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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Text« Text » est une propriété prédéfinie fournie par <a rel="nofollow" class="external text" href="https://www.semantic-mediawiki.org/wiki/Help:Special_properties">MediaWiki Sémantique</a> et qui représente un texte de longueur quelconque. » avec la valeur « Le jardin communautaire, partagé, associatif ou encore collectif, est un jardin rural ou urbain géré en commun par un groupe d’habitants. La dénomination de jardin partagé est celle choisie par l'État français depuis 2014 (bien que les autres appellations lui soient antérieures et restent largement utilisées dans le monde francophone) : « On entend par jardins partagés les jardins créés ou animés collectivement, ayant pour objet de développer des liens sociaux de proximité par le biais d’activités sociales, culturelles ou éducatives et étant accessibles au public. » ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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Liste de résultats

  • Agriculture biologique  + (L'agriculture biologique est une méthode dL'agriculture biologique est une méthode de production agricole qui exclut le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse, utilisés notamment par l'agriculture industrielle et intensive depuis le début du XXe siècle, les organismes génétiquement modifiés par transgénèse, et la conservation des cultures par irradiation. La fertilisation du sol et la protection des plantes doivent donc être assurées en privilégiant au maximum l'utilisation d'engrais et de pesticides issus ou dérivés de substances naturelles. Ces derniers sont appelés biopesticides. Les pratiques d'agriculture biologique sont soumises à des normes contraignantes permettant la labellisation des produits et un prix de vente généralement plus élevé. Les motivations des agriculteurs et des consommateurs peuvent être de meilleurs revenus, une meilleure santé au travail, la protection de l'environnement ou des produits perçus comme plus sains. L'élevage d'animaux des fermes biologiques doit respecter des conditions de vie plus respectueuses du bien-être animal que l'agriculture traditionnelle. Définie depuis les années 1920, l'agriculture biologique est organisée à l'échelle mondiale depuis 1972 (International Federation of Organic Agriculture Movements – IFOAM) et reconnue depuis 1999 dans le Codex Alimentarius, un programme commun de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de l'Organisation mondiale de la santé. L'agriculture biologique est une des formes d'agriculture durable ; l'appellation « biologique », ou son abréviation « bio », est protégée légalement et implique une certification. Plusieurs labels internationaux de reconnaissance de ce type d'agriculture ont été définis. Depuis 1990, le marché des aliments et autres produits biologiques a augmenté rapidement, atteignant 63 milliards de dollars dans le monde en 2012. Cette demande s'est accompagnée d'une augmentation de la surface des terres agricoles destinées à l'agriculture biologique, qui s'est accrue de 8,9 % par an en moyenne entre 2001 et 2011. Dans le monde, plus de 37,2 millions d'hectares étaient consacrés à l'agriculture biologique à la fin de l'année 2011, soit 0,9 % des terres agricoles des 162 pays pris en compte dans le calcul. En 2015, l'agriculture biologique occupait 6,2 % de la superficie agricole utilisée de l'Union européenne.e agricole utilisée de l'Union européenne.)
  • Exploitation agricole intensive  + (L'agriculture intensive est un système de L'agriculture intensive est un système de production agricole fondé sur un accroissement de la production agricole optimisé par rapport à la disponibilité des facteurs de production (moyens humains, matériels et surfaces cultivées). Ce rapport entre volume produit et facteur de production est appelé productivité. L'agriculture intensive existe dans deux systèmes opposés, l'un traditionnel, l'autre moderne. En système traditionnel, les ressources humaines sont nombreuses, la force animale est souvent employée, la biodiversité est élevée et plusieurs espèces complémentaires sont parfois cultivées ensemble, mais les moyens matériels (et souvent les disponibilités foncières) sont rares : l'intensification agricole y est fondée sur l'investissement humain maximal par rapport aux autres facteurs de production. Les impacts environnementaux sont faibles (agriculture extensive au sens large). En système moderne, la situation est inverse : les moyens humains sont en grande partie remplacés par des machines ou robots, l'intensification requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants (engrais, produits phytosanitaires, matériel agricole, énergie). C'est ce deuxième système qui est habituellement désigné par l'appellation « agriculture intensive ». Les caractéristiques (mécanisation, chimisation, standardisation et augmentation de la taille des parcelles) de l'intensification de l'agriculture à l’échelle des parcelles et des paysages, expliquent que les impacts environnementaux y sont plus importants.s environnementaux y sont plus importants.)
  • Industrie agroalimentaire  + (L'agro-industrie est l'ensemble des industL'agro-industrie est l'ensemble des industries ayant un lien direct avec l'agriculture. Cela comprend donc l'ensemble des systèmes de productions agricoles et s'étend à toutes les entreprises qui fournissent des biens à l'agriculture (engrais, pesticides, machines) ainsi qu'à celles qui transforment les produits agricoles et les conditionnent en produits commercialisables. En ce sens, le secteur agro-industriel ne se limite pas aux seuls produits alimentaires, domaine exclusif au secteur agroalimentaire, mais englobe aussi tous les secteurs parallèles de valorisation des agroressources : papiers, bioénergies, biomatériaux, cuirs, textiles, huiles essentielles, cosmétiques, tabac, etc..es essentielles, cosmétiques, tabac, etc..)
  • Anti-capitalisme  + (L'anticapitalisme regroupe un ensemble de L'anticapitalisme regroupe un ensemble de mouvements qui s'opposent au capitalisme. Les aspects visés diffèrent selon les conceptions et peuvent notamment concerner, sans y être limités, le profit et l'importance de l'argent, la spéculation, le salariat, la concurrence économique, les effets considérés comme des effets néfastes du capitalisme sur la société telles les inégalités économiques et sociales qu'il entraîne et la considération de son « immoralité » consécutive, la course d'accumulation induite et ses conséquences pour l'environnement, ou les formes sociales de base du capitalisme. Un spectre politique large et très divers s'est réclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.éclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.)
  • Logiciel open source  + (La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, ou code source ouvert, s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. Le mouvement open source s'est développé en parallèle du mouvement du logiciel libre qui prône des valeurs philosophiques et politiques de justice, l'open source se focalisant sur des considérations techniques de développement logiciel et ne s'opposant pas à l'utilisation de systèmes intégrés combinant logiciels propriétaires et logiciels open source. Dans la pratique toutefois, la très grande majorité des logiciels open source sont également libres, l'exception la plus notable étant les logiciels pratiquant la tivoïsation. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. Les décideurs effectuent d’ailleurs de plus en plus leur choix à partir d’un jugement éclairé, en comparant systématiquement solutions propriétaires et solutions libres.lutions propriétaires et solutions libres.)
  • Gestion de l'eau  + (La gestion de l'eau est l'activité qui conLa gestion de l'eau est l'activité qui consiste à protéger, planifier, développer, distribuer et gérer l'utilisation optimale des ressources en eau et des milieux aquatiques, des points de vue qualitatif et quantitatif. Ceci inclut la gestion des risques « quantitatifs » et évènements extrêmes de sécheresse et pénurie, d'inondations et de crues, érosion des sols et du trait de côte, d', notamment liés au changement climatique, à la déforestation et à la destruction des zones humides. S'y ajoute les questions de pollutions telluriques des zones côtières et des mers et océans, par les activités humaines, essentiellement charriées par les fleuves. Axée sur le développement des ressources en eau depuis les années 1970, cette activité se tourne sur leur gestion dans les années 1980 et sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les années 1990, cette évolution traduisant la mobilisation du secteur public et privé en faveur du développement durable. En 2017, au moins 196 villes mondiales, soit 1,2 milliard de personnes (20 % de la population) sont considérées comme confrontées à des problèmes de gestion de l’eau selon le CDP (ex. : Miami, Pittsburgh (États-Unis) et Johannesburg (Afrique du Sud), qui dont confrontées à un risque « extrême » d’inondations. Les actions de gestion sont de court, moyen et long termes et pour certaines doivent concerner tout un bassin versant. Elles concernent donc de nombreux acteurs (dont collectivités publiques, entreprises agriculteurs et habitants), entités décisionnelles réunies sous le nom de gouvernance de l'eau. Dans un contexte de marchandisation l'eau est de plus en plus perçue comme une ressource naturelle précieuse et un bien commun à partager avec les autres êtres vivants de la planète ; une ressource limitée et inégalement répartie, à utiliser de manière économe et à dépolluer avant de la rendre au milieu naturel.luer avant de la rendre au milieu naturel.)
  • Justice sociale  + (La justice sociale est une construction moLa justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et conçoit la nécessité d'une solidarité collective entre les personnes d'une société donnée. L'entrée correspondant à ce terme dans le Dictionnaire des sciences économiques et sociales le fait reposer théoriquement sur deux principes. Soit, un premier principe d'équité, avec lequel il ne faut pas confondre celui de justice, et qui s'entend plutôt comme le principe du « à chacun son dû ». Dans ce cas, la part individuelle revenant à celui qui bénéficie du traitement équitable doit être conforme aux attentes les plus généralement exprimées dans une société à l'égard des autres parts individuelles. Soit, un second principe, dit moral, d'une prémisse d'égalité entre tous les membres composants la société. Dans ce cas, la notion de justice sociale est essentiellement une projection vers une société plus juste, en admettant qu'il y ait toujours des injustices. On peut le voir soit comme une utopie, soit comme une démarche allant vers plus de progressisme. Ce premier partage définitoire permet de tracer plusieurs règles générales d'application de la justice sociale. La justice sociale est dite commutative quand elle est fondée sur l'idée que la pure réciprocité doit exister entre les membres et la société (chacun reçoit en contrepartie mesurée d'un effort fourni). Elle sera, en revanche, qualifiée de distributive, si elle vise à donner à chacun la part qui lui revient pour vivre décemment, en se réservant de préciser quels critères ou catégories seront utilisés pour élaborer cette distribution (économique, sociale, culturelle). Les actions ayant pour objectif de rétablir une justice sociale visent à élaborer un meilleur système de répartitions, où chaque individu a et conserve les mêmes chances de réussite tout au long des situations de sa vie d'individu. Ainsi, on parle parfois d'« égalité des chances ». Les corrections nécessaires peuvent être sociales, financières ou culturelles. La justice sociale peut aussi se définir de manière négative : est injuste ce qui n'est pas acceptable socialement. Par exemple, les inégalités de salaires entre métiers de qualifications différentes sont le plus souvent considérées comme justes, parce qu'elles sont socialement acceptées par la majorité. Il existe une distinction entre justice sociale (ou équité) et égalité. La justice sociale est aussi une notion qui évolue dans le temps, ce qui est juste socialement peut devenir injuste si le contexte change (voir sociologie de la justice sociale). Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : 1. </br>* garantie des libertés de base égales pour tous ; 2. </br>* égalité des chances ; 3. </br>* maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.alités qui profitent aux plus défavorisés.)
  • Propriété intellectuelle  + (La propriété intellectuelle est le domaineLa propriété intellectuelle est le domaine comportant l'ensemble des droits exclusifs accordés sur des créations intellectuelles.Elle comporte deux branches : </br>* la propriété littéraire et artistique, qui s'applique aux œuvres de l'esprit, est composée du droit d'auteur et des droits voisins ; </br>* la propriété industrielle, qui regroupe elle-même, d'une part, les créations utilitaires, comme le brevet d'invention et le certificat d'obtention végétale ou au contraire un droit de protection sui generis des obtentions végétales, et, d'autre part, les signes distinctifs, notamment la marque commerciale, le nom de domaine et l'appellation d'origine. Elle comprend un droit moral (extra-patrimonial) qui est le seul droit attaché à la personne de l'auteur de l’œuvre qui soit perpétuel, inaliénable et imprescriptible, et qui s'applique donc post mortem, même après que l'œuvre est placée dans le domaine public (soit 70 ans à compter du 1er janvier de l'année suivant la mort de l’auteur). C'est l'œuvre résultante, et sa forme, qui sont protégées, non les idées et les informations qui en sont à l'origine, et qui, elles, restent libres de droit. Ainsi, le « résumé » d'une œuvre écrite, ou la citation d'un titre dans une bibliographie ne sont pas considérés comme un emprunt à ce qui est protégé par le droit d'auteur dans l'œuvre. Certaines personnalités du mouvement du logiciel libre dénoncent l'escroquerie sémantique du concept de « propriété intellectuelle », de même le récent brevetage du vivant a suscité de vives controverses éthiques et juridiques.vives controverses éthiques et juridiques.)
  • Souveraineté alimentaire  + (La souveraineté alimentaire est un conceptLa souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par Via Campesina lors du Sommet de l'alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996. Il a depuis été repris et précisé par divers courants altermondialistes lors de différents Forums Sociaux Mondiaux. La souveraineté alimentaire est présentée comme un droit international qui laisse la possibilité aux populations, aux États ou aux groupes d'États de mettre en place les politiques agricoles les mieux adaptées à leurs populations sans qu'elles puissent avoir un effet négatif sur les populations d'autres pays. Elle se construit à l'origine dans l'objectif de permettre le respect des droits des paysans. La souveraineté alimentaire est donc une rupture par rapport à l'organisation actuelle des marchés agricoles mise en œuvre par l'OMC. Complémentaire du concept de sécurité alimentaire qui concerne la quantité d'aliments disponibles, l'accès des populations à ceux-ci, l'utilisation biologique des aliments et le problème de la prévention et gestion des crises, la souveraineté alimentaire accorde en plus une importance aux conditions sociales et environnementales de production des aliments. Elle prône un accès plus équitable à la terre pour les paysans pauvres, au moyen si nécessaire d'une réforme agraire et de mécanismes de sécurisation des droits d'usage du foncier. Au niveau local, les défenseurs de la souveraineté alimentaire favorisent le maintien d'une agriculture de proximité destinée en priorité à alimenter les marchés régionaux et nationaux. Les cultures vivrières et l'agriculture familiale de petite échelle sont présentées par les défenseurs de la souveraineté alimentaire comme étant d'une grande efficacité économique[réf. nécessaire], sociale[réf. nécessaire] et environnementale[réf. nécessaire], comparée à l'agriculture industrielle et les plantations de grande échelle où travaillent de nombreux salariés. La place et le rôle des femmes sont privilégiés. La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture. des plantes transgéniques en agriculture.)
  • Sécheresse  + (La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ défiLa sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ définit l'état d'un environnement confronté à un manque d'eau significativement long et important pour qu'il ait des impacts sur la flore (naturelle ou cultivée), la faune (sauvage ou d'élevage) et les sociétés. Sécheresse ne doit pas être confondu avec aridité. Une région aride peut connaître des épisodes de sécheresse. Le déficit hydrique est une situation naturelle du point de vue de la variabilité climatique (par exemple, les périodes glaciaires/interglaciaires du Quaternaire, les cycles El Niño / La Niña, etc.) mais, selon certains climatologues certaines situations de déficit hydrique sont amplifiées (durée, extension spatiale, intensité) par l'émission humaine de gaz à effet de serre. Il fait suite à un déficit pluviométrique, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification accélérée d'origine anthropique), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs). La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier dans les régions de peu de ressources économiques. La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau de l'homme (savoir les applications agricoles – agriculture, du bétail – industrielles, domestiques de l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire – piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés. La sécheresse s'initie par une sécheresse météorologique se produisent généralement lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion d'une perturbation atmosphérique et peuvent alors mener la région surplombée par celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans précipitations.onc avec un peu voire sans précipitations.)
  • Justice environnementale  + (Le concept de justice environnementale appLe concept de justice environnementale applique les théories de la justice au champ de l'environnement et de l'écologie. Il découle de la prise en compte de l'environnement et des services écosystémiques qu'il permet comme du « bien commun. » La justice environnementale peut aussi concerner les effets du dérèglement climatique ; dans ce contexte on parle parfois d'injustice et/ou de « justice climatique ». Ce concept sous-tend qu'il existe des droits sur la nature pour tous et chacun ; individus, familles, collectivités, entreprises et autres groupes humains vis-à-vis de l'environnement considéré comme bien commun, mais en échange de devoirs et d'obligations légales, et selon le PNUD repris par Fabrice Flipo (2002), « en l’absence de tierce-parties capables d’administrer une justice : les plus forts outrepassent leurs droits et échappent à leurs devoirs, constituant peu à peu de petits potentats privés. Les règles actuelles conduisent donc sans surprise à une augmentation mondiale des inégalités ».Ce concept invite donc aussi à penser et mettre en œuvre des mesures de réduction, de réparation et de compensation quand le préjudice écologique n'a pu être évité, ce qui peut parfois nécessiter ou justifier une certaine « ingérence écologique ». Ces devoirs ou obligations sont souvent regroupés dans la notion de « responsabilité sociale et environnementale », la liberté d'exploiter l'environnement s'arrêtant là où elle menace celle des autres (il y a alors obligation à ne pas surexploiter une ressource), et là où l'environnement (biodiversité, habitats naturels, diversité génétique) serait lui-même menacé par les activités humaines. La justice environnementale s’apparente in fine à une réflexion éthique sur la responsabilité et la liberté. Le cœur de l’argumentaire consiste à exposer que la souffrance est prioritaire au bien-être et que la responsabilité prime sur la liberté. La justice environnementale mérite d'être saisie via le développement socialement durable (DSD) où l’on donne une priorité aux capacités personnelles, en particulier à la capacité d’auto-contrainte de la personne sinon à sa capacité de résilience. Il en résulte une structure de capacités qui imprègne la personne, pouvant la renforcer mais aussi la fragiliser.ant la renforcer mais aussi la fragiliser.)
  • Développement durable  + (Le développement durable (en anglais : susLe développement durable (en anglais : sustainable development, parfois traduit par développement soutenable) est une conception du développement qui s'inscrit dans une perspective de long terme et en intégrant les contraintes écologiques et sociales à l'économie. Selon la définition donnée dans le rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, dit rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la première fois en 1987, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Cette notion s'est imposée à la suite de la prise de conscience progressive, depuis les années 1970, de la finitude écologique de la Terre, liée aux limites planétaires sur le long terme. La notion fait toutefois l'objet de , notamment de la part des tenants de la décroissance, pour lesquels cette notion reste trop liée à celle de la croissance économique, mais aussi de la part de ceux qui y voient un frein au développement.ux qui y voient un frein au développement.)
  • Militance  + (Le militantisme est une forme d'engagementLe militantisme est une forme d'engagement collectif à une cause de nature morale, religieuse, sociale, politique, associative ou syndicale souvent en vue de protester contre ce qui est perçu comme une injustice. Historiquement ce terme militaire issu du latin fait référence aux membres de la milice du Christ, mais son usage au vingtième siècle dérive pour décrire l'expression organisée d'une protestation d'un groupe social.sée d'une protestation d'un groupe social.)
  • Technosolutionnisme  + (Le technosolutionnisme fait référence à laLe technosolutionnisme fait référence à la tentative d'utiliser l'ingénierie ou la technologie pour résoudre un problème souvent créé par des technologies antérieures. Certains le définissent comme une « tentative de réparer les dommages causés à une technologie par une modification du système », qui peut impliquer une modification de technologies existantes et/ou une modification de ses procédures d'exploitation ou de maintenance. Les correctifs technologiques sont inévitables dans la technologie moderne. Il a été observé que de nombreuses technologies, bien qu'inventées et développées pour résoudre certains problèmes perçus, créent souvent d'autres problèmes dans le processus, appelés externalités . Le technosolutionnisme est l'idée que tous les problèmes peuvent trouver des solutions dans des technologies meilleures et nouvelles. Le terme est maintenant utilisé comme une expression condescendante pour décrire des solutions bon marché et rapides en utilisant des technologies inappropriées ; ces correctifs créent souvent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent, ou donnent le sentiment qu'ils ont résolu le problème.e sentiment qu'ils ont résolu le problème.)
  • Eaux souterraines  + (Les eaux souterraines sont toutes les eauxLes eaux souterraines sont toutes les eaux se trouvant sous la surface du sol, dans la zone de saturation et en contact direct avec le sol ou le sous-sol. En tant que ressource naturelle vitale et plus ou moins renouvelable et parfois transfrontalières, ces eaux posent des questions juridiques particulières. C'est parfois une source de conflit inter ethnique ou entre pays. Les aquifères souterrains sont la réserve majeure (98 à 99 %)de l'eau douce exploitable sur les terres émergées. L’utilisation de l’eau souterraine se répartit de façon variable d’un pays à l’autre. Les pourcentages d’utilisation, selon les trois catégories, sont les suivants : </br>* 65 % (0 à 97 %) pour l’irrigation; </br>* 25 % (0 à 93 %) pour l'eau potable; </br>* 10 % (0 à 64 %) pour l'industrie. La carte des réserves aquifères connues en 2008 (publiée par l'UNESCO) montre 273 aquifères transfrontaliers (68 en Amérique, 38 en Afrique, 65 en Europe de l'Est, 90 en Europe occidentale et 12 en Asie où le recensement n'était pas terminé). Les aquifères majeurs connus en 2008 étaient en Amérique du Sud et Afrique du Nord. Les grands aquifères d'Afrique centrale sont encore mal explorés et rarement exploitées. La multiplication des pompes électriques et petits systèmes de pompage et forage a fortement augmenté la pression sur les nappes, souvent surexploitées dans les zones habitées et de grandes cultures et parfois déjà pollués. Leur exploitation pose aussi des questions sur nos responsabilités à l'égard des générations futures ou de l'amont vers l'aval (du point de vue du sens de circulation des masses d'eau souterraines, ou de leur alimentation via les bassins versants en surface le cas échéant). Il existe des eaux fossiles non renouvelables aux échelles humaines de temps et des aquifères profonds qui ne sont que très lentement réalimentés.ui ne sont que très lentement réalimentés.)
  • Linux  + (Linux (/ˈliːnʊks/ LEE-nuuks or /ˈlɪnʊks/ LLinux (/ˈliːnʊks/ LEE-nuuks or /ˈlɪnʊks/ LIN-uuks) is a family of open-source Unix-like operating systems based on the Linux kernel, an operating system kernel first released on September 17, 1991, by Linus Torvalds. Linux is typically packaged as a Linux distribution, which includes the kernel and supporting system software and libraries, many of which are provided by the GNU Project. Many Linux distributions use the word "Linux" in their name, but the Free Software Foundation uses the name "GNU/Linux" to emphasize the importance of GNU software, causing some controversy. Popular Linux distributions include Debian, Fedora Linux, and Ubuntu, the latter of which itself consists of many different distributions and modifications, including Lubuntu and Xubuntu. Commercial distributions include Red Hat Enterprise Linux and SUSE Linux Enterprise. Desktop Linux distributions include a windowing system such as X11 or Wayland, and a desktop environment such as GNOME or KDE Plasma. Distributions intended for servers may omit graphics altogether, or include a solution stack such as LAMP. Because Linux is freely redistributable, anyone may create a distribution for any purpose. Linux was originally developed for personal computers based on the Intel x86 architecture, but has since been ported to more platforms than any other operating system. Because of the dominance of the Linux-based Android on smartphones, Linux, including Android, has the largest installed base of all general-purpose operating systems, as of May 2022. Although Linux is, as of November 2022, used by only around 2.6 percent of desktop computers, the Chromebook, which runs the Linux kernel-based ChromeOS, dominates the US K–12 education market and represents nearly 20 percent of sub-$300 notebook sales in the US. Linux is the leading operating system on servers (over 96.4% of the top 1 million web servers' operating systems are Linux), leads other big iron systems such as mainframe computers, and is used on all of the world's 500 fastest supercompters (since November 2017, having gradually displaced all competitors). Linux also runs on embedded systems, i.e. devices whose operating system is typically built into the firmware and is highly tailored to the system. This includes routers, automation controls, smart home devices, video game consoles, televisions (Samsung and LG Smart TVs), automobiles (Tesla, Audi, Mercedes-Benz, Hyundai and Toyota), and spacecraft (Falcon 9 rocket, Dragon crew capsule and the Perseverance rover). Linux is one of the most prominent examples of free and open-source software collaboration. The source code may be used, modified and distributed commercially or non-commercially by anyone under the terms of its respective licenses, such as the GNU General Public License (GPL). The Linux kernel, for example, is licensed under the GPLv2. for example, is licensed under the GPLv2.)
  • Magna carta  + (Magna Carta Libertatum (Medieval Latin forMagna Carta Libertatum (Medieval Latin for "Great Charter of Freedoms"), commonly called Magna Carta (also Magna Charta; "Great Charter"), is a royal charter of rights agreed to by King John of England at Runnymede, near Windsor, on 15 June 1215. First drafted by the Archbishop of Canterbury, Cardinal Stephen Langton, to make peace between the unpopular king and a group of rebel barons, it promised the protection of church rights, protection for the barons from illegal imprisonment, access to swift justice, and limitations on feudal payments to the Crown, to be implemented through a council of 25 barons. Neither side stood behind their commitments, and the charter was annulled by Pope Innocent III, leading to the First Barons' War. After John's death, the regency government of his young son, Henry III, reissued the document in 1216, stripped of some of its more radical content, in an unsuccessful bid to build political support for their cause. At the end of the war in 1217, it formed part of the peace treaty agreed at Lambeth, where the document acquired the name "Magna Carta", to distinguish it from the smaller Charter of the Forest which was issued at the same time. Short of funds, Henry reissued the charter again in 1225 in exchange for a grant of new taxes. His son, Edward I, repeated the exercise in 1297, this time confirming it as part of England's statute law. The charter became part of English political life and was typically renewed by each monarch in turn, although as time went by and the fledgling Parliament of England passed new laws, it lost some of its practical significance. At the end of the 16th century, there was an upsurge in interest in Magna Carta. Lawyers and historians at the time believed that there was an ancient English constitution, going back to the days of the Anglo-Saxons, that protected individual English freedoms. They argued that the Norman invasion of 1066 had overthrown these rights, and that Magna Carta had been a popular attempt to restore them, making the charter an essential foundation for the contemporary powers of Parliament and legal principles such as habeas corpus. Although this historical account was badly flawed, jurists such as Sir Edward Coke used Magna Carta extensively in the early 17th century, arguing against the divine right of kings. Both James I and his son Charles I attempted to suppress the discussion of Magna Carta. The political myth of Magna Carta and its protection of ancient personal liberties persisted after the Glorious Revolution of 1688 until well into the 19th century. It influenced the early American colonists in the Thirteen Colonies and the formation of the United States Constitution, which became the supreme law of the land in the new republic of the United States. Research by Victorian historians showed that the original 1215 charter had concerned the medieval relationship between the monarch and the barons, rather than the rights of ordinary people, but the charter remained a powerful, iconic document, even after almost all of its content was repealed from the statute books in the 19th and 20th centuries. Four clauses of the original 1215 charter (1 (part), 13, 39 and 40) remain in force in England and Wales (as clauses 1, 9 and 29 of the 1297 statute). Magna Carta still forms an important symbol of liberty today, often cited by politicians and campaigners, and is held in great respect by the British and American legal communities, Lord Denning describing it as "the greatest constitutional document of all times—the foundation of the freedom of the individual against the arbitrary authority of the despot". In the 21st century, four exemplifications of the original 1215 charter remain in existence, two at the British Library, one at Lincoln Castle and one at Salisbury Cathedral. There are also a handful of the subsequent charters in public and private ownership, including copies of the 1297 charter in both the United States and Australia. Although scholars refer to the 63 numbered "clauses" of Magna Carta, this is a modern system of numbering, introduced by Sir William Blackstone in 1759; the original charter formed a single, long unbroken text. The four original 1215 charters were displayed together at the British Library for one day, 3 February 2015, to mark the 800th anniversary of Magna Carta.mark the 800th anniversary of Magna Carta.)
  • Informations  + (News is information about current events. News is information about current events. This may be provided through many different media: word of mouth, printing, postal systems, broadcasting, electronic communication, or through the testimony of observers and witnesses to events. News is sometimes called "hard news" to differentiate it from soft media. Common topics for news reports include war, government, politics, education, health, the environment, economy, business, fashion, entertainment, and sport, as well as quirky or unusual events. Government proclamations, concerning royal ceremonies, laws, taxes, public health, and criminals, have been dubbed news since ancient times. Technological and social developments, often driven by government communication and espionage networks, have increased the speed with which news can spread, as well as influenced its content. Throughout history, people have transported new information through oral means. Having developed in China over centuries, newspapers became established in Europe during the early modern period. In the 20th century, radio and television became an important means of transmitting news. Whilst in the 21st, the internet has also begun to play a similar role.net has also begun to play a similar role.)
  • Logiciel open source  + (Open-source software (OSS) is computer sofOpen-source software (OSS) is computer software that is released under a license in which the copyright holder grants users the rights to use, study, change, and distribute the software and its source code to anyone and for any purpose. Open-source software may be developed in a collaborative public manner. Open-source software is a prominent example of open collaboration, meaning any capable user is able to participate online in development, making the number of possible contributors indefinite. The ability to examine the code facilitates public trust in the software. Open-source software development can bring in diverse perspectives beyond those of a single company. A 2008 report by the Standish Group stated that adoption of open-source software models has resulted in savings of about $60 billion per year for consumers. Open source code can be used for studying and allows capable end users to adapt software to their personal needs in a similar way user scripts and custom style sheets allow for web sites, and eventually publish the modification as a fork for users with similar preferences, and directly submit possible improvements as pull requests.it possible improvements as pull requests.)
  • Pirate  + (Piracy is an act of robbery or criminal viPiracy is an act of robbery or criminal violence by ship or boat-borne attackers upon another ship or a coastal area, typically with the goal of stealing cargo and other valuable goods. Those who conduct acts of piracy are called pirates, while the dedicated ships that pirates use are called pirate ships. The earliest documented instances of piracy were in the 14th century BC, when the Sea Peoples, a group of ocean raiders, attacked the ships of the Aegean and Mediterranean civilisations. Narrow channels which funnel shipping into predictable routes have long created opportunities for piracy, as well as for privateering and commerce raiding. Historic examples include the waters of Gibraltar, the Strait of Malacca, Madagascar, the Gulf of Aden, and the English Channel, whose geographic structures facilitated pirate attacks. Privateering uses similar methods to piracy, but the captain acts under orders of the state authorising the capture of merchant ships belonging to an enemy nation, making it a legitimate form of war-like activity by non-state actors. A land-based parallel is the ambushing of travelers by bandits and brigands in highways and mountain passes. While the term can include acts committed in the air, on land (especially across national borders or in connection with taking over and robbing a car or train), or in other major bodies of water or on a shore, in cyberspace, as well as the fictional possibility of space piracy, it generally refers to maritime piracy. It does not normally include crimes committed against people traveling on the same vessel as the perpetrator (e.g. one passenger stealing from others on the same vessel). Piracy or pirating is the name of a specific crime under customary international law and also the name of a number of crimes under the municipal law of a number of states. In the early 21st century, seaborne piracy against transport vessels remains a significant issue (with estimated worldwide losses of US$16 billion per year in 2004), particularly in the waters between the Red Sea and Indian Ocean, off the Somali coast, and also in the Strait of Malacca and Singapore. Currently, pirates armed with automatic weapons, such as assault rifles, and machine guns, grenades and rocket propelled grenades use small motorboats to attack and board ships, a tactic that takes advantage of the small number of crew members on modern cargo vessels and transport ships. They also use larger vessels, known as "mother ships", to supply the smaller motorboats. The international community is facing many challenges in bringing modern pirates to justice, as these attacks often occur in international waters. Some nations have used their naval forces to protect private ships from pirate attacks and to pursue pirates, and some private vessels use armed security guards, high-pressure water cannons, or sound cannons to repel boarders, and use radar to avoid potential threats. A romanticised version of piracy in the Age of Sail has long been a part of Western pop culture. Captain Charles Johnson's A General History of the Pyrates, published in London in 1724, contained biographies of several pirates of the "golden age" and brought them to public attention. Pirates of the era have been further popularised and stereotyped by many subsequent works of fiction, most notably by the novels Treasure Island (1883) and Peter Pan (1911), two film adaptions of Treasure Island (1934 and 1950) and, more recently, by the Pirates of the Caribbean film franchise, which began in 2003.bbean film franchise, which began in 2003.)
  • Santé publique  + (Public health is "the science and art of pPublic health is "the science and art of preventing disease, prolonging life and promoting health through the organized efforts and informed choices of society, organizations, public and private, communities and individuals". Analyzing the determinants of health of a population and the threats it faces is the basis for public health. The public can be as small as a handful of people or as large as a village or an entire city; in the case of a pandemic it may encompass several continents. The concept of health takes into account physical, psychological, and social well-being. Public health is an interdisciplinary field. For example, epidemiology, biostatistics, social sciences and management of health services are all relevant. Other important sub-fields include environmental health, community health, behavioral health, health economics, public policy, mental health, health education, health politics, occupational safety, disability, oral health, gender issues in health, and sexual and reproductive health. Public health, together with primary care, secondary care, and tertiary care, is part of a country's overall health care system. Public health is implemented through the surveillance of cases and health indicators, and through the promotion of healthy behaviors. Common public health initiatives include promotion of hand-washing and breastfeeding, delivery of vaccinations, promoting ventilation and improved air quality both indoors and outdoors, suicide prevention, smoking cessation, obesity education, increasing healthcare accessibility and distribution of condoms to control the spread of sexually transmitted diseases. There is a significant disparity in access to health care and public health initiatives between developed countries and developing countries, as well as within developing countries. In developing countries, public health infrastructures are still forming. There may not be enough trained healthcare workers, monetary resources, or, in some cases, sufficient knowledge to provide even a basic level of medical care and disease prevention. A major public health concern in developing countries is poor maternal and child health, exacerbated by malnutrition and poverty coupled with governments' reluctance in implementing public health policies. From the beginnings of human civilization, communities promoted health and fought disease at the population level. In complex, pre-industrialized societies, interventions designed to reduce health risks could be the initiative of different stakeholders, such as army generals, the clergy or rulers. Great Britain became a leader in the development of public health initiatives, beginning in the 19th century, due to the fact that it was the first modern urban nation worldwide. The public health initiatives that began to emerge initially focused on sanitation (for example, the Liverpool and London sewerage systems), control of infectious diseases (including vaccination and quarantine) and an evolving infrastructure of various sciences, e.g. statistics, microbiology, epidemiology, sciences of engineering.gy, epidemiology, sciences of engineering.)
  • Politiques publiques  + (Public policy is an institutionalized propPublic policy is an institutionalized proposal or a decided set of elements like laws, regulations, guidelines, and actions to solve or address relevant and real-world problems, guided by a conception and often implemented by programs. Public policy can be considered to be the sum of government direct and indirect activities and has been conceptualized in a variety of ways. They are created and/or enacted on behalf of the public typically by a government. Sometimes they are made by nonprofit organisations or are made in co-production with communities or citizens, which can include potential experts, scientists, engineers and stakeholders or scientific data, or sometimes use some of their results. They are typically made by policy-makers affiliated with (in democratic polities) currently elected politicians. A popular way of understanding and engaging in public policy is through a series of stages known as "the policy cycle". The characterization of particular stages can vary, but a basic sequence is: agenda setting – formulation – legitimation – implementation – evaluation. Officials considered as policymakers bear responsibility to reflect the interests of a host of different stakeholders. Policy design entails conscious and deliberate effort to define policy aims and map them instrumentally. Academics and other experts in policy studies have developed a range of tools and approaches to help in this task.tools and approaches to help in this task.)
  • Science  + (Science is a systematic endeavor that builScience is a systematic endeavor that builds and organizes knowledge in the form of testable explanations and predictions about the universe. Science may be as old as the human species, and some of the earliest archeological evidence for scientific reasoning is tens of thousands of years old. The earliest written records in the history of science come from Ancient Egypt and Mesopotamia in around 3000 to 1200 BCE. Their contributions to mathematics, astronomy, and medicine entered and shaped Greek natural philosophy of classical antiquity, whereby formal attempts were made to provide explanations of events in the physical world based on natural causes. After the fall of the Western Roman Empire, knowledge of Greek conceptions of the world deteriorated in Western Europe during the early centuries (400 to 1000 CE) of the Middle Ages, but was preserved in the Muslim world during the Islamic Golden Age and later by the efforts of Byzantine Greek scholars who brought Greek manuscripts from the dying Byzantine Empire to Western Europe in the Renaissance. The recovery and assimilation of Greek works and Islamic inquiries into Western Europe from the 10th to 13th century revived "natural philosophy", which was later transformed by the Scientific Revolution that began in the 16th century as new ideas and discoveries departed from previous Greek conceptions and traditions. The scientific method soon played a greater role in knowledge creation and it was not until the 19th century that many of the institutional and professional features of science began to take shape; along with the changing of "natural philosophy" to "natural science". Modern science is typically divided into three major branches: natural sciences (e.g., biology, chemistry, and physics), which study the physical world; the social sciences (e.g., economics, psychology, and sociology), which study individuals and societies; and the formal sciences (e.g., logic, mathematics, and theoretical computer science), which study formal systems, governed by axioms and rules. There is disagreement whether the formal sciences are science disciplines, because they do not rely on empirical evidence. Applied sciences are disciplines that use scientific knowledge for practical purposes, such as in engineering and medicine. New knowledge in science is advanced by research from scientists who are motivated by curiosity about the world and a desire to solve problems. Contemporary scientific research is highly collaborative and is usually done by teams in academic and research institutions, government agencies, and companies. The practical impact of their work has led to the emergence of science policies that seek to influence the scientific enterprise by prioritizing the ethical and moral development of commercial products, armaments, health care, public infrastructure, and environmental protection.rastructure, and environmental protection.)
  • Fiducie foncière communautaire  + (Un Community Land Trust, appelé en droit fUn Community Land Trust, appelé en droit français organisme foncier solidaire, est une personne morale à but non lucratif ayant pour objet de détenir la propriété de terrains sur lesquels des logements sont bâtis, et ce afin que ces derniers restent perpétuellement à coût abordable, et nettement inférieurs au prix du marché.et nettement inférieurs au prix du marché.)
  • Logiciel libre  + (Un logiciel libre est un logiciel dont l'uUn logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus. Ces droits peuvent être simplement disponibles — cas du domaine public — ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs ». Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l'instrument d'un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l'utilisateur. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : </br>* les gratuiciels (freewares) : un gratuiciel est un logiciel gratuit propriétaire, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Si la nature du logiciel libre facilite et encourage son partage, ce qui tend à le rendre gratuit, elle ne s'oppose pas pour autant à sa rentabilité principalement via des services associés. Les rémunérations sont liées par exemple aux travaux de création, de développement, de mise à disposition et de soutien technique. D'un autre côté les logiciels gratuits ne sont pas nécessairement libres, car leur code source n'est pas systématiquement accessible et leur licence peut ne pas correspondre à la définition du logiciel libre. </br>* l’open source : le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social qui repose sur les principes de Liberté, Égalité, Fraternité ; l’open source quant à lui, décrit pour la première fois dans La Cathédrale et le Bazar, s'attache aux avantages d'une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source.ravers de la réutilisation du code source.)
  • Politiques publiques  + (Une politique publique est un concept de sUne politique publique est un concept de science politique qui désigne les « interventions d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale sur un domaine spécifique de la société ou du territoire ». La sociologie politique utilise ce concept afin d'analyser l'ensemble de ces interventions dans les différentes étapes de leur mise en œuvre, aussi bien que dans leur genèse ou au travers de leurs conséquences (il est alors question de « sociologie de l’action publique »). La science administrative tend plutôt à analyser et à évaluer une politique publique en fonction de sa capacité à atteindre les objectifs qui lui ont été assignés, ainsi qu'en fonction de l'efficacité des moyens déployés. Dans ce cadre, les politiques publiques peuvent également être décrites comme « un ensemble d'actions coordonnées, réalisées par une puissance publique, dans l'optique d'obtenir une modification ou une évolution d'une situation donnée ». Étudier leur impact permet de décrire la capacité qu'a une puissance publique à gérer les attentes et les problèmes propres à la société ou au pan de société concerné(e) et à agir en fonction d'une stratégie publique, de court, moyen ou long terme. Les domaines concernés peuvent être de toute nature : infrastructure, santé, famille, logement, emploi, formation professionnelle, recherche, fonction publique, crise, déficit... L’évaluation des politiques publiques, présentée comme un nouvel outil d’aide à la décision publique, est apparue aux États-Unis dans les années 1960 avant de se développer au Royaume-Uni, dans les pays scandinaves puis dans les autres démocraties occidentales vingt ans plus tard. La Commission européenne en a fait notamment une exigence règlementaire systématique dans le cadre des financements alloués aux États membres à partir des années 1990.ux États membres à partir des années 1990.)
  • Community garden  + (Le jardin communautaire, partagé, associatLe jardin communautaire, partagé, associatif ou encore collectif, est un jardin rural ou urbain géré en commun par un groupe d’habitants. La dénomination de jardin partagé est celle choisie par l'État français depuis 2014 (bien que les autres appellations lui soient antérieures et restent largement utilisées dans le monde francophone) : « On entend par jardins partagés les jardins créés ou animés collectivement, ayant pour objet de développer des liens sociaux de proximité par le biais d’activités sociales, culturelles ou éducatives et étant accessibles au public. »ucatives et étant accessibles au public. »)
  • Jardin partagé  + (Le jardin communautaire, partagé, associatLe jardin communautaire, partagé, associatif ou encore collectif, est un jardin rural ou urbain géré en commun par un groupe d’habitants. La dénomination de jardin partagé est celle choisie par l'État français depuis 2014 (bien que les autres appellations lui soient antérieures et restent largement utilisées dans le monde francophone) : « On entend par jardins partagés les jardins créés ou animés collectivement, ayant pour objet de développer des liens sociaux de proximité par le biais d’activités sociales, culturelles ou éducatives et étant accessibles au public. »ucatives et étant accessibles au public. »)
  • Jardins communautaires  + (Le jardin communautaire, partagé, associatLe jardin communautaire, partagé, associatif ou encore collectif, est un jardin rural ou urbain géré en commun par un groupe d’habitants. La dénomination de jardin partagé est celle choisie par l'État français depuis 2014 (bien que les autres appellations lui soient antérieures et restent largement utilisées dans le monde francophone) : « On entend par jardins partagés les jardins créés ou animés collectivement, ayant pour objet de développer des liens sociaux de proximité par le biais d’activités sociales, culturelles ou éducatives et étant accessibles au public. »ucatives et étant accessibles au public. »)
  • Licences Creative Commons  + (A Creative Commons (CC) license is one of A Creative Commons (CC) license is one of several public copyright licenses that enable the free distribution of an otherwise copyrighted "work". A CC license is used when an author wants to give other people the right to share, use, and build upon a work that the author has created. CC provides an author flexibility (for example, they might choose to allow only non-commercial uses of a given work) and protects the people who use or redistribute an author's work from concerns of copyright infringement as long as they abide by the conditions that are specified in the license by which the author distributes the work. There are several types of Creative Commons licenses. Each license differs by several combinations that condition the terms of distribution. They were initially released on December 16, 2002, by Creative Commons, a U.S. non-profit corporation founded in 2001. There have also been five versions of the suite of licenses, numbered 1.0 through 4.0. Released in November 2013, the 4.0 license suite is the most current. While the Creative Commons license was originally grounded in the American legal system, there are now several Creative Commons jurisdiction ports which accommodate international laws. In October 2014, the Open Knowledge Foundation approved the Creative Commons CC BY, CC BY-SA and CC0 licenses as conformant with the "Open Definition" for content and data.he "Open Definition" for content and data.)
  • Business Improvement District  + (A business improvement district (BID) is aA business improvement district (BID) is a defined area within which businesses are required to pay an additional tax (or levy) in order to fund projects within the district's boundaries. The BID is often funded primarily through the levy but can also draw on other public and private funding streams. BIDs may go by other names, such as business improvement area (BIA), business revitalization zone (BRZ), community improvement district (CID), special services area (SSA), or special improvement district (SID). These districts typically fund services which are perceived by some businesses as being inadequately performed by government with its existing tax revenues, such as cleaning streets, providing security, making capital improvements, construction of pedestrian and streetscape enhancements, and marketing the area. The services provided by BIDs are supplemental to those already provided by the municipality. The revenue derives from a tax assessment on commercial property owners, and in some cases, residential property owners.n some cases, residential property owners.)
  • Communauté  + (A community is a social unit (a group of lA community is a social unit (a group of living things) with commonality such as place, norms, religion, values, customs, or identity. Communities may share a sense of place situated in a given geographical area (e.g. a country, village, town, or neighbourhood) or in virtual space through communication platforms. Durable good relations that extend beyond immediate genealogical ties also define a sense of community, important to their identity, practice, and roles in social institutions such as family, home, work, government, society, or humanity at large. Although communities are usually small relative to personal social ties, "community" may also refer to large group affiliations such as national communities, international communities, and virtual communities. The English-language word "community" derives from the Old French comuneté (Modern French: communauté), which comes from the Latin communitas "community", "public spirit" (from Latin communis, "common"). Human communities may have intent, belief, resources, preferences, needs, and risks in common, affecting the identity of the participants and their degree of cohesiveness.icipants and their degree of cohesiveness.)
  • Coop  + (A cooperative (also known as co-operative,A cooperative (also known as co-operative, co-op, or coop) is "an autonomous association of persons united voluntarily to meet their common economic, social and cultural needs and aspirations through a jointly owned and democratically-controlled enterprise". Cooperatives are democratically controlled by their members, with each member having one vote in electing the board of directors.Cooperatives may include: </br>* businesses owned and managed by the people who consume their goods and/or services (a consumer cooperative) </br>* businesses where producers pool their output for their common benefit (a producer cooperative) </br>* organizations managed by the people who work there (a worker cooperative) </br>* businesses where members pool their purchasing power (a purchasing cooperative) </br>* multi-stakeholder or hybrid cooperatives that share ownership between different stakeholder groups. For example, care cooperatives where ownership is shared between both care-givers and receivers. Stakeholders might also include non-profits or investors. </br>* second- and third-tier cooperatives whose members are other cooperatives </br>* platform cooperatives that use a cooperatively owned and governed website, mobile app or a protocol to facilitate the sale of goods and services. Research published by the Worldwatch Institute found that in 2012 approximately one billion people in 96 countries had become members of at least one cooperative. The turnover of the largest three hundred cooperatives in the world reached $2.2 trillion. Cooperative businesses are typically more productive and economically resilient than many other forms of enterprise, with twice the number of co-operatives (80%) surviving their first five years compared with other business ownership models (41%) according to data from United Kingdom. The largest worker owned cooperative in the world, the Mondragon Corporation (founded by Catholic priest José María Arizmendiarrieta), has been in continuous operation since 1956. Cooperatives frequently have social goals, which they aim to accomplish by investing a proportion of trading profits back into their communities. As an example of this, in 2013, retail co-operatives in the UK invested 6.9% of their pre-tax profits in the communities in which they trade as compared with 2.4% for other rival supermarkets. Since 2002, cooperatives have been distinguishable on the Internet through the use of a .coop domain. In 2014, the International Co-operative Alliance (ICA) introduced the Cooperative Marque, meaning ICA cooperatives and WOCCU credit unions can also be identified through a coop ethical consumerism label. through a coop ethical consumerism label.)
  • Co-operative  + (A cooperative (also known as co-operative,A cooperative (also known as co-operative, co-op, or coop) is "an autonomous association of persons united voluntarily to meet their common economic, social and cultural needs and aspirations through a jointly owned and democratically-controlled enterprise". Cooperatives are democratically controlled by their members, with each member having one vote in electing the board of directors.Cooperatives may include: </br>* businesses owned and managed by the people who consume their goods and/or services (a consumer cooperative) </br>* businesses where producers pool their output for their common benefit (a producer cooperative) </br>* organizations managed by the people who work there (a worker cooperative) </br>* businesses where members pool their purchasing power (a purchasing cooperative) </br>* multi-stakeholder or hybrid cooperatives that share ownership between different stakeholder groups. For example, care cooperatives where ownership is shared between both care-givers and receivers. Stakeholders might also include non-profits or investors. </br>* second- and third-tier cooperatives whose members are other cooperatives </br>* platform cooperatives that use a cooperatively owned and governed website, mobile app or a protocol to facilitate the sale of goods and services. Research published by the Worldwatch Institute found that in 2012 approximately one billion people in 96 countries had become members of at least one cooperative. The turnover of the largest three hundred cooperatives in the world reached $2.2 trillion. Cooperative businesses are typically more productive and economically resilient than many other forms of enterprise, with twice the number of co-operatives (80%) surviving their first five years compared with other business ownership models (41%) according to data from United Kingdom. The largest worker owned cooperative in the world, the Mondragon Corporation (founded by Catholic priest José María Arizmendiarrieta), has been in continuous operation since 1956. Cooperatives frequently have social goals, which they aim to accomplish by investing a proportion of trading profits back into their communities. As an example of this, in 2013, retail co-operatives in the UK invested 6.9% of their pre-tax profits in the communities in which they trade as compared with 2.4% for other rival supermarkets. Since 2002, cooperatives have been distinguishable on the Internet through the use of a .coop domain. In 2014, the International Co-operative Alliance (ICA) introduced the Cooperative Marque, meaning ICA cooperatives and WOCCU credit unions can also be identified through a coop ethical consumerism label. through a coop ethical consumerism label.)
  • Coopérative  + (A cooperative (also known as co-operative,A cooperative (also known as co-operative, co-op, or coop) is "an autonomous association of persons united voluntarily to meet their common economic, social and cultural needs and aspirations through a jointly owned and democratically-controlled enterprise". Cooperatives are democratically controlled by their members, with each member having one vote in electing the board of directors.Cooperatives may include: </br>* businesses owned and managed by the people who consume their goods and/or services (a consumer cooperative) </br>* businesses where producers pool their output for their common benefit (a producer cooperative) </br>* organizations managed by the people who work there (a worker cooperative) </br>* businesses where members pool their purchasing power (a purchasing cooperative) </br>* multi-stakeholder or hybrid cooperatives that share ownership between different stakeholder groups. For example, care cooperatives where ownership is shared between both care-givers and receivers. Stakeholders might also include non-profits or investors. </br>* second- and third-tier cooperatives whose members are other cooperatives </br>* platform cooperatives that use a cooperatively owned and governed website, mobile app or a protocol to facilitate the sale of goods and services. Research published by the Worldwatch Institute found that in 2012 approximately one billion people in 96 countries had become members of at least one cooperative. The turnover of the largest three hundred cooperatives in the world reached $2.2 trillion. Cooperative businesses are typically more productive and economically resilient than many other forms of enterprise, with twice the number of co-operatives (80%) surviving their first five years compared with other business ownership models (41%) according to data from United Kingdom. The largest worker owned cooperative in the world, the Mondragon Corporation (founded by Catholic priest José María Arizmendiarrieta), has been in continuous operation since 1956. Cooperatives frequently have social goals, which they aim to accomplish by investing a proportion of trading profits back into their communities. As an example of this, in 2013, retail co-operatives in the UK invested 6.9% of their pre-tax profits in the communities in which they trade as compared with 2.4% for other rival supermarkets. Since 2002, cooperatives have been distinguishable on the Internet through the use of a .coop domain. In 2014, the International Co-operative Alliance (ICA) introduced the Cooperative Marque, meaning ICA cooperatives and WOCCU credit unions can also be identified through a coop ethical consumerism label. through a coop ethical consumerism label.)
  • Hospitaux  + (A hospital is a health care institution prA hospital is a health care institution providing patient treatment with specialized health science and auxiliary healthcare staff and medical equipment. The best-known type of hospital is the general hospital, which typically has an emergency department to treat urgent health problems ranging from fire and accident victims to a sudden illness. A district hospital typically is the major health care facility in its region, with many beds for intensive care and additional beds for patients who need long-term care. Specialized hospitals include trauma centers, rehabilitation hospitals, children's hospitals, seniors' (geriatric) hospitals, and hospitals for dealing with specific medical needs such as psychiatric treatment (see psychiatric hospital) and certain disease categories. Specialized hospitals can help reduce health care costs compared to general hospitals. Hospitals are classified as general, specialty, or government depending on the sources of income received. A teaching hospital combines assistance to people with teaching to health science students and auxiliary healthcare students. A health science facility smaller than a hospital is generally called a clinic. Hospitals have a range of departments (e.g. surgery and urgent care) and specialist units such as cardiology. Some hospitals have outpatient departments and some have chronic treatment units. Common support units include a pharmacy, pathology, and radiology. Hospitals are typically funded by public funding, health organisations (for-profit or nonprofit), health insurance companies, or charities, including direct charitable donations. Historically, hospitals were often founded and funded by religious orders, or by charitable individuals and leaders. Currently, hospitals are largely staffed by professional physicians, surgeons, nurses, and allied health practitioners, whereas in the past, this work was usually performed by the members of founding religious orders or by volunteers. However, there are various Catholic religious orders, such as the Alexians and the Bon Secours Sisters that still focus on hospital ministry in the late 1990s, as well as several other Christian denominations, including the Methodists and Lutherans, which run hospitals. In accordance with the original meaning of the word, hospitals were original "places of hospitality", and this meaning is still preserved in the names of some institutions such as the Royal Hospital Chelsea, established in 1681 as a retirement and nursing home for veteran soldiers.ent and nursing home for veteran soldiers.)
  • Bibliothèques  + (A library is a collection of materials, boA library is a collection of materials, books or media that are accessible for use and not just for display purposes. A library provides physical (hard copies) or digital access (soft copies) materials, and may be a physical location or a virtual space, or both. A library's collection can include printed materials and other physical resources in many formats such as DVD, CD and cassette as well as access to information, music or other content held on bibliographic databases. A library, which may vary widely in size, may be organized for use and maintained by a public body such as a government; an institution such as a school or museum; a corporation; or a private individual. In addition to providing materials, libraries also provide the services of librarians who are trained and experts at finding, selecting, circulating and organizing information and at interpreting information needs, navigating and analyzing very large amounts of information with a variety of resources. Library buildings often provide quiet areas for studying, as well as common areas for group study and collaboration, and may provide public facilities for access to their electronic resources; for instance: computers and access to the Internet. The library's clientele and services offered vary depending on its type: users of a public library have different needs from those of a special library or academic library, for example. Libraries may also be community hubs, where programs are delivered and people engage in lifelong learning. Modern libraries extend their services beyond the physical walls of a building by providing material accessible by electronic means, including from home via the Internet. The services the library offers are variously described as library services, information services, or the combination "library and information services", although different institutions and sources define such terminology differently.urces define such terminology differently.)
  • Services publics  + (A public service is any service intended tA public service is any service intended to address specific needs pertaining to the aggregate members of a community. Public services are available to people within a government jurisdiction as provided directly through public sector agencies or via public financing to private businesses or voluntary organizations (or even as provided by family households, though terminology may differ depending on context). Other public services are undertaken on behalf of a government's residents or in the interest of its citizens. The term is associated with a social consensus (usually expressed through democratic elections) that certain services should be available to all, regardless of income, physical ability or mental acuity. Examples of such services include the fire brigade, police, air force, and paramedics (see also public service broadcasting). Even where public services are neither publicly provided nor publicly financed, they are usually subject to regulation going beyond that applying to most economic sectors for social and political reasons. Public policy, when made in the public's interest and with its motivations, is a type of public service. motivations, is a type of public service.)
  • Camp  + (A refugee camp is a temporary settlement bA refugee camp is a temporary settlement built to receive refugees and people in refugee-like situations. Refugee camps usually accommodate displaced people who have fled their home country, but camps are also made for internally displaced people. Usually, refugees seek asylum after they have escaped war in their home countries, but some camps also house environmental and economic migrants. Camps with over a hundred thousand people are common, but as of 2012, the average-sized camp housed around 11,400. They are usually built and run by a government, the United Nations, international organizations (such as the International Committee of the Red Cross), or non-governmental organization. Unofficial refugee camps, such as Idomeni in Greece or the Calais jungle in France, are where refugees are largely left without support of governments or international organizations. Refugee camps generally develop in an impromptu fashion with the aim of meeting basic human needs for only a short time. Facilities that make a camp look or feel more permanent are often prohibited by host country governments. If the return of refugees is prevented (often by civil war), a humanitarian crisis can result or continue. According to UNHCR, most refugees worldwide do not live in refugee camps. At the end of 2015, some 67% of refugees around the world lived in individual, private accommodations. This can be partly explained by the high number of Syrian refugees renting apartments in urban agglomerations across the Middle East. Worldwide, slightly over a quarter (25.4%) of refugees were reported to be living in managed camps. At the end of 2015, about 56% of the total refugee population in rural locations resided in a managed camp, compared to the 2% who resided in individual accommodation. In urban locations, the overwhelming majority (99%) of refugees lived in individual accommodations, compared with less than 1% who lived in a managed camp. A small percentage of refugees also live in collective centers, transit camps, and self-settled camps. Despite 74% of refugees being in urban areas, the service delivery model of international humanitarian aid agencies remains focused on the establishment and operation of refugee camps.ablishment and operation of refugee camps.)
  • Rue  + (A street is a public thoroughfare in a buiA street is a public thoroughfare in a built environment. It is a public parcel of land adjoining buildings in an urban context, on which people may freely assemble, interact, and move about. A street can be as simple as a level patch of dirt, but is more often paved with a hard, durable surface such as tarmac, concrete, cobblestone or brick. Portions may also be smoothed with asphalt, embedded with rails, or otherwise prepared to accommodate non-pedestrian traffic. Originally, the word street simply meant a paved road (Latin: via strata). The word street is still sometimes used informally as a synonym for road, for example in connection with the ancient Watling Street, but city residents and urban planners draw a crucial modern distinction: a road's main function is transportation, while streets facilitate public interaction. Examples of streets include pedestrian streets, alleys, and city-centre streets too crowded for road vehicles to pass. Conversely, highways and motorways are types of roads, but few would refer to them as streets.s, but few would refer to them as streets.)
  • Lanceur d'alerte  + (A whistleblower (also written as whistle-bA whistleblower (also written as whistle-blower or whistle blower) is a person, often an employee, who reveals information about activity within a private or public organization that is deemed illegal, immoral, illicit, unsafe or fraudulent. Whistleblowers can use a variety of internal or external channels to communicate information or allegations. Over 83% of whistleblowers report internally to a supervisor, human resources, compliance, or a neutral third party within the company, hoping that the company will address and correct the issues. A whistleblower can also bring allegations to light by communicating with external entities, such as the media, government, or law enforcement. Whistleblowing can occur in either the private sector or the public sector. Retaliation is a real risk for whistleblowers, who often pay a heavy price for blowing the whistle. The most common form of retaliation is abrupt termination of employment. However, several other actions may also be considered retaliatory, including extreme increases in workloads, having hours cut drastically, preventing task completion, or bullying. Laws in many countries attempt to protect whistleblowers and to regulate the whistleblowing activities. These laws tend to adopt different approaches to public and private sector whistleblowing. Whistleblowers do not always achieve their aims. For their claims to be credible and successful, they must have compelling evidence to support their claims that the government or regulating body can use or investigate to "prove" such claims and hold corrupt companies and/or government agencies to account.ies and/or government agencies to account.)
  • Allotment Garden  + (An allotment (British English), or in NortAn allotment (British English), or in North America, a community garden, is a plot of land made available for individual, non-commercial gardening or growing food plants, so forming a kitchen garden away from the residence of the user. Such plots are formed by subdividing a piece of land into a few or up to several hundred parcels that are assigned to individuals or families. Such parcels are cultivated individually, contrary to other community garden types where the entire area is tended collectively by a group of people. In countries that do not use the term "allotment (garden)", a "community garden" may refer to individual small garden plots as well as to a single, large piece of land gardened collectively by a group of people. The term "victory garden" is also still sometimes used, especially when a community garden dates back to the First or Second World War. The individual size of a parcel typically suits the needs of a family, and often the plots include a shed for tools and shelter, and sometimes a hut for seasonal or weekend accommodation. The individual gardeners are usually organised in an allotment association, which leases or is granted the land from an owner who may be a public, private or ecclesiastical entity, and who usually stipulates that it be only used for gardening (i.e., growing vegetables, fruits and flowers), but not for permanent residential purposes (this is usually also required by zoning laws). The gardeners have to pay a small membership fee to the association, and have to abide by the corresponding constitution and by-laws. However, the membership entitles them to certain democratic rights.ntitles them to certain democratic rights.)
  • Productivisme  + (Apparu au début du XXe siècle, le productivisme est « un système d'organisation de la vie économique dans lequel la production est donnée comme objectif premier ». Il ne doit pas être confondu avec la recherche de la productivité.)
  • Métier (corporation)  + (Au sens large, une corporation est une réuAu sens large, une corporation est une réunion durable de personnes poursuivant un but commun, et dont l'état ne dépend pas du changement de ses membres. Le mot vient du latin corporari (« se former en corps »), et désigne une personne morale dont les membres (personnes physiques et/ou morales) possèdent en général une même caractéristique (par exemple, l'exercice d'une fonction). Les corporations peuvent être de droit privé mais sont en général (dans un sens plus contemporain du terme) instituée par une loi et de droit public. Les corporations se distinguent des établissements, qui sont groupements de biens affectés à un certain but. Au sens large du terme, les associations, syndicats et apparentés, qui sont des regroupements volontaires de droit privé sont donc des corporations. Le corporatisme peut désigner, selon qu'il prend ou non une connotation péjorative, la tendance qu'ont les membres d'un corps professionnel ou administratif à privilégier leurs intérêts matériels au détriment de ceux du public qu'ils servent (consommateurs, administrés, justiciables, usagers, élèves, clients, patients, etc.) usagers, élèves, clients, patients, etc.))
  • Barcelona en Comú  + (Barcelona en Comú (Catalan for "Barcelona Barcelona en Comú (Catalan for "Barcelona in Common") is a citizen platform launched in June 2014 that is currently governing in minority in the City of Barcelona. Its policy agenda includes defending social justice and community rights, promoting participatory democracy, introducing mechanisms to tackle corruption, and developing a new model of tourism for Barcelona.ping a new model of tourism for Barcelona.)
  • Barcelona en Comú  + (Barcelone en commun (en catalan : BarcelonBarcelone en commun (en catalan : Barcelona en comú, en espagnol : Barcelona en común), initialement Gagnons Barcelone (en catalan : Guanyem Barcelona), est un parti politique espagnol de gauche radicale et écologiste, constitué en vue des élections municipales de 2015 à Barcelone, qu'il a remportées. Après quatre ans de gouvernement conjoint avec d'autre formations de gauche, le parti se représente aux élections municipales de 2019, à l'issue desquelles il arrive deuxième et perd un siège.elles il arrive deuxième et perd un siège.)
  • Capitalisme  + (Capitalism is an economic system based on Capitalism is an economic system based on the private ownership of the means of production and their operation for profit. Central characteristics of capitalism include capital accumulation, competitive markets, price system, private property, property rights recognition, voluntary exchange, and wage labor. In a market economy, decision-making and investments are determined by owners of wealth, property, or ability to maneuver capital or production ability in capital and financial markets—whereas prices and the distribution of goods and services are mainly determined by competition in goods and services markets. Economists, historians, political economists and sociologists have adopted different perspectives in their analyses of capitalism and have recognized various forms of it in practice. These include laissez-faire or free-market capitalism, anarcho-capitalism, state capitalism and welfare capitalism. Different forms of capitalism feature varying degrees of free markets, public ownership, obstacles to free competition and state-sanctioned social policies. The degree of competition in markets and the role of intervention and regulation as well as the scope of state ownership vary across different models of capitalism. The extent to which different markets are free and the rules defining private property are matters of politics and policy. Most of the existing capitalist economies are mixed economies that combine elements of free markets with state intervention and in some cases economic planning. Market economies have existed under many forms of government and in many different times, places and cultures. Modern capitalist societies developed in Western Europe in a process that led to the Industrial Revolution. Capitalist systems with varying degrees of direct government intervention have since become dominant in the Western world and continue to spread. Economic growth is a characteristic tendency of capitalist economies.teristic tendency of capitalist economies.)
  • Propriété collective  + (Common ownership refers to holding the assCommon ownership refers to holding the assets of an organization, enterprise or community indivisibly rather than in the names of the individual members or groups of members as common property. Forms of common ownership exist in every economic system. Common ownership of the means of production is a central goal of communist political movements as it is seen as a necessary democratic mechanism for the creation and continued function of a communist society. Advocates make a distinction between collective ownership and common property as the former refers to property owned jointly by agreement of a set of colleagues, such as producer cooperatives, whereas the latter refers to assets that are completely open for access, such as a public park freely available to everyone. public park freely available to everyone.)
  • Coworking  + (Cotravail Le coworking, ou cotravail, est Cotravail Le coworking, ou cotravail, est une méthode d'organisation du travail qui regroupe un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs pratiquant l'échange et l'ouverture ; juridiquement cela se traduit par une location d'espaces partagés de travail. En d'autres termes, le cotravail qui constitue l'un des domaines de l'économie collaborative, laquelle est par essence non commerciale, est souvent présenté comme un contexte favorisant l'innovation. Les espaces de cotravail sont en pleine expansion et jouent un rôle important en favorisant la structuration d'un véritable réseau de cotravailleurs facilitant à la fois échanges directs, réseautage, coopération et créativité.ts, réseautage, coopération et créativité.)
  • Creative commons  + (Creative Commons (CC) est une association Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif.th et aux États-Unis) est plus restrictif.)
  • Communes  + (Dans certains pays, une commune est une ciDans certains pays, une commune est une circonscription territoriale pouvant correspondre à une ville, à un bourg avec ses villages et hameaux ou à un groupe de villages. Dans la plupart des cas, la commune constitue la plus petite subdivision administrative. Elle est souvent dirigée par un maire ou bourgmestre.uvent dirigée par un maire ou bourgmestre.)
  • Biomasse  + (Dans le domaine de l'énergie, la biomasse Dans le domaine de l'énergie, la biomasse est la matière organique d'origine végétale (microalgues incluses), animale, bactérienne ou fongique (champignons), utilisable comme source d'énergie (bioénergies). Cette énergie peut en être extraite par combustion directe (ex. : bois énergie), ou par combustion après un processus de transformation de la matière première, par exemple la méthanisation (biogaz, ou sa version épurée le biométhane) ou d'autres transformations chimiques (dont la pyrolyse, la carbonisation hydrothermale et les méthodes de production de biocarburants ou « agrocarburants »). Trois modes de valorisations de la biomasse (co)existent : thermique, chimique et biochimique. La biomasse intéresse à nouveau les pays riches, confrontés au changement climatique et à la perspective d'une crise des ressources en hydrocarbures fossiles ou uranium. Sous certaines conditions, elle répond à des enjeux de développement durable et d'économie circulaire ; en se substituant aux énergies fossiles pour réduire les émissions globales de gaz à effet de serre, en restaurant aussi parfois certains puits de carbone (semi-naturels dans le cas des boisements et haies exploités). En quelques décennies des filières nouvelles sont apparues : agrocarburants, granulés de bois, méthanisation industrielle, créant des tensions sur certaines ressources, avec de nouveaux risques de surexploitation de la ressource et de remplacement de cultures vivrières par des cultures énergétiques. En France, une stratégie nationale de mobilisation de la biomasse (2018) vise à augmenter la quantité de biomasse collectée, en créant le moins possible d'effets collatéraux négatifs sur la biodiversité, les paysages et d'autres filières dépendantes de la même ressource. En 2019, selon l'Agence internationale de l'énergie, la biomasse fournissait 56 813 PJ d'énergie, soit 9,2 % de l'énergie primaire consommée dans le monde, 542,6 TWh d'électricité, soit 2,0 % de la production mondiale d'électricité, et 3,3 % de l'énergie consommée par les transports. Selon un rapport de la Commission européenne, la bioénergie pourrait couvrir jusqu'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.)
  • Confiance  + (Divers philosophes, psychologues et cherchDivers philosophes, psychologues et chercheurs en sciences sociales ont travaillé sur la notion de confiance qui, selon une définition assez largement acceptée, peut être entendue comme « un état psychologique se caractérisant par l'intention d'accepter la vulnérabilité sur la base de croyances optimistes sur les intentions (ou le comportement) d'autrui ». La confiance renvoie à l’idée que l’on peut se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Dans l’étymologie latine, le verbe confier (du latin confidere : cum, « avec » et fidere « fier ») signifie qu’on remet quelque chose de précieux à quelqu’un, en se fiant à lui et en s’abandonnant ainsi à sa bienveillance et à sa bonne foi. Cette origine souligne les liens étroits qui existent entre la confiance, l'espoir, la foi, la fidélité, la confidence, le crédit et la croyance. Confiance est aussi une des vertus chrétiennes plus importantes, particulièrement dans la dévotion à la divine miséricorde. dans la dévotion à la divine miséricorde.)