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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Text« Text » est une propriété prédéfinie fournie par <a rel="nofollow" class="external text" href="https://www.semantic-mediawiki.org/wiki/Help:Special_properties">MediaWiki Sémantique</a> et qui représente un texte de longueur quelconque. » avec la valeur « Les droits culturels s’inscrivent dans le cadre juridique des droits de l’homme. Ils visent à faire reconnaître le droit de chaque personne à participer à la vie culturelle, de vivre et d’exprimer sa culture et ses références, dans le respect des autres droits humains fondamentaux. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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Liste de résultats

  • Action publique  + (L'action publique désigne l'action de l'adL'action publique désigne l'action de l'administration publique. C'est un concept de sociologie politique qui désigne à la fois l'activité de gouvernement, le travail gouvernemental et l'action de gouverner. En sociologie, la notion d'action publique est utilisée à la place de la notion de politique publique pour souligner la complexité de l'action de l'État et plus généralement de l'administration publique. A la différence de la notion de politique publique, la notion d'action publique est employée pour mettre en relief la question de la mise en œuvre des politiques publiques. L'objectif de cette approche, comme dans les science studies, est d'étudier ce que les acteurs font et non pas ce qu'ils disent qu'ils font. Le concept est aussi utilisé dans l'administration. Par exemple, en 2012, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a créé le Secrétariat général pour la modernisation de l'action publique (SGMAP) et en 2017, le gouvernement d'Édouard Philippe a lancé le programme . d'Édouard Philippe a lancé le programme .)
  • Agriculture biologique  + (L'agriculture biologique est une méthode dL'agriculture biologique est une méthode de production agricole qui exclut le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse, utilisés notamment par l'agriculture industrielle et intensive depuis le début du XXe siècle, les organismes génétiquement modifiés par transgénèse, et la conservation des cultures par irradiation. La fertilisation du sol et la protection des plantes doivent donc être assurées en privilégiant au maximum l'utilisation d'engrais et de pesticides issus ou dérivés de substances naturelles. Ces derniers sont appelés biopesticides. Les pratiques d'agriculture biologique sont soumises à des normes contraignantes permettant la labellisation des produits et un prix de vente généralement plus élevé. Les motivations des agriculteurs et des consommateurs peuvent être de meilleurs revenus, une meilleure santé au travail, la protection de l'environnement ou des produits perçus comme plus sains. L'élevage d'animaux des fermes biologiques doit respecter des conditions de vie plus respectueuses du bien-être animal que l'agriculture traditionnelle. Définie depuis les années 1920, l'agriculture biologique est organisée à l'échelle mondiale depuis 1972 (International Federation of Organic Agriculture Movements – IFOAM) et reconnue depuis 1999 dans le Codex Alimentarius, un programme commun de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de l'Organisation mondiale de la santé. L'agriculture biologique est une des formes d'agriculture durable ; l'appellation « biologique », ou son abréviation « bio », est protégée légalement et implique une certification. Plusieurs labels internationaux de reconnaissance de ce type d'agriculture ont été définis. Depuis 1990, le marché des aliments et autres produits biologiques a augmenté rapidement, atteignant 63 milliards de dollars dans le monde en 2012. Cette demande s'est accompagnée d'une augmentation de la surface des terres agricoles destinées à l'agriculture biologique, qui s'est accrue de 8,9 % par an en moyenne entre 2001 et 2011. Dans le monde, plus de 37,2 millions d'hectares étaient consacrés à l'agriculture biologique à la fin de l'année 2011, soit 0,9 % des terres agricoles des 162 pays pris en compte dans le calcul. En 2015, l'agriculture biologique occupait 6,2 % de la superficie agricole utilisée de l'Union européenne.e agricole utilisée de l'Union européenne.)
  • Exploitation agricole intensive  + (L'agriculture intensive est un système de L'agriculture intensive est un système de production agricole fondé sur un accroissement de la production agricole optimisé par rapport à la disponibilité des facteurs de production (moyens humains, matériels et surfaces cultivées). Ce rapport entre volume produit et facteur de production est appelé productivité. L'agriculture intensive existe dans deux systèmes opposés, l'un traditionnel, l'autre moderne. En système traditionnel, les ressources humaines sont nombreuses, la force animale est souvent employée, la biodiversité est élevée et plusieurs espèces complémentaires sont parfois cultivées ensemble, mais les moyens matériels (et souvent les disponibilités foncières) sont rares : l'intensification agricole y est fondée sur l'investissement humain maximal par rapport aux autres facteurs de production. Les impacts environnementaux sont faibles (agriculture extensive au sens large). En système moderne, la situation est inverse : les moyens humains sont en grande partie remplacés par des machines ou robots, l'intensification requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants (engrais, produits phytosanitaires, matériel agricole, énergie). C'est ce deuxième système qui est habituellement désigné par l'appellation « agriculture intensive ». Les caractéristiques (mécanisation, chimisation, standardisation et augmentation de la taille des parcelles) de l'intensification de l'agriculture à l’échelle des parcelles et des paysages, expliquent que les impacts environnementaux y sont plus importants.s environnementaux y sont plus importants.)
  • Luttes antiracistes  + (L'antiracisme, ou anti-racisme, est l'oppoL'antiracisme, ou anti-racisme, est l'opposition et la réprobation active et consciente aux doctrines, attitudes et réactions racistes, c'est-à-dire aussi bien au suprémacisme racial qu'à l'ensemble des attitudes inégalitaires d'hostilité à l'égard de l'altérité ethnique. Défendu comme une pensée politique, l'antiracisme désigne l'ensemble des pressions et actions politiques visant l'élimination du racisme dans les structures sociales, les institutions et les interactions entre les individus. Le projet antiraciste est celui d'une société égalitaire. Le 21 mars est la Journée internationale pour l'élimination de la discrimination raciale.'élimination de la discrimination raciale.)
  • Antispécisme  + (L'antispécisme est un courant de pensée phL'antispécisme est un courant de pensée philosophique et moral, formalisé dans les années 1970 par des philosophes anglo-saxons qui défendent un renouveau de l'animalisme, et considèrent que l'espèce à laquelle appartient un animal n'est pas un critère pertinent pour décider de la manière dont on doit le traiter et de la considération morale qu'on doit lui accorder. Les philosophes Richard D. Ryder et Peter Singer développent le concept « antispécisme », en l'opposant au spécisme — concept défini sur le modèle du racisme et du sexisme, repris et précisé une quinzaine d'années plus tard par la revue française Cahiers antispécistes —, plaçant l'espèce humaine au-dessus de toutes les autres et accordant une considération morale plus grande à certaines espèces animales (notamment le chat, le chien, le cheval et d'autres animaux de compagnie) qu'à d'autres (les animaux sauvages, les animaux d'élevage). animaux sauvages, les animaux d'élevage).)
  • Logiciel open source  + (La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, ou code source ouvert, s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. Le mouvement open source s'est développé en parallèle du mouvement du logiciel libre qui prône des valeurs philosophiques et politiques de justice, l'open source se focalisant sur des considérations techniques de développement logiciel et ne s'opposant pas à l'utilisation de systèmes intégrés combinant logiciels propriétaires et logiciels open source. Dans la pratique toutefois, la très grande majorité des logiciels open source sont également libres, l'exception la plus notable étant les logiciels pratiquant la tivoïsation. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. Les décideurs effectuent d’ailleurs de plus en plus leur choix à partir d’un jugement éclairé, en comparant systématiquement solutions propriétaires et solutions libres.lutions propriétaires et solutions libres.)
  • Gestion de l'eau  + (La gestion de l'eau est l'activité qui conLa gestion de l'eau est l'activité qui consiste à protéger, planifier, développer, distribuer et gérer l'utilisation optimale des ressources en eau et des milieux aquatiques, des points de vue qualitatif et quantitatif. Ceci inclut la gestion des risques « quantitatifs » et évènements extrêmes de sécheresse et pénurie, d'inondations et de crues, érosion des sols et du trait de côte, d', notamment liés au changement climatique, à la déforestation et à la destruction des zones humides. S'y ajoute les questions de pollutions telluriques des zones côtières et des mers et océans, par les activités humaines, essentiellement charriées par les fleuves. Axée sur le développement des ressources en eau depuis les années 1970, cette activité se tourne sur leur gestion dans les années 1980 et sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les années 1990, cette évolution traduisant la mobilisation du secteur public et privé en faveur du développement durable. En 2017, au moins 196 villes mondiales, soit 1,2 milliard de personnes (20 % de la population) sont considérées comme confrontées à des problèmes de gestion de l’eau selon le CDP (ex. : Miami, Pittsburgh (États-Unis) et Johannesburg (Afrique du Sud), qui dont confrontées à un risque « extrême » d’inondations. Les actions de gestion sont de court, moyen et long termes et pour certaines doivent concerner tout un bassin versant. Elles concernent donc de nombreux acteurs (dont collectivités publiques, entreprises agriculteurs et habitants), entités décisionnelles réunies sous le nom de gouvernance de l'eau. Dans un contexte de marchandisation l'eau est de plus en plus perçue comme une ressource naturelle précieuse et un bien commun à partager avec les autres êtres vivants de la planète ; une ressource limitée et inégalement répartie, à utiliser de manière économe et à dépolluer avant de la rendre au milieu naturel.luer avant de la rendre au milieu naturel.)
  • Justice sociale  + (La justice sociale est une construction moLa justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et conçoit la nécessité d'une solidarité collective entre les personnes d'une société donnée. L'entrée correspondant à ce terme dans le Dictionnaire des sciences économiques et sociales le fait reposer théoriquement sur deux principes. Soit, un premier principe d'équité, avec lequel il ne faut pas confondre celui de justice, et qui s'entend plutôt comme le principe du « à chacun son dû ». Dans ce cas, la part individuelle revenant à celui qui bénéficie du traitement équitable doit être conforme aux attentes les plus généralement exprimées dans une société à l'égard des autres parts individuelles. Soit, un second principe, dit moral, d'une prémisse d'égalité entre tous les membres composants la société. Dans ce cas, la notion de justice sociale est essentiellement une projection vers une société plus juste, en admettant qu'il y ait toujours des injustices. On peut le voir soit comme une utopie, soit comme une démarche allant vers plus de progressisme. Ce premier partage définitoire permet de tracer plusieurs règles générales d'application de la justice sociale. La justice sociale est dite commutative quand elle est fondée sur l'idée que la pure réciprocité doit exister entre les membres et la société (chacun reçoit en contrepartie mesurée d'un effort fourni). Elle sera, en revanche, qualifiée de distributive, si elle vise à donner à chacun la part qui lui revient pour vivre décemment, en se réservant de préciser quels critères ou catégories seront utilisés pour élaborer cette distribution (économique, sociale, culturelle). Les actions ayant pour objectif de rétablir une justice sociale visent à élaborer un meilleur système de répartitions, où chaque individu a et conserve les mêmes chances de réussite tout au long des situations de sa vie d'individu. Ainsi, on parle parfois d'« égalité des chances ». Les corrections nécessaires peuvent être sociales, financières ou culturelles. La justice sociale peut aussi se définir de manière négative : est injuste ce qui n'est pas acceptable socialement. Par exemple, les inégalités de salaires entre métiers de qualifications différentes sont le plus souvent considérées comme justes, parce qu'elles sont socialement acceptées par la majorité. Il existe une distinction entre justice sociale (ou équité) et égalité. La justice sociale est aussi une notion qui évolue dans le temps, ce qui est juste socialement peut devenir injuste si le contexte change (voir sociologie de la justice sociale). Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : 1. </br>* garantie des libertés de base égales pour tous ; 2. </br>* égalité des chances ; 3. </br>* maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.alités qui profitent aux plus défavorisés.)
  • Propriété intellectuelle  + (La propriété intellectuelle est le domaineLa propriété intellectuelle est le domaine comportant l'ensemble des droits exclusifs accordés sur des créations intellectuelles.Elle comporte deux branches : </br>* la propriété littéraire et artistique, qui s'applique aux œuvres de l'esprit, est composée du droit d'auteur et des droits voisins ; </br>* la propriété industrielle, qui regroupe elle-même, d'une part, les créations utilitaires, comme le brevet d'invention et le certificat d'obtention végétale ou au contraire un droit de protection sui generis des obtentions végétales, et, d'autre part, les signes distinctifs, notamment la marque commerciale, le nom de domaine et l'appellation d'origine. Elle comprend un droit moral (extra-patrimonial) qui est le seul droit attaché à la personne de l'auteur de l’œuvre qui soit perpétuel, inaliénable et imprescriptible, et qui s'applique donc post mortem, même après que l'œuvre est placée dans le domaine public (soit 70 ans à compter du 1er janvier de l'année suivant la mort de l’auteur). C'est l'œuvre résultante, et sa forme, qui sont protégées, non les idées et les informations qui en sont à l'origine, et qui, elles, restent libres de droit. Ainsi, le « résumé » d'une œuvre écrite, ou la citation d'un titre dans une bibliographie ne sont pas considérés comme un emprunt à ce qui est protégé par le droit d'auteur dans l'œuvre. Certaines personnalités du mouvement du logiciel libre dénoncent l'escroquerie sémantique du concept de « propriété intellectuelle », de même le récent brevetage du vivant a suscité de vives controverses éthiques et juridiques.vives controverses éthiques et juridiques.)
  • Souveraineté alimentaire  + (La souveraineté alimentaire est un conceptLa souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par Via Campesina lors du Sommet de l'alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996. Il a depuis été repris et précisé par divers courants altermondialistes lors de différents Forums Sociaux Mondiaux. La souveraineté alimentaire est présentée comme un droit international qui laisse la possibilité aux populations, aux États ou aux groupes d'États de mettre en place les politiques agricoles les mieux adaptées à leurs populations sans qu'elles puissent avoir un effet négatif sur les populations d'autres pays. Elle se construit à l'origine dans l'objectif de permettre le respect des droits des paysans. La souveraineté alimentaire est donc une rupture par rapport à l'organisation actuelle des marchés agricoles mise en œuvre par l'OMC. Complémentaire du concept de sécurité alimentaire qui concerne la quantité d'aliments disponibles, l'accès des populations à ceux-ci, l'utilisation biologique des aliments et le problème de la prévention et gestion des crises, la souveraineté alimentaire accorde en plus une importance aux conditions sociales et environnementales de production des aliments. Elle prône un accès plus équitable à la terre pour les paysans pauvres, au moyen si nécessaire d'une réforme agraire et de mécanismes de sécurisation des droits d'usage du foncier. Au niveau local, les défenseurs de la souveraineté alimentaire favorisent le maintien d'une agriculture de proximité destinée en priorité à alimenter les marchés régionaux et nationaux. Les cultures vivrières et l'agriculture familiale de petite échelle sont présentées par les défenseurs de la souveraineté alimentaire comme étant d'une grande efficacité économique[réf. nécessaire], sociale[réf. nécessaire] et environnementale[réf. nécessaire], comparée à l'agriculture industrielle et les plantations de grande échelle où travaillent de nombreux salariés. La place et le rôle des femmes sont privilégiés. La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture. des plantes transgéniques en agriculture.)
  • Sécheresse  + (La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ défiLa sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ définit l'état d'un environnement confronté à un manque d'eau significativement long et important pour qu'il ait des impacts sur la flore (naturelle ou cultivée), la faune (sauvage ou d'élevage) et les sociétés. Sécheresse ne doit pas être confondu avec aridité. Une région aride peut connaître des épisodes de sécheresse. Le déficit hydrique est une situation naturelle du point de vue de la variabilité climatique (par exemple, les périodes glaciaires/interglaciaires du Quaternaire, les cycles El Niño / La Niña, etc.) mais, selon certains climatologues certaines situations de déficit hydrique sont amplifiées (durée, extension spatiale, intensité) par l'émission humaine de gaz à effet de serre. Il fait suite à un déficit pluviométrique, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification accélérée d'origine anthropique), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs). La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier dans les régions de peu de ressources économiques. La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau de l'homme (savoir les applications agricoles – agriculture, du bétail – industrielles, domestiques de l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire – piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés. La sécheresse s'initie par une sécheresse météorologique se produisent généralement lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion d'une perturbation atmosphérique et peuvent alors mener la région surplombée par celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans précipitations.onc avec un peu voire sans précipitations.)
  • Justice environnementale  + (Le concept de justice environnementale appLe concept de justice environnementale applique les théories de la justice au champ de l'environnement et de l'écologie. Il découle de la prise en compte de l'environnement et des services écosystémiques qu'il permet comme du « bien commun. » La justice environnementale peut aussi concerner les effets du dérèglement climatique ; dans ce contexte on parle parfois d'injustice et/ou de « justice climatique ». Ce concept sous-tend qu'il existe des droits sur la nature pour tous et chacun ; individus, familles, collectivités, entreprises et autres groupes humains vis-à-vis de l'environnement considéré comme bien commun, mais en échange de devoirs et d'obligations légales, et selon le PNUD repris par Fabrice Flipo (2002), « en l’absence de tierce-parties capables d’administrer une justice : les plus forts outrepassent leurs droits et échappent à leurs devoirs, constituant peu à peu de petits potentats privés. Les règles actuelles conduisent donc sans surprise à une augmentation mondiale des inégalités ».Ce concept invite donc aussi à penser et mettre en œuvre des mesures de réduction, de réparation et de compensation quand le préjudice écologique n'a pu être évité, ce qui peut parfois nécessiter ou justifier une certaine « ingérence écologique ». Ces devoirs ou obligations sont souvent regroupés dans la notion de « responsabilité sociale et environnementale », la liberté d'exploiter l'environnement s'arrêtant là où elle menace celle des autres (il y a alors obligation à ne pas surexploiter une ressource), et là où l'environnement (biodiversité, habitats naturels, diversité génétique) serait lui-même menacé par les activités humaines. La justice environnementale s’apparente in fine à une réflexion éthique sur la responsabilité et la liberté. Le cœur de l’argumentaire consiste à exposer que la souffrance est prioritaire au bien-être et que la responsabilité prime sur la liberté. La justice environnementale mérite d'être saisie via le développement socialement durable (DSD) où l’on donne une priorité aux capacités personnelles, en particulier à la capacité d’auto-contrainte de la personne sinon à sa capacité de résilience. Il en résulte une structure de capacités qui imprègne la personne, pouvant la renforcer mais aussi la fragiliser.ant la renforcer mais aussi la fragiliser.)
  • Développement durable  + (Le développement durable (en anglais : susLe développement durable (en anglais : sustainable development, parfois traduit par développement soutenable) est une conception du développement qui s'inscrit dans une perspective de long terme et en intégrant les contraintes écologiques et sociales à l'économie. Selon la définition donnée dans le rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, dit rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la première fois en 1987, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Cette notion s'est imposée à la suite de la prise de conscience progressive, depuis les années 1970, de la finitude écologique de la Terre, liée aux limites planétaires sur le long terme. La notion fait toutefois l'objet de , notamment de la part des tenants de la décroissance, pour lesquels cette notion reste trop liée à celle de la croissance économique, mais aussi de la part de ceux qui y voient un frein au développement.ux qui y voient un frein au développement.)
  • Transition post-capitaliste  + (Le post-capitalisme est un concept qui conLe post-capitalisme est un concept qui concerne plusieurs propositions visant à créer un nouveau système économique ayant pour ambition de remplacer le capitalisme. Selon certains et certaines théories d'évolution sociale, une société post-capitaliste pourrait naître d'une obsolescence spontanée du capitalisme. D'autres proposent des modèles visant à remplacer intentionnellement le capitalisme. Voir à ce propos les concepts de réformisme et d'utopie technologique. Différents penseurs suggèrent qu'un travail actif doit être entrepris pour construire un monde post-capitaliste avant que la société capitaliste ne s'effondre. Un changement graduel de la société est pour certains plus favorable qu'un choc.t pour certains plus favorable qu'un choc.)
  • Technosolutionnisme  + (Le technosolutionnisme fait référence à laLe technosolutionnisme fait référence à la tentative d'utiliser l'ingénierie ou la technologie pour résoudre un problème souvent créé par des technologies antérieures. Certains le définissent comme une « tentative de réparer les dommages causés à une technologie par une modification du système », qui peut impliquer une modification de technologies existantes et/ou une modification de ses procédures d'exploitation ou de maintenance. Les correctifs technologiques sont inévitables dans la technologie moderne. Il a été observé que de nombreuses technologies, bien qu'inventées et développées pour résoudre certains problèmes perçus, créent souvent d'autres problèmes dans le processus, appelés externalités . Le technosolutionnisme est l'idée que tous les problèmes peuvent trouver des solutions dans des technologies meilleures et nouvelles. Le terme est maintenant utilisé comme une expression condescendante pour décrire des solutions bon marché et rapides en utilisant des technologies inappropriées ; ces correctifs créent souvent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent, ou donnent le sentiment qu'ils ont résolu le problème.e sentiment qu'ils ont résolu le problème.)
  • Eaux souterraines  + (Les eaux souterraines sont toutes les eauxLes eaux souterraines sont toutes les eaux se trouvant sous la surface du sol, dans la zone de saturation et en contact direct avec le sol ou le sous-sol. En tant que ressource naturelle vitale et plus ou moins renouvelable et parfois transfrontalières, ces eaux posent des questions juridiques particulières. C'est parfois une source de conflit inter ethnique ou entre pays. Les aquifères souterrains sont la réserve majeure (98 à 99 %)de l'eau douce exploitable sur les terres émergées. L’utilisation de l’eau souterraine se répartit de façon variable d’un pays à l’autre. Les pourcentages d’utilisation, selon les trois catégories, sont les suivants : </br>* 65 % (0 à 97 %) pour l’irrigation; </br>* 25 % (0 à 93 %) pour l'eau potable; </br>* 10 % (0 à 64 %) pour l'industrie. La carte des réserves aquifères connues en 2008 (publiée par l'UNESCO) montre 273 aquifères transfrontaliers (68 en Amérique, 38 en Afrique, 65 en Europe de l'Est, 90 en Europe occidentale et 12 en Asie où le recensement n'était pas terminé). Les aquifères majeurs connus en 2008 étaient en Amérique du Sud et Afrique du Nord. Les grands aquifères d'Afrique centrale sont encore mal explorés et rarement exploitées. La multiplication des pompes électriques et petits systèmes de pompage et forage a fortement augmenté la pression sur les nappes, souvent surexploitées dans les zones habitées et de grandes cultures et parfois déjà pollués. Leur exploitation pose aussi des questions sur nos responsabilités à l'égard des générations futures ou de l'amont vers l'aval (du point de vue du sens de circulation des masses d'eau souterraines, ou de leur alimentation via les bassins versants en surface le cas échéant). Il existe des eaux fossiles non renouvelables aux échelles humaines de temps et des aquifères profonds qui ne sont que très lentement réalimentés.ui ne sont que très lentement réalimentés.)
  • Système de garantie participatif  + (Les systèmes participatifs de garantie (SPLes systèmes participatifs de garantie (SPG) sont des systèmes d'assurance-qualité ancrés localement. Ils regroupent des organisations et des fonctionnements qui unissent leurs efforts pour offrir aux consommateurs ou aux usagers une forme alternative de garantie. « Les systèmes participatifs de garantie sont des systèmes d’assurance qualité orientés localement. Ils certifient les producteurs sur la base d’une participation active des acteurs concernés et sont construits sur une base de confiance, de réseaux et d’échanges de connaissances. » (définition IFOAM, 2008). Les Systèmes participatifs de garantie représentent une alternative à la certification par tiers particulièrement adaptés aux marchés locaux et aux filières courtes. La commercialisation se faisait principalement dans les circuits courts (maximum un intermédiaire) comme les marchés locaux, la ferme ou les magasins de proximité. Ils peuvent aussi complémenter la certification par tiers avec un label privé apportant des garanties et une transparence supplémentaires. Les SPG permettent une participation directe des producteurs, des consommateurs et d’autres acteurs dans : </br>* Le choix et l’élaboration du cahier des charges. </br>* Le développement et la mise en œuvre des procédures de certification. </br>* Les décisions de certification. Les SPG sont aussi parfois désignés sous le terme générique de « certification participative ».érique de « certification participative ».)
  • Approche holistique  + (L’approche systémique parfois nommée analyL’approche systémique parfois nommée analyse systémique est un champ interdisciplinaire relatif à l'étude d'objets dans leur complexité. Pour tenter d'appréhender cet objet d'étude dans son environnement, dans son fonctionnement, dans ses mécanismes, dans ce qui n'apparait pas en faisant la somme de ses parties, cette démarche vise par exemple à identifier : </br>* la « finalité » du système (téléologie) ; </br>* les niveaux d'organisation ; </br>* les états stables possibles ; </br>* les échanges entre les parties ; </br>* les facteurs d'équilibre et de déséquilibre ; </br>* les boucles logiques et leur dynamique, etc. Le plus souvent les principes sont utilisés sans être nommés, voire sans être identifiés. Les terminologies « approche systémique » et « analyse systémique » sont donc employées plus couramment dans certains domaines d'application que dans d'autres, pour y faire expressément référence, mais il existe bien une unité dont on peut identifier les articulations historiques. identifier les articulations historiques.)
  • Machisme  + (Machismo (/məˈtʃiːzmoʊ, mɑː-, -ˈtʃɪz-/; SpMachismo (/məˈtʃiːzmoʊ, mɑː-, -ˈtʃɪz-/; Spanish: [maˈtʃismo]; Portuguese: [maˈʃiʒmu]; from Spanish macho 'male', and -ismo) is the sense of being "manly" and self-reliant, a concept associated with "a strong sense of masculine pride: an exaggerated masculinity". Machismo is a term originating in the early 1930s and 40s best defined as having pride in one’s masculinity. It is associated with "a man's responsibility to provide for, protect, and defend his family". Machismo is strongly and consistently associated with dominance, aggression, exhibition, and nurturance. The correlation to machismo is found to be deeply rooted in family dynamics and culture. The word macho has a long history both in Spain and Portugal, including the Spanish and Portuguese languages. Macho in Portuguese and Spanish is a strictly masculine term, derived from from the Latin mascŭlus, which means "male". It was originally associated with the ideal societal role men were expected to play in their communities, most particularly Iberian language-speaking societies and countries. In addition, due to Mexico's history of conquest, battles and constant bureaucratic struggles, it was expected of men to possess and display bravery, courage, strength, wisdom and leadership. To ser macho (literally, "to be a macho") was an aspiration for all boys. As history shows, men were often in powerful and dominating roles thus portrayed the stereotype of a violent macho man. Thus the origin of machismo serves as an illustration of past history, the struggles that colonial Mexico faced and the evolution of gender stereotypes with time. Machismo is a factor challenged among different groups due to how an ideal man is expected to be portrayed, which builds pressure. Mentally, men may feel the need to take up more opportunities to meet expectations, such as supporting the home, or maintaining employment, leading to increased stress. This may also take a toll as physically well straining to be strong and overexerting the body, or the opposite of putting on weight by not having the desired physique and feeling inferior. Furthermore, researchers suggest that machismo can potray the supremacy or dominance that a man feels he has over a woman due to cultural and societal factors.oman due to cultural and societal factors.)
  • Magna carta  + (Magna Carta Libertatum (Medieval Latin forMagna Carta Libertatum (Medieval Latin for "Great Charter of Freedoms"), commonly called Magna Carta (also Magna Charta; "Great Charter"), is a royal charter of rights agreed to by King John of England at Runnymede, near Windsor, on 15 June 1215. First drafted by the Archbishop of Canterbury, Cardinal Stephen Langton, to make peace between the unpopular king and a group of rebel barons, it promised the protection of church rights, protection for the barons from illegal imprisonment, access to swift justice, and limitations on feudal payments to the Crown, to be implemented through a council of 25 barons. Neither side stood behind their commitments, and the charter was annulled by Pope Innocent III, leading to the First Barons' War. After John's death, the regency government of his young son, Henry III, reissued the document in 1216, stripped of some of its more radical content, in an unsuccessful bid to build political support for their cause. At the end of the war in 1217, it formed part of the peace treaty agreed at Lambeth, where the document acquired the name "Magna Carta", to distinguish it from the smaller Charter of the Forest which was issued at the same time. Short of funds, Henry reissued the charter again in 1225 in exchange for a grant of new taxes. His son, Edward I, repeated the exercise in 1297, this time confirming it as part of England's statute law. The charter became part of English political life and was typically renewed by each monarch in turn, although as time went by and the fledgling Parliament of England passed new laws, it lost some of its practical significance. At the end of the 16th century, there was an upsurge in interest in Magna Carta. Lawyers and historians at the time believed that there was an ancient English constitution, going back to the days of the Anglo-Saxons, that protected individual English freedoms. They argued that the Norman invasion of 1066 had overthrown these rights, and that Magna Carta had been a popular attempt to restore them, making the charter an essential foundation for the contemporary powers of Parliament and legal principles such as habeas corpus. Although this historical account was badly flawed, jurists such as Sir Edward Coke used Magna Carta extensively in the early 17th century, arguing against the divine right of kings. Both James I and his son Charles I attempted to suppress the discussion of Magna Carta. The political myth of Magna Carta and its protection of ancient personal liberties persisted after the Glorious Revolution of 1688 until well into the 19th century. It influenced the early American colonists in the Thirteen Colonies and the formation of the United States Constitution, which became the supreme law of the land in the new republic of the United States. Research by Victorian historians showed that the original 1215 charter had concerned the medieval relationship between the monarch and the barons, rather than the rights of ordinary people, but the charter remained a powerful, iconic document, even after almost all of its content was repealed from the statute books in the 19th and 20th centuries. Four clauses of the original 1215 charter (1 (part), 13, 39 and 40) remain in force in England and Wales (as clauses 1, 9 and 29 of the 1297 statute). Magna Carta still forms an important symbol of liberty today, often cited by politicians and campaigners, and is held in great respect by the British and American legal communities, Lord Denning describing it as "the greatest constitutional document of all times—the foundation of the freedom of the individual against the arbitrary authority of the despot". In the 21st century, four exemplifications of the original 1215 charter remain in existence, two at the British Library, one at Lincoln Castle and one at Salisbury Cathedral. There are also a handful of the subsequent charters in public and private ownership, including copies of the 1297 charter in both the United States and Australia. Although scholars refer to the 63 numbered "clauses" of Magna Carta, this is a modern system of numbering, introduced by Sir William Blackstone in 1759; the original charter formed a single, long unbroken text. The four original 1215 charters were displayed together at the British Library for one day, 3 February 2015, to mark the 800th anniversary of Magna Carta.mark the 800th anniversary of Magna Carta.)
  • Permaculture  + (Permaculture is an approach to land managePermaculture is an approach to land management and settlement design that adopts arrangements observed in flourishing natural ecosystems. It includes a set of design principles derived using whole-systems thinking. It applies these principles in fields such as regenerative agriculture, town planning, rewilding, and community resilience. Permaculture originally came from "permanent agriculture", but was later adjusted to mean "permanent culture", incorporating social aspects. The term was coined in 1978 by Bill Mollison and David Holmgren, who formulated the concept in opposition to modern industrialized methods instead adopting a more traditional or "natural" approach to agriculture. Permaculture has many branches including ecological design, ecological engineering, regenerative design, environmental design, and construction. It also includes integrated water resources management, sustainable architecture, and regenerative and self-maintained habitat and agricultural systems modeled from natural ecosystems. Permaculture uses creative design processes based on whole-systems thinking, considering all materials and energies in flow that affect or are affected by proposed changes. In practical terms it means that before, for example, modifying overland water flow, one fully considers both upstream and downstream effects in the short and long terms. Or, when looking at a "problem", such as brushy vegetation, one considers how removing or altering it will affect soil and wildlife, and how these interacting forces would evolve over time and space. Permaculture has been criticised as being poorly defined and unscientific. Critics have pushed for less reliance on anecdote and extrapolation from ecological first principles, in favor of peer-reviewed research to substantiate productivity claims and to clarify methodology. Peter Harper from the Centre for Alternative Technology suggests that most of what passes for permaculture has no relevance to real problems.culture has no relevance to real problems.)
  • Pirate  + (Piracy is an act of robbery or criminal viPiracy is an act of robbery or criminal violence by ship or boat-borne attackers upon another ship or a coastal area, typically with the goal of stealing cargo and other valuable goods. Those who conduct acts of piracy are called pirates, while the dedicated ships that pirates use are called pirate ships. The earliest documented instances of piracy were in the 14th century BC, when the Sea Peoples, a group of ocean raiders, attacked the ships of the Aegean and Mediterranean civilisations. Narrow channels which funnel shipping into predictable routes have long created opportunities for piracy, as well as for privateering and commerce raiding. Historic examples include the waters of Gibraltar, the Strait of Malacca, Madagascar, the Gulf of Aden, and the English Channel, whose geographic structures facilitated pirate attacks. Privateering uses similar methods to piracy, but the captain acts under orders of the state authorising the capture of merchant ships belonging to an enemy nation, making it a legitimate form of war-like activity by non-state actors. A land-based parallel is the ambushing of travelers by bandits and brigands in highways and mountain passes. While the term can include acts committed in the air, on land (especially across national borders or in connection with taking over and robbing a car or train), or in other major bodies of water or on a shore, in cyberspace, as well as the fictional possibility of space piracy, it generally refers to maritime piracy. It does not normally include crimes committed against people traveling on the same vessel as the perpetrator (e.g. one passenger stealing from others on the same vessel). Piracy or pirating is the name of a specific crime under customary international law and also the name of a number of crimes under the municipal law of a number of states. In the early 21st century, seaborne piracy against transport vessels remains a significant issue (with estimated worldwide losses of US$16 billion per year in 2004), particularly in the waters between the Red Sea and Indian Ocean, off the Somali coast, and also in the Strait of Malacca and Singapore. Currently, pirates armed with automatic weapons, such as assault rifles, and machine guns, grenades and rocket propelled grenades use small motorboats to attack and board ships, a tactic that takes advantage of the small number of crew members on modern cargo vessels and transport ships. They also use larger vessels, known as "mother ships", to supply the smaller motorboats. The international community is facing many challenges in bringing modern pirates to justice, as these attacks often occur in international waters. Some nations have used their naval forces to protect private ships from pirate attacks and to pursue pirates, and some private vessels use armed security guards, high-pressure water cannons, or sound cannons to repel boarders, and use radar to avoid potential threats. A romanticised version of piracy in the Age of Sail has long been a part of Western pop culture. Captain Charles Johnson's A General History of the Pyrates, published in London in 1724, contained biographies of several pirates of the "golden age" and brought them to public attention. Pirates of the era have been further popularised and stereotyped by many subsequent works of fiction, most notably by the novels Treasure Island (1883) and Peter Pan (1911), two film adaptions of Treasure Island (1934 and 1950) and, more recently, by the Pirates of the Caribbean film franchise, which began in 2003.bbean film franchise, which began in 2003.)
  • Fiducie foncière communautaire  + (Un Community Land Trust, appelé en droit fUn Community Land Trust, appelé en droit français organisme foncier solidaire, est une personne morale à but non lucratif ayant pour objet de détenir la propriété de terrains sur lesquels des logements sont bâtis, et ce afin que ces derniers restent perpétuellement à coût abordable, et nettement inférieurs au prix du marché.et nettement inférieurs au prix du marché.)
  • Logiciel libre  + (Un logiciel libre est un logiciel dont l'uUn logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus. Ces droits peuvent être simplement disponibles — cas du domaine public — ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs ». Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l'instrument d'un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l'utilisateur. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : </br>* les gratuiciels (freewares) : un gratuiciel est un logiciel gratuit propriétaire, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Si la nature du logiciel libre facilite et encourage son partage, ce qui tend à le rendre gratuit, elle ne s'oppose pas pour autant à sa rentabilité principalement via des services associés. Les rémunérations sont liées par exemple aux travaux de création, de développement, de mise à disposition et de soutien technique. D'un autre côté les logiciels gratuits ne sont pas nécessairement libres, car leur code source n'est pas systématiquement accessible et leur licence peut ne pas correspondre à la définition du logiciel libre. </br>* l’open source : le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social qui repose sur les principes de Liberté, Égalité, Fraternité ; l’open source quant à lui, décrit pour la première fois dans La Cathédrale et le Bazar, s'attache aux avantages d'une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source.ravers de la réutilisation du code source.)
  • Politiques publiques  + (Une politique publique est un concept de sUne politique publique est un concept de science politique qui désigne les « interventions d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale sur un domaine spécifique de la société ou du territoire ». La sociologie politique utilise ce concept afin d'analyser l'ensemble de ces interventions dans les différentes étapes de leur mise en œuvre, aussi bien que dans leur genèse ou au travers de leurs conséquences (il est alors question de « sociologie de l’action publique »). La science administrative tend plutôt à analyser et à évaluer une politique publique en fonction de sa capacité à atteindre les objectifs qui lui ont été assignés, ainsi qu'en fonction de l'efficacité des moyens déployés. Dans ce cadre, les politiques publiques peuvent également être décrites comme « un ensemble d'actions coordonnées, réalisées par une puissance publique, dans l'optique d'obtenir une modification ou une évolution d'une situation donnée ». Étudier leur impact permet de décrire la capacité qu'a une puissance publique à gérer les attentes et les problèmes propres à la société ou au pan de société concerné(e) et à agir en fonction d'une stratégie publique, de court, moyen ou long terme. Les domaines concernés peuvent être de toute nature : infrastructure, santé, famille, logement, emploi, formation professionnelle, recherche, fonction publique, crise, déficit... L’évaluation des politiques publiques, présentée comme un nouvel outil d’aide à la décision publique, est apparue aux États-Unis dans les années 1960 avant de se développer au Royaume-Uni, dans les pays scandinaves puis dans les autres démocraties occidentales vingt ans plus tard. La Commission européenne en a fait notamment une exigence règlementaire systématique dans le cadre des financements alloués aux États membres à partir des années 1990.ux États membres à partir des années 1990.)
  • Droits culturels  + (Les droits culturels s’inscrivent dans le Les droits culturels s’inscrivent dans le cadre juridique des droits de l’homme. Ils visent à faire reconnaître le droit de chaque personne à participer à la vie culturelle, de vivre et d’exprimer sa culture et ses références, dans le respect des autres droits humains fondamentaux.ct des autres droits humains fondamentaux.)
  • Économies du don  + (A gift economy or gift culture is a systemA gift economy or gift culture is a system of exchange where valuables are not sold, but rather given without an explicit agreement for immediate or future rewards. Social norms and customs govern giving a gift in a gift culture; although there is some expectation of reciprocity, gifts are not given in an explicit exchange of goods or services for money, or some other commodity or service. This contrasts with a barter economy or a market economy, where goods and services are primarily explicitly exchanged for value received. The nature of gift economies is the subject of a foundational debate in anthropology. Anthropological research into gift economies began with Bronisław Malinowski's description of the Kula ring in the Trobriand Islands during World War I. The Kula trade appeared to be gift-like since Trobrianders would travel great distances over dangerous seas to give what were considered valuable objects without any guarantee of a return. Malinowski's debate with the French anthropologist Marcel Mauss quickly established the complexity of "gift exchange" and introduced a series of technical terms such as reciprocity, inalienable possessions, and presentation to distinguish between the different forms of exchange. According to anthropologists Maurice Bloch and Jonathan Parry, it is the unsettled relationship between market and non-market exchange that attracts the most attention. Some authors argue that gift economies build community, while markets harm community relationships. Gift exchange is distinguished from other forms of exchange by a number of principles, such as the form of property rights governing the articles exchanged; whether gifting forms a distinct "sphere of exchange" that can be characterized as an "economic system"; and the character of the social relationship that the gift exchange establishes. Gift ideology in highly commercialized societies differs from the "prestations" typical of non-market societies. Gift economies also differ from related phenomena, such as common property regimes and the exchange of non-commodified labour.nd the exchange of non-commodified labour.)
  • Productivisme  + (Apparu au début du XXe siècle, le productivisme est « un système d'organisation de la vie économique dans lequel la production est donnée comme objectif premier ». Il ne doit pas être confondu avec la recherche de la productivité.)
  • Métier (corporation)  + (Au sens large, une corporation est une réuAu sens large, une corporation est une réunion durable de personnes poursuivant un but commun, et dont l'état ne dépend pas du changement de ses membres. Le mot vient du latin corporari (« se former en corps »), et désigne une personne morale dont les membres (personnes physiques et/ou morales) possèdent en général une même caractéristique (par exemple, l'exercice d'une fonction). Les corporations peuvent être de droit privé mais sont en général (dans un sens plus contemporain du terme) instituée par une loi et de droit public. Les corporations se distinguent des établissements, qui sont groupements de biens affectés à un certain but. Au sens large du terme, les associations, syndicats et apparentés, qui sont des regroupements volontaires de droit privé sont donc des corporations. Le corporatisme peut désigner, selon qu'il prend ou non une connotation péjorative, la tendance qu'ont les membres d'un corps professionnel ou administratif à privilégier leurs intérêts matériels au détriment de ceux du public qu'ils servent (consommateurs, administrés, justiciables, usagers, élèves, clients, patients, etc.) usagers, élèves, clients, patients, etc.))
  • Capitalisme  + (Capitalism is an economic system based on Capitalism is an economic system based on the private ownership of the means of production and their operation for profit. Central characteristics of capitalism include capital accumulation, competitive markets, price system, private property, property rights recognition, voluntary exchange, and wage labor. In a market economy, decision-making and investments are determined by owners of wealth, property, or ability to maneuver capital or production ability in capital and financial markets—whereas prices and the distribution of goods and services are mainly determined by competition in goods and services markets. Economists, historians, political economists and sociologists have adopted different perspectives in their analyses of capitalism and have recognized various forms of it in practice. These include laissez-faire or free-market capitalism, anarcho-capitalism, state capitalism and welfare capitalism. Different forms of capitalism feature varying degrees of free markets, public ownership, obstacles to free competition and state-sanctioned social policies. The degree of competition in markets and the role of intervention and regulation as well as the scope of state ownership vary across different models of capitalism. The extent to which different markets are free and the rules defining private property are matters of politics and policy. Most of the existing capitalist economies are mixed economies that combine elements of free markets with state intervention and in some cases economic planning. Market economies have existed under many forms of government and in many different times, places and cultures. Modern capitalist societies developed in Western Europe in a process that led to the Industrial Revolution. Capitalist systems with varying degrees of direct government intervention have since become dominant in the Western world and continue to spread. Economic growth is a characteristic tendency of capitalist economies.teristic tendency of capitalist economies.)
  • Coworking  + (Cotravail Le coworking, ou cotravail, est Cotravail Le coworking, ou cotravail, est une méthode d'organisation du travail qui regroupe un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs pratiquant l'échange et l'ouverture ; juridiquement cela se traduit par une location d'espaces partagés de travail. En d'autres termes, le cotravail qui constitue l'un des domaines de l'économie collaborative, laquelle est par essence non commerciale, est souvent présenté comme un contexte favorisant l'innovation. Les espaces de cotravail sont en pleine expansion et jouent un rôle important en favorisant la structuration d'un véritable réseau de cotravailleurs facilitant à la fois échanges directs, réseautage, coopération et créativité.ts, réseautage, coopération et créativité.)
  • Creative commons  + (Creative Commons (CC) est une association Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif.th et aux États-Unis) est plus restrictif.)
  • Patrimoine culturel  + (Cultural heritage is the heritage of tangiCultural heritage is the heritage of tangible and intangible heritage assets of a group or society that is inherited from past generations. Not all heritages of past generations are "heritage"; rather, heritage is a product of selection by society. Cultural heritage includes tangible culture (such as buildings, monuments, landscapes, books, works of art, and artifacts), intangible culture (such as folklore, traditions, language, and knowledge), and natural heritage (including culturally significant landscapes, and biodiversity). The term is often used in connection with issues relating to the protection of Indigenous intellectual property. The deliberate act of keeping cultural heritage from the present for the future is known as preservation (American English) or conservation (British English), which cultural and historical ethnic museums and cultural centers promote, though these terms may have more specific or technical meanings in the same contexts in the other dialect. Preserved heritage has become an anchor of the global tourism industry, a major contributor of economic value to local communities. Legal protection of cultural property comprises a number of international agreements and national laws.United Nations, UNESCO and Blue Shield International deal with the protection of cultural heritage. This also applies to the integration of United Nations peacekeeping.ntegration of United Nations peacekeeping.)
  • Culture locale et ancestrale  + (Cultural heritage is the heritage of tangiCultural heritage is the heritage of tangible and intangible heritage assets of a group or society that is inherited from past generations. Not all heritages of past generations are "heritage"; rather, heritage is a product of selection by society. Cultural heritage includes tangible culture (such as buildings, monuments, landscapes, books, works of art, and artifacts), intangible culture (such as folklore, traditions, language, and knowledge), and natural heritage (including culturally significant landscapes, and biodiversity). The term is often used in connection with issues relating to the protection of Indigenous intellectual property. The deliberate act of keeping cultural heritage from the present for the future is known as preservation (American English) or conservation (British English), which cultural and historical ethnic museums and cultural centers promote, though these terms may have more specific or technical meanings in the same contexts in the other dialect. Preserved heritage has become an anchor of the global tourism industry, a major contributor of economic value to local communities. Legal protection of cultural property comprises a number of international agreements and national laws.United Nations, UNESCO and Blue Shield International deal with the protection of cultural heritage. This also applies to the integration of United Nations peacekeeping.ntegration of United Nations peacekeeping.)
  • Culture  + (Culture (/ˈkʌltʃər/) is an umbrella term wCulture (/ˈkʌltʃər/) is an umbrella term which encompasses the social behavior, institutions, and norms found in human societies, as well as the knowledge, beliefs, arts, laws, customs, capabilities, and habits of the individuals in these groups. Culture is often originated from or attributed to a specific region or location. Humans acquire culture through the learning processes of enculturation and socialization, which is shown by the diversity of cultures across societies. A cultural norm codifies acceptable conduct in society; it serves as a guideline for behavior, dress, language, and demeanor in a situation, which serves as a template for expectations in a social group.Accepting only a monoculture in a social group can bear risks, just as a single species can wither in the face of environmental change, for lack of functional responses to the change.Thus in military culture, valor is counted a typical behavior for an individual and duty, honor, and loyalty to the social group are counted as virtues or functional responses in the continuum of conflict. In the practice of religion, analogous attributes can be identified in a social group. Cultural change, or repositioning, is the reconstruction of a cultural concept of a society. Cultures are internally affected by both forces encouraging change and forces resisting change. Cultures are externally affected via contact between societies. Organizations like UNESCO attempt to preserve culture and cultural heritage.to preserve culture and cultural heritage.)
  • Communes  + (Dans certains pays, une commune est une ciDans certains pays, une commune est une circonscription territoriale pouvant correspondre à une ville, à un bourg avec ses villages et hameaux ou à un groupe de villages. Dans la plupart des cas, la commune constitue la plus petite subdivision administrative. Elle est souvent dirigée par un maire ou bourgmestre.uvent dirigée par un maire ou bourgmestre.)
  • Biomasse  + (Dans le domaine de l'énergie, la biomasse Dans le domaine de l'énergie, la biomasse est la matière organique d'origine végétale (microalgues incluses), animale, bactérienne ou fongique (champignons), utilisable comme source d'énergie (bioénergies). Cette énergie peut en être extraite par combustion directe (ex. : bois énergie), ou par combustion après un processus de transformation de la matière première, par exemple la méthanisation (biogaz, ou sa version épurée le biométhane) ou d'autres transformations chimiques (dont la pyrolyse, la carbonisation hydrothermale et les méthodes de production de biocarburants ou « agrocarburants »). Trois modes de valorisations de la biomasse (co)existent : thermique, chimique et biochimique. La biomasse intéresse à nouveau les pays riches, confrontés au changement climatique et à la perspective d'une crise des ressources en hydrocarbures fossiles ou uranium. Sous certaines conditions, elle répond à des enjeux de développement durable et d'économie circulaire ; en se substituant aux énergies fossiles pour réduire les émissions globales de gaz à effet de serre, en restaurant aussi parfois certains puits de carbone (semi-naturels dans le cas des boisements et haies exploités). En quelques décennies des filières nouvelles sont apparues : agrocarburants, granulés de bois, méthanisation industrielle, créant des tensions sur certaines ressources, avec de nouveaux risques de surexploitation de la ressource et de remplacement de cultures vivrières par des cultures énergétiques. En France, une stratégie nationale de mobilisation de la biomasse (2018) vise à augmenter la quantité de biomasse collectée, en créant le moins possible d'effets collatéraux négatifs sur la biodiversité, les paysages et d'autres filières dépendantes de la même ressource. En 2019, selon l'Agence internationale de l'énergie, la biomasse fournissait 56 813 PJ d'énergie, soit 9,2 % de l'énergie primaire consommée dans le monde, 542,6 TWh d'électricité, soit 2,0 % de la production mondiale d'électricité, et 3,3 % de l'énergie consommée par les transports. Selon un rapport de la Commission européenne, la bioénergie pourrait couvrir jusqu'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.)
  • Confiance  + (Divers philosophes, psychologues et cherchDivers philosophes, psychologues et chercheurs en sciences sociales ont travaillé sur la notion de confiance qui, selon une définition assez largement acceptée, peut être entendue comme « un état psychologique se caractérisant par l'intention d'accepter la vulnérabilité sur la base de croyances optimistes sur les intentions (ou le comportement) d'autrui ». La confiance renvoie à l’idée que l’on peut se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Dans l’étymologie latine, le verbe confier (du latin confidere : cum, « avec » et fidere « fier ») signifie qu’on remet quelque chose de précieux à quelqu’un, en se fiant à lui et en s’abandonnant ainsi à sa bienveillance et à sa bonne foi. Cette origine souligne les liens étroits qui existent entre la confiance, l'espoir, la foi, la fidélité, la confidence, le crédit et la croyance. Confiance est aussi une des vertus chrétiennes plus importantes, particulièrement dans la dévotion à la divine miséricorde. dans la dévotion à la divine miséricorde.)
  • Wikidata 1  + (Earth is the third planet from the Sun andEarth is the third planet from the Sun and the only astronomical object known to harbor life. While large volumes of water can be found throughout the Solar System, only Earth sustains liquid surface water. About 71% of Earth's surface is made up of the ocean, dwarfing Earth's polar ice, lakes, and rivers. The remaining 29% of Earth's surface is land, consisting of continents and islands. Earth's surface layer is formed of several slowly moving tectonic plates, interacting to produce mountain ranges, volcanoes, and earthquakes. Earth's liquid outer core generates the magnetic field that shapes Earth's magnetosphere, deflecting destructive solar winds. Earth's atmosphere consists mostly of nitrogen and oxygen. More solar energy is received by tropical regions than polar regions and is redistributed by atmospheric and ocean circulation. Water vapor is widely present in the atmosphere and forms clouds that cover most of the planet. Greenhouse gases in the atmosphere like carbon dioxide (CO2) trap a part of the energy from the Sun close to the surface. A region's climate is governed by latitude, but also by elevation and proximity to moderating oceans. Severe weather, such as tropical cyclones, thunderstorms, and heatwaves, occurs in most areas and greatly impacts life. Earth is an ellipsoid with a circumference of about 40,000 km. It is the densest planet in the Solar System. Of the four rocky planets, it is the largest and most massive. Earth is about eight light minutes away from the Sun and orbits it, taking a year (about 365.25 days) to complete one revolution. Earth rotates around its own axis in slightly less than a day (in about 23 hours and 56 minutes). is tilted with respect to the perpendicular to its orbital plane around the Sun, producing seasons. Earth is orbited by one permanent natural satellite, the Moon, which orbits Earth at 380,000 km (1.3 light seconds) and is roughly a quarter as wide as Earth. The Moon always faces the Earth with the same side through tidal locking and causes tides, stabilizes Earth's axis, and gradually slows its rotation. Earth formed over 4.5 billion years ago. During the first billion years of Earth's history, the ocean formed and then life developed within it. Life spread globally and began to affect Earth's atmosphere and surface, leading to Earth's Great Oxidation Event two billion years ago. Humans emerged 300,000 years ago, and have reached a population of almost 8 billion today. Humans depend on Earth's biosphere and natural resources for their survival, but have increasingly impacted Earth's environment. Today, humanity's impact on Earth's climate, soils, waters, and ecosystems is unsustainable, threatening people's lives and causing widespread extinction of other life.using widespread extinction of other life.)
  • Eco-tourisme  + (Ecotourism is a form of tourism involving Ecotourism is a form of tourism involving responsible travel (using sustainable transport) to natural areas, conserving the environment, and improving the well-being of the local people. Its purpose may be to educate the traveler, to provide funds for ecological conservation, to directly benefit the economic development and political empowerment of local communities, or to foster respect for different cultures and for human rights. Since the 1980s, ecotourism has been considered a critical endeavor by environmentalists, so that future generations may experience destinations relatively untouched by human intervention. Ecotourism may focus on educating travelers on local environments and natural surroundings with an eye to ecological conservation. Some include in the definition of ecotourism the effort to produce economic opportunities that make conservation of natural resources financially possible. Generally, ecotourism deals with interaction with biotic components of the natural environments. Ecotourism focuses on socially responsible travel, personal growth, and environmental sustainability. Ecotourism typically involves travel to destinations where flora, fauna, and cultural heritage are the primary attractions. Ecotourism is intended to offer tourists an insight into the impact of human beings on the environment and to foster a greater appreciation of our natural habitats. Ecotourism aims at minimal environmental impact on the areas visited. Besides fostering respect towards the natural environment, ecotourism also helps in creating socio-economic benefits for the communities of the area visited. Responsible ecotourism programs include those that minimize the negative aspects of conventional tourism on the environment and enhance the cultural integrity of local people. Therefore, in addition to evaluating environmental and cultural factors, an integral part of ecotourism is the promotion of recycling, energy efficiency, water conservation, and creation of economic opportunities for local communities. For these reasons, ecotourism often appeals to advocates of environmental and social responsibility. Many consider the term "ecotourism", like "sustainable tourism" (which is a related concept but broader), an oxymoron. Like most long-distance travel, ecotourism often depends on air transportation, which contributes to climate change. Additionally, "the overall effect of sustainable tourism is negative where like ecotourism philanthropic aspirations mask hard-nosed immediate self-interest." mask hard-nosed immediate self-interest.")
  • Ecotourisme  + (Ecotourism is a form of tourism involving Ecotourism is a form of tourism involving responsible travel (using sustainable transport) to natural areas, conserving the environment, and improving the well-being of the local people. Its purpose may be to educate the traveler, to provide funds for ecological conservation, to directly benefit the economic development and political empowerment of local communities, or to foster respect for different cultures and for human rights. Since the 1980s, ecotourism has been considered a critical endeavor by environmentalists, so that future generations may experience destinations relatively untouched by human intervention. Ecotourism may focus on educating travelers on local environments and natural surroundings with an eye to ecological conservation. Some include in the definition of ecotourism the effort to produce economic opportunities that make conservation of natural resources financially possible. Generally, ecotourism deals with interaction with biotic components of the natural environments. Ecotourism focuses on socially responsible travel, personal growth, and environmental sustainability. Ecotourism typically involves travel to destinations where flora, fauna, and cultural heritage are the primary attractions. Ecotourism is intended to offer tourists an insight into the impact of human beings on the environment and to foster a greater appreciation of our natural habitats. Ecotourism aims at minimal environmental impact on the areas visited. Besides fostering respect towards the natural environment, ecotourism also helps in creating socio-economic benefits for the communities of the area visited. Responsible ecotourism programs include those that minimize the negative aspects of conventional tourism on the environment and enhance the cultural integrity of local people. Therefore, in addition to evaluating environmental and cultural factors, an integral part of ecotourism is the promotion of recycling, energy efficiency, water conservation, and creation of economic opportunities for local communities. For these reasons, ecotourism often appeals to advocates of environmental and social responsibility. Many consider the term "ecotourism", like "sustainable tourism" (which is a related concept but broader), an oxymoron. Like most long-distance travel, ecotourism often depends on air transportation, which contributes to climate change. Additionally, "the overall effect of sustainable tourism is negative where like ecotourism philanthropic aspirations mask hard-nosed immediate self-interest." mask hard-nosed immediate self-interest.")
  • Culture  + (En philosophie, le mot culture désigne ce En philosophie, le mot culture désigne ce qui est différent de la nature. En sociologie, comme en éthologie, la culture est définie de façon plus étroite comme « ce qui est commun à un groupe d'individus » et comme « ce qui le soude », c'est-à-dire ce qui est appris, transmis, produit et inventé. Ainsi, pour une organisation internationale comme l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd’hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels, matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les lois, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances ». Ce « réservoir commun » évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en de multiples manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de communiquer en société. Par abus de langage, le mot « culture » est employé pour désigner presque exclusivement l'offre de pratiques et de services culturels dans les sociétés modernes, et en particulier dans le domaine des arts et des lettres.r dans le domaine des arts et des lettres.)
  • Biens publics  + (En économie, un bien public est un bien noEn économie, un bien public est un bien non rival ou non excluable. La consommation de ce bien par un agent n'affecte donc pas la quantité disponible pour les autres agents (non-rivalité). Il est impossible d'exclure un agent de l'utilisation de ce bien, même s'il n'a pas participé à son financement. Un bien public pur est un bien non rival et non excluable, il est impossible de faire payer l'accès à ce bien (non-excluabilité). Par exemple, une émission de radio est un bien public. C'est un bien non rival au sens où lorsqu'un agent écoute une émission de radio, il n'empêche aucun autre agent de l'écouter. C'est un bien non excluable au sens où les technologies des ondes radio ne permettent pas de restreindre l'accès à ce bien à ceux qui le financeraient. La notion de bien public mondial (ou ) désigne des biens publics très étendus comme la qualité de l'air, la biodiversité ou la situation climatique mondiale.rsité ou la situation climatique mondiale.)
  • Hacktivisme  + (In Internet activism, hacktivism, or hactiIn Internet activism, hacktivism, or hactivism (a portmanteau of hack and activism), is the use of computer-based techniques such as hacking as a form of civil disobedience to promote a political agenda or social change. With roots in hacker culture and hacker ethics, its ends are often related to free speech, human rights, or freedom of information movements. Hacktivist activities span many political ideals and issues. Freenet, a peer-to-peer platform for censorship-resistant communication, is a prime example of translating political thought and freedom of speech into code. Hacking as a form of activism can be carried out through a network of activists, such as Anonymous and WikiLeaks, or through a singular activist, working in collaboration toward common goals without an overarching authority figure. "Hacktivism" is a controversial term with several meanings. The word was coined to characterize electronic direct action as working toward social change by combining programming skills with critical thinking. But just as hack can sometimes mean cyber crime, hacktivism can be used to mean activism that is malicious, destructive, and undermining the security of the Internet as a technical, economic, and political platform. According to the United States 2020-2022 Counterintelligence Strategy, in addition to state adversaries and transnational criminal organizations, "ideologically motivated entities such as hacktivists, leaktivists, and public disclosure organizations, also pose significant threats".nizations, also pose significant threats".)
  • Autonomie  + (In developmental psychology and moral, polIn developmental psychology and moral, political, and bioethical philosophy, autonomy is the capacity to make an informed, uncoerced decision. Autonomous organizations or institutions are independent or self-governing. Autonomy can also be defined from a human resources perspective, where it denotes a (relatively high) level of discretion granted to an employee in his or her work. In such cases, autonomy is known to generally increase job satisfaction. Self-actualized individuals are thought to operate autonomously of external expectations. In a medical context, respect for a patient's personal autonomy is considered one of many fundamental ethical principles in medicine.undamental ethical principles in medicine.)
  • Abusus  + (L'abusus est l'un des attributs du droit dL'abusus est l'un des attributs du droit de propriété, le droit de disposer de son bien, qu'il s'agisse de la disposition juridique de son bien par l'aliénation (vente ou don) ou matérielle par la destruction. L'abusus peut être détenu par le propriétaire, le possesseur, mais en aucun cas par l'usufruitier. Il est un des démembrements du droit de propriété avec l’usus, le droit d'user d'une chose sans en percevoir les fruits (le droit d'habiter dans une maison dont on a l’usus) et le fructus, le droit d'en percevoir les fruits et revenus (le droit de louer et de percevoir les loyers d'une maison dont on a le fructus). Usus et fructus étant couramment réunis dans l'usufruit. L'abusus est un droit réel en ce sens qu'il s'exerce sur une chose.l en ce sens qu'il s'exerce sur une chose.)
  • Agriculture vivrière  + (L'agriculture vivrière est une agricultureL'agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l'autoconsommation et l'économie de subsistance. La production, rarement excédentaire, n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à l'exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans et la population locale. Cette forme d'agriculture, courante dans les jardins du monde entier, demeure d'une importance capitale dans les pays les moins avancés où elle permet aux populations rurales, sans autre ressource, de se nourrir. Ses faibles rendements, générant peu d'excédent, ne permettent toutefois pas à ces populations de sortir de la pauvreté. Elle impose également d'accepter de ne consommer que des produits de saison et de gérer la période de soudure. Le caractère localisé de la production, sans accès aux marchés mondiaux, rend en outre les agriculteurs vivriers particulièrement vulnérables aux conséquences des événements climatiques locaux (sécheresse, catastrophe naturelle, saison des pluies tardive ou précoce, etc...). Elle représente environ 20 % de la production alimentaire mondiale. Par l'importance qu'elle accorde aux semences paysannes — on estime à environ 1,4 milliard les agriculteurs utilisant des procédés traditionnels de sélection — elle favorise fortement la biodiversité.— elle favorise fortement la biodiversité.)
  • Architecture  + (L'architecture est l'art majeur de concevoL'architecture est l'art majeur de concevoir des espaces et de bâtir des édifices, en respectant des règles de construction empiriques ou scientifiques, ainsi que des concepts esthétiques, classiques ou nouveaux, de forme et d'agencement d'espace, en y incluant les aspects sociaux et environnementaux liés à la fonction de l'édifice et à son intégration dans son environnement, quelle que soit cette fonction : habitable, sépulcrale, rituelle, institutionnelle, religieuse, défensive, artisanale, commerciale, scientifique, signalétique, muséale, industrielle, monumentale, décorative, paysagère, voire purement artistique. C'est pourquoi l'architecture est définie comme « une expression de la culture ». Elle est reconnue comme le premier des arts majeurs dans la classification des arts, communément admise, du XXe siècle, des 9 arts majeurs et fait partie des beaux-arts. L'Architecture désigne également l'ensemble des connaissances et des techniques de cet art de concevoir et de construire des structures complexes, englobant les édifices terrestres, les espaces et les paysages modifiés par l'homme répondant à des critères architecturaux, les artefacts habitables naviguant sur l'eau et sous l'eau (architecture navale) et dans l'espace (architecture spatiale), que l'humanité a pu imaginer et réaliser au fil des millénaires. L'architecture intègre le domaine de la planification spatiale et met en pratique les méthodes de la planification au service de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme. On distingue différentes échelles de la planification spatiale : </br>* le territoire national : l'aménagement du territoire ; </br>* la région, le massif ou une bande littorale : la planification régionale ; </br>* le quartier, la ville, jusqu'à l'agglomération : l'urbanisme ; </br>* l'îlot ou un groupe de bâtiments dont la composition n'atteint pas la superficie du quartier : la composition urbaine ; </br>* le bâtiment : l'architecture. C'est ainsi que dans le cadre des études d'aménagement et urbanisme, on retrouve l'architecte le plus souvent autour des réflexions de la composition urbaine via la pratique de la conception urbaine. via la pratique de la conception urbaine.)
  • Autonomie  + (L'autonomie désigne la capacité d'un objetL'autonomie désigne la capacité d'un objet, individu ou système à se gouverner soi-même, selon ses propres règles. Dans d'autres cas, elle fait référence aux propriétés d'une entité qui est capable de fonctionner de manière indépendante, sans être contrôlée de l'extérieur ou sans des apports (matériels, énergétiques, etc) en provenance de l'extérieur L'autonomie est la capacité d'une personne à subvenir à ses propres besoins. Comparés aux animaux, les êtres humains ont besoin de beaucoup d'attention et de soins, et d'un grand nombre d'années avant de devenir autonomes. Par exemple, un cheval sait se tenir debout, se nourrir et marcher seulement quelques minutes après sa naissance, tandis qu’un être humain a besoin d’environ un an pour atteindre ce point.n d’environ un an pour atteindre ce point.)
  • Impact environnemental  + (L'impact environnemental est l'ensemble deL'impact environnemental est l'ensemble des changements qualitatifs, quantitatifs et fonctionnels de l'environnement (négatifs ou positifs) engendrés par un projet, un processus, un procédé, un ou des organismes, ou un ou des produits, de sa conception à sa fin de vie. L'étude de l'impact environnemental est un outil utilisé par la norme ISO 14001 et dans l'analyse du cycle de vie. Des études d'impacts environnementales sur les milieux biophysique et humain sont requises pour une majorité de projets. Elles sont nécessaires et obligatoires pour les projets d'envergure et sont habituellement assorties de mesures d'atténuation et/ou de mitigation et/ou de mise en valeur et/ou de formules compensatoires et/ou de mesures de conservation ou de restauration.esures de conservation ou de restauration.)
  • Innovation  + (L'innovation est la recherche constante d'L'innovation est la recherche constante d'améliorations de l'existant, par contraste avec l'invention, qui vise à créer du nouveau. Dans le domaine économique, l'innovation se traduit par la conception d'un nouveau produit, service, processus de fabrication ou d'organisation pouvant être directement mis en œuvre dans l'appareil productif et répondant aux besoins du consommateur. Elle se distingue ainsi de l'invention ou de la découverte par le fait qu'elle peut être immédiatement mise en œuvre par les entreprises, dans le but d'obtenir un avantage compétitif. Dans le domaine de l'ingénierie, l’innovation est un cœur de métier. Elle est la capacité qui permet de trouver des solutions à des problèmes complexes d'ordre technique, financier, organisationnel ou méthodique et qui par leur complexité ne peuvent pas s’obtenir simplement en appliquant des formules préétablies. Il s'agit de trouver des solutions, de mettre de nouvelles idées en œuvre d’un point de vue pratique en réponse à la complexité de projets de toute taille que réalisent les ingénieurs. De la conception à la mise sur le marché, l'innovation fait ainsi appel à des processus aux résultats incertains qui s'appuient sur des outils de management appropriés. Son utilisation en tant que buzzword en fait un terme très polysémique en pratique. On trouve ainsi de nombreuses expressions composites, dont innovation ouverte, innovation participative, innovation frugale, innovation inclusive, innovation incrémentale, innovation radicale, innovation révolutionnaire, innovation évolutive, innovation associative, innovation spasmodique.ation associative, innovation spasmodique.)