to understanding Morocco’s past and present.</p></br><p>It has also taken the monumental step of holding public hearings to give victims a platform from which to share their sufferings. Throughout its work, the Commission has aimed to document, preserve, and analyze the roots of the crisis in an attempt to help Morocco come to terms with its past. </p></br><p>Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine aims to share videos about this process of transitional justice and community reparation. For Morocco, the Community Reparation Project is a huge project contributed to transitional justice. A total sum of 159 million Dirhams was mobilized and total number of completed projects was 149.</p></br><p>These videos talked about how to preserve memory of victim communities during “the years of lead” in Morocco and what kinds of public hearings took place, in fact those hearings gave the highlight of an extensive process of citizen deliberation, compassion and free expression in Morocco. They also talked about lots of stories about how community reparation project aimed to improve the living conditions of the people in victim communities and empower them. In fact, those materials mainly focused on women and children.</p></br><p>Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine believes Moroccan experiences in transitional justice as commons are useful and valuable to other countries, especially to Arabic countries have the similar history of transitional justice, such as Iraq, Egypt, Tunisia, Syria, Lebanon, Palestine, Algeria and so on.</p></br><p>As open resources, these documentaries, videos and reports are free to use for the public goods. </p></br><h3>Futur development</h3></br><p>In the next step, Project Justice transitionnelle: l’expérience Marocaine will keep on sharing more historical videos and materials about experiences in transitional justice, such as the videos of public hearings, the videos of public seminars and conferences, historical pictures and final reports of the community reparation project.</p></br><h3>People involved</h3></br><p>Ning and Mohamed Leghtas, from Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p></br><h3>Ressources</h3></br><p>The project Transitional Justice: the Moroccan experience is financed by the funds of the Equity and Reconciliation Commission (IER)</p></br><h3>Contribution to the projet « Justice transitionnelle</h3></br><p>Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p>IER)</p> <h3>Contribution to the projet « Justice transitionnelle</h3> <p>Alternatives Forum in Morocco(FMAS) and Portail E-joussour take in charge of this project, which both based in Rabat, Morroco.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Rights in Common aims at document<p>Rights in Common aims at documenting the place of law based on commons in the context of the Rio+20 negociations.<br /></br>During 2011, the preparation of the United Nations conference on sustainable development (Rio+20) with the Rio+20 french collective and the participants of the World Social Forum, lead us to suggest making the rights based on the commons a skyline of social demand at the international scale. But as a prerequisite we’d have to be able to explicit the contents of these rights and forsee how these would be implemented and enforced.<br /></br>To try to answer this question, a <a href="http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Des_droits_bas%C3%A9s_sur_les_biens_communs"> first text </ a> was written by Silke Helfrich and Frédéric Sultan after the Social Forum in Porto Alegre.</p></br><p>The remix project « Rights in Commons » is the continuation of this work by means of video and the remix made from video recordings of the United Nations conference and of the Peoples Summit.</p></br><h3>Futur development</h3></br><p>The Rights in Commons project move on by the organization of a workshop during the Economics, Commons Conference on May the 22nd 2013 in Berlin. It’s about continuing the ellaboration work initiated and particularly test the underling hypotheses on various domains and use cases, to reach a more global vision.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Frédéric Sultan is coordinator of this project. Emiliano Bazan has taken charge of the video production.</p></br><h3>Financing</h3></br><p>The Rights in Commons project gets financial support from the « Fonds Francophone des inforoutes » through the project Remix the Commons.</p></br><h3>Role of Remix the Commons</h3></br><p>Remix the Commons has been a space facilitating cooperation between Communautique and VECAM to produce videos during the Peoples Summit at Rio+20.</p>;/h3> <p>Remix the Commons has been a space facilitating cooperation between Communautique and VECAM to produce videos during the Peoples Summit at Rio+20.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Santiago Hoerth Moura de <a hr<p>Santiago Hoerth Moura de <a href="http://www.pillku.org/">Revista Pillku</a> a rencontré Alain Ambrosi à Mexico en novembre 2012 dans le cadre de la rencontre préparatoire à la <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">conférence Economics, Commons Conference</a>. Tous deux ont échangé sur les biens communs et le projet Remix Biens Communs. Santiago Hoerth Moura a publié l’interview suivante en espagnol.</p></br><h4></h4></br><h4></h4></br><h4>Entrevista con Alain Ambrosi</h4></br><h2>Remix the Commons es una plataforma de intercambio multimedia</h2></br><p>Alain Ambrosi es de Québec, la ciudad de Montreal en Canadá y trabaja para una organización que se llama COMMUNOTIC como investigador asociado, y específicamente para un proyecto que se llama Remix the Commons o Remezcla los comunes que es un proyecto internacional de plataforma en la web.</p></br><p><strong>Por Redacción Pillku</strong></p></br><p><strong>¿Cuál es tu experiencia de trabajo con los comunes?</strong></p></br><p>Mi experiencia de trabajo en los comunes empieza en la documentación de todo lo que se hace y lo que se dice sobre los comunes desde hace ya tres años. Empezando en el Foro Social de Belém en 2009, donde tuvimos el primer Encuentro Internacional Ciencia y Democracia, donde se habló de los commons. En este tiempo se hablaba de los bienes comunes, y la declaración final de este foro social mundial de Belém integró una declaración de recuperación de los Bienes Comunes. Desde este tiempo yo hice como siguiendo un poco las manifestaciones, conferencias, que se hacían sobre los comunes, hubo después la conferencia de Berlín organizado también por el Commons Strategies Group pero con la Fundación Heinrich Böll, era el primer encuentro donde la gente de los comunes materiales y de los comunes inmateriales se encontraron por primera vez digamos. Y fue en esta ocasión que hemos pensando y lanzado la idea de un proyecto que se llama Remix the Commons.</p></br><p><strong>Entonces contamos un poco en qué consiste Remix the Commons.</strong></p></br><p>Remix the Commons es una plataforma de intercambio de difusión, de producción, de documentos multimedia sobre el tema de los comunes. Es una plataforma socio-técnica, donde preferimos hablar más de lo socio que de lo técnico, y decir que es una plataforma que es un espacio de co-creación sobre los comunes. Entonces hemos empezado con entrevistas en todas estas reuniones, foros sociales, pero estamos integrando varios documentos sobre los comunes. Pero la plataforma no es solamente una cosa que va hacer sobre internet; es realmente un espacio de trabajo de co-creación, quiere decir que ya tenemos un montón de problemas que resolver, problemas técnicos que para nosotros es algo menor, pero a nivel jurídico legal porque vamos a hacer circular imágenes, videos, lo cual es un problema grande, y a nivel económico también, porque hay que sustentar este tipo de proyectos y ya tenemos varias ideas de trabajar a nivel de los comunes, porque nosotros nos consideramos com un bien común, quiero decir el proyecto Remix the Commons, queremos funcionar como un bien común, una comunidad de “partenarios” que van a decir las reglas propias, para ir adelante con el proyecto.</p></br><p>Entonces tenemos otras dimensiones muy importantes, como la gobernanza, como cuáles reglas vamos a poner y, también, otra dimensión que me parece muy importante que es la dimensión intercultural porque es muy difícil, por ejemplo que hemos visto desde el principio en Berlín: hace dos años tenemos una serie de entrevistas, de series que hablan de los comunes en chino o en otros idiomas, y se ve que el concepto mismo de commons corresponde a algo bien profundo en todas las culturas, y a veces hay diferencias, etc., y entonces es un desafío que me parece muy grande eso, el de la interculturalidad, las traducciones, etc.</p></br><p>Remix The Commons es un proyecto colaborativo sobre obras multimedia. Su objetivo es documentar e ilustrar las ideas y prácticas en torno a la cuestión del bien común en el proceso creativo. Para conocer más su trabajo visita: <a href="https://www.remixthecommons.org">https://www.remixthecommons.org</a></p></br><p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p>emixthecommons.org</a></p> <p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Santiago Hoerth Moura from <a <p>Santiago Hoerth Moura from <a href="http://www.pillku.org/">Revista Pillku</a> met Alain Ambrosi in Mexico City last November 2012 during the preparatory meeting for the <a href="http://p2pfoundation.net/Overview_of_the_Economics_of_the_Commons_Conference">Economics, Commons Conference</a>. They have discussed about commons and about Remix the Commons project. Santiago Hoerth Moura has published the following interview in Spanish.</p></br><h4>Entrevista con Alain Ambrosi</h4></br><h2>Remix the Commons es una plataforma de intercambio multimedia</h2></br><p>Alain Ambrosi es de Québec, la ciudad de Montreal en Canadá y trabaja para una organización que se llama COMMUNOTIC como investigador asociado, y específicamente para un proyecto que se llama Remix the Commons o Remezcla los comunes que es un proyecto internacional de plataforma en la web.</p></br><p><strong>Por Redacción Pillku</strong></p></br><p><strong>¿Cuál es tu experiencia de trabajo con los comunes?</strong></p></br><p>Mi experiencia de trabajo en los comunes empieza en la documentación de todo lo que se hace y lo que se dice sobre los comunes desde hace ya tres años. Empezando en el Foro Social de Belém en 2009, donde tuvimos el primer Encuentro Internacional Ciencia y Democracia, donde se habló de los commons. En este tiempo se hablaba de los bienes comunes, y la declaración final de este foro social mundial de Belém integró una declaración de recuperación de los Bienes Comunes. Desde este tiempo yo hice como siguiendo un poco las manifestaciones, conferencias, que se hacían sobre los comunes, hubo después la conferencia de Berlín organizado también por el Commons Strategies Group pero con la Fundación Heinrich Böll, era el primer encuentro donde la gente de los comunes materiales y de los comunes inmateriales se encontraron por primera vez digamos. Y fue en esta ocasión que hemos pensando y lanzado la idea de un proyecto que se llama Remix the Commons.</p></br><p><strong>Entonces contamos un poco en qué consiste Remix the Commons.</strong></p></br><p>Remix the Commons es una plataforma de intercambio de difusión, de producción, de documentos multimedia sobre el tema de los comunes. Es una plataforma socio-técnica, donde preferimos hablar más de lo socio que de lo técnico, y decir que es una plataforma que es un espacio de co-creación sobre los comunes. Entonces hemos empezado con entrevistas en todas estas reuniones, foros sociales, pero estamos integrando varios documentos sobre los comunes. Pero la plataforma no es solamente una cosa que va hacer sobre internet; es realmente un espacio de trabajo de co-creación, quiere decir que ya tenemos un montón de problemas que resolver, problemas técnicos que para nosotros es algo menor, pero a nivel jurídico legal porque vamos a hacer circular imágenes, videos, lo cual es un problema grande, y a nivel económico también, porque hay que sustentar este tipo de proyectos y ya tenemos varias ideas de trabajar a nivel de los comunes, porque nosotros nos consideramos com un bien común, quiero decir el proyecto Remix the Commons, queremos funcionar como un bien común, una comunidad de “partenarios” que van a decir las reglas propias, para ir adelante con el proyecto.</p></br><p>Entonces tenemos otras dimensiones muy importantes, como la gobernanza, como cuáles reglas vamos a poner y, también, otra dimensión que me parece muy importante que es la dimensión intercultural porque es muy difícil, por ejemplo que hemos visto desde el principio en Berlín: hace dos años tenemos una serie de entrevistas, de series que hablan de los comunes en chino o en otros idiomas, y se ve que el concepto mismo de commons corresponde a algo bien profundo en todas las culturas, y a veces hay diferencias, etc., y entonces es un desafío que me parece muy grande eso, el de la interculturalidad, las traducciones, etc.</p></br><p>Remix The Commons es un proyecto colaborativo sobre obras multimedia. Su objetivo es documentar e ilustrar las ideas y prácticas en torno a la cuestión del bien común en el proceso creativo. Para conocer más su trabajo visita: <a href="https://www.remixthecommons.org">https://www.remixthecommons.org</a></p></br><p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p></a></p> <p>via<a href="http://www.pillku.org/article/remix-the-commons-es-una-plataforma-de-intercambio/">Remix the commons es una plataforma de intercambio multimedia | Revista Pillku, amantes de la libertad | Cultura Libre.</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Spain’s recent municipal and regi<p>Spain’s recent municipal and regional elections have transformed the entire political scene. New citizen coalitions with roots in community groups allied with small progressive political parties won unexpected victories in several large cities. This, plus the fact that two new national political parties – Podemos and Ciudadanos – burst decisively onto the political stage in the regional elections, has blocked the bipartisan (PP-PSOE) system created with the 1975 democratic transition. Victorious in 7 major cities throughout the country, including the 3 largest ones (Madrid, Barcelona, Valencia), these coalitions open the door to a different sort of transition, questioning the dominant political culture and mentality, and in most cases putting in place minority governments, thus obliging various parties to negotiate joint platforms. It is interesting to note that Podemos, the young political party that made a surprise showing in the 2014 European elections and made strong gains on the regional level this year, decided not to present its own candidates in the municipal elections, but rather participated in or – more frequently – supported the new citizen coalitions in various cities.</p></br><h2>Reinventing Urban Commons for the XXIst Century</h2></br><p>These newcomers to the municipal political scene identifiy with the Commons, and in some cases even include the term in their names : Barcelona en Comù, Zaragoza en Comun… A perusal of their programmes and of the manner in which they were developed demonstrates that this is not simply an empty phrase, but the reference to the Commons introduces instead a new political discourse and horizon and, above all, a new way of ‘doing’ politics. The new candidates-elect come from different social movements and this is their first experience in electoral politics. Their ‘non-parties’ are in general less than a year old but the organisations they come from have held massive mobilisations and won significant local victories. On analysis, the new political culture they aim for is rooted in the tradition of urban struggle now revisited and improved on the basis of the citizen movements that originated in the 2008 financial crisis, the indignados of 2011, and the successive ‘waves’ (mareas) that followed in the housing, health, education, culture and urban ecology sectors. The tradition of self-management and ‘self-government’ often rooted in libertarianism and long known as ‘municipalism’ has been revisited by the culture and practices of the many anti-growth, ecological, alter-globalisation, and cultural movements inspired by the spirit of the Indignados of 2011 with an impressive mastery and intelligent use of new technologies and audiovisual media.</p></br><p>The challenges facing this new municipalism are enormous : the problems are illustrated by the findings of two international reports revealed immediately following the May 24 elections. The firsti underlined the explosion of the level of poverty since the beginning of the crisis (increase from 9% to 18%) while the secondii demonstrated an increase of 40% of the number of extremely rich during the same period. Adding to the general morosity by reiterating prevailing logic, the IMF seized the occasion, shortly prior to the investiture of the new municipal governments, to congratulate the Spanish government on its ‘encouraging’ economic results while publicly reminding it that it must continue its austerity measures by increasing indirect taxes, cutting health and education budgets still more and lowering wages. What else could be expected from the fans of austerity?</p></br><h2>The Re-dignified Good Life In Common</h2></br><p>But such dire pronouncements do not scathe the confidence of the new mayors whose campaigns were run and programmes built on an anti-austerity stance; they are already putting in place (Barcelona is a good example) some of the measures set out in their plan of attack for affordable housing, food, accessible public utilities and transportation, and a basic living allowance. They are dedicating an unprecedented quantity of resources for municipal governments to these measures in an explicit attempt to counter the ‘de-humanising’ effects of austerity policies and to ‘restore the dignity’ of the most vulnerable. But the declared intentions of the new municipal leaders go far beyond the emergency measures of the first few months of their term. They want to turn their cities into living experiments in promoting an urban Good Life that redefines economic and social policy and municipal responsabilities as well as democratic practices on the municipal but also the regional, national and international levels. In her inaugural speech as Mayor of Barcelona, Ada Colau called for the creation of a ‘network of democratic cities in Southern Europe’.</p></br><h2>Transparency and Participation</h2></br><p>This incipient revolution in political culture and practice is taking place with total transparency, with the creation of a code of ethics, cutting the salaries of the elected representatives and eliminating statutory perks (official cars, per diems, etc) and, above all, by wagering on the collective intelligence and active participation of local citizens. Indeed, many of them have already taken part in the municipal programme by contributing to its elaboration prior to and during the campaign in the many neighbourhood meetings and various ‘crowd-sourcing’ moments on virtual platforms. The resulting highly structured programme remains an open document and is in itself an invitation to participate. The web page of Barcelona en Comù boldly states : ‘The programme you have before you is a programme In Common and, as you can see, that requires a major change from traditional political programmes […] it’s a document that aims to be useful to dialogue amongst citizens.’ iii</p></br><p>During her inauguration ceremony, Ada Colau asserted that ‘it is indispensable to create a new form of governance’, reminding the crowd that she is but ‘one of thousands of neighbours’, that she plans to ‘govern by obeying’ and that if she and her team do not deliver on their programme promises ‘Kick us out!’. The thousands of people watching the ceremony on giant screens in Plaza Sant Jaume greeted her speech with shouts of ‘Yes we can!’ (Si se puede), echoing the slogans of the public meetings held throughout the campaign. In a crowd so dense that she could hardly make her way through, but clearly at ease surrounded by ‘neighbours’, comrades and partisans, Ada slipped into the discourse and manner of the ex-president and activist of the PAHiv. With her charming smile, she declared to the enthusiastic crowd that ‘governing will not be easy but we are not alone’ and called on them to show responsability and to actively participate. She concluded evoking the need for empathy and invited the crowd to organise a demonstration in support of the strking telephone workers of Movistar, present in the crowd, and whose struggle she has supported throughout the campaign. The tone has been set, and indicates that it is not only the Commons but also the spirit of the Indignados movement that has come to City Hall.</p></br><h2>The Realism of the Commons</h2></br><p>In an article titled ‘It’s time for realism’, Josep Ramoneda, columnist for the catalan daily Ara, compared the proposals of Barcelona en Comù to the latest demands of the IMF, demonstrating that the ‘nihilist utopias’ – a label often used by the media and the governing right wing PP party to denigrate progressive alternatives – are instead found in the proposals of the neoliberal hardliners, incapable as they have shown themselves to be of finding a solution to the economic crisis and deepening inequality. He concludes by affirming ‘Let’s be realistic, let us consider the common good’v – a somewhat astonishing comment in this newpaper reputed to be more interested in supporting independence than the Commons. A comment that also reveals that the Commons have come not only to Town Hall, but are emerging in the collective imagination and in political discourse.</p></br><h2>A Living Laboratory, an Invitation to Commoning</h2></br><p>The emerging glocal movement of commoners and their apprentices should observe closely what transpires in this living laboratory of the urban commons. There is a lot to learn from this commons in action about the nature of the commons, the process of commoning and the possible transition to a commons society. This is also a unique opportunity to contribute peer-to-peer with our own experiences and know-how, developed all over the globe in the many different socio-cultural contexts where the Commons are being reinvented in recent years.</p></br><p><strong>Alain Ambrosi, Barcelona, 17 June 2015</strong></p></br><p>1 OECD, May 2015 <a href="http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en">http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en</a><br /></br>2 Capgemini and Royal Bank of Canada (RBC) Wealth Management. Cited in El Pais 17 June 2015.<br /></br>3 <a href="https://barcelonaencomu.cat">https://barcelonaencomu.cat</a><br /></br>4 PAH : Plataforma des los afectados por la hipoteca – Platform of those affected by mortgage (ie, against expulsions) created in 2009 in Barcelona and which now counts some 200 member associations in Spain.<br /></br>5 Ara, 10 June 2015.</p>;/a><br /> 4 PAH : Plataforma des los afectados por la hipoteca – Platform of those affected by mortgage (ie, against expulsions) created in 2009 in Barcelona and which now counts some 200 member associations in Spain.<br /> 5 Ara, 10 June 2015.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The 11 and 12 November, the <a<p>The 11 and 12 November, the <a href=" http://www.deeep.org/"> DEEEP project </a> , co-funded by the European Union program , gathered in Johannesburg (South Africa) 200 activists from around the world to rethink the framework of development NGOs and initiate the construction of a  » World Citizens Movement . » This meeting is the starting point of a process that will last two years of citizen mobilization for change and global justice. <a Href="http://movement.deeep.org"> A digital platform </a> is dedicated to it. During the conference, the participants began to learn from the work of civil society, its modes of organization and action in different areas around the world and produced a document, <a href = " http://www.deeep.org/component/content/article/395.html " >« The Johannesburg Compass: Questions and orientations »</a> to define the principles that should guide the work of the two coming years.</p></br><p>Invited to participate in this process, I have contributed to discussions and writing text to feed as much as possible of the concept of the commons. Conceived initially as a declaration of principles supported by a shared vision, this document has become a guide for the process itself, based on a few key ideas such as the need to de-colonize our minds and de-institutionalize development organizations. The result reflects the will of renewal in both form and content of the action, but leaves unanswered, at least for the moment, questions about the nature of a worl citizen movement, if it is one motion, and the nature of the process of the two next years of workfollowing the conference.</p></br><p>It seems to me that today , a world citizens movement has to revolutionize the way for everyone to exercise their citizenship, and to be aware of. One of the roles of NGOs and CSOs should be to support the politicization of everyday life in the field of health , nutrition , education , work, .. .. etc, within the perspective of the commons. How to do this on a massive scale ? Appart from action campaigns on strategic objectives at the regional or global level, made by organizations, that are the infrastructure of civil society, it is to renew and articulate what is in France called popular education by integration of social neighborhood and mediated by computer networks practices. Such a dynamic would allow each to be more confortable with broader perspective and the international agenda. The challenge is to build bridges with multiple communities of belonging, not to provide them with the leadership of NGOs and movements, but to recognize and legitimize their leaderships at different scales of power (from local to global).</p></br><p>To listen to the conference participants at Johannesburg , it looks like it must also go through the (re)discovery of the commons within organizations, regardless of their size or intended to rebuild the project itself. This can be a wide perspective of the organization (NGOs / CSOs ) to continue the work from Johburg. In this sense, it will be better to work on Our commons than to define THE commons and to try to transform organizations working on their values, projects and actions, rather than seeking Commons as a theoretical or ideological framework.</p></br><p>Another avenue is to share les lessons learned by activists of the intangible and knowledge commons that, since the emergence of the computer have been able to build a movement that defends their values, distributed forms of collaboration , openness and freedom , sharing and solidarity , personal empowerment and participation in collectives, acting on a small scale while remaining in a universal vision. This movement is generally invisible as a social movement for people who are not activists. Everyone uses free software, access to culture and free knowledge, most of the time without paying attention. Yet organizations of knowledge and free culture are structured and are  » NGO  » or  » OCS  » weighty. Just consider the most visible in the public area alike Wikimedia Foundation, or the weight of this movement in the industrial sector (IBM , Android, …) or the work of lobbying done by groups aloke EFF Quadrature net, to realize that. It is a movement to maturity. This experience and the culture it develops worth sharing. </p></br><p>Would not it be helpful to think a similar movement in the field of materials, urban, rural and natural commons?</p></br><p>Frédéric Sultan</p>ould not it be helpful to think a similar movement in the field of materials, urban, rural and natural commons?</p> <p>Frédéric Sultan</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The <a href="https://wiki.remi<p>The <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">Breakfasts in-Common </a>process was initiated by Senegal’s « Centre d’Art Senegalais Kër Thiossane » and Quebec’s « Communautique », as part of the project Remix the Commons.</p></br><p>Born from a research dynamic about endogenous definitions of commons, Breakfasts in-Common bring occasions to think collectively about what commons mean, from an artistic approach. The goal of these meetings whether in Dakar or Montréal is not only to understand but also to feel the meaning difference that exists between my « I » and the « we » of a collective process. A sensitive approach that allows to craft stories able to give some meaning to the fact of living together. Stories that help maintain the community in motion and give a purpose to one’s own existence and thriving.</p></br><p><H2>First light in Dakar</H2><br /></br>From January 2012, in Dakar, in a violent pre-election context, in the midst of doubts about the constitution and the rise of citizenship awareness in all Senegal, Kër Thiossane started an exploratory work around Commons by organizing Breakfasts in-Common in a monthy cycle.</p></br><p>Three Breakfasts in-Common were organized between January and April 2012 on the subjects « The commons in African cities » ; « Commons and space » and « Languages and knowledge ».</p></br><p>These Breakfasts in-Common were moments of gathering and exchanges constituting by themselves a practice of the « in-Common », where each participates in sharing knowledge in a horizontal dynamic.</p></br><p>Each Breakfast started by viewing a film produced by the Kër Thiossane team on an artist and his or her questioning about one aspect of the Commons in the Senegalese society.</p></br><p>Some of the films and extracts from the breakfasts recordings are available online on the Kër Thiossane website, along with a toolbox of books, texts, interviews that anyone is welcomed to enrich with their own contributions via a wiki or at a breakfast in-Common.</p></br><p>Afropixel Festival<br /></br>This material, accumulated since early 2012 and the thinking initiated among the artistic community and the inhabitants was used to prepare a variety of activities, residences, workshops and performances at the time of the Afropixel festival as part of the theme « Creation, culture and knowledge in Common », that took place in may 2012.</p></br><p>Among this diverse and rich programming, Kër Thiossane gathered great African thinkers and artists to elaborate collectively on the question of « Artistic responsibility in the construction of the in-Common ».</p></br><p>All around a glass of tea, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat and Ibrahima Wane took part in what was not an expert group but rather a meeting where everyone’s expertise was to profit the collective thinking that was woven along the talks.</p></br><h2>Kédougou, until where is your place ?</h2></br><p>In 2013, the Breakfasts in-Common keep on with the collaboration of the collective « La companyía (http://www.lacompanyia.org/). They delocalize with a first breakfast outside Dakar in March as part of the « Night of the stars » festival organised by the Multimedia Community center of Kédougou.</p></br><p>Taking the same theme as the festival, « Kédougou, until where is your place ? », we investigated on the problematic of the Kédougou region associated with Commons. The opening of the question « where is your place » allowed to approach the questions about managing natural resources in a boundary region rich in gold and ore, as well as belonging and building of communities.</p></br><p><H3>Futur development</h3></br><p>The Breakfasts in-Common and the Afropixel festival organized so far have drawn a great interest, as much from artists and members of the civil society as from citizens, in Senegal. Seeds were sown and a real awareness of the stake of Commons invites us to continue these meetings in an even more open way, about other aspects of Commons, with the objective to enable and widen this collective thinking space.<br /></br>In 2013-2014, Kër Thiossane would like to organize other breakfasts at regular intervals and repeat more of the delocalised experiments, outside Dakar, in partnership with Senegal’s community radios network.</p></br><p>These experiments with continue to be filmed, documented and shared with Communautique in Montréal and other partners, actors of commons elsewhere in the world (Finland, Colombia…). Videos and other documents from these with be posted online on the Remix the commons platform.</p></br><h3>Collaborators</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane). Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financing</h3></br><p>The Breakfasts in-Common receives financial support from the « Fonds Francophone des inforoutes » through the project Remix the Commons.<br /></br>The production of the Breakfasts in-Common in Dakar was made possible thanks to the financial support from Arts Collaboratory and the « Organisation Internationale de la Froncophonie in Kër Thiossane.</p></br><h3>Contribution of Remix the Commons</h3></br><p>Remix the Commons contributed in the onset of the project and spread the word of it’s existance among commoners. Remix the Commons supports formalisation of the process and the deployement of a network of similar practices.</p>Thiossane.</p> <h3>Contribution of Remix the Commons</h3> <p>Remix the Commons contributed in the onset of the project and spread the word of it’s existance among commoners. Remix the Commons supports formalisation of the process and the deployement of a network of similar practices.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The Charter of the Forest – Carta<p>The Charter of the Forest – Carta de Foresta – published in 1217, is recognized as the first official act that extends the protections and essential rights of the Magna Carta to the English commoners against the abuses of the aristocracy. Under this charter, the people are guaranteed the right to access forest resources. The impact of this charter has been revolutionary. It is generally considered one of the cornerstones of the British Constitution and<a href="https://www.americanbar.org/groups/public_services/law_library_congress/charter_of_the_forest.html"> inspiration of the American Constitution</a> (2). It has made it possible to render vast expanses of land to the peasants, to oppose the plundering of the common goods by the monarchy and the aristocracy. In the 17th century, it has inspired the Diggers and Levellers and later protests against the enclosure of lands by the capitalist bourgeoisie. But it was repealed in 1971 by a conservative government, allowing the privatization of resources such as water for the benefit of multinational companies.</p></br><p>Today, forests remain essential resources for housing, food sovereignty, and are essential for fighting environmental crises. A <a href="http://charteroftheforest800.org/">campaign</a> to celebrate the Forest Charter began in Britain in September and continues in November. The Lincoln Record Society has organized an international conference on the Charter of the Forest that began with a houseboat trip on the River Thames from Windsor to Runnymede, the place where was signed the Magna Carta. Experts presented the Charter of the Forest, its history and its contemporary implications. Participants were also able to see one of the original copies of the Forest Charter and participated in a guided tour of the Forest of Sherwood that (in France) we know through Robin Hood story.</p></br><p>Today, there is a debate chaired by the Shadow Chancellor, John McDonnell MP, with Professors Peter Linebaugh and Guy Standing, and Julie Timbrell of <a href="https://thenewputneydebates.com/">New Putney Debates</a>. This debate is part of a week-long program (6) calling for the creation of a <a href="https://en.wikipedia.org/wiki/Domesday_Book">new Domesday Book</a>, a national census of UK landowners and the identification of the common goods as well as a new Commons Charter and Communities Charters. This is to question the notion of land ownership in a country where it is one of the most concentrated in the western countries, and to elaborate proposals, including a possible tax on land ownership, for a better distribution of rights and responsibilities to land.</p></br><p>Thanks to Yves Otis for reporting the article <a href="https://www.nakedcapitalism.com/2017/11/youve-never-heard-charter-important-magna-carta.html">Why You’ve Never Heard of a Charter as Important as the Magna Carta</a></p></br><p>Transcript of the Forest Charter: <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p> Forest Charter: <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The violent destruction of the co<p>The violent destruction of the commons of the ZAD (Zone To Defend) of Notre-Dame-des-Landes by the French government is an infamous and revolting act. The current police offensive, led by several thousand gendarmes and CRS equipped with armored vehicles and helicopters is only the exercise of the purest State violence against a set of collective practices that are in progress or in preparation. This includes their fragile material conditions (buildings, meeting places, work tools, herds), and they  are now destroyed by bulldozers and police squads.</p></br><p>Since the first day of assault on the ZAD of Notre-Dame-des-Landes, the destruction of the farm of the «Cents Noms» was a true declaration of social and political war. The destruction of this place was by no means imperative given the criteria invoked by the government in its « communication ». Nicole Klein, Prefect of Loire Region(<a href="#note1" name="retour au texte1"> 1</a>), justifies the police operation by claiming that the «Cents Noms» had not submitted an agricultural project. This is obviously false: the inhabitants of this farm were carrying an alternative agricultural project and some of them had submitted a request for regularization.</p></br><p>What is the real reason for this destructive rage? It is not the absence of a project, it is the nature of the projects that is at stake. The State and its representatives do not support the life forms that are experimented here and now, and for the past 10 years. These life forms prefigure a society free from the ownership logic in all its dimensions. From this point of view, it is of the highest symbolic value that the inhabitants and defenders of the zone propose the Assembly of Uses to take charge of the collective management of lands and spaces from the beginning. This solution would’ve had the advantage to straightly extend the experience initiated and pursued for so many years: to make the logic of the common use which is a logic of care and nurture, or to prevail over the logic of land ownership which is a destructive and deadly logic.</p></br><p>It is not the « Constitutional State » that defends itself, as the Prime Minister affirms, it is a State of force that wants to eliminate as quickly and completely as possible all actions that could perform the principle of the Common: associations, consumers and workers cooperatives, agricultural and craft projects, convivial modes of exchange and of life. The government wants to prevent the invention of what is a real way of producing and living by using its excessive police force. It also wants to eliminate a solidary and ecological model of life that we need today.</p></br><p>The State shows its true face here. It is not only protecting  private ownership, but it is itself completely under the logic of ownership. It is the Owner State in war against the commons. It must be defeated at all costs to preserve the treasure threatened of the commons.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot and Christian Laval</strong></p></br><p>—–</p></br><p>Note :<br /></br><a name="note1"></a>(1) The Prefect is a representative of the public authority in the department, directly appointed by the President of the Republic (and not elected as mayors).</p></br><p>—–<br /></br>Original edition : <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a> Thursday, April 12 2018</p></br><p>Translated in English by Frédéric Sultan and Alexandre Guttmann</p>gt;NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a> Thursday, April 12 2018</p> <p>Translated in English by Frédéric Sultan and Alexandre Guttmann</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The violent destruction of the co<p>The violent destruction of the commons of the ZAD (Zone To Defend) of Notre-Dame-des-Landes by the French government is an infamous and revolting act. The current police offensive, led by several thousand gendarmes and CRS equipped with armored vehicles and helicopters is only the exercise of the purest State violence against a set of collective practices that are in progress or in preparation. This includes their fragile material conditions (buildings, meeting places, work tools, herds), and they  are now destroyed by bulldozers and police squads.</p></br><p>Since the first day of assault on the ZAD of Notre-Dame-des-Landes, the destruction of the farm of the «Cents Noms» was a true declaration of social and political war. The destruction of this place was by no means imperative given the criteria invoked by the government in its « communication ». Nicole Klein, Prefect of Loire Region(<a href="#note1" name="retour au texte1"> 1</a>), justifies the police operation by claiming that the «Cents Noms» had not submitted an agricultural project. This is obviously false: the inhabitants of this farm were carrying an alternative agricultural project and some of them had submitted a request for regularization.</p></br><p>What is the real reason for this destructive rage? It is not the absence of a project, it is the nature of the projects that is at stake. The State and its representatives do not support the life forms that are experimented here and now, and for the past 10 years. These life forms prefigure a society free from the ownership logic in all its dimensions. From this point of view, it is of the highest symbolic value that the inhabitants and defenders of the zone propose the Assembly of Uses to take charge of the collective management of lands and spaces from the beginning. This solution would’ve had the advantage to straightly extend the experience initiated and pursued for so many years: to make the logic of the common use which is a logic of care and nurture, or to prevail over the logic of land ownership which is a destructive and deadly logic.</p></br><p>It is not the « Constitutional State » that defends itself, as the Prime Minister affirms, it is a State of force that wants to eliminate as quickly and completely as possible all actions that could perform the principle of the Common: associations, consumers and workers cooperatives, agricultural and craft projects, convivial modes of exchange and of life. The government wants to prevent the invention of what is a real way of producing and living by using its excessive police force. It also wants to eliminate a solidary and ecological model of life that we need today.</p></br><p>The State shows its true face here. It is not only protecting  private ownership, but it is itself completely under the logic of ownership. It is the Owner State in war against the commons. It must be defeated at all costs to preserve the treasure threatened of the commons.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot and Christian Laval</strong></p></br><p>—–</p></br><p>Note :<br /></br><a name="note1"></a>(1) The Prefect is a representative of the public authority in the department, directly appointed by the President of the Republic (and not elected as mayors).</p></br><p>—–<br /></br>Original edition : <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" target="_blank" rel="noopener noreferrer">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a> Thursday, April 12 2018</p></br><p>Translated in English by Frédéric Sultan and Alexandre Guttmann</p>gt;NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a> Thursday, April 12 2018</p> <p>Translated in English by Frédéric Sultan and Alexandre Guttmann</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>The « At the school of Commons » <p>The « At the school of Commons » meeting has the goal of bringing in all sorts of creative people, activists and users of common goods, in order to help the exchange between these people and allow the development and social appropriation of the Commons. This contributes to the understanding, finding and preservation of the Commons.</p></br><p>Organized by Communautique and Remix the Commons, and in collaboration with the Nycole Turmel chair on public spaces and political innovations at UQÀM, the event « At the school of Commons », on November the 2nd and 3rd 2012, was the first event of the project. Participants were able to exchange on political, legal, economic and cultural prerequisites needed for the rise of an economy of commons in the presence of international guests Michel Bauwens, founder of the P2P foundation, Lionel Maurel a.k.a. « Calimaq », founder of Savoircom1 and their Quebecois counterparts Ianick Marcil, independent economist and Stéphane Guidoin from OpenNorth.<br /></br><H3>Futur development</H3><br /></br>« At the school of Commons » is structured around bespoke meetings. A following meeting should be scheduled for autumn 2013.<br /></br><H3>Collaborators</H3><br /></br>The project is lead by Alain Ambrosi, supported by the Communautique team and Frédéric Sultan.<br /></br><H3>Financing</H3><br /></br>The project receives financial help from « Organisation Internationnale de la Francophonie » through « Remix the Commons ».<br /></br><H3>The Contribution of Remix the Commons</H3><br /></br>Remix the Commons served as an infrastructure, and placed itself as a resource to the project in Montreal. Networking was used to gather resources and speakers. Documents were produced. An attempt at a transcription was made.</p>urce to the project in Montreal. Networking was used to gather resources and speakers. Documents were produced. An attempt at a transcription was made.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Un nouveau documentaire est actue<p>Un nouveau documentaire est actuellement en production, sur les luttes en relation avec l’eau en Grèce. Le titre de travail du documentaire est  » Wa(te)rdrops « , et il a pour objectif de mettre en perspective recherches approfondies et travail sur le terrain, les luttes concernant l’eau autour en Grèce, y compris la lutte contre la privatisation de la compagnie des eaux de Thessalonique ( EYATH ), contre les mines d’or en Chalcidique et contre les l’accaparement des réserves d’eau locales à Volos et en Crète.</p></br><p>Premières trailers sont visibles dans la page web <a href="http://www.stagonesdoc.gr/en"> du documentaire </a> . Assurez-vous d’activer les sous-titres (anglais ou espagnol) dans le coin supérieur droit du lecteur.</p></br><p>Ce documentaire est filmé par un groupe de cinéastes militants coordonnée par le chercheur Nelly Psarou. Les mêmes personnes ont travaillé sur  » Golfland ?  » il ya quelques années, un document sur l’effet désastreux du développement de terrains de golf sur l’environnement et les communautés locales. Vous pouvez regarder  » Golfland ?  » en ligne <a href="http://www.golfland.gr/en/golfland_movie.php"> ici </a> (Bientôt dans le catalogue Remix ).</p></br><p>Il est fièrement produit en toute indépendance en s’appuyant sur crowdfunding, et le résultat sera librement accessible sous une licence creative commons.<br /></br>Bouton « Donate » sur le fond de la page Web du documentaire.</p>n « Donate » sur le fond de la page Web du documentaire.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Un ouvrage incontournable ! </<p>Un ouvrage incontournable ! </p></br><p>La publication du dernier livre de Peter Linebaugh. <a href="http://ift.tt/O62hZa">Stop, Thief!: The Commons, Enclosures, and Resistance</a> (PM Press) avec des chapitres sur Karl Marx, les Luddites, William Morris, Thomas Paine, les peuples autochtones, est prévue pour le 1er mars, mais il est déjà accessible en ibook … par ailleurs auteur de Magna Carta dont on peut trouver l’introduction dans <a href="http://ift.tt/AmSWqc">Libres Savoirs</a>. </p></br><p>A noter que 2015 sera le 800ième anniversaire de la signature de la Magna Carta en Grande Bretagne, une date à commémorer alors que se dérouleront la même année la COP 21 sur le climat, les négociations sur les OMD et que nous serons probablement à la fin de la négociation de l’accord transatlantique (TAFTA).</p>obablement à la fin de la négociation de l’accord transatlantique (TAFTA).</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Video créée par Connor Turland po<p>Video créée par Connor Turland pour la campagne de collecte de fonds pour l’organisation du séminaire « Commons based economy » de Quilligan School of Commoning à Londres</p></br><p>Texte de la vidéo : </p></br><blockquote><p>There are at least 2 major factors at play in the universe.<br /></br>For our purposes we’ll call them Unity … and Diversity.<br /></br>Generally today, we tend to you think that you just can’t have both.<br /></br>And consequently, as a human, you can’t be working towards both. You’re either working towards this. Or this. And that decides which camp you’re in, warring against the other.<br /></br>Predictably, this gets us a net progress of … NOWHERE.<br /></br>The same place that 1 dimensional, polaristic thinking is getting us.<br /></br>So what if we thought in another dimension.<br /></br>Collectively, what we’ve gained over here…we’ve lost over here.<br /></br>The Commons is the word that encompasses all those things that have been depleted to get us where we are today.<br /></br>We are rapidly depleting the social, cultural, intellectual, natural, genetic, and material commons.<br /></br>But can we replenish this…<br /></br>Without losing what we’ve gained?<br /></br>Frankly, millions of people, and institutions, businesses, and even countries already are.<br /></br>And whether everyone knows it or not, we all seem to be converging…<br /></br>On what? … we could call it a Commons-Based Economy.<br /></br>But time is of the essence! As other forces threaten to throw us into a worse dark age than ever.<br /></br>That’s why the people in this campaign are working tirelessly for me AND we to support the emergence of a commons-based economy.<br /></br>Help us help the world as we build a commons for the commons.<br /></br>That means learning resources, a learning platform, and sharing the vital work of James Quilligan, who just gave 12 seminars in 12 days on the emergence of a commons-based economy.<br /></br>It will take all of our collective intentions and intelligence to learn our way together towards the more beautiful world our hearts tell us is possible.<br /></br>To take the human project to the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /></br>Internet, your move.</p></blockquote>next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /> Internet, your move.</p></blockquote>)
  • Chargement/Site  + (<p>Video that Connor created for the<p>Video that Connor created for the School of Commoning crowdfunding that allowed us to organize the Quilligan seminar series in London.</p></br><p>Text : </p></br><blockquote><p>There are at least 2 major factors at play in the universe.<br /></br>For our purposes we’ll call them Unity … and Diversity.<br /></br>Generally today, we tend to you think that you just can’t have both.<br /></br>And consequently, as a human, you can’t be working towards both. You’re either working towards this. Or this. And that decides which camp you’re in, warring against the other.<br /></br>Predictably, this gets us a net progress of … NOWHERE.<br /></br>The same place that 1 dimensional, polaristic thinking is getting us.<br /></br>So what if we thought in another dimension.<br /></br>Collectively, what we’ve gained over here…we’ve lost over here.<br /></br>The Commons is the word that encompasses all those things that have been depleted to get us where we are today.<br /></br>We are rapidly depleting the social, cultural, intellectual, natural, genetic, and material commons.<br /></br>But can we replenish this…<br /></br>Without losing what we’ve gained?<br /></br>Frankly, millions of people, and institutions, businesses, and even countries already are.<br /></br>And whether everyone knows it or not, we all seem to be converging…<br /></br>On what? … we could call it a Commons-Based Economy.<br /></br>But time is of the essence! As other forces threaten to throw us into a worse dark age than ever.<br /></br>That’s why the people in this campaign are working tirelessly for me AND we to support the emergence of a commons-based economy.<br /></br>Help us help the world as we build a commons for the commons.<br /></br>That means learning resources, a learning platform, and sharing the vital work of James Quilligan, who just gave 12 seminars in 12 days on the emergence of a commons-based economy.<br /></br>It will take all of our collective intentions and intelligence to learn our way together towards the more beautiful world our hearts tell us is possible.<br /></br>To take the human project to the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /></br>Internet, your move.</p></blockquote>o the next dimension, we need nothing less than a mass movement.<br /> Internet, your move.</p></blockquote>)
  • Chargement/Site  + (<p>We are organising a Barcamp dedic<p>We are organising a Barcamp dedicated to video as commons in Paris <strong>the 4th of october from 14:00 to 18:00 at <a href="http://labodeledition.com/contenu/222/remix-video-tech?symfony=vek5amij7du0s2jsiqjhit6jd2">Labo de l’édition</a> 75005 Paris.<br /></br></strong><br /></br>Documentary production provides a largely untapped source of video, images and audio files. For each documentary produced, many hours of rushes are carried out and a large part will seldom be used. It is estimated that for every documentary produced several dozen hours of rushes for only 52 minutes used.</p></br><p>However, the pooling of rushes could multiply the forms of collaboration such as productions geographically distributed, creations adapted to local contexts, or adopting the point of view of different producers and multiple users for the same subject or content. In addition, the sharing of rushes may be accompanied by other exchanges: tools, know-how, good ideas and ultimately generate new projects.</p></br><p>The idea that these resources can be shared and remixed is the basis of projects such as Remix The Commons and sideways. So we invite directors, producers and users of multimedia content to explore the possibiliies of sharing and re-use in the field the documentary video.</p></br><p><strong>See the details of the <a href="https://www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>www.remixthecommons.org/en/2013/06/barcamp-remix-video-tech-pour-la-video-en-biens-communs/">barcamp in French</a>. </strong></p>)
  • Définition des communs selon Ugo Mattei  + (A definition of the "Commons" proposed by A definition of the "Commons" proposed by Ugo Mattei, from ABC Napoli, taken from an interview conducted by AMBROSI Alain, at the Economics and the Commons Conference which took place in Berlin from 22 to 24 May 2013.</br></br>"The commons is about equality, democracy and caring for future generations."ocracy and caring for future generations.")
  • Ville en biens communs  + (A l’initiative du « réseau francophone autA l’initiative du « réseau francophone autour des biens communs » 200 événements auto organisés se sont tenus en octobre 2013 dans 5 pays. Destinés à permettre aux habitants de découvrir les communs existants sur leurs territoires, leur donner envie d’y contribuer. Cette initiative a permis de donner de la visibilité au mouvement des communs.de la visibilité au mouvement des communs.)
  • Sciences et démocratie : La leçon du Tapajos  + (Annie est une jeune chercheuse en sciencesAnnie est une jeune chercheuse en sciences de l'environnement à l'Université du Québec à Montréal.</br></br>Nous la suivons de Montréal jusqu'à son terrain de recherche en Amazonie brésilienne, en passant par le Forum Social Mondial qui s'est tenu à Belém au début de l'année 2009.est tenu à Belém au début de l'année 2009.)
  • Atelier de codesign de cartographie numérique Partie 3: La cartographie des communs  + (Atelier de codesign de cartographie numériAtelier de codesign de cartographie numérique Partie 3: La cartographie des communs</br></br>Exploration des usages et applications de cartographie numérique le 3 mai 2013.</br></br>Perspective ludique, partage de connaissances sur le "crowdmapping" et outillage du projet de cartographie des Communs de Montréal de l'École des Communs de Communautique.</br></br>Organisé dans le cadre de l'initiative MOBmontréal, une invitation de Communautique, Métacollab Montréal et l'École des communsMétacollab Montréal et l'École des communs)
  • Atelier de codesign de cartographie numérique Partie 2: Les enjeux liés à la cartographie  + (Atelier de codesign de cartographie numériAtelier de codesign de cartographie numérique Partie 2: Les enjeux liés à la cartographie</br></br>Exploration des usages et applications de cartographie numérique le 3 mai 2013.</br></br>Perspective ludique, partage de connaissances sur le "crowdmapping" et outillage du projet de cartographie des Communs de Montréal de l'École des Communs de Communautique.</br></br>Organisé dans le cadre de l'initiative MOBmontréal, une invitation de Communautique, Métacollab Montréal et l'École des communsMétacollab Montréal et l'École des communs)
  • Atelier de codesign de cartographie numérique Partie 4: Qualités et modèles de la cartographie  + (Atelier de codesign de cartographie numériAtelier de codesign de cartographie numérique Partie 4: Qualités et modèles de la cartographie</br></br>Exploration des usages et applications de cartographie numérique le 3 mai 2013.</br></br>Perspective ludique, partage de connaissances sur le "crowdmapping" et outillage du projet de cartographie des Communs de Montréal de l'École des Communs de Communautique.</br></br>Organisé dans le cadre de l'initiative MOBmontréal, une invitation de Communautique, Métacollab Montréal et l'École des communsMétacollab Montréal et l'École des communs)
  • Atelier de codesign de cartographie numérique Partie 1: Les avantages de la cartographie  + (Atelier de codesign de cartographie numériAtelier de codesign de cartographie numérique Partie 1: Les avantages de la cartographie</br></br>Exploration des usages et applications de cartographie numérique le 3 mai 2013.</br></br>Perspective ludique, partage de connaissances sur le "crowdmapping" et outillage du projet de cartographie des Communs de Montréal de l'École des Communs de Communautique.</br></br>Organisé dans le cadre de l'initiative MOBmontréal, une invitation de Communautique, Métacollab Montréal et l'École des communsMétacollab Montréal et l'École des communs)
  • Les Communs  + (Brève vidéo d'introduction sur l'idée des Brève vidéo d'introduction sur l'idée des biens communs en même temps qu'une remise en cause de la fameuse "tragédie des communs". Existe aussi en allemand http://www.youtube.com/watch?v=OMfVtaIxAjA, en Italien http://www.youtube.com/watch?v=WT6vbAu_UjI et Espagnol http://www.youtube.com/watch?v=4Dg6f1F98LI. Vous êtes invités à utiliser librement cette vidéo. invités à utiliser librement cette vidéo.)
  • Demain, l'art sera libre et généreux ! 1/2  + (Captation live de la Conférence-manifeste Captation live de la Conférence-manifeste sur le thème "Demain, l'art sera libre et généreux !" qui a eu lieu samedi 15 juin 2013 au Forum des images, dans le cadre du MashUp Film Festival 2013 (3ème édition).</br></br>Une suite de rencontres, débats, projections, performances... animée par Xavier de La Porte, producteur à France Culture, divisée en deux parties.</br></br>1ère partie</br></br>Entre galère financière et formatage par le Marché, l’avenir de la création n’est pas forcément rose. Des raisons d’être optimiste ? Écoutons les artistes eux-mêmes !</br></br>Avec Emilie Brout & Maxime Marion, Olivier Cadiot, Caroline Delieutraz, Stéphane Elmadjian, André Gunthert, Luc Lagier, Julien Lahmi, Grégoire Pauly, Vincent Pompignoli, Antoine Moreau, Systaime (Michaël Borras)…</br></br>2ème partie : demain on partage tout</br></br>Partage, coopération, intelligence collective : ce qui s’invente aujourd’hui peut changer le monde !</br>Avec Calimaq (Lionel Maurel), Olivier Cadiot, Caroline Delieutraz, Pierre Giner, André Gunthert, Kino, Xavier de La Porte, Systaime (Michaël Borras)...vier de La Porte, Systaime (Michaël Borras)...)
  • Demain, l'art sera libre et généreux ! 2/2  + (Captation live de la Conférence-manifeste Captation live de la Conférence-manifeste sur le thème "Demain, l'art sera libre et généreux !" qui a eu lieu samedi 15 juin 2013 au Forum des images, dans le cadre du MashUp Film Festival 2013 (3ème édition).</br></br>Une suite de rencontres, débats, projections, performances... animée par Xavier de La Porte, producteur à France Culture, divisée en deux parties :</br></br>1ère partie</br></br>Entre galère financière et formatage par le Marché, l’avenir de la création n’est pas forcément rose. Des raisons d’être optimiste ? Écoutons les artistes eux-mêmes !</br></br>Avec Emilie Brout & Maxime Marion, Olivier Cadiot, Caroline Delieutraz, Stéphane Elmadjian, André Gunthert, Luc Lagier, Julien Lahmi, Grégoire Pauly, Vincent Pompignoli, Antoine Moreau, Systaime (Michaël Borras)…</br></br>2ème partie : demain on partage tout</br></br>Partage, coopération, intelligence collective : ce qui s’invente aujourd’hui peut changer le monde !</br></br>Avec Calimaq (Lionel Maurel), Olivier Cadiot, Caroline Delieutraz, Pierre Giner, André Gunthert, Kino, Xavier de La Porte, Systaime (Michaël Borras)...vier de La Porte, Systaime (Michaël Borras)...)
  • Le monde invisible  + (Cette vidéo a été tournée au Bénin lors deCette vidéo a été tournée au Bénin lors de la Journée internationale du Vodou 2013, plus précisément lors de la cérémonie de Ouidah. Elle présente une discussion dont l'exercice est de comprendre ce qui est étranger à soi. Toutefois, la vidéo défend le thème de la culture comme bien commun, et surtout de la culture immatérielle et de la vision propre du monde qu'elle véhicule.</br></br>Extrait remixé de Achille Mbembe, de Kër Thiossane</br></br>Tout en travaillant à documenter leur stage humanitaire au Bénin, les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine (Montréal (Québec)) ont été amené à porter leur regard sur trois thèmes choisis pendant le dernier camp de formation (eau, éducation, culture) afin de réaliser des capsules à partager sur la plate-forme de Remix Biens Communs.</br></br>Avec Martin Chevalier, François Gnonhoussou et les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine.</br></br>Jean-François Bourbeau (corrections audio)Jean-François Bourbeau (corrections audio))
  • Le soin empêché  + (Cette vidéo est un montage à partir des entrevues réalisées lors des Ateliers pour la refondation du service l'hôpitalier à Marseille le 3 et 4 juillet 2021)
  • Commons Watch Report  + (Compte rendu de la rencontre Commons Watch qui a lancé le processus d'assemblée des communs en Europe)
  • Table ronde des économistes français à Berlin  + (Conversation avec Nicole Alix, Philippe Aigrain, Gaelle Krokorian et Benjamin Coriat animée par Valérie Peugeot et réalisée par AMBROSI Alain lors de la Conférence Economic And The Commons qui s'est déroulée à Berlin en mai 2013.)
  • Festival Afropixel 2  + (Dans le cadre du Off de la Biennale 2010, Dans le cadre du Off de la Biennale 2010, Kër Thiossane accueille la deuxième édition du festival Afropixel. Afropixel 2010 a pour objectif de mettre en débat la place des TICS dans la société d’aujourd’hui et d’en envisager un usage actif.</br></br>Afropixel 2010 se décompose en plusieurs actions :</br>:Des résidences artistiques avec Audry Liseron-Monfils (Guyane / Belgique), Jean Katambayi Mukendi (RDC).</br>:Des expositions, des performances , des concerts, des projections de films. Les intervenants Stephen Hobbs & Marcus Neustetter pour « Trinity Session » (Johannesburg), Jean-Noël Montagne pour « Art Sensitif » (Paris).</br>:Des débats publics – colloques</br>:Des formations publiques – Ateliers</br>:Un laboratoire de pensée sur le futur « Le Laboratoire de Prospectives Singulières ». Le Laboratoire de Prospectives Singulières ».)
  • Les normes comptables internationales, une nouvelle représentation de l'entreprise?  + (Depuis juillet 2002, l’Union Européenne a Depuis juillet 2002, l’Union Européenne a délégué sa fonction législative en matière de comptabilité du secteur privé à l’IASB qui émet les normes comptables internationales dites IFRS. Ce choix a orienté la comptabilité européenne vers un nouveau principe comptable, celui de la "juste valeur". Auparavant, la réglementation européenne s’inspirait essentiellement de la logique du coût historique: l’évaluation des actifs au bilan se fondait ainsi sur leurs "coûts d’acquisition amortis". Notre communication va opposer ces deux modèles comptables et analyser leurs conséquences pour la représentation, la gouvernance et la régulation des entreprises. Des cas d’étude telles les notions d’actif et de passif et la distinction entre dette et capitaux propres illustreront nos propos. Le modèle issu du principe de la juste valeur assume une représentation marchande de l’entreprise en tant que portefeuille d’actifs et passifs, alors que le modèle issue du principe du coût historique s’appuie sur une représentation de l’entreprise comme entité située dans le temps et l’espace. La crise financière qui a débuté à l'été 2007 a confirmé le défaut intrinsèque du modèle comptable de la juste valeur. Ce modèle n’a pas contribué à anticiper la crise et l’a même accentuée. La comptabilité peut et doit garder pour objectif la constitution d'un instrument de contrôle et de régulation, indépendant du marché et centré sur l’entreprise comme entité, et non suivre les valeurs de marché au jour le jour. La comptabilité doit s’imposer ainsi comme une institution centrale des économies de marché, essentielle au fonctionnement des marchés eux-mêmes, conformément à l’intérêt général.x-mêmes, conformément à l’intérêt général.)
  • Zones d’Autonomie Conventionnée partie 1/2  + (Documentaire sur les occupations éphémèresDocumentaire sur les occupations éphémères du quartier de la Chapelle (Paris).</br></br>Arrière-Cour 93, Jardin d'Alice, Ecobox, Théâtre de Verre, Shakirail, Bois Dormoy, lieux éphémères du quartier de la Chapelle dans le XVIIIe arrondissement, racontent leur histoire d'occupation de bâtiments vides et de parcelles nues transformés en ateliers d'artistes et jardins partagés. A l'occasion des événements organisés par les six lieux dans le cadre des Portes Ouvertes de la Chapelle en 2013, ce documentaire se veut un voyage entre leur existence quotidienne et leur relation avec le Paris en transformation. relation avec le Paris en transformation.)
  • Zones d’Autonomie Conventionnée partie 2/2  + (Documentaire sur les occupations éphémèresDocumentaire sur les occupations éphémères du quartier de la Chapelle (Paris).</br></br>Arrière-Cour 93, Jardin d'Alice, Ecobox, Théâtre de Verre, Shakirail, Bois Dormoy, lieux éphémères du quartier de la Chapelle dans le XVIIIe arrondissement, racontent leur histoire d'occupation de bâtiments vides et de parcelles nues transformés en ateliers d'artistes et jardins partagés. A l'occasion des événements organisés par les six lieux dans le cadre des Portes Ouvertes de la Chapelle en 2013, ce documentaire se veut un voyage entre leur existence quotidienne et leur relation avec le Paris en transformation. relation avec le Paris en transformation.)
  • Définir le Bien Commun: Moussa Mbaye à Dakar  + (Définition des biens communs par Moussa Mbaye à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011. Langue : Wolof Traduction En français: http://www.remixthecommons.org/2011/08/define-the-commons-moussa-mbaye-in-dakar)
  • Définir le Bien Commun: Michel Bauwens à Berlin  + (Définition des biens communs par Michel BaDéfinition des biens communs par Michel Bauwens à l'occasion de la International Commons Conference à Berlin les 1er et 2 novembre 2010.</br></br>"C'est créer des modalités de gouvernance de ce qui nous appartient en commun et de ce qui nous concerne tous d'une façon qu'il n'y a pas – en somme une sorte d'entité qui sort du commun et qui se différencie du commun. Et donc à mon avis le commun n'a pas pour but de devenir la totalité: le commun c'est une sphère, et puis il y a la sphère du privé, et il y a la sphère du public. Nous ce qu'on veut c'est réarranger, réagencer les relations entre les trois: c'est pas qu'on a une sorte de commun-nisme si vous voulez totalitaire! Non, le but c'est reconnaître le commun et ré-agencer le rôle de l’État et du marché par rapport à ce commun."tat et du marché par rapport à ce commun.")
  • Définir le Bien Commun: Claire Brossaud à Dakar  + (Définition des biens communs par Claire Brossaud à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011.)
  • Définir le Bien Commun: Isabella Lövin à Dakar  + (Définition des biens communs par Isabella Lövin à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011. Langue : Suédois traduit en Anglais)
  • Définir le Bien Commun: Salimata Wade à Dakar  + (Définition des biens communs par Salimata Wade à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011. Langue : Wolof, Français)
  • Définir le Bien Commun: Abdou Salam Fall à Dakar  + (Définition des biens communs par Abdou Salam Fall à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011. Langue : Wolof traduit en français)
  • Biens communs : Une alternative ici et maintenant pour les sciences  + (Echanges autour des enjeux des biens comuns et de la science ouverte dans le cadre du Forum sciences et démocratie à Belem en 2009.)
  • Dévoilement du web documentaire « Ô Saint-Laurent : une histoire d'eau et d'appartenance »  + (En cette Journée mondiale de l'eau (22 marEn cette Journée mondiale de l'eau (22 mars 2013), Communautique dévoile le web documentaire « Ô Saint-Laurent : une histoire d'eau et d'appartenance ». Réalisé dans le cadre du projet Remix biens communs, le court-métrage donne la parole à une dizaine d'intervenants-tes montréalais qui oeuvrent à protéger les cours d'eau entourant la métropole et ses environs et à en favoriser l'accès pour les citoyens-nes.</br></br>Bâtie sur une île, la Ville de Montréal a au cours de son histoire entretenu des liens étroits avec l'eau. Toutefois, les processus d'urbanisation et d'industrialisation qu'a connus la métropole au cours du dernier siècle ont graduellement contribué à éloigner la population de cette ressource primordiale.</br></br>C'est dans un désir de réappropriation de l'eau en tant que bien commun que Communautique a rassemblé plusieurs acteurs-trices montréalais-es de la préservation et de la valorisation de cette précieuse ressource naturelle lors d'un Déjeuner des communs à l'automne 2012. Au cœur de cette rencontre dominait une question aux multiples réponses : Comment pouvons-nous nous réapproprier le fleuve Saint-Laurent comme bien commun ?</br></br>Que ce soit par l'imaginaire d'une eau urbaine traversant la ville pour l'écrivain Lamberto Tassinari, par l'engagement citoyen pour la Fondation Rivières et ses représentants Roy Dupuis et Alain Saladzius, ou par l'éducation et l'apprentissage que prône le capitaine Simon Paquin sur son navire-école ÉcoMaris, « Ô Saint-Laurent : une histoire d'eau et d'appartenance » propose non seulement une réflexion sur l'eau en tant que bien commun, mais des pistes de solutions pour envisager son appropriation collective.ur envisager son appropriation collective.)
  • Hervé le Crosnier et l'en-commun  + (Entrevue avec Hervé Le Crosnier réalisée par AMBROSI Alain lors de l’Economic Commons Conference de Berlin 2013)
  • Vers un programme de recherche sur les communs, entretien avec Charlotte Hess  + (Entrevue avec Charlotte Hess réalisée par AMBROSI Alain lors de la conférence Economic and the Commons à Berlin 2013)
  • Entrevue Fernando Pindado  + (Entrevue avec Fernando Pindado, commissaire à la participation et la démocratie active de la Mairie de Barcelone (depuis 2016) pendant le Forum d’Economies Collaboratives Procomuns 2017 à Barcelone.)
  • Le mouvement des communs et l'art de l'en-commun. Entrevue avec George Pór  + (Entrevue avec George Pór réalisée par AMBROSI Alain lors de la conférence Economic and the Commons à Berlin 2013)
  • Connecter les Communs  + (Entrevue avec Heike Löschmann, Miguel Said Vieira, Ludig Schuster, Mike Linksvayer réalisée par AMBROSI Alain et SULTAN Frédéric lors de la conférence Economic and the Commons à Berlin en mai 2013.)
  • La démocratie et les communs, table ronde avec Smàri Mc Carthy et Marvin Brown  + (Entrevue avec Marvin Brown et Smàri Mc Carthy réalisée lors de l’Economic Commons Conference de Berlin 2013. Interviewer Michel Bauwens)
  • Entrevue Mayo Fuster Dimmons  + (Entrevue avec Mayo Fuster Morell, directrice de Dimmons pendant le Forum d’Economies Collaboratives Procomuns 2017 à Barcelone. Entretien réalisé en espagnol et traduit en français.)
  • La escuela de los Comunes de Barcelona  + (Entrevue avec Mayo Fuster réalisée par AMBROSI Alain à la conférence de Berlin Economics and the Commons de Berln en mai 2013. (espagnol))
  • Le mouvement des communs en Italie, conversation avec Ugo Mattei  + (Entrevue avec Ugo Mattei réalisée par AMBREntrevue avec Ugo Mattei réalisée par AMBROSI Alain lors de la conférence Economic and the Commons à Berlin en mai 2013. Ugo Mattei présente les défis et les enjeux de la lutte pour la récupération de la gouvernance de l'eau à Naples à travers la mise en place de ABC (Agua Beni Communi). mise en place de ABC (Agua Beni Communi).)
  • Un agenda politique pour les Communs, interview de Valérie Peugeot  + (Entrevue avec Valérie Peugeot réalisée par AMBROSI Alain lors de la conférence Economic and the Commons à Berlin 2013)
  • Quel programme de recherche sur les Communs? Une entrevue avec Valérie Peugeot  + (Entrevue avec Valérie Peugeot réalisée par AMBROSI Alain lors de la conférence Economic and the Commons à Berlin 2013)
  • Vue d’ensemble de l’économie collaborative avec Michel Bauwens  + (Entrevue de Michel Bauwens, fondateur de lEntrevue de Michel Bauwens, fondateur de la Fondation P2P. L’entrevue a été réalisée à Montréal le 3 novembre 2012 après la tenue d’une conversation publique « À l’école des Communs » organisée par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l’UQÀM.s et les innovations politiques de l’UQÀM.)
  • Définir le Bien Commun: Myriam Bassi à Dakar  + (Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie. Langue : Wolof)
  • Les communs et les mouvements sociaux: Claire Brossaud à Dakar  + (Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.)
  • Les communs et les mouvements sociaux: Amit Sengupta à Dakar  + (Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.)
  • Les communs et les mouvements sociaux: Olivier Sagna à Dakar  + (Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.)
  • Définir le Bien Commun: Candido Grybowski à Dakar  + (Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.)
  • Les communs et les mouvements sociaux: Moussa Mbaye à Dakar  + (Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.)
  • Link between Art of Hosting and the Commons  + (Extract of an interview of Toke Moeller (AExtract of an interview of Toke Moeller (Art of Hosting) conducted by Samantha Slade and AMBROSI Alain during the Montreal Art Of Hosting meeting in october 2013.</br>see full interview at http://www.remixthecommons.org/?fiche=reflections-on-art-of-hosting-and-the-commonslections-on-art-of-hosting-and-the-commons)
  • Jean-Luc Nancy - "Pour une commune pensée"  + (Extrait de Notre Monde, de Thomas Lacoste Extrait de Notre Monde, de Thomas Lacoste (http://www.notremonde-lefilm.com)</br></br>Jean-Luc Nancy, né en 1940, professeur émérite de philosophie à l'université de Strasbourg, où il a toujours exercé depuis 1968 (avec des séjours de professeur invité à Berlin, aux États-Unis, en Italie, et de nombreux voyages), a particulièrement travaillé sur le thème de la « communauté », sur celui du « corps » et sur les arts.</br></br>Il a écrit de très nombreux livres, dont la plus grande partie est publiée chez Galilée (voir le site de l'éditeur). Ces dernières années, ses principales publications ont concerné la « déconstruction du christianisme » (La Déclosion et l'Adoration) et le sens du mot « politique » (Vérité de la démocratie, Politique et au-delà, etc).</br></br>Notre Monde, de Thomas Lacoste. Synopsis</br></br>Rassemblant plus de 35 intervenants, philosophes, sociologues, économistes, magistrats, médecins, universitaires et écrivains, Notre Monde propose un espace d’expression pour travailler, comme nous y enjoint Jean–Luc Nancy à « une pensée commune ».</br>Plus encore qu’un libre espace de parole, Notre Monde s’appuie sur un ensemble foisonnant de propositions concrètes pour agir comme un rappel essentiel, individuel et collectif : « faites de la politique » et de préférence autrement.</br></br>Thomas Lacoste, initiateur de L’Autre Campagne parallèle à la campagne présidentielle de 2007, auteur des entretiens Penser critique, kit de survie éthique et politique pour situations de crise(s) (47 films, 24h, éditions Montparnasse, 2012), nous offre ici une grande respiration, comme un temps de pause, face au rythme haletant de la vie politique.ce au rythme haletant de la vie politique.)
  • Reflections on Art of Hosting and the Commons  + (Full interview of Toke Moeller (Art of Hosting) conducted by Samantha Slade and AMBROSI Alain during the Montreal Art Of Hosting meeting in october 2013.)
  • Le printemps arabe: une révolution de jeunes  + (Ghassan Wail El Karmouni est journaliste eGhassan Wail El Karmouni est journaliste et membre du Forum des Alternatives du Maroc.</br>Entrevue réalisée pour remixthecommons.org à Dakar le 11 février 2011 lors du Forum Social Mondial. Les révoltes et manifestations populaires étaient alors en cours en Tunisie et en Egypte et n'avaient pas encore eu de développements dans les autres pays arabes.éveloppements dans les autres pays arabes.)
  • Liberté d'expression et médias sociaux au Maroc: un état des lieux  + (Ghassan Wail El Karmouni est journaliste eGhassan Wail El Karmouni est journaliste et membre du Forum des Alternatives du Maroc.</br>Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour remixthecommons.org à Dakar le 11 février 2011 lors du Forum Social Mondial. </br>L'assemblée sur la communication du FSM a émis le 12 février une déclaration </br>http://ciranda.net/fsm-dacar-2011/article/le-droit-d-informer-et-d-etre</br></br>Ghassan Wail El Karmouni, journaliste et membre du Forum des Alternatives du Maroc membre du Forum des Alternatives du Maroc)
  • Horizons communs  + (Horizons communs est un processus de réflHorizons communs est un processus de réflexion, d'échange/discussion et de production sur les défis que rencontre le mouvement des communs dans le contexte du Forum Social Mondial sur les Économies Transformatrices. Nous proposons de traiter de trois enjeux importants pour le mouvement des communs sous forme de rencontres virtuelles documentées numériquement. La trace numérique de ces travaux sera réunie dans un site web dans lequel chaque thème sera traité comme un chapitre de « Horizons communs ».comme un chapitre de « Horizons communs ».)
  • IBA MAR FAYE: l'accaparement des terres en Afrique.  + (Iba Mar Faye sociologue à l'IPAR Sénégal dIba Mar Faye sociologue à l'IPAR Sénégal dresse un portrait de l'accaparement des terres au plan international et prend l'exemple de l'Afrique de l'ouest et du Sénégal.</br></br>Interview réalisée au Forum Social Mondial de Dakar en février 2011 pour le chapitre «Les communs à l'ordre du jour planétaire» de remixthecommons.org.u jour planétaire» de remixthecommons.org.)
  • IBA MAR FAYE: l’accaparement des terres en Afrique  + (Iba Mar Faye sociologue à l’IPAR Sénégal dIba Mar Faye sociologue à l’IPAR Sénégal dresse un portrait de l’accaparement des terres au plan international et prend l’exemple de l’Afrique de l’ouest et du Sénégal.</br></br>Interview réalisée au Forum Social Mondial de Dakar en février 2011 pour le chapitre «Les communs à l’ordre du jour planétaire» de remixthecommons.org.</br></br>Mots-clés: accaparement des terres, enclosure, agriculture, occupation et utilisation des terres,</br></br>*Cameraman Daniel Torrico</br>*Montage/editing : Abeille Tardel Torrico *Montage/editing : Abeille Tard)
  • Nuit Debout et les Communs, convergence réussie ou occasion manquée ?  + (Intervention de Lionel Maurel dans le cadrIntervention de Lionel Maurel dans le cadre du colloque "Vers une République des biens communs ?"</br></br>Né le 31 mars 2016 en opposition à la Loi Travail "et son monde", le mouvement Nuit Debout s'est transformé plusieurs mois durant en une occupation de la Place de la République à Paris, qui a essaimé dans de nombreuses villes de France et au-delà. S'inscrivant dans la filiation des mouvements d'occupation des places initiée avec les Indignés de Madrid et Occupy Wallstreet, les liens entre Nuit Debout et les Communs interrogent.</br></br>Les Communs ont en effet joué un rôle notable pendant ou après certains des mouvement sociaux anti-austérité de ces dernières années, que ce soit pendant le Printemps Érable au Québec en 2012, lors de l'occupation de la Place Syntagma en Grèce ou avec les listes politiques issues du 15 M en Espagne qui ont remporté les élections à Madrid et Barcelone. Pour Nuit Debout, ce lien est cependant plus complexe à établir. Alors même qu'un tissu des Communs s'est développé en France et commence à se structurer, on ne trouve que peu de références aux Communs dans les textes qui ont été produit par les militants de Nuit Debout. Les acteurs des Communs n'ont pas réellement produit en tant que tel un discours contre la loi Travail et s'ils ont été assez nombreux à participer à Nuit Debout à titre individuel, on ne peut pas dire que les Communs se soient emparés de ce mouvement collectivement. </br>Pourtant, lorsque l'on regarde le mode de fonctionnement concret de Nuit Debout, notamment au niveau de l'occupation de la Place de la République à Paris, on constate que beaucoup des composantes du mouvement se sont structurées comme des Communs pour faire face aux défis logistiques et organisationnels auxquels elles étaient confrontées. C'est le cas notamment des commissions structurelles de Nuit Debout (Accueil, Sérénité, Cantine, Infirmerie, Logistique, Bibliothèque) qui ont permis au mouvement de tenir dans la durée. Ces groupes ont géré des ressources partagées en se donnant des règles de gouvernance ouverte que l'on peut analyser selon les principes dégagés par Elinor Ostrom. La place est aussi devenue pour beaucoup de populations marginalisées un lieu où venir puiser des ressources, réactivant des pratiques de glanage liées depuis des temps immémoriaux aux Communs. Nuit Debout pose aussi la question de l'appropriation de l'espace public comme un Commun et le mouvement a dû affronter des phénomènes d'enclosure initiés par les pouvoirs publics ou par des des acteurs privés extérieurs. Il a dû aussi lutter contre des tentatives de capture de l'action collective opérées de l'intérieur, visant à confisquer la gouvernance du mouvement ou ses moyens de communication.</br></br>Le paradoxe de Nuit Debout est donc le suivant: ses acteurs ont agi au sein de processus qui peuvent être analysés comme des Communs et ils ont dû affronter les menaces qui pèsent traditionnellement sur les Communs. Mais seule une petite partie de ses membres l'ont fait consciemment et le discours des Communs transparaît au final peu dans les productions et revendications du mouvement. Pourtant, les Communs auraient sans doute pu apporter un élément qui a cruellement fait défaut au mouvement. Malgré l'objectif affiché de "convergence des luttes", Nuit Debout a en effet peiné à faire la synthèse entre les multiples revendications qui se sont exprimées en son sein, réfractées et éclatées parmi la multitude des commissions qui le composaient. Parvenant difficilement à dépasser des revendications vagues comme l'opposition au système capitaliste, Nuit Debout n'a pas réussi à articuler un projet alternatif cohérent. Or la pensée des Communs possède de son côté la capacité en embrasser un spectre très large, alliant questions sociales, économiques, environnementales, numériques, urbaines, éducatives et plus encore. Le "liant" théorique et idéologique qui a manqué à Nuit Debout aurait pu être trouvé du côté des Communs. Sachant par ailleurs que plusieurs penseurs des Communs, comme Michel Bauwens par exemple ou le duo Dardot et Laval, développent des discours révolutionnaires envisageant des scénarios de convergence sur la base d'alliances renouvelées entre groupes sociaux.</br></br>Y a-t-il eu dès lors convergence réussie ou rendez-vous manqué entre Nuit Debout et les Communs? Comment modifier le discours sur les Communs pour lui donner un impact politique plus explicite et une plus forte capacité de mobilisation lors de mouvements sociaux comme Nuit Debout? Quelles convergences intellectuelles peut-on construire avec certaines figures ayant inspiré ce mouvement (Le comité invisible, Frédéric Lordon, François Ruffin)? Sur quels groupes sociaux peut-on enfin s'appuyer pour enclencher la "révolution des Communs" que certains appellent de leurs voeux?ns" que certains appellent de leurs voeux?)
  • Forces et limites de la démarche pair à pair  + (Intervention de Michel Bauwens au colloqueIntervention de Michel Bauwens au colloque de Cerisy "Vers une République des biens communs ?"</br></br>Extrait : "Je fais l'hypothèse que le capitalisme a changé d'un capitalisme anti-commun qui employait le travail comme commodité pour créer des marchandises vers un capitalisme qui facilite les dynamiques du commun et qui essaye de capter directement la sur-value créée par les communs. Par exemple IBM paye 2000 personnes pour produire Linux mais profite des 25 000 personnes qui sont payées par ses concurrents et des 25% qui ne sont pas payés du tout parce que ce sont des volontaires qui travaillent sur Linux pour améliorer leur propre activité. Pour une firme capitaliste, s'insérer dans une dynamique de commun est donc intéressant. Comme l'a dit Eben Moglen, avocat de Free Software Foundation : "The commons is the wet dream of both communists and capitalists alike". Tout ce qui est gratuit est intéressant pour un capitaliste."tuit est intéressant pour un capitaliste.")
  • Des petites républiques ordonnées autour de Communs. Du Haut Atlas au Massif Central  + (Intervention de Sarah Vanuxem dans le cadrIntervention de Sarah Vanuxem dans le cadre du Colloque "Vers une République des communs ? "</br></br>Les sections de communes désignent des fractions communales ayant la propriété de biens distincts de ceux des communes dont elles font partie. Ces biens de section ou sectionaux peuvent consister en des pâturages, forêts ou champs, en des droits d’usage, par exemple, d’affouage, de pacage, de chasse ou de cueillette. Il peut encore s’agir d’un moulin, d’une fontaine, d’un four à pain, voire de matériel agricole. Une forme de propriété originale, la propriété sectionale est appelée à disparaître suite à l’entrée en vigueur d’une loi du 27 mai 2013 dite de "modernisation du régime des sections de commune". On assiste cependant à l’entrée en résistance de plusieurs communautés de sectionaires pour la défense de leurs biens et de leurs systèmes de gestion collective. A partir de l’étude de quelques unes de ces sections de commune, désormais engagées dans une lutte pour leur survie, nous nous demanderons dans quelle mesure la propriété sectionale pourrait constituer un modèle de "Commun" susceptible de favoriser le retour des "paysans".ible de favoriser le retour des "paysans".)
  • Open Hardware Round table  + (Interview conduite par Michel Bauwens avecInterview conduite par Michel Bauwens avec Joe Justice, Smàri Mc Carthy, Jaromil Rojo, Anna Seravalli et Chris Watkins.</br></br>Cette vidéo et les rushes sont disponibles à http://remixthecommons.org pour permettre la documentation et l'illustration des idées et des pratiques autour des communs.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet http://www.remixthecommons.org/projet/economies-et-communs Economies et communs."conomies-et-communs Economies et communs.")
  • Isabella Lövin – Le pillage des mers : une autre tragédie des communs  + (Isabella Lövin est suédoise, députée du PaIsabella Lövin est suédoise, députée du Parti Vert au Parlement européen. Ex-journaliste, elle est l’auteure du best seller « Silent Sea » en 2007. Elle nous dit ici comment le pillage des mers est un bon exemple de la « tragédie des communs » et montre sa relation avec cette autre tragédie qu’est l’accaparement des terres en Afrique de l’ouest.</br></br>Interview réalisée au Forum Social Mondial de Dakar en février 2011 pour le chapitre «Les communs à l’ordre du jour planétaire» de remixthecommons.org.u jour planétaire» de remixthecommons.org.)
  • Isabella Lövin - Le pillage des mers : une autre tragédie des communs.  + (Isabella Lövin is a Swedish Member of the Isabella Lövin is a Swedish Member of the European Parliament. A member of the Green Party, she is a journalist and author of the best seller « Silent Sea » in 2007. She speaks here about how the pillaging of the sea is an example of the tragedy of the Commons and shows its relationship with land grabbing in West Africa.</br>Interview made at the World Social Forum, Dakar, February 2011, for «The commons on the global agenda» chapter in remixthecommons.org.</br>En français</br>Isabella Lövin est suédoise, députée du Parti Vert au Parlement européen. Ex-journaliste, elle est l'auteure du best seller « Silent Sea » en 2007. Elle nous dit ici comment le pillage des mers est un bon exemple de la « tragédie des communs » et montre sa relation avec cette autre tragédie qu'est l'accaparement des terres en Afrique de l'ouest.</br>Interview réalisée au Forum Social Mondial de Dakar en février 2011 pour le chapitre «Les communs à l'ordre du jour planétaire» de remixthecommons.org.</br>Cameraman : Daniel Torrico</br>Montage/editing : Abeille Tardiel Torrico Montage/editing : Abeille Tard)
  • Fiction et histoire du temps présent- Jawhara, Fille de Prison  + (JAWHARA, petite fille fruit d’un viol dansJAWHARA, petite fille fruit d’un viol dans une prison, a grandi pendant six ans derrière les barreaux, aux côtés de sa mère. Avec son regard innocent, elle observe ce monde carcéral et raconte de sa voix juvénile l’histoire de ses parents, sa mère SAFIA, et son présumé père, SAID qui formaient un jeune couple fougueux, enthousiaste et idéaliste qui s’activait pleinement avec d’autres jeunes, au sein d’une troupe de théâtre, avant d’être incarcérés et de connaître les affres de la torture, de l’humiliation et des conditions de vie inhumaines et laborieuses du milieu carcéral. Sa recherche de la vérité la mène au drame...</br>Saad Chraïbi(Réalisateur),Né le 27 Juillet 1952 à Fès (Maroc). Frère d'Omar Chraïbi, il fait des études de médecine (1968-1970) à la Faculté de médecine de Casablanca. Il passe une année à l'Université de Fancine (France), option: communication. C'est dans le contexte du mouvement marocain pour le cinéma amateur (FNCCM) qu'il débute sa carrière de réalisateur, et fonde, en 1973, le ciné-club " Nadi Al Azaïm" à Casablanca qui va durer jusqu'à 1983. Il est l'un des co-réalisateurs du film collectif Les Cendres du clos / Ramâd al-zariba (1977) tandis qu'il réalise seul plusieurs courts et moyens métrages. Il a publié plusieurs articles de journaux et a surveillé l'animation de plusieurs assemblées et séminaires dans le cadre de l'université. Il s'occupe de réalisation, écriture de scénarios et direction de production.e de scénarios et direction de production.)
  • Bienvenus aux petits déjeuners en commun !  + (Jeudi le 2 février, tôt le matin, quelquesJeudi le 2 février, tôt le matin, quelques quinze têtes ensommeillées se sont mises à penser sur les biens communs. S'agit-il de ce qui n'appartient à personne ou plutôt ce qui appartient à tout le monde ? S'agit-il de biens à protéger ou de biens à créer ? Vers la fin de la séance, le sommeil s'est évaporé à force de boire du kinkeliba mais les interrogations persistent. Ensemble nous avons décidé de nourrir un nouveau regard artistique avec ces doutes, et de remplir nos ventres avec des gâteaux.</br></br>Pour plus des informations: http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article99//www.ker-thiossane.org/spip.php?article99)
  • Les communs à la lumière de Barcelona en Comú  + (L'élection de la liste Barcelona en comù àL'élection de la liste Barcelona en comù à la ville de Barcelone, ainsi que celles de listes sensibles aux communs dans d'autres villes espagnoles, interroge la notion de politique des communs. Pour explorer ce sujet, nous avons souhaité croiser les regards d'une part de Pierre Dardot, l'un des auteurs de Commun, et d'autre part d'Alain Ambrosi, militant des communs et initiateur de Remix the commons. L'entrevue a été réalisée au cours du festival international des biens communs (http://www.festivalbenicomuni.it/festival) de Chieri Italie du 08 au 13 juillet 2015.de Chieri Italie du 08 au 13 juillet 2015.)
  • Charte des Garrigues  + (La Charte des Garrigues (territoire dLa Charte des Garrigues (territoire des garrigues du Gard et de l’Hérault) a été élaborée par l’association des Ecologistes de l’Euzière puis reprise par le Collectif des Garrigues. Elle prend racine dans le projet initié en 2010 qui visait à réaliser le recueil et l’organisation de la connaissance sur la thématique des garrigues et à rassembler les acteurs concernés. La Charte des Garrigues fait suite à un état des lieux et diagnostic partagé nourris par l’Atlas des Garrigues, publié novembre 2013, et le site internet de l’Encyclopédie Vivante des Garrigues (www.wikigarrigue.info) co-construit par plus d’une centaine de contributeurs. Elle trace une feuille de route opérationnelle pour la gestion des garrigues. Elle est constituée de 9 axes structurants, de 47 constats et de 36 orientations. Pour chacune de ces orientations, une fiche décrit le type d’actions qu’elle entraîne (recherche, expérimentation, etc.), les projets actuellement menés sur le territoire en ce sens, la priorisation territoriale et les liens qu’elle a avec d’autres orientations.ATTENTION : Il s’agit ici d’une version de travail qui date de 2013.d’une version de travail qui date de 2013.)
  • Charte de Lampedusa  + (La Charte de Lampedusa est un pacte unissaLa Charte de Lampedusa est un pacte unissant les entités et les personnes qui, en la signant, s’engageant à porter, pratiquer et défendre les principes qu’elle expose, par tout moyen, parole et actes que tout/toute signataire trouvera approprié. Elle est issue d’un processus constituant et de construction d’un droit par le bas quis’est développé durant la rencontre de Lampedusa du 31 janvier au 2 février 2014, après la mort de plus de 600 femmes, hommes et enfants. Les naufrages des 3 et 11octobre 2013 témoignent que les politiques de gestion et de contrôle des migrations font de la Méditerranée un cimetière marin. La Charte de Lampedusa n’est ni une proposition de loi ni une demande adressée aux Etats et aux gouvernements. (extrait du document)t aux gouvernements. (extrait du document))
  • Remunicipalisation: vers une eau publique  + (La vidéo "Remunicipalisation: vers une eauLa vidéo "Remunicipalisation: vers une eau publique" explique comment des villes du monde entier ont repris en gestion publique les services d'eau confiés au privé. Elle explore les réussites et les défis de cette 'remunicipalisation' de l'eau à Paris et à Buenos Aires, puis encourage les citoyens de partout à reprendre le contrôle de l'eau pour que le bien-être des gens passe avant les profits.</br></br>Vous trouverez d'autres études de cas sur la transition de la gestion privée vers le public (Dar es Salaam, Tanzanie; Hamilton, Canada; et une initiative nationale en Malaisie) dans notre livre sur la question qui est téléchargeable gratuitement au https://www.youtube.com/redirect?q=http%3A%2F%2Fwww.municipalservicesproject.org%2Fpublication%2Fremunicipalisation-putting-water-back-public-hands&session_token=nYXQxQsUyE4r3sRCvvWyEiTvCLp8MTM2MzE5NjM5NkAxMzYzMTgxOTk24r3sRCvvWyEiTvCLp8MTM2MzE5NjM5NkAxMzYzMTgxOTk2)
  • Définition des communs selon Myriam Bassi  + (Langue : Nigeria Entrevue réalisée par Alain Ambrosi pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.)
  • Charte de cogestion du FONJEP  + (Le Fonjep (Fonds de coopération de lLe Fonjep (Fonds de coopération de la jeunesse et de l’éducation populaire) est un outil de gestion de fonds publics destinés à renforcer le développement global des projets associatifs. Le Fonjep est « une association dont le fonctionnement est cogéré par les représentant(e)s des membres institutionnels et les représentant(e)s des associations pour permettre la coopération entre les membres institutionnels (État, collectivités territoriales, leurs établissements publics) et les associations et autres organismes privés sans but lucratif concourant à la cohé-sion sociale. (Article 1 des statuts modifi és lors de l’AGE du 10 décembre 2013). La co-gestion permet la construction et la réalisation, en commun, du projet associatif défini et évalué ensemble. Elle intègre également le pilotage et l’administration de l’association Fonjep. La Charte est élaborée en 2016 à travers une démarche participative qui visait de partager un état des lieux et une vision prospective de l’exercice de la cogestion. La méthode de travail utilisée visait a faciliter les échanges pour une coconstruction de ce document entre les associations et l’administration.e les associations et l’administration.)
  • « Jusqu’où tu es chez toi ? » Déjeuner en Commun à Kédougou Sénégal  + (Le 2 mars 2013, Marion Louisgrand et MartaLe 2 mars 2013, Marion Louisgrand et Marta Vallejo de Kër Thiossane, partenaire de Remix the commons, ont organisé à Kédougou au Sénégal, un DEJEUNER EN COMMUN sur le thème de l’En-commun et du “vivre ensemble” autour de la question « Jusqu’où tu es chez toi ? ». Kédougou Kédougou se situe aux frontières du Sénégal, du Mali et de la Guinée. près du Parc national du Niokolo où vivent les derniers éléphants du Sénégal. vivent les derniers éléphants du Sénégal.)
  • Terrain à NE PAS vendre - Community Land Trust à Bruxelles  + (Le Community Land Trust consiste à séparerLe Community Land Trust consiste à séparer la propriété du sol et du bâti pour permettre à des familles à faibles revenus de devenir propriétaire de leur logement. Il participe à la régularisation du marché immobilier et lutte contre la gentrification des villes. Sa philosophie est d’amener les participants à devenir des acteurs de leur ville à travers une démarche solidaire, participative et formatrice. </br></br>Le projet « Arc-en-Ciel » est le fruit d'une collaboration entre le Community Land Trust bruxellois, le Fonds du Logement bruxellois et les associations Convivence, la Maison de Quartier Bonnevie et le CIRE. Grâce à cette initiative 32 familles deviendront propriétaires des logements qui seront construits sur un terrain à Molenbeek. Elles participent déjà à la réalisation de leur projet à travers des ateliers divers. Ce film reprend les premières étapes de cette merveilleuse aventure ! </br></br>Musique: « Warming Sun» de David Ohana et « Playtime in Paradise » de Jonathan Elias et Mike Fraumeni unippm.be ; </br></br>Aussi disponible en anglais : </br>* https://vimeo.com/86315121</br>* https://www.youtube.com/watch?v=HIJ9uhduSBI</br></br>Ce film a été réalisé avec le soutien du Le Ministère de la Région Bruxelles-Capitale et de La Fédération Wallonie-Bruxelles – Service Éducation Permanentee-Bruxelles – Service Éducation Permanente)
  • Entrevues au Forum Social Mondial à Belem 2009  + (Le Forum Social Mondial organisé à Belem a acueilli différents mouvements et expériences qui se sont réunis pour la construction d’alliances et d’une réflexion stratégique des mouvements sociaux. Les entrevues ont été récoltées dans des fichiers video.)
  • La doctrine FLOK - Sommet  + (Le Monde Diplomatique: "Le néolibéralisme Le Monde Diplomatique: "Le néolibéralisme a mis en œuvre la doctrine du choc pendant des décennies, profitant des situations de catastrophe pour imposer le système capitaliste. A partir de maintenant, le monde disposera d'une recette équatorienne pour changer de matrice pour surmonter la crise économique mondiale : la doctrine FLOK "</br></br>Plus d'information : </br>* Plan de recherche : http://en.wiki.floksociety.org/w/Research_Plan (En)</br></br>Proposed General Structure of the Policy documents http://en.wiki.floksociety.org/w/Proposed_General_Structure_of_the_Policy_Documents (En)</br>*Déclaration de Quito Buen Conocer http://bit.ly/1mYVVYb (Es)</br>*Wiki Main Page http://en.wiki.floksociety.org/w/Main_Page (En)</br></br>Interviews : </br>* R. Poynder's interview of M.Bauwens - FLOK Society : Working for a phase transition to an open commons-based knowledge society: Interview with Michel Bauwens. http://bit.ly/1nSqGPt (En)</br>* Ecuador referente del conocimiento comun y abierto : http://www.pressenza.com/es/2014/04/ecuador-referente-del-conocimiento-comun-y-abierto (Es)</br>Press release : http://pt.slideshare.net/floksociety/press-release-cumbre>http://pt.slideshare.net/floksociety/press-release-cumbreideshare.net/floksociety/press-release-cumbre)
  • Ô Saint-Laurent : une histoire d’eau et d’appartenance  + (Le court-métrage « Ô Saint-Laurent : une Le court-métrage « Ô Saint-Laurent : une histoire d’eau et d’appartenance », réalisé dans le cadre du projet Remix biens communs, donne la parole à une dizaine d’intervenants-tes montréalais qui oeuvrent à protéger les cours d’eau entourant la métropole et ses environs et à en favoriser l’accès pour les citoyens-nes.</br></br>Bâtie sur une île, la Ville de Montréal a au cours de son histoire entretenu des liens étroits avec l’eau. Toutefois, les processus d’urbanisation et d’industrialisation qu’a connus la métropole au cours du dernier siècle ont graduellement contribué à éloigner la population de cette ressource primordiale.</br></br>C’est dans un désir de réappropriation de l’eau en tant que bien commun que Communautique a rassemblé plusieurs acteurs-trices montréalais-es de la préservation et de la valorisation de cette précieuse ressource naturelle lors d’un Déjeuner des communs à l’automne 2012. Au cœur de cette rencontre dominait une question aux multiples réponses : Comment pouvons-nous nous réapproprier le fleuve Saint-Laurent comme bien commun ?</br></br>Que ce soit par l’imaginaire d’une eau urbaine traversant la ville pour l’écrivain Lamberto Tassinari, par l’engagement citoyen pour la Fondation Rivières et ses représentants Roy Dupuis et Alain Saladzius, ou par l’éducation et l’apprentissage que prône le capitaine Simon Paquin sur son navire-école ÉcoMaris, « Ô Saint-Laurent : une histoire d’eau et d’appartenance » propose non seulement une réflexion sur l’eau en tant que bien commun, mais des pistes de solutions pour envisager son appropriation collective.</br></br>Mots-clés: apprentissage, communauté, eau Mots-clés: apprentissage, communauté, eau)
  • Michel Bauwens : «Vers une économie post-capitaliste»  + (Le peer-to-peer, ce modèle de partage de fLe peer-to-peer, ce modèle de partage de fichiers informatiques, peut-il constituer une alternative au capitalisme ? Pour le théoricien belge Michel Bauwens, la production entre pairs et produsers, contraction de «producer» et de «user», ouvre des pistes pour une transition économique et sociale radicale.transition économique et sociale radicale.)
  • La science au secours de la démocratie - Le mouvement des biens communs  + (Le premier Forum Mondial Sciences et DémocLe premier Forum Mondial Sciences et Démocratie s'est tenu à Bélem en janvier 2009 à l'invitation du 9ème Forum Social Mondial. Plus de 300 chercheurs et activistes de mouvements sociaux et d'ONG venant de quatre continents ont participé à cette grande première au moment même où la planète était secouée par la conjugaison des crises alimentaire, économique et environnementale. Tenir cette rencontre au coeur de l'amazonie brésilienne prenait toute sa signification.</br></br>Ce video est un extrait d'un livre-film publié par http://cfeditions.com/belem2009publié par http://cfeditions.com/belem2009)
  • Science et démocratie : La science autrement  + (Le premier Forum Mondial Sciences et DémocLe premier Forum Mondial Sciences et Démocratie s'est tenu à Bélem en janvier 2009 à l'invitation du 9ème Forum Social Mondial. Plus de 300 chercheurs et activistes de mouvements sociaux et d'ONG venant de quatre continents ont participé à cette grande première au moment même où la planète était secouée par la conjugaison des crises alimentaire, économique et environnementale. Tenir cette rencontre au coeur de l'Amazonie brésilienne prenait toute sa signification.</br></br>Ce video est un extrait d'un livre-film publié par cfeditions.com/belem2009</br></br>Réalisation AMBROSI Alain, Image et montage Abeille Tard, en partenariat avec Cinbiose et Alternatives partenariat avec Cinbiose et Alternatives)
  • 19.03 Préparation FSMET BArcelone 2020  + (Les 4, 5, 6 et 7 avril prochains aura lieuLes 4, 5, 6 et 7 avril prochains aura lieu une réunion des principaux réseaux mobilisés pour l'organisation du forum social mondial des économies transsformatrices qui se déroulera à Barcelone en mai 2020. Ce Forum est structuré en 4 axes dont un porte sur les communs. Remix the commons sera parmi les 500 participants attendus. Nous vous proposons de consacrer '''l'appel en commun d'Avril 2019''' à échanger sur les attentes des commoners francophones, nos modalités possibles de préparation pour la rencontre 2019 et surtout 2020 et les enjeux de ce forum.et surtout 2020 et les enjeux de ce forum.)
  • Jeu Cartes en commun  + (Les Cartes en Commun est un jeu de collaboLes Cartes en Commun est un jeu de collaboration politique où les joueurs (2 à 5) travaillent à mobiliser la société civile pour défendre les libertés citoyennes et les biens communs. Réussirez-vous à faire fleurir les communs ou laisserez-vous les intérêts privés s'emparer de tout ?</br></br>Plus de 50 participants ont collaboré à produire plus de 250 cartes sur le thème des Communs pendant le Forum Social Mondial 2016. Une sélection de ces cartes constitue la première version de ce jeu dont nous sommes particulièrement fiers.u dont nous sommes particulièrement fiers.)
  • Le rôle des médias sociaux dans la révolution du 25 janvier en Egypte  + (Mahmoud El-Adawy est coordonnateur de l'information au Development Support Center (DSC) à Dokki, Giza en Egypte. Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour remixthecommons.org à Dakar le 10 février 2011 lors du Forum Social Mondial.)
  • Entrevues au Forum Social Mondial à Dakar 2011  + (Organisé à Dakar en 2011, le Forum social Organisé à Dakar en 2011, le Forum social mondial a été un lieu de rencontre entre les différents mouvements pour explorer les questions des biens communs et de la construction d'alternatives sociales. Les interventions ont été racontées dans des documents vidéo contenant des définitions des biens communs et des réflexions sur les biens communs et les mouvements sociaux.s biens communs et les mouvements sociaux.)
  • Pablo Solon: Les défis de la société civile face à Rio+20.  + (Pablo Solon, ambassadeur de Bolivie à l'ONPablo Solon, ambassadeur de Bolivie à l'ONU, parle des thématiques et des défis qui seront en jeu lors des conférences sur l'environnement de Durban et Rio+20. Entrevue réalisé à Dakar au cours du Forum Social Mondial 2011 pour le chapitre «Les communs à l'ordre du jour planétaire» de remixthecommons.orgdu jour planétaire» de remixthecommons.org)
  • Pablo Solon: Les défis de la société civile face à Rio+20  + (Pablo Solon, ambassadeur de Bolivie à l’ONPablo Solon, ambassadeur de Bolivie à l’ONU, parle des thématiques et des défis qui seront en jeu lors des conférences sur l’environnement de Durban et Rio+20. Entrevue réalisé à Dakar au cours du Forum Social Mondial 2011 pour le chapitre «Les communs à l’ordre du jour planétaire» de remixthecommons.orgdu jour planétaire» de remixthecommons.org)
  • Pat Mooney: Rio +20, les principaux champs de bataille en émergence  + (Pat Mooney, directeur executif du ETC GrouPat Mooney, directeur executif du ETC Groupe, analyse les principales menaces qui pèsent sur les négociations su rle développement qui auront lieu lors de Rio+20 en 2012 au Brésil et les contre-propositions que la société civile et ses alliés pourraient avancer. </br></br>Entrevue réalisé à Dakar au cours du Forum Social Mondial 2011 pour pour le chapitre « Les communs à l’ordre du jour planétaire » de remixthecommons.org</br></br>Mots-clés: biodiversité, sciences et démocratie,</br></br>*Interview: Hervé le Crosnier</br>*Camera : Daniel Torrico</br>*Montage/editing : Abeille Tardel Torrico *Montage/editing : Abeille Tard)
  • Pat Mooney: Rio +20, les principaux champs de bataille en émergence.  + (Pat Mooney, directeur executif du ETC GrouPat Mooney, directeur executif du ETC Groupe, analyse les principales menaces qui pèsent sur la conférence de Rio en 2012 et présente les contre-propositions que la société civile et ses alliés pourraient avancer. </br></br>Entrevue réalisé à Dakar au cours du Forum Social Mondial 2011 pour pour le chapitre « Les communs à l'ordre du jour planétaire » de remixthecommons.orgu jour planétaire » de remixthecommons.org)
  • Re-Imagine The Future  + (Pour surmonter les crises de notre temps, Pour surmonter les crises de notre temps, il est urgent d'adopter de nouvelles façons de penser, d'agir et d'être, un nouveau récit commun. Ce film est dédié à Burns H Weston, militant infatigable pour un monde meilleur. </br></br>Pour plus d'informations voir http://www.bollier.org/reimagine et http://www.gnhre.org/reimagine .magine et http://www.gnhre.org/reimagine .)
  • Connecter les communs informationnels  + (Présentation de Yves Otis au colloque sur Présentation de Yves Otis au colloque sur le Web sémantique du congrès de l'ACFAS 2016, à l'UQÀM. À la faveur d’une initiative en cours visant l’élaboration d’un atlas des chartes des communs urbains et en liaison avec des groupes de recherches sur les Communs, nous nous sommes donnés le défi de chercher à tisser des liens entre ces corpus. Nous explorons comment les outils du web sémantique peuvent amplifier la portée et soutenir la communication des connaissances qui émergent des différentes mouvances associées au champ des Communs...* Lire la suite: http://tlmv.ca/WebSemantiQc5* Yves Otis: http://tlmv.ca/yvesotis* Le colloque: http://tlmv.ca/WebSemantiQcCe colloque était une initiative de Michel Héon (http://www.cotechnoe.com/) et Josée Plamondon (http://joseeplamondon.com). La captation vidéo, produite et réalisée par Christian Aubry (http://christian.aubry.org) est publiée sous licence Creative Commons BY et librement réutilisable sous réserve que ses auteurs (conférencier + vidéaste) soient clairement identifiés. + vidéaste) soient clairement identifiés.)
  • La science au secours de la démocratie l'innovation collaborative : les biens communs  + (Présentation des enjeux des biens communs Présentation des enjeux des biens communs de la connaissance dans le cadre de l'atelier Commons knowledge du Forum Mondial Sciences et Démocratie 2009 à Belem au Brésil.</br>Le premier Forum Mondial Sciences et Démocratie s'est tenu à Bélem en janvier 2009 à l'invitation du 9ème Forum Social Mondial. Plus de 300 chercheurs et activistes de mouvements sociaux et d'ONG venant de quatre continents ont participé à cette grande première au moment même où la planète était secouée par la conjugaison des crises alimentaire, économique et environnementale. Tenir cette rencontre au coeur de l'amazonie brésilienne prenait toute sa signification.</br></br>Ce video est un extrait d'un livre-film publié par cfeditions.com</br></br>En partenariat avec Cinbiose, Alternatives, </br></br>Avec le soutien de l'Organisation Internationale de la Francophonie</br></br>Les biens communs/The Commons/El Procomun (I) 3'58" from AMBROSI Alain on Vimeo. http://vimeo.com/user1862250ain on Vimeo. http://vimeo.com/user1862250)
  • Federation Regionale des MJC en Ile-de-France Rapport Annuel 2013  + (Rapport Annuel 2013)
  • Définir le Bien Commun II  + (Remix de 3mn réalisé pour le projet Remix Remix de 3mn réalisé pour le projet Remix the Commons à partir d'entrevues réalisées à Berlin les 1-2 novembre 2010 lors de la Conference Internationale sur le Bien Commun.L'usage du multilinguisme reflète la dimension interculturelle du projet Remix Biens Communs.Ce document utilise les vidéos de la Definir les Communs*Définir le Bien Commun: HELFRICH Silke à Berlín*Définir le Bien Commun: Michel Bauwens à Berlín*Définir le Bien Commun: Beatriz Busanich à Berlín*Définir le Bien Commun: David Bollier à Berlín*Définir le Bien Commun: Alberto Acosta à Berlin*Définir le Bien Commun: julio Lambing à Berlin*Définir le Bien Commun: Valérie Peugeot à Berlin*Définir le Bien Commun:Massimo Banzi à Berlin*Définir le Bien Commun: non identifiée*Définir le Bien Commun: Mazibuko Jara à Berlin*Définir le Bien Commun: Kirsten Grover à Berlin*Définir le Bien Commun: Roberto Verzola à Berlin*Définir le Bien Commun: Miguel Veira à Berlin*Définir le Bien Commun: non identifiée*Définir le Bien Commun: Gaell Krikorian à Berlin*Définir le Bien Commun: Jai Sen à Berlin*Définir le Bien Commun: Rosa Acevedo à Berlin*Définir le Bien Commun: Hervé Le Crosnier à Berlin*Définir le Bien Commun: Barbara Unmüssig à Berlin*Définir le Bien Commun: Pat Mooney à Berlin*Penser les Communs: Maria Fernanda Espinosa à Berlin*Définir le Bien Commun: Phlippe Aigrain à Berlin*Définir le Bien Commun: Imma Harms à Berlin*Définir le Bien Commun: SULTAN Frédéric à Berlin*Penser les Communs: HELFRICH Silke à Berlínenser les Communs: HELFRICH Silke à Berlín)
  • Peer to peer et salaire à vie, quelles convergences possibles pour un nouveau paradigme économique ?  + (Rencontre entre Bernard Friot et Michel Bauwens visant à mettre en convergence leurs approches respectives du modèle économique post-capitaliste.)
  • Réalisation Les communs dans l’espace politique  + (Réalisation d'une série d'entrevues et d'un montage pour questionner l'entrée des communs en politique à l'occasion du Forum social mondial 2016 à Montréal.)
  • Remuer la terre, c’est remuer les consciences  + (Réalisé par Eric Oriot, « Remuer la terre,Réalisé par Eric Oriot, « Remuer la terre, c’est remuer les consciences » est un documentaire tourné pendant les Ateliers d’été de l’agriculture urbaine et de la biodiversité organisé par Natureparif du 30 juin au 2 juillet 2014 à Paris (France). A travers les témoignages recueillis lors de cette manifestation, ce documentaire explore les fondements et es conséquences du retour de l'agriculture dans la ville, aussi bien que les défis et les valeurs partagées par les chercheurs, militants associatifs, naturalistes, élus, activistes et habitants.turalistes, élus, activistes et habitants.)
  • Commons Space  + (Série d'entrevues pour questionner l'entrée des communs en politique réalisée à l'occasion du Forum social mondial 2016 à Montréal.)
  • Charte des maîtres d'ouvrage d'utilité publique en Suisse  + (This document concerns all the citizens ofThis document concerns all the citizens of Switzerland. It is a charter that introduces the concept of community shared housing (or co-housing) in order for people to move away from acquiring housing through the market. It was written in January 2013 and is still in effect today.January 2013 and is still in effect today.)
  • Charte de réseau MJC en Ile-de-France  + (This document is a charter written for theThis document is a charter written for the youth and its families in the Grand Paris metropolis, France. The charter proposes more young students (and their families) to participate, decide and engage in cultural activities within youth centers like Les Hauts de Belleville. It was written 2013 and is still in effect today.written 2013 and is still in effect today.)
  • Les Hauts de Belleville  + (This document is written by the associatioThis document is written by the association affiliated with Les Hauts de Belleville in Paris, France. It is an overall summary of all the associations' ambitions and activities to integrate younger children and younger workers in discussions about worker rules and democratic politics. The document was written in 2013 and is still in effect today.tten in 2013 and is still in effect today.)
  • Proposition d'amendements Commission Rodotà  + (This document is written for all commons-bThis document is written for all commons-based projects that are happening in cities all around Italy. It is a proposal to all Italian citizens to pursue legal rights (in conjunction with Italian municipalities) to common based resources and municipal decision-making processes. It was written in 2013 and is in effect today.as written in 2013 and is in effect today.)
  • Maison Régionale de l'Environnement et des Solidarités STATUTS  + (This document was written by the Maison RéThis document was written by the Maison Régionale de l'Environnement et des Solidarités for Lille, France. It explains the statutes that allow residents to claim legal rights to certain municipal initiatives in Lille. It was written in 2013 and is in effect today.as written in 2013 and is in effect today.)
  • European Charter of the Commons  + (This document was written for the InternatThis document was written for the International City Conference taking place in Brussels, Belgium. However, it is a charter that concerns all European cities to adopt charters for urban residents across Europe, and it was a charter used to foster discussions within the European Union. It was written in 2013 and is still in effect today.tten in 2013 and is still in effect today.)
  • Internet bien commun, une utopie nécessaire à notre imaginaire collectif  + (Un Déjeuner autour de l'Internet comme bieUn Déjeuner autour de l'Internet comme bien commun, qui réunissait une vingtaine d'intervenantes et d'intervenants le 4 avril 2013 au Monument National à Montréal, afin de travailler ensemble à identifier les pistes et les actions qui permettraient de nous doter et de gérer cette infrastructure citoyenne ouverte, accessible, démocratique. Un bien commun porteur de vitalité sociale, économique et culturelle pour contribuer ensemble à l'actualisation d'une vision pour un Québec branché sur le monde.ision pour un Québec branché sur le monde.)
  • Nouvelle Colonisation  + (Un clip de l'album Ma quête vol.2 (juillet 2013) qui présente le phénomène d'accaparement des terres (land grabing))