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Liste de résultats
- Camp + (Un camp de réfugiés est un camp temporaire … Un camp de réfugiés est un camp temporaire construit par des gouvernements ou des ONG (telles que la Croix-Rouge) pour recevoir des réfugiés. C'est un espace humanitaire artificiel, fondé sur un système urbain pour une durée limitée à la suite d'une catastrophe naturelle ou d'une crise politique. Certains camps peuvent accueillir jusqu'à plusieurs milliers de personnes.r jusqu'à plusieurs milliers de personnes.)
- Festival +
- Paysages + (Un paysage est une étendue spatiale couver … Un paysage est une étendue spatiale couverte par un point de vue. C'est un ensemble interdépendant au fonctionnement, à la mécanique, autonome formé d'une continuité d'éléments sédimentés et dont l'on ne perçoit qu'une globalité. Son caractère « résulte de l'action et de l'interaction de facteurs naturels et/ou humains » ajoute le Conseil de l'Europe. La notion de paysage a une dimension esthétique forte, voire picturale ou littéraire en tant que représentation, mais elle recouvre de nombreuses acceptions et le paysage manifeste aussi les politiques d'aménagement du territoire, voire la géopolitique. Un paysage est d'abord appréhendé visuellement, mais les parfums et ambiances sonores en modifient aussi la perception (on parle parfois de paysage sonore). Par extension, comme le terme panorama, dans des expressions comme « paysage politique » ou « paysage médiatique », il peut désigner un ensemble contextuel, la vision des choses à un temps donné, le paysage étant en constante évolution., le paysage étant en constante évolution.)
- Paysage + (Un paysage est une étendue spatiale couver … Un paysage est une étendue spatiale couverte par un point de vue. C'est un ensemble interdépendant au fonctionnement, à la mécanique, autonome formé d'une continuité d'éléments sédimentés et dont l'on ne perçoit qu'une globalité. Son caractère « résulte de l'action et de l'interaction de facteurs naturels et/ou humains » ajoute le Conseil de l'Europe. La notion de paysage a une dimension esthétique forte, voire picturale ou littéraire en tant que représentation, mais elle recouvre de nombreuses acceptions et le paysage manifeste aussi les politiques d'aménagement du territoire, voire la géopolitique. Un paysage est d'abord appréhendé visuellement, mais les parfums et ambiances sonores en modifient aussi la perception (on parle parfois de paysage sonore). Par extension, comme le terme panorama, dans des expressions comme « paysage politique » ou « paysage médiatique », il peut désigner un ensemble contextuel, la vision des choses à un temps donné, le paysage étant en constante évolution., le paysage étant en constante évolution.)
- Bibliothèques + (Une bibliothèque (du grec ancien βιϐλιοθήκ … Une bibliothèque (du grec ancien βιϐλιοθήκη : biblio, « livre » ; thêkê, « dépôt ») est le lieu où est conservée et lue une collection organisée de livres. Il existe des bibliothèques privées — y compris de riches bibliothèques ouvertes au public — et des bibliothèques publiques. Les bibliothèques proposent souvent d'autres documents (journaux, périodiques, enregistrements sonores, enregistrements vidéo, cartes et plans, partitions) ainsi que des accès à internet et sont parfois appelées médiathèques. La majorité des bibliothèques (municipales, universitaires) permettent gratuitement la consultation sur place ainsi que le prêt de documents. D'autres, comme la Bibliothèque publique d'information et la bibliothèque nationale de France notamment, n'autorisent que la consultation sur place. Elles peuvent alors être divisées en salles de lectures, ouvertes au public, et en magasins bibliothécaires, fermés, pour le stockage de livres moins consultés. D'autres espaces, ouverts ou non au public, peuvent s'ajouter. En 2010, avec plus de 144,5 millions de documents, dont 21,8 millions de livres, la plus grande bibliothèque du monde est la bibliothèque du Congrès à Washington D.C.. Néanmoins, la collection cumulée de livres des deux bibliothèques nationales russes atteint 32,5 millions de volumes et la collection de la British Library 150 millions d'articles. D'après l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture la plus vieille bibliothèque du monde encore en activité est la bibliothèque Al Quaraouiyine de Fès au Maroc, elle renferme quatre mille manuscrits d'une valeur inestimable ayant appartenu à des scientifiques universels comme le géographe Al Idrissi, le botaniste Al-Ghassani, ou encore le médecin Avenzoar.l-Ghassani, ou encore le médecin Avenzoar.)
- Communauté + (Une communauté est un groupe humain dont l … Une communauté est un groupe humain dont les membres sont unis par un lien social. En biologie une communauté représente un système au sein duquel des organismes vivants partagent un environnement commun et interagissent. La notion de communauté est également un concept du droit qui désigne un groupe de personnes possédant et jouissant de façon indivise d'un patrimoine en commun. En France, s'oppose traditionnellement à celui de société et d'association qui reposent sur un pacte ou une convention volontairement formée par ses membres. Par extension, la communauté désigne uniquement les biens qui sont communs à plusieurs personnes. Dans son usage politique actuel le plus courant, le mot communauté évoque des collectivités historiques ou culturelles. En France, le terme est souvent utilisé dans les débats sur les minorités ou le communautarisme, avec une connotation négative. Au Québec, l'expression de communauté culturelle est couramment utilisée sans connotation négative.amment utilisée sans connotation négative.)
- Constitution + (Une constitution est une loi fondamentale … Une constitution est une loi fondamentale qui fixe l'organisation et le fonctionnement d'un organisme, généralement d'un État ou d'un ensemble d'États. Le terme s'écrit parfois avec une majuscule initiale : Constitution. La valeur de la constitution d'un État varie selon le régime en place, elle a généralement une valeur supérieure à la loi. Elle est à la fois l'acte politique et la loi fondamentale qui unit et régit de manière organisée et hiérarchisée l’ensemble des rapports entre gouvernants et gouvernés au sein de cet État, en tant qu'unité d'espace géographique et humain. La constitution protège les droits et les libertés des citoyens contre les abus de pouvoir potentiels des titulaires des pouvoirs (exécutif, législatif, et judiciaire). Si la fiction juridique veut que la constitution fonde et encadre juridiquement l'État, il est entendu que l'histoire politique la précède et peut lui conférer à la fois sa légitimité circonstanciée et la permanence de son autorité. Cette histoire politique est alors réintroduite dans le droit en étant qualifiée de « pouvoir constituant primaire » (le pouvoir souverain qui établit une nouvelle Constitution). Plusieurs pays célèbrent officiellement l'adoption de leur constitution (Fête ou Jour de la constitution ou « Constitution Day » en anglais). Le terme « constitution » est également utilisé pour désigner les règles fondamentales d'organisations autres que des États souverains : on peut ainsi parler de la constitution de l'OIT, du projet de constitution européenne ou de la constitution civile du clergé. Il serait toutefois plus correct, pour ces organisations, d'employer les termes de traité ou d'« acte fondateur ». Dans des États fédéraux, les États fédérés peuvent avoir aussi leurs propres constitutions, comme la Californie aux États-Unis.tions, comme la Californie aux États-Unis.)
- Coopérative + (Une coopérative est la combinaison d'un re … Une coopérative est la combinaison d'un regroupement de personnes et d'une entreprise fondée sur la participation économique des membres, en capital et en opérations. Son organisation et son fonctionnement sont caractérisés par des principes et des valeurs qui confèrent à chaque coopérative un caractère universel, quel que soit son objet ou son secteur d'activité. Une partie de ces principes et valeurs, comme la démocratie à travers l'égalité de voix entre les membres, est traduite en norme juridique. L'identité coopérative s'identifie par sept principes de coopération. Ainsi, pour les prises de décision, elle repose sur le principe démocratique « une personne = une voix » qui devra élire un conseil d'administration qui nommera un directeur général. Les salariés et les membres-usagers sont ainsi tous égaux en droit.es-usagers sont ainsi tous égaux en droit.)
- Co-operative + (Une coopérative est la combinaison d'un re … Une coopérative est la combinaison d'un regroupement de personnes et d'une entreprise fondée sur la participation économique des membres, en capital et en opérations. Son organisation et son fonctionnement sont caractérisés par des principes et des valeurs qui confèrent à chaque coopérative un caractère universel, quel que soit son objet ou son secteur d'activité. Une partie de ces principes et valeurs, comme la démocratie à travers l'égalité de voix entre les membres, est traduite en norme juridique. L'identité coopérative s'identifie par sept principes de coopération. Ainsi, pour les prises de décision, elle repose sur le principe démocratique « une personne = une voix » qui devra élire un conseil d'administration qui nommera un directeur général. Les salariés et les membres-usagers sont ainsi tous égaux en droit.es-usagers sont ainsi tous égaux en droit.)
- Coop + (Une coopérative est la combinaison d'un re … Une coopérative est la combinaison d'un regroupement de personnes et d'une entreprise fondée sur la participation économique des membres, en capital et en opérations. Son organisation et son fonctionnement sont caractérisés par des principes et des valeurs qui confèrent à chaque coopérative un caractère universel, quel que soit son objet ou son secteur d'activité. Une partie de ces principes et valeurs, comme la démocratie à travers l'égalité de voix entre les membres, est traduite en norme juridique. L'identité coopérative s'identifie par sept principes de coopération. Ainsi, pour les prises de décision, elle repose sur le principe démocratique « une personne = une voix » qui devra élire un conseil d'administration qui nommera un directeur général. Les salariés et les membres-usagers sont ainsi tous égaux en droit.es-usagers sont ainsi tous égaux en droit.)
- Entreprise + (Une entreprise également appelée firme, co … Une entreprise également appelée firme, compagnie, société et familièrement boîte ou business est une organisation ou une unité institutionnelle, mue par un projet décliné en stratégie, en politiques et en plans d'action, dont le but est de produire et de fournir des biens ou des services à destination d'un ensemble de clients, en réalisant un équilibre de ses comptes de charges et de produits. Pour ce faire, une entreprise fait appel, mobilise et consomme des ressources (matérielles, humaines, financières, immatérielles et informationnelles) ce qui la conduit à devoir coordonner des fonctions (fonction d'achat, fonction commerciale, fonction informatique, etc.). Elle exerce son activité dans le cadre d'un contexte précis auquel elle doit s'adapter : un environnement plus ou moins concurrentiel, une filière technico-économique caractérisée par un état de l'art, un cadre socio-culturel et réglementaire spécifique. Elle peut se donner comme objectif de dégager un certain niveau de rentabilité, plus ou moins élevé. Une entreprise est considérée du point de vue légal comme une personne morale et doit en tant que telle établir une distinction entre les ressources matérielles et les ressources humaines. Du point de vue social, en effet, les entreprises génèrent des profits, qui les autorisent à verser des salaires, donc à faire vivre une ville ou une région. De ce même point de vue, les administrations ne créent aucune richesse et sont un coût pour la société humaine. Aucune entreprise ne peut s'exempter de l'équilibre entre le niveau de ses revenus et de ses charges. En cas d'écart déficitaire, celui-ci doit être réduit ou comblé par un apport extérieur (par exemple, une subvention d'équilibre) sous peine de non-viabilité et de disparition de l'entreprise à plus ou moins brève échéance. Depuis le début du XXIe siècle, les entreprises sont appelées à prendre en compte les exigences de (sustainable development en anglais), à travers ce que l'on appelle la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), corporate social responsibility (CSR) en anglais.te social responsibility (CSR) en anglais.)
- Festival + (A festival is an event ordinarily celebrat … A festival is an event ordinarily celebrated by a community and centering on some characteristic aspect or aspects of that community and its religion or cultures. It is often marked as a local or national holiday, mela, or eid. A festival constitutes typical cases of glocalization, as well as the high culture-low culture interrelationship. Next to religion and folklore, a significant origin is agricultural. Food is such a vital resource that many festivals are associated with harvest time. Religious commemoration and thanksgiving for good harvests are blended in events that take place in autumn, such as Halloween in the northern hemisphere and Easter in the southern. Festivals often serve to fulfill specific communal purposes, especially in regard to commemoration or thanking to the gods, goddesses or saints: they are called patronal festivals. They may also provide entertainment, which was particularly important to local communities before the advent of mass-produced entertainment. Festivals that focus on cultural or ethnic topics also seek to inform community members of their traditions; the involvement of elders sharing stories and experience provides a means for unity among families. Attendants of festivals are often motivated by a desire for escapism, socialization and camaraderie; the practice has been seen as a means of creating geographical connection, belonging and adaptability.al connection, belonging and adaptability.)
- Architecture + (Architecture is the art and technique of d … Architecture is the art and technique of designing and building, as distinguished from the skills associated with construction. It is both the process and the product of sketching, conceiving, planning, designing, and constructing buildings or other structures. The term comes from Latin architectura; from Ancient Greek ἀρχιτέκτων (arkhitéktōn) 'architect'; from ἀρχι- (arkhi-) 'chief', and τέκτων (téktōn) 'creator'. Architectural works, in the material form of buildings, are often perceived as cultural symbols and as works of art. Historical civilizations are often identified with their surviving architectural achievements. The practice, which began in the prehistoric era, has been used as a way of expressing culture for civilizations on all seven continents. For this reason, architecture is considered to be a form of art. Texts on architecture have been written since ancient times. The earliest surviving text on architectural theories is the 1st century AD treatise De architectura by the Roman architect Vitruvius, according to whom a good building embodies firmitas, utilitas, and venustas (durability, utility, and beauty). Centuries later, Leon Battista Alberti developed his ideas further, seeing beauty as an objective quality of buildings to be found in their proportions. Giorgio Vasari wrote Lives of the Most Excellent Painters, Sculptors, and Architects and put forward the idea of style in the Western arts in the 16th century. In the 19th century, Louis Sullivan declared that "form follows function". "Function" began to replace the classical "utility" and was understood to include not only practical but also aesthetic, psychological and cultural dimensions. The idea of sustainable architecture was introduced in the late 20th century. Architecture began as rural, oral vernacular architecture that developed from trial and error to successful replication. Ancient urban architecture was preoccupied with building religious structures and buildings symbolizing the political power of rulers until Greek and Roman architecture shifted focus to civic virtues. Indian and Chinese architecture influenced forms all over Asia and Buddhist architecture in particular took diverse local flavors. In fact, During the European Middle Ages, pan-European styles of Romanesque and Gothic cathedrals and abbeys emerged while the Renaissance favored Classical forms implemented by architects known by name. Later, the roles of architects and engineers became separated. Modern architecture began after World War I as an avant-garde movement that sought to develop a completely new style appropriate for a new post-war social and economic order focused on meeting the needs of the middle and working classes. Emphasis was put on modern techniques, materials, and simplified geometric forms, paving the way for high-rise superstructures. Many architects became disillusioned with modernism which they perceived as ahistorical and anti-aesthetic, and postmodern and contemporary architecture developed. Over the years, the field of architectural construction has branched out to include everything from ship design to interior decorating.g from ship design to interior decorating.)
- Art + (Art is a diverse range of human activity, … Art is a diverse range of human activity, and resulting product, that involves creative or imaginative talent expressive of technical proficiency, beauty, emotional power, or conceptual ideas. There is no generally agreed definition of what constitutes art, and its interpretation has varied greatly throughout history and across cultures. In the Western tradition, the three classical branches of visual art are painting, sculpture, and architecture. Theatre, dance, and other performing arts, as well as literature, music, film and other media such as interactive media, are included in a broader definition of the arts. Until the 17th century, art referred to any skill or mastery and was not differentiated from crafts or sciences. In modern usage after the 17th century, where aesthetic considerations are paramount, the fine arts are separated and distinguished from acquired skills in general, such as the decorative or applied arts. The nature of art and related concepts, such as creativity and interpretation, are explored in a branch of philosophy known as aesthetics. The resulting artworks are studied in the professional fields of art criticism and the history of art.s of art criticism and the history of art.)
- Connaissance + (Knowledge can be defined as awareness of f … Knowledge can be defined as awareness of facts or as practical skills, and may also refer to familiarity with objects or situations. Knowledge of facts, also called propositional knowledge, is often defined as true belief that is distinct from opinion or guesswork by virtue of justification. While there is wide agreement among philosophers that propositional knowledge is a form of true belief, many controversies in philosophy focus on justification: whether it is needed at all, how to understand it, and whether something else besides it is needed. These controversies intensified due to a series of thought experiments by Edmund Gettier and have provoked various alternative definitions. Some of them deny that justification is necessary and replace it, for example, with reliability or the manifestation of cognitive virtues. Others contend that justification is needed but formulate additional requirements, for example, that no defeaters of the belief are present or that the person would not have the belief if it was false. Knowledge can be produced in many different ways. The most important source of empirical knowledge is perception, which refers to the usage of the senses. Many theorists also include introspection as a source of knowledge, not of external physical objects, but of one's own mental states. Other sources often discussed include memory, rational intuition, inference, and testimony. According to foundationalism, some of these sources are basic in the sense that they can justify beliefs without depending on other mental states. This claim is rejected by coherentists, who contend that a sufficient degree of coherence among all the mental states of the believer is necessary for knowledge. Many different aspects of knowledge are investigated and it plays a role in various disciplines. It is the primary subject of the field of epistemology, which studies what we know, how we come to know it, and what it means to know something. The problem of the value of knowledge concerns the question of why knowledge is more valuable than mere true belief. Philosophical skepticism is the controversial thesis that we lack any form of knowledge or that knowledge is impossible. Formal epistemology studies, among other things, the rules governing how knowledge and related states behave and in what relations they stand to each other. Science tries to acquire knowledge using the scientific method, which is based on repeatable experimentation, observation, and measurement. Many religions hold that humans should seek knowledge and that God or the divine is the source of knowledge. or the divine is the source of knowledge.)
- Action publique + (L'action publique désigne l'action de l'ad … L'action publique désigne l'action de l'administration publique. C'est un concept de sociologie politique qui désigne à la fois l'activité de gouvernement, le travail gouvernemental et l'action de gouverner. En sociologie, la notion d'action publique est utilisée à la place de la notion de politique publique pour souligner la complexité de l'action de l'État et plus généralement de l'administration publique. A la différence de la notion de politique publique, la notion d'action publique est employée pour mettre en relief la question de la mise en œuvre des politiques publiques. L'objectif de cette approche, comme dans les science studies, est d'étudier ce que les acteurs font et non pas ce qu'ils disent qu'ils font. Le concept est aussi utilisé dans l'administration. Par exemple, en 2012, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a créé le Secrétariat général pour la modernisation de l'action publique (SGMAP) et en 2017, le gouvernement d'Édouard Philippe a lancé le programme . d'Édouard Philippe a lancé le programme .)
- Agriculture biologique + (L'agriculture biologique est une méthode d … L'agriculture biologique est une méthode de production agricole qui exclut le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse, utilisés notamment par l'agriculture industrielle et intensive depuis le début du XXe siècle, les organismes génétiquement modifiés par transgénèse, et la conservation des cultures par irradiation. La fertilisation du sol et la protection des plantes doivent donc être assurées en privilégiant au maximum l'utilisation d'engrais et de pesticides issus ou dérivés de substances naturelles. Ces derniers sont appelés biopesticides. Les pratiques d'agriculture biologique sont soumises à des normes contraignantes permettant la labellisation des produits et un prix de vente généralement plus élevé. Les motivations des agriculteurs et des consommateurs peuvent être de meilleurs revenus, une meilleure santé au travail, la protection de l'environnement ou des produits perçus comme plus sains. L'élevage d'animaux des fermes biologiques doit respecter des conditions de vie plus respectueuses du bien-être animal que l'agriculture traditionnelle. Définie depuis les années 1920, l'agriculture biologique est organisée à l'échelle mondiale depuis 1972 (International Federation of Organic Agriculture Movements – IFOAM) et reconnue depuis 1999 dans le Codex Alimentarius, un programme commun de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de l'Organisation mondiale de la santé. L'agriculture biologique est une des formes d'agriculture durable ; l'appellation « biologique », ou son abréviation « bio », est protégée légalement et implique une certification. Plusieurs labels internationaux de reconnaissance de ce type d'agriculture ont été définis. Depuis 1990, le marché des aliments et autres produits biologiques a augmenté rapidement, atteignant 63 milliards de dollars dans le monde en 2012. Cette demande s'est accompagnée d'une augmentation de la surface des terres agricoles destinées à l'agriculture biologique, qui s'est accrue de 8,9 % par an en moyenne entre 2001 et 2011. Dans le monde, plus de 37,2 millions d'hectares étaient consacrés à l'agriculture biologique à la fin de l'année 2011, soit 0,9 % des terres agricoles des 162 pays pris en compte dans le calcul. En 2015, l'agriculture biologique occupait 6,2 % de la superficie agricole utilisée de l'Union européenne.e agricole utilisée de l'Union européenne.)
- Exploitation agricole intensive + (L'agriculture intensive est un système de … L'agriculture intensive est un système de production agricole fondé sur un accroissement de la production agricole optimisé par rapport à la disponibilité des facteurs de production (moyens humains, matériels et surfaces cultivées). Ce rapport entre volume produit et facteur de production est appelé productivité. L'agriculture intensive existe dans deux systèmes opposés, l'un traditionnel, l'autre moderne. En système traditionnel, les ressources humaines sont nombreuses, la force animale est souvent employée, la biodiversité est élevée et plusieurs espèces complémentaires sont parfois cultivées ensemble, mais les moyens matériels (et souvent les disponibilités foncières) sont rares : l'intensification agricole y est fondée sur l'investissement humain maximal par rapport aux autres facteurs de production. Les impacts environnementaux sont faibles (agriculture extensive au sens large). En système moderne, la situation est inverse : les moyens humains sont en grande partie remplacés par des machines ou robots, l'intensification requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants (engrais, produits phytosanitaires, matériel agricole, énergie). C'est ce deuxième système qui est habituellement désigné par l'appellation « agriculture intensive ». Les caractéristiques (mécanisation, chimisation, standardisation et augmentation de la taille des parcelles) de l'intensification de l'agriculture à l’échelle des parcelles et des paysages, expliquent que les impacts environnementaux y sont plus importants.s environnementaux y sont plus importants.)
- Gestion de l'eau + (La gestion de l'eau est l'activité qui con … La gestion de l'eau est l'activité qui consiste à protéger, planifier, développer, distribuer et gérer l'utilisation optimale des ressources en eau et des milieux aquatiques, des points de vue qualitatif et quantitatif. Ceci inclut la gestion des risques « quantitatifs » et évènements extrêmes de sécheresse et pénurie, d'inondations et de crues, érosion des sols et du trait de côte, d', notamment liés au changement climatique, à la déforestation et à la destruction des zones humides. S'y ajoute les questions de pollutions telluriques des zones côtières et des mers et océans, par les activités humaines, essentiellement charriées par les fleuves. Axée sur le développement des ressources en eau depuis les années 1970, cette activité se tourne sur leur gestion dans les années 1980 et sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les années 1990, cette évolution traduisant la mobilisation du secteur public et privé en faveur du développement durable. En 2017, au moins 196 villes mondiales, soit 1,2 milliard de personnes (20 % de la population) sont considérées comme confrontées à des problèmes de gestion de l’eau selon le CDP (ex. : Miami, Pittsburgh (États-Unis) et Johannesburg (Afrique du Sud), qui dont confrontées à un risque « extrême » d’inondations. Les actions de gestion sont de court, moyen et long termes et pour certaines doivent concerner tout un bassin versant. Elles concernent donc de nombreux acteurs (dont collectivités publiques, entreprises agriculteurs et habitants), entités décisionnelles réunies sous le nom de gouvernance de l'eau. Dans un contexte de marchandisation l'eau est de plus en plus perçue comme une ressource naturelle précieuse et un bien commun à partager avec les autres êtres vivants de la planète ; une ressource limitée et inégalement répartie, à utiliser de manière économe et à dépolluer avant de la rendre au milieu naturel.luer avant de la rendre au milieu naturel.)
- Justice sociale + (La justice sociale est une construction mo … La justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et conçoit la nécessité d'une solidarité collective entre les personnes d'une société donnée. L'entrée correspondant à ce terme dans le Dictionnaire des sciences économiques et sociales le fait reposer théoriquement sur deux principes. Soit, un premier principe d'équité, avec lequel il ne faut pas confondre celui de justice, et qui s'entend plutôt comme le principe du « à chacun son dû ». Dans ce cas, la part individuelle revenant à celui qui bénéficie du traitement équitable doit être conforme aux attentes les plus généralement exprimées dans une société à l'égard des autres parts individuelles. Soit, un second principe, dit moral, d'une prémisse d'égalité entre tous les membres composants la société. Dans ce cas, la notion de justice sociale est essentiellement une projection vers une société plus juste, en admettant qu'il y ait toujours des injustices. On peut le voir soit comme une utopie, soit comme une démarche allant vers plus de progressisme. Ce premier partage définitoire permet de tracer plusieurs règles générales d'application de la justice sociale. La justice sociale est dite commutative quand elle est fondée sur l'idée que la pure réciprocité doit exister entre les membres et la société (chacun reçoit en contrepartie mesurée d'un effort fourni). Elle sera, en revanche, qualifiée de distributive, si elle vise à donner à chacun la part qui lui revient pour vivre décemment, en se réservant de préciser quels critères ou catégories seront utilisés pour élaborer cette distribution (économique, sociale, culturelle). Les actions ayant pour objectif de rétablir une justice sociale visent à élaborer un meilleur système de répartitions, où chaque individu a et conserve les mêmes chances de réussite tout au long des situations de sa vie d'individu. Ainsi, on parle parfois d'« égalité des chances ». Les corrections nécessaires peuvent être sociales, financières ou culturelles. La justice sociale peut aussi se définir de manière négative : est injuste ce qui n'est pas acceptable socialement. Par exemple, les inégalités de salaires entre métiers de qualifications différentes sont le plus souvent considérées comme justes, parce qu'elles sont socialement acceptées par la majorité. Il existe une distinction entre justice sociale (ou équité) et égalité. La justice sociale est aussi une notion qui évolue dans le temps, ce qui est juste socialement peut devenir injuste si le contexte change (voir sociologie de la justice sociale). Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : 1. </br>* garantie des libertés de base égales pour tous ; 2. </br>* égalité des chances ; 3. </br>* maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.alités qui profitent aux plus défavorisés.)
- Sécheresse + (La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ défi … La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ définit l'état d'un environnement confronté à un manque d'eau significativement long et important pour qu'il ait des impacts sur la flore (naturelle ou cultivée), la faune (sauvage ou d'élevage) et les sociétés. Sécheresse ne doit pas être confondu avec aridité. Une région aride peut connaître des épisodes de sécheresse. Le déficit hydrique est une situation naturelle du point de vue de la variabilité climatique (par exemple, les périodes glaciaires/interglaciaires du Quaternaire, les cycles El Niño / La Niña, etc.) mais, selon certains climatologues certaines situations de déficit hydrique sont amplifiées (durée, extension spatiale, intensité) par l'émission humaine de gaz à effet de serre. Il fait suite à un déficit pluviométrique, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification accélérée d'origine anthropique), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs). La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier dans les régions de peu de ressources économiques. La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau de l'homme (savoir les applications agricoles – agriculture, du bétail – industrielles, domestiques de l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire – piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés. La sécheresse s'initie par une sécheresse météorologique se produisent généralement lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion d'une perturbation atmosphérique et peuvent alors mener la région surplombée par celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans précipitations.onc avec un peu voire sans précipitations.)
- Développement durable + (Le développement durable (en anglais : sus … Le développement durable (en anglais : sustainable development, parfois traduit par développement soutenable) est une conception du développement qui s'inscrit dans une perspective de long terme et en intégrant les contraintes écologiques et sociales à l'économie. Selon la définition donnée dans le rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, dit rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la première fois en 1987, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Cette notion s'est imposée à la suite de la prise de conscience progressive, depuis les années 1970, de la finitude écologique de la Terre, liée aux limites planétaires sur le long terme. La notion fait toutefois l'objet de , notamment de la part des tenants de la décroissance, pour lesquels cette notion reste trop liée à celle de la croissance économique, mais aussi de la part de ceux qui y voient un frein au développement.ux qui y voient un frein au développement.)
- Militance + (Le militantisme est une forme d'engagement … Le militantisme est une forme d'engagement collectif à une cause de nature morale, religieuse, sociale, politique, associative ou syndicale souvent en vue de protester contre ce qui est perçu comme une injustice. Historiquement ce terme militaire issu du latin fait référence aux membres de la milice du Christ, mais son usage au vingtième siècle dérive pour décrire l'expression organisée d'une protestation d'un groupe social.sée d'une protestation d'un groupe social.)
- Transition post-capitaliste + (Le post-capitalisme est un concept qui con … Le post-capitalisme est un concept qui concerne plusieurs propositions visant à créer un nouveau système économique ayant pour ambition de remplacer le capitalisme. Selon certains et certaines théories d'évolution sociale, une société post-capitaliste pourrait naître d'une obsolescence spontanée du capitalisme. D'autres proposent des modèles visant à remplacer intentionnellement le capitalisme. Voir à ce propos les concepts de réformisme et d'utopie technologique. Différents penseurs suggèrent qu'un travail actif doit être entrepris pour construire un monde post-capitaliste avant que la société capitaliste ne s'effondre. Un changement graduel de la société est pour certains plus favorable qu'un choc.t pour certains plus favorable qu'un choc.)
- Science ouverte + (Open science is the movement to make scien … Open science is the movement to make scientific research (including publications, data, physical samples, and software) and its dissemination accessible to all levels of society, amateur or professional. Open science is transparent and accessible knowledge that is shared and developed through collaborative networks. It encompasses practices such as publishing open research, campaigning for open access, encouraging scientists to practice open-notebook science (such as openly sharing data and code), broader dissemination and engagement in science and generally making it easier to publish, access and communicate scientific knowledge. Usage of the term varies substantially across disciplines, with a notable prevalence in the STEM disciplines. Open research is often used quasi-synonymously to address the gap that the denotion of "science" might have regarding an inclusion of the Arts, Humanities and Social Sciences. The primary focus connecting all disciplines is the widespread uptake of new technologies and tools, and the underlying ecology of the production, dissemination and reception of knowledge from a research-based point-of-view. As Tennant et al. (2020) note, the term open science "implicitly seems only to regard ‘scientific’ disciplines, whereas open scholarship can be considered to include research from the Arts and Humanities, as well as the different roles and practices that researchers perform as educators and communicators, and an underlying open philosophy of sharing knowledge beyond research communities." Open science can be seen as a continuation of, rather than a revolution in, practices begun in the 17th century with the advent of the academic journal, when the societal demand for access to scientific knowledge reached a point at which it became necessary for groups of scientists to share resources with each other. In modern times there is debate about the extent to which scientific information should be shared. The conflict that led to the Open Science movement is between the desire of scientists to have access to shared resources versus the desire of individual entities to profit when other entities partake of their resources. Additionally, the status of open access and resources that are available for its promotion are likely to differ from one field of academic inquiry to another. one field of academic inquiry to another.)
- Festival + (Un festival est une manifestation à caractère festif, organisée à époque fixe et récurrente annuellement, autour d'une activité liée au spectacle, aux arts, aux loisirs, d'une durée de un ou plusieurs jours.)
- Creative commons + (Creative Commons (CC) est une association … Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif.th et aux États-Unis) est plus restrictif.)
- Culture + (Culture (/ˈkʌltʃər/) is an umbrella term w … Culture (/ˈkʌltʃər/) is an umbrella term which encompasses the social behavior, institutions, and norms found in human societies, as well as the knowledge, beliefs, arts, laws, customs, capabilities, and habits of the individuals in these groups. Culture is often originated from or attributed to a specific region or location. Humans acquire culture through the learning processes of enculturation and socialization, which is shown by the diversity of cultures across societies. A cultural norm codifies acceptable conduct in society; it serves as a guideline for behavior, dress, language, and demeanor in a situation, which serves as a template for expectations in a social group.Accepting only a monoculture in a social group can bear risks, just as a single species can wither in the face of environmental change, for lack of functional responses to the change.Thus in military culture, valor is counted a typical behavior for an individual and duty, honor, and loyalty to the social group are counted as virtues or functional responses in the continuum of conflict. In the practice of religion, analogous attributes can be identified in a social group. Cultural change, or repositioning, is the reconstruction of a cultural concept of a society. Cultures are internally affected by both forces encouraging change and forces resisting change. Cultures are externally affected via contact between societies. Organizations like UNESCO attempt to preserve culture and cultural heritage.to preserve culture and cultural heritage.)
- Culture + (En philosophie, le mot culture désigne ce … En philosophie, le mot culture désigne ce qui est différent de la nature. En sociologie, comme en éthologie, la culture est définie de façon plus étroite comme « ce qui est commun à un groupe d'individus » et comme « ce qui le soude », c'est-à-dire ce qui est appris, transmis, produit et inventé. Ainsi, pour une organisation internationale comme l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd’hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels, matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les lois, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances ». Ce « réservoir commun » évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en de multiples manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de communiquer en société. Par abus de langage, le mot « culture » est employé pour désigner presque exclusivement l'offre de pratiques et de services culturels dans les sociétés modernes, et en particulier dans le domaine des arts et des lettres.r dans le domaine des arts et des lettres.)
- Agriculture vivrière + (L'agriculture vivrière est une agriculture … L'agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l'autoconsommation et l'économie de subsistance. La production, rarement excédentaire, n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à l'exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans et la population locale. Cette forme d'agriculture, courante dans les jardins du monde entier, demeure d'une importance capitale dans les pays les moins avancés où elle permet aux populations rurales, sans autre ressource, de se nourrir. Ses faibles rendements, générant peu d'excédent, ne permettent toutefois pas à ces populations de sortir de la pauvreté. Elle impose également d'accepter de ne consommer que des produits de saison et de gérer la période de soudure. Le caractère localisé de la production, sans accès aux marchés mondiaux, rend en outre les agriculteurs vivriers particulièrement vulnérables aux conséquences des événements climatiques locaux (sécheresse, catastrophe naturelle, saison des pluies tardive ou précoce, etc...). Elle représente environ 20 % de la production alimentaire mondiale. Par l'importance qu'elle accorde aux semences paysannes — on estime à environ 1,4 milliard les agriculteurs utilisant des procédés traditionnels de sélection — elle favorise fortement la biodiversité.— elle favorise fortement la biodiversité.)
- Architecture + (L'architecture est l'art majeur de concevo … L'architecture est l'art majeur de concevoir des espaces et de bâtir des édifices, en respectant des règles de construction empiriques ou scientifiques, ainsi que des concepts esthétiques, classiques ou nouveaux, de forme et d'agencement d'espace, en y incluant les aspects sociaux et environnementaux liés à la fonction de l'édifice et à son intégration dans son environnement, quelle que soit cette fonction : habitable, sépulcrale, rituelle, institutionnelle, religieuse, défensive, artisanale, commerciale, scientifique, signalétique, muséale, industrielle, monumentale, décorative, paysagère, voire purement artistique. C'est pourquoi l'architecture est définie comme « une expression de la culture ». Elle est reconnue comme le premier des arts majeurs dans la classification des arts, communément admise, du XXe siècle, des 9 arts majeurs et fait partie des beaux-arts. L'Architecture désigne également l'ensemble des connaissances et des techniques de cet art de concevoir et de construire des structures complexes, englobant les édifices terrestres, les espaces et les paysages modifiés par l'homme répondant à des critères architecturaux, les artefacts habitables naviguant sur l'eau et sous l'eau (architecture navale) et dans l'espace (architecture spatiale), que l'humanité a pu imaginer et réaliser au fil des millénaires. L'architecture intègre le domaine de la planification spatiale et met en pratique les méthodes de la planification au service de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme. On distingue différentes échelles de la planification spatiale : </br>* le territoire national : l'aménagement du territoire ; </br>* la région, le massif ou une bande littorale : la planification régionale ; </br>* le quartier, la ville, jusqu'à l'agglomération : l'urbanisme ; </br>* l'îlot ou un groupe de bâtiments dont la composition n'atteint pas la superficie du quartier : la composition urbaine ; </br>* le bâtiment : l'architecture. C'est ainsi que dans le cadre des études d'aménagement et urbanisme, on retrouve l'architecte le plus souvent autour des réflexions de la composition urbaine via la pratique de la conception urbaine. via la pratique de la conception urbaine.)
- Urbanisme + (L'urbanisme désigne l'ensemble des science … L'urbanisme désigne l'ensemble des sciences, des techniques et des arts relatifs à l'organisation et à l'aménagement des espaces urbains. Ce projet peut être sous-tendu par une volonté d'assurer le bien-être de l'homme et d'améliorer les rapports sociaux en préservant l'environnement. Les professionnels qui exercent ce métier sont des urbanistes. Selon les traditions académiques, cette discipline est associée tantôt à l'architecture, tantôt à la géographie, selon l'aspect mis en avant, l'intervention urbaine ou l'étude théorique. En France, l'enseignement et la recherche universitaire dans ce champ relèvent d'une section spécifique du Conseil national des universités (24, Aménagement de l'espace, Urbanisme). L'urbaniste Pierre Merlin écrit : « Les géographes ont souvent eu tendance à considérer, en France notamment, l'aménagement (et en particulier l'aménagement urbain, voire l'urbanisme) comme un prolongement naturel de leur discipline. Il s'agit en fait de champs d'action pluridisciplinaires par nature qui ne sauraient être l'apanage d'une seule discipline quelle qu'elle soit. Mais la géographie, discipline de l'espace à différentes échelles, est concernée au premier chef. » L'urbanisme intègre le domaine de la planification spatiale et met en pratique les méthodes de la planification au service de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme. On distingue différentes échelles de la planification spatiale : </br>* le territoire national : l'aménagement du territoire ; </br>* la région, le massif ou une bande littorale : la planification régionale ; </br>* le quartier, la ville, jusqu'à l'agglomération : l'urbanisme ; </br>* l'îlot ou un groupe de bâtiments dont la composition n'atteint pas la superficie du quartier : la composition urbaine ; </br>* le bâtiment : l'architecture.urbaine ; * le bâtiment : l'architecture.)
- Abondance + (L'économie de l'abondance est un modèle éc … L'économie de l'abondance est un modèle économique dans lequel tout ou partie des biens, services et informations sont gratuits ou pratiquement gratuits. Une première forme d'économie d'abondance apparaît avec l'économie distributive de Jacques Duboin vers le milieu du XXe siècle, dont l'abondance est le verso « logique ». Une autre forme, contemporaine, est liée à l'abondance en ressources primaires (matière et énergie), en conjonction avec des systèmes automatisés capables de transformer ces ressources en produits et services finis, permettant une production de produits physiques sans nécessiter de labeur humain. Ce modèle a d'abord été évoqué dans la science fiction, principalement anglo-saxonne, avec notamment Pandora's Millions de George O. Smith, ou L'Âge de diamant, de Neal Stephenson. Il s'agit aujourd'hui d'une notion très répandue, spécialement dans les univers post-humains ou post-singularistes. Dans le monde réel, de nombreuses personnes considèrent que le mouvement du logiciel libre constitue d'ores et déjà une économie de l'abondance. Richard Stallman, fondateur de la fondation GNU, et une des figures les plus influentes du mouvement du logiciel libre parle de ce dernier comme d'une première étape vers l'économie de l'abondance dans le manifeste GNU (appelée dans cette traduction « après-pénurie », traduction littérale du terme anglais « post-scarcity ») . Dans la même lignée, un ensemble de projets de matériel libre (open hardware) tente de reproduire ce succès dans le monde matériel, en s'appuyant sur des techniques d'impression 3D ou sur des fablabs. Ce domaine est cependant plus jeune et moins mature que celui du logiciel libre, ce qui n'a pas empêché le gouvernement américain de s'y intéresser et de chercher à accompagner le mieux possible le mouvement.ccompagner le mieux possible le mouvement.)
- Énergie + (L'énergie est un concept relié à ceux d'ac … L'énergie est un concept relié à ceux d'action, de force et de durée : la mise en œuvre d'une action nécessite de maintenir une certaine force pendant une durée suffisante, pour vaincre les inerties et résistances qui s'opposent à ce changement. L'énergie qui aura été nécessaire pour accomplir finalement l'action envisagée rend compte à la fois de la force et de la durée pendant laquelle elle aura été exercée. Le sens premier est celui d'une vertu morale : l'énergie morale et physique que l'homme doit mettre en œuvre pour accomplir un travail donné, mais l'énergie est aussi étudiée en physique, et en économie, pour évoquer notamment la production, la distribution et la consommation d'énergie, les enjeux environnementaux associés, ainsi que la question des ressources énergétiques, renouvelables ou non.ources énergétiques, renouvelables ou non.)
- Wikidata 1 + (La Terre est la troisième planète par ordr … La Terre est la troisième planète par ordre d'éloignement au Soleil et la cinquième plus grande du Système solaire aussi bien par la masse que le diamètre. Par ailleurs, elle est le seul objet céleste connu pour abriter la vie. Elle orbite autour du Soleil en 365,256 jours solaires — une année sidérale — et réalise une rotation sur elle-même relativement au Soleil en 23 h 56 min 4 s — un jour sidéral — soit un peu moins que son jour solaire de 24 h du fait de ce déplacement autour du Soleil. L'axe de rotation de la Terre possède une inclinaison de 23°, ce qui cause l'apparition des saisons. D'après la datation radiométrique, la Terre s'est formée il y a 4,54 milliards d'années. Elle possède un unique satellite naturel, la Lune, qui s'est formée peu après. L'interaction gravitationnelle avec son satellite crée les marées, stabilise son axe de rotation et réduit graduellement sa vitesse de rotation. La vie serait apparue dans les océans il y a au moins 3,5 milliards d'années, ce qui a affecté l'atmosphère et la surface terrestre par la prolifération d'organismes d'abord anaérobies puis, à la suite de l'explosion cambrienne, aérobies. Une combinaison de facteurs tels que la distance de la Terre au Soleil (environ 150 millions de kilomètres — une unité astronomique —), son atmosphère, sa couche d'ozone, son champ magnétique et son évolution géologique ont permis à la vie d'évoluer et de se développer. Durant l'histoire évolutive du vivant, la biodiversité a connu de longues périodes d'expansion occasionnellement ponctuées par des extinctions massives ; environ 99 % des espèces qui ont un jour vécu sur Terre sont maintenant éteintes. En 2020, plus de 7,7 milliards d'êtres humains vivent sur Terre et dépendent de sa biosphère et de ses ressources naturelles pour leur survie. La Terre est la planète la plus dense du Système solaire ainsi que la plus grande et massive des quatre planètes telluriques. Son enveloppe rigide — appelée la lithosphère — est divisée en différentes plaques tectoniques qui migrent de quelques centimètres par an. Environ 71 % de la surface de la planète est couverte d'eau — notamment des océans, mais aussi des lacs et rivières, constituant l'hydrosphère — et les 29 % restants sont des continents et des îles. La majeure partie des régions polaires est couverte de glace, notamment avec l'inlandsis de l'Antarctique et la banquise de l'océan Arctique. La structure interne de la Terre est géologiquement active, le noyau interne solide et le noyau externe liquide (composés tous deux essentiellement de fer) permettant notamment de générer le champ magnétique terrestre par effet dynamo et la convection du manteau terrestre (composé de roches silicatées) étant la cause de la tectonique des plaques.ant la cause de la tectonique des plaques.)
- Collaboration + (La collaboration est l'acte de travailler … La collaboration est l'acte de travailler ou de réfléchir ensemble pour atteindre un objectif. Dans son sens commun, la collaboration est un processus par lequel deux ou plusieurs personnes ou organisations s’associent pour effectuer un travail intellectuel suivant des objectifs communs. Des méthodes structurées de collaboration encouragent l'introspection de comportements et communication. Ces méthodes ont pour objectif spécifique l'augmentation du taux de réussite des équipes quand elles se livrent à la résolution de problèmes en collaboration. Des schémas, rubriques et graphiques sont utiles afin de documenter objectivement les traits de personnalité afin d'améliorer les résultats des projets actuels et à venir. résultats des projets actuels et à venir.)
- Culture libre + (La culture libre est un mouvement social e … La culture libre est un mouvement social et une sous-culture qui promeut la liberté de distribuer et de modifier des œuvres de l'esprit sous la forme d'œuvres libres par l'utilisation d'internet ou, plus rarement, d'autres formes de médias. Il puise sa philosophie dans celle du logiciel libre en l'appliquant à la culture et à l'information, dans des domaines aussi variés que les arts, l'éducation, les sciences, etc. La culture libre défend notamment l'idée que les droits d'auteurs ne doivent pas porter atteinte aux libertés fondamentales du public. La gestion des droits numériques (DRM) est, par exemple, dénoncée comme une entrave à la liberté d'usage du produit légalement acquis, alors que la protection du fonctionnement du produit (code source du programme, partition de musique, etc.) empêche l'utilisateur de modifier l'œuvre pour en faire sa propre version. Les mécanismes juridiques des licences libres attachées à la culture sont inspirés du logiciel libre : l'utilisation des licences art libre ou Creative Commons a ainsi permis l'émergence de la musique libre et de l'art libre. Les défenseurs de la culture libre, appelés libristes, utilisent de façon détournée les monopoles accordés par les droits d'auteur en créant leurs propres licences libres, cela afin d'autoriser précisément les usages que les lois sur les droits d'auteur prescrivent par défaut. L'immense majorité des défenseurs de la culture libre prennent également position pour le droit à la vie privée, l'accès libre à l'information et la liberté d'expression sur Internet. Certains militants ont aussi pu commettre des actes illégaux au cours de leur combat, comme l'infraction au copyright (The Pirate Bay, Aaron Swartz) ou bien la divulgation de données confidentielles qu'ils considèrent comme d'intérêt public (Edward Snowden, Alexandra Elbakyan avec Sci-Hub).Snowden, Alexandra Elbakyan avec Sci-Hub).)
- Démocratie participative + (La démocratie participative est une forme … La démocratie participative est une forme de partage et d'exercice du pouvoir, fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique. On parle également de « démocratie délibérative » pour mettre l'accent sur les différents processus permettant la participation du public à l'élaboration des décisions, pendant la phase de délibération. La démocratie participative ou délibérative peut prendre plusieurs formes, mais elle s'est d'abord instaurée sur le terrain de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme, avant de s'étendre dans les champs de l'environnement. Dans ces cadres, les associations jouent un rôle central en tant qu'interlocuteurs pour les autorités publiques. En France, une Charte de la participation du public du ministère de l'Écologie liste les bonnes pratiques en matière de participation du public.ues en matière de participation du public.)
- Finance + (La finance recouvre un domaine d'activité … La finance recouvre un domaine d'activité — celui du financement — qui consiste à fournir l'argent nécessaire à la réalisation d'une opération économique. Ce domaine concerne aussi bien les individus, les ménages que les entreprises publiques ou privées, mais aussi les États. La recherche de financement obéit à deux types d'objectifs suivant le volume initial de capital : </br>* à niveau de capital restreint, on cherche à obtenir des capitaux nécessaires et suffisants pour entreprendre, maintenir ou développer une activité ; </br>* à niveau de capital avéré, l'objectif est de trouver les placements les plus pertinents en performance et en sécurité en fonction de la valeur temps de l'argent. Le mot « finance » peut également désigner : </br>* soit les techniques qui permettent de façon raisonnée d'obtenir et de placer des capitaux ; </br>* soit les agents économiques ou les institutions qui recherchent des capitaux disponibles ou souhaitent en placer (soit une définition liminaire qui serait : acheter ou vendre de l'argent). Pour se financer, un agent économique (une organisation privée ou publique, ou un particulier) peut procéder : </br>* par autofinancement, c'est-à-dire en utilisant ses bénéfices antérieurs ou ses réserves financières disponibles ; </br>* par financement direct en faisant appel au marché financier (émission d'actions ou d'obligations) ; </br>* par financement indirect ou intermédié en ayant recours au crédit bancaire.médié en ayant recours au crédit bancaire.)
- Production de pair à pair + (La notion de travail collaboratif désigne … La notion de travail collaboratif désigne un travail qui n'est plus fondé sur l'organisation hiérarchisée traditionnelle, et plus spécifiquement un mode de travail (éventuellement intégré dans un modèle économique de production) où collaborent de nombreuses personnes grâce aux technologies de l'information et de la communication, notamment les plateformes internet. Les outils informatiques permettent de maximiser la créativité et l'efficience d'un groupe associé à des projets d’envergure même si elles sont très dispersées dans l'espace et le temps. Le travail est souvent naturellement collectif et collaboratif, c'est-à-dire qu'il fait interagir plusieurs acteurs pour la réalisation de tâches qui visent à atteindre un but commun. Par exemple, le projet d'encyclopédie en ligne, libre et multilingue, Wikipédia est le résultat d'un travail collaboratif « en réseaux coopératifs ».l collaboratif « en réseaux coopératifs ».)
- Propriété + (La propriété est la « possession » d'un bi … La propriété est la « possession » d'un bien meuble ou immeuble ou d'une production intellectuelle, reconnue et consacrée par une autorité (divine ou humaine), la société, la loi, la raison générale ou le consentement universel, etc. C'est selon Pierre-Joseph Proudhon une usucapion ou une usurpation. La Révolution française a exalté le droit de propriété : inviolable et sacrée, selon l'article 17 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Cet absolutisme de principe issu du mansipium romain sera dans les faits accompagné de limites de plus en plus nombreuses. En France la propriété est définie, par l'article 544 du Code civil, comme « le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements ». Le propriétaire en droit français ne perd pas son droit de propriété par le non-usage de la chose, la propriété a un caractère imprescriptible et ce droit de propriété peut être transmis aux héritiers. La propriété qui s'exerce sur des biens accepte son corollaire par lequel il est des choses qui n'appartiennent à personne et dont l'usage est commun à tous (Des lois de police règlent la manière d'en jouir), consacré par l'Article 714 du Code civil. Le terme « propriété », du latin juridique exproprias « propriété, caractère propre, spécifique » et « droit de possession, chose possédée » à l'époque impériale[Laquelle ?], conserve actuellement les deux mêmes sens[réf. souhaitée]. On traite ici du second, socialement plus important et plus disputé[réf. nécessaire] : un ensemble de droits qui confèrent des prérogatives exclusives à une ou plusieurs personnes sur des territoires, des objets, des êtres, des idées ou des méthodes, ainsi que les choses visées[Quoi ?].odes, ainsi que les choses visées[Quoi ?].)
- Résilience communautaire + (La résilience communautaire (ou résilience … La résilience communautaire (ou résilience collective) est la capacité d'une communauté de continuer à vivre, fonctionner, se développer et s'épanouir après un traumatisme ou une catastrophe. Une communauté résiliente est un groupement de personnes structuré et organisé pour s'adapter rapidement au changement, surmonter un traumatisme, tout en maintenant sa cohésion et des relations ouvertes avec le reste du monde. Elle s'efforce d'améliorer son quotidien en tissant à nouveau du lien social, en misant davantage sur la solidarité. La résilience communautaire se veut l'application concrète du concept de résilience à l'échelle d'une communauté. L'homme est un être social, étroitement lié à son entourage, qui s'épanouit et s'organise en groupe. L'homme peut être exposé à des traumatismes d'ordre personnel (comme la perte d'un proche, la maladie), mais aussi à des événements extérieurs, qui peuvent affecter sa communauté (catastrophe naturelle, choc économique, rupture dans les réseaux d'approvisionnement, etc.). De ce fait, son autonomie au sein de la société est relative et surtout fragile. L'homme moderne est généralement dépendant des chaînes logistiques qui permettent l'approvisionnement des énergies, des biens et des services. Développer la résilience collective passe donc inévitablement par le développement de l'autonomie du groupe et par un travail de dépassement du traumatisme, au niveau personnel et collectif. La résilience individuelle est étroitement liée à une faculté de résilience collective. Un parallèle peut être fait avec le domaine de la santé : la résilience du corps ne concerne qu'un seul individu, mais dans d'autres domaines comme la traumatologie, les séquelles non organiques (psychologiques ou sociopsychologiques) se considèrent dans un contexte de relation avec l'autre. La résilience d'un couple, d'une famille, concerne bien sûr ses membres, mais aussi leur entourage et les générations à venir : les parents cherchent généralement à offrir à leurs enfants une situation qu'ils considèrent comme « meilleure » que celle qu'ils ont connue, avec des effets collectifs souvent imprévus.ec des effets collectifs souvent imprévus.)
- Bien commun + (Le bien commun est une notion développée d … Le bien commun est une notion développée d'abord par la théologie et la philosophie, puis saisie par le droit, les sciences sociales et invoquée par de nombreux acteurs politiques. Elle désigne l'idée d'un bien patrimonial partagé par les membres d'une communauté, au sens spirituel et moral du mot « bien », de même qu'au sens matériel et pratique (ce dont on dispose ou ce qu'on possède). En Occident, la philosophie s'interroge au moins depuis Platon et Aristote sur ce qui nous constitue en tant que communauté. Le concept de bien commun figure dans la théologie chrétienne à partir de Thomas d'Aquin, au XIIIe siècle, où il désigne l'inclination naturelle de la Création dans son ensemble (dont la communauté humaine) vers le Bien qui est Dieu. Dans une perspective chrétienne, la recherche du bien commun est alors le fondement de toute organisation sociale et politique. Cette notion est souvent utilisée pour les questions relatives à la propriété de certaines ressources et désigne la relation entre l'accès à des ressources équitablement partagées et des intérêts qui soudent les membres d'une communauté et contribuent à son existence. Pour le politologue et économiste italien Riccardo Petrella, le bien commun est ce qui fait vivre les sociétés. Selon l'économiste français Jean-Marie Harribey (2011), cette notion, qui met aussi en jeu celle de propriété, serait notamment liée à la prise de conscience progressive de l'existence d'un patrimoine commun de l'humanité. Dans le langage courant, le bien commun a souvent un sens moins spirituel, mais correspond toujours à l'idée d'un patrimoine matériel ou immatériel de la communauté humaine (parfois élargi aux autres espèces vivantes) nécessaire à la vie, au bonheur ou à un épanouissement collectif. bonheur ou à un épanouissement collectif.)
- Usage civique + (Le cantonnement forestier est un droit sei … Le cantonnement forestier est un droit seigneurial concernant les forêts de France, pendant le Moyen Âge et l'Ancien Régime. Dans une forêt sur laquelle pèsent des droits d'usage (affouage, glandée …) au profit des , le propriétaire (généralement le seigneur) peut s'en réserver une partie en toute propriété. Alors que le triage "est une opération qui consiste à distraire le tiers des biens communaux d'une paroisse au profit du seigneur, de la concession gratuite duquel ils proviennent", le cantonnement est une opération qui "consiste à réserver, à circonscrire le droit indéfini et illimité des habitants usagers sur une partie déterminée des fonds soumis à leur droit d'usage, afin de laisser le reste libre au seigneur propriétaire". Ce qui va déterminer le choix de la procédure à suivre est donc la relation entretenue par les ayant-droit sur un espace déterminé. Sont-ils propriétaires de cet espace ou simple usager, à titre gracieux, ou à cens d'un bois, d'une lande ou d'un marais. C’est surtout à partir du XVIIe siècle que les procédures se multiplient, les propriétaires forestiers voulant exclure les usagers de leurs bois afin d’être libre de la conduite forestière, voire de leur exploitation. Lorsqu’il s’agit d’alimenter un haut-fourneau, la procédure du cantonnement permet de mettre en place un taillis à rotation courte (autour de 10 ans) orienté vers la production de charbon. Dans l’est de la France, en zone de production métallurgique, les cantonnements seront à l’origine des forêts communales du XIXe siècle.gine des forêts communales du XIXe siècle.)
- Communisme + (Le communisme (du latin communis – commun, … Le communisme (du latin communis – commun, universel) est initialement un ensemble de doctrines politiques, issues du socialisme et, pour la plupart, du marxisme, s'opposant au capitalisme et visant à l'instauration d'une société sans classes sociales, sans salariat et une mise en place d'une totale socialisation économique et démocratique des moyens de production. Plus spécialement, ce terme est associé au mouvement communiste international né après la Première Guerre mondiale, fruit d'une scission de la IIe Internationale provoquée par les bolcheviks. Il renvoie également, dans le contexte de la guerre froide, à une alliance géopolitique (Bloc communiste) dominée par l'Union soviétique, ainsi qu'à une forme de régime politique, dictatorial ou totalitaire, caractérisé par la position exclusive du Parti communiste, la surveillance et la pression constante des polices politiques sur toutes les structures institutionnelles, sociales et économiques ainsi que sur les simples citoyens ainsi que par une économie planifiée instituée par la collectivisation. Dans son sens d'origine, le communisme est une forme d'organisation sociale sans classes, sans État et sans monnaie, où les biens matériels seraient partagés. Au XIXe siècle, le mot « communisme » entre dans le vocabulaire du socialisme. Il se rattache en particulier à l'œuvre de Karl Marx et Friedrich Engels — qui le reprennent à leur compte en 1848 dans le Manifeste du parti communiste — et, plus largement, à l'école de pensée marxiste, qui prône la fin du capitalisme via la collectivisation des moyens de production. En 1917, les bolcheviks, dirigés par Lénine, prennent le pouvoir en Russie lors de la révolution d'Octobre. Cet évènement change radicalement le sens du mot communisme : il désigne désormais un mouvement politique international, né d'une scission du socialisme, et qui se reconnaît dans le courant révolutionnaire incarné par les bolcheviks comme dans l'interprétation du marxisme par Lénine. Le communisme se présente désormais comme la véritable expression politique du mouvement ouvrier, au détriment de la social-démocratie dont il est issu. Selon cette acception, le communisme constitue l'un des phénomènes les plus importants du XXe siècle, qui a pu être qualifié de « siècle du communisme » tant cette idéologie y a tenu un rôle moteur. Lénine et ses partisans créent en 1919 l'Internationale communiste (dite Troisième Internationale, ou Komintern) afin de regrouper à l'échelle internationale les partisans de la Russie soviétique. L'Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), fondée en 1922 pour fédérer les territoires de l'ex-Empire russe, dirige via le Komintern les activités des partis communistes du monde entier : elle domine ainsi la mouvance communiste, malgré l'existence de courants dissidents. Après la mort de Lénine, Joseph Staline s'impose comme le maître absolu de l'URSS. En 1941, durant la Seconde Guerre mondiale, l'URSS est attaquée par l'Allemagne nazie, avec laquelle elle avait conclu un pacte deux ans plus tôt. Les troupes soviétiques jouent alors un rôle déterminant dans la défaite du nazisme. Après-guerre, l'URSS accède au rang de superpuissance : elle occupe militairement l'essentiel de l'Europe de l'Est, dont les pays deviennent des États communistes, formant le bloc de l'Est. La Chine bascule également dans le camp communiste en 1949. Le Rideau de fer qui sépare l'Europe et la progression spectaculaire du communisme amènent le monde à se diviser en « blocs » rivaux : la guerre froide oppose ainsi durant plusieurs décennies les pays communistes au « monde libre », au sein duquel les États-Unis constituent la superpuissance rivale de l'URSS. La Chine de Mao occupe quant à elle une place à part après la rupture sino-soviétique. À l'apogée de l'influence du communisme dans le monde, un quart de l'humanité vit dans des pays communistes. Dans les années 1980, l'URSS tente de remédier à ses difficultés économiques et politiques en lançant un mouvement de réformes, la perestroïka : mais ce processus aboutit à l'effondrement général des régimes communistes européens entre 1989 et 1991. Par la suite, bien qu'en net déclin, le communisme ne disparaît pas : si des partis anciennement communistes ont adopté d'autres identités, d'autres ont conservé leur nom et sont associés au pouvoir dans certains pays. À Cuba, au Viêt Nam, au Laos et en Corée du Nord, des pays communistes existent encore, sans se conformer à un mode de gouvernement unique. La république populaire de Chine, pays le plus peuplé de la planète, est toujours dirigée par un Parti communiste ; convertie à l'économie de marché, elle est aujourd'hui l'une des principales puissances mondiales. En tant que dictatures à parti unique, les régimes se réclamant du communisme se sont tous rendus coupables de violations des droits de l'homme ; certains, comme l'URSS sous Staline et la Chine sous Mao, ont commis des crimes de masse, le nombre de leurs victimes s'élevant à plusieurs millions de morts. Le bilan historique du communisme, qui englobe un ensemble de réalités très différentes les unes des autres, demeure cependant, du fait même de sa complexité, contrasté et polémique. Le communisme a fait l'objet de diverses approches historiographiques concurrentes, longtemps handicapées par la difficulté d'accès aux documents et par les contextes politiques nationaux et internationaux. La fin de la guerre froide et l'ouverture des archives du bloc de l'Est ont depuis bouleversé le champ des études sur le communisme, sans mettre fin à toutes les controverses autour du sujet.à toutes les controverses autour du sujet.)
- Féminisme + (Le féminisme est un ensemble de mouvements … Le féminisme est un ensemble de mouvements et d'idées philosophiques ayant pour vocation de définir et de promouvoir l'égalité (politique, économique, culturelle, sociale et juridique) entre les femmes et les hommes en militant pour les droits des femmes dans la société civile et dans la vie privée. Le féminisme a pour objectif d'abolir, dans ces différents domaines, les inégalités dont sont victimes les femmes. Si le terme « féminisme » ne prend son sens actuel qu'à la fin du XIXe siècle sous les plumes d'Alexandre Dumas et d'Hubertine Auclert, les idées de libération et d'émancipation des femmes prennent leurs racines dans le siècle des Lumières et se réclament de mouvements plus anciens ou de combats menés dans d'autres contextes historiques. L’objectif principal de la première vague féministe est que hommes et femmes deviennent égaux devant la loi. Le mouvement féministe a produit une grande diversité d’ et philosophiques. La deuxième vague féministe, qui intervient à la fin des années 1960 avec la naissance du Mouvement de libération des femmes (MLF) et du Women's Lib, a ainsi élaboré plusieurs concepts qui entendent rendre compte de la spécificité du rapport de domination exercé par les hommes sur les femmes. C'est à cette période qu'est reformulé le concept de patriarcat, élaboré celui de sexisme et que l'accent est mis sur la sphère privée comme lieu privilégié de la domination masculine : « le privé est politique ». Les revendications touchant au contrôle de leur corps par les femmes (avortement, contraception) sont placées au premier plan mais, plus largement, c'est à la construction de nouveaux rapports sociaux de sexe qu'appellent les féministes de cette deuxième vague. Dans cette perspective, la notion de « genre » entend « dénaturaliser » les rapports entre les sexes. Sous le nom de troisième vague féministe, on désigne à partir des années 1990, un large ensemble de revendications exprimées par des militantes féministes issues de groupes minoritaires, dans le sillage du Black feminism.taires, dans le sillage du Black feminism.)
- Accès libre + (Le libre accès (anglais : open access) est … Le libre accès (anglais : open access) est la mise à disposition en ligne de contenus numériques, qui peuvent eux-mêmes être soit libres (Creative Commons, etc.), soit sous un des régimes de propriété intellectuelle. Le libre accès est principalement utilisé pour les articles de revues de recherche universitaires sélectionnés par des pairs. On devrait, en réalité, distinguer le libre accès et l'accès ouvert (anglais : gratis open access), afin de distinguer plus nettement ce qui est, respectivement, en accès gratuit et libre, parce que soumis à une licence libre, et ce qui est « simplement » en accès gratuit pour l'internaute. Le libre accès peut, en théorie, inclure l'accès aux données afin de permettre l'exploration de données, mais ce n'est en général pas le cas. Dans Qu'est-ce que l'accès ouvert?, Peter Suber écrit: « L'idée de base de l'accès ouvert est simple: faire en sorte que la littérature scientifique soit disponible en ligne sans barrières liées au prix et sans la plupart des contraintes dues à des autorisations. » Il existe deux types de libre accès (à ne pas confondre avec l'accès libre) avec de nombreuses variations. </br>* Dans la publication en libre accès, également connue comme la voie « dorée » du libre accès (anglais : gold open access), les revues rendent leurs articles directement et immédiatement accessibles au public. Ces publications s'appellent des « revues en accès ouvert » (anglais : « open access journals »). En 2014, 17 % des articles scientifiques (y compris de sciences humaines) publiés dans le monde l'étaient selon ce modèle (la proportion n'était que de 14 % en 2012). Un exemple de publication en libre accès est la revue Public Library of Science, qui utilise le modèle de financement dit « auteur-payeur ». </br>* En ce qui concerne le libre accès par auto-archivage, aussi appelée la voie « verte » du libre accès, les auteurs déposent des copies de leurs articles sur une archive ouverte. Un des principaux partisans de la voie « verte » est Stevan Harnad, et cela depuis 1994. Le libre accès est actuellement à l'origine de beaucoup de discussions entre universitaires, bibliothécaires, administrateurs d'universités, éditeurs scientifiques et politiciens. Il existe un désaccord substantiel sur le concept de libre accès, avec un grand débat autour de sa rémunération économique.[réf. nécessaire] En 2019, selon une étude, 31 % des 71 millions d’articles publiés entre 1950 et octobre 2019 sont en libre accès. Les auteurs prédisent que 44 % de tous les articles seront en libre accès en 2025.es articles seront en libre accès en 2025.)
- Pluralisme juridique + (Le pluralisme juridique est un courant jur … Le pluralisme juridique est un courant juridique qui vise à rendre compte de la variété des modes de production des règles de droit et de la complexité du phénomène juridique. Le pluralisme juridique peut désigner ainsi soit l'existence de plusieurs systèmes juridiques pour un même territoire, soit une approche du droit international public qui insiste sur la pluralité des ordres juridiques (nationaux, régionaux et international). Le pluralisme juridique provient du mot latin pluralis : système reconnaissant l'existence de plusieurs modes de pensée, de comportement, d'opinions politiques et religieuses, de plusieurs partis politiques. le terme juridique est un adjectif provenant du latin juridicus et dérivé de jus et juris, révélant que l'expression qu'elle qualifie est relative au droit dans son sens le plus large. Expliquer ces termes paraît indispensable pour définir la notion de pluralisme juridique.définir la notion de pluralisme juridique.)
- Capitaux propres + (Les capitaux propres, très proches des fon … Les capitaux propres, très proches des fonds propres, sont, en comptabilité, les ressources (passif) d'une société qui appartiennent à ses actionnaires, par opposition aux dettes vis-à-vis des fournisseurs ou des banques par exemple. Ils se composent du capital social, des réserves et du report à nouveau (correspondant aux bénéfices qui n'ont pas été redistribués en dividende), et du résultat net de l'exercice fiscal. Les fonds propres sont un peu plus larges que les capitaux propres puisque : fonds propres = capitaux propres + émissions de titres participatifs + avances conditionnées + droits du concédant. Il est vrai toutefois que pour la plupart des entreprises, les capitaux propres ont une valeur très proche des fonds propres. Cette notion est parfois étendue aux « quasi-fonds propres », qui regroupent des ressources stables n'ayant pas le caractère de capitaux propres, telles que les comptes courants d'associés, les emprunts participatifs ou les obligations convertibles.icipatifs ou les obligations convertibles.)
- Charte + (Les chartes sont des actes juridiques sign … Les chartes sont des actes juridiques signés par plusieurs acteurs pour définir un objectif et parfois des moyens communs. Les chartes sont de natures variées : </br>* les chartes royales, par exemple la Grande Charte de Jean sans Terre en 1215, ou la Charte constitutionnelle de 1814 ; </br>* les chartes de franchise ; </br>* les chartes de commune. Il existe des chartes : </br>* de qualité de produit ou de service, de respect des délais </br>* des chartes concernant les pratiques professionnelles des personnels soignant ou accompagnant des personnes vulnérables (enfants, handicapés, personnes âgées, malades hospitalisés) Les chartes de fondation précisent les conditions de création d'un bâtiment civil (palais par exemple), militaire ou religieux (abbaye par exemple), d'une ville (bastide par exemple), d'une société ou d'une association.mple), d'une société ou d'une association.)
- Peuple autochtone + (Les peuples autochtones, ou peuples indigè … Les peuples autochtones, ou peuples indigènes, sont « les descendants de ceux qui habitaient dans un pays ou une région géographique à l'époque où des groupes de population de cultures ou d'origines ethniques différentes y sont arrivés et sont devenus par la suite prédominants, par la conquête, l'occupation, la colonisation ou d'autres moyens ». Les peuples autochtones représentent environ 370 millions de personnes dans le monde, vivant dans plus de 70 pays. D'autres termes ont parfois été utilisés pour les désigner, comme aborigène, « peuple premier », « peuple racine », « première nation » ou « peuple natif », succédant à l'appellation péjorative de « peuple primitif », mais tous officiellement délaissés au profit de peuple autochtone. délaissés au profit de peuple autochtone.)