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De Remix Biens Communs
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D
"Les communs c'est un mode d'être et de vivre ensemble, de faire ensemble et de devenir ensemble. Et pour faire tout ça et dans tout ça chaque individualité, chaque personne, chaque être humain fait ça en étant partie de quelque chose, en prenant part à quelque chose et en partageant quelque chose".  +
ALBERTO ACOSTA (ÉQUATEUR). Entrevue filmée au cours de la conférence de Berlin 2010.  +
Définition des communs en français et quechua.  +
auto definido, necessitamos, somos y hacemos  +
Ressources, communauté et faisceau de droits "Un commun c'est trois choses: c'est une ressource, qui peut être matérielle ou immatérielle c'est pas le problème; et c'est – surtout c'est ça qui est important – c'est autour de cette ressource un système de relations sociales et de droits de propriété sur cette ressource (qui sont des droits d'usage, des droits d'aliénation, des droits d'exploitation, des droits de management); et troisièmement un mode de gouvernance de cette ressource qui détermine les droits d'accès, les droits d'usage etc. Donc voilà un commun c'est au carrefour de ces trois choses: c'est une relation sociale entre individus ou groupes autour d'une ressource et un système de gouvernance qui permet la reproduction et le développement de cette ressource".  +
Alternative aux relations marchandes, reclaiming souverainity, ethical way of life , spiritual way of life,  +
Une définition des communs proposée par David Bollier, USA, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs". "I think the commons ultimately comes down to acknowledging the complexities and paradoxes of the human condition and embracing that while still moving forward in hopeful constructive ways. And this is really a source of “enlivenment” as Andrea Weber said – which is I think the main spring for... why people want to become commoners."  +
Erich Berger (Austria/Finland) http://youtu.be/BW8CIZAjgD8 60.185461, 25.077360  +
Une définition des communs proposée par Friederike Habermann, Germany, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs". "Maybe just let me mention the principles I see in what I would call “ecomony”: it is first that it is not ownership that matters but it is possession – so this is not only exactly what is using but possession it means that it is needed or used by somebody – you have this with commons as land (this is how we live in my project) but you have this with things that you can give away when they are not in your possession anymore, or you can share infrastructures for example. So this is one principle. The next principle is "share what you can": so again what you don't need you can give but you can also share your knowledge, your skills. And this goesin to the next principle which is contributing in a set of shared logic. That is that you act by intrinsic motivation and not by extrinsic rewards. And this is how commons-based and commons-producing economies come together."  +
GAELLE KRIKORIAN (FRANCE). Entrevue filmée au cours de la conférence de Berlin 2010. "Moi ça m'intéresse qu'on donne une définition des communs qui ne soit pas forcément la définition la plus intelligente ou intellectuelle qui soit mais qui soit une définition qui va permettre aux gens de se sentir concernés par ce truc-là et qui va avoir une efficacité politique. Au jour d'aujourd'hui, voilà: j'ai pas la réponse toute faite."  +
Une définition des communs proposée par Gaelle Krikorian, France, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs". "Un commun c'est une ressource gérée par une communauté avec des règles de gouvernance mais ce qui de plus en plus me pose question par rapport aux communs c'est au-delà de la frontière du commun c'est à dire la relation entre le commun et l'extérieur c'est-à-dire comment faire pour que le commun ça devienne pas un club fermé... avec ses règles pas sympathiques."  +
Une définition des communs proposée par Georges Pór, United Kingdom, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".  +
Une définition des communs proposée par Guillaume Coulombe, Québec (Canada), tirée d'un entretien réalisé par un collectif montréalais, à la suite de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui s'est déroulée à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".  +
Une définition des communs proposée par Gwendolyn Hallsmith, USA, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".  +
Une définition des communs proposée par Heike Löschmann, Germany, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs". "For me the commons is doing it ourselves; democratizing."  +
"Les communs c'est avant tout une ressource partagée qui pourrait être victime d'enclosure."  +
Responsabilité des communs, Accès aux Communs, propriété collective  +
Markus Schmidt (Austria) https://vimeo.com/99524592 48.222495, 16.366975  +
Accès à la ressource Langue : italien  +
Gouvernance, Communs vs Public, Communs vs Privé Reconnaître le commun et ré-agencer le rôle du marché et de l'état par rapport au commun. Reconnaîssance du commun  +
"Basically for me the commons is leading your life and always thinking about how all other beings can benefit from it; so not only humanity but actually all living beings. So just yes it has to nourish yourself, but to do it in such a way that it also nourishes and spreads the benefits to more and more people. As opposed to the way it is supposed to work in our system which is simply as a question “how does it benefit me?”, and just hoping that somehow, indirectly, others may benefit from our selfishness. So I think we have to more directly pose the necessity and idea of everything we do has to create value for all living beings".  +
Agir communautaire, gestion soutenable, Langues : amazir  +
Définir les communs, Héritage commun, Préservation, Identité  +
Langue : WOLOF Définir les communs, Héritage commun, Préservation, Identité,  +
Langue : Nigeria Entrevue réalisée par Alain Ambrosi pour le projet Remix the Commons à Dakar en février 2011 lors du Forum mondial sciences et démocratie.  +
Une définition des communs proposée par Philippe Aigrain, de La Quadrature du Net, tirée d'un entretien réalisé par Alain Ambrosi, lors de la Conférence Internationale sur les communs qui se déroulait à Berlin en 2010.  +
Une définition des communs proposée par Philippe Aigrain, de La Quadrature du Net, tirée d'un entretien réalisé par SULTAN Frédéric, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. "Quand j'ai commencé à vraiment écrire sur les communs, c'est-à-dire à partir de l'an 2000, je pensais que les... si j'appelais ça les communs, personne ne comprendrait – dans l'univers francophone ou dans l'univers latino-phone en général. Et donc j'ai utilisé l'expression biens communs, et d'ailleurs je suis pas le seul: les latino-américains c'est bienes comunes (bien qu'ils aient l'expression procomun qui pourrait vouloir dire les communs et qui était plus utilisée que les communs en français); même chose en italien ou c'est bieni communi. Donc euh aujourd'hui je crois si je le refaisais, je parlerais directement des communs. Les communs, je pense qu'il est quand même très important de pas oublier qu'il y a quelque chose qui est extérieur aux humains dans les communs et qu'on gère à travers un statut de communs: ça peut être une ressource naturelle, ça peut être des logiciels, de l'information, des plantes euh... les humains peuvent se sentir partie de ce qu'ils gèrent – par exemple s'ils sont dans une philosophie comme c'est mon cas de penser que les humains ne sont qu'un des produits de l'évolution biologique et que quand on gère des ressources naturelles on est situés dans un ensemble qui nous dépasse – mais néanmoins si on parle de communs – et c'est des êtres humains qui ont décidé de parler de communs – c'est parce qu'ils parlaient de quelque chose qui fait l'objet de leurs activités mais qui est extérieur à eux et qu'il y a une ressource que l'on met sous un statut de communs. Et ils ont pas choisi de mettre tout sous un statut de communs, même dans l'histoire traditionnelle. Même les communautés villageoises qui avaient des maisons communes y compris la... pas seulement une maison commune avec des maisons privées mais une maison commune où tout le monde habitait, eh bien à l'intérieur il y avait des parties réservées aux familles – mais évidemment le sens du mot famille était beaucoup plus large que chez nous. Donc en fait on n'a jamais donné à tout un régime de commun. Donc maintenant je peux passer à la définition. Donc pour moi les communs c'est l'ensemble de ces ressources auxquelles on donne un statut qui n'est pas un statut de propriété, hein; même pas un statut de propriété commune; mais qui est un statut qui prend de façon paradoxale les attributs de la propriété. Je vais expliquer rapidement quoi: il y a trois attributs classiques dans le droit canon de la propriété c'est l'usus - la possibilité d'utiliser une chose; le frustus - la possibilité de la faire fructifier soit en l'enrichissant, soit en en tirant profit; et l'abusis qui est la possibilité de priver quelqu'un d'autre de son usage hein, de dire... de le rendre privé. Ça veut dire que je pense que la propriété c'est très important, en particulier qu'il y ait une sphère qui soit une sphère de l'individu, de la famille, du groupe qui soit pas envahissable n'importe comment – et ça les droits fondamentaux le reconnaissent. Mais les communs ils disent: OK, on va donner à tous un droit d'usage, éventuellement réglementé si c'est des biens usables, abîmables ou exhaustibles, enfin qui peuvent se... épuisables; euh on va donner également un droit à tous d'enrichir et de tirer profit des communs – éventuellement en donnant des règles sur comment on redistribue les bénéfices qui en résultent – comme par exemple les alpages: les gens qui tireront profit des alpages les redistribuent à l'ensemble de la communauté etc. Mais on va donner à personne le droit – au moins à personne dans la communauté concernée – le droit d'exclure les autres. Donc ça c'est la définition au sens des registres de la propriété de ce que sont les biens communs. Et après les communs c'est ça plus toutes les pratiques de gouvernance, de prise de décision, d'analyse des problèmes et de construction de relations humaines qui entourent les biens communs, voilà".  
Définition des biens communs par Roberto Verzola à l'occasion de la International Commons Conference à Berlin les 1er et 2 novembre 2010. Langue :tagalog  +
Langue complémentaire : Wolof  +
A definition of the "Commons" proposed by Ugo Mattei, from ABC Napoli, taken from an interview conducted by AMBROSI Alain, at the Economics and the Commons Conference which took place in Berlin from 22 to 24 May 2013. "The commons is about equality, democracy and caring for future generations."  +
Une définition des communs proposée par Yves Otis, de percolab, réalisée dans le cadre de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.  +
Le 19 avril 2012 Communautique a organisé un « déjeuner des communs » avec des acteurs locaux pour échanger sur leur projets respectifs et explorer ensemble leur désirs collectifs d'animer le Québec dans le mouvement des biens communs. (à Montréal, Canada) Cette vidéo est réalisée dans le cadre du projet remixbienscommuns , oeuvre collaborative multimédia en ligne qui propose des "Itinéraires en Biens Communs (http://wiki.remixthecommons.org/index.php/Itin%C3%A9raires_en_Biens_Communs)" pour découvrir et enrichir le mouvement mondial des Communs.  +
Initiés par Communautique, les Déjeuners des communs sont des espaces de discussions collaboratives favorisant le développement et l'appropriation des biens communs entre créateurs-trices, utilisateurs-trices et activistes. Partagées sous forme multimédia, ces rencontres ont pour objectifs d'influencer la perception du public ainsi que les politiques en faveur des biens communs et de favoriser la création d'un mouvement provincial et international des biens communs.  +
Le 19 avril 2012 Communautique a organisé un « déjeuner des communs » avec des acteurs locaux pour échanger sur leur projets respectifs et explorer ensemble leur désirs collectifs d’animer le Québec dans le mouvement des biens communs. (à Montréal, Canada) Cette vidéo est réalisée dans le cadre du projet remixbienscommuns , oeuvre collaborative multimédia en ligne qui propose des « Itinéraires en Biens Communs » pour découvrir et enrichir le mouvement mondial des Communs. http://www.remixthecommons.org/?fiche=dejeuner-de-communs-a-montreal  +
Le 28 mars 2022, le conseil municipal de Grenoble a délibéré et validé les principes d’une politique de démocratie plus contributive en s’appuyant sur la notion des communs, de la coopération et des exemples italiens des pactes de collaboration.  +
Témoignage audiophonique de Delphine Glachant, Psychiatre, membre du Collectif Printemps de la Psychiatrie et Présidente de l’Union Syndicale de la Psychiatrie (USP), à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.  +
Captation live de la Conférence-manifeste sur le thème "Demain, l'art sera libre et généreux !" qui a eu lieu samedi 15 juin 2013 au Forum des images, dans le cadre du MashUp Film Festival 2013 (3ème édition). Une suite de rencontres, débats, projections, performances... animée par Xavier de La Porte, producteur à France Culture, divisée en deux parties. 1ère partie Entre galère financière et formatage par le Marché, l’avenir de la création n’est pas forcément rose. Des raisons d’être optimiste ? Écoutons les artistes eux-mêmes ! Avec Emilie Brout & Maxime Marion, Olivier Cadiot, Caroline Delieutraz, Stéphane Elmadjian, André Gunthert, Luc Lagier, Julien Lahmi, Grégoire Pauly, Vincent Pompignoli, Antoine Moreau, Systaime (Michaël Borras)… 2ème partie : demain on partage tout Partage, coopération, intelligence collective : ce qui s’invente aujourd’hui peut changer le monde ! Avec Calimaq (Lionel Maurel), Olivier Cadiot, Caroline Delieutraz, Pierre Giner, André Gunthert, Kino, Xavier de La Porte, Systaime (Michaël Borras)...  +
Captation live de la Conférence-manifeste sur le thème "Demain, l'art sera libre et généreux !" qui a eu lieu samedi 15 juin 2013 au Forum des images, dans le cadre du MashUp Film Festival 2013 (3ème édition). Une suite de rencontres, débats, projections, performances... animée par Xavier de La Porte, producteur à France Culture, divisée en deux parties : 1ère partie Entre galère financière et formatage par le Marché, l’avenir de la création n’est pas forcément rose. Des raisons d’être optimiste ? Écoutons les artistes eux-mêmes ! Avec Emilie Brout & Maxime Marion, Olivier Cadiot, Caroline Delieutraz, Stéphane Elmadjian, André Gunthert, Luc Lagier, Julien Lahmi, Grégoire Pauly, Vincent Pompignoli, Antoine Moreau, Systaime (Michaël Borras)… 2ème partie : demain on partage tout Partage, coopération, intelligence collective : ce qui s’invente aujourd’hui peut changer le monde ! Avec Calimaq (Lionel Maurel), Olivier Cadiot, Caroline Delieutraz, Pierre Giner, André Gunthert, Kino, Xavier de La Porte, Systaime (Michaël Borras)...  +
DEMlab BCN: laboratoire de démocratie À l'improbable « innovation » productiviste que propose la classe politique -toutes idéologies confondues- comme sortie de crise, la jeunesse espagnole oppose une innovation sociale majeure de rupture avec le capitalisme. Si le chemin à suivre est encore incertain, son point de départ est clair : il passe par une rénovation radicale de la démocratie 'réelle', celle de l'utilitarisme érigé en système, la démocratie de l'argent et de la corruption, de l'exclusion sociale, de la destruction de l'environnement et des solutions vertes, roses, sécuritaires ou magiques mais toutes d'abord technologiques pour sortir de tout ça et continuer « as usual », en toute « sécurité ». Ces jeunes ont une toute autre lecture du monde et de la véritable crise de civilisation qu'il traverse. Et, sans doute surpris de la réponse massive et intergénérationnelle à leur appel, ils ont maintenant à écrire une nouvelle page d'histoire. Rien de moins. Mais ils ont un atout majeur: libres de toute attache, ils ont fait la preuve de leur capacité d'initiative et d'innovation et le désir de créer est là. Et vous, toi, moi, nous, où en sommes nous? AMBROSI Alain : Impressions glanées sur mon cellulaire Plaza de Catalunya de Barcelone du 16 au 20 mi 2011 et montées par Daniel Torrico.  +
This document shows the community discussion taking place in the territory of Denny and Dunipace, in Falkirk. The discussion took place on May 1st, 2017 and hosted a total number of 60 attendees. Themes in the discussions included lack of economic benefits, jobs, energy security, government income, public and environmental health risks, ineffective regulation, geological risks, community impacts, and corporate power. The overall result of these discussions was a refusal for a social license for the unconventional oil and gas industry to operate within the community council area.  +
Le Documentaire présente les differents Axes de projet: “Des Approches Citoyennes pour la réconciliation et la conservation de la mémoire dans la ville de khemisset, Maroc.  +
L’eau est une ressource rare, même en Europe. Depuis le Moyen-âge, à Briançon, dans les Alpes sèches, les hommes ont mis en place des canaux d’irrigation gravitaire qui ont permis une agriculture et donc une civilisation. Mais ce savoir faire ancien et fragile risque de disparaître. Une poignée d’hommes passionnés cherche à sauvegarder ce patrimoine face à l’urbanisation et aux ouvrages hydrographiques artificiels. Ils sont organisés en Association Syndicale Autorisée, héritières des Chartes des escartons, qui entretiennent et gèrent les canaux.  +
Exploration à deux voix de la construction de droit(s) basé(s) sur les communs  +
Intervention de Sarah Vanuxem dans le cadre du Colloque "Vers une République des communs ? " Les sections de communes désignent des fractions communales ayant la propriété de biens distincts de ceux des communes dont elles font partie. Ces biens de section ou sectionaux peuvent consister en des pâturages, forêts ou champs, en des droits d’usage, par exemple, d’affouage, de pacage, de chasse ou de cueillette. Il peut encore s’agir d’un moulin, d’une fontaine, d’un four à pain, voire de matériel agricole. Une forme de propriété originale, la propriété sectionale est appelée à disparaître suite à l’entrée en vigueur d’une loi du 27 mai 2013 dite de "modernisation du régime des sections de commune". On assiste cependant à l’entrée en résistance de plusieurs communautés de sectionaires pour la défense de leurs biens et de leurs systèmes de gestion collective. A partir de l’étude de quelques unes de ces sections de commune, désormais engagées dans une lutte pour leur survie, nous nous demanderons dans quelle mesure la propriété sectionale pourrait constituer un modèle de "Commun" susceptible de favoriser le retour des "paysans".  +
En cette Journée mondiale de l'eau (22 mars 2013), Communautique dévoile le web documentaire « Ô Saint-Laurent : une histoire d'eau et d'appartenance ». Réalisé dans le cadre du projet Remix biens communs, le court-métrage donne la parole à une dizaine d'intervenants-tes montréalais qui oeuvrent à protéger les cours d'eau entourant la métropole et ses environs et à en favoriser l'accès pour les citoyens-nes. Bâtie sur une île, la Ville de Montréal a au cours de son histoire entretenu des liens étroits avec l'eau. Toutefois, les processus d'urbanisation et d'industrialisation qu'a connus la métropole au cours du dernier siècle ont graduellement contribué à éloigner la population de cette ressource primordiale. C'est dans un désir de réappropriation de l'eau en tant que bien commun que Communautique a rassemblé plusieurs acteurs-trices montréalais-es de la préservation et de la valorisation de cette précieuse ressource naturelle lors d'un Déjeuner des communs à l'automne 2012. Au cœur de cette rencontre dominait une question aux multiples réponses : Comment pouvons-nous nous réapproprier le fleuve Saint-Laurent comme bien commun ? Que ce soit par l'imaginaire d'une eau urbaine traversant la ville pour l'écrivain Lamberto Tassinari, par l'engagement citoyen pour la Fondation Rivières et ses représentants Roy Dupuis et Alain Saladzius, ou par l'éducation et l'apprentissage que prône le capitaine Simon Paquin sur son navire-école ÉcoMaris, « Ô Saint-Laurent : une histoire d'eau et d'appartenance » propose non seulement une réflexion sur l'eau en tant que bien commun, mais des pistes de solutions pour envisager son appropriation collective.  +
Déclaration d'usage civique et collectif urbain de l'Ex Asilo Filangieri, élaborée collectivement dans le cadre d'un atelier de travail public tenu chaque semaine de mai 2012 à décembre 2015.  +
Intervention d'Antonio Casilli dans le cadre du séminaire "Vers une République des biens communs ?" - le 9 septembre 2016  +
Ludivine Bantigny et Francesco Brancaccio ont profité de cette occasion pour dresser un bilan des luttes du printemps et de l'été 2023, mais aussi pour esquisser des perspectives pour les luttes des mois à venir. Le prétexte à partir duquel développer ces réflexions a été justement la publication du livre de Bantigny « Que Faire ? Exemples et propositions d'hier et d'aujourd'hui pour repenser travail, propriété et démocratie ».  +
DIWO Co-op est une coopérative de travailleurs situé à Madrid, Espagne qui a fait l'objet d'une présentation dans le programme espagnol de télévision, "La Aventura del Saber". Dans cette interview, deux membres de la coopérative parlent de coopérativisme, la collaboration contre l'individualisme, et des différences entre les entreprises traditionnelles et les coopératives. Ne manquez pas le récit de Mamen sur le conseiller financier qui leur a demandé de ne pas devenir une coopérative, car «ils perdraient le contrôle de leur entreprise", et leur réaction. Lire l'article complet de Guerrilla Translation! (http://bit.ly/1hWmYyW)  +
Une collection de documentaires qui ont comme objet les communs.  +
Témoignage de Dominique Acker, directrice d’hôpîtal à la retraite, membre du Conseil National de Nouvelle Résistance à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.  +
Irene Favero propose une définition des droits culturels dans le contexte de la préparation d'une émission de radio Communs urbains, l'Atlas !  +
Droits en biens communs'' est un projet de remix pour documenter la place du droit basé sur les biens communs dans le contexte des négociations de Rio+20.  +
Droits en Biens Communs est un projet de Remix the commons pour documenter la place du droit basé sur les biens communs dans le contexte des négociations de Rio+20.  +
"Contribuer à frayer de nouvelles voies à la pensée sociale et politique", telle était l’ambition du séminaire « Du public au commun » qui s'est tenue en 2010-2011 à Paris.  +
Retour sur un programme de mobilisation des habitants et de développement de leur pouvoir d'agir dans le cadre de la mise en place de la métropole Paris Ile de France  +
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Schéma récapitulatif des rôles de l'Assemblée des usagers de l'eau dans la démarche de gestion publique de l'eau mise en place par la Métropole de Lyon  +
Alors qu'une crise de l’espace urbain à Dakar lié à des conflits de voisinage, des espaces de vie collective désinvestis et un espace public déconsidéré avec des infrastructures insuffisantes. , l’École des Communs de Kër Thiossane, au cœur de la capitale dakaroise, cherche à travers l’art et les technologies dites “ouvertes” à développer ou à consolider des actions de solidarité, des actions de voisinage et de citoyenneté. Elle cherche la possibilité d’élaborer des “solutions” aux problèmes urbains et sociaux, sur la base de rencontres et de projets. divers, de défendre la conscience d’un intérêt commun.  +
Faire émerger l’alimentation comme « acteur/réseau » en tissant le champ d'intermédiation entre les communs urbains, naturels & culturels, participe des alternatives au régime alimentaire international néolibéral. L’École des communs propose de soumettre à l’enquête les savoirs et savoir-faire des acteurs de l’alimentation en commun entre 4 sites : Marseille, Montreuil et Toulouse et Autrans pour produire un commun de la connaissance sur la transition écologique par l'alimentation. Elle prend la forme de 4 chantiers pour faire école : interconnecter et faire communauté, rendre visible et renforcer ces pratiques. Ce projet servira de modèle pour développer 1) de nouveaux communs de l’alimentation et 2) de nouvelles écoles des communs dans d’autres domaines.  +
L'École des communs de La Chapelle est une expérience d'auto-apprentissage des modes de gouvernance des communs avec les habitant·e·s de La Chapelle et leurs collectifs et organisations. Le projet se développe dans le quartier de la Chapelle (Paris 18) avec ses habitants et sa communauté, composée de nombreux collectifs formels et informels. Il porté par Radio Raptz et Remix the Commons.  +
Faircoin et un système économique juste expliqué en une brève animation vidéo (version espagnole).  +
El Gran Dragón, tourné au cours de plusieurs séjours au Pérou, principalement en forêt amazonienne, est un voyage d’exploration mené par une équipe à la recherche d’un savoir en perdition : la médecine traditionnelle. Au gré des rencontres et des témoignages, la découverte des origines de la médecine traditionnelle permet de saisir les fondements de la médication occidentale. Ces témoignages font état à la fois de la transmission des connaissance, de croyances d'une harmonie avec la forêt et de l'idée que le rôle du patient est primordiale dans sa guérison. Ce savoir, datant de plusieurs milliers d’années, est de moins en moins retranscrit et se perd entre lobbys pharmaceutiques, tourisme chamanique, pollution et déforestation et ses conséquences sur la perte des plantes utilisées en médecine.  +
1er épisode de la web-série SideWays consacré à elf Pavlik. Ce dernier vit sans utiliser d'argent depuis plusieurs années et nous montre ainsi que d'autres voies sont possibles. Il travaille beaucoup, en tant que développeur web, mais exclusivement sur des projets qui ont du sens pour l'intérêt général (et donc non rémunéré).  +
L'émission de « Communs urbains, l’atlas ! » est une plongée au cœur des actions de solidarité racontées par des militants des communs urbains. Ils ou elles racontent les histoires singulières de leurs engagements pour un partage plus juste de l’eau, pour le développement de l’agriculture urbaine, pour une alimentation plus saine et respectueuse de l’environnement, ou encore l’une des nombreuses autres manières d’habiter ensemble.  +
This video was made for the Emotive project 'Who sets the agenda?' in which Network Democracy (Netherlands) and CEW-IT (Uganda) are partners. November 2014 a team of Dutch experts on democratic renewal and citizens' participation visited Uganda. In return two team members from CEW-IT visited the Netherlands January 2015 to exchange knowledge and share their methodology on Neighborhood Assemblies.  +
Documentaire sur les sections de communes en France en 2022  +
Intervention d'Achille Mbembé (, historien, Witwatersrand University, Johannesburg) dans le débat "Responsabilité de la création artistique dans la construction de l’en-commun": Dans un contexte de luttes internationales pour la reformulation de la démocratie, la question du partage et de l'en-commun devient essentielle. Les conséquences individuelles et sociales de la crise économique démandent une nouvelle éthique qui incorpore le domaine de l'immatériel, du symbolique et du spirituel. Dans ce cadre, le rôle de la création artistique serait lié à la construction de réserves de vie.  +
Elinor Ostrom, l'économiste lauréat du prix Nobel a fait valoir que, contrairement à la théorie répandue, avec une bonne gouvernance, les humains sont susceptibles de forger des solutions pacifiques pour faire face à la rareté des ressources.  +
EN: Energy as a Commons is a video produced during the first public meeting of the European Commons Assembly in Brussels, 15-17 November, 2016. Cecile Blanchet reflects on how the energy system is designed to please the needs of constant growth of the markets and opposes it to a community-managed paradigm inclusive and accesible. FR: L'énergie en tant que commun est une vidéo produite lors de la première réunion publique de l'Assemblée Européenne des Communs à Bruxelles, les 15 et 17 novembre 2016. Cecile Blanchet réfléchit à la façon dont le système énergétique est conçu pour satisfaire les besoins d'une croissance constante des marchés et s'oppose à un paradigme géré par la communauté, inclusif et accessible.  +
Définissant Faircoop comme " une coopérative ouverte mondiale  qui a pour objectif de créer un nouveau système économique qui vise à supprimer les inégalités …. et créer du bien commun mondial", Enric Duran, son fondateur, nous parle des monnaies complémentaires  et souligne la particularité de Faircoin par rapport à Bitcoin et autres cryptomonnaies . Après avoir expliqué le lien avec l'" Appel à la révolution intégrale", il détaille dans le concret  les différents fonds que propose la Faircoop.  +
En nous penchant comparativement sur l’expérience coopérative et sur le devenir des communs, nous aboutissons à cette proposition: il n’est pas de communs sans communautés comme il n’est pas de coopérative sans coopérateurs. Au-delà de l’analogie, nous nous demandons si le lien entre coopérative et communs ne peut être pas pensé en termes d’homologie, voire d’identité. Quelle que soit la période considérée et conséquemment le type de République (de travailleurs, de consommateurs, d’habitants), quel que soit l’espace territorial qu’elle exprime (la communauté/le monde/le milieu), nous montrerons que les Républiques coopératives sont les expressions contemporaines parmi les plus abouties des modes de gouvernement des communs.  +
Le mouvement en cours de transformation de l'économie entend renouveler profondément la nature même de l’initiative entrepreneuriale et ses finalités. Ce projet de recherche propose d’analyser les formes de l'économie collaborative et de mettre en évidence les modèles économiques qui la rendent soutenable et socialement acceptable.  +
Agribio Provence est une SCIC créé en 2006 avec la finalité d'associer les producteurs, établissements scolaires, financeurs du projet et autres acteurs solidaires, motivés par l’intégration de l’alimentation biologique dans les établissements scolaires et la restauration collective en général. Dans cet entretien le gérant de la coopérative nous explique les difficultés auxquelles ils font face ainsi que leurs efforts pour rendre accessible une alimentation saine, durable et équitable. Ce faisant il se concentre aussi sur les inégalités, le gaspillage et, en général, sur les effets néfastes de l'industrie de l'alimentation.  +
Benjamin Borel est responsable de Bou'Sol et Pain et Partage. Le réseau Bou’Sol a été créé en 2013 sous format SCIC. Né de la rencontre et de la mobilisation de l’association Pain et Partage à Marseille, de deux entrepreneurs sociaux (Samuel Mougin et Benjamin Borel) et de différents acteurs de la filière agricole, le réseau Bou’Sol vise à structurer un écosystème lié à la filière blé/farine/pains. Plus précisément Pain et Partage est une boulangerie solidaire qui produit du pain bio, local et solidaire à destination de la restauration collective. Dans la production du pain leur modalité opérationnelle est l'insertion par l'activité économique, ce qui leur permet de croiser la question de l'accessibilité alimentaire avec celle de la création d'emploi.  +
Benjamin est journaliste spécialiste de questions sociales pour les publications du Secours Catholique et il a publié un livre paru en avril 2023 sur la lutte contre la précarité alimentaire et titré « Quand bien manger devient un luxe » (Les Éditions de l'Atelier). Dans cet entretien il nous parle des différentes initiatives existantes pour lutter contre la précarité alimentaire et ainsi que des défis pour mettre en place une transition alimentaire juste.  +
Entrevue avec Etienne Le Roy  +
Fanch Frigo présente l'association La Cité de l'agriculture, laboratoire pour la transition écologique des villes. Les deux axes sur lesquels l'association travaille sont : l'agriculture urbaine et l'alimentation durable. Fanch coordonne des projets en alimentation durable et nous raconte quels efforts La Cité de l'agriculture met en place pour favoriser l'accessibilité à l'alimentation.  +
Entretien de documentation pour le projet Datalove / chroniques parlées-chantées à découvrir sur Mediapart hhttp://blogs.mediapart.fr/blog/la-parisienne-liberee/010214/chansons-avec-jeremie-zimmermann  +
Jérome est artisan de justice sociale à Aequitaz, association dont il est co-fondateur. Cette association mobilise des personnes qui vivent la précarité pour essayer de construire la solidarité entre elles et faire des propositions de politiques publiques. Parmi les axes sur lesquels ils travaillent il y a celui de la démocratie alimentaire. L'alimentation devrait être considéré comme un bien commun dont tout le monde doit bénéficier selon ses propres besoins et en tant que droit contre une approche caritative. De cette façon l'alimentation peut devenir un véritable levier pour combattre contre la précarité.  +
Sollicité par ArtFactories/Autresparts, Remix the commons, B.A.Balex afin explorer nouvelles façons de partager le parcours d'une expérience collective Jérôme Dupré Latour nous explique son travail de dessinateur à l'œuvre dans une démarche de recherche-action telle que celle de l'École des communs de l'alimentation. Il nous explique comment il a essayé de reconstruire à travers ses dessins les récits qui ont accompagnés le déroulement de l'École.  +
Mauranne est animatrice chez le réseau Amap de Provence et Eva travaille aux Paniers Marseillais, réseau d'Amap sur Marseille, et elle est chargée des questions liées à l'accessibilité alimentaire. Elles retracent leur parcours personnel et professionnel ainsi que la façon dont celui-ci les a conduit à s'engager pour le droit à l'alimentation, notamment dans les Associations pour le Maintien de l'Agriculture Paysanne. Comment élargir ces dynamiques de solidarité entre paysans et mangeurs au reste de la population et rendre l'alimentation quelque chose de vraiment accessible pour toutes et tous ? Quels enjeux pour le mouvement des Amap ?  +
Marc Alphandery, référent Agriculture et alimentation durables au sein du Labo de l'ESS, retrace son parcours d'engagement pour le droit à l'alimentation. La préoccupation à la base de son investissement a toujours été comment une alimentation de qualité peut devenir un véritable droit pour tout le monde, d'autant plus que souvent elle n'est pas accessible pour ceux et celles qui sont dans une situation de précarité financière. À quel point où l'on est aujourd'hui ? Quels sont les enjeux autour de cette question ?  +
Raoul Michel est membre du comité de gouvernance Super Cafoutch, supermarché coopératif et participatif à Marseille. Cela veut dire que les membres détiennent les parts sociales du supermarché et participent à toutes les tâches du magasin trois heures par mois. Le Super Cafoutch a pour objectif de proposer une gamme de produits du quotidien la plus large possible, tout en veillant à rester un commerce éthique, respectueux de l’environnement et qui privilégie l’économie locale par des circuits courts. Dans cet entretien Raoul nous raconte son parcours commencé avec le mouvement Slow Food. En outre il met en exergue les besoins et les difficultés qui ont accompagné la mise en place d'un supermarché coopératif, ainsi que les défis qui se posent aujourd'hui.  +
Dans cet entretien Stéphanie Fernandez Recatala, responsable de projet d'Améliore (Paris et Marseille) et directrice de l'association Indicible. Cette dernière est une association marseillaise qui travaille pour la création d'un marché des biffins, des personnes qui travaillent dans la rue, aux alentours des puces aujourd'hui, et travaillent sur les trottoirs dans des conditions précaires et dégradées. Indicible leur donne un lieu où travailler tous les jours sans l'intervention de la police pour les aider à trouver une stabilité financière. Elle nous présente les associations où elle travaille et ce faisant elle nous montre les activités menées par ses organisations et la façon dont les personnes avec lesquelles ils travaillent sont touchés par la question du droit à l'alimentation.  +
Entretien avec Flavia Núñez, membre de l'Assemblée en défense du Territoire de Puerto Madryn, province de Chubut, Argentine.  +
Entretien entre Alain Ambrosi, Frédéric Sultan et Alba Hierro, co-coordinatrice de Pam a Pam ( carte des initiatives de consommation responsable et de l'économie sociale et solidaire en Catalogne), pendant le Forum des Economies Collaboratives Procomuns 2017 à Barcelone.L'entretien est en espagnol, traduit en français.  +
Le projet FLOK society ( connaissance libre et ouverte) est un projet réalisé en Ecuador. Il a crée une plateforme ouverte pour l'élaboration de politiques axées sur les technologies ouvertes, grâce à la combinaison d'infrastructures techniques ouvertes et de processus décisionnels démocratiques. LA collection présente les entervues récoltées au cours du séminaire sur la transition par les communs.  +
Michel Bauwens répond aux questions de Frédéric Sultan à propos de son dernier ouvrage Manifeste pour une véritable économie collaborative. Il replace l'économie collaborative dans un contexte historique et l'évolution du capitalisme, aborde la relation entre travail et commoning et la dimension démocratique d'une société basée sur les communs.  +
Une discussion animée entre David Bollier et Benjamin Coriat en différents fichiers audio. Une recolte d'une contribution importante pour le débat sur les commons. Les fichiers audio contienent des réflexions de D.Bollier et B. Coriat sur le mouvement des communs, sur l'ambiance française, la litérature française sur les communs et l'apport sur les commons.  +
Entrevue avec David Bravo, architecte barcelonais. Ancien conseiller en charge de la lutte contre la gentrification de la Mairie de Barcelone. Membre du collectif La ''Fira o la Vida''.  +
Entrevue avec Fernando Pindado, commissaire à la participation et la démocratie active de la Mairie de Barcelone (depuis 2016) pendant le Forum d’Economies Collaboratives Procomuns 2017 à Barcelone.  +
Entrevue avec Mayo Fuster Morell, directrice de Dimmons pendant le Forum d’Economies Collaboratives Procomuns 2017 à Barcelone. Entretien réalisé en espagnol et traduit en français.  +
Une récolte de vidéo et textes sur le théme de science et démocratie: discussions sur les communs comme altenative pour les science et sur les activités des mouvement sociaux dans le domaine scientifique.  +
Le Forum Social Mondial organisé à Belem a acueilli différents mouvements et expériences qui se sont réunis pour la construction d’alliances et d’une réflexion stratégique des mouvements sociaux. Les entrevues ont été récoltées dans des fichiers video.  +