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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Text« Text » est une propriété prédéfinie fournie par <a rel="nofollow" class="external text" href="https://www.semantic-mediawiki.org/wiki/Help:Special_properties">MediaWiki Sémantique</a> et qui représente un texte de longueur quelconque. » avec la valeur « L'agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l'autoconsommation et l'économie de subsistance. La production, rarement excédentaire, n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à l'exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans et la population locale. Cette forme d'agriculture, courante dans les jardins du monde entier, demeure d'une importance capitale dans les pays les moins avancés où elle permet aux populations rurales, sans autre ressource, de se nourrir. Ses faibles rendements, générant peu d'excédent, ne permettent toutefois pas à ces populations de sortir de la pauvreté. Elle impose également d'accepter de ne consommer que des produits de saison et de gérer la période de soudure. Le caractère localisé de la production, sans accès aux marchés mondiaux, rend en outre les agriculteurs vivriers particulièrement vulnérables aux conséquences des événements climatiques locaux (sécheresse, catastrophe naturelle, saison des pluies tarspane ou précoce, etc...). Elle représente environ 20 % de la production alimentaire mondiale. Par l'importance qu'elle accorde aux semences paysannes — on estime à environ 1,4 milliard les agriculteurs utilisant des procédés traditionnels de sélection — elle favorise fortement la biospanersité. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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  • Exploitation agricole intensive  + (L'agriculture intensive est un système de L'agriculture intensive est un système de production agricole fondé sur un accroissement de la production agricole optimisé par rapport à la disponibilité des facteurs de production (moyens humains, matériels et surfaces cultivées). Ce rapport entre volume produit et facteur de production est appelé productivité. L'agriculture intensive existe dans deux systèmes opposés, l'un traditionnel, l'autre moderne. En système traditionnel, les ressources humaines sont nombreuses, la force animale est souvent employée, la biodiversité est élevée et plusieurs espèces complémentaires sont parfois cultivées ensemble, mais les moyens matériels (et souvent les disponibilités foncières) sont rares : l'intensification agricole y est fondée sur l'investissement humain maximal par rapport aux autres facteurs de production. Les impacts environnementaux sont faibles (agriculture extensive au sens large). En système moderne, la situation est inverse : les moyens humains sont en grande partie remplacés par des machines ou robots, l'intensification requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants (engrais, produits phytosanitaires, matériel agricole, énergie). C'est ce deuxième système qui est habituellement désigné par l'appellation « agriculture intensive ». Les caractéristiques (mécanisation, chimisation, standardisation et augmentation de la taille des parcelles) de l'intensification de l'agriculture à l’échelle des parcelles et des paysages, expliquent que les impacts environnementaux y sont plus importants.s environnementaux y sont plus importants.)
  • Industrie agroalimentaire  + (L'agro-industrie est l'ensemble des industL'agro-industrie est l'ensemble des industries ayant un lien direct avec l'agriculture. Cela comprend donc l'ensemble des systèmes de productions agricoles et s'étend à toutes les entreprises qui fournissent des biens à l'agriculture (engrais, pesticides, machines) ainsi qu'à celles qui transforment les produits agricoles et les conditionnent en produits commercialisables. En ce sens, le secteur agro-industriel ne se limite pas aux seuls produits alimentaires, domaine exclusif au secteur agroalimentaire, mais englobe aussi tous les secteurs parallèles de valorisation des agroressources : papiers, bioénergies, biomatériaux, cuirs, textiles, huiles essentielles, cosmétiques, tabac, etc..es essentielles, cosmétiques, tabac, etc..)
  • Anti-capitalisme  + (L'anticapitalisme regroupe un ensemble de L'anticapitalisme regroupe un ensemble de mouvements qui s'opposent au capitalisme. Les aspects visés diffèrent selon les conceptions et peuvent notamment concerner, sans y être limités, le profit et l'importance de l'argent, la spéculation, le salariat, la concurrence économique, les effets considérés comme des effets néfastes du capitalisme sur la société telles les inégalités économiques et sociales qu'il entraîne et la considération de son « immoralité » consécutive, la course d'accumulation induite et ses conséquences pour l'environnement, ou les formes sociales de base du capitalisme. Un spectre politique large et très divers s'est réclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.éclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.)
  • Logiciel open source  + (La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, ou code source ouvert, s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. Le mouvement open source s'est développé en parallèle du mouvement du logiciel libre qui prône des valeurs philosophiques et politiques de justice, l'open source se focalisant sur des considérations techniques de développement logiciel et ne s'opposant pas à l'utilisation de systèmes intégrés combinant logiciels propriétaires et logiciels open source. Dans la pratique toutefois, la très grande majorité des logiciels open source sont également libres, l'exception la plus notable étant les logiciels pratiquant la tivoïsation. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. Les décideurs effectuent d’ailleurs de plus en plus leur choix à partir d’un jugement éclairé, en comparant systématiquement solutions propriétaires et solutions libres.lutions propriétaires et solutions libres.)
  • Gestion de l'eau  + (La gestion de l'eau est l'activité qui conLa gestion de l'eau est l'activité qui consiste à protéger, planifier, développer, distribuer et gérer l'utilisation optimale des ressources en eau et des milieux aquatiques, des points de vue qualitatif et quantitatif. Ceci inclut la gestion des risques « quantitatifs » et évènements extrêmes de sécheresse et pénurie, d'inondations et de crues, érosion des sols et du trait de côte, d', notamment liés au changement climatique, à la déforestation et à la destruction des zones humides. S'y ajoute les questions de pollutions telluriques des zones côtières et des mers et océans, par les activités humaines, essentiellement charriées par les fleuves. Axée sur le développement des ressources en eau depuis les années 1970, cette activité se tourne sur leur gestion dans les années 1980 et sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les années 1990, cette évolution traduisant la mobilisation du secteur public et privé en faveur du développement durable. En 2017, au moins 196 villes mondiales, soit 1,2 milliard de personnes (20 % de la population) sont considérées comme confrontées à des problèmes de gestion de l’eau selon le CDP (ex. : Miami, Pittsburgh (États-Unis) et Johannesburg (Afrique du Sud), qui dont confrontées à un risque « extrême » d’inondations. Les actions de gestion sont de court, moyen et long termes et pour certaines doivent concerner tout un bassin versant. Elles concernent donc de nombreux acteurs (dont collectivités publiques, entreprises agriculteurs et habitants), entités décisionnelles réunies sous le nom de gouvernance de l'eau. Dans un contexte de marchandisation l'eau est de plus en plus perçue comme une ressource naturelle précieuse et un bien commun à partager avec les autres êtres vivants de la planète ; une ressource limitée et inégalement répartie, à utiliser de manière économe et à dépolluer avant de la rendre au milieu naturel.luer avant de la rendre au milieu naturel.)
  • Justice sociale  + (La justice sociale est une construction moLa justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et conçoit la nécessité d'une solidarité collective entre les personnes d'une société donnée. L'entrée correspondant à ce terme dans le Dictionnaire des sciences économiques et sociales le fait reposer théoriquement sur deux principes. Soit, un premier principe d'équité, avec lequel il ne faut pas confondre celui de justice, et qui s'entend plutôt comme le principe du « à chacun son dû ». Dans ce cas, la part individuelle revenant à celui qui bénéficie du traitement équitable doit être conforme aux attentes les plus généralement exprimées dans une société à l'égard des autres parts individuelles. Soit, un second principe, dit moral, d'une prémisse d'égalité entre tous les membres composants la société. Dans ce cas, la notion de justice sociale est essentiellement une projection vers une société plus juste, en admettant qu'il y ait toujours des injustices. On peut le voir soit comme une utopie, soit comme une démarche allant vers plus de progressisme. Ce premier partage définitoire permet de tracer plusieurs règles générales d'application de la justice sociale. La justice sociale est dite commutative quand elle est fondée sur l'idée que la pure réciprocité doit exister entre les membres et la société (chacun reçoit en contrepartie mesurée d'un effort fourni). Elle sera, en revanche, qualifiée de distributive, si elle vise à donner à chacun la part qui lui revient pour vivre décemment, en se réservant de préciser quels critères ou catégories seront utilisés pour élaborer cette distribution (économique, sociale, culturelle). Les actions ayant pour objectif de rétablir une justice sociale visent à élaborer un meilleur système de répartitions, où chaque individu a et conserve les mêmes chances de réussite tout au long des situations de sa vie d'individu. Ainsi, on parle parfois d'« égalité des chances ». Les corrections nécessaires peuvent être sociales, financières ou culturelles. La justice sociale peut aussi se définir de manière négative : est injuste ce qui n'est pas acceptable socialement. Par exemple, les inégalités de salaires entre métiers de qualifications différentes sont le plus souvent considérées comme justes, parce qu'elles sont socialement acceptées par la majorité. Il existe une distinction entre justice sociale (ou équité) et égalité. La justice sociale est aussi une notion qui évolue dans le temps, ce qui est juste socialement peut devenir injuste si le contexte change (voir sociologie de la justice sociale). Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : 1. </br>* garantie des libertés de base égales pour tous ; 2. </br>* égalité des chances ; 3. </br>* maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.alités qui profitent aux plus défavorisés.)
  • Propriété intellectuelle  + (La propriété intellectuelle est le domaineLa propriété intellectuelle est le domaine comportant l'ensemble des droits exclusifs accordés sur des créations intellectuelles.Elle comporte deux branches : </br>* la propriété littéraire et artistique, qui s'applique aux œuvres de l'esprit, est composée du droit d'auteur et des droits voisins ; </br>* la propriété industrielle, qui regroupe elle-même, d'une part, les créations utilitaires, comme le brevet d'invention et le certificat d'obtention végétale ou au contraire un droit de protection sui generis des obtentions végétales, et, d'autre part, les signes distinctifs, notamment la marque commerciale, le nom de domaine et l'appellation d'origine. Elle comprend un droit moral (extra-patrimonial) qui est le seul droit attaché à la personne de l'auteur de l’œuvre qui soit perpétuel, inaliénable et imprescriptible, et qui s'applique donc post mortem, même après que l'œuvre est placée dans le domaine public (soit 70 ans à compter du 1er janvier de l'année suivant la mort de l’auteur). C'est l'œuvre résultante, et sa forme, qui sont protégées, non les idées et les informations qui en sont à l'origine, et qui, elles, restent libres de droit. Ainsi, le « résumé » d'une œuvre écrite, ou la citation d'un titre dans une bibliographie ne sont pas considérés comme un emprunt à ce qui est protégé par le droit d'auteur dans l'œuvre. Certaines personnalités du mouvement du logiciel libre dénoncent l'escroquerie sémantique du concept de « propriété intellectuelle », de même le récent brevetage du vivant a suscité de vives controverses éthiques et juridiques.vives controverses éthiques et juridiques.)
  • Souveraineté alimentaire  + (La souveraineté alimentaire est un conceptLa souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par Via Campesina lors du Sommet de l'alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996. Il a depuis été repris et précisé par divers courants altermondialistes lors de différents Forums Sociaux Mondiaux. La souveraineté alimentaire est présentée comme un droit international qui laisse la possibilité aux populations, aux États ou aux groupes d'États de mettre en place les politiques agricoles les mieux adaptées à leurs populations sans qu'elles puissent avoir un effet négatif sur les populations d'autres pays. Elle se construit à l'origine dans l'objectif de permettre le respect des droits des paysans. La souveraineté alimentaire est donc une rupture par rapport à l'organisation actuelle des marchés agricoles mise en œuvre par l'OMC. Complémentaire du concept de sécurité alimentaire qui concerne la quantité d'aliments disponibles, l'accès des populations à ceux-ci, l'utilisation biologique des aliments et le problème de la prévention et gestion des crises, la souveraineté alimentaire accorde en plus une importance aux conditions sociales et environnementales de production des aliments. Elle prône un accès plus équitable à la terre pour les paysans pauvres, au moyen si nécessaire d'une réforme agraire et de mécanismes de sécurisation des droits d'usage du foncier. Au niveau local, les défenseurs de la souveraineté alimentaire favorisent le maintien d'une agriculture de proximité destinée en priorité à alimenter les marchés régionaux et nationaux. Les cultures vivrières et l'agriculture familiale de petite échelle sont présentées par les défenseurs de la souveraineté alimentaire comme étant d'une grande efficacité économique[réf. nécessaire], sociale[réf. nécessaire] et environnementale[réf. nécessaire], comparée à l'agriculture industrielle et les plantations de grande échelle où travaillent de nombreux salariés. La place et le rôle des femmes sont privilégiés. La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture. des plantes transgéniques en agriculture.)
  • Sécheresse  + (La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ défiLa sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ définit l'état d'un environnement confronté à un manque d'eau significativement long et important pour qu'il ait des impacts sur la flore (naturelle ou cultivée), la faune (sauvage ou d'élevage) et les sociétés. Sécheresse ne doit pas être confondu avec aridité. Une région aride peut connaître des épisodes de sécheresse. Le déficit hydrique est une situation naturelle du point de vue de la variabilité climatique (par exemple, les périodes glaciaires/interglaciaires du Quaternaire, les cycles El Niño / La Niña, etc.) mais, selon certains climatologues certaines situations de déficit hydrique sont amplifiées (durée, extension spatiale, intensité) par l'émission humaine de gaz à effet de serre. Il fait suite à un déficit pluviométrique, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification accélérée d'origine anthropique), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs). La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier dans les régions de peu de ressources économiques. La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau de l'homme (savoir les applications agricoles – agriculture, du bétail – industrielles, domestiques de l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire – piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés. La sécheresse s'initie par une sécheresse météorologique se produisent généralement lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion d'une perturbation atmosphérique et peuvent alors mener la région surplombée par celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans précipitations.onc avec un peu voire sans précipitations.)
  • Justice environnementale  + (Le concept de justice environnementale appLe concept de justice environnementale applique les théories de la justice au champ de l'environnement et de l'écologie. Il découle de la prise en compte de l'environnement et des services écosystémiques qu'il permet comme du « bien commun. » La justice environnementale peut aussi concerner les effets du dérèglement climatique ; dans ce contexte on parle parfois d'injustice et/ou de « justice climatique ». Ce concept sous-tend qu'il existe des droits sur la nature pour tous et chacun ; individus, familles, collectivités, entreprises et autres groupes humains vis-à-vis de l'environnement considéré comme bien commun, mais en échange de devoirs et d'obligations légales, et selon le PNUD repris par Fabrice Flipo (2002), « en l’absence de tierce-parties capables d’administrer une justice : les plus forts outrepassent leurs droits et échappent à leurs devoirs, constituant peu à peu de petits potentats privés. Les règles actuelles conduisent donc sans surprise à une augmentation mondiale des inégalités ».Ce concept invite donc aussi à penser et mettre en œuvre des mesures de réduction, de réparation et de compensation quand le préjudice écologique n'a pu être évité, ce qui peut parfois nécessiter ou justifier une certaine « ingérence écologique ». Ces devoirs ou obligations sont souvent regroupés dans la notion de « responsabilité sociale et environnementale », la liberté d'exploiter l'environnement s'arrêtant là où elle menace celle des autres (il y a alors obligation à ne pas surexploiter une ressource), et là où l'environnement (biodiversité, habitats naturels, diversité génétique) serait lui-même menacé par les activités humaines. La justice environnementale s’apparente in fine à une réflexion éthique sur la responsabilité et la liberté. Le cœur de l’argumentaire consiste à exposer que la souffrance est prioritaire au bien-être et que la responsabilité prime sur la liberté. La justice environnementale mérite d'être saisie via le développement socialement durable (DSD) où l’on donne une priorité aux capacités personnelles, en particulier à la capacité d’auto-contrainte de la personne sinon à sa capacité de résilience. Il en résulte une structure de capacités qui imprègne la personne, pouvant la renforcer mais aussi la fragiliser.ant la renforcer mais aussi la fragiliser.)
  • Développement durable  + (Le développement durable (en anglais : susLe développement durable (en anglais : sustainable development, parfois traduit par développement soutenable) est une conception du développement qui s'inscrit dans une perspective de long terme et en intégrant les contraintes écologiques et sociales à l'économie. Selon la définition donnée dans le rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, dit rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la première fois en 1987, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Cette notion s'est imposée à la suite de la prise de conscience progressive, depuis les années 1970, de la finitude écologique de la Terre, liée aux limites planétaires sur le long terme. La notion fait toutefois l'objet de , notamment de la part des tenants de la décroissance, pour lesquels cette notion reste trop liée à celle de la croissance économique, mais aussi de la part de ceux qui y voient un frein au développement.ux qui y voient un frein au développement.)
  • Militance  + (Le militantisme est une forme d'engagementLe militantisme est une forme d'engagement collectif à une cause de nature morale, religieuse, sociale, politique, associative ou syndicale souvent en vue de protester contre ce qui est perçu comme une injustice. Historiquement ce terme militaire issu du latin fait référence aux membres de la milice du Christ, mais son usage au vingtième siècle dérive pour décrire l'expression organisée d'une protestation d'un groupe social.sée d'une protestation d'un groupe social.)
  • Technosolutionnisme  + (Le technosolutionnisme fait référence à laLe technosolutionnisme fait référence à la tentative d'utiliser l'ingénierie ou la technologie pour résoudre un problème souvent créé par des technologies antérieures. Certains le définissent comme une « tentative de réparer les dommages causés à une technologie par une modification du système », qui peut impliquer une modification de technologies existantes et/ou une modification de ses procédures d'exploitation ou de maintenance. Les correctifs technologiques sont inévitables dans la technologie moderne. Il a été observé que de nombreuses technologies, bien qu'inventées et développées pour résoudre certains problèmes perçus, créent souvent d'autres problèmes dans le processus, appelés externalités . Le technosolutionnisme est l'idée que tous les problèmes peuvent trouver des solutions dans des technologies meilleures et nouvelles. Le terme est maintenant utilisé comme une expression condescendante pour décrire des solutions bon marché et rapides en utilisant des technologies inappropriées ; ces correctifs créent souvent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent, ou donnent le sentiment qu'ils ont résolu le problème.e sentiment qu'ils ont résolu le problème.)
  • Eaux souterraines  + (Les eaux souterraines sont toutes les eauxLes eaux souterraines sont toutes les eaux se trouvant sous la surface du sol, dans la zone de saturation et en contact direct avec le sol ou le sous-sol. En tant que ressource naturelle vitale et plus ou moins renouvelable et parfois transfrontalières, ces eaux posent des questions juridiques particulières. C'est parfois une source de conflit inter ethnique ou entre pays. Les aquifères souterrains sont la réserve majeure (98 à 99 %)de l'eau douce exploitable sur les terres émergées. L’utilisation de l’eau souterraine se répartit de façon variable d’un pays à l’autre. Les pourcentages d’utilisation, selon les trois catégories, sont les suivants : </br>* 65 % (0 à 97 %) pour l’irrigation; </br>* 25 % (0 à 93 %) pour l'eau potable; </br>* 10 % (0 à 64 %) pour l'industrie. La carte des réserves aquifères connues en 2008 (publiée par l'UNESCO) montre 273 aquifères transfrontaliers (68 en Amérique, 38 en Afrique, 65 en Europe de l'Est, 90 en Europe occidentale et 12 en Asie où le recensement n'était pas terminé). Les aquifères majeurs connus en 2008 étaient en Amérique du Sud et Afrique du Nord. Les grands aquifères d'Afrique centrale sont encore mal explorés et rarement exploitées. La multiplication des pompes électriques et petits systèmes de pompage et forage a fortement augmenté la pression sur les nappes, souvent surexploitées dans les zones habitées et de grandes cultures et parfois déjà pollués. Leur exploitation pose aussi des questions sur nos responsabilités à l'égard des générations futures ou de l'amont vers l'aval (du point de vue du sens de circulation des masses d'eau souterraines, ou de leur alimentation via les bassins versants en surface le cas échéant). Il existe des eaux fossiles non renouvelables aux échelles humaines de temps et des aquifères profonds qui ne sont que très lentement réalimentés.ui ne sont que très lentement réalimentés.)
  • Linux  + (Linux (/ˈliːnʊks/ LEE-nuuks or /ˈlɪnʊks/ LLinux (/ˈliːnʊks/ LEE-nuuks or /ˈlɪnʊks/ LIN-uuks) is a family of open-source Unix-like operating systems based on the Linux kernel, an operating system kernel first released on September 17, 1991, by Linus Torvalds. Linux is typically packaged as a Linux distribution, which includes the kernel and supporting system software and libraries, many of which are provided by the GNU Project. Many Linux distributions use the word "Linux" in their name, but the Free Software Foundation uses the name "GNU/Linux" to emphasize the importance of GNU software, causing some controversy. Popular Linux distributions include Debian, Fedora Linux, and Ubuntu, the latter of which itself consists of many different distributions and modifications, including Lubuntu and Xubuntu. Commercial distributions include Red Hat Enterprise Linux and SUSE Linux Enterprise. Desktop Linux distributions include a windowing system such as X11 or Wayland, and a desktop environment such as GNOME or KDE Plasma. Distributions intended for servers may omit graphics altogether, or include a solution stack such as LAMP. Because Linux is freely redistributable, anyone may create a distribution for any purpose. Linux was originally developed for personal computers based on the Intel x86 architecture, but has since been ported to more platforms than any other operating system. Because of the dominance of the Linux-based Android on smartphones, Linux, including Android, has the largest installed base of all general-purpose operating systems, as of May 2022. Although Linux is, as of November 2022, used by only around 2.6 percent of desktop computers, the Chromebook, which runs the Linux kernel-based ChromeOS, dominates the US K–12 education market and represents nearly 20 percent of sub-$300 notebook sales in the US. Linux is the leading operating system on servers (over 96.4% of the top 1 million web servers' operating systems are Linux), leads other big iron systems such as mainframe computers, and is used on all of the world's 500 fastest supercompters (since November 2017, having gradually displaced all competitors). Linux also runs on embedded systems, i.e. devices whose operating system is typically built into the firmware and is highly tailored to the system. This includes routers, automation controls, smart home devices, video game consoles, televisions (Samsung and LG Smart TVs), automobiles (Tesla, Audi, Mercedes-Benz, Hyundai and Toyota), and spacecraft (Falcon 9 rocket, Dragon crew capsule and the Perseverance rover). Linux is one of the most prominent examples of free and open-source software collaboration. The source code may be used, modified and distributed commercially or non-commercially by anyone under the terms of its respective licenses, such as the GNU General Public License (GPL). The Linux kernel, for example, is licensed under the GPLv2. for example, is licensed under the GPLv2.)
  • Open Data  + (Open data is data that is openly accessiblOpen data is data that is openly accessible, exploitable, editable and shared by anyone for any purpose. Open data is licensed under an open license. The goals of the open data movement are similar to those of other "open(-source)" movements such as open-source software, hardware, open content, open specifications, open education, open educational resources, open government, open knowledge, open access, open science, and the open web. The growth of the open data movement is paralleled by a rise in intellectual property rights. The philosophy behind open data has been long established (for example in the Mertonian tradition of science), but the term "open data" itself is recent, gaining popularity with the rise of the Internet and World Wide Web and, especially, with the launch of open-data government initiatives such as Data.gov, Data.gov.uk and Data.gov.in. Open data can be linked data - referred to as linked open data. One of the most important forms of open data is open government data (OGD), which is a form of open data created by ruling government institutions. Open government data's importance is born from it being a part of citizens' everyday lives, down to the most routine/mundane tasks that are seemingly far removed from government. The abbreviation FAIR/O data is sometimes used to indicate that the dataset or database in question complies with the principles of FAIR data and carries an explicit data‑capable open license.ies an explicit data‑capable open license.)
  • Science ouverte  + (Open science is the movement to make scienOpen science is the movement to make scientific research (including publications, data, physical samples, and software) and its dissemination accessible to all levels of society, amateur or professional. Open science is transparent and accessible knowledge that is shared and developed through collaborative networks. It encompasses practices such as publishing open research, campaigning for open access, encouraging scientists to practice open-notebook science (such as openly sharing data and code), broader dissemination and engagement in science and generally making it easier to publish, access and communicate scientific knowledge. Usage of the term varies substantially across disciplines, with a notable prevalence in the STEM disciplines. Open research is often used quasi-synonymously to address the gap that the denotion of "science" might have regarding an inclusion of the Arts, Humanities and Social Sciences. The primary focus connecting all disciplines is the widespread uptake of new technologies and tools, and the underlying ecology of the production, dissemination and reception of knowledge from a research-based point-of-view. As Tennant et al. (2020) note, the term open science "implicitly seems only to regard ‘scientific’ disciplines, whereas open scholarship can be considered to include research from the Arts and Humanities, as well as the different roles and practices that researchers perform as educators and communicators, and an underlying open philosophy of sharing knowledge beyond research communities." Open science can be seen as a continuation of, rather than a revolution in, practices begun in the 17th century with the advent of the academic journal, when the societal demand for access to scientific knowledge reached a point at which it became necessary for groups of scientists to share resources with each other. In modern times there is debate about the extent to which scientific information should be shared. The conflict that led to the Open Science movement is between the desire of scientists to have access to shared resources versus the desire of individual entities to profit when other entities partake of their resources. Additionally, the status of open access and resources that are available for its promotion are likely to differ from one field of academic inquiry to another. one field of academic inquiry to another.)
  • Permaculture  + (Permaculture is an approach to land managePermaculture is an approach to land management and settlement design that adopts arrangements observed in flourishing natural ecosystems. It includes a set of design principles derived using whole-systems thinking. It applies these principles in fields such as regenerative agriculture, town planning, rewilding, and community resilience. Permaculture originally came from "permanent agriculture", but was later adjusted to mean "permanent culture", incorporating social aspects. The term was coined in 1978 by Bill Mollison and David Holmgren, who formulated the concept in opposition to modern industrialized methods instead adopting a more traditional or "natural" approach to agriculture. Permaculture has many branches including ecological design, ecological engineering, regenerative design, environmental design, and construction. It also includes integrated water resources management, sustainable architecture, and regenerative and self-maintained habitat and agricultural systems modeled from natural ecosystems. Permaculture uses creative design processes based on whole-systems thinking, considering all materials and energies in flow that affect or are affected by proposed changes. In practical terms it means that before, for example, modifying overland water flow, one fully considers both upstream and downstream effects in the short and long terms. Or, when looking at a "problem", such as brushy vegetation, one considers how removing or altering it will affect soil and wildlife, and how these interacting forces would evolve over time and space. Permaculture has been criticised as being poorly defined and unscientific. Critics have pushed for less reliance on anecdote and extrapolation from ecological first principles, in favor of peer-reviewed research to substantiate productivity claims and to clarify methodology. Peter Harper from the Centre for Alternative Technology suggests that most of what passes for permaculture has no relevance to real problems.culture has no relevance to real problems.)
  • Santé publique  + (Public health is "the science and art of pPublic health is "the science and art of preventing disease, prolonging life and promoting health through the organized efforts and informed choices of society, organizations, public and private, communities and individuals". Analyzing the determinants of health of a population and the threats it faces is the basis for public health. The public can be as small as a handful of people or as large as a village or an entire city; in the case of a pandemic it may encompass several continents. The concept of health takes into account physical, psychological, and social well-being. Public health is an interdisciplinary field. For example, epidemiology, biostatistics, social sciences and management of health services are all relevant. Other important sub-fields include environmental health, community health, behavioral health, health economics, public policy, mental health, health education, health politics, occupational safety, disability, oral health, gender issues in health, and sexual and reproductive health. Public health, together with primary care, secondary care, and tertiary care, is part of a country's overall health care system. Public health is implemented through the surveillance of cases and health indicators, and through the promotion of healthy behaviors. Common public health initiatives include promotion of hand-washing and breastfeeding, delivery of vaccinations, promoting ventilation and improved air quality both indoors and outdoors, suicide prevention, smoking cessation, obesity education, increasing healthcare accessibility and distribution of condoms to control the spread of sexually transmitted diseases. There is a significant disparity in access to health care and public health initiatives between developed countries and developing countries, as well as within developing countries. In developing countries, public health infrastructures are still forming. There may not be enough trained healthcare workers, monetary resources, or, in some cases, sufficient knowledge to provide even a basic level of medical care and disease prevention. A major public health concern in developing countries is poor maternal and child health, exacerbated by malnutrition and poverty coupled with governments' reluctance in implementing public health policies. From the beginnings of human civilization, communities promoted health and fought disease at the population level. In complex, pre-industrialized societies, interventions designed to reduce health risks could be the initiative of different stakeholders, such as army generals, the clergy or rulers. Great Britain became a leader in the development of public health initiatives, beginning in the 19th century, due to the fact that it was the first modern urban nation worldwide. The public health initiatives that began to emerge initially focused on sanitation (for example, the Liverpool and London sewerage systems), control of infectious diseases (including vaccination and quarantine) and an evolving infrastructure of various sciences, e.g. statistics, microbiology, epidemiology, sciences of engineering.gy, epidemiology, sciences of engineering.)
  • Politiques publiques  + (Public policy is an institutionalized propPublic policy is an institutionalized proposal or a decided set of elements like laws, regulations, guidelines, and actions to solve or address relevant and real-world problems, guided by a conception and often implemented by programs. Public policy can be considered to be the sum of government direct and indirect activities and has been conceptualized in a variety of ways. They are created and/or enacted on behalf of the public typically by a government. Sometimes they are made by nonprofit organisations or are made in co-production with communities or citizens, which can include potential experts, scientists, engineers and stakeholders or scientific data, or sometimes use some of their results. They are typically made by policy-makers affiliated with (in democratic polities) currently elected politicians. A popular way of understanding and engaging in public policy is through a series of stages known as "the policy cycle". The characterization of particular stages can vary, but a basic sequence is: agenda setting – formulation – legitimation – implementation – evaluation. Officials considered as policymakers bear responsibility to reflect the interests of a host of different stakeholders. Policy design entails conscious and deliberate effort to define policy aims and map them instrumentally. Academics and other experts in policy studies have developed a range of tools and approaches to help in this task.tools and approaches to help in this task.)
  • Union Européenne  + (The European Union (EU) is a supranationalThe European Union (EU) is a supranational political and economic union of 27 member states that are located primarily in Europe. The union has a total area of 4,233,255.3 km2 (1,634,469.0 sq mi) and an estimated total population of about 447 million. The EU has often been described as a sui generis political entity (without precedent or comparison) combining the characteristics of both a federation and a confederation. Containing 5.8 per cent of the world population in 2020, the EU generated a nominal gross domestic product (GDP) of around US$17.1 trillion in 2021, constituting approximately 18 per cent of global nominal GDP. Additionally, all EU states have a very high Human Development Index according to the United Nations Development Programme. Its cornerstone, the Customs Union, paved the way to establishing an internal single market based on standardised legal framework and legislation that applies in all member states in those matters, and only those matters, where the states have agreed to act as one. EU policies aim to ensure the free movement of people, goods, services and capital within the internal market; enact legislation in justice and home affairs; and maintain common policies on trade, agriculture, fisheries and regional development. Passport controls have been abolished for travel within the Schengen Area. The eurozone is a group composed of the 19 EU member states that have fully implemented the economic and monetary union and use the euro currency. Through the Common Foreign and Security Policy, the union has developed a role in external relations and defence. It maintains permanent diplomatic missions throughout the world and represents itself at the United Nations, the World Trade Organization, the G7 and the G20. Due to its global influence, the European Union has been described by some scholars as an emerging superpower. The union was established along with its citizenship when the Maastricht Treaty came into force in 1993, and was subsequently incorporated as an international law juridical person upon entry into force of the Treaty of Lisbon in 2009, but its beginnings may be traced to its earliest predecessors incorporated primarily by a group of founding states known as the Inner Six (Belgium, France, Italy, Luxembourg, the Netherlands, and West Germany) at the start of modern institutionalised European integration in 1948 and onwards, namely to the Western Union (WU, 1954 renamed Western European Union, WEU), the International Authority for the Ruhr (IAR), the European Coal and Steel Community (ECSC), the European Economic Community (EEC, 1993 renamed European Community, EC) and the European Atomic Energy Community (Euratom), established, respectively, by the 1948 Treaty of Brussels, the 1948 London Six-Power Conference, the 1951 Treaty of Paris, the 1957 Treaty of Rome and the 1957 Euratom Treaty. These increasingly amalgamated bodies later known collectively as the European Communities have grown since, along with their legal successor, the EU, both in size through accessions of further 21 states as well as in power through acquisitions of various policy areas to their remit by the virtue of the abovementioned treaties, as well as numerous other ones, such as the Modified Brussels Treaty, the Merger Treaty, the Single European Act, the Treaty of Amsterdam and the Treaty of Nice. In 2012, the EU was awarded the Nobel Peace Prize. Although the United Kingdom became the only member state to leave the EU in 2020, several other countries are aspiring or negotiating to join it.es are aspiring or negotiating to join it.)
  • Logiciel libre  + (Un logiciel libre est un logiciel dont l'uUn logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus. Ces droits peuvent être simplement disponibles — cas du domaine public — ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs ». Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l'instrument d'un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l'utilisateur. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : </br>* les gratuiciels (freewares) : un gratuiciel est un logiciel gratuit propriétaire, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Si la nature du logiciel libre facilite et encourage son partage, ce qui tend à le rendre gratuit, elle ne s'oppose pas pour autant à sa rentabilité principalement via des services associés. Les rémunérations sont liées par exemple aux travaux de création, de développement, de mise à disposition et de soutien technique. D'un autre côté les logiciels gratuits ne sont pas nécessairement libres, car leur code source n'est pas systématiquement accessible et leur licence peut ne pas correspondre à la définition du logiciel libre. </br>* l’open source : le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social qui repose sur les principes de Liberté, Égalité, Fraternité ; l’open source quant à lui, décrit pour la première fois dans La Cathédrale et le Bazar, s'attache aux avantages d'une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source.ravers de la réutilisation du code source.)
  • Eau potable  + (Une eau liquide est dite potable (du latin potabilis, qui signifie « qui peut être bu ») lorsqu'elle présente certaines caractéristiques — concentration en chlorures, pH, température… — la rendant propre à la consommation humaine.)
  • Politiques publiques  + (Une politique publique est un concept de sUne politique publique est un concept de science politique qui désigne les « interventions d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale sur un domaine spécifique de la société ou du territoire ». La sociologie politique utilise ce concept afin d'analyser l'ensemble de ces interventions dans les différentes étapes de leur mise en œuvre, aussi bien que dans leur genèse ou au travers de leurs conséquences (il est alors question de « sociologie de l’action publique »). La science administrative tend plutôt à analyser et à évaluer une politique publique en fonction de sa capacité à atteindre les objectifs qui lui ont été assignés, ainsi qu'en fonction de l'efficacité des moyens déployés. Dans ce cadre, les politiques publiques peuvent également être décrites comme « un ensemble d'actions coordonnées, réalisées par une puissance publique, dans l'optique d'obtenir une modification ou une évolution d'une situation donnée ». Étudier leur impact permet de décrire la capacité qu'a une puissance publique à gérer les attentes et les problèmes propres à la société ou au pan de société concerné(e) et à agir en fonction d'une stratégie publique, de court, moyen ou long terme. Les domaines concernés peuvent être de toute nature : infrastructure, santé, famille, logement, emploi, formation professionnelle, recherche, fonction publique, crise, déficit... L’évaluation des politiques publiques, présentée comme un nouvel outil d’aide à la décision publique, est apparue aux États-Unis dans les années 1960 avant de se développer au Royaume-Uni, dans les pays scandinaves puis dans les autres démocraties occidentales vingt ans plus tard. La Commission européenne en a fait notamment une exigence règlementaire systématique dans le cadre des financements alloués aux États membres à partir des années 1990.ux États membres à partir des années 1990.)
  • Agriculture urbaine  + (Urban agriculture, urban farming, or urbanUrban agriculture, urban farming, or urban gardening is the practice of cultivating, processing, and distributing food in or around urban areas. It encompasses a complex and diverse mix of food production activities, including fisheries and forestry, in cities in both developed and developing countries. The term also applies to urban area activities of animal husbandry, aquaculture, beekeeping, and horticulture. These activities occur in peri-urban areas as well, although peri-urban agriculture may have different characteristics. Urban agriculture can reflect varying levels of economic and social development. It may be a social movement for sustainable communities, where organic growers, "foodies", and "locavores" form social networks founded on a shared ethos of nature and community holism. These networks can evolve when receiving formal institutional support, becoming integrated into local town planning as a "transition town" movement for sustainable urban development. For others, food security, nutrition, and income generation are key motivations for the practice. In both scenarios, more direct access to fresh vegetables, fruits, and meat products through urban agriculture can improve food security and food safety.can improve food security and food safety.)
  • Agriculture vivrière  + (L'agriculture vivrière est une agricultureL'agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l'autoconsommation et l'économie de subsistance. La production, rarement excédentaire, n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à l'exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans et la population locale. Cette forme d'agriculture, courante dans les jardins du monde entier, demeure d'une importance capitale dans les pays les moins avancés où elle permet aux populations rurales, sans autre ressource, de se nourrir. Ses faibles rendements, générant peu d'excédent, ne permettent toutefois pas à ces populations de sortir de la pauvreté. Elle impose également d'accepter de ne consommer que des produits de saison et de gérer la période de soudure. Le caractère localisé de la production, sans accès aux marchés mondiaux, rend en outre les agriculteurs vivriers particulièrement vulnérables aux conséquences des événements climatiques locaux (sécheresse, catastrophe naturelle, saison des pluies tardive ou précoce, etc...). Elle représente environ 20 % de la production alimentaire mondiale. Par l'importance qu'elle accorde aux semences paysannes — on estime à environ 1,4 milliard les agriculteurs utilisant des procédés traditionnels de sélection — elle favorise fortement la biodiversité.— elle favorise fortement la biodiversité.)
  • Ville  + (A city is a large human settlement. It canA city is a large human settlement. It can be defined as a permanent and densely settled place with administratively defined boundaries whose members work primarily on non-agricultural tasks. Cities generally have extensive systems for housing, transportation, sanitation, utilities, land use, production of goods, and communication. Their density facilitates interaction between people, government organisations and businesses, sometimes benefiting different parties in the process, such as improving efficiency of goods and service distribution. Historically, city-dwellers have been a small proportion of humanity overall, but following two centuries of unprecedented and rapid urbanization, more than half of the world population now lives in cities, which has had profound consequences for global sustainability. Present-day cities usually form the core of larger metropolitan areas and urban areas—creating numerous commuters traveling towards city centres for employment, entertainment, and education. However, in a world of intensifying globalization, all cities are to varying degrees also connected globally beyond these regions. This increased influence means that cities also have significant influences on global issues, such as sustainable development, global warming, and global health. Because of these major influences on global issues, the international community has prioritized investment in sustainable cities through Sustainable Development Goal 11. Due to the efficiency of transportation and the smaller land consumption, dense cities hold the potential to have a smaller ecological footprint per inhabitant than more sparsely populated areas. Therefore, compact cities are often referred to as a crucial element of fighting climate change. However, this concentration can also have significant negative consequences, such as forming urban heat islands, concentrating pollution, and stressing water supplies and other resources. Other important traits of cities besides population include the capital status and relative continued occupation of the city. For example, country capitals such as Beijing, London, Mexico City, Moscow, Nairobi, New Delhi, Paris, Rome, Athens, Seoul, Singapore, Tokyo, Manila, and Washington, D.C. reflect the identity and apex of their respective nations. Some historic capitals, such as Kyoto and Xi'an, maintain their reflection of cultural identity even without modern capital status. Religious holy sites offer another example of capital status within a religion, Jerusalem, Mecca, Varanasi, Ayodhya, Haridwar and Prayagraj each hold significance.dwar and Prayagraj each hold significance.)
  • Monnaie complémentaire  + (A complementary currency is a currency or A complementary currency is a currency or medium of exchange that is not necessarily a national currency, but that is thought of as supplementing or complementing national currencies. Complementary currencies are usually not legal tender and their use is based on agreement between the parties exchanging the currency. According to Jérôme Blanc of Laboratoire d'Économie de la Firme et des Institutions, complementary currencies aim to protect, stimulate or orientate the economy. They may also be used to advance particular social, environmental, or political goals. When speaking about complementary currencies, a number of overlapping and often interchangeable terms are in use: local or community currencies are complementary currencies used within a locality or other form of community (such as business-based or online communities); regional currencies are similar to local currencies, but are used within a larger geographical region; and sectoral currencies are complementary currencies used within a single economic sector, such as education or health care. Many private currencies are complementary currencies issued by private businesses or organizations. Other terms include alternative currency, auxiliary currency, and microcurrency. Mutual credit is a form of alternative currency, and thus any form of lending that does not go through the banking system can be considered a form of alternative currency. Barters are another type of alternative currency. These are actually exchange systems, which trade only items, without the use of any currency whatsoever. Finally, LETS is a special form of barter that trades points for items. One point stands for one worker-hour of work, and is thus a Time-based currency.f work, and is thus a Time-based currency.)
  • Assemblée populaire  + (A popular assembly (or people's assembly) A popular assembly (or people's assembly) is a gathering called to address issues of importance to participants. Assemblies tend to be freely open to participation and operate by direct democracy. Some assemblies are of people from a location, some from a given workplace, industry or educational establishment others are called to address a specific issue. The term is often used to describe gatherings that address, what participants feel are, the effects of a democratic deficit in representative democratic systems. Sometimes assemblies are created to form an alternative power structure, other times they work with other forms of government. they work with other forms of government.)
  • Camp  + (A refugee camp is a temporary settlement bA refugee camp is a temporary settlement built to receive refugees and people in refugee-like situations. Refugee camps usually accommodate displaced people who have fled their home country, but camps are also made for internally displaced people. Usually, refugees seek asylum after they have escaped war in their home countries, but some camps also house environmental and economic migrants. Camps with over a hundred thousand people are common, but as of 2012, the average-sized camp housed around 11,400. They are usually built and run by a government, the United Nations, international organizations (such as the International Committee of the Red Cross), or non-governmental organization. Unofficial refugee camps, such as Idomeni in Greece or the Calais jungle in France, are where refugees are largely left without support of governments or international organizations. Refugee camps generally develop in an impromptu fashion with the aim of meeting basic human needs for only a short time. Facilities that make a camp look or feel more permanent are often prohibited by host country governments. If the return of refugees is prevented (often by civil war), a humanitarian crisis can result or continue. According to UNHCR, most refugees worldwide do not live in refugee camps. At the end of 2015, some 67% of refugees around the world lived in individual, private accommodations. This can be partly explained by the high number of Syrian refugees renting apartments in urban agglomerations across the Middle East. Worldwide, slightly over a quarter (25.4%) of refugees were reported to be living in managed camps. At the end of 2015, about 56% of the total refugee population in rural locations resided in a managed camp, compared to the 2% who resided in individual accommodation. In urban locations, the overwhelming majority (99%) of refugees lived in individual accommodations, compared with less than 1% who lived in a managed camp. A small percentage of refugees also live in collective centers, transit camps, and self-settled camps. Despite 74% of refugees being in urban areas, the service delivery model of international humanitarian aid agencies remains focused on the establishment and operation of refugee camps.ablishment and operation of refugee camps.)
  • Économie de subsistance  + (A subsistence economy is an economy directA subsistence economy is an economy directed to basic subsistence (the provision of food, clothing, shelter) rather than to the market. Henceforth, "subsistence" is understood as supporting oneself at a minimum level. Often, the subsistence economy is moneyless and relies on natural resources to provide for basic needs through hunting, gathering, and agriculture. In a subsistence economy, economic surplus is minimal and only used to trade for basic goods, and there is no industrialization.In hunting and gathering societies, resources are often if not typically underused. In human history, before the first cities, all humans lived in a subsistence economy. As urbanization, civilization, and division of labor spread, various societies moved to other economic systems at various times. Some remain relatively unchanged, ranging from uncontacted peoples, to marginalized areas of developing countries, to some cultures that choose to retain a traditional economy. Capital can be generally defined as assets invested with the expectation that their value will increase, usually because there is the expectation of profit, rent, interest, royalties, capital gain or some other kind of return. However, this type of economy cannot usually become wealthy by virtue of the system, and instead requires further investments to stimulate economic growth. In other words, a subsistence economy only possesses enough goods to be used by a particular nation to maintain its existence and provides little to no surplus for other investments. It is common for a surplus capital to be invested in social capital such as feasting.vested in social capital such as feasting.)
  • Altermondialisme  + (Alter-globalization (also known as alternaAlter-globalization (also known as alternative globalization or alter-mundialization—from the French alter-mondialisation—and overlapping with the global justice movement) is a social movement whose proponents support global cooperation and interaction, but oppose what they describe as the negative effects of economic globalization, considering it to often work to the detriment of, or to not adequately promote, human values such as environmental and climate protection, economic justice, labor protection, protection of indigenous cultures, peace and civil liberties. The name may have been derived from a popular slogan of the movement, namely "another world is possible", which came out of the World Social Forum. The alter-globalization movement is a cooperative movement designed to "protest the direction and perceived negative economic, political, social, cultural and ecological consequences of neoliberal globalization". Many alter-globalists seek to avoid the "disestablishment of local economies and disastrous humanitarian consequences". Most members of this movement shun the label "anti-globalization" as pejorative and incorrect since they actively support human activity on a global scale and do not oppose economic globalization per se. Instead they see their movement as an alternative to what they term neo-liberal globalization in which international institutions (the World Trade Organization, World Bank, International Monetary Fund and the like) and major corporations devote themselves to enriching the developed world while giving little or no attention to what critics say are the detrimental effects of their actions on the people and environments of Less Developed Countries, countries whose governments are often too weak or too corrupt to resist or regulate them. This is not to be confused with proletarian internationalism as put forth by communists in that alter-globalists do not necessarily oppose the free market, but a subset of free-market practices characterized by certain business attitudes and political policies that they say often lead to violations of human rights. often lead to violations of human rights.)
  • Productivisme  + (Apparu au début du XXe siècle, le productivisme est « un système d'organisation de la vie économique dans lequel la production est donnée comme objectif premier ». Il ne doit pas être confondu avec la recherche de la productivité.)
  • Métier (corporation)  + (Au sens large, une corporation est une réuAu sens large, une corporation est une réunion durable de personnes poursuivant un but commun, et dont l'état ne dépend pas du changement de ses membres. Le mot vient du latin corporari (« se former en corps »), et désigne une personne morale dont les membres (personnes physiques et/ou morales) possèdent en général une même caractéristique (par exemple, l'exercice d'une fonction). Les corporations peuvent être de droit privé mais sont en général (dans un sens plus contemporain du terme) instituée par une loi et de droit public. Les corporations se distinguent des établissements, qui sont groupements de biens affectés à un certain but. Au sens large du terme, les associations, syndicats et apparentés, qui sont des regroupements volontaires de droit privé sont donc des corporations. Le corporatisme peut désigner, selon qu'il prend ou non une connotation péjorative, la tendance qu'ont les membres d'un corps professionnel ou administratif à privilégier leurs intérêts matériels au détriment de ceux du public qu'ils servent (consommateurs, administrés, justiciables, usagers, élèves, clients, patients, etc.) usagers, élèves, clients, patients, etc.))
  • Barcelona en Comú  + (Barcelone en commun (en catalan : BarcelonBarcelone en commun (en catalan : Barcelona en comú, en espagnol : Barcelona en común), initialement Gagnons Barcelone (en catalan : Guanyem Barcelona), est un parti politique espagnol de gauche radicale et écologiste, constitué en vue des élections municipales de 2015 à Barcelone, qu'il a remportées. Après quatre ans de gouvernement conjoint avec d'autre formations de gauche, le parti se représente aux élections municipales de 2019, à l'issue desquelles il arrive deuxième et perd un siège.elles il arrive deuxième et perd un siège.)
  • Capitalisme  + (Capitalism is an economic system based on Capitalism is an economic system based on the private ownership of the means of production and their operation for profit. Central characteristics of capitalism include capital accumulation, competitive markets, price system, private property, property rights recognition, voluntary exchange, and wage labor. In a market economy, decision-making and investments are determined by owners of wealth, property, or ability to maneuver capital or production ability in capital and financial markets—whereas prices and the distribution of goods and services are mainly determined by competition in goods and services markets. Economists, historians, political economists and sociologists have adopted different perspectives in their analyses of capitalism and have recognized various forms of it in practice. These include laissez-faire or free-market capitalism, anarcho-capitalism, state capitalism and welfare capitalism. Different forms of capitalism feature varying degrees of free markets, public ownership, obstacles to free competition and state-sanctioned social policies. The degree of competition in markets and the role of intervention and regulation as well as the scope of state ownership vary across different models of capitalism. The extent to which different markets are free and the rules defining private property are matters of politics and policy. Most of the existing capitalist economies are mixed economies that combine elements of free markets with state intervention and in some cases economic planning. Market economies have existed under many forms of government and in many different times, places and cultures. Modern capitalist societies developed in Western Europe in a process that led to the Industrial Revolution. Capitalist systems with varying degrees of direct government intervention have since become dominant in the Western world and continue to spread. Economic growth is a characteristic tendency of capitalist economies.teristic tendency of capitalist economies.)
  • Propriété collective  + (Common ownership refers to holding the assCommon ownership refers to holding the assets of an organization, enterprise or community indivisibly rather than in the names of the individual members or groups of members as common property. Forms of common ownership exist in every economic system. Common ownership of the means of production is a central goal of communist political movements as it is seen as a necessary democratic mechanism for the creation and continued function of a communist society. Advocates make a distinction between collective ownership and common property as the former refers to property owned jointly by agreement of a set of colleagues, such as producer cooperatives, whereas the latter refers to assets that are completely open for access, such as a public park freely available to everyone. public park freely available to everyone.)
  • Association pour le maintien d'une agriculture paysanne  + (Community-supported agriculture (CSA modelCommunity-supported agriculture (CSA model) or cropsharing is a system that connects producers and consumers within the food system closer by allowing the consumer to subscribe to the harvest of a certain farm or group of farms. It is an alternative socioeconomic model of agriculture and food distribution that allows the producer and consumer to share the risks of farming. The model is a subcategory of civic agriculture that has an overarching goal of strengthening a sense of community through local markets. In return for subscribing to a harvest, subscribers receive either a weekly or bi-weekly box of produce or other farm goods. This includes in-season fruits, vegetables, and can expand to dried goods, eggs, milk, meat, etc. Typically, farmers try to cultivate a relationship with subscribers by sending weekly letters of what is happening on the farm, inviting them for harvest, or holding an open-farm event. Some CSAs provide for contributions of labor in lieu of a portion of subscription costs. The term CSA is mostly used in the United States and Canada, but a variety of similar production and economic sub-systems are in use worldwide, in Austria and Germany as Solidarische Landwirtschaft ("solidarity farming") and in the UK mainly in the vegetable box scheme.the UK mainly in the vegetable box scheme.)
  • Friends Group  + (Cooperating Associations, also known as inCooperating Associations, also known as interpretive associations or natural history associations, support the interpretive, educational and scientific programs and services of governmental land management agencies such as the National Park Service, USDA Forest Service, US Fish and Wildlife Service, Bureau of Land Management, US Army Corps of Engineers, or state park departments. Associations assist in the production of site-specific products, distribute educational and scientific publications produced by agencies, donate materials for use in interpretive programs and exhibits, and work to secure grants and funding. This is accomplished through bookstore sales, membership support, publication and product development, research funding, and other educational programs and activities. They must hold a federally tax-exempt, not-for-profit status under Section 501(c)(3) of the Internal Revenue Code.on 501(c)(3) of the Internal Revenue Code.)
  • Coworking  + (Cotravail Le coworking, ou cotravail, est Cotravail Le coworking, ou cotravail, est une méthode d'organisation du travail qui regroupe un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs pratiquant l'échange et l'ouverture ; juridiquement cela se traduit par une location d'espaces partagés de travail. En d'autres termes, le cotravail qui constitue l'un des domaines de l'économie collaborative, laquelle est par essence non commerciale, est souvent présenté comme un contexte favorisant l'innovation. Les espaces de cotravail sont en pleine expansion et jouent un rôle important en favorisant la structuration d'un véritable réseau de cotravailleurs facilitant à la fois échanges directs, réseautage, coopération et créativité.ts, réseautage, coopération et créativité.)
  • Creative commons  + (Creative Commons (CC) est une association Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif.th et aux États-Unis) est plus restrictif.)
  • Culture locale et ancestrale  + (Cultural heritage is the heritage of tangiCultural heritage is the heritage of tangible and intangible heritage assets of a group or society that is inherited from past generations. Not all heritages of past generations are "heritage"; rather, heritage is a product of selection by society. Cultural heritage includes tangible culture (such as buildings, monuments, landscapes, books, works of art, and artifacts), intangible culture (such as folklore, traditions, language, and knowledge), and natural heritage (including culturally significant landscapes, and biodiversity). The term is often used in connection with issues relating to the protection of Indigenous intellectual property. The deliberate act of keeping cultural heritage from the present for the future is known as preservation (American English) or conservation (British English), which cultural and historical ethnic museums and cultural centers promote, though these terms may have more specific or technical meanings in the same contexts in the other dialect. Preserved heritage has become an anchor of the global tourism industry, a major contributor of economic value to local communities. Legal protection of cultural property comprises a number of international agreements and national laws.United Nations, UNESCO and Blue Shield International deal with the protection of cultural heritage. This also applies to the integration of United Nations peacekeeping.ntegration of United Nations peacekeeping.)
  • Patrimoine culturel  + (Cultural heritage is the heritage of tangiCultural heritage is the heritage of tangible and intangible heritage assets of a group or society that is inherited from past generations. Not all heritages of past generations are "heritage"; rather, heritage is a product of selection by society. Cultural heritage includes tangible culture (such as buildings, monuments, landscapes, books, works of art, and artifacts), intangible culture (such as folklore, traditions, language, and knowledge), and natural heritage (including culturally significant landscapes, and biodiversity). The term is often used in connection with issues relating to the protection of Indigenous intellectual property. The deliberate act of keeping cultural heritage from the present for the future is known as preservation (American English) or conservation (British English), which cultural and historical ethnic museums and cultural centers promote, though these terms may have more specific or technical meanings in the same contexts in the other dialect. Preserved heritage has become an anchor of the global tourism industry, a major contributor of economic value to local communities. Legal protection of cultural property comprises a number of international agreements and national laws.United Nations, UNESCO and Blue Shield International deal with the protection of cultural heritage. This also applies to the integration of United Nations peacekeeping.ntegration of United Nations peacekeeping.)
  • Communes  + (Dans certains pays, une commune est une ciDans certains pays, une commune est une circonscription territoriale pouvant correspondre à une ville, à un bourg avec ses villages et hameaux ou à un groupe de villages. Dans la plupart des cas, la commune constitue la plus petite subdivision administrative. Elle est souvent dirigée par un maire ou bourgmestre.uvent dirigée par un maire ou bourgmestre.)
  • Confiance  + (Divers philosophes, psychologues et cherchDivers philosophes, psychologues et chercheurs en sciences sociales ont travaillé sur la notion de confiance qui, selon une définition assez largement acceptée, peut être entendue comme « un état psychologique se caractérisant par l'intention d'accepter la vulnérabilité sur la base de croyances optimistes sur les intentions (ou le comportement) d'autrui ». La confiance renvoie à l’idée que l’on peut se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Dans l’étymologie latine, le verbe confier (du latin confidere : cum, « avec » et fidere « fier ») signifie qu’on remet quelque chose de précieux à quelqu’un, en se fiant à lui et en s’abandonnant ainsi à sa bienveillance et à sa bonne foi. Cette origine souligne les liens étroits qui existent entre la confiance, l'espoir, la foi, la fidélité, la confidence, le crédit et la croyance. Confiance est aussi une des vertus chrétiennes plus importantes, particulièrement dans la dévotion à la divine miséricorde. dans la dévotion à la divine miséricorde.)
  • Wikidata 1  + (Earth is the third planet from the Sun andEarth is the third planet from the Sun and the only astronomical object known to harbor life. While large volumes of water can be found throughout the Solar System, only Earth sustains liquid surface water. About 71% of Earth's surface is made up of the ocean, dwarfing Earth's polar ice, lakes, and rivers. The remaining 29% of Earth's surface is land, consisting of continents and islands. Earth's surface layer is formed of several slowly moving tectonic plates, interacting to produce mountain ranges, volcanoes, and earthquakes. Earth's liquid outer core generates the magnetic field that shapes Earth's magnetosphere, deflecting destructive solar winds. Earth's atmosphere consists mostly of nitrogen and oxygen. More solar energy is received by tropical regions than polar regions and is redistributed by atmospheric and ocean circulation. Water vapor is widely present in the atmosphere and forms clouds that cover most of the planet. Greenhouse gases in the atmosphere like carbon dioxide (CO2) trap a part of the energy from the Sun close to the surface. A region's climate is governed by latitude, but also by elevation and proximity to moderating oceans. Severe weather, such as tropical cyclones, thunderstorms, and heatwaves, occurs in most areas and greatly impacts life. Earth is an ellipsoid with a circumference of about 40,000 km. It is the densest planet in the Solar System. Of the four rocky planets, it is the largest and most massive. Earth is about eight light minutes away from the Sun and orbits it, taking a year (about 365.25 days) to complete one revolution. Earth rotates around its own axis in slightly less than a day (in about 23 hours and 56 minutes). is tilted with respect to the perpendicular to its orbital plane around the Sun, producing seasons. Earth is orbited by one permanent natural satellite, the Moon, which orbits Earth at 380,000 km (1.3 light seconds) and is roughly a quarter as wide as Earth. The Moon always faces the Earth with the same side through tidal locking and causes tides, stabilizes Earth's axis, and gradually slows its rotation. Earth formed over 4.5 billion years ago. During the first billion years of Earth's history, the ocean formed and then life developed within it. Life spread globally and began to affect Earth's atmosphere and surface, leading to Earth's Great Oxidation Event two billion years ago. Humans emerged 300,000 years ago, and have reached a population of almost 8 billion today. Humans depend on Earth's biosphere and natural resources for their survival, but have increasingly impacted Earth's environment. Today, humanity's impact on Earth's climate, soils, waters, and ecosystems is unsustainable, threatening people's lives and causing widespread extinction of other life.using widespread extinction of other life.)
  • Pluralisme juridique  + (El Pluralismo Jurídico hace referencia a lEl Pluralismo Jurídico hace referencia a la existencia de múltiples sistemas jurídicos en una misma área geográfica. Esta definición implica tres cosas: (i) reconocer que el derecho oficial, el derecho del estado, no es el único existente; (ii) que distintas prácticas jurídicas ( i.e. justicia indígena, justicias comunitarias) pueden ser reconocidas como distintas formas de derecho; (iii) lo anterior supone, por tanto, que el reconocimiento de soberanía que algunos estados establecen al pretender el monopolio de la fuerza jurídica, se relativiza. Pluralismo Jurídico es la coexistencia dentro un Estado de diversos conjuntos de normas jurídicas positivas en un plano de igualdad, respeto y coordinación. Machicado, Jorge El concepto de pluralismo jurídico supone una definición alternativa de derecho, pues si se adopta la definición clásica, el derecho se reduce a las normas producidas exclusivamente por el Estado. Si se acepta la noción de pluralismo jurídico, se pone en cuestión la idea del monopolio de la fuerza estatal. El pluralismo jurídico se enfrenta a escenarios de etnocentrismo, violencia, estigmatización y altas cargas de racismo; ya que si bien las fuentes plurales de su sentido son de diversas comunidades ético-políticas; es mayor la presencia en el territorio americano de fuentes étnicas, específicamente indígenas. En este mismo sentido es importante reconocer que las prácticas indígenas no son manifestaciones exclusivas de un grupo poblacional auto adscrito por su identidad cultural; sino que se reproduce además en las poblaciones denominadas como mestizas a través de sus prácticas, costumbres, actividades, en suma, su "memoria vivida y practicada", a decir de Aquiles Hervas Parra es el conjunto de manifestaciones de las relaciones practicadas y vividas en cambios generacionales que se transmiten de un grupo a otro, y que en muchos de los casos no se percibe consciencia de su existencia en el sujeto mismo. Desde una perspectiva socio-jurídica, puede entenderse como derecho cualquier conjunto de normas que regulen la conducta humana, y que sea reconocido por sus destinatarios como vinculante. Según Boaventura de Sousa Santos, cualquier orden social que de cuenta de retórica, violencia y burocracia, puede ser considerado como derecho. El comercio informal, la presencia de grupos guerrilleros o paramilitares, o la presencia de etnias o en un Estado, son algunos ejemplos de pluralismo jurídico.n algunos ejemplos de pluralismo jurídico.)
  • Plateforme  + (En informatique, une plateforme ou plate-fEn informatique, une plateforme ou plate-forme est un environnement permettant la gestion ou l'utilisation de services applicatifs. La terminologie peut notamment désigner : </br>* un système d'exploitation ou un noyau ; </br>* un environnement d'exécution comme une machine virtuelle ; </br>* un environnement de développement, à condition qu'il intègre son environnement d'exécution ; </br>* un serveur web ou d'applications, notamment une plateforme de téléchargement ; </br>* une application web ou logicielle, par exemple : </br>* un espace numérique de travail (ENT), </br>* un SGBD, </br>* une , </br>* une plateforme de vidéo à la demande, </br>* une plateforme de jeux vidéo, </br>* une plateforme de réseaux sociaux, </br>* un centre de maintenance pour un appareil ou un réseau informatique, </br>* une plateforme d'intermédiation. </br>* Portail de l’informatiquetermédiation. * Portail de l’informatique)
  • Culture  + (En philosophie, le mot culture désigne ce En philosophie, le mot culture désigne ce qui est différent de la nature. En sociologie, comme en éthologie, la culture est définie de façon plus étroite comme « ce qui est commun à un groupe d'individus » et comme « ce qui le soude », c'est-à-dire ce qui est appris, transmis, produit et inventé. Ainsi, pour une organisation internationale comme l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd’hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels, matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les lois, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances ». Ce « réservoir commun » évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en de multiples manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de communiquer en société. Par abus de langage, le mot « culture » est employé pour désigner presque exclusivement l'offre de pratiques et de services culturels dans les sociétés modernes, et en particulier dans le domaine des arts et des lettres.r dans le domaine des arts et des lettres.)
  • Biens publics  + (En économie, un bien public est un bien noEn économie, un bien public est un bien non rival ou non excluable. La consommation de ce bien par un agent n'affecte donc pas la quantité disponible pour les autres agents (non-rivalité). Il est impossible d'exclure un agent de l'utilisation de ce bien, même s'il n'a pas participé à son financement. Un bien public pur est un bien non rival et non excluable, il est impossible de faire payer l'accès à ce bien (non-excluabilité). Par exemple, une émission de radio est un bien public. C'est un bien non rival au sens où lorsqu'un agent écoute une émission de radio, il n'empêche aucun autre agent de l'écouter. C'est un bien non excluable au sens où les technologies des ondes radio ne permettent pas de restreindre l'accès à ce bien à ceux qui le financeraient. La notion de bien public mondial (ou ) désigne des biens publics très étendus comme la qualité de l'air, la biodiversité ou la situation climatique mondiale.rsité ou la situation climatique mondiale.)
  • Passage à l'échelle  + (Es un anglicismo que describe la capacidadEs un anglicismo que describe la capacidad de un negocio o sistema de crecer en magnitud. Aunque la palabra escalabilidad no existe en el diccionario de la RAE el adjetivo más cercano ampliable es de poco uso en telecomunicaciones y en ingeniería informática. La escalabilidad, término tomado en préstamo del idioma inglés, es la propiedad deseable de un sistema, una red o un proceso, que indica su habilidad para reaccionar y adaptarse sin perder calidad, o bien manejar el crecimiento continuo de trabajo de manera fluida, o bien para estar preparado para hacerse más grande sin perder calidad en los servicios ofrecidos. En general, también se podría definir como la capacidad del sistema informático de cambiar su tamaño o configuración para adaptarse a las circunstancias cambiantes. Por ejemplo, una Universidad que establece una red de usuarios por Internet para un edificio de docentes y no solamente quiere que su sistema informático tenga capacidad para acoger a los actuales clientes que son todos profesores, sino también a los clientes que pueda tener en el futuro dado que hay profesores visitantes que requieren de la red por algunas aplicaciones académicas, para esto es necesario implementar soluciones que permitan el crecimiento de la red sin que la posibilidad de su uso y reutilización disminuya o que pueda cambiar su configuración si es necesario. La escalabilidad como propiedad de los sistemas es generalmente difícil de definir, en particular es necesario definir los requisitos específicos para la escalabilidad en esas dimensiones donde se crea que son importantes. Es una edición altamente significativa en sistemas electrónicos, bases de datos, ruteadores y redes. A un sistema cuyo rendimiento es mejorado después de haberle añadido más capacidad hardware, proporcionalmente a la capacidad añadida, se dice que pasa a ser un sistema escalable. dice que pasa a ser un sistema escalable.)