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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Text« Text » est une propriété prédéfinie fournie par <a rel="nofollow" class="external text" href="https://www.semantic-mediawiki.org/wiki/Help:Special_properties">MediaWiki Sémantique</a> et qui représente un texte de longueur quelconque. » avec la valeur « La collaboration est l'acte de travailler ou de réfléchir ensemble pour atteindre un objectif. Dans son sens commun, la collaboration est un processus par lequel deux ou plusieurs personnes ou organisations s’associent pour effectuer un travail intellectuel suivant des objectifs communs. Des méthodes structurées de collaboration encouragent l'introspection de comportements et communication. Ces méthodes ont pour objectif spécifique l'augmentation du taux de réussite des équipes quand elles se livrent à la résolution de problèmes en collaboration. Des schémas, rubriques et graphiques sont utiles afin de documenter objectivement les traits de personnalité afin d'améliorer les résultats des projets actuels et à venir. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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Liste de résultats

  • Agriculture biologique  + (L'agriculture biologique est une méthode dL'agriculture biologique est une méthode de production agricole qui exclut le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse, utilisés notamment par l'agriculture industrielle et intensive depuis le début du XXe siècle, les organismes génétiquement modifiés par transgénèse, et la conservation des cultures par irradiation. La fertilisation du sol et la protection des plantes doivent donc être assurées en privilégiant au maximum l'utilisation d'engrais et de pesticides issus ou dérivés de substances naturelles. Ces derniers sont appelés biopesticides. Les pratiques d'agriculture biologique sont soumises à des normes contraignantes permettant la labellisation des produits et un prix de vente généralement plus élevé. Les motivations des agriculteurs et des consommateurs peuvent être de meilleurs revenus, une meilleure santé au travail, la protection de l'environnement ou des produits perçus comme plus sains. L'élevage d'animaux des fermes biologiques doit respecter des conditions de vie plus respectueuses du bien-être animal que l'agriculture traditionnelle. Définie depuis les années 1920, l'agriculture biologique est organisée à l'échelle mondiale depuis 1972 (International Federation of Organic Agriculture Movements – IFOAM) et reconnue depuis 1999 dans le Codex Alimentarius, un programme commun de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de l'Organisation mondiale de la santé. L'agriculture biologique est une des formes d'agriculture durable ; l'appellation « biologique », ou son abréviation « bio », est protégée légalement et implique une certification. Plusieurs labels internationaux de reconnaissance de ce type d'agriculture ont été définis. Depuis 1990, le marché des aliments et autres produits biologiques a augmenté rapidement, atteignant 63 milliards de dollars dans le monde en 2012. Cette demande s'est accompagnée d'une augmentation de la surface des terres agricoles destinées à l'agriculture biologique, qui s'est accrue de 8,9 % par an en moyenne entre 2001 et 2011. Dans le monde, plus de 37,2 millions d'hectares étaient consacrés à l'agriculture biologique à la fin de l'année 2011, soit 0,9 % des terres agricoles des 162 pays pris en compte dans le calcul. En 2015, l'agriculture biologique occupait 6,2 % de la superficie agricole utilisée de l'Union européenne.e agricole utilisée de l'Union européenne.)
  • Exploitation agricole intensive  + (L'agriculture intensive est un système de L'agriculture intensive est un système de production agricole fondé sur un accroissement de la production agricole optimisé par rapport à la disponibilité des facteurs de production (moyens humains, matériels et surfaces cultivées). Ce rapport entre volume produit et facteur de production est appelé productivité. L'agriculture intensive existe dans deux systèmes opposés, l'un traditionnel, l'autre moderne. En système traditionnel, les ressources humaines sont nombreuses, la force animale est souvent employée, la biodiversité est élevée et plusieurs espèces complémentaires sont parfois cultivées ensemble, mais les moyens matériels (et souvent les disponibilités foncières) sont rares : l'intensification agricole y est fondée sur l'investissement humain maximal par rapport aux autres facteurs de production. Les impacts environnementaux sont faibles (agriculture extensive au sens large). En système moderne, la situation est inverse : les moyens humains sont en grande partie remplacés par des machines ou robots, l'intensification requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants (engrais, produits phytosanitaires, matériel agricole, énergie). C'est ce deuxième système qui est habituellement désigné par l'appellation « agriculture intensive ». Les caractéristiques (mécanisation, chimisation, standardisation et augmentation de la taille des parcelles) de l'intensification de l'agriculture à l’échelle des parcelles et des paysages, expliquent que les impacts environnementaux y sont plus importants.s environnementaux y sont plus importants.)
  • Industrie agroalimentaire  + (L'agro-industrie est l'ensemble des industL'agro-industrie est l'ensemble des industries ayant un lien direct avec l'agriculture. Cela comprend donc l'ensemble des systèmes de productions agricoles et s'étend à toutes les entreprises qui fournissent des biens à l'agriculture (engrais, pesticides, machines) ainsi qu'à celles qui transforment les produits agricoles et les conditionnent en produits commercialisables. En ce sens, le secteur agro-industriel ne se limite pas aux seuls produits alimentaires, domaine exclusif au secteur agroalimentaire, mais englobe aussi tous les secteurs parallèles de valorisation des agroressources : papiers, bioénergies, biomatériaux, cuirs, textiles, huiles essentielles, cosmétiques, tabac, etc..es essentielles, cosmétiques, tabac, etc..)
  • Anti-capitalisme  + (L'anticapitalisme regroupe un ensemble de L'anticapitalisme regroupe un ensemble de mouvements qui s'opposent au capitalisme. Les aspects visés diffèrent selon les conceptions et peuvent notamment concerner, sans y être limités, le profit et l'importance de l'argent, la spéculation, le salariat, la concurrence économique, les effets considérés comme des effets néfastes du capitalisme sur la société telles les inégalités économiques et sociales qu'il entraîne et la considération de son « immoralité » consécutive, la course d'accumulation induite et ses conséquences pour l'environnement, ou les formes sociales de base du capitalisme. Un spectre politique large et très divers s'est réclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.éclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.)
  • Logiciel open source  + (La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, ou code source ouvert, s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. Le mouvement open source s'est développé en parallèle du mouvement du logiciel libre qui prône des valeurs philosophiques et politiques de justice, l'open source se focalisant sur des considérations techniques de développement logiciel et ne s'opposant pas à l'utilisation de systèmes intégrés combinant logiciels propriétaires et logiciels open source. Dans la pratique toutefois, la très grande majorité des logiciels open source sont également libres, l'exception la plus notable étant les logiciels pratiquant la tivoïsation. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. Les décideurs effectuent d’ailleurs de plus en plus leur choix à partir d’un jugement éclairé, en comparant systématiquement solutions propriétaires et solutions libres.lutions propriétaires et solutions libres.)
  • Gestion de l'eau  + (La gestion de l'eau est l'activité qui conLa gestion de l'eau est l'activité qui consiste à protéger, planifier, développer, distribuer et gérer l'utilisation optimale des ressources en eau et des milieux aquatiques, des points de vue qualitatif et quantitatif. Ceci inclut la gestion des risques « quantitatifs » et évènements extrêmes de sécheresse et pénurie, d'inondations et de crues, érosion des sols et du trait de côte, d', notamment liés au changement climatique, à la déforestation et à la destruction des zones humides. S'y ajoute les questions de pollutions telluriques des zones côtières et des mers et océans, par les activités humaines, essentiellement charriées par les fleuves. Axée sur le développement des ressources en eau depuis les années 1970, cette activité se tourne sur leur gestion dans les années 1980 et sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les années 1990, cette évolution traduisant la mobilisation du secteur public et privé en faveur du développement durable. En 2017, au moins 196 villes mondiales, soit 1,2 milliard de personnes (20 % de la population) sont considérées comme confrontées à des problèmes de gestion de l’eau selon le CDP (ex. : Miami, Pittsburgh (États-Unis) et Johannesburg (Afrique du Sud), qui dont confrontées à un risque « extrême » d’inondations. Les actions de gestion sont de court, moyen et long termes et pour certaines doivent concerner tout un bassin versant. Elles concernent donc de nombreux acteurs (dont collectivités publiques, entreprises agriculteurs et habitants), entités décisionnelles réunies sous le nom de gouvernance de l'eau. Dans un contexte de marchandisation l'eau est de plus en plus perçue comme une ressource naturelle précieuse et un bien commun à partager avec les autres êtres vivants de la planète ; une ressource limitée et inégalement répartie, à utiliser de manière économe et à dépolluer avant de la rendre au milieu naturel.luer avant de la rendre au milieu naturel.)
  • Justice sociale  + (La justice sociale est une construction moLa justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et conçoit la nécessité d'une solidarité collective entre les personnes d'une société donnée. L'entrée correspondant à ce terme dans le Dictionnaire des sciences économiques et sociales le fait reposer théoriquement sur deux principes. Soit, un premier principe d'équité, avec lequel il ne faut pas confondre celui de justice, et qui s'entend plutôt comme le principe du « à chacun son dû ». Dans ce cas, la part individuelle revenant à celui qui bénéficie du traitement équitable doit être conforme aux attentes les plus généralement exprimées dans une société à l'égard des autres parts individuelles. Soit, un second principe, dit moral, d'une prémisse d'égalité entre tous les membres composants la société. Dans ce cas, la notion de justice sociale est essentiellement une projection vers une société plus juste, en admettant qu'il y ait toujours des injustices. On peut le voir soit comme une utopie, soit comme une démarche allant vers plus de progressisme. Ce premier partage définitoire permet de tracer plusieurs règles générales d'application de la justice sociale. La justice sociale est dite commutative quand elle est fondée sur l'idée que la pure réciprocité doit exister entre les membres et la société (chacun reçoit en contrepartie mesurée d'un effort fourni). Elle sera, en revanche, qualifiée de distributive, si elle vise à donner à chacun la part qui lui revient pour vivre décemment, en se réservant de préciser quels critères ou catégories seront utilisés pour élaborer cette distribution (économique, sociale, culturelle). Les actions ayant pour objectif de rétablir une justice sociale visent à élaborer un meilleur système de répartitions, où chaque individu a et conserve les mêmes chances de réussite tout au long des situations de sa vie d'individu. Ainsi, on parle parfois d'« égalité des chances ». Les corrections nécessaires peuvent être sociales, financières ou culturelles. La justice sociale peut aussi se définir de manière négative : est injuste ce qui n'est pas acceptable socialement. Par exemple, les inégalités de salaires entre métiers de qualifications différentes sont le plus souvent considérées comme justes, parce qu'elles sont socialement acceptées par la majorité. Il existe une distinction entre justice sociale (ou équité) et égalité. La justice sociale est aussi une notion qui évolue dans le temps, ce qui est juste socialement peut devenir injuste si le contexte change (voir sociologie de la justice sociale). Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : 1. </br>* garantie des libertés de base égales pour tous ; 2. </br>* égalité des chances ; 3. </br>* maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.alités qui profitent aux plus défavorisés.)
  • Propriété intellectuelle  + (La propriété intellectuelle est le domaineLa propriété intellectuelle est le domaine comportant l'ensemble des droits exclusifs accordés sur des créations intellectuelles.Elle comporte deux branches : </br>* la propriété littéraire et artistique, qui s'applique aux œuvres de l'esprit, est composée du droit d'auteur et des droits voisins ; </br>* la propriété industrielle, qui regroupe elle-même, d'une part, les créations utilitaires, comme le brevet d'invention et le certificat d'obtention végétale ou au contraire un droit de protection sui generis des obtentions végétales, et, d'autre part, les signes distinctifs, notamment la marque commerciale, le nom de domaine et l'appellation d'origine. Elle comprend un droit moral (extra-patrimonial) qui est le seul droit attaché à la personne de l'auteur de l’œuvre qui soit perpétuel, inaliénable et imprescriptible, et qui s'applique donc post mortem, même après que l'œuvre est placée dans le domaine public (soit 70 ans à compter du 1er janvier de l'année suivant la mort de l’auteur). C'est l'œuvre résultante, et sa forme, qui sont protégées, non les idées et les informations qui en sont à l'origine, et qui, elles, restent libres de droit. Ainsi, le « résumé » d'une œuvre écrite, ou la citation d'un titre dans une bibliographie ne sont pas considérés comme un emprunt à ce qui est protégé par le droit d'auteur dans l'œuvre. Certaines personnalités du mouvement du logiciel libre dénoncent l'escroquerie sémantique du concept de « propriété intellectuelle », de même le récent brevetage du vivant a suscité de vives controverses éthiques et juridiques.vives controverses éthiques et juridiques.)
  • Souveraineté alimentaire  + (La souveraineté alimentaire est un conceptLa souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par Via Campesina lors du Sommet de l'alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996. Il a depuis été repris et précisé par divers courants altermondialistes lors de différents Forums Sociaux Mondiaux. La souveraineté alimentaire est présentée comme un droit international qui laisse la possibilité aux populations, aux États ou aux groupes d'États de mettre en place les politiques agricoles les mieux adaptées à leurs populations sans qu'elles puissent avoir un effet négatif sur les populations d'autres pays. Elle se construit à l'origine dans l'objectif de permettre le respect des droits des paysans. La souveraineté alimentaire est donc une rupture par rapport à l'organisation actuelle des marchés agricoles mise en œuvre par l'OMC. Complémentaire du concept de sécurité alimentaire qui concerne la quantité d'aliments disponibles, l'accès des populations à ceux-ci, l'utilisation biologique des aliments et le problème de la prévention et gestion des crises, la souveraineté alimentaire accorde en plus une importance aux conditions sociales et environnementales de production des aliments. Elle prône un accès plus équitable à la terre pour les paysans pauvres, au moyen si nécessaire d'une réforme agraire et de mécanismes de sécurisation des droits d'usage du foncier. Au niveau local, les défenseurs de la souveraineté alimentaire favorisent le maintien d'une agriculture de proximité destinée en priorité à alimenter les marchés régionaux et nationaux. Les cultures vivrières et l'agriculture familiale de petite échelle sont présentées par les défenseurs de la souveraineté alimentaire comme étant d'une grande efficacité économique[réf. nécessaire], sociale[réf. nécessaire] et environnementale[réf. nécessaire], comparée à l'agriculture industrielle et les plantations de grande échelle où travaillent de nombreux salariés. La place et le rôle des femmes sont privilégiés. La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture. des plantes transgéniques en agriculture.)
  • Sécheresse  + (La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ défiLa sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ définit l'état d'un environnement confronté à un manque d'eau significativement long et important pour qu'il ait des impacts sur la flore (naturelle ou cultivée), la faune (sauvage ou d'élevage) et les sociétés. Sécheresse ne doit pas être confondu avec aridité. Une région aride peut connaître des épisodes de sécheresse. Le déficit hydrique est une situation naturelle du point de vue de la variabilité climatique (par exemple, les périodes glaciaires/interglaciaires du Quaternaire, les cycles El Niño / La Niña, etc.) mais, selon certains climatologues certaines situations de déficit hydrique sont amplifiées (durée, extension spatiale, intensité) par l'émission humaine de gaz à effet de serre. Il fait suite à un déficit pluviométrique, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification accélérée d'origine anthropique), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs). La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier dans les régions de peu de ressources économiques. La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau de l'homme (savoir les applications agricoles – agriculture, du bétail – industrielles, domestiques de l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire – piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés. La sécheresse s'initie par une sécheresse météorologique se produisent généralement lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion d'une perturbation atmosphérique et peuvent alors mener la région surplombée par celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans précipitations.onc avec un peu voire sans précipitations.)
  • Justice environnementale  + (Le concept de justice environnementale appLe concept de justice environnementale applique les théories de la justice au champ de l'environnement et de l'écologie. Il découle de la prise en compte de l'environnement et des services écosystémiques qu'il permet comme du « bien commun. » La justice environnementale peut aussi concerner les effets du dérèglement climatique ; dans ce contexte on parle parfois d'injustice et/ou de « justice climatique ». Ce concept sous-tend qu'il existe des droits sur la nature pour tous et chacun ; individus, familles, collectivités, entreprises et autres groupes humains vis-à-vis de l'environnement considéré comme bien commun, mais en échange de devoirs et d'obligations légales, et selon le PNUD repris par Fabrice Flipo (2002), « en l’absence de tierce-parties capables d’administrer une justice : les plus forts outrepassent leurs droits et échappent à leurs devoirs, constituant peu à peu de petits potentats privés. Les règles actuelles conduisent donc sans surprise à une augmentation mondiale des inégalités ».Ce concept invite donc aussi à penser et mettre en œuvre des mesures de réduction, de réparation et de compensation quand le préjudice écologique n'a pu être évité, ce qui peut parfois nécessiter ou justifier une certaine « ingérence écologique ». Ces devoirs ou obligations sont souvent regroupés dans la notion de « responsabilité sociale et environnementale », la liberté d'exploiter l'environnement s'arrêtant là où elle menace celle des autres (il y a alors obligation à ne pas surexploiter une ressource), et là où l'environnement (biodiversité, habitats naturels, diversité génétique) serait lui-même menacé par les activités humaines. La justice environnementale s’apparente in fine à une réflexion éthique sur la responsabilité et la liberté. Le cœur de l’argumentaire consiste à exposer que la souffrance est prioritaire au bien-être et que la responsabilité prime sur la liberté. La justice environnementale mérite d'être saisie via le développement socialement durable (DSD) où l’on donne une priorité aux capacités personnelles, en particulier à la capacité d’auto-contrainte de la personne sinon à sa capacité de résilience. Il en résulte une structure de capacités qui imprègne la personne, pouvant la renforcer mais aussi la fragiliser.ant la renforcer mais aussi la fragiliser.)
  • Développement durable  + (Le développement durable (en anglais : susLe développement durable (en anglais : sustainable development, parfois traduit par développement soutenable) est une conception du développement qui s'inscrit dans une perspective de long terme et en intégrant les contraintes écologiques et sociales à l'économie. Selon la définition donnée dans le rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, dit rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la première fois en 1987, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Cette notion s'est imposée à la suite de la prise de conscience progressive, depuis les années 1970, de la finitude écologique de la Terre, liée aux limites planétaires sur le long terme. La notion fait toutefois l'objet de , notamment de la part des tenants de la décroissance, pour lesquels cette notion reste trop liée à celle de la croissance économique, mais aussi de la part de ceux qui y voient un frein au développement.ux qui y voient un frein au développement.)
  • Militance  + (Le militantisme est une forme d'engagementLe militantisme est une forme d'engagement collectif à une cause de nature morale, religieuse, sociale, politique, associative ou syndicale souvent en vue de protester contre ce qui est perçu comme une injustice. Historiquement ce terme militaire issu du latin fait référence aux membres de la milice du Christ, mais son usage au vingtième siècle dérive pour décrire l'expression organisée d'une protestation d'un groupe social.sée d'une protestation d'un groupe social.)
  • Technosolutionnisme  + (Le technosolutionnisme fait référence à laLe technosolutionnisme fait référence à la tentative d'utiliser l'ingénierie ou la technologie pour résoudre un problème souvent créé par des technologies antérieures. Certains le définissent comme une « tentative de réparer les dommages causés à une technologie par une modification du système », qui peut impliquer une modification de technologies existantes et/ou une modification de ses procédures d'exploitation ou de maintenance. Les correctifs technologiques sont inévitables dans la technologie moderne. Il a été observé que de nombreuses technologies, bien qu'inventées et développées pour résoudre certains problèmes perçus, créent souvent d'autres problèmes dans le processus, appelés externalités . Le technosolutionnisme est l'idée que tous les problèmes peuvent trouver des solutions dans des technologies meilleures et nouvelles. Le terme est maintenant utilisé comme une expression condescendante pour décrire des solutions bon marché et rapides en utilisant des technologies inappropriées ; ces correctifs créent souvent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent, ou donnent le sentiment qu'ils ont résolu le problème.e sentiment qu'ils ont résolu le problème.)
  • Eaux souterraines  + (Les eaux souterraines sont toutes les eauxLes eaux souterraines sont toutes les eaux se trouvant sous la surface du sol, dans la zone de saturation et en contact direct avec le sol ou le sous-sol. En tant que ressource naturelle vitale et plus ou moins renouvelable et parfois transfrontalières, ces eaux posent des questions juridiques particulières. C'est parfois une source de conflit inter ethnique ou entre pays. Les aquifères souterrains sont la réserve majeure (98 à 99 %)de l'eau douce exploitable sur les terres émergées. L’utilisation de l’eau souterraine se répartit de façon variable d’un pays à l’autre. Les pourcentages d’utilisation, selon les trois catégories, sont les suivants : </br>* 65 % (0 à 97 %) pour l’irrigation; </br>* 25 % (0 à 93 %) pour l'eau potable; </br>* 10 % (0 à 64 %) pour l'industrie. La carte des réserves aquifères connues en 2008 (publiée par l'UNESCO) montre 273 aquifères transfrontaliers (68 en Amérique, 38 en Afrique, 65 en Europe de l'Est, 90 en Europe occidentale et 12 en Asie où le recensement n'était pas terminé). Les aquifères majeurs connus en 2008 étaient en Amérique du Sud et Afrique du Nord. Les grands aquifères d'Afrique centrale sont encore mal explorés et rarement exploitées. La multiplication des pompes électriques et petits systèmes de pompage et forage a fortement augmenté la pression sur les nappes, souvent surexploitées dans les zones habitées et de grandes cultures et parfois déjà pollués. Leur exploitation pose aussi des questions sur nos responsabilités à l'égard des générations futures ou de l'amont vers l'aval (du point de vue du sens de circulation des masses d'eau souterraines, ou de leur alimentation via les bassins versants en surface le cas échéant). Il existe des eaux fossiles non renouvelables aux échelles humaines de temps et des aquifères profonds qui ne sont que très lentement réalimentés.ui ne sont que très lentement réalimentés.)
  • Linux  + (Linux (/ˈliːnʊks/ LEE-nuuks or /ˈlɪnʊks/ LLinux (/ˈliːnʊks/ LEE-nuuks or /ˈlɪnʊks/ LIN-uuks) is a family of open-source Unix-like operating systems based on the Linux kernel, an operating system kernel first released on September 17, 1991, by Linus Torvalds. Linux is typically packaged as a Linux distribution, which includes the kernel and supporting system software and libraries, many of which are provided by the GNU Project. Many Linux distributions use the word "Linux" in their name, but the Free Software Foundation uses the name "GNU/Linux" to emphasize the importance of GNU software, causing some controversy. Popular Linux distributions include Debian, Fedora Linux, and Ubuntu, the latter of which itself consists of many different distributions and modifications, including Lubuntu and Xubuntu. Commercial distributions include Red Hat Enterprise Linux and SUSE Linux Enterprise. Desktop Linux distributions include a windowing system such as X11 or Wayland, and a desktop environment such as GNOME or KDE Plasma. Distributions intended for servers may omit graphics altogether, or include a solution stack such as LAMP. Because Linux is freely redistributable, anyone may create a distribution for any purpose. Linux was originally developed for personal computers based on the Intel x86 architecture, but has since been ported to more platforms than any other operating system. Because of the dominance of the Linux-based Android on smartphones, Linux, including Android, has the largest installed base of all general-purpose operating systems, as of May 2022. Although Linux is, as of November 2022, used by only around 2.6 percent of desktop computers, the Chromebook, which runs the Linux kernel-based ChromeOS, dominates the US K–12 education market and represents nearly 20 percent of sub-$300 notebook sales in the US. Linux is the leading operating system on servers (over 96.4% of the top 1 million web servers' operating systems are Linux), leads other big iron systems such as mainframe computers, and is used on all of the world's 500 fastest supercompters (since November 2017, having gradually displaced all competitors). Linux also runs on embedded systems, i.e. devices whose operating system is typically built into the firmware and is highly tailored to the system. This includes routers, automation controls, smart home devices, video game consoles, televisions (Samsung and LG Smart TVs), automobiles (Tesla, Audi, Mercedes-Benz, Hyundai and Toyota), and spacecraft (Falcon 9 rocket, Dragon crew capsule and the Perseverance rover). Linux is one of the most prominent examples of free and open-source software collaboration. The source code may be used, modified and distributed commercially or non-commercially by anyone under the terms of its respective licenses, such as the GNU General Public License (GPL). The Linux kernel, for example, is licensed under the GPLv2. for example, is licensed under the GPLv2.)
  • Informations  + (News is information about current events. News is information about current events. This may be provided through many different media: word of mouth, printing, postal systems, broadcasting, electronic communication, or through the testimony of observers and witnesses to events. News is sometimes called "hard news" to differentiate it from soft media. Common topics for news reports include war, government, politics, education, health, the environment, economy, business, fashion, entertainment, and sport, as well as quirky or unusual events. Government proclamations, concerning royal ceremonies, laws, taxes, public health, and criminals, have been dubbed news since ancient times. Technological and social developments, often driven by government communication and espionage networks, have increased the speed with which news can spread, as well as influenced its content. Throughout history, people have transported new information through oral means. Having developed in China over centuries, newspapers became established in Europe during the early modern period. In the 20th century, radio and television became an important means of transmitting news. Whilst in the 21st, the internet has also begun to play a similar role.net has also begun to play a similar role.)
  • Logiciel open source  + (Open-source software (OSS) is computer sofOpen-source software (OSS) is computer software that is released under a license in which the copyright holder grants users the rights to use, study, change, and distribute the software and its source code to anyone and for any purpose. Open-source software may be developed in a collaborative public manner. Open-source software is a prominent example of open collaboration, meaning any capable user is able to participate online in development, making the number of possible contributors indefinite. The ability to examine the code facilitates public trust in the software. Open-source software development can bring in diverse perspectives beyond those of a single company. A 2008 report by the Standish Group stated that adoption of open-source software models has resulted in savings of about $60 billion per year for consumers. Open source code can be used for studying and allows capable end users to adapt software to their personal needs in a similar way user scripts and custom style sheets allow for web sites, and eventually publish the modification as a fork for users with similar preferences, and directly submit possible improvements as pull requests.it possible improvements as pull requests.)
  • Politiques publiques  + (Public policy is an institutionalized propPublic policy is an institutionalized proposal or a decided set of elements like laws, regulations, guidelines, and actions to solve or address relevant and real-world problems, guided by a conception and often implemented by programs. Public policy can be considered to be the sum of government direct and indirect activities and has been conceptualized in a variety of ways. They are created and/or enacted on behalf of the public typically by a government. Sometimes they are made by nonprofit organisations or are made in co-production with communities or citizens, which can include potential experts, scientists, engineers and stakeholders or scientific data, or sometimes use some of their results. They are typically made by policy-makers affiliated with (in democratic polities) currently elected politicians. A popular way of understanding and engaging in public policy is through a series of stages known as "the policy cycle". The characterization of particular stages can vary, but a basic sequence is: agenda setting – formulation – legitimation – implementation – evaluation. Officials considered as policymakers bear responsibility to reflect the interests of a host of different stakeholders. Policy design entails conscious and deliberate effort to define policy aims and map them instrumentally. Academics and other experts in policy studies have developed a range of tools and approaches to help in this task.tools and approaches to help in this task.)
  • Sports  + (Sport pertains to any form of competitive Sport pertains to any form of competitive physical activity or game that aims to use, maintain, or improve physical ability and skills while providing enjoyment to participants and, in some cases, entertainment to spectators. Sports can, through casual or organized participation, improve participants' physical health. Hundreds of sports exist, from those between single contestants, through to those with hundreds of simultaneous participants, either in teams or competing as individuals. In certain sports such as racing, many contestants may compete, simultaneously or consecutively, with one winner; in others, the contest (a match) is between two sides, each attempting to exceed the other. Some sports allow a "tie" or "draw", in which there is no single winner; others provide tie-breaking methods to ensure one winner and one loser. A number of contests may be arranged in a tournament producing a champion. Many sports leagues make an annual champion by arranging games in a regular sports season, followed in some cases by playoffs. Sport is generally recognised as system of activities based in physical athleticism or physical dexterity, with major competitions such as the Olympic Games admitting only sports meeting this definition. Other organisations, such as the Council of Europe, preclude activities without a physical element from classification as sports. However, a number of competitive, but non-physical, activities claim recognition as mind sports. The International Olympic Committee (through ARISF) recognises both chess and bridge as bona fide sports, and SportAccord, the international sports federation association, recognises five non-physical sports: bridge, chess, draughts (checkers), Go and xiangqi, and limits the number of mind games which can be admitted as sports. Sport is usually governed by a set of rules or customs, which serve to ensure fair competition, and allow consistent adjudication of the winner. Winning can be determined by physical events such as scoring goals or crossing a line first. It can also be determined by judges who are scoring elements of the sporting performance, including objective or subjective measures such as technical performance or artistic impression. Records of performance are often kept, and for popular sports, this information may be widely announced or reported in sport news. Sport is also a major source of entertainment for non-participants, with spectator sport drawing large crowds to sport venues, and reaching wider audiences through broadcasting. Sport betting is in some cases severely regulated, and in some cases is central to the sport. According to A.T. Kearney, a consultancy, the global sporting industry is worth up to $620 billion as of 2013. The world's most accessible and practised sport is running, while association football is the most popular spectator sport.tball is the most popular spectator sport.)
  • Principe de subsidiarité  + (Subsidiarity is a principle of social orgaSubsidiarity is a principle of social organization that holds that social and political issues should be dealt with at the most immediate or local level that is consistent with their resolution. The Oxford English Dictionary defines subsidiarity as "the principle that a central authority should have a subsidiary function, performing only those tasks which cannot be performed at a more local level". The concept is applicable in the fields of government, political science, neuropsychology, cybernetics, management and in military command (mission command). The OED adds that the term "subsidiarity" in English follows the early German usage of "Subsidiarität". More distantly, it is derived from the Latin verb subsidio (to aid or help), and the related noun subsidium (aid or assistance). The development of the concept of subsidiarity has roots in the natural law philosophy of Thomas Aquinas and was mediated by the social scientific theories of Luigi Taparelli, SJ, in his 1840–43 natural law treatise on the human person in society. In that work, Taparelli established the criteria of just social order, which he referred to as "hypotactical right" and which came to be termed subsidiarity following German influences. Another origin of the concept is in the writings of Calvinist law-philosopher Johannes Althaus who used the word "subsidia" in 1603. As a principle of just social order, it became one of the pillars of modern Catholic social teaching. Subsidiarity is a general principle of European Union law. In the United States of America, Article VI, Paragraph 2 of the constitution of the United States is known as the Supremacy Clause. This establishes that the federal constitution, and federal law generally, take precedence over state laws, and even state constitutions. The principle of States' Rights is sometimes interpreted as being established by the Tenth Amendment, which says that "The powers not delegated to the United States by the Constitution, nor prohibited by it to the States, are reserved to the States respectively, or to the people."he States respectively, or to the people.")
  • Technologie  + (Technology is the application of knowledgeTechnology is the application of knowledge to reach practical goals in a specifiable and reproducible way. The word technology may also mean the product of such an endeavor. The use of technology is widely prevalent in medicine, science, industry, communication, transportation, and daily life. Technologies include physical objects like utensils or machines and intangible tools such as software. Many technological advancements have led to societal changes. The earliest known technology is the stone tool, used in the prehistoric era, followed by fire use, which contributed to the growth of the human brain and the development of language in the Ice Age. The invention of the wheel in the Bronze Age enabled wider travel and the creation of more complex machines. Recent technological developments, including the printing press, the telephone, and the Internet have lowered communication barriers and ushered in the knowledge economy. While technology contributes to economic development and human prosperity, it can also have negative impacts like pollution or resource depletion, or cause social harms like technological unemployment caused by automation. As a result, philosophical and political debates have arisen over the role and use of technology, the ethics of technology, and the mitigation of technology's potential downsides. Historical and contemporary movements like neo-Luddism and anarcho-primitivism criticize technology's pervasiveness, while adherents to transhumanism and techno-progressivism actively support technological change, viewing it as emancipatory. Many negative impacts of technology can be mitigated through technological innovations like renewable energy in transportation and industry, genetically modified crops to address soil depletion, and space exploration to mitigate global catastrophic risks.ion to mitigate global catastrophic risks.)
  • Fiducie foncière communautaire  + (Un Community Land Trust, appelé en droit fUn Community Land Trust, appelé en droit français organisme foncier solidaire, est une personne morale à but non lucratif ayant pour objet de détenir la propriété de terrains sur lesquels des logements sont bâtis, et ce afin que ces derniers restent perpétuellement à coût abordable, et nettement inférieurs au prix du marché.et nettement inférieurs au prix du marché.)
  • Logiciel libre  + (Un logiciel libre est un logiciel dont l'uUn logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus. Ces droits peuvent être simplement disponibles — cas du domaine public — ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs ». Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l'instrument d'un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l'utilisateur. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : </br>* les gratuiciels (freewares) : un gratuiciel est un logiciel gratuit propriétaire, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Si la nature du logiciel libre facilite et encourage son partage, ce qui tend à le rendre gratuit, elle ne s'oppose pas pour autant à sa rentabilité principalement via des services associés. Les rémunérations sont liées par exemple aux travaux de création, de développement, de mise à disposition et de soutien technique. D'un autre côté les logiciels gratuits ne sont pas nécessairement libres, car leur code source n'est pas systématiquement accessible et leur licence peut ne pas correspondre à la définition du logiciel libre. </br>* l’open source : le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social qui repose sur les principes de Liberté, Égalité, Fraternité ; l’open source quant à lui, décrit pour la première fois dans La Cathédrale et le Bazar, s'attache aux avantages d'une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source.ravers de la réutilisation du code source.)
  • Politiques publiques  + (Une politique publique est un concept de sUne politique publique est un concept de science politique qui désigne les « interventions d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale sur un domaine spécifique de la société ou du territoire ». La sociologie politique utilise ce concept afin d'analyser l'ensemble de ces interventions dans les différentes étapes de leur mise en œuvre, aussi bien que dans leur genèse ou au travers de leurs conséquences (il est alors question de « sociologie de l’action publique »). La science administrative tend plutôt à analyser et à évaluer une politique publique en fonction de sa capacité à atteindre les objectifs qui lui ont été assignés, ainsi qu'en fonction de l'efficacité des moyens déployés. Dans ce cadre, les politiques publiques peuvent également être décrites comme « un ensemble d'actions coordonnées, réalisées par une puissance publique, dans l'optique d'obtenir une modification ou une évolution d'une situation donnée ». Étudier leur impact permet de décrire la capacité qu'a une puissance publique à gérer les attentes et les problèmes propres à la société ou au pan de société concerné(e) et à agir en fonction d'une stratégie publique, de court, moyen ou long terme. Les domaines concernés peuvent être de toute nature : infrastructure, santé, famille, logement, emploi, formation professionnelle, recherche, fonction publique, crise, déficit... L’évaluation des politiques publiques, présentée comme un nouvel outil d’aide à la décision publique, est apparue aux États-Unis dans les années 1960 avant de se développer au Royaume-Uni, dans les pays scandinaves puis dans les autres démocraties occidentales vingt ans plus tard. La Commission européenne en a fait notamment une exigence règlementaire systématique dans le cadre des financements alloués aux États membres à partir des années 1990.ux États membres à partir des années 1990.)
  • Collaboration  + (La collaboration est l'acte de travailler La collaboration est l'acte de travailler ou de réfléchir ensemble pour atteindre un objectif. Dans son sens commun, la collaboration est un processus par lequel deux ou plusieurs personnes ou organisations s’associent pour effectuer un travail intellectuel suivant des objectifs communs. Des méthodes structurées de collaboration encouragent l'introspection de comportements et communication. Ces méthodes ont pour objectif spécifique l'augmentation du taux de réussite des équipes quand elles se livrent à la résolution de problèmes en collaboration. Des schémas, rubriques et graphiques sont utiles afin de documenter objectivement les traits de personnalité afin d'améliorer les résultats des projets actuels et à venir. résultats des projets actuels et à venir.)
  • Ville  + (A city is a large human settlement. It canA city is a large human settlement. It can be defined as a permanent and densely settled place with administratively defined boundaries whose members work primarily on non-agricultural tasks. Cities generally have extensive systems for housing, transportation, sanitation, utilities, land use, production of goods, and communication. Their density facilitates interaction between people, government organisations and businesses, sometimes benefiting different parties in the process, such as improving efficiency of goods and service distribution. Historically, city-dwellers have been a small proportion of humanity overall, but following two centuries of unprecedented and rapid urbanization, more than half of the world population now lives in cities, which has had profound consequences for global sustainability. Present-day cities usually form the core of larger metropolitan areas and urban areas—creating numerous commuters traveling towards city centres for employment, entertainment, and education. However, in a world of intensifying globalization, all cities are to varying degrees also connected globally beyond these regions. This increased influence means that cities also have significant influences on global issues, such as sustainable development, global warming, and global health. Because of these major influences on global issues, the international community has prioritized investment in sustainable cities through Sustainable Development Goal 11. Due to the efficiency of transportation and the smaller land consumption, dense cities hold the potential to have a smaller ecological footprint per inhabitant than more sparsely populated areas. Therefore, compact cities are often referred to as a crucial element of fighting climate change. However, this concentration can also have significant negative consequences, such as forming urban heat islands, concentrating pollution, and stressing water supplies and other resources. Other important traits of cities besides population include the capital status and relative continued occupation of the city. For example, country capitals such as Beijing, London, Mexico City, Moscow, Nairobi, New Delhi, Paris, Rome, Athens, Seoul, Singapore, Tokyo, Manila, and Washington, D.C. reflect the identity and apex of their respective nations. Some historic capitals, such as Kyoto and Xi'an, maintain their reflection of cultural identity even without modern capital status. Religious holy sites offer another example of capital status within a religion, Jerusalem, Mecca, Varanasi, Ayodhya, Haridwar and Prayagraj each hold significance.dwar and Prayagraj each hold significance.)
  • Communauté  + (A community is a social unit (a group of lA community is a social unit (a group of living things) with commonality such as place, norms, religion, values, customs, or identity. Communities may share a sense of place situated in a given geographical area (e.g. a country, village, town, or neighbourhood) or in virtual space through communication platforms. Durable good relations that extend beyond immediate genealogical ties also define a sense of community, important to their identity, practice, and roles in social institutions such as family, home, work, government, society, or humanity at large. Although communities are usually small relative to personal social ties, "community" may also refer to large group affiliations such as national communities, international communities, and virtual communities. The English-language word "community" derives from the Old French comuneté (Modern French: communauté), which comes from the Latin communitas "community", "public spirit" (from Latin communis, "common"). Human communities may have intent, belief, resources, preferences, needs, and risks in common, affecting the identity of the participants and their degree of cohesiveness.icipants and their degree of cohesiveness.)
  • Hospitaux  + (A hospital is a health care institution prA hospital is a health care institution providing patient treatment with specialized health science and auxiliary healthcare staff and medical equipment. The best-known type of hospital is the general hospital, which typically has an emergency department to treat urgent health problems ranging from fire and accident victims to a sudden illness. A district hospital typically is the major health care facility in its region, with many beds for intensive care and additional beds for patients who need long-term care. Specialized hospitals include trauma centers, rehabilitation hospitals, children's hospitals, seniors' (geriatric) hospitals, and hospitals for dealing with specific medical needs such as psychiatric treatment (see psychiatric hospital) and certain disease categories. Specialized hospitals can help reduce health care costs compared to general hospitals. Hospitals are classified as general, specialty, or government depending on the sources of income received. A teaching hospital combines assistance to people with teaching to health science students and auxiliary healthcare students. A health science facility smaller than a hospital is generally called a clinic. Hospitals have a range of departments (e.g. surgery and urgent care) and specialist units such as cardiology. Some hospitals have outpatient departments and some have chronic treatment units. Common support units include a pharmacy, pathology, and radiology. Hospitals are typically funded by public funding, health organisations (for-profit or nonprofit), health insurance companies, or charities, including direct charitable donations. Historically, hospitals were often founded and funded by religious orders, or by charitable individuals and leaders. Currently, hospitals are largely staffed by professional physicians, surgeons, nurses, and allied health practitioners, whereas in the past, this work was usually performed by the members of founding religious orders or by volunteers. However, there are various Catholic religious orders, such as the Alexians and the Bon Secours Sisters that still focus on hospital ministry in the late 1990s, as well as several other Christian denominations, including the Methodists and Lutherans, which run hospitals. In accordance with the original meaning of the word, hospitals were original "places of hospitality", and this meaning is still preserved in the names of some institutions such as the Royal Hospital Chelsea, established in 1681 as a retirement and nursing home for veteran soldiers.ent and nursing home for veteran soldiers.)
  • Bibliothèques  + (A library is a collection of materials, boA library is a collection of materials, books or media that are accessible for use and not just for display purposes. A library provides physical (hard copies) or digital access (soft copies) materials, and may be a physical location or a virtual space, or both. A library's collection can include printed materials and other physical resources in many formats such as DVD, CD and cassette as well as access to information, music or other content held on bibliographic databases. A library, which may vary widely in size, may be organized for use and maintained by a public body such as a government; an institution such as a school or museum; a corporation; or a private individual. In addition to providing materials, libraries also provide the services of librarians who are trained and experts at finding, selecting, circulating and organizing information and at interpreting information needs, navigating and analyzing very large amounts of information with a variety of resources. Library buildings often provide quiet areas for studying, as well as common areas for group study and collaboration, and may provide public facilities for access to their electronic resources; for instance: computers and access to the Internet. The library's clientele and services offered vary depending on its type: users of a public library have different needs from those of a special library or academic library, for example. Libraries may also be community hubs, where programs are delivered and people engage in lifelong learning. Modern libraries extend their services beyond the physical walls of a building by providing material accessible by electronic means, including from home via the Internet. The services the library offers are variously described as library services, information services, or the combination "library and information services", although different institutions and sources define such terminology differently.urces define such terminology differently.)
  • Anthropomorphisme  + (Anthropomorphism is the attribution of humAnthropomorphism is the attribution of human traits, emotions, or intentions to non-human entities. It is considered to be an innate tendency of human psychology. Personification is the related attribution of human form and characteristics to abstract concepts such as nations, emotions, and natural forces, such as seasons and weather. Both have ancient roots as storytelling and artistic devices, and most cultures have traditional fables with anthropomorphized animals as characters. People have also routinely attributed human emotions and behavioral traits to wild as well as domesticated animals.s to wild as well as domesticated animals.)
  • Productivisme  + (Apparu au début du XXe siècle, le productivisme est « un système d'organisation de la vie économique dans lequel la production est donnée comme objectif premier ». Il ne doit pas être confondu avec la recherche de la productivité.)
  • Métier (corporation)  + (Au sens large, une corporation est une réuAu sens large, une corporation est une réunion durable de personnes poursuivant un but commun, et dont l'état ne dépend pas du changement de ses membres. Le mot vient du latin corporari (« se former en corps »), et désigne une personne morale dont les membres (personnes physiques et/ou morales) possèdent en général une même caractéristique (par exemple, l'exercice d'une fonction). Les corporations peuvent être de droit privé mais sont en général (dans un sens plus contemporain du terme) instituée par une loi et de droit public. Les corporations se distinguent des établissements, qui sont groupements de biens affectés à un certain but. Au sens large du terme, les associations, syndicats et apparentés, qui sont des regroupements volontaires de droit privé sont donc des corporations. Le corporatisme peut désigner, selon qu'il prend ou non une connotation péjorative, la tendance qu'ont les membres d'un corps professionnel ou administratif à privilégier leurs intérêts matériels au détriment de ceux du public qu'ils servent (consommateurs, administrés, justiciables, usagers, élèves, clients, patients, etc.) usagers, élèves, clients, patients, etc.))
  • Barcelona en Comú  + (Barcelone en commun (en catalan : BarcelonBarcelone en commun (en catalan : Barcelona en comú, en espagnol : Barcelona en común), initialement Gagnons Barcelone (en catalan : Guanyem Barcelona), est un parti politique espagnol de gauche radicale et écologiste, constitué en vue des élections municipales de 2015 à Barcelone, qu'il a remportées. Après quatre ans de gouvernement conjoint avec d'autre formations de gauche, le parti se représente aux élections municipales de 2019, à l'issue desquelles il arrive deuxième et perd un siège.elles il arrive deuxième et perd un siège.)
  • Collaboration  + (Collaboration (from Latin com- "with" + laCollaboration (from Latin com- "with" + laborare "to labor", "to work") is the process of two or more people, entities or organizations working together to complete a task or achieve a goal. Collaboration is similar to cooperation. Most collaboration requires leadership, although the form of leadership can be social within a decentralized and egalitarian group. Teams that work collaboratively often access greater resources, recognition and rewards when facing competition for finite resources. Structured methods of collaboration encourage introspection of behavior and communication. Such methods aim to increase the success of teams as they engage in collaborative problem-solving. Collaboration is present in opposing goals exhibiting the notion of adversarial collaboration, though this is not a common use of the term. In its applied sense, "(a) collaboration is a purposeful relationship in which all parties strategically choose to cooperate in order to accomplish a shared outcome." in order to accomplish a shared outcome.")
  • Résilience communautaire  + (Community resilience is the sustained abilCommunity resilience is the sustained ability of a community to use available resources (energy, communication, transportation, food, etc.) to respond to, withstand, and recover from adverse situations (e.g. economic collapse to global catastrophic risks). This allows for the adaptation and growth of a community after disaster strikes. Communities that are resilient are able to minimize any disaster, making the return to normal life as effortless as possible. By implementing a community resilience plan, a community can come together and overcome any disaster, while rebuilding physically and economically. Due to its high complexity the discussion on resilient societies has increasingly been considered from an inter- and transdisciplinary scope. Around 2010 the French-speaking discourse coined the notion of collapsology (collapse science), discussing the resilience of societal systems and possible scenarios for societal transformations in the face of a variety of factors, such as dependence on fossil fuels, overpopulation, loss of biodiversity, and instability of the financial system. The controversial term was created by Pablo Servigne (an agricultural engineer) who, with Raphaël Stevens, wrote the book Comment tout peut s'effondrer (literally, "How everything can collapse"). Another, decidedly transdisciplinary approach which has been coined in late 2010s by German researcher Karim Fathi is the concept of "multiresilience" taking into account the fact that crises in the 21st century are interconnected, multi-dimensional and occurring on multiple system levels. Challenges such as the COVID-19 pandemic (individuals, organisations, societies alike) occur simultaneously, often even in interconnected and clustered forms. From a cross-disciplinary perspective, Karim Fathi outlines five systemic principles contributing to increased collective intelligence, responsiveness and creativity of societies in the face of multiple crises occurring simultaneously. Multiresilience is regarded as complementary to already established concepts for assessing and promoting societal resilience potentials. At the same time it criticises the fact that societal resilience has so far always been discussed from a mono-crisis persperctive. According to Karim Fathi, this onesided perspective" proves to be inadequate in terms of complexity, as societies in the 21st century have to deal with many global challenges - so-called „crisis-bundles“ - in the same time. Multiresilience aims to build up "basic robustness" in the sense of higher collective intelligence, which makes societies more capable of anticipating, reacting and solving problems in different crisis contexts.ing problems in different crisis contexts.)
  • Coworking  + (Cotravail Le coworking, ou cotravail, est Cotravail Le coworking, ou cotravail, est une méthode d'organisation du travail qui regroupe un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs pratiquant l'échange et l'ouverture ; juridiquement cela se traduit par une location d'espaces partagés de travail. En d'autres termes, le cotravail qui constitue l'un des domaines de l'économie collaborative, laquelle est par essence non commerciale, est souvent présenté comme un contexte favorisant l'innovation. Les espaces de cotravail sont en pleine expansion et jouent un rôle important en favorisant la structuration d'un véritable réseau de cotravailleurs facilitant à la fois échanges directs, réseautage, coopération et créativité.ts, réseautage, coopération et créativité.)
  • Creative commons  + (Creative Commons (CC) est une association Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif.th et aux États-Unis) est plus restrictif.)
  • Communes  + (Dans certains pays, une commune est une ciDans certains pays, une commune est une circonscription territoriale pouvant correspondre à une ville, à un bourg avec ses villages et hameaux ou à un groupe de villages. Dans la plupart des cas, la commune constitue la plus petite subdivision administrative. Elle est souvent dirigée par un maire ou bourgmestre.uvent dirigée par un maire ou bourgmestre.)
  • Biomasse  + (Dans le domaine de l'énergie, la biomasse Dans le domaine de l'énergie, la biomasse est la matière organique d'origine végétale (microalgues incluses), animale, bactérienne ou fongique (champignons), utilisable comme source d'énergie (bioénergies). Cette énergie peut en être extraite par combustion directe (ex. : bois énergie), ou par combustion après un processus de transformation de la matière première, par exemple la méthanisation (biogaz, ou sa version épurée le biométhane) ou d'autres transformations chimiques (dont la pyrolyse, la carbonisation hydrothermale et les méthodes de production de biocarburants ou « agrocarburants »). Trois modes de valorisations de la biomasse (co)existent : thermique, chimique et biochimique. La biomasse intéresse à nouveau les pays riches, confrontés au changement climatique et à la perspective d'une crise des ressources en hydrocarbures fossiles ou uranium. Sous certaines conditions, elle répond à des enjeux de développement durable et d'économie circulaire ; en se substituant aux énergies fossiles pour réduire les émissions globales de gaz à effet de serre, en restaurant aussi parfois certains puits de carbone (semi-naturels dans le cas des boisements et haies exploités). En quelques décennies des filières nouvelles sont apparues : agrocarburants, granulés de bois, méthanisation industrielle, créant des tensions sur certaines ressources, avec de nouveaux risques de surexploitation de la ressource et de remplacement de cultures vivrières par des cultures énergétiques. En France, une stratégie nationale de mobilisation de la biomasse (2018) vise à augmenter la quantité de biomasse collectée, en créant le moins possible d'effets collatéraux négatifs sur la biodiversité, les paysages et d'autres filières dépendantes de la même ressource. En 2019, selon l'Agence internationale de l'énergie, la biomasse fournissait 56 813 PJ d'énergie, soit 9,2 % de l'énergie primaire consommée dans le monde, 542,6 TWh d'électricité, soit 2,0 % de la production mondiale d'électricité, et 3,3 % de l'énergie consommée par les transports. Selon un rapport de la Commission européenne, la bioénergie pourrait couvrir jusqu'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.)
  • Confiance  + (Divers philosophes, psychologues et cherchDivers philosophes, psychologues et chercheurs en sciences sociales ont travaillé sur la notion de confiance qui, selon une définition assez largement acceptée, peut être entendue comme « un état psychologique se caractérisant par l'intention d'accepter la vulnérabilité sur la base de croyances optimistes sur les intentions (ou le comportement) d'autrui ». La confiance renvoie à l’idée que l’on peut se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Dans l’étymologie latine, le verbe confier (du latin confidere : cum, « avec » et fidere « fier ») signifie qu’on remet quelque chose de précieux à quelqu’un, en se fiant à lui et en s’abandonnant ainsi à sa bienveillance et à sa bonne foi. Cette origine souligne les liens étroits qui existent entre la confiance, l'espoir, la foi, la fidélité, la confidence, le crédit et la croyance. Confiance est aussi une des vertus chrétiennes plus importantes, particulièrement dans la dévotion à la divine miséricorde. dans la dévotion à la divine miséricorde.)
  • Éducation  + (Education is a purposeful activity directeEducation is a purposeful activity directed at achieving certain aims, such as transmitting knowledge or fostering skills and character traits. These aims may include the development of understanding, rationality, kindness, and honesty. Various researchers emphasize the role of critical thinking in order to distinguish education from indoctrination. Some theorists require that education results in an improvement of the student while others prefer a value-neutral definition of the term. In a slightly different sense, education may also refer, not to the process, but to the product of this process: the mental states and dispositions possessed by educated people. Education originated as the transmission of cultural heritage from one generation to the next. Today, educational goals increasingly encompass new ideas such as the liberation of learners, skills needed for modern society, empathy, and complex vocational skills. Types of education are commonly divided into formal, non-formal, and informal education. Formal education takes place in education and training institutions, is usually structured by curricular aims and objectives, and learning is typically guided by a teacher. In most regions, formal education is compulsory up to a certain age and commonly divided into educational stages such as kindergarten, primary school and secondary school. Nonformal education occurs as addition or alternative to formal education. It may be structured according to educational arrangements, but in a more flexible manner, and usually takes place in community-based, workplace-based or civil society-based settings. Lastly, informal education occurs in daily life, in the family, any experience that has a formative effect on the way one thinks, feels, or acts may be considered educational, whether unintentional or intentional. In practice there is a continuum from the highly formalized to the highly informalized, and informal learning can occur in all three settings. For instance, homeschooling can be classified as nonformal or informal, depending upon the structure. Regardless of setting, educational methods include teaching, training, storytelling, discussion, and directed research. The methodology of teaching is called pedagogy. Education is supported by a variety of different philosophies, theories and empirical research agendas. There are movements for education reforms, such as for improving quality and efficiency of education towards relevance in students' lives and efficient problem solving in modern or future society at large, or for evidence-based education methodologies. A right to education has been recognized by some governments and the United Nations. Global initiatives aim at achieving the Sustainable Development Goal 4, which promotes quality education for all. which promotes quality education for all.)
  • Plateforme  + (En informatique, une plateforme ou plate-fEn informatique, une plateforme ou plate-forme est un environnement permettant la gestion ou l'utilisation de services applicatifs. La terminologie peut notamment désigner : </br>* un système d'exploitation ou un noyau ; </br>* un environnement d'exécution comme une machine virtuelle ; </br>* un environnement de développement, à condition qu'il intègre son environnement d'exécution ; </br>* un serveur web ou d'applications, notamment une plateforme de téléchargement ; </br>* une application web ou logicielle, par exemple : </br>* un espace numérique de travail (ENT), </br>* un SGBD, </br>* une , </br>* une plateforme de vidéo à la demande, </br>* une plateforme de jeux vidéo, </br>* une plateforme de réseaux sociaux, </br>* un centre de maintenance pour un appareil ou un réseau informatique, </br>* une plateforme d'intermédiation. </br>* Portail de l’informatiquetermédiation. * Portail de l’informatique)
  • Culture  + (En philosophie, le mot culture désigne ce En philosophie, le mot culture désigne ce qui est différent de la nature. En sociologie, comme en éthologie, la culture est définie de façon plus étroite comme « ce qui est commun à un groupe d'individus » et comme « ce qui le soude », c'est-à-dire ce qui est appris, transmis, produit et inventé. Ainsi, pour une organisation internationale comme l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd’hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels, matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les lois, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances ». Ce « réservoir commun » évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en de multiples manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de communiquer en société. Par abus de langage, le mot « culture » est employé pour désigner presque exclusivement l'offre de pratiques et de services culturels dans les sociétés modernes, et en particulier dans le domaine des arts et des lettres.r dans le domaine des arts et des lettres.)
  • Biens publics  + (En économie, un bien public est un bien noEn économie, un bien public est un bien non rival ou non excluable. La consommation de ce bien par un agent n'affecte donc pas la quantité disponible pour les autres agents (non-rivalité). Il est impossible d'exclure un agent de l'utilisation de ce bien, même s'il n'a pas participé à son financement. Un bien public pur est un bien non rival et non excluable, il est impossible de faire payer l'accès à ce bien (non-excluabilité). Par exemple, une émission de radio est un bien public. C'est un bien non rival au sens où lorsqu'un agent écoute une émission de radio, il n'empêche aucun autre agent de l'écouter. C'est un bien non excluable au sens où les technologies des ondes radio ne permettent pas de restreindre l'accès à ce bien à ceux qui le financeraient. La notion de bien public mondial (ou ) désigne des biens publics très étendus comme la qualité de l'air, la biodiversité ou la situation climatique mondiale.rsité ou la situation climatique mondiale.)
  • Hacktivisme  + (In Internet activism, hacktivism, or hactiIn Internet activism, hacktivism, or hactivism (a portmanteau of hack and activism), is the use of computer-based techniques such as hacking as a form of civil disobedience to promote a political agenda or social change. With roots in hacker culture and hacker ethics, its ends are often related to free speech, human rights, or freedom of information movements. Hacktivist activities span many political ideals and issues. Freenet, a peer-to-peer platform for censorship-resistant communication, is a prime example of translating political thought and freedom of speech into code. Hacking as a form of activism can be carried out through a network of activists, such as Anonymous and WikiLeaks, or through a singular activist, working in collaboration toward common goals without an overarching authority figure. "Hacktivism" is a controversial term with several meanings. The word was coined to characterize electronic direct action as working toward social change by combining programming skills with critical thinking. But just as hack can sometimes mean cyber crime, hacktivism can be used to mean activism that is malicious, destructive, and undermining the security of the Internet as a technical, economic, and political platform. According to the United States 2020-2022 Counterintelligence Strategy, in addition to state adversaries and transnational criminal organizations, "ideologically motivated entities such as hacktivists, leaktivists, and public disclosure organizations, also pose significant threats".nizations, also pose significant threats".)
  • Économie collaborative  + (In capitalism, the sharing economy is a soIn capitalism, the sharing economy is a socio-economic system built around the sharing of resources. It often involves a way of purchasing goods and services that differs from the traditional business model of companies hiring employees to produce products to sell to consumers. It includes the shared creation, production, distribution, trade and consumption of goods and services by different people and organisations. These systems take a variety of forms, often leveraging information technology (particularly digital platforms) to empower individuals, corporations, non-profits and government with information that enables distribution, sharing and reuse of excess capacity in goods and services. There are two main types of sharing economy initiatives: </br>* Non-profit, usually based on the concept of book-lending libraries, in which goods and services are provided for free (or sometimes for a modest subscription). </br>* Commercial, in which a company provides a service to customers for profit.rovides a service to customers for profit.)
  • Abusus  + (L'abusus est l'un des attributs du droit dL'abusus est l'un des attributs du droit de propriété, le droit de disposer de son bien, qu'il s'agisse de la disposition juridique de son bien par l'aliénation (vente ou don) ou matérielle par la destruction. L'abusus peut être détenu par le propriétaire, le possesseur, mais en aucun cas par l'usufruitier. Il est un des démembrements du droit de propriété avec l’usus, le droit d'user d'une chose sans en percevoir les fruits (le droit d'habiter dans une maison dont on a l’usus) et le fructus, le droit d'en percevoir les fruits et revenus (le droit de louer et de percevoir les loyers d'une maison dont on a le fructus). Usus et fructus étant couramment réunis dans l'usufruit. L'abusus est un droit réel en ce sens qu'il s'exerce sur une chose.l en ce sens qu'il s'exerce sur une chose.)
  • Agriculture vivrière  + (L'agriculture vivrière est une agricultureL'agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l'autoconsommation et l'économie de subsistance. La production, rarement excédentaire, n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à l'exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans et la population locale. Cette forme d'agriculture, courante dans les jardins du monde entier, demeure d'une importance capitale dans les pays les moins avancés où elle permet aux populations rurales, sans autre ressource, de se nourrir. Ses faibles rendements, générant peu d'excédent, ne permettent toutefois pas à ces populations de sortir de la pauvreté. Elle impose également d'accepter de ne consommer que des produits de saison et de gérer la période de soudure. Le caractère localisé de la production, sans accès aux marchés mondiaux, rend en outre les agriculteurs vivriers particulièrement vulnérables aux conséquences des événements climatiques locaux (sécheresse, catastrophe naturelle, saison des pluies tardive ou précoce, etc...). Elle représente environ 20 % de la production alimentaire mondiale. Par l'importance qu'elle accorde aux semences paysannes — on estime à environ 1,4 milliard les agriculteurs utilisant des procédés traditionnels de sélection — elle favorise fortement la biodiversité.— elle favorise fortement la biodiversité.)
  • Architecture  + (L'architecture est l'art majeur de concevoL'architecture est l'art majeur de concevoir des espaces et de bâtir des édifices, en respectant des règles de construction empiriques ou scientifiques, ainsi que des concepts esthétiques, classiques ou nouveaux, de forme et d'agencement d'espace, en y incluant les aspects sociaux et environnementaux liés à la fonction de l'édifice et à son intégration dans son environnement, quelle que soit cette fonction : habitable, sépulcrale, rituelle, institutionnelle, religieuse, défensive, artisanale, commerciale, scientifique, signalétique, muséale, industrielle, monumentale, décorative, paysagère, voire purement artistique. C'est pourquoi l'architecture est définie comme « une expression de la culture ». Elle est reconnue comme le premier des arts majeurs dans la classification des arts, communément admise, du XXe siècle, des 9 arts majeurs et fait partie des beaux-arts. L'Architecture désigne également l'ensemble des connaissances et des techniques de cet art de concevoir et de construire des structures complexes, englobant les édifices terrestres, les espaces et les paysages modifiés par l'homme répondant à des critères architecturaux, les artefacts habitables naviguant sur l'eau et sous l'eau (architecture navale) et dans l'espace (architecture spatiale), que l'humanité a pu imaginer et réaliser au fil des millénaires. L'architecture intègre le domaine de la planification spatiale et met en pratique les méthodes de la planification au service de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme. On distingue différentes échelles de la planification spatiale : </br>* le territoire national : l'aménagement du territoire ; </br>* la région, le massif ou une bande littorale : la planification régionale ; </br>* le quartier, la ville, jusqu'à l'agglomération : l'urbanisme ; </br>* l'îlot ou un groupe de bâtiments dont la composition n'atteint pas la superficie du quartier : la composition urbaine ; </br>* le bâtiment : l'architecture. C'est ainsi que dans le cadre des études d'aménagement et urbanisme, on retrouve l'architecte le plus souvent autour des réflexions de la composition urbaine via la pratique de la conception urbaine. via la pratique de la conception urbaine.)
  • Auto-organisation  + (L'auto-organisation ou autoorganisation esL'auto-organisation ou autoorganisation est un phénomène par lequel un système s'organise lui-même. Les systèmes physiques, biologiques ou écologiques, sociaux, ont tendance à s'organiser d'eux-mêmes. Il s'agit soit de l'organisation initiale du système lors de son émergence spontanée, soit lorsque le système existe déjà de l'apparition d'une organisation plus structurée ou complexe. L'auto-organisation agit ainsi à l'encontre de l'entropie (on parle alors de néguentropie), qui est une mesure de désordre. L'auto-organisation se produit par des interactions internes et externes au système, au sein de son milieu et avec lui. Elle consomme de l'énergie qui sert ainsi à établir et maintenir le système auto-organisé. L'auto-organisation s'oppose aux cas où un système est organisé ou réorganisé de force de l'extérieur, c'est-à-dire à la violence, aux actes de pouvoir : cela rejoint aussi le contraste entre autonomie et hétéronomie. Typiquement, un système auto-organisé a des propriétés émergentes. Passé un seuil critique de complexité, les systèmes peuvent aussi changer d'état, ou passer d'une phase instable à une phase stable ou inversement. S'ils croissent, leur croissance peut changer de rythme ; on peut observer le passage d'une croissance initiale d'apparence exponentielle à une croissance logistique en cas de diminution des ressources.tique en cas de diminution des ressources.)