Rechercher par propriété

De Remix Biens Communs
Aller à :navigation, rechercher

Cette page fournit une simple interface de navigation pour trouver des entités décrites par une propriété et une valeur nommée. D’autres interfaces de recherche disponibles comprennent la page recherche de propriété, et le constructeur de requêtes « ask ».

Rechercher par propriété

Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Text« Text » est une propriété prédéfinie fournie par <a rel="nofollow" class="external text" href="https://www.semantic-mediawiki.org/wiki/Help:Special_properties">MediaWiki Sémantique</a> et qui représente un texte de longueur quelconque. » avec la valeur « L'usus (du latin signifiant « usage ») est le droit d'user d'une chose, sans que l'on en perçoive les fruits. Il se distingue : * du fructus qui est le droit de disposer des fruits d'une chose, * de l'abusus qui est le droit de disposer d'une chose, et notamment de l'aliéner. Ces trois droits sont les membres du droit de propriété. L'association de l'usus et du fructus compose le droit d'utiliser une chose et de jouir de ses fruits (« usufruit »). L'usus est un droit réel en ce sens qu'il s'exerce sur une chose, par opposition aux droits personnels qui s'exercent à l'encontre d'une personne (créance). ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 26 résultats à partir du nº 1.

Voir (50 précédentes | 50 suivantes) (20 | 50 | 100 | 250 | 500)


    

Liste de résultats

  • Anti-capitalisme  + (L'anticapitalisme regroupe un ensemble de L'anticapitalisme regroupe un ensemble de mouvements qui s'opposent au capitalisme. Les aspects visés diffèrent selon les conceptions et peuvent notamment concerner, sans y être limités, le profit et l'importance de l'argent, la spéculation, le salariat, la concurrence économique, les effets considérés comme des effets néfastes du capitalisme sur la société telles les inégalités économiques et sociales qu'il entraîne et la considération de son « immoralité » consécutive, la course d'accumulation induite et ses conséquences pour l'environnement, ou les formes sociales de base du capitalisme. Un spectre politique large et très divers s'est réclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.éclamé ou se réclame de l'anticapitalisme.)
  • Logiciel open source  + (La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, La désignation open source /ˈoʊpən sɔɹs/, ou code source ouvert, s'applique aux logiciels (et s'étend maintenant aux œuvres de l'esprit) dont la licence respecte des critères précisément établis par l'Open Source Initiative, c'est-à-dire les possibilités de libre redistribution, d'accès au code source et de création de travaux dérivés. Mis à la disposition du grand public, ce code source est généralement le résultat d'une collaboration entre programmeurs. Le mouvement open source s'est développé en parallèle du mouvement du logiciel libre qui prône des valeurs philosophiques et politiques de justice, l'open source se focalisant sur des considérations techniques de développement logiciel et ne s'opposant pas à l'utilisation de systèmes intégrés combinant logiciels propriétaires et logiciels open source. Dans la pratique toutefois, la très grande majorité des logiciels open source sont également libres, l'exception la plus notable étant les logiciels pratiquant la tivoïsation. L’open source a déjà investi tous les grands domaines du système d’information des administrations françaises : environnements serveurs, domaines applicatifs, outils d’ingénierie, solutions de réseaux et sécurité. Les solutions open source sont désormais au même rang que les solutions propriétaires dans le paysage des logiciels du secteur public. Les décideurs effectuent d’ailleurs de plus en plus leur choix à partir d’un jugement éclairé, en comparant systématiquement solutions propriétaires et solutions libres.lutions propriétaires et solutions libres.)
  • Gestion de l'eau  + (La gestion de l'eau est l'activité qui conLa gestion de l'eau est l'activité qui consiste à protéger, planifier, développer, distribuer et gérer l'utilisation optimale des ressources en eau et des milieux aquatiques, des points de vue qualitatif et quantitatif. Ceci inclut la gestion des risques « quantitatifs » et évènements extrêmes de sécheresse et pénurie, d'inondations et de crues, érosion des sols et du trait de côte, d', notamment liés au changement climatique, à la déforestation et à la destruction des zones humides. S'y ajoute les questions de pollutions telluriques des zones côtières et des mers et océans, par les activités humaines, essentiellement charriées par les fleuves. Axée sur le développement des ressources en eau depuis les années 1970, cette activité se tourne sur leur gestion dans les années 1980 et sur la gestion intégrée des ressources en eau dans les années 1990, cette évolution traduisant la mobilisation du secteur public et privé en faveur du développement durable. En 2017, au moins 196 villes mondiales, soit 1,2 milliard de personnes (20 % de la population) sont considérées comme confrontées à des problèmes de gestion de l’eau selon le CDP (ex. : Miami, Pittsburgh (États-Unis) et Johannesburg (Afrique du Sud), qui dont confrontées à un risque « extrême » d’inondations. Les actions de gestion sont de court, moyen et long termes et pour certaines doivent concerner tout un bassin versant. Elles concernent donc de nombreux acteurs (dont collectivités publiques, entreprises agriculteurs et habitants), entités décisionnelles réunies sous le nom de gouvernance de l'eau. Dans un contexte de marchandisation l'eau est de plus en plus perçue comme une ressource naturelle précieuse et un bien commun à partager avec les autres êtres vivants de la planète ; une ressource limitée et inégalement répartie, à utiliser de manière économe et à dépolluer avant de la rendre au milieu naturel.luer avant de la rendre au milieu naturel.)
  • Justice sociale  + (La justice sociale est une construction moLa justice sociale est une construction morale et politique qui vise à l'égalité des droits et conçoit la nécessité d'une solidarité collective entre les personnes d'une société donnée. L'entrée correspondant à ce terme dans le Dictionnaire des sciences économiques et sociales le fait reposer théoriquement sur deux principes. Soit, un premier principe d'équité, avec lequel il ne faut pas confondre celui de justice, et qui s'entend plutôt comme le principe du « à chacun son dû ». Dans ce cas, la part individuelle revenant à celui qui bénéficie du traitement équitable doit être conforme aux attentes les plus généralement exprimées dans une société à l'égard des autres parts individuelles. Soit, un second principe, dit moral, d'une prémisse d'égalité entre tous les membres composants la société. Dans ce cas, la notion de justice sociale est essentiellement une projection vers une société plus juste, en admettant qu'il y ait toujours des injustices. On peut le voir soit comme une utopie, soit comme une démarche allant vers plus de progressisme. Ce premier partage définitoire permet de tracer plusieurs règles générales d'application de la justice sociale. La justice sociale est dite commutative quand elle est fondée sur l'idée que la pure réciprocité doit exister entre les membres et la société (chacun reçoit en contrepartie mesurée d'un effort fourni). Elle sera, en revanche, qualifiée de distributive, si elle vise à donner à chacun la part qui lui revient pour vivre décemment, en se réservant de préciser quels critères ou catégories seront utilisés pour élaborer cette distribution (économique, sociale, culturelle). Les actions ayant pour objectif de rétablir une justice sociale visent à élaborer un meilleur système de répartitions, où chaque individu a et conserve les mêmes chances de réussite tout au long des situations de sa vie d'individu. Ainsi, on parle parfois d'« égalité des chances ». Les corrections nécessaires peuvent être sociales, financières ou culturelles. La justice sociale peut aussi se définir de manière négative : est injuste ce qui n'est pas acceptable socialement. Par exemple, les inégalités de salaires entre métiers de qualifications différentes sont le plus souvent considérées comme justes, parce qu'elles sont socialement acceptées par la majorité. Il existe une distinction entre justice sociale (ou équité) et égalité. La justice sociale est aussi une notion qui évolue dans le temps, ce qui est juste socialement peut devenir injuste si le contexte change (voir sociologie de la justice sociale). Dans son ouvrage majeur Théorie de la justice de 1971, le libéral John Rawls écrit qu'une société est juste si elle respecte trois principes, dans l'ordre : 1. </br>* garantie des libertés de base égales pour tous ; 2. </br>* égalité des chances ; 3. </br>* maintien des seules inégalités qui profitent aux plus défavorisés.alités qui profitent aux plus défavorisés.)
  • Propriété intellectuelle  + (La propriété intellectuelle est le domaineLa propriété intellectuelle est le domaine comportant l'ensemble des droits exclusifs accordés sur des créations intellectuelles.Elle comporte deux branches : </br>* la propriété littéraire et artistique, qui s'applique aux œuvres de l'esprit, est composée du droit d'auteur et des droits voisins ; </br>* la propriété industrielle, qui regroupe elle-même, d'une part, les créations utilitaires, comme le brevet d'invention et le certificat d'obtention végétale ou au contraire un droit de protection sui generis des obtentions végétales, et, d'autre part, les signes distinctifs, notamment la marque commerciale, le nom de domaine et l'appellation d'origine. Elle comprend un droit moral (extra-patrimonial) qui est le seul droit attaché à la personne de l'auteur de l’œuvre qui soit perpétuel, inaliénable et imprescriptible, et qui s'applique donc post mortem, même après que l'œuvre est placée dans le domaine public (soit 70 ans à compter du 1er janvier de l'année suivant la mort de l’auteur). C'est l'œuvre résultante, et sa forme, qui sont protégées, non les idées et les informations qui en sont à l'origine, et qui, elles, restent libres de droit. Ainsi, le « résumé » d'une œuvre écrite, ou la citation d'un titre dans une bibliographie ne sont pas considérés comme un emprunt à ce qui est protégé par le droit d'auteur dans l'œuvre. Certaines personnalités du mouvement du logiciel libre dénoncent l'escroquerie sémantique du concept de « propriété intellectuelle », de même le récent brevetage du vivant a suscité de vives controverses éthiques et juridiques.vives controverses éthiques et juridiques.)
  • Souveraineté alimentaire  + (La souveraineté alimentaire est un conceptLa souveraineté alimentaire est un concept développé et présenté pour la première fois par Via Campesina lors du Sommet de l'alimentation organisé par la FAO à Rome en 1996. Il a depuis été repris et précisé par divers courants altermondialistes lors de différents Forums Sociaux Mondiaux. La souveraineté alimentaire est présentée comme un droit international qui laisse la possibilité aux populations, aux États ou aux groupes d'États de mettre en place les politiques agricoles les mieux adaptées à leurs populations sans qu'elles puissent avoir un effet négatif sur les populations d'autres pays. Elle se construit à l'origine dans l'objectif de permettre le respect des droits des paysans. La souveraineté alimentaire est donc une rupture par rapport à l'organisation actuelle des marchés agricoles mise en œuvre par l'OMC. Complémentaire du concept de sécurité alimentaire qui concerne la quantité d'aliments disponibles, l'accès des populations à ceux-ci, l'utilisation biologique des aliments et le problème de la prévention et gestion des crises, la souveraineté alimentaire accorde en plus une importance aux conditions sociales et environnementales de production des aliments. Elle prône un accès plus équitable à la terre pour les paysans pauvres, au moyen si nécessaire d'une réforme agraire et de mécanismes de sécurisation des droits d'usage du foncier. Au niveau local, les défenseurs de la souveraineté alimentaire favorisent le maintien d'une agriculture de proximité destinée en priorité à alimenter les marchés régionaux et nationaux. Les cultures vivrières et l'agriculture familiale de petite échelle sont présentées par les défenseurs de la souveraineté alimentaire comme étant d'une grande efficacité économique[réf. nécessaire], sociale[réf. nécessaire] et environnementale[réf. nécessaire], comparée à l'agriculture industrielle et les plantations de grande échelle où travaillent de nombreux salariés. La place et le rôle des femmes sont privilégiés. La souveraineté alimentaire privilégie des techniques agricoles qui favorisent l'autonomie des paysans. Elle est donc favorable à l'agriculture biologique et à l'agriculture paysanne. Elle refuse l'utilisation des plantes transgéniques en agriculture. des plantes transgéniques en agriculture.)
  • Sécheresse  + (La sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ défiLa sécheresse ou sècheresse \sɛʃ.ʁɛs\ définit l'état d'un environnement confronté à un manque d'eau significativement long et important pour qu'il ait des impacts sur la flore (naturelle ou cultivée), la faune (sauvage ou d'élevage) et les sociétés. Sécheresse ne doit pas être confondu avec aridité. Une région aride peut connaître des épisodes de sécheresse. Le déficit hydrique est une situation naturelle du point de vue de la variabilité climatique (par exemple, les périodes glaciaires/interglaciaires du Quaternaire, les cycles El Niño / La Niña, etc.) mais, selon certains climatologues certaines situations de déficit hydrique sont amplifiées (durée, extension spatiale, intensité) par l'émission humaine de gaz à effet de serre. Il fait suite à un déficit pluviométrique, sur de longues périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. Il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols (l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause une désertification accélérée d'origine anthropique), une augmentation de l'évapotranspiration induite par des plantations consommatrices d'eau (peupliers, maïs). La sécheresse peut détruire les récoltes (partiellement ou totalement) et tuer les animaux d'élevage, et parfois sauvages. Elle devient alors un facteur de famine régionale et d'exode, souvent accompagnée de troubles sociaux voire de conflits armés en particulier dans les régions de peu de ressources économiques. La sécheresse n'est donc pas qu'un phénomène physique ou climatique objectif. C'est aussi une notion relative qui reflète l'écart entre la disponibilité de l'eau et la demande en eau de l'homme (savoir les applications agricoles – agriculture, du bétail – industrielles, domestiques de l'eau – hygiène, alimentation, lavage – dont certains usages d'une nécessité secondaire – piscine, arrosage des gazons, lavage de voiture – , etc.). Ceci rend toute définition de la sécheresse relative au contexte géopolitique et sociologique ; l'état « normal » de disponibilité de l'eau change selon les zones biogéographiques et les besoins réels ou ressentis des individus et des sociétés. La sécheresse s'initie par une sécheresse météorologique se produisent généralement lorsqu'un anticyclone s'installe durablement au-dessus d'une région à cause d'une situation de blocage. Les hautes pressions persistantes empêchent donc toute intrusion d'une perturbation atmosphérique et peuvent alors mener la région surplombée par celles-ci à une longue période de beau temps et donc avec un peu voire sans précipitations.onc avec un peu voire sans précipitations.)
  • Justice environnementale  + (Le concept de justice environnementale appLe concept de justice environnementale applique les théories de la justice au champ de l'environnement et de l'écologie. Il découle de la prise en compte de l'environnement et des services écosystémiques qu'il permet comme du « bien commun. » La justice environnementale peut aussi concerner les effets du dérèglement climatique ; dans ce contexte on parle parfois d'injustice et/ou de « justice climatique ». Ce concept sous-tend qu'il existe des droits sur la nature pour tous et chacun ; individus, familles, collectivités, entreprises et autres groupes humains vis-à-vis de l'environnement considéré comme bien commun, mais en échange de devoirs et d'obligations légales, et selon le PNUD repris par Fabrice Flipo (2002), « en l’absence de tierce-parties capables d’administrer une justice : les plus forts outrepassent leurs droits et échappent à leurs devoirs, constituant peu à peu de petits potentats privés. Les règles actuelles conduisent donc sans surprise à une augmentation mondiale des inégalités ».Ce concept invite donc aussi à penser et mettre en œuvre des mesures de réduction, de réparation et de compensation quand le préjudice écologique n'a pu être évité, ce qui peut parfois nécessiter ou justifier une certaine « ingérence écologique ». Ces devoirs ou obligations sont souvent regroupés dans la notion de « responsabilité sociale et environnementale », la liberté d'exploiter l'environnement s'arrêtant là où elle menace celle des autres (il y a alors obligation à ne pas surexploiter une ressource), et là où l'environnement (biodiversité, habitats naturels, diversité génétique) serait lui-même menacé par les activités humaines. La justice environnementale s’apparente in fine à une réflexion éthique sur la responsabilité et la liberté. Le cœur de l’argumentaire consiste à exposer que la souffrance est prioritaire au bien-être et que la responsabilité prime sur la liberté. La justice environnementale mérite d'être saisie via le développement socialement durable (DSD) où l’on donne une priorité aux capacités personnelles, en particulier à la capacité d’auto-contrainte de la personne sinon à sa capacité de résilience. Il en résulte une structure de capacités qui imprègne la personne, pouvant la renforcer mais aussi la fragiliser.ant la renforcer mais aussi la fragiliser.)
  • Développement durable  + (Le développement durable (en anglais : susLe développement durable (en anglais : sustainable development, parfois traduit par développement soutenable) est une conception du développement qui s'inscrit dans une perspective de long terme et en intégrant les contraintes écologiques et sociales à l'économie. Selon la définition donnée dans le rapport de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement de l'Organisation des Nations unies, dit rapport Brundtland, où cette expression est apparue pour la première fois en 1987, « le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Cette notion s'est imposée à la suite de la prise de conscience progressive, depuis les années 1970, de la finitude écologique de la Terre, liée aux limites planétaires sur le long terme. La notion fait toutefois l'objet de , notamment de la part des tenants de la décroissance, pour lesquels cette notion reste trop liée à celle de la croissance économique, mais aussi de la part de ceux qui y voient un frein au développement.ux qui y voient un frein au développement.)
  • Militance  + (Le militantisme est une forme d'engagementLe militantisme est une forme d'engagement collectif à une cause de nature morale, religieuse, sociale, politique, associative ou syndicale souvent en vue de protester contre ce qui est perçu comme une injustice. Historiquement ce terme militaire issu du latin fait référence aux membres de la milice du Christ, mais son usage au vingtième siècle dérive pour décrire l'expression organisée d'une protestation d'un groupe social.sée d'une protestation d'un groupe social.)
  • Technosolutionnisme  + (Le technosolutionnisme fait référence à laLe technosolutionnisme fait référence à la tentative d'utiliser l'ingénierie ou la technologie pour résoudre un problème souvent créé par des technologies antérieures. Certains le définissent comme une « tentative de réparer les dommages causés à une technologie par une modification du système », qui peut impliquer une modification de technologies existantes et/ou une modification de ses procédures d'exploitation ou de maintenance. Les correctifs technologiques sont inévitables dans la technologie moderne. Il a été observé que de nombreuses technologies, bien qu'inventées et développées pour résoudre certains problèmes perçus, créent souvent d'autres problèmes dans le processus, appelés externalités . Le technosolutionnisme est l'idée que tous les problèmes peuvent trouver des solutions dans des technologies meilleures et nouvelles. Le terme est maintenant utilisé comme une expression condescendante pour décrire des solutions bon marché et rapides en utilisant des technologies inappropriées ; ces correctifs créent souvent plus de problèmes qu'ils n'en résolvent, ou donnent le sentiment qu'ils ont résolu le problème.e sentiment qu'ils ont résolu le problème.)
  • Eaux souterraines  + (Les eaux souterraines sont toutes les eauxLes eaux souterraines sont toutes les eaux se trouvant sous la surface du sol, dans la zone de saturation et en contact direct avec le sol ou le sous-sol. En tant que ressource naturelle vitale et plus ou moins renouvelable et parfois transfrontalières, ces eaux posent des questions juridiques particulières. C'est parfois une source de conflit inter ethnique ou entre pays. Les aquifères souterrains sont la réserve majeure (98 à 99 %)de l'eau douce exploitable sur les terres émergées. L’utilisation de l’eau souterraine se répartit de façon variable d’un pays à l’autre. Les pourcentages d’utilisation, selon les trois catégories, sont les suivants : </br>* 65 % (0 à 97 %) pour l’irrigation; </br>* 25 % (0 à 93 %) pour l'eau potable; </br>* 10 % (0 à 64 %) pour l'industrie. La carte des réserves aquifères connues en 2008 (publiée par l'UNESCO) montre 273 aquifères transfrontaliers (68 en Amérique, 38 en Afrique, 65 en Europe de l'Est, 90 en Europe occidentale et 12 en Asie où le recensement n'était pas terminé). Les aquifères majeurs connus en 2008 étaient en Amérique du Sud et Afrique du Nord. Les grands aquifères d'Afrique centrale sont encore mal explorés et rarement exploitées. La multiplication des pompes électriques et petits systèmes de pompage et forage a fortement augmenté la pression sur les nappes, souvent surexploitées dans les zones habitées et de grandes cultures et parfois déjà pollués. Leur exploitation pose aussi des questions sur nos responsabilités à l'égard des générations futures ou de l'amont vers l'aval (du point de vue du sens de circulation des masses d'eau souterraines, ou de leur alimentation via les bassins versants en surface le cas échéant). Il existe des eaux fossiles non renouvelables aux échelles humaines de temps et des aquifères profonds qui ne sont que très lentement réalimentés.ui ne sont que très lentement réalimentés.)
  • Machisme  + (Machismo (/məˈtʃiːzmoʊ, mɑː-, -ˈtʃɪz-/; SpMachismo (/məˈtʃiːzmoʊ, mɑː-, -ˈtʃɪz-/; Spanish: [maˈtʃismo]; Portuguese: [maˈʃiʒmu]; from Spanish macho 'male', and -ismo) is the sense of being "manly" and self-reliant, a concept associated with "a strong sense of masculine pride: an exaggerated masculinity". Machismo is a term originating in the early 1930s and 40s best defined as having pride in one’s masculinity. It is associated with "a man's responsibility to provide for, protect, and defend his family". Machismo is strongly and consistently associated with dominance, aggression, exhibition, and nurturance. The correlation to machismo is found to be deeply rooted in family dynamics and culture. The word macho has a long history both in Spain and Portugal, including the Spanish and Portuguese languages. Macho in Portuguese and Spanish is a strictly masculine term, derived from from the Latin mascŭlus, which means "male". It was originally associated with the ideal societal role men were expected to play in their communities, most particularly Iberian language-speaking societies and countries. In addition, due to Mexico's history of conquest, battles and constant bureaucratic struggles, it was expected of men to possess and display bravery, courage, strength, wisdom and leadership. To ser macho (literally, "to be a macho") was an aspiration for all boys. As history shows, men were often in powerful and dominating roles thus portrayed the stereotype of a violent macho man. Thus the origin of machismo serves as an illustration of past history, the struggles that colonial Mexico faced and the evolution of gender stereotypes with time. Machismo is a factor challenged among different groups due to how an ideal man is expected to be portrayed, which builds pressure. Mentally, men may feel the need to take up more opportunities to meet expectations, such as supporting the home, or maintaining employment, leading to increased stress. This may also take a toll as physically well straining to be strong and overexerting the body, or the opposite of putting on weight by not having the desired physique and feeling inferior. Furthermore, researchers suggest that machismo can potray the supremacy or dominance that a man feels he has over a woman due to cultural and societal factors.oman due to cultural and societal factors.)
  • Magna carta  + (Magna Carta Libertatum (Medieval Latin forMagna Carta Libertatum (Medieval Latin for "Great Charter of Freedoms"), commonly called Magna Carta (also Magna Charta; "Great Charter"), is a royal charter of rights agreed to by King John of England at Runnymede, near Windsor, on 15 June 1215. First drafted by the Archbishop of Canterbury, Cardinal Stephen Langton, to make peace between the unpopular king and a group of rebel barons, it promised the protection of church rights, protection for the barons from illegal imprisonment, access to swift justice, and limitations on feudal payments to the Crown, to be implemented through a council of 25 barons. Neither side stood behind their commitments, and the charter was annulled by Pope Innocent III, leading to the First Barons' War. After John's death, the regency government of his young son, Henry III, reissued the document in 1216, stripped of some of its more radical content, in an unsuccessful bid to build political support for their cause. At the end of the war in 1217, it formed part of the peace treaty agreed at Lambeth, where the document acquired the name "Magna Carta", to distinguish it from the smaller Charter of the Forest which was issued at the same time. Short of funds, Henry reissued the charter again in 1225 in exchange for a grant of new taxes. His son, Edward I, repeated the exercise in 1297, this time confirming it as part of England's statute law. The charter became part of English political life and was typically renewed by each monarch in turn, although as time went by and the fledgling Parliament of England passed new laws, it lost some of its practical significance. At the end of the 16th century, there was an upsurge in interest in Magna Carta. Lawyers and historians at the time believed that there was an ancient English constitution, going back to the days of the Anglo-Saxons, that protected individual English freedoms. They argued that the Norman invasion of 1066 had overthrown these rights, and that Magna Carta had been a popular attempt to restore them, making the charter an essential foundation for the contemporary powers of Parliament and legal principles such as habeas corpus. Although this historical account was badly flawed, jurists such as Sir Edward Coke used Magna Carta extensively in the early 17th century, arguing against the divine right of kings. Both James I and his son Charles I attempted to suppress the discussion of Magna Carta. The political myth of Magna Carta and its protection of ancient personal liberties persisted after the Glorious Revolution of 1688 until well into the 19th century. It influenced the early American colonists in the Thirteen Colonies and the formation of the United States Constitution, which became the supreme law of the land in the new republic of the United States. Research by Victorian historians showed that the original 1215 charter had concerned the medieval relationship between the monarch and the barons, rather than the rights of ordinary people, but the charter remained a powerful, iconic document, even after almost all of its content was repealed from the statute books in the 19th and 20th centuries. Four clauses of the original 1215 charter (1 (part), 13, 39 and 40) remain in force in England and Wales (as clauses 1, 9 and 29 of the 1297 statute). Magna Carta still forms an important symbol of liberty today, often cited by politicians and campaigners, and is held in great respect by the British and American legal communities, Lord Denning describing it as "the greatest constitutional document of all times—the foundation of the freedom of the individual against the arbitrary authority of the despot". In the 21st century, four exemplifications of the original 1215 charter remain in existence, two at the British Library, one at Lincoln Castle and one at Salisbury Cathedral. There are also a handful of the subsequent charters in public and private ownership, including copies of the 1297 charter in both the United States and Australia. Although scholars refer to the 63 numbered "clauses" of Magna Carta, this is a modern system of numbering, introduced by Sir William Blackstone in 1759; the original charter formed a single, long unbroken text. The four original 1215 charters were displayed together at the British Library for one day, 3 February 2015, to mark the 800th anniversary of Magna Carta.mark the 800th anniversary of Magna Carta.)
  • Science ouverte  + (Open science is the movement to make scienOpen science is the movement to make scientific research (including publications, data, physical samples, and software) and its dissemination accessible to all levels of society, amateur or professional. Open science is transparent and accessible knowledge that is shared and developed through collaborative networks. It encompasses practices such as publishing open research, campaigning for open access, encouraging scientists to practice open-notebook science (such as openly sharing data and code), broader dissemination and engagement in science and generally making it easier to publish, access and communicate scientific knowledge. Usage of the term varies substantially across disciplines, with a notable prevalence in the STEM disciplines. Open research is often used quasi-synonymously to address the gap that the denotion of "science" might have regarding an inclusion of the Arts, Humanities and Social Sciences. The primary focus connecting all disciplines is the widespread uptake of new technologies and tools, and the underlying ecology of the production, dissemination and reception of knowledge from a research-based point-of-view. As Tennant et al. (2020) note, the term open science "implicitly seems only to regard ‘scientific’ disciplines, whereas open scholarship can be considered to include research from the Arts and Humanities, as well as the different roles and practices that researchers perform as educators and communicators, and an underlying open philosophy of sharing knowledge beyond research communities." Open science can be seen as a continuation of, rather than a revolution in, practices begun in the 17th century with the advent of the academic journal, when the societal demand for access to scientific knowledge reached a point at which it became necessary for groups of scientists to share resources with each other. In modern times there is debate about the extent to which scientific information should be shared. The conflict that led to the Open Science movement is between the desire of scientists to have access to shared resources versus the desire of individual entities to profit when other entities partake of their resources. Additionally, the status of open access and resources that are available for its promotion are likely to differ from one field of academic inquiry to another. one field of academic inquiry to another.)
  • Logiciel open source  + (Open-source software (OSS) is computer sofOpen-source software (OSS) is computer software that is released under a license in which the copyright holder grants users the rights to use, study, change, and distribute the software and its source code to anyone and for any purpose. Open-source software may be developed in a collaborative public manner. Open-source software is a prominent example of open collaboration, meaning any capable user is able to participate online in development, making the number of possible contributors indefinite. The ability to examine the code facilitates public trust in the software. Open-source software development can bring in diverse perspectives beyond those of a single company. A 2008 report by the Standish Group stated that adoption of open-source software models has resulted in savings of about $60 billion per year for consumers. Open source code can be used for studying and allows capable end users to adapt software to their personal needs in a similar way user scripts and custom style sheets allow for web sites, and eventually publish the modification as a fork for users with similar preferences, and directly submit possible improvements as pull requests.it possible improvements as pull requests.)
  • Permaculture  + (Permaculture is an approach to land managePermaculture is an approach to land management and settlement design that adopts arrangements observed in flourishing natural ecosystems. It includes a set of design principles derived using whole-systems thinking. It applies these principles in fields such as regenerative agriculture, town planning, rewilding, and community resilience. Permaculture originally came from "permanent agriculture", but was later adjusted to mean "permanent culture", incorporating social aspects. The term was coined in 1978 by Bill Mollison and David Holmgren, who formulated the concept in opposition to modern industrialized methods instead adopting a more traditional or "natural" approach to agriculture. Permaculture has many branches including ecological design, ecological engineering, regenerative design, environmental design, and construction. It also includes integrated water resources management, sustainable architecture, and regenerative and self-maintained habitat and agricultural systems modeled from natural ecosystems. Permaculture uses creative design processes based on whole-systems thinking, considering all materials and energies in flow that affect or are affected by proposed changes. In practical terms it means that before, for example, modifying overland water flow, one fully considers both upstream and downstream effects in the short and long terms. Or, when looking at a "problem", such as brushy vegetation, one considers how removing or altering it will affect soil and wildlife, and how these interacting forces would evolve over time and space. Permaculture has been criticised as being poorly defined and unscientific. Critics have pushed for less reliance on anecdote and extrapolation from ecological first principles, in favor of peer-reviewed research to substantiate productivity claims and to clarify methodology. Peter Harper from the Centre for Alternative Technology suggests that most of what passes for permaculture has no relevance to real problems.culture has no relevance to real problems.)
  • Sports  + (Sport pertains to any form of competitive Sport pertains to any form of competitive physical activity or game that aims to use, maintain, or improve physical ability and skills while providing enjoyment to participants and, in some cases, entertainment to spectators. Sports can, through casual or organized participation, improve participants' physical health. Hundreds of sports exist, from those between single contestants, through to those with hundreds of simultaneous participants, either in teams or competing as individuals. In certain sports such as racing, many contestants may compete, simultaneously or consecutively, with one winner; in others, the contest (a match) is between two sides, each attempting to exceed the other. Some sports allow a "tie" or "draw", in which there is no single winner; others provide tie-breaking methods to ensure one winner and one loser. A number of contests may be arranged in a tournament producing a champion. Many sports leagues make an annual champion by arranging games in a regular sports season, followed in some cases by playoffs. Sport is generally recognised as system of activities based in physical athleticism or physical dexterity, with major competitions such as the Olympic Games admitting only sports meeting this definition. Other organisations, such as the Council of Europe, preclude activities without a physical element from classification as sports. However, a number of competitive, but non-physical, activities claim recognition as mind sports. The International Olympic Committee (through ARISF) recognises both chess and bridge as bona fide sports, and SportAccord, the international sports federation association, recognises five non-physical sports: bridge, chess, draughts (checkers), Go and xiangqi, and limits the number of mind games which can be admitted as sports. Sport is usually governed by a set of rules or customs, which serve to ensure fair competition, and allow consistent adjudication of the winner. Winning can be determined by physical events such as scoring goals or crossing a line first. It can also be determined by judges who are scoring elements of the sporting performance, including objective or subjective measures such as technical performance or artistic impression. Records of performance are often kept, and for popular sports, this information may be widely announced or reported in sport news. Sport is also a major source of entertainment for non-participants, with spectator sport drawing large crowds to sport venues, and reaching wider audiences through broadcasting. Sport betting is in some cases severely regulated, and in some cases is central to the sport. According to A.T. Kearney, a consultancy, the global sporting industry is worth up to $620 billion as of 2013. The world's most accessible and practised sport is running, while association football is the most popular spectator sport.tball is the most popular spectator sport.)
  • Principe de subsidiarité  + (Subsidiarity is a principle of social orgaSubsidiarity is a principle of social organization that holds that social and political issues should be dealt with at the most immediate or local level that is consistent with their resolution. The Oxford English Dictionary defines subsidiarity as "the principle that a central authority should have a subsidiary function, performing only those tasks which cannot be performed at a more local level". The concept is applicable in the fields of government, political science, neuropsychology, cybernetics, management and in military command (mission command). The OED adds that the term "subsidiarity" in English follows the early German usage of "Subsidiarität". More distantly, it is derived from the Latin verb subsidio (to aid or help), and the related noun subsidium (aid or assistance). The development of the concept of subsidiarity has roots in the natural law philosophy of Thomas Aquinas and was mediated by the social scientific theories of Luigi Taparelli, SJ, in his 1840–43 natural law treatise on the human person in society. In that work, Taparelli established the criteria of just social order, which he referred to as "hypotactical right" and which came to be termed subsidiarity following German influences. Another origin of the concept is in the writings of Calvinist law-philosopher Johannes Althaus who used the word "subsidia" in 1603. As a principle of just social order, it became one of the pillars of modern Catholic social teaching. Subsidiarity is a general principle of European Union law. In the United States of America, Article VI, Paragraph 2 of the constitution of the United States is known as the Supremacy Clause. This establishes that the federal constitution, and federal law generally, take precedence over state laws, and even state constitutions. The principle of States' Rights is sometimes interpreted as being established by the Tenth Amendment, which says that "The powers not delegated to the United States by the Constitution, nor prohibited by it to the States, are reserved to the States respectively, or to the people."he States respectively, or to the people.")
  • Fiducie foncière communautaire  + (Un Community Land Trust, appelé en droit fUn Community Land Trust, appelé en droit français organisme foncier solidaire, est une personne morale à but non lucratif ayant pour objet de détenir la propriété de terrains sur lesquels des logements sont bâtis, et ce afin que ces derniers restent perpétuellement à coût abordable, et nettement inférieurs au prix du marché.et nettement inférieurs au prix du marché.)
  • Logiciel libre  + (Un logiciel libre est un logiciel dont l'uUn logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus. Ces droits peuvent être simplement disponibles — cas du domaine public — ou bien établis par une licence, dite « libre », basée sur le droit d'auteur. Les « licences copyleft » garantissent le maintien de ces droits aux utilisateurs même pour les travaux dérivés. Les logiciels libres constituent une alternative à ceux qui ne le sont pas, qualifiés de « propriétaires » ou de « privateurs ». Ces derniers sont alors considérés par une partie de la communauté du logiciel libre comme étant l'instrument d'un pouvoir injuste, en permettant au développeur de contrôler l'utilisateur. Le logiciel libre est souvent confondu à tort avec : </br>* les gratuiciels (freewares) : un gratuiciel est un logiciel gratuit propriétaire, alors qu'un logiciel libre se définit par les libertés accordées à l'utilisateur. Si la nature du logiciel libre facilite et encourage son partage, ce qui tend à le rendre gratuit, elle ne s'oppose pas pour autant à sa rentabilité principalement via des services associés. Les rémunérations sont liées par exemple aux travaux de création, de développement, de mise à disposition et de soutien technique. D'un autre côté les logiciels gratuits ne sont pas nécessairement libres, car leur code source n'est pas systématiquement accessible et leur licence peut ne pas correspondre à la définition du logiciel libre. </br>* l’open source : le logiciel libre, selon son initiateur, est un mouvement social qui repose sur les principes de Liberté, Égalité, Fraternité ; l’open source quant à lui, décrit pour la première fois dans La Cathédrale et le Bazar, s'attache aux avantages d'une méthode de développement au travers de la réutilisation du code source.ravers de la réutilisation du code source.)
  • Eau potable  + (Une eau liquide est dite potable (du latin potabilis, qui signifie « qui peut être bu ») lorsqu'elle présente certaines caractéristiques — concentration en chlorures, pH, température… — la rendant propre à la consommation humaine.)
  • Politiques publiques  + (Une politique publique est un concept de sUne politique publique est un concept de science politique qui désigne les « interventions d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale sur un domaine spécifique de la société ou du territoire ». La sociologie politique utilise ce concept afin d'analyser l'ensemble de ces interventions dans les différentes étapes de leur mise en œuvre, aussi bien que dans leur genèse ou au travers de leurs conséquences (il est alors question de « sociologie de l’action publique »). La science administrative tend plutôt à analyser et à évaluer une politique publique en fonction de sa capacité à atteindre les objectifs qui lui ont été assignés, ainsi qu'en fonction de l'efficacité des moyens déployés. Dans ce cadre, les politiques publiques peuvent également être décrites comme « un ensemble d'actions coordonnées, réalisées par une puissance publique, dans l'optique d'obtenir une modification ou une évolution d'une situation donnée ». Étudier leur impact permet de décrire la capacité qu'a une puissance publique à gérer les attentes et les problèmes propres à la société ou au pan de société concerné(e) et à agir en fonction d'une stratégie publique, de court, moyen ou long terme. Les domaines concernés peuvent être de toute nature : infrastructure, santé, famille, logement, emploi, formation professionnelle, recherche, fonction publique, crise, déficit... L’évaluation des politiques publiques, présentée comme un nouvel outil d’aide à la décision publique, est apparue aux États-Unis dans les années 1960 avant de se développer au Royaume-Uni, dans les pays scandinaves puis dans les autres démocraties occidentales vingt ans plus tard. La Commission européenne en a fait notamment une exigence règlementaire systématique dans le cadre des financements alloués aux États membres à partir des années 1990.ux États membres à partir des années 1990.)
  • Agriculture urbaine  + (Urban agriculture, urban farming, or urbanUrban agriculture, urban farming, or urban gardening is the practice of cultivating, processing, and distributing food in or around urban areas. It encompasses a complex and diverse mix of food production activities, including fisheries and forestry, in cities in both developed and developing countries. The term also applies to urban area activities of animal husbandry, aquaculture, beekeeping, and horticulture. These activities occur in peri-urban areas as well, although peri-urban agriculture may have different characteristics. Urban agriculture can reflect varying levels of economic and social development. It may be a social movement for sustainable communities, where organic growers, "foodies", and "locavores" form social networks founded on a shared ethos of nature and community holism. These networks can evolve when receiving formal institutional support, becoming integrated into local town planning as a "transition town" movement for sustainable urban development. For others, food security, nutrition, and income generation are key motivations for the practice. In both scenarios, more direct access to fresh vegetables, fruits, and meat products through urban agriculture can improve food security and food safety.can improve food security and food safety.)
  • Gestion de l'eau  + (Water resources are natural resources of wWater resources are natural resources of water that are potentially useful for humans, for example as a source of drinking water supply or irrigation water. 97% of the water on the Earth is salt water and only three percent is fresh water; slightly over two thirds of this is frozen in glaciers and polar ice caps. The remaining unfrozen freshwater is found mainly as groundwater, with only a small fraction present above ground or in the air. Natural sources of fresh water include surface water, under river flow, groundwater and frozen water. Artificial sources of fresh water can include treated wastewater (wastewater reuse) and desalinated seawater. Human uses of water resources include agricultural, industrial, household, recreational and environmental activities. Water resources are under threat from water scarcity, water pollution, water conflict and climate change. Fresh water is a renewable resource, yet the world's supply of groundwater is steadily decreasing, with depletion occurring most prominently in Asia, South America and North America, although it is still unclear how much natural renewal balances this usage, and whether ecosystems are threatened. The framework for allocating water resources to water users (where such a framework exists) is known as water rights.ramework exists) is known as water rights.)
  • Usus  + (L'usus (du latin signifiant « usage ») estL'usus (du latin signifiant « usage ») est le droit d'user d'une chose, sans que l'on en perçoive les fruits. Il se distingue : </br>* du fructus qui est le droit de disposer des fruits d'une chose, </br>* de l'abusus qui est le droit de disposer d'une chose, et notamment de l'aliéner. Ces trois droits sont les membres du droit de propriété. L'association de l'usus et du fructus compose le droit d'utiliser une chose et de jouir de ses fruits (« usufruit »). L'usus est un droit réel en ce sens qu'il s'exerce sur une chose, par opposition aux droits personnels qui s'exercent à l'encontre d'une personne (créance).ent à l'encontre d'une personne (créance).)
  • Charte  + (A charter is the grant of authority or rigA charter is the grant of authority or rights, stating that the granter formally recognizes the prerogative of the recipient to exercise the rights specified. It is implicit that the granter retains superiority (or sovereignty), and that the recipient admits a limited (or inferior) status within the relationship, and it is within that sense that charters were historically granted, and it is that sense which is retained in modern usage of the term. The word entered the English language from the Old French charte, via Latin charta, and ultimately from Greek χάρτης (khartes, meaning "layer of papyrus"). It has come to be synonymous with a document that sets out a grant of rights or privileges. sets out a grant of rights or privileges.)
  • Communauté  + (A community is a social unit (a group of lA community is a social unit (a group of living things) with commonality such as place, norms, religion, values, customs, or identity. Communities may share a sense of place situated in a given geographical area (e.g. a country, village, town, or neighbourhood) or in virtual space through communication platforms. Durable good relations that extend beyond immediate genealogical ties also define a sense of community, important to their identity, practice, and roles in social institutions such as family, home, work, government, society, or humanity at large. Although communities are usually small relative to personal social ties, "community" may also refer to large group affiliations such as national communities, international communities, and virtual communities. The English-language word "community" derives from the Old French comuneté (Modern French: communauté), which comes from the Latin communitas "community", "public spirit" (from Latin communis, "common"). Human communities may have intent, belief, resources, preferences, needs, and risks in common, affecting the identity of the participants and their degree of cohesiveness.icipants and their degree of cohesiveness.)
  • Co-operative  + (A cooperative (also known as co-operative,A cooperative (also known as co-operative, co-op, or coop) is "an autonomous association of persons united voluntarily to meet their common economic, social and cultural needs and aspirations through a jointly owned and democratically-controlled enterprise". Cooperatives are democratically controlled by their members, with each member having one vote in electing the board of directors.Cooperatives may include: </br>* businesses owned and managed by the people who consume their goods and/or services (a consumer cooperative) </br>* businesses where producers pool their output for their common benefit (a producer cooperative) </br>* organizations managed by the people who work there (a worker cooperative) </br>* businesses where members pool their purchasing power (a purchasing cooperative) </br>* multi-stakeholder or hybrid cooperatives that share ownership between different stakeholder groups. For example, care cooperatives where ownership is shared between both care-givers and receivers. Stakeholders might also include non-profits or investors. </br>* second- and third-tier cooperatives whose members are other cooperatives </br>* platform cooperatives that use a cooperatively owned and governed website, mobile app or a protocol to facilitate the sale of goods and services. Research published by the Worldwatch Institute found that in 2012 approximately one billion people in 96 countries had become members of at least one cooperative. The turnover of the largest three hundred cooperatives in the world reached $2.2 trillion. Cooperative businesses are typically more productive and economically resilient than many other forms of enterprise, with twice the number of co-operatives (80%) surviving their first five years compared with other business ownership models (41%) according to data from United Kingdom. The largest worker owned cooperative in the world, the Mondragon Corporation (founded by Catholic priest José María Arizmendiarrieta), has been in continuous operation since 1956. Cooperatives frequently have social goals, which they aim to accomplish by investing a proportion of trading profits back into their communities. As an example of this, in 2013, retail co-operatives in the UK invested 6.9% of their pre-tax profits in the communities in which they trade as compared with 2.4% for other rival supermarkets. Since 2002, cooperatives have been distinguishable on the Internet through the use of a .coop domain. In 2014, the International Co-operative Alliance (ICA) introduced the Cooperative Marque, meaning ICA cooperatives and WOCCU credit unions can also be identified through a coop ethical consumerism label. through a coop ethical consumerism label.)
  • Coopérative  + (A cooperative (also known as co-operative,A cooperative (also known as co-operative, co-op, or coop) is "an autonomous association of persons united voluntarily to meet their common economic, social and cultural needs and aspirations through a jointly owned and democratically-controlled enterprise". Cooperatives are democratically controlled by their members, with each member having one vote in electing the board of directors.Cooperatives may include: </br>* businesses owned and managed by the people who consume their goods and/or services (a consumer cooperative) </br>* businesses where producers pool their output for their common benefit (a producer cooperative) </br>* organizations managed by the people who work there (a worker cooperative) </br>* businesses where members pool their purchasing power (a purchasing cooperative) </br>* multi-stakeholder or hybrid cooperatives that share ownership between different stakeholder groups. For example, care cooperatives where ownership is shared between both care-givers and receivers. Stakeholders might also include non-profits or investors. </br>* second- and third-tier cooperatives whose members are other cooperatives </br>* platform cooperatives that use a cooperatively owned and governed website, mobile app or a protocol to facilitate the sale of goods and services. Research published by the Worldwatch Institute found that in 2012 approximately one billion people in 96 countries had become members of at least one cooperative. The turnover of the largest three hundred cooperatives in the world reached $2.2 trillion. Cooperative businesses are typically more productive and economically resilient than many other forms of enterprise, with twice the number of co-operatives (80%) surviving their first five years compared with other business ownership models (41%) according to data from United Kingdom. The largest worker owned cooperative in the world, the Mondragon Corporation (founded by Catholic priest José María Arizmendiarrieta), has been in continuous operation since 1956. Cooperatives frequently have social goals, which they aim to accomplish by investing a proportion of trading profits back into their communities. As an example of this, in 2013, retail co-operatives in the UK invested 6.9% of their pre-tax profits in the communities in which they trade as compared with 2.4% for other rival supermarkets. Since 2002, cooperatives have been distinguishable on the Internet through the use of a .coop domain. In 2014, the International Co-operative Alliance (ICA) introduced the Cooperative Marque, meaning ICA cooperatives and WOCCU credit unions can also be identified through a coop ethical consumerism label. through a coop ethical consumerism label.)
  • Coop  + (A cooperative (also known as co-operative,A cooperative (also known as co-operative, co-op, or coop) is "an autonomous association of persons united voluntarily to meet their common economic, social and cultural needs and aspirations through a jointly owned and democratically-controlled enterprise". Cooperatives are democratically controlled by their members, with each member having one vote in electing the board of directors.Cooperatives may include: </br>* businesses owned and managed by the people who consume their goods and/or services (a consumer cooperative) </br>* businesses where producers pool their output for their common benefit (a producer cooperative) </br>* organizations managed by the people who work there (a worker cooperative) </br>* businesses where members pool their purchasing power (a purchasing cooperative) </br>* multi-stakeholder or hybrid cooperatives that share ownership between different stakeholder groups. For example, care cooperatives where ownership is shared between both care-givers and receivers. Stakeholders might also include non-profits or investors. </br>* second- and third-tier cooperatives whose members are other cooperatives </br>* platform cooperatives that use a cooperatively owned and governed website, mobile app or a protocol to facilitate the sale of goods and services. Research published by the Worldwatch Institute found that in 2012 approximately one billion people in 96 countries had become members of at least one cooperative. The turnover of the largest three hundred cooperatives in the world reached $2.2 trillion. Cooperative businesses are typically more productive and economically resilient than many other forms of enterprise, with twice the number of co-operatives (80%) surviving their first five years compared with other business ownership models (41%) according to data from United Kingdom. The largest worker owned cooperative in the world, the Mondragon Corporation (founded by Catholic priest José María Arizmendiarrieta), has been in continuous operation since 1956. Cooperatives frequently have social goals, which they aim to accomplish by investing a proportion of trading profits back into their communities. As an example of this, in 2013, retail co-operatives in the UK invested 6.9% of their pre-tax profits in the communities in which they trade as compared with 2.4% for other rival supermarkets. Since 2002, cooperatives have been distinguishable on the Internet through the use of a .coop domain. In 2014, the International Co-operative Alliance (ICA) introduced the Cooperative Marque, meaning ICA cooperatives and WOCCU credit unions can also be identified through a coop ethical consumerism label. through a coop ethical consumerism label.)
  • Rue  + (A street is a public thoroughfare in a buiA street is a public thoroughfare in a built environment. It is a public parcel of land adjoining buildings in an urban context, on which people may freely assemble, interact, and move about. A street can be as simple as a level patch of dirt, but is more often paved with a hard, durable surface such as tarmac, concrete, cobblestone or brick. Portions may also be smoothed with asphalt, embedded with rails, or otherwise prepared to accommodate non-pedestrian traffic. Originally, the word street simply meant a paved road (Latin: via strata). The word street is still sometimes used informally as a synonym for road, for example in connection with the ancient Watling Street, but city residents and urban planners draw a crucial modern distinction: a road's main function is transportation, while streets facilitate public interaction. Examples of streets include pedestrian streets, alleys, and city-centre streets too crowded for road vehicles to pass. Conversely, highways and motorways are types of roads, but few would refer to them as streets.s, but few would refer to them as streets.)
  • Allotment Garden  + (An allotment (British English), or in NortAn allotment (British English), or in North America, a community garden, is a plot of land made available for individual, non-commercial gardening or growing food plants, so forming a kitchen garden away from the residence of the user. Such plots are formed by subdividing a piece of land into a few or up to several hundred parcels that are assigned to individuals or families. Such parcels are cultivated individually, contrary to other community garden types where the entire area is tended collectively by a group of people. In countries that do not use the term "allotment (garden)", a "community garden" may refer to individual small garden plots as well as to a single, large piece of land gardened collectively by a group of people. The term "victory garden" is also still sometimes used, especially when a community garden dates back to the First or Second World War. The individual size of a parcel typically suits the needs of a family, and often the plots include a shed for tools and shelter, and sometimes a hut for seasonal or weekend accommodation. The individual gardeners are usually organised in an allotment association, which leases or is granted the land from an owner who may be a public, private or ecclesiastical entity, and who usually stipulates that it be only used for gardening (i.e., growing vegetables, fruits and flowers), but not for permanent residential purposes (this is usually also required by zoning laws). The gardeners have to pay a small membership fee to the association, and have to abide by the corresponding constitution and by-laws. However, the membership entitles them to certain democratic rights.ntitles them to certain democratic rights.)
  • Écoquartier  + (An ecodistrict or eco-district is a neologAn ecodistrict or eco-district is a neologism associating the terms "district" and "eco" as an abbreviation of ecological.It designates an urban planning aiming to integrate objectives of sustainable development and social equity and reduce the ecological footprint of a neighborhood, urban area, or region. This notion insists on the consideration of the whole environmental issues by way of a collaborative process. In order to design ecodistricts, one needs to completely redesign their energy system plans. The usage of photovoltaic panels and electric vehicles is common.ic panels and electric vehicles is common.)
  • Métier (corporation)  + (Au sens large, une corporation est une réuAu sens large, une corporation est une réunion durable de personnes poursuivant un but commun, et dont l'état ne dépend pas du changement de ses membres. Le mot vient du latin corporari (« se former en corps »), et désigne une personne morale dont les membres (personnes physiques et/ou morales) possèdent en général une même caractéristique (par exemple, l'exercice d'une fonction). Les corporations peuvent être de droit privé mais sont en général (dans un sens plus contemporain du terme) instituée par une loi et de droit public. Les corporations se distinguent des établissements, qui sont groupements de biens affectés à un certain but. Au sens large du terme, les associations, syndicats et apparentés, qui sont des regroupements volontaires de droit privé sont donc des corporations. Le corporatisme peut désigner, selon qu'il prend ou non une connotation péjorative, la tendance qu'ont les membres d'un corps professionnel ou administratif à privilégier leurs intérêts matériels au détriment de ceux du public qu'ils servent (consommateurs, administrés, justiciables, usagers, élèves, clients, patients, etc.) usagers, élèves, clients, patients, etc.))
  • Collaboration  + (Collaboration (from Latin com- "with" + laCollaboration (from Latin com- "with" + laborare "to labor", "to work") is the process of two or more people, entities or organizations working together to complete a task or achieve a goal. Collaboration is similar to cooperation. Most collaboration requires leadership, although the form of leadership can be social within a decentralized and egalitarian group. Teams that work collaboratively often access greater resources, recognition and rewards when facing competition for finite resources. Structured methods of collaboration encourage introspection of behavior and communication. Such methods aim to increase the success of teams as they engage in collaborative problem-solving. Collaboration is present in opposing goals exhibiting the notion of adversarial collaboration, though this is not a common use of the term. In its applied sense, "(a) collaboration is a purposeful relationship in which all parties strategically choose to cooperate in order to accomplish a shared outcome." in order to accomplish a shared outcome.")
  • Association pour le maintien d'une agriculture paysanne  + (Community-supported agriculture (CSA modelCommunity-supported agriculture (CSA model) or cropsharing is a system that connects producers and consumers within the food system closer by allowing the consumer to subscribe to the harvest of a certain farm or group of farms. It is an alternative socioeconomic model of agriculture and food distribution that allows the producer and consumer to share the risks of farming. The model is a subcategory of civic agriculture that has an overarching goal of strengthening a sense of community through local markets. In return for subscribing to a harvest, subscribers receive either a weekly or bi-weekly box of produce or other farm goods. This includes in-season fruits, vegetables, and can expand to dried goods, eggs, milk, meat, etc. Typically, farmers try to cultivate a relationship with subscribers by sending weekly letters of what is happening on the farm, inviting them for harvest, or holding an open-farm event. Some CSAs provide for contributions of labor in lieu of a portion of subscription costs. The term CSA is mostly used in the United States and Canada, but a variety of similar production and economic sub-systems are in use worldwide, in Austria and Germany as Solidarische Landwirtschaft ("solidarity farming") and in the UK mainly in the vegetable box scheme.the UK mainly in the vegetable box scheme.)
  • Coworking  + (Cotravail Le coworking, ou cotravail, est Cotravail Le coworking, ou cotravail, est une méthode d'organisation du travail qui regroupe un espace de travail partagé et un réseau de travailleurs pratiquant l'échange et l'ouverture ; juridiquement cela se traduit par une location d'espaces partagés de travail. En d'autres termes, le cotravail qui constitue l'un des domaines de l'économie collaborative, laquelle est par essence non commerciale, est souvent présenté comme un contexte favorisant l'innovation. Les espaces de cotravail sont en pleine expansion et jouent un rôle important en favorisant la structuration d'un véritable réseau de cotravailleurs facilitant à la fois échanges directs, réseautage, coopération et créativité.ts, réseautage, coopération et créativité.)
  • Creative commons  + (Creative Commons (CC) est une association Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres. Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif.th et aux États-Unis) est plus restrictif.)
  • Biomasse  + (Dans le domaine de l'énergie, la biomasse Dans le domaine de l'énergie, la biomasse est la matière organique d'origine végétale (microalgues incluses), animale, bactérienne ou fongique (champignons), utilisable comme source d'énergie (bioénergies). Cette énergie peut en être extraite par combustion directe (ex. : bois énergie), ou par combustion après un processus de transformation de la matière première, par exemple la méthanisation (biogaz, ou sa version épurée le biométhane) ou d'autres transformations chimiques (dont la pyrolyse, la carbonisation hydrothermale et les méthodes de production de biocarburants ou « agrocarburants »). Trois modes de valorisations de la biomasse (co)existent : thermique, chimique et biochimique. La biomasse intéresse à nouveau les pays riches, confrontés au changement climatique et à la perspective d'une crise des ressources en hydrocarbures fossiles ou uranium. Sous certaines conditions, elle répond à des enjeux de développement durable et d'économie circulaire ; en se substituant aux énergies fossiles pour réduire les émissions globales de gaz à effet de serre, en restaurant aussi parfois certains puits de carbone (semi-naturels dans le cas des boisements et haies exploités). En quelques décennies des filières nouvelles sont apparues : agrocarburants, granulés de bois, méthanisation industrielle, créant des tensions sur certaines ressources, avec de nouveaux risques de surexploitation de la ressource et de remplacement de cultures vivrières par des cultures énergétiques. En France, une stratégie nationale de mobilisation de la biomasse (2018) vise à augmenter la quantité de biomasse collectée, en créant le moins possible d'effets collatéraux négatifs sur la biodiversité, les paysages et d'autres filières dépendantes de la même ressource. En 2019, selon l'Agence internationale de l'énergie, la biomasse fournissait 56 813 PJ d'énergie, soit 9,2 % de l'énergie primaire consommée dans le monde, 542,6 TWh d'électricité, soit 2,0 % de la production mondiale d'électricité, et 3,3 % de l'énergie consommée par les transports. Selon un rapport de la Commission européenne, la bioénergie pourrait couvrir jusqu'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.'à 13 % de la demande énergétique de l'UE.)
  • Confiance  + (Divers philosophes, psychologues et cherchDivers philosophes, psychologues et chercheurs en sciences sociales ont travaillé sur la notion de confiance qui, selon une définition assez largement acceptée, peut être entendue comme « un état psychologique se caractérisant par l'intention d'accepter la vulnérabilité sur la base de croyances optimistes sur les intentions (ou le comportement) d'autrui ». La confiance renvoie à l’idée que l’on peut se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Dans l’étymologie latine, le verbe confier (du latin confidere : cum, « avec » et fidere « fier ») signifie qu’on remet quelque chose de précieux à quelqu’un, en se fiant à lui et en s’abandonnant ainsi à sa bienveillance et à sa bonne foi. Cette origine souligne les liens étroits qui existent entre la confiance, l'espoir, la foi, la fidélité, la confidence, le crédit et la croyance. Confiance est aussi une des vertus chrétiennes plus importantes, particulièrement dans la dévotion à la divine miséricorde. dans la dévotion à la divine miséricorde.)
  • Émancipation  + (Emancipation generally means to free a perEmancipation generally means to free a person from a previous restraint or legal disability. More broadly, it is also used for efforts to procure economic and social rights, political rights or equality, often for a specifically disenfranchised group, or more generally, in discussion of many matters. Among others, Karl Marx discussed political emancipation in his 1844 essay "On the Jewish Question", although often in addition to (or in contrast with) the term human emancipation. Marx's views of political emancipation in this work were summarized by one writer as entailing "equal status of individual citizens in relation to the state, equality before the law, regardless of religion, property, or other 'private' characteristics of individual people." "Political emancipation" as a phrase is less common in modern usage, especially outside academic, foreign or activist contexts. However, similar concepts may be referred to by other terms. For instance, in the United States the Civil Rights Movement culminated in the Civil Rights Act of 1964, the Voting Rights Act of 1965, and the Fair Housing Act of 1968, which can collectively be seen as further realization of events such as the Emancipation Proclamation and abolition of slavery a century earlier. In the current and former British West Indies islands the holiday Emancipation Day is celebrated to mark the end of the Atlantic slave trade. mark the end of the Atlantic slave trade.)
  • Plateforme  + (En informatique, une plateforme ou plate-fEn informatique, une plateforme ou plate-forme est un environnement permettant la gestion ou l'utilisation de services applicatifs. La terminologie peut notamment désigner : </br>* un système d'exploitation ou un noyau ; </br>* un environnement d'exécution comme une machine virtuelle ; </br>* un environnement de développement, à condition qu'il intègre son environnement d'exécution ; </br>* un serveur web ou d'applications, notamment une plateforme de téléchargement ; </br>* une application web ou logicielle, par exemple : </br>* un espace numérique de travail (ENT), </br>* un SGBD, </br>* une , </br>* une plateforme de vidéo à la demande, </br>* une plateforme de jeux vidéo, </br>* une plateforme de réseaux sociaux, </br>* un centre de maintenance pour un appareil ou un réseau informatique, </br>* une plateforme d'intermédiation. </br>* Portail de l’informatiquetermédiation. * Portail de l’informatique)
  • Culture  + (En philosophie, le mot culture désigne ce En philosophie, le mot culture désigne ce qui est différent de la nature. En sociologie, comme en éthologie, la culture est définie de façon plus étroite comme « ce qui est commun à un groupe d'individus » et comme « ce qui le soude », c'est-à-dire ce qui est appris, transmis, produit et inventé. Ainsi, pour une organisation internationale comme l'UNESCO : « Dans son sens le plus large, la culture peut aujourd’hui être considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels, matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts, les lettres et les sciences, les modes de vie, les lois, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances ». Ce « réservoir commun » évolue dans le temps par et dans les formes des échanges. Il se constitue en de multiples manières distinctes d'être, de penser, d'agir et de communiquer en société. Par abus de langage, le mot « culture » est employé pour désigner presque exclusivement l'offre de pratiques et de services culturels dans les sociétés modernes, et en particulier dans le domaine des arts et des lettres.r dans le domaine des arts et des lettres.)
  • Biens publics  + (En économie, un bien public est un bien noEn économie, un bien public est un bien non rival ou non excluable. La consommation de ce bien par un agent n'affecte donc pas la quantité disponible pour les autres agents (non-rivalité). Il est impossible d'exclure un agent de l'utilisation de ce bien, même s'il n'a pas participé à son financement. Un bien public pur est un bien non rival et non excluable, il est impossible de faire payer l'accès à ce bien (non-excluabilité). Par exemple, une émission de radio est un bien public. C'est un bien non rival au sens où lorsqu'un agent écoute une émission de radio, il n'empêche aucun autre agent de l'écouter. C'est un bien non excluable au sens où les technologies des ondes radio ne permettent pas de restreindre l'accès à ce bien à ceux qui le financeraient. La notion de bien public mondial (ou ) désigne des biens publics très étendus comme la qualité de l'air, la biodiversité ou la situation climatique mondiale.rsité ou la situation climatique mondiale.)
  • Impact environnemental  + (Environmental degradation is the deterioraEnvironmental degradation is the deterioration of the environment through depletion of resources such as quality of air, water and soil; the destruction of ecosystems; habitat destruction; the extinction of wildlife; and pollution. It is defined as any change or disturbance to the environment perceived to be deleterious or undesirable. Environmental concerns can be defined as the negative effects of any human activity on the environment. The biological as well as the physical features of the environment are included. Some of the primary environmental challenges that are causing great worry are air pollution, water pollution, natural environment pollution, rubbish pollution, and so on.[2] Environmental degradation is one of the ten threats officially cautioned by the high-level PaneI on Threats, Challenges and Change of the United Nations. The United Nations International Strategy for Disaster Reduction defines environmental degradation as "the reduction of the capacity of the environment to meet social and ecological objectives, and needs". Environmental degradation comes in many types. When natural habitats are destroyed or natural resources are depleted, the environment is degraded. Efforts to counteract this problem include environmental protection and environmental resources management. Mismanagement that leads to degradation can also lead to environmental conflict where communities organize in opposition to the forces that mismanaged the environment.he forces that mismanaged the environment.)
  • Fructus  + (Fructus (Latin for "fruits") is a legal teFructus (Latin for "fruits") is a legal term used in Roman law to describe goods naturally created by other property. In the most traditional understanding, this encompasses literal fruit of various plants, but also goods taken from animals such as milk or wool. There is some debate whether profits arising from other legal actions, such as loan interest, can be considered fructus – ancient jurisprudents usually strayed from such interpretations, but did argue to treat such profits in analogical ways. to treat such profits in analogical ways.)
  • Logement  + (Housing, or more generally, living spaces,Housing, or more generally, living spaces, refers to the construction and assigned usage of houses or buildings individually or collectively, for the purpose of shelter. Housing ensures that members of society have a place to live, whether it is a home or some other kind of dwelling, lodging or shelter. Many governments have one or more housing authorities, sometimes also called a housing ministry or housing department. Housing in many different areas consists of public, social and private housing. In the United States, it was not until the 19th and 20th century that there was a lot more government involvement in housing. It was mainly aimed at helping those who were poor in the community. Public housing provides help and assistance to those who are poor and mainly low-income earners. A study report shows that there are many individuals living in public housing. There are over 1.2 million families or households. These types of housing were built mainly to provide people, mainly those who are low-income and elderly, with safe, affordable, and good housing units. There are many people who are a part of the United States Department of Housing and Urban Development (HUD). When counting, there are over nine hundred thousand participants in this program.red thousand participants in this program.)
  • Abusus  + (L'abusus est l'un des attributs du droit dL'abusus est l'un des attributs du droit de propriété, le droit de disposer de son bien, qu'il s'agisse de la disposition juridique de son bien par l'aliénation (vente ou don) ou matérielle par la destruction. L'abusus peut être détenu par le propriétaire, le possesseur, mais en aucun cas par l'usufruitier. Il est un des démembrements du droit de propriété avec l’usus, le droit d'user d'une chose sans en percevoir les fruits (le droit d'habiter dans une maison dont on a l’usus) et le fructus, le droit d'en percevoir les fruits et revenus (le droit de louer et de percevoir les loyers d'une maison dont on a le fructus). Usus et fructus étant couramment réunis dans l'usufruit. L'abusus est un droit réel en ce sens qu'il s'exerce sur une chose.l en ce sens qu'il s'exerce sur une chose.)
  • Agriculture vivrière  + (L'agriculture vivrière est une agricultureL'agriculture vivrière est une agriculture essentiellement tournée vers l'autoconsommation et l'économie de subsistance. La production, rarement excédentaire, n'est destinée ni à l'industrie agroalimentaire ni à l'exportation. Elle est en grande partie auto-consommée par les paysans et la population locale. Cette forme d'agriculture, courante dans les jardins du monde entier, demeure d'une importance capitale dans les pays les moins avancés où elle permet aux populations rurales, sans autre ressource, de se nourrir. Ses faibles rendements, générant peu d'excédent, ne permettent toutefois pas à ces populations de sortir de la pauvreté. Elle impose également d'accepter de ne consommer que des produits de saison et de gérer la période de soudure. Le caractère localisé de la production, sans accès aux marchés mondiaux, rend en outre les agriculteurs vivriers particulièrement vulnérables aux conséquences des événements climatiques locaux (sécheresse, catastrophe naturelle, saison des pluies tardive ou précoce, etc...). Elle représente environ 20 % de la production alimentaire mondiale. Par l'importance qu'elle accorde aux semences paysannes — on estime à environ 1,4 milliard les agriculteurs utilisant des procédés traditionnels de sélection — elle favorise fortement la biodiversité.— elle favorise fortement la biodiversité.)
  • Architecture  + (L'architecture est l'art majeur de concevoL'architecture est l'art majeur de concevoir des espaces et de bâtir des édifices, en respectant des règles de construction empiriques ou scientifiques, ainsi que des concepts esthétiques, classiques ou nouveaux, de forme et d'agencement d'espace, en y incluant les aspects sociaux et environnementaux liés à la fonction de l'édifice et à son intégration dans son environnement, quelle que soit cette fonction : habitable, sépulcrale, rituelle, institutionnelle, religieuse, défensive, artisanale, commerciale, scientifique, signalétique, muséale, industrielle, monumentale, décorative, paysagère, voire purement artistique. C'est pourquoi l'architecture est définie comme « une expression de la culture ». Elle est reconnue comme le premier des arts majeurs dans la classification des arts, communément admise, du XXe siècle, des 9 arts majeurs et fait partie des beaux-arts. L'Architecture désigne également l'ensemble des connaissances et des techniques de cet art de concevoir et de construire des structures complexes, englobant les édifices terrestres, les espaces et les paysages modifiés par l'homme répondant à des critères architecturaux, les artefacts habitables naviguant sur l'eau et sous l'eau (architecture navale) et dans l'espace (architecture spatiale), que l'humanité a pu imaginer et réaliser au fil des millénaires. L'architecture intègre le domaine de la planification spatiale et met en pratique les méthodes de la planification au service de l'aménagement du territoire et de l'urbanisme. On distingue différentes échelles de la planification spatiale : </br>* le territoire national : l'aménagement du territoire ; </br>* la région, le massif ou une bande littorale : la planification régionale ; </br>* le quartier, la ville, jusqu'à l'agglomération : l'urbanisme ; </br>* l'îlot ou un groupe de bâtiments dont la composition n'atteint pas la superficie du quartier : la composition urbaine ; </br>* le bâtiment : l'architecture. C'est ainsi que dans le cadre des études d'aménagement et urbanisme, on retrouve l'architecte le plus souvent autour des réflexions de la composition urbaine via la pratique de la conception urbaine. via la pratique de la conception urbaine.)