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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Text« Text » est une propriété prédéfinie fournie par <a rel="nofollow" class="external text" href="https://www.semantic-mediawiki.org/wiki/Help:Special_properties">MediaWiki Sémantique</a> et qui représente un texte de longueur quelconque. » avec la valeur « Le climat est la distribution statistique des conditions de l'atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L'étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l'étude du temps à court terme et dans des zones ponctuelles. La caractérisation du climat est effectuée à partir de mesures statistiques annuelles et mensuelles sur des données atmosphériques locales : température, pression atmosphérique, précipitations, ensoleillement, humidité, vitesse du vent. Sont également pris en compte leur récurrence ainsi que les phénomènes exceptionnels. Ces analyses permettent de classer les climats des différentes régions du monde selon leurs caractéristiques principales. Le climat a fortement varié au cours de l'histoire de la Terre sous l'influence d’une pluralité de phénomènes astronomiques, géologiques, etc., et plus récemment sous l'effet des activités humaines (réchauffement climatique). ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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Liste de résultats

  • Exploitation agricole intensive  + (L'agriculture intensive est un système de L'agriculture intensive est un système de production agricole fondé sur un accroissement de la production agricole optimisé par rapport à la disponibilité des facteurs de production (moyens humains, matériels et surfaces cultivées). Ce rapport entre volume produit et facteur de production est appelé productivité. L'agriculture intensive existe dans deux systèmes opposés, l'un traditionnel, l'autre moderne. En système traditionnel, les ressources humaines sont nombreuses, la force animale est souvent employée, la biodiversité est élevée et plusieurs espèces complémentaires sont parfois cultivées ensemble, mais les moyens matériels (et souvent les disponibilités foncières) sont rares : l'intensification agricole y est fondée sur l'investissement humain maximal par rapport aux autres facteurs de production. Les impacts environnementaux sont faibles (agriculture extensive au sens large). En système moderne, la situation est inverse : les moyens humains sont en grande partie remplacés par des machines ou robots, l'intensification requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants (engrais, produits phytosanitaires, matériel agricole, énergie). C'est ce deuxième système qui est habituellement désigné par l'appellation « agriculture intensive ». Les caractéristiques (mécanisation, chimisation, standardisation et augmentation de la taille des parcelles) de l'intensification de l'agriculture à l’échelle des parcelles et des paysages, expliquent que les impacts environnementaux y sont plus importants.s environnementaux y sont plus importants.)
  • Industrie agroalimentaire  + (L'agro-industrie est l'ensemble des industL'agro-industrie est l'ensemble des industries ayant un lien direct avec l'agriculture. Cela comprend donc l'ensemble des systèmes de productions agricoles et s'étend à toutes les entreprises qui fournissent des biens à l'agriculture (engrais, pesticides, machines) ainsi qu'à celles qui transforment les produits agricoles et les conditionnent en produits commercialisables. En ce sens, le secteur agro-industriel ne se limite pas aux seuls produits alimentaires, domaine exclusif au secteur agroalimentaire, mais englobe aussi tous les secteurs parallèles de valorisation des agroressources : papiers, bioénergies, biomatériaux, cuirs, textiles, huiles essentielles, cosmétiques, tabac, etc..es essentielles, cosmétiques, tabac, etc..)
  • Anti-capitalisme  + (L'anticapitalisme regroupe un ensemble de L'anticapitalisme regroupe un ensemble de mouvements qui s'opposent au capitalisme. Les aspects visés diffèrent selon les conceptions et peuvent notamment concerner, sans y être limités, le profit et l'importance de l'argent, la spéculation, le salariat, la concurrence économique, les effets considérés comme des effets néfastes du capitalisme sur la société telles les inégalités économiques et sociales qu'il entraîne et la considération de son « immoralité » consécutive, la course d'accumulation induite et ses conséquences pour l'environnement, ou les formes sociales de base du capitalisme. Un spectre politique large et très divers s'est réclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.éclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.)
  • Agriculture biologique  + (La agricultura ecológica, orgánica o biolóLa agricultura ecológica, orgánica o biológica es un sistema de cultivo de una explotación agrícola autónoma basada en la utilización óptima de los recursos naturales, sin emplear productos químicos sintéticos, u organismos genéticamente modificados (OGMs) —ni para abono ni para combatir las plagas—ni para cultivos, logrando de esta forma obtener alimentos orgánicos a la vez que se conserva la fertilidad de la tierra y se respeta el medio ambiente. Todo ello de manera sostenible, equilibrada y mantenible. Los principales objetivos de la agricultura orgánica son la obtención de alimentos saludables, de mayor calidad nutritiva, sin la presencia de sustancias de síntesis química y obtenidos mediante procedimientos sostenibles. Este tipo de agricultura es un sistema global de gestión de la producción, que incrementa y realza la salud de los agrosistemas, inclusive la diversidad biológica, los ciclos biológicos y la actividad biológica del suelo. Esto se consigue aplicando, siempre que sea posible, métodos agronómicos, biológicos y mecánicos, en contraposición a la utilización de materiales sintéticos para desempeñar cualquier función específica del sistema. Esta forma de producción, además de contemplar el aspecto ecológico, incluye en su filosofía el mejoramiento de las condiciones de vida de sus practicantes, de tal forma que su objetivo se apega a lograr la sostenibilidad integral del sistema de producción agrícola; o sea, constituirse como un agrosistema social, ecológico y económicamente sostenible. La agricultura natural, la agricultura indígena, la agricultura familiar, la agricultura campesina, son tipos de agricultura natural que buscan el equilibrio con el ecosistema, son sistemas agrícolas sostenibles, que se han mantenido a lo largo del tiempo en distintas regiones del mundo buscando satisfacer la demanda de alimento natural y nutritivo a las personas y los animales, de manera que el agroecosistema mantenga el equilibrio.La agricultura biodinámica, y la permacultura, comparten algunos de sus principios y métodos, pero son más recientes. En esta práctica se puede tomar en cuenta los policultivos que a diferencia de los monocultivos provocan la erosión del suelo y evitan que se aprovechen los recursos del suelo. que se aprovechen los recursos del suelo.)
  • Logiciel open source  + (La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, ou code source ouvert, s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. Le mouvement open source s'est développé en parallèle du mouvement du logiciel libre qui prône des valeurs philosophiques et politiques de justice, l'open source se focalisant sur des considérations techniques de développement logiciel et ne s'opposant pas à l'utilisation de systèmes intégrés combinant logiciels propriétaires et logiciels open source. Dans la pratique toutefois, la très grande majorité des logiciels open source sont également libres, l'exception la plus notable étant les logiciels pratiquant la tivoïsation. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. Les décideurs effectuent d’ailleurs de plus en plus leur choix à partir d’un jugement éclairé, en comparant systématiquement solutions propriétaires et solutions libres.lutions propriétaires et solutions libres.)
  • Gestion de l'eau  + (La gestion de l'eau est l'activité qui conLa gestion de l'eau est l'activité qui consiste à protéger, planifier, développer, distribuer et gérer l'utilisation optimale des ressources en eau et des milieux aquatiques, des points de vue qualitatif et quantitatif. Ceci inclut la gestion des risques « quantitatifs » et évènements extrêmes de sécheresse et pénurie, d'inondations et de crues, érosion des sols et du trait de côte, d', notamment liés au changement climatique, à la déforestation et à la destruction des zones humides. S'y ajoute les questions de pollutions telluriques des zones côtières et des mers et océans, par les activités humaines, essentiellement charriées par les fleuves. Axée sur le développement des ressources en eau depuis les années 1970, cette activité se tourne sur leur gestion dans les années 1980 et sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les années 1990, cette évolution traduisant la mobilisation du secteur public et privé en faveur du développement durable. En 2017, au moins 196 villes mondiales, soit 1,2 milliard de personnes (20 % de la population) sont considérées comme confrontées à des problèmes de gestion de l’eau selon le CDP (ex. : Miami, Pittsburgh (États-Unis) et Johannesburg (Afrique du Sud), qui dont confrontées à un risque « extrême » d’inondations. Les actions de gestion sont de court, moyen et long termes et pour certaines doivent concerner tout un bassin versant. Elles concernent donc de nombreux acteurs (dont collectivités publiques, entreprises agriculteurs et habitants), entités décisionnelles réunies sous le nom de gouvernance de l'eau. Dans un contexte de marchandisation l'eau est de plus en plus perçue comme une ressource naturelle précieuse et un bien commun à partager avec les autres êtres vivants de la planète ; une ressource limitée et inégalement répartie, à utiliser de manière économe et à dépolluer avant de la rendre au milieu naturel.luer avant de la rendre au milieu naturel.)
  • Justice sociale  + (La justice sociale est une construction moLa justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et conçoit la nécessité d'une solidarité collective entre les personnes d'une société donnée. L'entrée correspondant à ce terme dans le Dictionnaire des sciences économiques et sociales le fait reposer théoriquement sur deux principes. Soit, un premier principe d'équité, avec lequel il ne faut pas confondre celui de justice, et qui s'entend plutôt comme le principe du « à chacun son dû ». Dans ce cas, la part individuelle revenant à celui qui bénéficie du traitement équitable doit être conforme aux attentes les plus généralement exprimées dans une société à l'égard des autres parts individuelles. Soit, un second principe, dit moral, d'une prémisse d'égalité entre tous les membres composants la société. Dans ce cas, la notion de justice sociale est essentiellement une projection vers une société plus juste, en admettant qu'il y ait toujours des injustices. On peut le voir soit comme une utopie, soit comme une démarche allant vers plus de progressisme. Ce premier partage définitoire permet de tracer plusieurs règles générales d'application de la justice sociale. La justice sociale est dite commutative quand elle est fondée sur l'idée que la pure réciprocité doit exister entre les membres et la société (chacun reçoit en contrepartie mesurée d'un effort fourni). Elle sera, en revanche, qualifiée de distributive, si elle vise à donner à chacun la part qui lui revient pour vivre décemment, en se réservant de préciser quels critères ou catégories seront utilisés pour élaborer cette distribution (économique, sociale, culturelle). Les actions ayant pour objectif de rétablir une justice sociale visent à élaborer un meilleur système de répartitions, où chaque individu a et conserve les mêmes chances de réussite tout au long des situations de sa vie d'individu. Ainsi, on parle parfois d'« égalité des chances ». Les corrections nécessaires peuvent être sociales, financières ou culturelles. La justice sociale peut aussi se définir de manière négative : est injuste ce qui n'est pas acceptable socialement. Par exemple, les inégalités de salaires entre métiers de qualifications différentes sont le plus souvent considérées comme justes, parce qu'elles sont socialement acceptées par la majorité. Il existe une distinction entre justice sociale (ou équité) et égalité. La justice sociale est aussi une notion qui évolue dans le temps, ce qui est juste socialement peut devenir injuste si le contexte change (voir sociologie de la justice sociale). Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : 1. </br>* garantie des libertés de base égales pour tous ; 2. </br>* égalité des chances ; 3. </br>* maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.alités qui profitent aux plus défavorisés.)
  • Propriété intellectuelle  + (La propriété intellectuelle est le domaineLa propriété intellectuelle est le domaine comportant l'ensemble des droits exclusifs accordés sur des créations intellectuelles.Elle comporte deux branches : </br>* la propriété littéraire et artistique, qui s'applique aux œuvres de l'esprit, est composée du droit d'auteur et des droits voisins ; </br>* la propriété industrielle, qui regroupe elle-même, d'une part, les créations utilitaires, comme le brevet d'invention et le certificat d'obtention végétale ou au contraire un droit de protection sui generis des obtentions végétales, et, d'autre part, les signes distinctifs, notamment la marque commerciale, le nom de domaine et l'appellation d'origine. Elle comprend un droit moral (extra-patrimonial) qui est le seul droit attaché à la personne de l'auteur de l’œuvre qui soit perpétuel, inaliénable et imprescriptible, et qui s'applique donc post mortem, même après que l'œuvre est placée dans le domaine public (soit 70 ans à compter du 1er janvier de l'année suivant la mort de l’auteur). C'est l'œuvre résultante, et sa forme, qui sont protégées, non les idées et les informations qui en sont à l'origine, et qui, elles, restent libres de droit. Ainsi, le « résumé » d'une œuvre écrite, ou la citation d'un titre dans une bibliographie ne sont pas considérés comme un emprunt à ce qui est protégé par le droit d'auteur dans l'œuvre. Certaines personnalités du mouvement du logiciel libre dénoncent l'escroquerie sémantique du concept de « propriété intellectuelle », de même le récent brevetage du vivant a suscité de vives controverses éthiques et juridiques.vives controverses éthiques et juridiques.)
  • Souveraineté alimentaire  + (La souveraineté alimentaire est un conceptLa souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par Via Campesina lors du Sommet de l'alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996. Il a depuis été repris et précisé par divers courants altermondialistes lors de différents Forums Sociaux Mondiaux. La souveraineté alimentaire est présentée comme un droit international qui laisse la possibilité aux populations, aux États ou aux groupes d'États de mettre en place les politiques agricoles les mieux adaptées à leurs populations sans qu'elles puissent avoir un effet négatif sur les populations d'autres pays. Elle se construit à l'origine dans l'objectif de permettre le respect des droits des paysans. La souveraineté alimentaire est donc une rupture par rapport à l'organisation actuelle des marchés agricoles mise en œuvre par l'OMC. Complémentaire du concept de sécurité alimentaire qui concerne la quantité d'aliments disponibles, l'accès des populations à ceux-ci, l'utilisation biologique des aliments et le problème de la prévention et gestion des crises, la souveraineté alimentaire accorde en plus une importance aux conditions sociales et environnementales de production des aliments. Elle prône un accès plus équitable à la terre pour les paysans pauvres, au moyen si nécessaire d'une réforme agraire et de mécanismes de sécurisation des droits d'usage du foncier. Au niveau local, les défenseurs de la souveraineté alimentaire favorisent le maintien d'une agriculture de proximité destinée en priorité à alimenter les marchés régionaux et nationaux. Les cultures vivrières et l'agriculture familiale de petite échelle sont présentées par les défenseurs de la souveraineté alimentaire comme étant d'une grande efficacité économique[réf. nécessaire], sociale[réf. nécessaire] et environnementale[réf. nécessaire], comparée à l'agriculture industrielle et les plantations de grande échelle où travaillent de nombreux salariés. La place et le rôle des femmes sont privilégiés. La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture. des plantes transgéniques en agriculture.)
  • Sécheresse  + (La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ défiLa sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ définit l'état d'un environnement confronté à un manque d'eau significativement long et important pour qu'il ait des impacts sur la flore (naturelle ou cultivée), la faune (sauvage ou d'élevage) et les sociétés. Sécheresse ne doit pas être confondu avec aridité. Une région aride peut connaître des épisodes de sécheresse. Le déficit hydrique est une situation naturelle du point de vue de la variabilité climatique (par exemple, les périodes glaciaires/interglaciaires du Quaternaire, les cycles El Niño / La Niña, etc.) mais, selon certains climatologues certaines situations de déficit hydrique sont amplifiées (durée, extension spatiale, intensité) par l'émission humaine de gaz à effet de serre. Il fait suite à un déficit pluviométrique, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification accélérée d'origine anthropique), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs). La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier dans les régions de peu de ressources économiques. La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau de l'homme (savoir les applications agricoles – agriculture, du bétail – industrielles, domestiques de l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire – piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés. La sécheresse s'initie par une sécheresse météorologique se produisent généralement lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion d'une perturbation atmosphérique et peuvent alors mener la région surplombée par celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans précipitations.onc avec un peu voire sans précipitations.)
  • Justice environnementale  + (Le concept de justice environnementale appLe concept de justice environnementale applique les théories de la justice au champ de l'environnement et de l'écologie. Il découle de la prise en compte de l'environnement et des services écosystémiques qu'il permet comme du « bien commun. » La justice environnementale peut aussi concerner les effets du dérèglement climatique ; dans ce contexte on parle parfois d'injustice et/ou de « justice climatique ». Ce concept sous-tend qu'il existe des droits sur la nature pour tous et chacun ; individus, familles, collectivités, entreprises et autres groupes humains vis-à-vis de l'environnement considéré comme bien commun, mais en échange de devoirs et d'obligations légales, et selon le PNUD repris par Fabrice Flipo (2002), « en l’absence de tierce-parties capables d’administrer une justice : les plus forts outrepassent leurs droits et échappent à leurs devoirs, constituant peu à peu de petits potentats privés. Les règles actuelles conduisent donc sans surprise à une augmentation mondiale des inégalités ».Ce concept invite donc aussi à penser et mettre en œuvre des mesures de réduction, de réparation et de compensation quand le préjudice écologique n'a pu être évité, ce qui peut parfois nécessiter ou justifier une certaine « ingérence écologique ». Ces devoirs ou obligations sont souvent regroupés dans la notion de « responsabilité sociale et environnementale », la liberté d'exploiter l'environnement s'arrêtant là où elle menace celle des autres (il y a alors obligation à ne pas surexploiter une ressource), et là où l'environnement (biodiversité, habitats naturels, diversité génétique) serait lui-même menacé par les activités humaines. La justice environnementale s’apparente in fine à une réflexion éthique sur la responsabilité et la liberté. Le cœur de l’argumentaire consiste à exposer que la souffrance est prioritaire au bien-être et que la responsabilité prime sur la liberté. La justice environnementale mérite d'être saisie via le développement socialement durable (DSD) où l’on donne une priorité aux capacités personnelles, en particulier à la capacité d’auto-contrainte de la personne sinon à sa capacité de résilience. Il en résulte une structure de capacités qui imprègne la personne, pouvant la renforcer mais aussi la fragiliser.ant la renforcer mais aussi la fragiliser.)
  • Développement durable  + (Le développement durable (en anglais : susLe développement durable (en anglais : sustainable development, parfois traduit par développement soutenable) est une conception du développement qui s'inscrit dans une perspective de long terme et en intégrant les contraintes écologiques et sociales à l'économie. Selon la définition donnée dans le rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, dit rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la première fois en 1987, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Cette notion s'est imposée à la suite de la prise de conscience progressive, depuis les années 1970, de la finitude écologique de la Terre, liée aux limites planétaires sur le long terme. La notion fait toutefois l'objet de , notamment de la part des tenants de la décroissance, pour lesquels cette notion reste trop liée à celle de la croissance économique, mais aussi de la part de ceux qui y voient un frein au développement.ux qui y voient un frein au développement.)
  • Militance  + (Le militantisme est une forme d'engagementLe militantisme est une forme d'engagement collectif à une cause de nature morale, religieuse, sociale, politique, associative ou syndicale souvent en vue de protester contre ce qui est perçu comme une injustice. Historiquement ce terme militaire issu du latin fait référence aux membres de la milice du Christ, mais son usage au vingtième siècle dérive pour décrire l'expression organisée d'une protestation d'un groupe social.sée d'une protestation d'un groupe social.)
  • Technosolutionnisme  + (Le technosolutionnisme fait référence à laLe technosolutionnisme fait référence à la tentative d'utiliser l'ingénierie ou la technologie pour résoudre un problème souvent créé par des technologies antérieures. Certains le définissent comme une « tentative de réparer les dommages causés à une technologie par une modification du système », qui peut impliquer une modification de technologies existantes et/ou une modification de ses procédures d'exploitation ou de maintenance. Les correctifs technologiques sont inévitables dans la technologie moderne. Il a été observé que de nombreuses technologies, bien qu'inventées et développées pour résoudre certains problèmes perçus, créent souvent d'autres problèmes dans le processus, appelés externalités . Le technosolutionnisme est l'idée que tous les problèmes peuvent trouver des solutions dans des technologies meilleures et nouvelles. Le terme est maintenant utilisé comme une expression condescendante pour décrire des solutions bon marché et rapides en utilisant des technologies inappropriées ; ces correctifs créent souvent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent, ou donnent le sentiment qu'ils ont résolu le problème.e sentiment qu'ils ont résolu le problème.)
  • Eaux souterraines  + (Les eaux souterraines sont toutes les eauxLes eaux souterraines sont toutes les eaux se trouvant sous la surface du sol, dans la zone de saturation et en contact direct avec le sol ou le sous-sol. En tant que ressource naturelle vitale et plus ou moins renouvelable et parfois transfrontalières, ces eaux posent des questions juridiques particulières. C'est parfois une source de conflit inter ethnique ou entre pays. Les aquifères souterrains sont la réserve majeure (98 à 99 %)de l'eau douce exploitable sur les terres émergées. L’utilisation de l’eau souterraine se répartit de façon variable d’un pays à l’autre. Les pourcentages d’utilisation, selon les trois catégories, sont les suivants : </br>* 65 % (0 à 97 %) pour l’irrigation; </br>* 25 % (0 à 93 %) pour l'eau potable; </br>* 10 % (0 à 64 %) pour l'industrie. La carte des réserves aquifères connues en 2008 (publiée par l'UNESCO) montre 273 aquifères transfrontaliers (68 en Amérique, 38 en Afrique, 65 en Europe de l'Est, 90 en Europe occidentale et 12 en Asie où le recensement n'était pas terminé). Les aquifères majeurs connus en 2008 étaient en Amérique du Sud et Afrique du Nord. Les grands aquifères d'Afrique centrale sont encore mal explorés et rarement exploitées. La multiplication des pompes électriques et petits systèmes de pompage et forage a fortement augmenté la pression sur les nappes, souvent surexploitées dans les zones habitées et de grandes cultures et parfois déjà pollués. Leur exploitation pose aussi des questions sur nos responsabilités à l'égard des générations futures ou de l'amont vers l'aval (du point de vue du sens de circulation des masses d'eau souterraines, ou de leur alimentation via les bassins versants en surface le cas échéant). Il existe des eaux fossiles non renouvelables aux échelles humaines de temps et des aquifères profonds qui ne sont que très lentement réalimentés.ui ne sont que très lentement réalimentés.)
  • Linux  + (Linux (/ˈliːnʊks/ LEE-nuuks or /ˈlɪnʊks/ LLinux (/ˈliːnʊks/ LEE-nuuks or /ˈlɪnʊks/ LIN-uuks) is a family of open-source Unix-like operating systems based on the Linux kernel, an operating system kernel first released on September 17, 1991, by Linus Torvalds. Linux is typically packaged as a Linux distribution, which includes the kernel and supporting system software and libraries, many of which are provided by the GNU Project. Many Linux distributions use the word "Linux" in their name, but the Free Software Foundation uses the name "GNU/Linux" to emphasize the importance of GNU software, causing some controversy. Popular Linux distributions include Debian, Fedora Linux, and Ubuntu, the latter of which itself consists of many different distributions and modifications, including Lubuntu and Xubuntu. Commercial distributions include Red Hat Enterprise Linux and SUSE Linux Enterprise. Desktop Linux distributions include a windowing system such as X11 or Wayland, and a desktop environment such as GNOME or KDE Plasma. Distributions intended for servers may omit graphics altogether, or include a solution stack such as LAMP. Because Linux is freely redistributable, anyone may create a distribution for any purpose. Linux was originally developed for personal computers based on the Intel x86 architecture, but has since been ported to more platforms than any other operating system. Because of the dominance of the Linux-based Android on smartphones, Linux, including Android, has the largest installed base of all general-purpose operating systems, as of May 2022. Although Linux is, as of November 2022, used by only around 2.6 percent of desktop computers, the Chromebook, which runs the Linux kernel-based ChromeOS, dominates the US K–12 education market and represents nearly 20 percent of sub-$300 notebook sales in the US. Linux is the leading operating system on servers (over 96.4% of the top 1 million web servers' operating systems are Linux), leads other big iron systems such as mainframe computers, and is used on all of the world's 500 fastest supercompters (since November 2017, having gradually displaced all competitors). Linux also runs on embedded systems, i.e. devices whose operating system is typically built into the firmware and is highly tailored to the system. This includes routers, automation controls, smart home devices, video game consoles, televisions (Samsung and LG Smart TVs), automobiles (Tesla, Audi, Mercedes-Benz, Hyundai and Toyota), and spacecraft (Falcon 9 rocket, Dragon crew capsule and the Perseverance rover). Linux is one of the most prominent examples of free and open-source software collaboration. The source code may be used, modified and distributed commercially or non-commercially by anyone under the terms of its respective licenses, such as the GNU General Public License (GPL). The Linux kernel, for example, is licensed under the GPLv2. for example, is licensed under the GPLv2.)
  • Ressources naturelles  + (Natural resources are resources that are dNatural resources are resources that are drawn from nature and used with few modifications. This includes the sources of valued characteristics such as commercial and industrial use, aesthetic value, scientific interest and cultural value. On Earth, it includes sunlight, atmosphere, water, land, all minerals along with all vegetation, and wildlife. Natural resources is a part of humanity's natural heritage or protected in nature reserves. Particular areas (such as the rainforest in Fatu-Hiva) often feature biodiversity and geodiversity in their ecosystems. Natural resources may be classified in different ways. Natural resources are materials and components (something that can be used) that can be found within the environment. Every man-made product is composed of natural resources (at its fundamental level). A natural resource may exist as a separate entity such as fresh water, air, as well as any living organism such as a fish, or it may be transformed by extractivist industries into an economically useful form that must be processed to obtain the resource such as metal ores, rare-earth elements, petroleum, timber and most forms of energy. Some resources are renewable resource, which means that they can be used at a certain rate and natural processes will restore them, whereas many extractive industries rely heavily on non-renewable resources that can only be extracted once. Natural-resource allocations can be at the center of many economic and political confrontations both within and between countries. This is particularly true during periods of increasing scarcity and shortages (depletion and overconsumption of resources). Resource extraction is also a major source of human rights violations and environmental damage. The Sustainable Development Goals and other international development agendas frequently focus on creating more sustainable resource extraction, with some scholars and researchers focused on creating economic models, such as circular economy, that rely less on resource extraction, and more on reuse, recycling and renewable resources that can be sustainably managed.resources that can be sustainably managed.)
  • Santé publique  + (Public health is "the science and art of pPublic health is "the science and art of preventing disease, prolonging life and promoting health through the organized efforts and informed choices of society, organizations, public and private, communities and individuals". Analyzing the determinants of health of a population and the threats it faces is the basis for public health. The public can be as small as a handful of people or as large as a village or an entire city; in the case of a pandemic it may encompass several continents. The concept of health takes into account physical, psychological, and social well-being. Public health is an interdisciplinary field. For example, epidemiology, biostatistics, social sciences and management of health services are all relevant. Other important sub-fields include environmental health, community health, behavioral health, health economics, public policy, mental health, health education, health politics, occupational safety, disability, oral health, gender issues in health, and sexual and reproductive health. Public health, together with primary care, secondary care, and tertiary care, is part of a country's overall health care system. Public health is implemented through the surveillance of cases and health indicators, and through the promotion of healthy behaviors. Common public health initiatives include promotion of hand-washing and breastfeeding, delivery of vaccinations, promoting ventilation and improved air quality both indoors and outdoors, suicide prevention, smoking cessation, obesity education, increasing healthcare accessibility and distribution of condoms to control the spread of sexually transmitted diseases. There is a significant disparity in access to health care and public health initiatives between developed countries and developing countries, as well as within developing countries. In developing countries, public health infrastructures are still forming. There may not be enough trained healthcare workers, monetary resources, or, in some cases, sufficient knowledge to provide even a basic level of medical care and disease prevention. A major public health concern in developing countries is poor maternal and child health, exacerbated by malnutrition and poverty coupled with governments' reluctance in implementing public health policies. From the beginnings of human civilization, communities promoted health and fought disease at the population level. In complex, pre-industrialized societies, interventions designed to reduce health risks could be the initiative of different stakeholders, such as army generals, the clergy or rulers. Great Britain became a leader in the development of public health initiatives, beginning in the 19th century, due to the fact that it was the first modern urban nation worldwide. The public health initiatives that began to emerge initially focused on sanitation (for example, the Liverpool and London sewerage systems), control of infectious diseases (including vaccination and quarantine) and an evolving infrastructure of various sciences, e.g. statistics, microbiology, epidemiology, sciences of engineering.gy, epidemiology, sciences of engineering.)
  • Science  + (Science is a systematic endeavor that builScience is a systematic endeavor that builds and organizes knowledge in the form of testable explanations and predictions about the universe. Science may be as old as the human species, and some of the earliest archeological evidence for scientific reasoning is tens of thousands of years old. The earliest written records in the history of science come from Ancient Egypt and Mesopotamia in around 3000 to 1200 BCE. Their contributions to mathematics, astronomy, and medicine entered and shaped Greek natural philosophy of classical antiquity, whereby formal attempts were made to provide explanations of events in the physical world based on natural causes. After the fall of the Western Roman Empire, knowledge of Greek conceptions of the world deteriorated in Western Europe during the early centuries (400 to 1000 CE) of the Middle Ages, but was preserved in the Muslim world during the Islamic Golden Age and later by the efforts of Byzantine Greek scholars who brought Greek manuscripts from the dying Byzantine Empire to Western Europe in the Renaissance. The recovery and assimilation of Greek works and Islamic inquiries into Western Europe from the 10th to 13th century revived "natural philosophy", which was later transformed by the Scientific Revolution that began in the 16th century as new ideas and discoveries departed from previous Greek conceptions and traditions. The scientific method soon played a greater role in knowledge creation and it was not until the 19th century that many of the institutional and professional features of science began to take shape; along with the changing of "natural philosophy" to "natural science". Modern science is typically divided into three major branches: natural sciences (e.g., biology, chemistry, and physics), which study the physical world; the social sciences (e.g., economics, psychology, and sociology), which study individuals and societies; and the formal sciences (e.g., logic, mathematics, and theoretical computer science), which study formal systems, governed by axioms and rules. There is disagreement whether the formal sciences are science disciplines, because they do not rely on empirical evidence. Applied sciences are disciplines that use scientific knowledge for practical purposes, such as in engineering and medicine. New knowledge in science is advanced by research from scientists who are motivated by curiosity about the world and a desire to solve problems. Contemporary scientific research is highly collaborative and is usually done by teams in academic and research institutions, government agencies, and companies. The practical impact of their work has led to the emergence of science policies that seek to influence the scientific enterprise by prioritizing the ethical and moral development of commercial products, armaments, health care, public infrastructure, and environmental protection.rastructure, and environmental protection.)
  • Développement durable  + (Sustainable development is an organizing pSustainable development is an organizing principle for meeting human development goals while also sustaining the ability of natural systems to provide the natural resources and ecosystem services on which the economy and society depend. The desired result is a state of society where living conditions and resources are used to continue to meet human needs without undermining the integrity and stability of the natural system. Sustainable development was defined in the 1987 Brundtland Report as "Development that meets the needs of the present generation without compromising the ability of future generations to meet their own needs". As the concept of sustainable development developed, it has shifted its focus more towards the economic development, social development and environmental protection for future generations. Sustainable development was first institutionalized with the Rio Process initiated at the 1992 Earth Summit in Rio de Janeiro. In 2015 the United Nations General Assembly adopted the Sustainable Development Goals(2015 to 2030) and explained how the goals are integrated and indivisible to achieve sustainable development at the global level. The 17 goals address the global challenges, including poverty, inequality, climate change, environmental degradation, peace, and justice. Sustainable development is interlinked with the normative concept of sustainability. UNESCO formulated a distinction between the two concepts as follows: "Sustainability is often thought of as a long-term goal (i.e. a more sustainable world), while sustainable development refers to the many processes and pathways to achieve it." The concept of sustainable development has been criticized in various ways. While some see it as paradoxical (or an oxymoron) and regard development as inherently unsustainable, others are disappointed in the lack of progress that has been achieved so far. Part of the problem is that "development" itself is not consistently defined.pment" itself is not consistently defined.)
  • Union Européenne  + (The European Union (EU) is a supranationalThe European Union (EU) is a supranational political and economic union of 27 member states that are located primarily in Europe. The union has a total area of 4,233,255.3 km2 (1,634,469.0 sq mi) and an estimated total population of about 447 million. The EU has often been described as a sui generis political entity (without precedent or comparison) combining the characteristics of both a federation and a confederation. Containing 5.8 per cent of the world population in 2020, the EU generated a nominal gross domestic product (GDP) of around US$17.1 trillion in 2021, constituting approximately 18 per cent of global nominal GDP. Additionally, all EU states have a very high Human Development Index according to the United Nations Development Programme. Its cornerstone, the Customs Union, paved the way to establishing an internal single market based on standardised legal framework and legislation that applies in all member states in those matters, and only those matters, where the states have agreed to act as one. EU policies aim to ensure the free movement of people, goods, services and capital within the internal market; enact legislation in justice and home affairs; and maintain common policies on trade, agriculture, fisheries and regional development. Passport controls have been abolished for travel within the Schengen Area. The eurozone is a group composed of the 19 EU member states that have fully implemented the economic and monetary union and use the euro currency. Through the Common Foreign and Security Policy, the union has developed a role in external relations and defence. It maintains permanent diplomatic missions throughout the world and represents itself at the United Nations, the World Trade Organization, the G7 and the G20. Due to its global influence, the European Union has been described by some scholars as an emerging superpower. The union was established along with its citizenship when the Maastricht Treaty came into force in 1993, and was subsequently incorporated as an international law juridical person upon entry into force of the Treaty of Lisbon in 2009, but its beginnings may be traced to its earliest predecessors incorporated primarily by a group of founding states known as the Inner Six (Belgium, France, Italy, Luxembourg, the Netherlands, and West Germany) at the start of modern institutionalised European integration in 1948 and onwards, namely to the Western Union (WU, 1954 renamed Western European Union, WEU), the International Authority for the Ruhr (IAR), the European Coal and Steel Community (ECSC), the European Economic Community (EEC, 1993 renamed European Community, EC) and the European Atomic Energy Community (Euratom), established, respectively, by the 1948 Treaty of Brussels, the 1948 London Six-Power Conference, the 1951 Treaty of Paris, the 1957 Treaty of Rome and the 1957 Euratom Treaty. These increasingly amalgamated bodies later known collectively as the European Communities have grown since, along with their legal successor, the EU, both in size through accessions of further 21 states as well as in power through acquisitions of various policy areas to their remit by the virtue of the abovementioned treaties, as well as numerous other ones, such as the Modified Brussels Treaty, the Merger Treaty, the Single European Act, the Treaty of Amsterdam and the Treaty of Nice. In 2012, the EU was awarded the Nobel Peace Prize. Although the United Kingdom became the only member state to leave the EU in 2020, several other countries are aspiring or negotiating to join it.es are aspiring or negotiating to join it.)
  • Fiducie foncière communautaire  + (Un Community Land Trust, appelé en droit fUn Community Land Trust, appelé en droit français organisme foncier solidaire, est une personne morale à but non lucratif ayant pour objet de détenir la propriété de terrains sur lesquels des logements sont bâtis, et ce afin que ces derniers restent perpétuellement à coût abordable, et nettement inférieurs au prix du marché.et nettement inférieurs au prix du marché.)
  • Logiciel libre  + (Un logiciel libre est un logiciel dont l'uUn logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus. Ces droits peuvent être simplement disponibles — cas du domaine public — ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs ». Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l'instrument d'un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l'utilisateur. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : </br>* les gratuiciels (freewares) : un gratuiciel est un logiciel gratuit propriétaire, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Si la nature du logiciel libre facilite et encourage son partage, ce qui tend à le rendre gratuit, elle ne s'oppose pas pour autant à sa rentabilité principalement via des services associés. Les rémunérations sont liées par exemple aux travaux de création, de développement, de mise à disposition et de soutien technique. D'un autre côté les logiciels gratuits ne sont pas nécessairement libres, car leur code source n'est pas systématiquement accessible et leur licence peut ne pas correspondre à la définition du logiciel libre. </br>* l’open source : le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social qui repose sur les principes de Liberté, Égalité, Fraternité ; l’open source quant à lui, décrit pour la première fois dans La Cathédrale et le Bazar, s'attache aux avantages d'une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source.ravers de la réutilisation du code source.)
  • Eau potable  + (Une eau liquide est dite potable (du latin potabilis, qui signifie « qui peut être bu ») lorsqu'elle présente certaines caractéristiques — concentration en chlorures, pH, température… — la rendant propre à la consommation humaine.)
  • Politiques publiques  + (Une politique publique est un concept de sUne politique publique est un concept de science politique qui désigne les « interventions d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale sur un domaine spécifique de la société ou du territoire ». La sociologie politique utilise ce concept afin d'analyser l'ensemble de ces interventions dans les différentes étapes de leur mise en œuvre, aussi bien que dans leur genèse ou au travers de leurs conséquences (il est alors question de « sociologie de l’action publique »). La science administrative tend plutôt à analyser et à évaluer une politique publique en fonction de sa capacité à atteindre les objectifs qui lui ont été assignés, ainsi qu'en fonction de l'efficacité des moyens déployés. Dans ce cadre, les politiques publiques peuvent également être décrites comme « un ensemble d'actions coordonnées, réalisées par une puissance publique, dans l'optique d'obtenir une modification ou une évolution d'une situation donnée ». Étudier leur impact permet de décrire la capacité qu'a une puissance publique à gérer les attentes et les problèmes propres à la société ou au pan de société concerné(e) et à agir en fonction d'une stratégie publique, de court, moyen ou long terme. Les domaines concernés peuvent être de toute nature : infrastructure, santé, famille, logement, emploi, formation professionnelle, recherche, fonction publique, crise, déficit... L’évaluation des politiques publiques, présentée comme un nouvel outil d’aide à la décision publique, est apparue aux États-Unis dans les années 1960 avant de se développer au Royaume-Uni, dans les pays scandinaves puis dans les autres démocraties occidentales vingt ans plus tard. La Commission européenne en a fait notamment une exigence règlementaire systématique dans le cadre des financements alloués aux États membres à partir des années 1990.ux États membres à partir des années 1990.)
  • Climat  + (Le climat est la distribution statistique Le climat est la distribution statistique des conditions de l'atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L'étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l'étude du temps à court terme et dans des zones ponctuelles. La caractérisation du climat est effectuée à partir de mesures statistiques annuelles et mensuelles sur des données atmosphériques locales : température, pression atmosphérique, précipitations, ensoleillement, humidité, vitesse du vent. Sont également pris en compte leur récurrence ainsi que les phénomènes exceptionnels. Ces analyses permettent de classer les climats des différentes régions du monde selon leurs caractéristiques principales. Le climat a fortement varié au cours de l'histoire de la Terre sous l'influence d’une pluralité de phénomènes astronomiques, géologiques, etc., et plus récemment sous l'effet des activités humaines (réchauffement climatique).vités humaines (réchauffement climatique).)
  • Licences Creative Commons  + (A Creative Commons (CC) license is one of A Creative Commons (CC) license is one of several public copyright licenses that enable the free distribution of an otherwise copyrighted "work". A CC license is used when an author wants to give other people the right to share, use, and build upon a work that the author has created. CC provides an author flexibility (for example, they might choose to allow only non-commercial uses of a given work) and protects the people who use or redistribute an author's work from concerns of copyright infringement as long as they abide by the conditions that are specified in the license by which the author distributes the work. There are several types of Creative Commons licenses. Each license differs by several combinations that condition the terms of distribution. They were initially released on December 16, 2002, by Creative Commons, a U.S. non-profit corporation founded in 2001. There have also been five versions of the suite of licenses, numbered 1.0 through 4.0. Released in November 2013, the 4.0 license suite is the most current. While the Creative Commons license was originally grounded in the American legal system, there are now several Creative Commons jurisdiction ports which accommodate international laws. In October 2014, the Open Knowledge Foundation approved the Creative Commons CC BY, CC BY-SA and CC0 licenses as conformant with the "Open Definition" for content and data.he "Open Definition" for content and data.)
  • Ville  + (A city is a large human settlement. It canA city is a large human settlement. It can be defined as a permanent and densely settled place with administratively defined boundaries whose members work primarily on non-agricultural tasks. Cities generally have extensive systems for housing, transportation, sanitation, utilities, land use, production of goods, and communication. Their density facilitates interaction between people, government organisations and businesses, sometimes benefiting different parties in the process, such as improving efficiency of goods and service distribution. Historically, city-dwellers have been a small proportion of humanity overall, but following two centuries of unprecedented and rapid urbanization, more than half of the world population now lives in cities, which has had profound consequences for global sustainability. Present-day cities usually form the core of larger metropolitan areas and urban areas—creating numerous commuters traveling towards city centres for employment, entertainment, and education. However, in a world of intensifying globalization, all cities are to varying degrees also connected globally beyond these regions. This increased influence means that cities also have significant influences on global issues, such as sustainable development, global warming, and global health. Because of these major influences on global issues, the international community has prioritized investment in sustainable cities through Sustainable Development Goal 11. Due to the efficiency of transportation and the smaller land consumption, dense cities hold the potential to have a smaller ecological footprint per inhabitant than more sparsely populated areas. Therefore, compact cities are often referred to as a crucial element of fighting climate change. However, this concentration can also have significant negative consequences, such as forming urban heat islands, concentrating pollution, and stressing water supplies and other resources. Other important traits of cities besides population include the capital status and relative continued occupation of the city. For example, country capitals such as Beijing, London, Mexico City, Moscow, Nairobi, New Delhi, Paris, Rome, Athens, Seoul, Singapore, Tokyo, Manila, and Washington, D.C. reflect the identity and apex of their respective nations. Some historic capitals, such as Kyoto and Xi'an, maintain their reflection of cultural identity even without modern capital status. Religious holy sites offer another example of capital status within a religion, Jerusalem, Mecca, Varanasi, Ayodhya, Haridwar and Prayagraj each hold significance.dwar and Prayagraj each hold significance.)
  • Monnaie complémentaire  + (A complementary currency is a currency or A complementary currency is a currency or medium of exchange that is not necessarily a national currency, but that is thought of as supplementing or complementing national currencies. Complementary currencies are usually not legal tender and their use is based on agreement between the parties exchanging the currency. According to Jérôme Blanc of Laboratoire d'Économie de la Firme et des Institutions, complementary currencies aim to protect, stimulate or orientate the economy. They may also be used to advance particular social, environmental, or political goals. When speaking about complementary currencies, a number of overlapping and often interchangeable terms are in use: local or community currencies are complementary currencies used within a locality or other form of community (such as business-based or online communities); regional currencies are similar to local currencies, but are used within a larger geographical region; and sectoral currencies are complementary currencies used within a single economic sector, such as education or health care. Many private currencies are complementary currencies issued by private businesses or organizations. Other terms include alternative currency, auxiliary currency, and microcurrency. Mutual credit is a form of alternative currency, and thus any form of lending that does not go through the banking system can be considered a form of alternative currency. Barters are another type of alternative currency. These are actually exchange systems, which trade only items, without the use of any currency whatsoever. Finally, LETS is a special form of barter that trades points for items. One point stands for one worker-hour of work, and is thus a Time-based currency.f work, and is thus a Time-based currency.)
  • Constitution  + (A constitution is the aggregate of fundameA constitution is the aggregate of fundamental principles or established precedents that constitute the legal basis of a polity, organisation or other type of entity and commonly determine how that entity is to be governed. When these principles are written down into a single document or set of legal documents, those documents may be said to embody a written constitution; if they are encompassed in a single comprehensive document, it is said to embody a codified constitution. The Constitution of the United Kingdom is a notable example of an uncodified constitution; it is instead written in numerous fundamental Acts of a legislature, court cases or treaties. Constitutions concern different levels of organizations, from sovereign countries to companies and unincorporated associations. A treaty which establishes an international organization is also its constitution, in that it would define how that organization is constituted. Within states, a constitution defines the principles upon which the state is based, the procedure in which laws are made and by whom. Some constitutions, especially codified constitutions, also act as limiters of state power, by establishing lines which a state's rulers cannot cross, such as fundamental rights. The Constitution of India is the longest written constitution of any country in the world, with 146,385 words in its English-language version, while the Constitution of Monaco is the shortest written constitution with 3,814 words. The Constitution of San Marino might be the world's oldest active written constitution, since some of its core documents have been in operation since 1600, while the Constitution of the United States is the oldest active codified constitution. The historical life expectancy of a constitution since 1789 is approximately 19 years.tion since 1789 is approximately 19 years.)
  • Hospitaux  + (A hospital is a health care institution prA hospital is a health care institution providing patient treatment with specialized health science and auxiliary healthcare staff and medical equipment. The best-known type of hospital is the general hospital, which typically has an emergency department to treat urgent health problems ranging from fire and accident victims to a sudden illness. A district hospital typically is the major health care facility in its region, with many beds for intensive care and additional beds for patients who need long-term care. Specialized hospitals include trauma centers, rehabilitation hospitals, children's hospitals, seniors' (geriatric) hospitals, and hospitals for dealing with specific medical needs such as psychiatric treatment (see psychiatric hospital) and certain disease categories. Specialized hospitals can help reduce health care costs compared to general hospitals. Hospitals are classified as general, specialty, or government depending on the sources of income received. A teaching hospital combines assistance to people with teaching to health science students and auxiliary healthcare students. A health science facility smaller than a hospital is generally called a clinic. Hospitals have a range of departments (e.g. surgery and urgent care) and specialist units such as cardiology. Some hospitals have outpatient departments and some have chronic treatment units. Common support units include a pharmacy, pathology, and radiology. Hospitals are typically funded by public funding, health organisations (for-profit or nonprofit), health insurance companies, or charities, including direct charitable donations. Historically, hospitals were often founded and funded by religious orders, or by charitable individuals and leaders. Currently, hospitals are largely staffed by professional physicians, surgeons, nurses, and allied health practitioners, whereas in the past, this work was usually performed by the members of founding religious orders or by volunteers. However, there are various Catholic religious orders, such as the Alexians and the Bon Secours Sisters that still focus on hospital ministry in the late 1990s, as well as several other Christian denominations, including the Methodists and Lutherans, which run hospitals. In accordance with the original meaning of the word, hospitals were original "places of hospitality", and this meaning is still preserved in the names of some institutions such as the Royal Hospital Chelsea, established in 1681 as a retirement and nursing home for veteran soldiers.ent and nursing home for veteran soldiers.)
  • Paysages  + (A landscape is the visible features of an A landscape is the visible features of an area of land, its landforms, and how they integrate with natural or man-made features, often considered in terms of their aesthetic appeal. A landscape includes the physical elements of geophysically defined landforms such as (ice-capped) mountains, hills, water bodies such as rivers, lakes, ponds and the sea, living elements of land cover including indigenous vegetation, human elements including different forms of land use, buildings, and structures, and transitory elements such as lighting and weather conditions. Combining both their physical origins and the cultural overlay of human presence, often created over millennia, landscapes reflect a living synthesis of people and place that is vital to local and national identity. The character of a landscape helps define the self-image of the people who inhabit it and a sense of place that differentiates one region from other regions. It is the dynamic backdrop to people's lives. Landscape can be as varied as farmland, a landscape park or wilderness. The Earth has a vast range of landscapes, including the icy landscapes of polar regions, mountainous landscapes, vast arid desert landscapes, islands, and coastal landscapes, densely forested or wooded landscapes including past boreal forests and tropical rainforests, and agricultural landscapes of temperate and tropical regions. The activity of modifying the visible features of an area of land is referred to as landscaping.rea of land is referred to as landscaping.)
  • Paysage  + (A landscape is the visible features of an A landscape is the visible features of an area of land, its landforms, and how they integrate with natural or man-made features, often considered in terms of their aesthetic appeal. A landscape includes the physical elements of geophysically defined landforms such as (ice-capped) mountains, hills, water bodies such as rivers, lakes, ponds and the sea, living elements of land cover including indigenous vegetation, human elements including different forms of land use, buildings, and structures, and transitory elements such as lighting and weather conditions. Combining both their physical origins and the cultural overlay of human presence, often created over millennia, landscapes reflect a living synthesis of people and place that is vital to local and national identity. The character of a landscape helps define the self-image of the people who inhabit it and a sense of place that differentiates one region from other regions. It is the dynamic backdrop to people's lives. Landscape can be as varied as farmland, a landscape park or wilderness. The Earth has a vast range of landscapes, including the icy landscapes of polar regions, mountainous landscapes, vast arid desert landscapes, islands, and coastal landscapes, densely forested or wooded landscapes including past boreal forests and tropical rainforests, and agricultural landscapes of temperate and tropical regions. The activity of modifying the visible features of an area of land is referred to as landscaping.rea of land is referred to as landscaping.)
  • Écoquartier  + (An ecodistrict or eco-district is a neologAn ecodistrict or eco-district is a neologism associating the terms "district" and "eco" as an abbreviation of ecological.It designates an urban planning aiming to integrate objectives of sustainable development and social equity and reduce the ecological footprint of a neighborhood, urban area, or region. This notion insists on the consideration of the whole environmental issues by way of a collaborative process. In order to design ecodistricts, one needs to completely redesign their energy system plans. The usage of photovoltaic panels and electric vehicles is common.ic panels and electric vehicles is common.)
  • Productivisme  + (Apparu au début du XXe siècle, le productivisme est « un système d'organisation de la vie économique dans lequel la production est donnée comme objectif premier ». Il ne doit pas être confondu avec la recherche de la productivité.)
  • Métier (corporation)  + (Au sens large, une corporation est une réuAu sens large, une corporation est une réunion durable de personnes poursuivant un but commun, et dont l'état ne dépend pas du changement de ses membres. Le mot vient du latin corporari (« se former en corps »), et désigne une personne morale dont les membres (personnes physiques et/ou morales) possèdent en général une même caractéristique (par exemple, l'exercice d'une fonction). Les corporations peuvent être de droit privé mais sont en général (dans un sens plus contemporain du terme) instituée par une loi et de droit public. Les corporations se distinguent des établissements, qui sont groupements de biens affectés à un certain but. Au sens large du terme, les associations, syndicats et apparentés, qui sont des regroupements volontaires de droit privé sont donc des corporations. Le corporatisme peut désigner, selon qu'il prend ou non une connotation péjorative, la tendance qu'ont les membres d'un corps professionnel ou administratif à privilégier leurs intérêts matériels au détriment de ceux du public qu'ils servent (consommateurs, administrés, justiciables, usagers, élèves, clients, patients, etc.) usagers, élèves, clients, patients, etc.))
  • Capitalisme  + (Capitalism is an economic system based on Capitalism is an economic system based on the private ownership of the means of production and their operation for profit. Central characteristics of capitalism include capital accumulation, competitive markets, price system, private property, property rights recognition, voluntary exchange, and wage labor. In a market economy, decision-making and investments are determined by owners of wealth, property, or ability to maneuver capital or production ability in capital and financial markets—whereas prices and the distribution of goods and services are mainly determined by competition in goods and services markets. Economists, historians, political economists and sociologists have adopted different perspectives in their analyses of capitalism and have recognized various forms of it in practice. These include laissez-faire or free-market capitalism, anarcho-capitalism, state capitalism and welfare capitalism. Different forms of capitalism feature varying degrees of free markets, public ownership, obstacles to free competition and state-sanctioned social policies. The degree of competition in markets and the role of intervention and regulation as well as the scope of state ownership vary across different models of capitalism. The extent to which different markets are free and the rules defining private property are matters of politics and policy. Most of the existing capitalist economies are mixed economies that combine elements of free markets with state intervention and in some cases economic planning. Market economies have existed under many forms of government and in many different times, places and cultures. Modern capitalist societies developed in Western Europe in a process that led to the Industrial Revolution. Capitalist systems with varying degrees of direct government intervention have since become dominant in the Western world and continue to spread. Economic growth is a characteristic tendency of capitalist economies.teristic tendency of capitalist economies.)
  • Climat  + (Climate is the long-term weather pattern iClimate is the long-term weather pattern in an area, typically averaged over 30 years. More rigorously, it is the mean and variability of meteorological variables over a time spanning from months to millions of years. Some of the meteorological variables that are commonly measured are temperature, humidity, atmospheric pressure, wind, and precipitation. In a broader sense, climate is the state of the components of the climate system, including the atmosphere, hydrosphere, cryosphere, lithosphere and biosphere and the interactions between them. The climate of a location is affected by its latitude/longitude, terrain, altitude, land use and nearby water bodies and their currents. Climates can be classified according to the average and typical variables, most commonly temperature and precipitation. The most widely used classification scheme was the Köppen climate classification. The Thornthwaite system, in use since 1948, incorporates evapotranspiration along with temperature and precipitation information and is used in studying biological diversity and how climate change affects it. Finally, the Bergeron and Spatial Synoptic Classification systems focus on the origin of air masses that define the climate of a region. Paleoclimatology is the study of ancient climates. Paleoclimatologists seek to explain climate variations for all parts of the Earth during any given geologic period, beginning with the time of the Earth's formation. Since very few direct observations of climate were available before the 19th century, paleoclimates are inferred from proxy variables. They include non-biotic evidence—such as sediments found in lake beds and ice cores—and biotic evidence—such as tree rings and coral. Climate models are mathematical models of past, present, and future climates. Climate change may occur over long and short timescales from various factors. Recent warming is discussed in global warming, which results in redistributions. For example, "a 3 °C [5 °F] change in mean annual temperature corresponds to a shift in isotherms of approximately 300–400 km [190–250 mi] in latitude (in the temperate zone) or 500 m [1,600 ft] in elevation. Therefore, species are expected to move upwards in elevation or towards the poles in latitude in response to shifting climate zones."de in response to shifting climate zones.")
  • Association pour le maintien d'une agriculture paysanne  + (Community-supported agriculture (CSA modelCommunity-supported agriculture (CSA model) or cropsharing is a system that connects producers and consumers within the food system closer by allowing the consumer to subscribe to the harvest of a certain farm or group of farms. It is an alternative socioeconomic model of agriculture and food distribution that allows the producer and consumer to share the risks of farming. The model is a subcategory of civic agriculture that has an overarching goal of strengthening a sense of community through local markets. In return for subscribing to a harvest, subscribers receive either a weekly or bi-weekly box of produce or other farm goods. This includes in-season fruits, vegetables, and can expand to dried goods, eggs, milk, meat, etc. Typically, farmers try to cultivate a relationship with subscribers by sending weekly letters of what is happening on the farm, inviting them for harvest, or holding an open-farm event. Some CSAs provide for contributions of labor in lieu of a portion of subscription costs. The term CSA is mostly used in the United States and Canada, but a variety of similar production and economic sub-systems are in use worldwide, in Austria and Germany as Solidarische Landwirtschaft ("solidarity farming") and in the UK mainly in the vegetable box scheme.the UK mainly in the vegetable box scheme.)
  • Coworking  + (Cotravail Le coworking, ou cotravail, est Cotravail Le coworking, ou cotravail, est une méthode d'organisation du travail qui regroupe un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs pratiquant l'échange et l'ouverture ; juridiquement cela se traduit par une location d'espaces partagés de travail. En d'autres termes, le cotravail qui constitue l'un des domaines de l'économie collaborative, laquelle est par essence non commerciale, est souvent présenté comme un contexte favorisant l'innovation. Les espaces de cotravail sont en pleine expansion et jouent un rôle important en favorisant la structuration d'un véritable réseau de cotravailleurs facilitant à la fois échanges directs, réseautage, coopération et créativité.ts, réseautage, coopération et créativité.)
  • Creative commons  + (Creative Commons (CC) est une association Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif.th et aux États-Unis) est plus restrictif.)
  • Culture  + (Culture (/ˈkʌltʃər/) is an umbrella term wCulture (/ˈkʌltʃər/) is an umbrella term which encompasses the social behavior, institutions, and norms found in human societies, as well as the knowledge, beliefs, arts, laws, customs, capabilities, and habits of the individuals in these groups. Culture is often originated from or attributed to a specific region or location. Humans acquire culture through the learning processes of enculturation and socialization, which is shown by the diversity of cultures across societies. A cultural norm codifies acceptable conduct in society; it serves as a guideline for behavior, dress, language, and demeanor in a situation, which serves as a template for expectations in a social group.Accepting only a monoculture in a social group can bear risks, just as a single species can wither in the face of environmental change, for lack of functional responses to the change.Thus in military culture, valor is counted a typical behavior for an individual and duty, honor, and loyalty to the social group are counted as virtues or functional responses in the continuum of conflict. In the practice of religion, analogous attributes can be identified in a social group. Cultural change, or repositioning, is the reconstruction of a cultural concept of a society. Cultures are internally affected by both forces encouraging change and forces resisting change. Cultures are externally affected via contact between societies. Organizations like UNESCO attempt to preserve culture and cultural heritage.to preserve culture and cultural heritage.)
  • Communes  + (Dans certains pays, une commune est une ciDans certains pays, une commune est une circonscription territoriale pouvant correspondre à une ville, à un bourg avec ses villages et hameaux ou à un groupe de villages. Dans la plupart des cas, la commune constitue la plus petite subdivision administrative. Elle est souvent dirigée par un maire ou bourgmestre.uvent dirigée par un maire ou bourgmestre.)
  • Biomasse  + (Dans le domaine de l'énergie, la biomasse Dans le domaine de l'énergie, la biomasse est la matière organique d'origine végétale (microalgues incluses), animale, bactérienne ou fongique (champignons), utilisable comme source d'énergie (bioénergies). Cette énergie peut en être extraite par combustion directe (ex. : bois énergie), ou par combustion après un processus de transformation de la matière première, par exemple la méthanisation (biogaz, ou sa version épurée le biométhane) ou d'autres transformations chimiques (dont la pyrolyse, la carbonisation hydrothermale et les méthodes de production de biocarburants ou « agrocarburants »). Trois modes de valorisations de la biomasse (co)existent : thermique, chimique et biochimique. La biomasse intéresse à nouveau les pays riches, confrontés au changement climatique et à la perspective d'une crise des ressources en hydrocarbures fossiles ou uranium. Sous certaines conditions, elle répond à des enjeux de développement durable et d'économie circulaire ; en se substituant aux énergies fossiles pour réduire les émissions globales de gaz à effet de serre, en restaurant aussi parfois certains puits de carbone (semi-naturels dans le cas des boisements et haies exploités). En quelques décennies des filières nouvelles sont apparues : agrocarburants, granulés de bois, méthanisation industrielle, créant des tensions sur certaines ressources, avec de nouveaux risques de surexploitation de la ressource et de remplacement de cultures vivrières par des cultures énergétiques. En France, une stratégie nationale de mobilisation de la biomasse (2018) vise à augmenter la quantité de biomasse collectée, en créant le moins possible d'effets collatéraux négatifs sur la biodiversité, les paysages et d'autres filières dépendantes de la même ressource. En 2019, selon l'Agence internationale de l'énergie, la biomasse fournissait 56 813 PJ d'énergie, soit 9,2 % de l'énergie primaire consommée dans le monde, 542,6 TWh d'électricité, soit 2,0 % de la production mondiale d'électricité, et 3,3 % de l'énergie consommée par les transports. Selon un rapport de la Commission européenne, la bioénergie pourrait couvrir jusqu'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.)
  • Confiance  + (Divers philosophes, psychologues et cherchDivers philosophes, psychologues et chercheurs en sciences sociales ont travaillé sur la notion de confiance qui, selon une définition assez largement acceptée, peut être entendue comme « un état psychologique se caractérisant par l'intention d'accepter la vulnérabilité sur la base de croyances optimistes sur les intentions (ou le comportement) d'autrui ». La confiance renvoie à l’idée que l’on peut se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Dans l’étymologie latine, le verbe confier (du latin confidere : cum, « avec » et fidere « fier ») signifie qu’on remet quelque chose de précieux à quelqu’un, en se fiant à lui et en s’abandonnant ainsi à sa bienveillance et à sa bonne foi. Cette origine souligne les liens étroits qui existent entre la confiance, l'espoir, la foi, la fidélité, la confidence, le crédit et la croyance. Confiance est aussi une des vertus chrétiennes plus importantes, particulièrement dans la dévotion à la divine miséricorde. dans la dévotion à la divine miséricorde.)
  • Wikidata 1  + (Earth is the third planet from the Sun andEarth is the third planet from the Sun and the only astronomical object known to harbor life. While large volumes of water can be found throughout the Solar System, only Earth sustains liquid surface water. About 71% of Earth's surface is made up of the ocean, dwarfing Earth's polar ice, lakes, and rivers. The remaining 29% of Earth's surface is land, consisting of continents and islands. Earth's surface layer is formed of several slowly moving tectonic plates, interacting to produce mountain ranges, volcanoes, and earthquakes. Earth's liquid outer core generates the magnetic field that shapes Earth's magnetosphere, deflecting destructive solar winds. Earth's atmosphere consists mostly of nitrogen and oxygen. More solar energy is received by tropical regions than polar regions and is redistributed by atmospheric and ocean circulation. Water vapor is widely present in the atmosphere and forms clouds that cover most of the planet. Greenhouse gases in the atmosphere like carbon dioxide (CO2) trap a part of the energy from the Sun close to the surface. A region's climate is governed by latitude, but also by elevation and proximity to moderating oceans. Severe weather, such as tropical cyclones, thunderstorms, and heatwaves, occurs in most areas and greatly impacts life. Earth is an ellipsoid with a circumference of about 40,000 km. It is the densest planet in the Solar System. Of the four rocky planets, it is the largest and most massive. Earth is about eight light minutes away from the Sun and orbits it, taking a year (about 365.25 days) to complete one revolution. Earth rotates around its own axis in slightly less than a day (in about 23 hours and 56 minutes). is tilted with respect to the perpendicular to its orbital plane around the Sun, producing seasons. Earth is orbited by one permanent natural satellite, the Moon, which orbits Earth at 380,000 km (1.3 light seconds) and is roughly a quarter as wide as Earth. The Moon always faces the Earth with the same side through tidal locking and causes tides, stabilizes Earth's axis, and gradually slows its rotation. Earth formed over 4.5 billion years ago. During the first billion years of Earth's history, the ocean formed and then life developed within it. Life spread globally and began to affect Earth's atmosphere and surface, leading to Earth's Great Oxidation Event two billion years ago. Humans emerged 300,000 years ago, and have reached a population of almost 8 billion today. Humans depend on Earth's biosphere and natural resources for their survival, but have increasingly impacted Earth's environment. Today, humanity's impact on Earth's climate, soils, waters, and ecosystems is unsustainable, threatening people's lives and causing widespread extinction of other life.using widespread extinction of other life.)
  • Éducation  + (Education is a purposeful activity directeEducation is a purposeful activity directed at achieving certain aims, such as transmitting knowledge or fostering skills and character traits. These aims may include the development of understanding, rationality, kindness, and honesty. Various researchers emphasize the role of critical thinking in order to distinguish education from indoctrination. Some theorists require that education results in an improvement of the student while others prefer a value-neutral definition of the term. In a slightly different sense, education may also refer, not to the process, but to the product of this process: the mental states and dispositions possessed by educated people. Education originated as the transmission of cultural heritage from one generation to the next. Today, educational goals increasingly encompass new ideas such as the liberation of learners, skills needed for modern society, empathy, and complex vocational skills. Types of education are commonly divided into formal, non-formal, and informal education. Formal education takes place in education and training institutions, is usually structured by curricular aims and objectives, and learning is typically guided by a teacher. In most regions, formal education is compulsory up to a certain age and commonly divided into educational stages such as kindergarten, primary school and secondary school. Nonformal education occurs as addition or alternative to formal education. It may be structured according to educational arrangements, but in a more flexible manner, and usually takes place in community-based, workplace-based or civil society-based settings. Lastly, informal education occurs in daily life, in the family, any experience that has a formative effect on the way one thinks, feels, or acts may be considered educational, whether unintentional or intentional. In practice there is a continuum from the highly formalized to the highly informalized, and informal learning can occur in all three settings. For instance, homeschooling can be classified as nonformal or informal, depending upon the structure. Regardless of setting, educational methods include teaching, training, storytelling, discussion, and directed research. The methodology of teaching is called pedagogy. Education is supported by a variety of different philosophies, theories and empirical research agendas. There are movements for education reforms, such as for improving quality and efficiency of education towards relevance in students' lives and efficient problem solving in modern or future society at large, or for evidence-based education methodologies. A right to education has been recognized by some governments and the United Nations. Global initiatives aim at achieving the Sustainable Development Goal 4, which promotes quality education for all. which promotes quality education for all.)
  • Accaparement des terres  + (El Acaparamiento de Tierras es la expresióEl Acaparamiento de Tierras es la expresión en español para referirse al término en inglés Land Grabbing. El acaparamiento de tierras se refiere al nuevo ciclo mundial de apropiación de tierras que se inició en el año 2008 a partir de la crisis alimentaria que se desató durante ese año.alimentaria que se desató durante ese año.)
  • Paysages  + (El concepto de paisaje (extensión de terreEl concepto de paisaje (extensión de terreno que se ve desde un lugar o sitio) se utiliza de manera diferente por varios campos de estudio, aunque todos los usos del término llevan implícita la existencia de un sujeto observador (el que visualiza) y de un objeto observado (el terreno), del que se destacan fundamentalmente sus cualidades visuales, espaciales. El paisaje, desde el punto de vista geográfico, es el objeto de estudio primordial y el documento geográfico básico a partir del cual se hace la geografía. En general, se entiende por paisaje cualquier área de la superficie terrestre producto de la interacción de los diferentes factores presentes en ella y que tienen un reflejo visual en el espacio. El paisaje geográfico es por tanto el aspecto que adquiere el espacio geográfico.El paisaje, desde el punto de vista artístico, sobre todo pictórico, es la representación gráfica de un terreno extenso. Con el mismo significado se utiliza el término país (no debe confundirse con el concepto político de país). El paisaje también puede ser el objeto material a crear o modificar por el arte mismo. En literatura, la descripción del paisaje es una que se denomina topografía (término que también da nombre a la topografía como ciencia y técnica que se emplea para la representación gráfica de la superficie terrestre). En construcciones literarias y ensayísticas es habitual comparar el paisaje con el paisanaje (de ), es decir, el medio con los grupos humanos. Véanse también: Ecología del paisaje, Paisaje sustentable, Área protegida y Paisaje sonoro.ntable, Área protegida y Paisaje sonoro.)
  • Squat  + (El movimiento okupa es un movimiento sociaEl movimiento okupa es un movimiento social radical que propugna la ocupación de viviendas o locales deshabitados, temporal o permanentemente, con el fin de utilizarlos como vivienda, guarida, tierras de cultivo, lugar de reunión o centros con fines sociales, políticos y culturales, entre otros. El principal motivo es denunciar y al mismo tiempo responder a las dificultades económicas que los activistas consideran que existen para hacer efectivo, a costa del derecho a la propiedad privada, el derecho a la vivienda. El movimiento okupa agrupa gran variedad de ideologías —en ocasiones asociadas a una determinada tribu urbana— que suelen justificar sus acciones como un gesto de protesta política y social contra la especulación y para defender el derecho a la vivienda frente a las dificultades económicas o sociales. El movimiento okupa también suele defender el aprovechamiento de solares, inmuebles y espacios abandonados y su uso público como centros sociales o culturales. La legislación relativa a okupación de espacios varía mucho de un país a otro. En la mayoría de países, los propietarios legales del bien inmueble cuyos bienes resultan usurpados pueden denunciarla como un delito ordinario; mientras que existen países donde puede haber una legislación que tolere condicionadamente la okupación, o donde existen concesiones temporales por parte de los propietarios a cambio del mantenimiento o alquiler del inmueble. En Holanda, por ejemplo, sólo recientemente se ha propuesto castigar esta práctica.te se ha propuesto castigar esta práctica.)
  • Patrimoine culturel  + (El patrimonio cultural es la herencia cultEl patrimonio cultural es la herencia cultural propia del pasado de una comunidad, mantenida hasta la actualidad y transmitida a las generaciones presentes. Las entidades que identifican y clasifican determinados bienes como relevantes para la cultura de un pueblo, de una región o de toda la humanidad, velan también por la salvaguarda y la protección de esos bienes, de forma tal que sean preservados debidamente para las generaciones futuras y que puedan ser objeto de estudio y fuente de experiencias emocionales para todos aquellos que los usen, disfruten o visiten. La Convención sobre la Protección del Patrimonio Mundial Cultural y Natural fue adoptada por la Conferencia General de la Organización de las Naciones Unidas para la Educación, la Ciencia y la Cultura (Unesco) el 16 de noviembre de 1972, cuyo objetivo era promover la identificación, protección y preservación del patrimonio cultural y natural considerado especialmente valioso para la humanidad. Como complemento de ese tratado, la Unesco aprobó, el 7 de octubre de 2003, la Convención para la Salvaguarda del Patrimonio Cultural Inmaterial, que definió que: Se entiende por patrimonio cultural inmaterial los usos, representaciones, expresiones, conocimientos y técnicas —junto con los instrumentos, objetos, artefactos y espacios culturales que les son inherentes— que las comunidades, los grupos y, en algunos casos, los individuos reconozcan como parte integrante de su patrimonio cultural.Este patrimonio cultural inmaterial, que se transmite de generación en generación, es recreado constantemente por las comunidades y grupos en función de su entorno, su interacción con la naturaleza y su historia, infundiéndoles un sentimiento de identidad y continuidad y contribuyendo así a promover el respeto de la diversidad cultural y la creatividad humana. Algunos patrimonialistas y museólogos que estudian los vínculos culturales con la naturaleza o el patrimonio natural han alertado sobre las consecuencias concretas de las alteraciones ambientales tanto en la música folklórica como en la producción de artesanías tradicionales y en la supervivencia de las deidades, mitos y leyendas populares. Sostienen que la destrucción de la naturaleza desdibuja la identidad de los pueblos. En particular, los de aquellos que mejor han conservado sus tradiciones o cosmovisiones, como suele ser el caso de los indígenas u aborígenes.ser el caso de los indígenas u aborígenes.)