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- Paysages + (Un paysage est une étendue spatiale couver … Un paysage est une étendue spatiale couverte par un point de vue. C'est un ensemble interdépendant au fonctionnement, à la mécanique, autonome formé d'une continuité d'éléments sédimentés et dont l'on ne perçoit qu'une globalité. Son caractère « résulte de l'action et de l'interaction de facteurs naturels et/ou humains » ajoute le Conseil de l'Europe. La notion de paysage a une dimension esthétique forte, voire picturale ou littéraire en tant que représentation, mais elle recouvre de nombreuses acceptions et le paysage manifeste aussi les politiques d'aménagement du territoire, voire la géopolitique. Un paysage est d'abord appréhendé visuellement, mais les parfums et ambiances sonores en modifient aussi la perception (on parle parfois de paysage sonore). Par extension, comme le terme panorama, dans des expressions comme « paysage politique » ou « paysage médiatique », il peut désigner un ensemble contextuel, la vision des choses à un temps donné, le paysage étant en constante évolution., le paysage étant en constante évolution.)
- Bibliothèques + (Une bibliothèque (du grec ancien βιϐλιοθήκ … Une bibliothèque (du grec ancien βιϐλιοθήκη : biblio, « livre » ; thêkê, « dépôt ») est le lieu où est conservée et lue une collection organisée de livres. Il existe des bibliothèques privées — y compris de riches bibliothèques ouvertes au public — et des bibliothèques publiques. Les bibliothèques proposent souvent d'autres documents (journaux, périodiques, enregistrements sonores, enregistrements vidéo, cartes et plans, partitions) ainsi que des accès à internet et sont parfois appelées médiathèques. La majorité des bibliothèques (municipales, universitaires) permettent gratuitement la consultation sur place ainsi que le prêt de documents. D'autres, comme la Bibliothèque publique d'information et la bibliothèque nationale de France notamment, n'autorisent que la consultation sur place. Elles peuvent alors être divisées en salles de lectures, ouvertes au public, et en magasins bibliothécaires, fermés, pour le stockage de livres moins consultés. D'autres espaces, ouverts ou non au public, peuvent s'ajouter. En 2010, avec plus de 144,5 millions de documents, dont 21,8 millions de livres, la plus grande bibliothèque du monde est la bibliothèque du Congrès à Washington D.C.. Néanmoins, la collection cumulée de livres des deux bibliothèques nationales russes atteint 32,5 millions de volumes et la collection de la British Library 150 millions d'articles. D'après l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture la plus vieille bibliothèque du monde encore en activité est la bibliothèque Al Quaraouiyine de Fès au Maroc, elle renferme quatre mille manuscrits d'une valeur inestimable ayant appartenu à des scientifiques universels comme le géographe Al Idrissi, le botaniste Al-Ghassani, ou encore le médecin Avenzoar.l-Ghassani, ou encore le médecin Avenzoar.)
- Communauté + (Une communauté est un groupe humain dont l … Une communauté est un groupe humain dont les membres sont unis par un lien social. En biologie une communauté représente un système au sein duquel des organismes vivants partagent un environnement commun et interagissent. La notion de communauté est également un concept du droit qui désigne un groupe de personnes possédant et jouissant de façon indivise d'un patrimoine en commun. En France, s'oppose traditionnellement à celui de société et d'association qui reposent sur un pacte ou une convention volontairement formée par ses membres. Par extension, la communauté désigne uniquement les biens qui sont communs à plusieurs personnes. Dans son usage politique actuel le plus courant, le mot communauté évoque des collectivités historiques ou culturelles. En France, le terme est souvent utilisé dans les débats sur les minorités ou le communautarisme, avec une connotation négative. Au Québec, l'expression de communauté culturelle est couramment utilisée sans connotation négative.amment utilisée sans connotation négative.)
- Constitution + (Une constitution est une loi fondamentale … Une constitution est une loi fondamentale qui fixe l'organisation et le fonctionnement d'un organisme, généralement d'un État ou d'un ensemble d'États. Le terme s'écrit parfois avec une majuscule initiale : Constitution. La valeur de la constitution d'un État varie selon le régime en place, elle a généralement une valeur supérieure à la loi. Elle est à la fois l'acte politique et la loi fondamentale qui unit et régit de manière organisée et hiérarchisée l’ensemble des rapports entre gouvernants et gouvernés au sein de cet État, en tant qu'unité d'espace géographique et humain. La constitution protège les droits et les libertés des citoyens contre les abus de pouvoir potentiels des titulaires des pouvoirs (exécutif, législatif, et judiciaire). Si la fiction juridique veut que la constitution fonde et encadre juridiquement l'État, il est entendu que l'histoire politique la précède et peut lui conférer à la fois sa légitimité circonstanciée et la permanence de son autorité. Cette histoire politique est alors réintroduite dans le droit en étant qualifiée de « pouvoir constituant primaire » (le pouvoir souverain qui établit une nouvelle Constitution). Plusieurs pays célèbrent officiellement l'adoption de leur constitution (Fête ou Jour de la constitution ou « Constitution Day » en anglais). Le terme « constitution » est également utilisé pour désigner les règles fondamentales d'organisations autres que des États souverains : on peut ainsi parler de la constitution de l'OIT, du projet de constitution européenne ou de la constitution civile du clergé. Il serait toutefois plus correct, pour ces organisations, d'employer les termes de traité ou d'« acte fondateur ». Dans des États fédéraux, les États fédérés peuvent avoir aussi leurs propres constitutions, comme la Californie aux États-Unis.tions, comme la Californie aux États-Unis.)
- Coopérative + (Une coopérative est la combinaison d'un re … Une coopérative est la combinaison d'un regroupement de personnes et d'une entreprise fondée sur la participation économique des membres, en capital et en opérations. Son organisation et son fonctionnement sont caractérisés par des principes et des valeurs qui confèrent à chaque coopérative un caractère universel, quel que soit son objet ou son secteur d'activité. Une partie de ces principes et valeurs, comme la démocratie à travers l'égalité de voix entre les membres, est traduite en norme juridique. L'identité coopérative s'identifie par sept principes de coopération. Ainsi, pour les prises de décision, elle repose sur le principe démocratique « une personne = une voix » qui devra élire un conseil d'administration qui nommera un directeur général. Les salariés et les membres-usagers sont ainsi tous égaux en droit.es-usagers sont ainsi tous égaux en droit.)
- Co-operative + (Une coopérative est la combinaison d'un re … Une coopérative est la combinaison d'un regroupement de personnes et d'une entreprise fondée sur la participation économique des membres, en capital et en opérations. Son organisation et son fonctionnement sont caractérisés par des principes et des valeurs qui confèrent à chaque coopérative un caractère universel, quel que soit son objet ou son secteur d'activité. Une partie de ces principes et valeurs, comme la démocratie à travers l'égalité de voix entre les membres, est traduite en norme juridique. L'identité coopérative s'identifie par sept principes de coopération. Ainsi, pour les prises de décision, elle repose sur le principe démocratique « une personne = une voix » qui devra élire un conseil d'administration qui nommera un directeur général. Les salariés et les membres-usagers sont ainsi tous égaux en droit.es-usagers sont ainsi tous égaux en droit.)
- Coop + (Une coopérative est la combinaison d'un re … Une coopérative est la combinaison d'un regroupement de personnes et d'une entreprise fondée sur la participation économique des membres, en capital et en opérations. Son organisation et son fonctionnement sont caractérisés par des principes et des valeurs qui confèrent à chaque coopérative un caractère universel, quel que soit son objet ou son secteur d'activité. Une partie de ces principes et valeurs, comme la démocratie à travers l'égalité de voix entre les membres, est traduite en norme juridique. L'identité coopérative s'identifie par sept principes de coopération. Ainsi, pour les prises de décision, elle repose sur le principe démocratique « une personne = une voix » qui devra élire un conseil d'administration qui nommera un directeur général. Les salariés et les membres-usagers sont ainsi tous égaux en droit.es-usagers sont ainsi tous égaux en droit.)
- Universités + (Une université est une institution d'ensei … Une université est une institution d'enseignement supérieur, d'étude et de recherche, constituée par la réunion de divers établissements nommés suivant les traditions « collèges », « facultés », « instituts », « départements », « centres », « sections », « unités » ou écoles spécifiques, mais aussi bibliothèque ou atelier, médiathèque ou musée, etc. formant un ensemble administratif cohérent avec un statut de droit défini, public, privé ou éventuellement mixte. Sous cette égide légale et administrative sont ainsi rassemblées ou monopolisées la production (recherche scientifique), la conservation (publications et bibliothèques) et la transmission (études supérieures) de différents champs choisis d'études et de connaissance. Le mot universitas attesté entre 1214 et 1218 en latin médiéval, dans la pratique de juristes, désigne une communauté, une assemblée ou une corporation, ici, de maîtres et/ou d'élèves universitas magistrorum et scolarium, il est emprunté au vocabulaire des organisations marchandes, en particulier des guildes de commerce et corporations régulant des activités de services marchands. Ces corporations universitaires spécifiques ne caractérisent les premières et rares concentrations d'écoles d'enseignement supérieur de l'Europe méridionale et occidentale qu'à partir de la fin du premier tiers du XIIIe siècle. Il s'agit d'un statut qui permet de faire face aux autorités de l'école ecclésiastique, aux bourgeois de la ville réunis en assemblées ou en communes, voire au besoin à l'autoritarisme régalien ou papal. L'entrée à l'université est généralement restreinte à ceux qui ont préalablement un diplôme d'enseignement secondaire. Le nombre d'étudiants dans les universités du monde est monté en flèche pendant tout le XXe siècle, spécialement depuis la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui un bon fonctionnement des universités et plus généralement de l'enseignement supérieur est considéré comme un atout économique. Aussi, les grands pays européens, pour soutenir la compétition internationale, se sont lancés depuis une dizaine d'années dans un mouvement de réflexion et de réforme de leurs universités.lexion et de réforme de leurs universités.)
- Exploitation agricole intensive + (L'agriculture intensive est un système de … L'agriculture intensive est un système de production agricole fondé sur un accroissement de la production agricole optimisé par rapport à la disponibilité des facteurs de production (moyens humains, matériels et surfaces cultivées). Ce rapport entre volume produit et facteur de production est appelé productivité. L'agriculture intensive existe dans deux systèmes opposés, l'un traditionnel, l'autre moderne. En système traditionnel, les ressources humaines sont nombreuses, la force animale est souvent employée, la biodiversité est élevée et plusieurs espèces complémentaires sont parfois cultivées ensemble, mais les moyens matériels (et souvent les disponibilités foncières) sont rares : l'intensification agricole y est fondée sur l'investissement humain maximal par rapport aux autres facteurs de production. Les impacts environnementaux sont faibles (agriculture extensive au sens large). En système moderne, la situation est inverse : les moyens humains sont en grande partie remplacés par des machines ou robots, l'intensification requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants (engrais, produits phytosanitaires, matériel agricole, énergie). C'est ce deuxième système qui est habituellement désigné par l'appellation « agriculture intensive ». Les caractéristiques (mécanisation, chimisation, standardisation et augmentation de la taille des parcelles) de l'intensification de l'agriculture à l’échelle des parcelles et des paysages, expliquent que les impacts environnementaux y sont plus importants.s environnementaux y sont plus importants.)
- Agriculture biologique + (La agricultura ecológica, orgánica o bioló … La agricultura ecológica, orgánica o biológica es un sistema de cultivo de una explotación agrícola autónoma basada en la utilización óptima de los recursos naturales, sin emplear productos químicos sintéticos, u organismos genéticamente modificados (OGMs) —ni para abono ni para combatir las plagas—ni para cultivos, logrando de esta forma obtener alimentos orgánicos a la vez que se conserva la fertilidad de la tierra y se respeta el medio ambiente. Todo ello de manera sostenible, equilibrada y mantenible. Los principales objetivos de la agricultura orgánica son la obtención de alimentos saludables, de mayor calidad nutritiva, sin la presencia de sustancias de síntesis química y obtenidos mediante procedimientos sostenibles. Este tipo de agricultura es un sistema global de gestión de la producción, que incrementa y realza la salud de los agrosistemas, inclusive la diversidad biológica, los ciclos biológicos y la actividad biológica del suelo. Esto se consigue aplicando, siempre que sea posible, métodos agronómicos, biológicos y mecánicos, en contraposición a la utilización de materiales sintéticos para desempeñar cualquier función específica del sistema. Esta forma de producción, además de contemplar el aspecto ecológico, incluye en su filosofía el mejoramiento de las condiciones de vida de sus practicantes, de tal forma que su objetivo se apega a lograr la sostenibilidad integral del sistema de producción agrícola; o sea, constituirse como un agrosistema social, ecológico y económicamente sostenible. La agricultura natural, la agricultura indígena, la agricultura familiar, la agricultura campesina, son tipos de agricultura natural que buscan el equilibrio con el ecosistema, son sistemas agrícolas sostenibles, que se han mantenido a lo largo del tiempo en distintas regiones del mundo buscando satisfacer la demanda de alimento natural y nutritivo a las personas y los animales, de manera que el agroecosistema mantenga el equilibrio.La agricultura biodinámica, y la permacultura, comparten algunos de sus principios y métodos, pero son más recientes. En esta práctica se puede tomar en cuenta los policultivos que a diferencia de los monocultivos provocan la erosión del suelo y evitan que se aprovechen los recursos del suelo. que se aprovechen los recursos del suelo.)
- Co-gestion + (La cogestión (inglés: co-determination) es … La cogestión (inglés: co-determination) es una práctica en la cual los empleados tienen un papel fundamental en la dirección y gestión de la empresa. La palabra es una traducción literal del alemán Mitbestimmung y los derechos generados en una cogestión difieren según el contexto legal. Las primeras leyes sobre cogestión aparecieron en Alemania en el sector del carbón y el acero. Desde 1974, una ley obliga a que toda empresa de más de 500 empleados tenga representación de los trabajadores en los órganos de dirección. trabajadores en los órganos de dirección.)
- Logiciel open source + (La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, … La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, ou code source ouvert, s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. Le mouvement open source s'est développé en parallèle du mouvement du logiciel libre qui prône des valeurs philosophiques et politiques de justice, l'open source se focalisant sur des considérations techniques de développement logiciel et ne s'opposant pas à l'utilisation de systèmes intégrés combinant logiciels propriétaires et logiciels open source. Dans la pratique toutefois, la très grande majorité des logiciels open source sont également libres, l'exception la plus notable étant les logiciels pratiquant la tivoïsation. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. Les décideurs effectuent d’ailleurs de plus en plus leur choix à partir d’un jugement éclairé, en comparant systématiquement solutions propriétaires et solutions libres.lutions propriétaires et solutions libres.)
- Gestion de l'eau + (La gestion de l'eau est l'activité qui con … La gestion de l'eau est l'activité qui consiste à protéger, planifier, développer, distribuer et gérer l'utilisation optimale des ressources en eau et des milieux aquatiques, des points de vue qualitatif et quantitatif. Ceci inclut la gestion des risques « quantitatifs » et évènements extrêmes de sécheresse et pénurie, d'inondations et de crues, érosion des sols et du trait de côte, d', notamment liés au changement climatique, à la déforestation et à la destruction des zones humides. S'y ajoute les questions de pollutions telluriques des zones côtières et des mers et océans, par les activités humaines, essentiellement charriées par les fleuves. Axée sur le développement des ressources en eau depuis les années 1970, cette activité se tourne sur leur gestion dans les années 1980 et sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les années 1990, cette évolution traduisant la mobilisation du secteur public et privé en faveur du développement durable. En 2017, au moins 196 villes mondiales, soit 1,2 milliard de personnes (20 % de la population) sont considérées comme confrontées à des problèmes de gestion de l’eau selon le CDP (ex. : Miami, Pittsburgh (États-Unis) et Johannesburg (Afrique du Sud), qui dont confrontées à un risque « extrême » d’inondations. Les actions de gestion sont de court, moyen et long termes et pour certaines doivent concerner tout un bassin versant. Elles concernent donc de nombreux acteurs (dont collectivités publiques, entreprises agriculteurs et habitants), entités décisionnelles réunies sous le nom de gouvernance de l'eau. Dans un contexte de marchandisation l'eau est de plus en plus perçue comme une ressource naturelle précieuse et un bien commun à partager avec les autres êtres vivants de la planète ; une ressource limitée et inégalement répartie, à utiliser de manière économe et à dépolluer avant de la rendre au milieu naturel.luer avant de la rendre au milieu naturel.)
- Gestion de l'eau + (La gestión del agua o la gestión de recurs … La gestión del agua o la gestión de recursos hídricos es la actividad de planificar, desarrollar, distribuir y dirigir el uso óptimo de los recursos hídricos. Es un subconjunto de la . A veces se la denomina "gestión sostenible de recursos hídricos", pero es una redundancia, porque toda gestión óptima es necesariamente sostenible. El agua es esencial para la supervivencia de los seres vivos. La gestión del agua deberá continuar adaptándose a los cambios actuales y futuros en la existencia y asignación de estos recursos. Con la creciente incertidumbre por el calentamiento mundial y con los impactos a largo plazo de las acciones de gestión, la toma de decisiones será aún más difícil. Es probable que el calentamiento mundial lleve a situaciones aún no experimentadas. En consecuencia se buscan estrategias alternativas de gestión para evitar contratiempos en la asignación de recursos hídricos. Idealmente, la planificación de los recursos hídricos debe considerar todas las demandas de agua (sanitaria, agricultura, industria, medio ambiente), que compiten entre sí por un recurso escaso. La planificación busca repartir equitativamente el agua para satisfacer todas las demandas. Al igual que en otros casos de gestión de recursos, esto rara vez resulta posible en la práctica. Uno de las mayores preocupaciones sobre los recursos hídricos es la sostenibilidad de su asignación actual y futura. Cuando el agua deviene más escasa, crece enormemente la importancia de cómo se gestiona. Encontrar un equilibrio entre lo que necesitan las personas y lo que necesita el medio ambiente es un paso importante en la sostenibilidad de los recursos hídricos.a sostenibilidad de los recursos hídricos.)
- Justice sociale + (La justice sociale est une construction mo … La justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et conçoit la nécessité d'une solidarité collective entre les personnes d'une société donnée. L'entrée correspondant à ce terme dans le Dictionnaire des sciences économiques et sociales le fait reposer théoriquement sur deux principes. Soit, un premier principe d'équité, avec lequel il ne faut pas confondre celui de justice, et qui s'entend plutôt comme le principe du « à chacun son dû ». Dans ce cas, la part individuelle revenant à celui qui bénéficie du traitement équitable doit être conforme aux attentes les plus généralement exprimées dans une société à l'égard des autres parts individuelles. Soit, un second principe, dit moral, d'une prémisse d'égalité entre tous les membres composants la société. Dans ce cas, la notion de justice sociale est essentiellement une projection vers une société plus juste, en admettant qu'il y ait toujours des injustices. On peut le voir soit comme une utopie, soit comme une démarche allant vers plus de progressisme. Ce premier partage définitoire permet de tracer plusieurs règles générales d'application de la justice sociale. La justice sociale est dite commutative quand elle est fondée sur l'idée que la pure réciprocité doit exister entre les membres et la société (chacun reçoit en contrepartie mesurée d'un effort fourni). Elle sera, en revanche, qualifiée de distributive, si elle vise à donner à chacun la part qui lui revient pour vivre décemment, en se réservant de préciser quels critères ou catégories seront utilisés pour élaborer cette distribution (économique, sociale, culturelle). Les actions ayant pour objectif de rétablir une justice sociale visent à élaborer un meilleur système de répartitions, où chaque individu a et conserve les mêmes chances de réussite tout au long des situations de sa vie d'individu. Ainsi, on parle parfois d'« égalité des chances ». Les corrections nécessaires peuvent être sociales, financières ou culturelles. La justice sociale peut aussi se définir de manière négative : est injuste ce qui n'est pas acceptable socialement. Par exemple, les inégalités de salaires entre métiers de qualifications différentes sont le plus souvent considérées comme justes, parce qu'elles sont socialement acceptées par la majorité. Il existe une distinction entre justice sociale (ou équité) et égalité. La justice sociale est aussi une notion qui évolue dans le temps, ce qui est juste socialement peut devenir injuste si le contexte change (voir sociologie de la justice sociale). Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : 1. </br>* garantie des libertés de base égales pour tous ; 2. </br>* égalité des chances ; 3. </br>* maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.alités qui profitent aux plus défavorisés.)
- Souveraineté alimentaire + (La souveraineté alimentaire est un concept … La souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par Via Campesina lors du Sommet de l'alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996. Il a depuis été repris et précisé par divers courants altermondialistes lors de différents Forums Sociaux Mondiaux. La souveraineté alimentaire est présentée comme un droit international qui laisse la possibilité aux populations, aux États ou aux groupes d'États de mettre en place les politiques agricoles les mieux adaptées à leurs populations sans qu'elles puissent avoir un effet négatif sur les populations d'autres pays. Elle se construit à l'origine dans l'objectif de permettre le respect des droits des paysans. La souveraineté alimentaire est donc une rupture par rapport à l'organisation actuelle des marchés agricoles mise en œuvre par l'OMC. Complémentaire du concept de sécurité alimentaire qui concerne la quantité d'aliments disponibles, l'accès des populations à ceux-ci, l'utilisation biologique des aliments et le problème de la prévention et gestion des crises, la souveraineté alimentaire accorde en plus une importance aux conditions sociales et environnementales de production des aliments. Elle prône un accès plus équitable à la terre pour les paysans pauvres, au moyen si nécessaire d'une réforme agraire et de mécanismes de sécurisation des droits d'usage du foncier. Au niveau local, les défenseurs de la souveraineté alimentaire favorisent le maintien d'une agriculture de proximité destinée en priorité à alimenter les marchés régionaux et nationaux. Les cultures vivrières et l'agriculture familiale de petite échelle sont présentées par les défenseurs de la souveraineté alimentaire comme étant d'une grande efficacité économique[réf. nécessaire], sociale[réf. nécessaire] et environnementale[réf. nécessaire], comparée à l'agriculture industrielle et les plantations de grande échelle où travaillent de nombreux salariés. La place et le rôle des femmes sont privilégiés. La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture. des plantes transgéniques en agriculture.)
- Sécheresse + (La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ défi … La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ définit l'état d'un environnement confronté à un manque d'eau significativement long et important pour qu'il ait des impacts sur la flore (naturelle ou cultivée), la faune (sauvage ou d'élevage) et les sociétés. Sécheresse ne doit pas être confondu avec aridité. Une région aride peut connaître des épisodes de sécheresse. Le déficit hydrique est une situation naturelle du point de vue de la variabilité climatique (par exemple, les périodes glaciaires/interglaciaires du Quaternaire, les cycles El Niño / La Niña, etc.) mais, selon certains climatologues certaines situations de déficit hydrique sont amplifiées (durée, extension spatiale, intensité) par l'émission humaine de gaz à effet de serre. Il fait suite à un déficit pluviométrique, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification accélérée d'origine anthropique), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs). La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier dans les régions de peu de ressources économiques. La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau de l'homme (savoir les applications agricoles – agriculture, du bétail – industrielles, domestiques de l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire – piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés. La sécheresse s'initie par une sécheresse météorologique se produisent généralement lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion d'une perturbation atmosphérique et peuvent alors mener la région surplombée par celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans précipitations.onc avec un peu voire sans précipitations.)
- Justice environnementale + (Le concept de justice environnementale app … Le concept de justice environnementale applique les théories de la justice au champ de l'environnement et de l'écologie. Il découle de la prise en compte de l'environnement et des services écosystémiques qu'il permet comme du « bien commun. » La justice environnementale peut aussi concerner les effets du dérèglement climatique ; dans ce contexte on parle parfois d'injustice et/ou de « justice climatique ». Ce concept sous-tend qu'il existe des droits sur la nature pour tous et chacun ; individus, familles, collectivités, entreprises et autres groupes humains vis-à-vis de l'environnement considéré comme bien commun, mais en échange de devoirs et d'obligations légales, et selon le PNUD repris par Fabrice Flipo (2002), « en l’absence de tierce-parties capables d’administrer une justice : les plus forts outrepassent leurs droits et échappent à leurs devoirs, constituant peu à peu de petits potentats privés. Les règles actuelles conduisent donc sans surprise à une augmentation mondiale des inégalités ».Ce concept invite donc aussi à penser et mettre en œuvre des mesures de réduction, de réparation et de compensation quand le préjudice écologique n'a pu être évité, ce qui peut parfois nécessiter ou justifier une certaine « ingérence écologique ». Ces devoirs ou obligations sont souvent regroupés dans la notion de « responsabilité sociale et environnementale », la liberté d'exploiter l'environnement s'arrêtant là où elle menace celle des autres (il y a alors obligation à ne pas surexploiter une ressource), et là où l'environnement (biodiversité, habitats naturels, diversité génétique) serait lui-même menacé par les activités humaines. La justice environnementale s’apparente in fine à une réflexion éthique sur la responsabilité et la liberté. Le cœur de l’argumentaire consiste à exposer que la souffrance est prioritaire au bien-être et que la responsabilité prime sur la liberté. La justice environnementale mérite d'être saisie via le développement socialement durable (DSD) où l’on donne une priorité aux capacités personnelles, en particulier à la capacité d’auto-contrainte de la personne sinon à sa capacité de résilience. Il en résulte une structure de capacités qui imprègne la personne, pouvant la renforcer mais aussi la fragiliser.ant la renforcer mais aussi la fragiliser.)
- Co-gestion +
- Transition post-capitaliste + (Le post-capitalisme est un concept qui con … Le post-capitalisme est un concept qui concerne plusieurs propositions visant à créer un nouveau système économique ayant pour ambition de remplacer le capitalisme. Selon certains et certaines théories d'évolution sociale, une société post-capitaliste pourrait naître d'une obsolescence spontanée du capitalisme. D'autres proposent des modèles visant à remplacer intentionnellement le capitalisme. Voir à ce propos les concepts de réformisme et d'utopie technologique. Différents penseurs suggèrent qu'un travail actif doit être entrepris pour construire un monde post-capitaliste avant que la société capitaliste ne s'effondre. Un changement graduel de la société est pour certains plus favorable qu'un choc.t pour certains plus favorable qu'un choc.)
- Technosolutionnisme + (Le technosolutionnisme fait référence à la … Le technosolutionnisme fait référence à la tentative d'utiliser l'ingénierie ou la technologie pour résoudre un problème souvent créé par des technologies antérieures. Certains le définissent comme une « tentative de réparer les dommages causés à une technologie par une modification du système », qui peut impliquer une modification de technologies existantes et/ou une modification de ses procédures d'exploitation ou de maintenance. Les correctifs technologiques sont inévitables dans la technologie moderne. Il a été observé que de nombreuses technologies, bien qu'inventées et développées pour résoudre certains problèmes perçus, créent souvent d'autres problèmes dans le processus, appelés externalités . Le technosolutionnisme est l'idée que tous les problèmes peuvent trouver des solutions dans des technologies meilleures et nouvelles. Le terme est maintenant utilisé comme une expression condescendante pour décrire des solutions bon marché et rapides en utilisant des technologies inappropriées ; ces correctifs créent souvent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent, ou donnent le sentiment qu'ils ont résolu le problème.e sentiment qu'ils ont résolu le problème.)
- Approche holistique + (L’approche systémique parfois nommée analy … L’approche systémique parfois nommée analyse systémique est un champ interdisciplinaire relatif à l'étude d'objets dans leur complexité. Pour tenter d'appréhender cet objet d'étude dans son environnement, dans son fonctionnement, dans ses mécanismes, dans ce qui n'apparait pas en faisant la somme de ses parties, cette démarche vise par exemple à identifier : </br>* la « finalité » du système (téléologie) ; </br>* les niveaux d'organisation ; </br>* les états stables possibles ; </br>* les échanges entre les parties ; </br>* les facteurs d'équilibre et de déséquilibre ; </br>* les boucles logiques et leur dynamique, etc. Le plus souvent les principes sont utilisés sans être nommés, voire sans être identifiés. Les terminologies « approche systémique » et « analyse systémique » sont donc employées plus couramment dans certains domaines d'application que dans d'autres, pour y faire expressément référence, mais il existe bien une unité dont on peut identifier les articulations historiques. identifier les articulations historiques.)
- Fiducie foncière communautaire + (Un Community Land Trust, appelé en droit f … Un Community Land Trust, appelé en droit français organisme foncier solidaire, est une personne morale à but non lucratif ayant pour objet de détenir la propriété de terrains sur lesquels des logements sont bâtis, et ce afin que ces derniers restent perpétuellement à coût abordable, et nettement inférieurs au prix du marché.et nettement inférieurs au prix du marché.)
- Logiciel libre + (Un logiciel libre est un logiciel dont l'u … Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus. Ces droits peuvent être simplement disponibles — cas du domaine public — ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs ». Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l'instrument d'un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l'utilisateur. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : </br>* les gratuiciels (freewares) : un gratuiciel est un logiciel gratuit propriétaire, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Si la nature du logiciel libre facilite et encourage son partage, ce qui tend à le rendre gratuit, elle ne s'oppose pas pour autant à sa rentabilité principalement via des services associés. Les rémunérations sont liées par exemple aux travaux de création, de développement, de mise à disposition et de soutien technique. D'un autre côté les logiciels gratuits ne sont pas nécessairement libres, car leur code source n'est pas systématiquement accessible et leur licence peut ne pas correspondre à la définition du logiciel libre. </br>* l’open source : le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social qui repose sur les principes de Liberté, Égalité, Fraternité ; l’open source quant à lui, décrit pour la première fois dans La Cathédrale et le Bazar, s'attache aux avantages d'une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source.ravers de la réutilisation du code source.)
- Politiques publiques + (Une politique publique est un concept de s … Une politique publique est un concept de science politique qui désigne les « interventions d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale sur un domaine spécifique de la société ou du territoire ». La sociologie politique utilise ce concept afin d'analyser l'ensemble de ces interventions dans les différentes étapes de leur mise en œuvre, aussi bien que dans leur genèse ou au travers de leurs conséquences (il est alors question de « sociologie de l’action publique »). La science administrative tend plutôt à analyser et à évaluer une politique publique en fonction de sa capacité à atteindre les objectifs qui lui ont été assignés, ainsi qu'en fonction de l'efficacité des moyens déployés. Dans ce cadre, les politiques publiques peuvent également être décrites comme « un ensemble d'actions coordonnées, réalisées par une puissance publique, dans l'optique d'obtenir une modification ou une évolution d'une situation donnée ». Étudier leur impact permet de décrire la capacité qu'a une puissance publique à gérer les attentes et les problèmes propres à la société ou au pan de société concerné(e) et à agir en fonction d'une stratégie publique, de court, moyen ou long terme. Les domaines concernés peuvent être de toute nature : infrastructure, santé, famille, logement, emploi, formation professionnelle, recherche, fonction publique, crise, déficit... L’évaluation des politiques publiques, présentée comme un nouvel outil d’aide à la décision publique, est apparue aux États-Unis dans les années 1960 avant de se développer au Royaume-Uni, dans les pays scandinaves puis dans les autres démocraties occidentales vingt ans plus tard. La Commission européenne en a fait notamment une exigence règlementaire systématique dans le cadre des financements alloués aux États membres à partir des années 1990.ux États membres à partir des années 1990.)
- Co-gestion + (Le paritarisme, ou système de gestion paritaire, est un principe consistant en la cogestion d'un organisme par un nombre égal de représentants des employés et des employeurs. On parle alors d'un organisme paritaire.)
- Productivisme + (Apparu au début du XXe siècle, le productivisme est « un système d'organisation de la vie économique dans lequel la production est donnée comme objectif premier ». Il ne doit pas être confondu avec la recherche de la productivité.)
- Paysages + (El concepto de paisaje (extensión de terre … El concepto de paisaje (extensión de terreno que se ve desde un lugar o sitio) se utiliza de manera diferente por varios campos de estudio, aunque todos los usos del término llevan implícita la existencia de un sujeto observador (el que visualiza) y de un objeto observado (el terreno), del que se destacan fundamentalmente sus cualidades visuales, espaciales. El paisaje, desde el punto de vista geográfico, es el objeto de estudio primordial y el documento geográfico básico a partir del cual se hace la geografía. En general, se entiende por paisaje cualquier área de la superficie terrestre producto de la interacción de los diferentes factores presentes en ella y que tienen un reflejo visual en el espacio. El paisaje geográfico es por tanto el aspecto que adquiere el espacio geográfico.El paisaje, desde el punto de vista artístico, sobre todo pictórico, es la representación gráfica de un terreno extenso. Con el mismo significado se utiliza el término país (no debe confundirse con el concepto político de país). El paisaje también puede ser el objeto material a crear o modificar por el arte mismo. En literatura, la descripción del paisaje es una que se denomina topografía (término que también da nombre a la topografía como ciencia y técnica que se emplea para la representación gráfica de la superficie terrestre). En construcciones literarias y ensayísticas es habitual comparar el paisaje con el paisanaje (de ), es decir, el medio con los grupos humanos. Véanse también: Ecología del paisaje, Paisaje sustentable, Área protegida y Paisaje sonoro.ntable, Área protegida y Paisaje sonoro.)
- Plateforme + (En informatique, une plateforme ou plate-f … En informatique, une plateforme ou plate-forme est un environnement permettant la gestion ou l'utilisation de services applicatifs. La terminologie peut notamment désigner : </br>* un système d'exploitation ou un noyau ; </br>* un environnement d'exécution comme une machine virtuelle ; </br>* un environnement de développement, à condition qu'il intègre son environnement d'exécution ; </br>* un serveur web ou d'applications, notamment une plateforme de téléchargement ; </br>* une application web ou logicielle, par exemple : </br>* un espace numérique de travail (ENT), </br>* un SGBD, </br>* une , </br>* une plateforme de vidéo à la demande, </br>* une plateforme de jeux vidéo, </br>* une plateforme de réseaux sociaux, </br>* un centre de maintenance pour un appareil ou un réseau informatique, </br>* une plateforme d'intermédiation. </br>* Portail de l’informatiquetermédiation. * Portail de l’informatique)
- Auto-organisation + (L'auto-organisation ou autoorganisation es … L'auto-organisation ou autoorganisation est un phénomène par lequel un système s'organise lui-même. Les systèmes physiques, biologiques ou écologiques, sociaux, ont tendance à s'organiser d'eux-mêmes. Il s'agit soit de l'organisation initiale du système lors de son émergence spontanée, soit lorsque le système existe déjà de l'apparition d'une organisation plus structurée ou complexe. L'auto-organisation agit ainsi à l'encontre de l'entropie (on parle alors de néguentropie), qui est une mesure de désordre. L'auto-organisation se produit par des interactions internes et externes au système, au sein de son milieu et avec lui. Elle consomme de l'énergie qui sert ainsi à établir et maintenir le système auto-organisé. L'auto-organisation s'oppose aux cas où un système est organisé ou réorganisé de force de l'extérieur, c'est-à-dire à la violence, aux actes de pouvoir : cela rejoint aussi le contraste entre autonomie et hétéronomie. Typiquement, un système auto-organisé a des propriétés émergentes. Passé un seuil critique de complexité, les systèmes peuvent aussi changer d'état, ou passer d'une phase instable à une phase stable ou inversement. S'ils croissent, leur croissance peut changer de rythme ; on peut observer le passage d'une croissance initiale d'apparence exponentielle à une croissance logistique en cas de diminution des ressources.tique en cas de diminution des ressources.)
- Autonomie + (L'autonomie désigne la capacité d'un objet … L'autonomie désigne la capacité d'un objet, individu ou système à se gouverner soi-même, selon ses propres règles. Dans d'autres cas, elle fait référence aux propriétés d'une entité qui est capable de fonctionner de manière indépendante, sans être contrôlée de l'extérieur ou sans des apports (matériels, énergétiques, etc) en provenance de l'extérieur L'autonomie est la capacité d'une personne à subvenir à ses propres besoins. Comparés aux animaux, les êtres humains ont besoin de beaucoup d'attention et de soins, et d'un grand nombre d'années avant de devenir autonomes. Par exemple, un cheval sait se tenir debout, se nourrir et marcher seulement quelques minutes après sa naissance, tandis qu’un être humain a besoin d’environ un an pour atteindre ce point.n d’environ un an pour atteindre ce point.)
- Abondance + (L'économie de l'abondance est un modèle éc … L'économie de l'abondance est un modèle économique dans lequel tout ou partie des biens, services et informations sont gratuits ou pratiquement gratuits. Une première forme d'économie d'abondance apparaît avec l'économie distributive de Jacques Duboin vers le milieu du XXe siècle, dont l'abondance est le verso « logique ». Une autre forme, contemporaine, est liée à l'abondance en ressources primaires (matière et énergie), en conjonction avec des systèmes automatisés capables de transformer ces ressources en produits et services finis, permettant une production de produits physiques sans nécessiter de labeur humain. Ce modèle a d'abord été évoqué dans la science fiction, principalement anglo-saxonne, avec notamment Pandora's Millions de George O. Smith, ou L'Âge de diamant, de Neal Stephenson. Il s'agit aujourd'hui d'une notion très répandue, spécialement dans les univers post-humains ou post-singularistes. Dans le monde réel, de nombreuses personnes considèrent que le mouvement du logiciel libre constitue d'ores et déjà une économie de l'abondance. Richard Stallman, fondateur de la fondation GNU, et une des figures les plus influentes du mouvement du logiciel libre parle de ce dernier comme d'une première étape vers l'économie de l'abondance dans le manifeste GNU (appelée dans cette traduction « après-pénurie », traduction littérale du terme anglais « post-scarcity ») . Dans la même lignée, un ensemble de projets de matériel libre (open hardware) tente de reproduire ce succès dans le monde matériel, en s'appuyant sur des techniques d'impression 3D ou sur des fablabs. Ce domaine est cependant plus jeune et moins mature que celui du logiciel libre, ce qui n'a pas empêché le gouvernement américain de s'y intéresser et de chercher à accompagner le mieux possible le mouvement.ccompagner le mieux possible le mouvement.)
- Éducation populaire + (L'éducation populaire (en Belgique, éducat … L'éducation populaire (en Belgique, éducation permanente) est un courant de pensée qui cherche principalement à promouvoir, en dehors des structures traditionnelles d'enseignement et des systèmes éducatifs institutionnels, une éducation visant l'amélioration du système social. Depuis le XVIIIe siècle occidental, ce courant d'idées traverse de nombreux et divers mouvements qui militent plus largement pour le développement individuel des personnes et le développement social communautaire (dans un quartier, une ville ou un groupe d'appartenance, religion, origine géographique, lieu d'habitation, etc.) afin de permettre à chacun de s'épanouir et de trouver une place dans la société. Il s’agit, plus largement, de faciliter l’accès aux savoirs, à la culture, afin de développer la conscientisation, l’émancipation et l’exercice de la citoyenneté, "en recourant aux pédagogies actives pour rendre chacun acteur de ses apprentissages, qu’il partage avec d’autres". L'action des mouvements d'éducation populaire se positionne en complément de l'enseignement formel. C'est une éducation qui dit reconnaître à chacun la volonté et la capacité de progresser et de se développer, à tous les âges de la vie. Elle ne se limite pas à la diffusion de la culture académique, elle reconnaît aussi la culture dite populaire (culture ouvrière, des paysans, de la banlieue, etc.). Elle s'intéresse à l'art, aux sciences, aux techniques, aux sports, aux activités ludiques, à la philosophie, à la politique. Cette éducation est perçue comme l'occasion de développer les capacités de chacun à vivre ensemble, à confronter ses idées, à partager une vie de groupe, à s'exprimer en public, à écouter, etc. L'animation sociale et culturelle est un domaine d'investissement important d'éducation populaire. Au XXe siècle, avec l'institutionnalisation de certains mouvements et fédérations se réclamant de l'éducation populaire[réf. nécessaire], l'éducation populaire est également devenue un secteur marchand, où les acteurs historiques (des associations, mais aussi les sociétés idoines qu'elles ont créées) font désormais face à de nouvelles sociétés spécialisées.face à de nouvelles sociétés spécialisées.)
- Wikidata 1 + (La Terre est la troisième planète par ordr … La Terre est la troisième planète par ordre d'éloignement au Soleil et la cinquième plus grande du Système solaire aussi bien par la masse que le diamètre. Par ailleurs, elle est le seul objet céleste connu pour abriter la vie. Elle orbite autour du Soleil en 365,256 jours solaires — une année sidérale — et réalise une rotation sur elle-même relativement au Soleil en 23 h 56 min 4 s — un jour sidéral — soit un peu moins que son jour solaire de 24 h du fait de ce déplacement autour du Soleil. L'axe de rotation de la Terre possède une inclinaison de 23°, ce qui cause l'apparition des saisons. D'après la datation radiométrique, la Terre s'est formée il y a 4,54 milliards d'années. Elle possède un unique satellite naturel, la Lune, qui s'est formée peu après. L'interaction gravitationnelle avec son satellite crée les marées, stabilise son axe de rotation et réduit graduellement sa vitesse de rotation. La vie serait apparue dans les océans il y a au moins 3,5 milliards d'années, ce qui a affecté l'atmosphère et la surface terrestre par la prolifération d'organismes d'abord anaérobies puis, à la suite de l'explosion cambrienne, aérobies. Une combinaison de facteurs tels que la distance de la Terre au Soleil (environ 150 millions de kilomètres — une unité astronomique —), son atmosphère, sa couche d'ozone, son champ magnétique et son évolution géologique ont permis à la vie d'évoluer et de se développer. Durant l'histoire évolutive du vivant, la biodiversité a connu de longues périodes d'expansion occasionnellement ponctuées par des extinctions massives ; environ 99 % des espèces qui ont un jour vécu sur Terre sont maintenant éteintes. En 2020, plus de 7,7 milliards d'êtres humains vivent sur Terre et dépendent de sa biosphère et de ses ressources naturelles pour leur survie. La Terre est la planète la plus dense du Système solaire ainsi que la plus grande et massive des quatre planètes telluriques. Son enveloppe rigide — appelée la lithosphère — est divisée en différentes plaques tectoniques qui migrent de quelques centimètres par an. Environ 71 % de la surface de la planète est couverte d'eau — notamment des océans, mais aussi des lacs et rivières, constituant l'hydrosphère — et les 29 % restants sont des continents et des îles. La majeure partie des régions polaires est couverte de glace, notamment avec l'inlandsis de l'Antarctique et la banquise de l'océan Arctique. La structure interne de la Terre est géologiquement active, le noyau interne solide et le noyau externe liquide (composés tous deux essentiellement de fer) permettant notamment de générer le champ magnétique terrestre par effet dynamo et la convection du manteau terrestre (composé de roches silicatées) étant la cause de la tectonique des plaques.ant la cause de la tectonique des plaques.)
- Agriculture urbaine + (La agricultura urbana, también conocida co … La agricultura urbana, también conocida como periurbana (esto es cultivada en el entorno inmediato de las ciudades, a menudo en terrenos calificados o previstos para el crecimiento de la ciudad o la dotación de equipamientos o infraestructuras), es la práctica de la agricultura con cultivos dentro del área urbana. La tierra usada para las huertas urbanas puede ser privada, pública o residencial en espacios como balcones, paredes, techos de edificios, calles públicas o márgenes y antiguos sotos deforestados de los ríos. En muchas ocasiones la agricultura se practica en terrenos ocupados, de propiedades públicas o privadas en estado de abandono. La agricultura urbana se realiza para actividades de producción de alimentos. Contribuye a la soberanía alimentaria y a proporción de alimentos seguros de dos maneras: incrementando la cantidad de alimentos disponibles para los habitantes de ciudades, y en segundo lugar provee verduras y frutas frescas para los consumidores urbanos. Debido a que promueve el ahorro de energía, la producción local de alimentos, la agricultura urbana y periurbana son actividades de sostenibilidad. Puede sin embargo originar problemas y conflictos sociales en el caso de utilización de terrenos privados abandonados para la ubicación de "huertos familiares" clandestinos. Estas actuaciones incontroladas pueden también plantear problemas derivados de la falta de calidad de las aguas utilizadas para el riego, a menudo aguas residuales. Requiere además de un tipo de gestión que va más allá de los agronómico o incluso lo social, pues pasa a ser un aspecto de la .social, pues pasa a ser un aspecto de la .)
- Biodiversité + (La biodiversité désigne la variété des for … La biodiversité désigne la variété des formes de vie sur la Terre. Ce terme est composé du préfixe bio (du grec βίος « vie ») et du mot « diversité ». Elle s'apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces et des gènes dans l'espace et dans le temps, ainsi que les interactions au sein de ces niveaux d'organisation et entre eux. Lorsque la science cherche à évaluer la biodiversité d'un lieu particulier, les différents éléments des listes d'espèces, écosystèmes ou gènes sont pondérés en fonction de leur rareté. Depuis le sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992, la préservation de la biodiversité est considérée comme un des enjeux essentiels du développement durable. L'adoption de la Convention sur la diversité biologique (CDB) au cours de ce sommet engage les pays signataires à protéger et restaurer la diversité du vivant. Au-delà des raisons éthiques, la biodiversité est essentielle aux sociétés humaines qui en sont entièrement dépendantes à travers les services écosystémiques. 2010 a été l'année internationale de la biodiversité, conclue par la Conférence de Nagoya sur la biodiversité, qui a reconnu l'échec de l'objectif international de stopper la régression de la biodiversité avant 2010, et proposé de nouveaux objectifs (protocole de Nagoya). En 2012, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), un groupe d'experts intergouvernemental sur le modèle du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), a été lancée par le programme des Nations unies pour l'environnement pour conseiller les gouvernements sur cette thématique. En 2019, le nombre d'espèces menacées d'extinction est évalué à un million.cées d'extinction est évalué à un million.)
- Cartographie + (La cartographie est la réalisation et l'ét … La cartographie est la réalisation et l'étude des cartes géographiques et géologiques. Elle est très dépendante de la géodésie, science qui s'efforce de décrire, mesurer et rendre compte de la forme et des dimensions de la Terre. Le principe majeur de la cartographie est la représentation de données sur un support réduit représentant un espace généralement tenu pour réel. L'objectif de la carte, c'est une représentation concise et efficace, la simplification de phénomènes complexes (politiques, économiques, sociaux, etc.) à l'œuvre sur l'espace représenté afin de permettre une compréhension rapide et pertinente. La création de carte débute avec la définition du projet cartographique. La collecte d'informations est en deux parties : 1. </br>* fond de carte : relevé des contours et de l'espace support à représenter ; 2. </br>* relevé des données statistiques à représenter sur cet espace. Vient ensuite un travail de sélection des informations, de conception graphique (icônes, styles), puis d'assemblage (création de la carte), et de renseignement de la carte (légende, échelle, rose des vents). La création cartographique est également étudiée, ses méthodes commentées. Des analyses mathématiques comparent par exemple les distorsions des projections cartographiques, tandis que les théories de l'information graphique donnent des conseils quant au style nécessaire à un message graphique clair. Étant le fruit de sélections humaines, la carte peut omettre, nier, tromper. L' des cartes est ici intéressante, puisqu'elle révèle les biais.Les acteurs principaux de la cartographie étaient traditionnellement les explorateurs et les cartographes, afin de définir l'espace des États, et les espaces des territoires explorés. Aujourd'hui, la cartographie moderne est transdisciplinaire et s'applique à quantité de sciences : la géologie pour les géologues, la biologie pour les biologistes, l'urbanisme pour les architectes, la sociologie pour les sociologues… nécessitent une collaboration entre cartographes, experts, et analystes de données. Les données numériques et satellitaires font de l'informatique et de l'informaticien de nouveaux partenaires-clefs, tandis que les netizens rejoignent depuis peu le groupe avec la et la cartographie d'information. Au XXIe siècle, rares sont les cartographes « purs ». Effectivement, la géographie et l'informatique sont couplées : cet ensemble forme la géomatique. Les géomaticiens sont des professionnels capables de réaliser de la cartographie mais aussi de gérer des systèmes d'information (données, bases de données, architectures informatiques…), spécifiquement appelés des SIG.atiques…), spécifiquement appelés des SIG.)
- Communication de masse + (La communication de masse est l'ensemble d … La communication de masse est l'ensemble des techniques qui permettent de mettre à la disposition d'un vaste public toutes sortes de messages. Selon le théoricien canadien de la communication Marshall McLuhan, elle concentre l'ensemble des techniques susceptibles de créer des prolongements du corps humain à l'ordinateur. Il induit dans sa définition le fait que la « masse » est indifférenciée et dominatrice. Un média de masse est caractérisé par son processus de diffusion ainsi que par l'essor de l'opinion publique moderne qu'il a permis. Les principaux moyens de communication de masse sont la presse, l'affiche, le cinéma, la radiodiffusion et la télévision. Ce sont les mass média dont le terme est formé par les anglo-saxons (en latin media signifie moyens et mass désigne la grande quantité).La communication de masse est publique, rapide et éphémère. Publique, car les messages ciblent une masse d'individus conscients de la nature publique des messages en question. Rapide, car ces derniers ont pour but d'atteindre le plus rapidement possible le plus grand nombre de personnes. Ephémère, car le contenu des messages est destiné à une consommation immédiate souvent de l'ordre du sensationnel. On peut considérer que cette communication débute vers la fin du XIXe siècle avec le développement de la presse. C'est la période durant laquelle apparaît la réclame.Les progrès techniques permettent de diffuser de la culture au peuple et la communication de masse jouit de cette bonne réputation jusqu'à la fin des années 1930.La montée des totalitarismes remet en question cette confiance ; rapidement, la communication de masse devient indissociable de la propagande. Son aboutissement est la standardisation des émetteurs, des récepteurs ainsi que du produit culturel. On simplifie la culture :Il faut des œuvres accessibles pour le peuple, on cherche le plus petit dénominateur commun.Les démocrates veulent croire à un enrichissement de la culture commune aux citoyens quand les régimes totalitaires recherchent une adhésion au chef.Aujourd'hui, dans une société où les premiers cercles de sociabilité, qu'on trouvait avant dans la famille et la paroisse, sont largement moins sollicités, l'importance d'inventer de nouveaux médias pour créer d'autres liens sociaux se fait d'autant plus ressentir. La fin première de la communication étant d'organiser un espace social de consensus.d'organiser un espace social de consensus.)
- Coopération + (La coopération est une forme d'organisatio … La coopération est une forme d'organisation collective qui entend promouvoir dans le domaine économique et social un système fondé sur une vision partagée des différents acteurs, dans un esprit d'intérêt général, au service de toutes les parties prenantes. Cela suppose un certain degré de confiance et de compréhension. La coopération, antagoniste à l'esprit de concurrence entendu sous sa forme libérale, conduit à réviser les modes de fonctionnement ainsi que les relations économiques pour les subordonner à la réalisation de finalités plus sociales et plus solidaires. Cette recherche du bien commun peut se manifester sous une pluralité de formes : </br>* sous des formes spontanées, souvent individuelles, en particulier avec les systèmes d'échanges locaux (SEL) </br>* sous des formes organisées avec l'instauration de structures d'économie sociale, par l'initiation et la propagation de comportements d'économie solidaire) ou par l'emploi de nouvelles formes de contrats (Cf l'exemple des logiciels libres avec le principe de copyleft).iels libres avec le principe de copyleft).)
- Culture libre + (La culture libre est un mouvement social e … La culture libre est un mouvement social et une sous-culture qui promeut la liberté de distribuer et de modifier des œuvres de l'esprit sous la forme d'œuvres libres par l'utilisation d'internet ou, plus rarement, d'autres formes de médias. Il puise sa philosophie dans celle du logiciel libre en l'appliquant à la culture et à l'information, dans des domaines aussi variés que les arts, l'éducation, les sciences, etc. La culture libre défend notamment l'idée que les droits d'auteurs ne doivent pas porter atteinte aux libertés fondamentales du public. La gestion des droits numériques (DRM) est, par exemple, dénoncée comme une entrave à la liberté d'usage du produit légalement acquis, alors que la protection du fonctionnement du produit (code source du programme, partition de musique, etc.) empêche l'utilisateur de modifier l'œuvre pour en faire sa propre version. Les mécanismes juridiques des licences libres attachées à la culture sont inspirés du logiciel libre : l'utilisation des licences art libre ou Creative Commons a ainsi permis l'émergence de la musique libre et de l'art libre. Les défenseurs de la culture libre, appelés libristes, utilisent de façon détournée les monopoles accordés par les droits d'auteur en créant leurs propres licences libres, cela afin d'autoriser précisément les usages que les lois sur les droits d'auteur prescrivent par défaut. L'immense majorité des défenseurs de la culture libre prennent également position pour le droit à la vie privée, l'accès libre à l'information et la liberté d'expression sur Internet. Certains militants ont aussi pu commettre des actes illégaux au cours de leur combat, comme l'infraction au copyright (The Pirate Bay, Aaron Swartz) ou bien la divulgation de données confidentielles qu'ils considèrent comme d'intérêt public (Edward Snowden, Alexandra Elbakyan avec Sci-Hub).Snowden, Alexandra Elbakyan avec Sci-Hub).)
- Démocratie participative + (La démocratie participative est une forme … La démocratie participative est une forme de partage et d'exercice du pouvoir, fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique. On parle également de « démocratie délibérative » pour mettre l'accent sur les différents processus permettant la participation du public à l'élaboration des décisions, pendant la phase de délibération. La démocratie participative ou délibérative peut prendre plusieurs formes, mais elle s'est d'abord instaurée sur le terrain de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme, avant de s'étendre dans les champs de l'environnement. Dans ces cadres, les associations jouent un rôle central en tant qu'interlocuteurs pour les autorités publiques. En France, une Charte de la participation du public du ministère de l'Écologie liste les bonnes pratiques en matière de participation du public.ues en matière de participation du public.)
- Garrigue + (La garriga es un tipo de ecorregión compue … La garriga es un tipo de ecorregión compuesta por formaciones vegetales que surgen en los biomas de los bosques mediterráneos. Estas formaciones son el resultado de la degradación del chaparral y otras comunidades vegetales como bosques de quercineas provocadas por la acción del hombre: el sobrepastoreo y el fuego.Es un hábitat degradado que en ocasiones sustituye a los encinares y otros robledales quemados o talados. El nombre deriva de la palabra francesa tomada del occitano garric, que en la lengua de Oc designa a una de las especies vegetales más comunes: Quercus coccifera, llamado Chêne des garrigues (roble de garriga) en francés. La garriga cubre los sustratos calizos y puede también colonizar afloramientos rocosos. El término chaparral proviene de chaparro: mata de roble enano de muchas ramas y poca altura, que a su vez viene del vasco txaparro, con el mismo significado. En España existe una comarca en la provincia catalana de Lérida denominada Las Garrigas, cuyo nombre hace referencia a esta formación.o nombre hace referencia a esta formación.)
- Mouvements sociaux + (La notion de mouvement social est définie … La notion de mouvement social est définie de manière différente selon les disciplines. En histoire, il s'agit de l'ensemble des événements au cours desquels certains groupes (comme des classes sociales) cherchent à modifier l'organisation de la société en fonction de leurs idéaux : répartition des richesses et du pouvoir politique, progrès social. En politique, et par métonymie, un mouvement social est une somme d'actions qui veulent la concrétisation de cette volonté de progrès social. On parle parfois de mouvement politique. En sociologie, un mouvement social est un ensemble de réseaux informels d'organisations et d'acteurs isolés, construit sur des valeurs partagées et de la solidarité dans marqué par « un agir ensemble intentionnel, marqué par le projet des protagonistes de se mobiliser de concert selon une logique de revendicatif et de défense d’intérêt ou d’une cause.if et de défense d’intérêt ou d’une cause.)
- Pauvreté + (La pauvreté désigne dans une société donné … La pauvreté désigne dans une société donnée le fait d'être dans une situation d'infériorité matérielle par rapport aux individus les plus favorisés; cela se traduit notamment par des difficultés à subvenir à ses besoins et à ceux de ses proches, mais aussi par une stigmatisation de la part des personnes plus riches. Il n'existe cependant pas de définition complètement consensuelle et universelle de la pauvreté. La satisfaction des besoins de base est jugée comme indispensable à la vie décente d'un être humain; avec le progrès technique et l'amélioration des conditions de vie dans les pays développés, une définition basée sur des seuils de pauvreté relatifs au revenu médian a vu le jour sans lien avec la satisfaction de ces besoins. Autrement dit, le nombre de pauvres est celui qui correspond à la totalité des personnes titulaires d'un revenu par habitant inférieur à un certain pourcentage du revenu médian. Ce seuil est généralement de 20 %. Le terme « pauvreté », relatif à celui de richesse, fait ainsi davantage référence aux situations d'inégalités économiques et politiques entre individus et entre sociétés. Les sciences économiques tentent d'expliquer l'existence de la pauvreté, ainsi que les mécanismes de l'accroissement de la richesse. Les gouvernements ont un souci universel du phénomène de la pauvreté, et s’efforcent de la contrôler, si ce n’est par égard pour la vie des individus et des groupes de personnes parce que des conflits entre les pauvres et les riches ont jalonné l'histoire du monde, et peuvent donc menacer les pouvoirs existants. La pauvreté est une cause majeure de souffrance, et l'égalité entre les êtres humains est au centre de diverses conceptions morales, philosophiques et religieuses. Il existe différents types de pauvreté.s. Il existe différents types de pauvreté.)
- Permaculture + (La permaculture est un concept systémique … La permaculture est un concept systémique qui vise à créer des écosystèmes respectant la biodiversité. Il est inspiré par la nature et son fonctionnement (biomimétisme ou écomimétisme). C'est une méthode consistant à définir et mettre en pratique des cultures, des lieux de vie et des systèmes agricoles humains utilisant des principes d'écologie et le savoir des sociétés traditionnelles pour reproduire la diversité, la stabilité et la résilience des écosystèmes naturels. À l'origine c’est une forme d'agriculture naturelle issue des travaux de l'agriculteur, biologiste et philosophe japonais Masanobu Fukuoka (1913-2008). Ce concept a été théorisé dans les années 1970 par les Australiens Bill Mollison (biologiste) et David Holmgren (essayiste). Le terme « permaculture » signifiait initialement « culture permanente » (de l'anglais « permanent agriculture ») ; puis avec le temps il a été étendu pour signifier « culture de ce qui est permanent dans le sens (sociologique) de pérenne ou viable ». En effet, les aspects sociaux font partie intégrante d'un système véritablement durable. Cette dernière signification est toutefois sujette à polémique. Avec ce sens étendu, la permaculture forme des individus à une éthique ainsi qu'à un ensemble de principes. L'objectif étant de permettre à ces individus de concevoir leur propre environnement et ainsi de créer des habitats humains plus autonomes, durables et résilients, en s'inspirant des fonctionnements naturels locaux. L'idée est d'atteindre une société moins dépendante des systèmes industriels de production et de distribution (identifiés par Bill Mollison comme le fondement de la destruction systématique des écosystèmes). La permaculture utilise entre autres des notions d'écologie, de paysage, d'agriculture biologique, d'agroécologie, de biomimétisme, d'éthique, de philosophie et de pédologie. La permaculture invite à mettre ces aspects théoriques en relation avec les observations réalisées sur le terrain de façon harmonieuse.isées sur le terrain de façon harmonieuse.)
- Pollution + (La pollution est la destruction ou dégrada … La pollution est la destruction ou dégradation d'un écosystème ou de la biosphère par l'introduction, généralement humaine, d'entités (physiques, chimiques ou biologiques), ou de radiations altérant le fonctionnement de cet écosystème.La pollution a des effets importants sur la santé et la biosphère, comme en témoigne l'exposition aux polluants et le réchauffement climatique qui transforme le climat de la Terre et son écosystème, en entraînant l'apparition de maladies inconnues jusqu'alors dans certaines zones géographiques, des migrations de certaines espèces, voire leur extinction si elles ne peuvent s'adapter à leur nouvel environnement biophysique. La Seconde Guerre mondiale est suivie d'une prise de conscience des répercussions des activités humaines sur l'environnement et la santé, parallèlement à l'approfondissement de l'écologisme et de l'écologie théorisée dès 1886 par Ernst Haeckel. Les préoccupations de santé-environnementale conduisent les gouvernements à prendre des mesures pour limiter l'empreinte écologique des populations humaines et pour contrer des activités humaines contaminantes. En 2012 selon l'OMS, plus de 7 millions de personnes sont mortes prématurément à cause de la pollution de l'air (extérieur et domestique) ; l'Asie et le Pacifique étant les régions les plus touchées. En 2017, la revue The Lancet a estimé qu'au moins 9 millions de personnes sont prématurément mortes en 2015 à cause de la pollution (soit une mort « prématurée », c'est-à-dire avant 65 ans, sur six).ée », c'est-à-dire avant 65 ans, sur six).)
- Propriété + (La propriété est la « possession » d'un bi … La propriété est la « possession » d'un bien meuble ou immeuble ou d'une production intellectuelle, reconnue et consacrée par une autorité (divine ou humaine), la société, la loi, la raison générale ou le consentement universel, etc. C'est selon Pierre-Joseph Proudhon une usucapion ou une usurpation. La Révolution française a exalté le droit de propriété : inviolable et sacrée, selon l'article 17 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Cet absolutisme de principe issu du mansipium romain sera dans les faits accompagné de limites de plus en plus nombreuses. En France la propriété est définie, par l'article 544 du Code civil, comme « le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements ». Le propriétaire en droit français ne perd pas son droit de propriété par le non-usage de la chose, la propriété a un caractère imprescriptible et ce droit de propriété peut être transmis aux héritiers. La propriété qui s'exerce sur des biens accepte son corollaire par lequel il est des choses qui n'appartiennent à personne et dont l'usage est commun à tous (Des lois de police règlent la manière d'en jouir), consacré par l'Article 714 du Code civil. Le terme « propriété », du latin juridique exproprias « propriété, caractère propre, spécifique » et « droit de possession, chose possédée » à l'époque impériale[Laquelle ?], conserve actuellement les deux mêmes sens[réf. souhaitée]. On traite ici du second, socialement plus important et plus disputé[réf. nécessaire] : un ensemble de droits qui confèrent des prérogatives exclusives à une ou plusieurs personnes sur des territoires, des objets, des êtres, des idées ou des méthodes, ainsi que les choses visées[Quoi ?].odes, ainsi que les choses visées[Quoi ?].)
- Santé + (La santé est « un état de complet bien-êtr … La santé est « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ». Dans cette définition par l'Organisation mondiale de la santé, OMS, depuis 1946, la santé représente « l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soient sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale ». Elle implique la satisfaction de tous les besoins fondamentaux de la personne, qu'ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels.. Mais cette définition confond les notions de santé et de bien-être. Par ailleurs, « la santé résulte d’une interaction constante entre l’individu et son milieu » et représente donc « cette « capacité physique, psychique et sociale des personnes d’agir dans leur milieu et d’accomplir les rôles qu’elles entendent assumer d’une manière acceptable pour elles-mêmes et pour les groupes dont elles font partie ». René Dubos présente en 1973 la santé comme « la situation dans laquelle l'organisme réagit par une adaptation tout en préservant son intégrité individuelle. C'est l'état physique et mental relativement exempt de gênes et de souffrances qui permet à l'individu de fonctionner aussi longtemps que possible dans le milieu où le hasard ou le choix l'ont placé. » Pour René Leriche en 1936, « la santé c'est la vie dans le silence des organes. »'est la vie dans le silence des organes. »)
- Bien commun + (Le bien commun est une notion développée d … Le bien commun est une notion développée d'abord par la théologie et la philosophie, puis saisie par le droit, les sciences sociales et invoquée par de nombreux acteurs politiques. Elle désigne l'idée d'un bien patrimonial partagé par les membres d'une communauté, au sens spirituel et moral du mot « bien », de même qu'au sens matériel et pratique (ce dont on dispose ou ce qu'on possède). En Occident, la philosophie s'interroge au moins depuis Platon et Aristote sur ce qui nous constitue en tant que communauté. Le concept de bien commun figure dans la théologie chrétienne à partir de Thomas d'Aquin, au XIIIe siècle, où il désigne l'inclination naturelle de la Création dans son ensemble (dont la communauté humaine) vers le Bien qui est Dieu. Dans une perspective chrétienne, la recherche du bien commun est alors le fondement de toute organisation sociale et politique. Cette notion est souvent utilisée pour les questions relatives à la propriété de certaines ressources et désigne la relation entre l'accès à des ressources équitablement partagées et des intérêts qui soudent les membres d'une communauté et contribuent à son existence. Pour le politologue et économiste italien Riccardo Petrella, le bien commun est ce qui fait vivre les sociétés. Selon l'économiste français Jean-Marie Harribey (2011), cette notion, qui met aussi en jeu celle de propriété, serait notamment liée à la prise de conscience progressive de l'existence d'un patrimoine commun de l'humanité. Dans le langage courant, le bien commun a souvent un sens moins spirituel, mais correspond toujours à l'idée d'un patrimoine matériel ou immatériel de la communauté humaine (parfois élargi aux autres espèces vivantes) nécessaire à la vie, au bonheur ou à un épanouissement collectif. bonheur ou à un épanouissement collectif.)
- Usage civique + (Le cantonnement forestier est un droit sei … Le cantonnement forestier est un droit seigneurial concernant les forêts de France, pendant le Moyen Âge et l'Ancien Régime. Dans une forêt sur laquelle pèsent des droits d'usage (affouage, glandée …) au profit des , le propriétaire (généralement le seigneur) peut s'en réserver une partie en toute propriété. Alors que le triage "est une opération qui consiste à distraire le tiers des biens communaux d'une paroisse au profit du seigneur, de la concession gratuite duquel ils proviennent", le cantonnement est une opération qui "consiste à réserver, à circonscrire le droit indéfini et illimité des habitants usagers sur une partie déterminée des fonds soumis à leur droit d'usage, afin de laisser le reste libre au seigneur propriétaire". Ce qui va déterminer le choix de la procédure à suivre est donc la relation entretenue par les ayant-droit sur un espace déterminé. Sont-ils propriétaires de cet espace ou simple usager, à titre gracieux, ou à cens d'un bois, d'une lande ou d'un marais. C’est surtout à partir du XVIIe siècle que les procédures se multiplient, les propriétaires forestiers voulant exclure les usagers de leurs bois afin d’être libre de la conduite forestière, voire de leur exploitation. Lorsqu’il s’agit d’alimenter un haut-fourneau, la procédure du cantonnement permet de mettre en place un taillis à rotation courte (autour de 10 ans) orienté vers la production de charbon. Dans l’est de la France, en zone de production métallurgique, les cantonnements seront à l’origine des forêts communales du XIXe siècle.gine des forêts communales du XIXe siècle.)
- Capitalisme + (Le capitalisme désigne un système économiq … Le capitalisme désigne un système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production. Par extension, le terme peut également désigner l'organisation sociale induite par ce système ou un système fondé sur l'accumulation du capital productif guidée par la recherche du profit. Les économistes, les sociologues et les historiens ont adopté des perspectives différentes dans leurs analyses du capitalisme et en ont reconnu diverses formes dans la pratique dont le capitalisme de laissez-faire, l'économie sociale de marché ou le capitalisme d'État. Les différentes formes de capitalisme présentent des degrés variables de marché, de propriété privée, d'obstacles à la libre concurrence et d'implication de l'État à travers les politiques sociales et sont du ressort des politiques et de la loi. La plupart des économies capitalistes existantes sont des économies mixtes, qui combinent des éléments de libre marché avec l'intervention de l'État et, dans certains cas, la planification économique. Le système capitaliste a connu une diffusion croissante depuis la révolution industrielle et est actuellement le système économique de la plupart des pays de la planète suite à l'échec du modèle marxiste avec la chute du Mur de Berlin. Il lui est fait de nombreuses critiques concernant notamment la morale, la validité des théories économiques, le rôle de l'État, le pouvoir du capitaliste, le partage de la valeur ajoutée et du profit, l'organisation du travail ou encore les relations internationales. En outre, l'implication du capitalisme dans de grandes questions sociétales, comme l'impérialisme ou les dégâts fait à l'environnement, font l'objet de controverses. Pour cette raison, le mot capitalisme est généralement employé avec une connotation critique ou une volonté de s'opposer à ce système, notamment par les tenants du marxisme et de l'anarchisme.es tenants du marxisme et de l'anarchisme.)