Rechercher par propriété

De Remix Biens Communs
Aller à :navigation, rechercher

Cette page fournit une simple interface de navigation pour trouver des entités décrites par une propriété et une valeur nommée. D’autres interfaces de recherche disponibles comprennent la page recherche de propriété, et le constructeur de requêtes « ask ».

Rechercher par propriété

Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Description » avec la valeur « Vidéo de l'atelier organisé par la GEF (Green European Fondation) en partenariat avec la FEP (Fondation pour lEcologie Politique) organisé dans le cadre de la journée de convergence du festival LE TEMPS DES COMMUNS en Ile-de-France et du projet de la Green European Foundation RECLAIM THE COMMONS (http://gef.eu/projects/reclaim-the-commons/). Centre de Recherche Interdisciplinaire (CRI), 10 Rue Charles V 75004 Paris. Participants à l'atelier : FESTA Daniela, juriste et géographe sociale, auteur de Fare spazio. Pratiche del comune e diritto alla città (Kosmos 10), Milano/Udine: Mimesis, mai 2015; LABOREY Claire, réalisatrice du documentaire "Mainmise sur les villes"(Arte, 2015); LARGETEAU Quitterie, biologiste, fondatrice de Biohacking Safari. Animation: Silvia Marcon, directrice de la Fondation de l'Ecologie Politique. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 251 résultats à partir du nº 1.

Voir (500 précédentes | 500 suivantes) (20 | 50 | 100 | 250 | 500)


    

Liste de résultats

  • St Ives Community Charter  + (This Charter of common is based in Saint YThis Charter of common is based in Saint Yves in Great Britain. This Charter was developed with Community Chartering to declare the basic rights and responsibilities of citizens to establish, preserve, and improve the cultural heritage dedicated to these cities. This Charter was started in 2016 and is still in effect currently.</br></br>Ce charte des communs est liée a Saint Yves en Grande Bretagne. Cette charte à été élaborée avec Community Chartering pour les citoyens de declarer les droits et responsibilités basiques pour etablir, preserver, et ameliorer l'heritages culturelles dedié a ces villes. Ce charte a etait commencé en 2016 et est toujours en vigeur actuellement.16 et est toujours en vigeur actuellement.)
  • Greater London National Park City Proposal  + (This document is written for the greater cThis document is written for the greater city of London, England. It is a proposal declaring the development of natural national parks inside the urban areas of London to increase carbon sequesters (and therefore better air quality), biodiversity, and areas of recreation for London's residents. It cites, "What’s the aim? For Londoners to declare Greater London the world’s first National Park City." This proposal was initiated by a group of London's citizens to address issues of access to public space and biodiversity to the municipality with the support of over 100 organizations, ranging from small community groups to universities and large companies. This charter has a legal status, and therefore citizens have the right and the access to use the legal tools available to pursue direct action on the initiative. The document was written in July 2015 and is still in effect today.in July 2015 and is still in effect today.)
  • European Charter of the Commons  + (This document was written for the InternatThis document was written for the International City Conference taking place in Brussels, Belgium. However, it is a charter that concerns all European cities to adopt charters for urban residents across Europe, and it was a charter used to foster discussions within the European Union. It was written in 2013 and is still in effect today.tten in 2013 and is still in effect today.)
  • Charte de végétalisation de l’espace public parisien  + (This document was written recently by the This document was written recently by the Mairie de Paris, and concerns all Parisian residents. It calls for citizens' participation in choosing and growing various plants that are native in Paris's bioregion but helpful for the city in combating climate change pressures. It is in effect today.e change pressures. It is in effect today.)
  • The Building of a Community  + (This is video is made by the Museum of UrbThis is video is made by the Museum of Urban Space in New York. It is about social movements that erupted during the housing crisis of New York in the 1970s. These social movements are defined by the activity of squatting, where groups of people occupy certain buildings that are abandoned and not maintained by a government or private entity. activists, punks, hippies, street kids and other homeless individuals took over and reclaimed derelict buildings in Lower Manhattan through these mass homesteading and squatting movements. Juliani’s administration decided to oust these groups of squatters under claims that they were following unfair practices of rent and living, and causing avenues of violence and improper hygiene in the neighborhood. This because a bloody battle between the government and the squatting social movements, and this video encapsulates this tension that has defined the fabric of the neighborhood for decades.he fabric of the neighborhood for decades.)
  • Emotive 'Who sets the Agenda?' - including visit to the Netherlands  + (This video was made for the Emotive projecThis video was made for the Emotive project 'Who sets the agenda?' in which Network Democracy (Netherlands) and CEW-IT (Uganda) are partners. November 2014 a team of Dutch experts on democratic renewal and citizens' participation visited Uganda. In return two team members from CEW-IT visited the Netherlands January 2015 to exchange knowledge and share their methodology on Neighborhood Assemblies.ir methodology on Neighborhood Assemblies.)
  • P. Dardot et A. Ambrosi 4; L'Etat peut-il être au service des communs ?  + (Thème : A quelles conditions l'Etat peut-il être mis au service des communs aujourd'hui ? Avec la participation de Cristina Fiordimelo)
  • P. Dardot et A. Ambrosi 1; Communs et politique  + (Thème : Communs et politique : qu'est-ce que le succès des listes qui se réclament des communs aux élections municipales espagnoles du mois de mai 2015 apporte à la réflexion sur les communs aujourd'hui ? Avec la participation de Cristina Fiordimelo)
  • P. Dardot et A. Ambrosi 2; Activité instituante et coordination des communs  + (Thème : Conversation entre DARDOT Pierre et AMBROSI Alain ; Activité instituante et coordination des communs Avec la participation de Cristina Fiordimelo)
  • MACAO 03 - La pratique des communs  + (Thème : La pratique des communs)
  • P. Dardot et A. Ambrosi 3; Municipalisme et praxis instituante(s)  + (Thème : Municipalisme, communalisme et praxis instituante(s) Avec la participation de Cristina Fiordimelo)
  • Luttes politiques basées sur les communs - une conversation avec Tomislav Tomašević  + (Tomislav Tomasevic partage sa vision du rôle de la notion de communs dans les luttes sociales, écologiques pour la transition. Il décrit les défis auxquels les militants font face aujourd'hui à partir de son expérience en Croatie.)
  • Voyage à Bologne avec La Fabrique des Impossibles  + (Tout peut être co-construit avec la FabriqTout peut être co-construit avec la Fabrique des Impossibles !! C’est donc à Bologne que nous sommes parties pour parler création participative, espace public et droits culturels, le tout à travers une Fête de la Soupe ! C’est dans le cadre de l’émission Communs urbains, l’Atlas que cette rencontre radiophonique s’est installée.e rencontre radiophonique s’est installée.)
  • Déclaration d'usage civique de l'Asilo, Naples  + (Traduction en français du texte de la Déclaration d'usage civique urbain et collectif de l'ancienne Asilo Filangieri, élaborée collectivement lors d'ateliers de travail publiques hebdomadaires, sur la période mai 2012-décembre 2015.)
  • Delphine Glachant : Prendre soin de la psychiatrie  + (Témoignage audiophonique de Delphine Glachant, Psychiatre, membre du Collectif Printemps de la Psychiatrie et Présidente de l’Union Syndicale de la Psychiatrie (USP), à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Antoine Lamer : Libérer le logiciel de l’hôpital  + (Témoignage d'Antoine Lamer, Informaticien au CHU de Lille, membre d’Inter-hop, une association qui défend le logiciel libre en santé, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Hélène Froment : Soigner avec les habitants  + (Témoignage d'Hélène Froment, habitante de La Belle de Mai à Marseille, membre du Collectif Brouettes et compagnies, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Isabelle Simon : Faire face à la dégradation de la qualité des soins  + (Témoignage d'Isabelle Simon, médecin, praticien hospitalier, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Benjamin Coriat : Sortir l’hôpital de ses murs  + (Témoignage de Benjamin Coriat, économiste, professeur émérite à l’université Paris XIII et membre des économistes atterrés, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Candice Lafarge : L’humain au coeur du travail en santé  + (Témoignage de Candice Lafarge, aide-soignante en service de réanimation médicale et co-fondatrice du Collectif Inter-Urgences, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Christine Depigny Huet : La parole au travail vivant  + (Témoignage de Christine Depigny Huet, membre de la Compagnie Pourquoi se lever le matin! à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Dominique Acker : Pour la coopération et l’investissement dans la santé  + (Témoignage de Dominique Acker, directrice d’hôpîtal à la retraite, membre du Conseil National de Nouvelle Résistance à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Fabienne OrsI : Refaire travail commun en santé  + (Témoignage de Fabienne OrsI, économiste à l’IRD et membre des économistes atterrés, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Frédérick Stambach : Faire face à la pénurie en santé  + (Témoignage de Frédérick Stambach, Médecin généraliste, Membre du Collectif Soignons Ensemble, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Martin Pavelka : Résister pour soigner  + (Témoignage de Martin Pavelka, Pédopsychiatre à l’hôpital public et membre du Collectif des 39, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Philippe Bizouarn : Témoignage  + (Témoignage de Philippe Bizouarn, médecin anesthésiste réanimateur en chirurgie cardiaque au CHU de Nantes et membre du Collectif Inter-Hopîtal, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Sébastien Firpi : Repenser le soin et faire commun  + (Témoignage de Sébastien Firpi, psychologue clinicien au Centre Hospitalier Montperrin à Aix en Provence et membre de l'Appel des appels, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Thomas Coutrot : La santé face à la logique financière  + (Témoignage de Thomas Coutrot, économiste et statisticien, animateur des Ateliers Travail et Démocratie, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Yazid Attalah : l'hôpital on l'aime !  + (Témoignage de Yazid Attalah, Échographiste, Président et fondateur de l’association Santé Environnement Pour Tous – SEPT - à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier.)
  • Aux 8 Pillards, accueillir ce qui nous soigne  + (Témoignages de Dorine Julien, Groupe artisTémoignages de Dorine Julien, Groupe artistique Les Pas Perdus, Thomas Moles, Association À Plomb et Julien Tribout, F.A.I.R.E, à l'Atelier pour la refondation du service public hospitalier. Tous les trois sont artistes membres de l'association et du lieu collégial Les 8 Pillards à Marseille.lieu collégial Les 8 Pillards à Marseille.)
  • Camp Pixelache 2014: remix of the Commons  + (Un "remix" documentaire du Camp Pixlache qui s'est déroulé à Vartiosaari, en Finlande, réalisé par Maria Candia et Kalle Kuisma avec les commoners interviewés par AMBROSI Alain et SULTAN Frédéric du projet remixthecommons.org.)
  • Internet bien commun, une utopie nécessaire à notre imaginaire collectif  + (Un Déjeuner autour de l'Internet comme bieUn Déjeuner autour de l'Internet comme bien commun, qui réunissait une vingtaine d'intervenantes et d'intervenants le 4 avril 2013 au Monument National à Montréal, afin de travailler ensemble à identifier les pistes et les actions qui permettraient de nous doter et de gérer cette infrastructure citoyenne ouverte, accessible, démocratique. Un bien commun porteur de vitalité sociale, économique et culturelle pour contribuer ensemble à l'actualisation d'une vision pour un Québec branché sur le monde.ision pour un Québec branché sur le monde.)
  • Un Monde Relationnel  + (Un Monde Relationel est un documentaire qui raconte l’histoire d’un pêcheur artisan en Mer Méditerranée, membre d'une prud’homie de pêche. C’est une organisation collective qui a pour objectif de faire vivre, dans le temps, la communauté des pêcheurs...)
  • Naviguer sur un bien commun  + (Un bâteau bien commun qui vogue sur un fleuve bien commun. Un apprentissage pour les jeunes en quête de sens et d'identité, et un moment de répit pour les amateurs de tout âge. Les eaux du Saint-Laurent, une ressource à protéger et à découvrir.)
  • Communs, travail et salariat  + (Un commun, comme forme d’action collectiveUn commun, comme forme d’action collective, repose en règle générale sur le travail des membres d’un collectif. Les conditions effectives dans lesquelles s’organise cette mise au travail, constitue, au même titre que la gouvernance, une dimension centrale de la constitution d’un commun, et de son développement. Notre objet sera de considérer les divers modes d’organisation possibles du travail des "commoners", et les questions qu’ils soulèvent. Cela inclut en particulier les questions de statut juridique et contractuel, les modes de rémunération (ou non) du travail fourni, les possibilités de différentes formes de division du travail. D’un point de vue plus fondamental, il s’agit de considérer dans quelle mesure le commun peut se présenter comme une alternative à ce qui est la forme principale d’organisation de la production et du travail dans nos sociétés, l’entreprise. Et par là, également, comme une forme d’association de travailleurs libres, alternative à un rapport salarial fondé sur une relation d’autorité, sur lequel repose l’entreprise capitaliste, mais aussi d’autres types d’entreprises. Cela devra également nous amener à considérer les liens possibles entre l’analyse des communs et la recherche de nouvelles formes sociales d’entreprises.e nouvelles formes sociales d’entreprises.)
  • Atlas des chartes des communs urbains/Ateliers d'exploration des communs urbains  + (Un cycle d'ateliers sur les communs urbainUn cycle d'ateliers sur les communs urbains et leurs mécanismes juridiques a été organisé en 2016. Au rythme d'un rendez-vous par mois, ces ateliers visaient à mettre les outils des communs urbains en cours d'élaboration à l'épreuve pour pouvoir les améliorer.on à l'épreuve pour pouvoir les améliorer.)
  • Blockchain, une architecture du contrôle  + (Un docu-design autour de la blockchain préUn docu-design autour de la blockchain présenté dans le cadre d'un travail de recherche de spatialisation des enjeux du numérique, «L’Atlas critique d’Internet» qui se décline sous les formes multiples : site internet, livre et exposition. </br></br>Il présente cette infrastructure nouvelle, qui bien que prometteuse, pourrait potentiellement se transformer en architecture du contrôle. La chaîne de blocs publique est encore décentralisée et démocratique. Mais qu’en est-il des blockchains privées ? Cette même architecture « rétablit un contrôle du haut vers le bas », « un système classique pyramidal », qui intéresse déjà les investisseurs et les banques, affirme la jeune designeuset les banques, affirme la jeune designeuse)
  • Les Communs et la Loi  + (Un débat organisé par Vecam avec Axelle LeUn débat organisé par Vecam avec Axelle Lemaire, Stefano Rodotà et Benoît Theulin, animé par Valérie Peugeot. Les communs sont portés par des collectifs formels ou informels, et mettent en place leur propre gouvernance pour organiser le partage de ressources. Pour autant, quel est leur rapport à la puissance publique et à la loi ?port à la puissance publique et à la loi ?)
  • Le domaine public, un bien commun  + (Un entretien avec Lionel Maurel et SylvèreUn entretien avec Lionel Maurel et Sylvère Mercier, du collectif SavoirsCom1 (http://savoirscom1.info), filmé à l'occasion d'un atelier "Appropriation du domaine public" à la BPI (Paris) le 16 octobre 2013, dans la préparation du Calendrier de l'avent du domaine public 2014 - en ligne ici : http://www.aventdudomainepublic.org/</br></br>Film réalisé dans le cadre du chantier Pages Publiques, du master Édition et mémoire des textes, option édition, à l'Université de Caen, Basse-Normandie (http://bit.ly/IiO4Fc). Livre à paraître prochainement chez C&F éditions (http://cfeditions.com).chez C&F éditions (http://cfeditions.com).)
  • Seeds of Freedom  + (Un film historique raconté par Jeremy IronUn film historique raconté par Jeremy Irons. Pour en savoir plus seedsoffreedom.info</br></br>L’histoire des semences est devenu celle de la perte de contrôle, de la dépendance et de la dette. Elle a été écrite par ceux qui veulent faire les plus grands profits de notre système alimentaire, quel que soit le coût réel. Il est temps de changer l’histoire. réel. Il est temps de changer l’histoire.)
  • Les graines de la liberté  + (Un film historique raconté par Jeremy IronUn film historique raconté par Jeremy Irons. L'histoire des semences est devenu celle de la perte de contrôle, de la dépendance et de la dette. Elle a été écrite par ceux qui veulent faire les plus grands profits de notre système alimentaire, quel que soit le coût réel. Il est temps de changer l'histoire.</br></br>Pour en savoir plus seedsoffreedom.info Présentation complémentaire en anglais http://www.remixthecommons.org/en/?post_type=fiche&p=3358.thecommons.org/en/?post_type=fiche&p=3358.)
  • La guerre des graines  + (Un film qui donne les clés pour comprendreUn film qui donne les clés pour comprendre comment des multinationales veulent confisquer le vivant. Un film qui donne envie de se battre pour sauver notre indépendance alimentaire. Les graines sont-elles une marchandise ou un bien commun de l’humanité au même titre que l’eau ou l’air ? Dans un avenir très proche, les agriculteurs n’auront peut être plus le droit de replanter leurs propres graines. En Europe, une loi émerge pour contrôler l’utilisation des semences agricoles… Derrière cette confiscation, 5 grands semenciers qui possèdent déjà la moitié du marché des graines et cherchent à étendre leur privatisation. De l’Inde à Bruxelles, en passant par les campagnes françaises et l’Ile du Spitzberg à 1000 kms du Pôle Nord, Stenka Quillet et Clément Montfort enquêtent sur cette Guerre des Graines qui menace plus d’un milliard d’agriculteurs sur la planète. Ils rencontrent des paysans qui doutent, des militants qui tentent d’alerter les opinions publiques et des politiques qui discutent les futures lois. Monsanto, leader sur le marché des semences leur ouvre exceptionnellement la porte de la plus grande usine en Europe. (extrait de http://latelelibre.fr/reportages/doc-la-guerre-des-graines/).fr/reportages/doc-la-guerre-des-graines/))
  • Le Manifeste ABC  + (Un manifeste qui liste les principes de biens communs sur le sujet d'eau.)
  • Carnet de bord Les Bouillons, Terres d'Avenir  + (Un récit du combat pour la sauvegarde de lUn récit du combat pour la sauvegarde de la Ferme des Bouillons à partir de film et reportages, interviews et archives, réalisé avant et après l'expulsion de l'Association de Protection de la Ferme des Bouillons (APFB) et au cours de l'année suivante jusqu'à la "Faîtes du Printemps" 2016.nte jusqu'à la "Faîtes du Printemps" 2016.)
  • Documentaires sur les communs  + (Une collection de documentaires qui ont comme objet les communs.)
  • Définir les communs - Noël Vale Valera  + (Une définition des communs proposée par NoUne définition des communs proposée par Noël Vale Valera (CECOSESOLA) Venezuela,, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définition des communs selon Philippe Aigrain  + (Une définition des communs proposée par Philippe Aigrain, de La Quadrature du Net, tirée d'un entretien réalisé par Alain Ambrosi, lors de la Conférence Internationale sur les communs qui se déroulait à Berlin en 2010.)
  • Définir les communs - Maristella Svampa  + (Une définition des communs proposée par MaUne définition des communs proposée par Maristella Svampa, Argentina, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir le Bien Commun: Prabir Purkayastha  + (Une définition des communs proposée par PrUne définition des communs proposée par Prabir Purkhayashta AIPSN India, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les Communs- Mohamed Leightas, Maroc  + (Une définition des communs proposée par MoUne définition des communs proposée par Mohamed Leghtas, Maroc, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs" </br></br>LAngues : Amazigh et françaiss communs" LAngues : Amazigh et français)
  • Définir les communs - Joe Justice  + (Une définition des communs proposée par JoUne définition des communs proposée par Joe Justice, USA, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définition des communs selon Guillaume Coulombe  + (Une définition des communs proposée par GuUne définition des communs proposée par Guillaume Coulombe, Québec (Canada), tirée d'un entretien réalisé par un collectif montréalais, à la suite de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui s'est déroulée à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Camila Moreno  + (Une définition des communs proposée par CaUne définition des communs proposée par Camila Moreno (Friends of the Earth) Brésil, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Pat Conaty  + (Une définition des communs proposée par PaUne définition des communs proposée par Pat Conaty, United Kingdom, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs"ntribution au projet "Definir les communs")
  • Définir les communs - Mayo Fuster  + (Une définition des communs proposée par MaUne définition des communs proposée par Mayo Fuster, Espagne / USA, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les Communs - Anne Snick  + (Une définition des communs proposée par AnUne définition des communs proposée par Anne Snick, Belgique, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Jorge Rath  + (Une définition des communs proposée par JoUne définition des communs proposée par Jorge Rath CECOSESOLA Venezuela, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définition des communs selon Gwendolyn Hallsmith  + (Une définition des communs proposée par GwUne définition des communs proposée par Gwendolyn Hallsmith, USA, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013. Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Bernardo Gutiérrez  + (Une définition des communs proposée par BeUne définition des communs proposée par Bernardo Gutiérrez, Brésil / Espagne, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Tomislav Tomasevic  + (Une définition des communs proposée par ToUne définition des communs proposée par Tomislav Tomasevic Croatie, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".</br></br>Langues : Anglais et Croateles communs". Langues : Anglais et Croate)
  • Définir les communs - Miguel Said Vieira  + (Une définition des communs proposée par PRUne définition des communs proposée par PRENOM NOM, PAYS, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs"ntribution au projet "Definir les communs")
  • Définir les communs - Carolina Botero  + (Une définition des communs proposée par CaUne définition des communs proposée par Carolina Botero, Colombia, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Définir les communs".tribution au projet "Définir les communs".)
  • Définir les communs - Justin Kenrick  + (Une définition des communs proposée par JuUne définition des communs proposée par Justin Kenrick, United Kingdom, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définition des communs selon Philippe Aigrain (2013) version longue  + (Une définition des communs proposée par PhUne définition des communs proposée par Philippe Aigrain, de La Quadrature du Net, tirée d'un entretien réalisé par SULTAN Frédéric, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>"Quand j'ai commencé à vraiment écrire sur les communs, c'est-à-dire à partir de l'an 2000, je pensais que les... si j'appelais ça les communs, personne ne comprendrait – dans l'univers francophone ou dans l'univers latino-phone en général. Et donc j'ai utilisé l'expression biens communs, et d'ailleurs je suis pas le seul: les latino-américains c'est bienes comunes (bien qu'ils aient l'expression procomun qui pourrait vouloir dire les communs et qui était plus utilisée que les communs en français); même chose en italien ou c'est bieni communi. Donc euh aujourd'hui je crois si je le refaisais, je parlerais directement des communs. Les communs, je pense qu'il est quand même très important de pas oublier qu'il y a quelque chose qui est extérieur aux humains dans les communs et qu'on gère à travers un statut de communs: ça peut être une ressource naturelle, ça peut être des logiciels, de l'information, des plantes euh... les humains peuvent se sentir partie de ce qu'ils gèrent – par exemple s'ils sont dans une philosophie comme c'est mon cas de penser que les humains ne sont qu'un des produits de l'évolution biologique et que quand on gère des ressources naturelles on est situés dans un ensemble qui nous dépasse – mais néanmoins si on parle de communs – et c'est des êtres humains qui ont décidé de parler de communs – c'est parce qu'ils parlaient de quelque chose qui fait l'objet de leurs activités mais qui est extérieur à eux et qu'il y a une ressource que l'on met sous un statut de communs. Et ils ont pas choisi de mettre tout sous un statut de communs, même dans l'histoire traditionnelle. Même les communautés villageoises qui avaient des maisons communes y compris la... pas seulement une maison commune avec des maisons privées mais une maison commune où tout le monde habitait, eh bien à l'intérieur il y avait des parties réservées aux familles – mais évidemment le sens du mot famille était beaucoup plus large que chez nous. Donc en fait on n'a jamais donné à tout un régime de commun. Donc maintenant je peux passer à la définition. Donc pour moi les communs c'est l'ensemble de ces ressources auxquelles on donne un statut qui n'est pas un statut de propriété, hein; même pas un statut de propriété commune; mais qui est un statut qui prend de façon paradoxale les attributs de la propriété. Je vais expliquer rapidement quoi: il y a trois attributs classiques dans le droit canon de la propriété c'est l'usus - la possibilité d'utiliser une chose; le frustus - la possibilité de la faire fructifier soit en l'enrichissant, soit en en tirant profit; et l'abusis qui est la possibilité de priver quelqu'un d'autre de son usage hein, de dire... de le rendre privé. Ça veut dire que je pense que la propriété c'est très important, en particulier qu'il y ait une sphère qui soit une sphère de l'individu, de la famille, du groupe qui soit pas envahissable n'importe comment – et ça les droits fondamentaux le reconnaissent. Mais les communs ils disent: OK, on va donner à tous un droit d'usage, éventuellement réglementé si c'est des biens usables, abîmables ou exhaustibles, enfin qui peuvent se... épuisables; euh on va donner également un droit à tous d'enrichir et de tirer profit des communs – éventuellement en donnant des règles sur comment on redistribue les bénéfices qui en résultent – comme par exemple les alpages: les gens qui tireront profit des alpages les redistribuent à l'ensemble de la communauté etc. Mais on va donner à personne le droit – au moins à personne dans la communauté concernée – le droit d'exclure les autres. Donc ça c'est la définition au sens des registres de la propriété de ce que sont les biens communs. Et après les communs c'est ça plus toutes les pratiques de gouvernance, de prise de décision, d'analyse des problèmes et de construction de relations humaines qui entourent les biens communs, voilà".s qui entourent les biens communs, voilà".)
  • Définir les communs - Soma Kishore Parthasarathy  + (Une définition des communs proposée par SoUne définition des communs proposée par Soma Kishore Parthasarathy, Indes, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs"ntribution au projet "Definir les communs")
  • Définir les communs - Gregor Kaiser  + (Une définition des communs proposée par GrUne définition des communs proposée par Gregor Kaiser, Germany, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Abdourahmane Seck  + (Une définition des communs proposée par AbUne définition des communs proposée par Abdourahmane Seck, Sénégal, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir the communs - Smari Mc Carthy  + (Une définition des communs proposée par SmUne définition des communs proposée par Smari Mc Carthy, IMMI Islande, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les biens communs - Anna Seravalli  + (Une définition des communs proposée par AnUne définition des communs proposée par Anna Seravalli (Fabriken) Suède, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Mike Linskvayer  + (Une définition des communs proposée par MiUne définition des communs proposée par Mike Linskvayer, USA, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs"ntribution au projet "Definir les communs")
  • Définir les communs - Alain Ambrosi  + (Une définition des communs proposée par AMUne définition des communs proposée par AMBROSI Alain, Québec (Canada), tirée d'un entretien réalisé par un collectif montréalais, à la suite de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui s'est déroulée à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Mahdi Hajri  + (Une définition des communs proposée par MaUne définition des communs proposée par Mahdi Hajri, Tunisie, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs"</br>(français et arabe) "Definir les communs" (français et arabe))
  • Définition des communs selon Yves Otis  + (Une définition des communs proposée par Yves Otis, de percolab, réalisée dans le cadre de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.)
  • Définir les Communs - Ludwig Schuster  + (Une définition des communs proposée par LuUne définition des communs proposée par Ludwig Schuster, Germany, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Hendro Sangkoyo  + (Une définition des communs proposée par HeUne définition des communs proposée par Hendro Sangkoyo, Indonesia, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Monique Chartrand  + (Une définition des communs proposée par MoUne définition des communs proposée par Monique Chartrand, Québec (Canada), tirée d'un entretien réalisé par un collectif montréalais à la suite de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui s'est déroulée à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Adama Dembélé  + (Une définition des communs proposée par DEUne définition des communs proposée par DEMBELÉ Adama, du Mali PAYS, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".</br></br>Langages : français et bambara.communs". Langages : français et bambara.)
  • Définir les communs - Marion Louisgrand Sylla  + (Une définition des communs proposée par MaUne définition des communs proposée par Marion Louisgrand Sylla, Sénégal, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définir les communs - Chris Watkins  + (Une définition des communs proposée par ChUne définition des communs proposée par Chris Watkins, Australie, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs"ntribution au projet "Definir les communs")
  • Définir les communs - Jaromil Rojo  + (Une définition des communs proposée par JaUne définition des communs proposée par Jaromil Rojo, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • Définition des communs selon Georges Pór  + (Une définition des communs proposée par GeUne définition des communs proposée par Georges Pór, United Kingdom, tirée d'un entretien réalisé par AMBROSI Alain, lors de la Conférence Internationale sur l'économie et les communs qui se déroulait à Berlin du 22 au 24 mai 2013.</br></br>Cette capsule est une contribution au projet "Definir les communs".tribution au projet "Definir les communs".)
  • CECOSESOLA : vivir lo comùn dia a dia  + (Une entrevue de Jorge Rath et Noel Vale Valera réalisée par AMBROSI Alain à la Conférence sur l'économie des Communs de Berlin en mai 2013.)
  • 21.09 Assemblée des communs - Rendez-vous avec nos imaginaires!  + (Une grande assemblée des communs est en préparation pour les 12, 13 et 14 novembre prochains. Quels seront les sujets abordés, les activités, les pistes d'actions ? Comment participer, contribuer à la préparation ?)
  • Londres ville ouverte ?  + (Une importante question de démocratie, de justice sociale, de prospérité économique et aussi d'innovation. Quels devraient être les biens communs à Londres?)
  • 04 Notice sur "Commun" de Pierre Dardot et Christian Laval  + (Une notice sur l'ouvrage ''Commun. Essai sur la révolution du XXIe siècle'' de Pierre Dardot et Christian Laval. Éditions La Découverte/Poche, Paris, (2014) 2015, 593 pages.)
  • 10 Notice sur "De l'universel, de l'uniforme, du commun et du dialogue entre les cultures" de François Jullien  + (Une notice sur l'ouvrage ''De l'universel, de l'uniforme, du commun et du dialogue entre les cultures'' de François Jullien. Éditions Fayard, Paris, 2008, 265 pages.)
  • 13 Notice sur "En communs" d'Hervé Le Crosnier  + (Une notice sur l'ouvrage ''En communs. Une introduction aux communs de la connaissance'' d'Hervé Le Crosnier. C & F Éditions, Caen, 2015, 254 pages.)
  • 03 Notice sur "La renaissance des communs" de David Bollier  + (Une notice sur l'ouvrage ''La renaissance des communs. Pour une société de coopération et de partage'' de David Bollier. Éditions Charles Léopold Mayer (version numérique), Paris 2014, 192 pages.)
  • 05 Notice sur "Le retour des communs" de Benjamin Coriat  + (Une notice sur l'ouvrage ''Le retour des communs. La crise de l'idéologie propriétaire'' de Benjamin Coriat (dir.). Éditions Les Liens qui Libèrent, Paris, 2015, 278 pages.)
  • 07 Notice sur "Où est passé le bien commun ?" de François Flahaut  + (Une notice sur l'ouvrage ''Où est passé le bien commun ?'' de François Flahaut. Éditions Mille et une nuits, Paris, 2011, 254 pages.)
  • 15 Notice sur "Participer" de Joëlle Zask  + (Une notice sur l'ouvrage ''Participer. Essai sur les formes démocratiques de la participation'' de Joëlle Zask, BDL Éditions, Paris, 2011, 324 pages.)
  • 08 Notice sur "Vers les biens communs. Souveraineté et propriété au XXIe siècle" de Stefano Rodota  + (Une notice sur le texte ''Vers les biens communs. Souveraineté et propriété au XXIe siècle'' de Stéfano Rodotà, paru dans ''Tracés'', hors-série n°16 «Traduire et introduire», Lyon, 2016, p. 211-232. Disponible en ligne sur: http://traces.revues.org/6632.)
  • Entrevues A l'école des communs - Montréal 2012  + (Une récolte de vidéo et textes sur le théme de science et démocratie: discussions sur les communs comme altenative pour les science et sur les activités des mouvement sociaux dans le domaine scientifique.)
  • Activist Funds For the Commons  + (Une trentaine de militants ont participé àUne trentaine de militants ont participé à l'élaboration d'une vision et d'idées pour lancer ce qui deviendra Fundaction (un fond géré par les activistes européens) lors d'une réunion qui a eu lieu à Séville en décembre 2016. À la suite de cette rencontre, début de 2018, chacun d'entre eux a reçu cinq invitations à envoyer à d'autres militants de toute l'Europe afin d'augmenter le nombre de membres pour une phase de prototypage. Après l'évaluation du prototype, le fonds a été lancé vers la mi-2018.ype, le fonds a été lancé vers la mi-2018.)
  • GUÉRANDE  + (Une vidéo de présentation de la rencontre internationale de Guérande organisée en octobre 2013.)
  • Les déjeuners des Communs (Communautique)  + (Version française : http://www.remixthecommons.org/projet/les-dejeuners-des-communs-de-montreal/ English version: http://www.remixthecommons.org/projet/les-dejeuners-des-communs-de-montreal/)
  • À l'école des communs  + (Version française : http://www.remixthecommons.org/projet/a-lecole-des-communs-2 English version : http://www.remixthecommons.org/en/projet/a-lecole-des-communs-2)
  • Les murs à pêches à Montreuil - 35 hectares de nature à protéger  + (Vestige du passé agricole montreuillois, lVestige du passé agricole montreuillois, le site des murs à pêche avec ses 35 hectares de nature fait figure d’ovni dans le paysage de la petite couronne parisienne. « Ce territoire est ce qui reste d’un réseau de plusieurs centaines de kilomètres de murs de terre et de pierre, édifié pour aider à la production de fruits, dont les pêches », peut-on lire sur le site de l’association éponyme. Une dizaine d’autres associations (autour du jardin, de la permaculture et de la culture tout court) font aujourd’hui vivre les murs avec un objectif commun : préserver ce lieu unique à quelques pas des cités populaires, de l’autoroute et de Paris.és populaires, de l’autoroute et de Paris.)
  • Les séances d’auditions publiques- Marrakech01  + (Videos: Public Hearings is a compilation bVideos: Public Hearings is a compilation box, which contains fifteen DVDs of public hearings which were organized by the Equity and Reconciliation Commission (IER), published by Conseil Consultatif Des Driots de I'HOMME(CCDH). Those public hearings took place in several cities, such as Figuige, Khenifra, El-houssaim, Marrakech, Rabat, El Rachidia. In them, the victims of years of lead were called to testify freely about their suffering, without naming their torturers. For the organizers of the hearings, it is not to "judge" but to "establish the truth" and "reconcile". </br>This session of public hearing took place in Marrakech. Witness : 1. AbderrahmanChoujar 2. Zahra lakhder (Mére de Mohammed Grina ) 3. Mohammed Atlas 4. Saleh benAtiq Ben ghali 5. Widad al bawab</br>En français</br>L'Instance équité et réconciliationa organisé des séances d'auditions publiques à Marrakech, où les victimes des années de plomb sont appelées à témoigner librement de leurs souffrances, sans pour autant nommer leurs tortionnaires.</br>Pour les organisateurs de ces auditions, il ne s'agit pas de « juger », mais de « rétablir la vérité » pour « se réconcilier ».</br>Les témoins : 1. AbderrahmanChoujar 2. Zahra lakhder (Mére de Mohammed Grina ) 3. Mohammed Atlas 4. Saleh benAtiq Ben ghali 5. Widad al bawab Saleh benAtiq Ben ghali 5. Widad al bawab)
  • Les séances d’auditions publiques- El-houssaima01  + (Videos: Public Hearings is a compilation bVideos: Public Hearings is a compilation box, which contains fifteen DVDs of public hearings which were organized by the Equity and Reconciliation Commission (IER), published by Conseil Consultatif Des Driots de I'HOMME(CCDH). Those public hearings took place in several cities, such as Figuige, Khenifra, El-houssaim, Marrakech, Rabat, El Rachidia. In them, the victims of years of lead were called to testify freely about their suffering, without naming their torturers. For the organizers of the hearings, it is not to "judge" but to "establish the truth" and "reconcile". </br>This session of public hearing took place in El-houssaima. Witness : 1. Ahmed Benssadik 2. Hafida Elyaazoubi 3. LahbibAzryaih.</br>En français</br>L'Instance équité et réconciliationa organisé des séances d'auditions publiques à Elhoussaima, où les victimes des années de plomb sont appelées à témoigner librement de leurs souffrances, sans pour autant nommer leurs tortionnaires.</br>Pour les organisateurs de ces auditions, il ne s'agit pas de « juger », mais de « rétablir la vérité » pour « se réconcilier ».</br>Les témoins : 1. Ahmed Benssadik 2. Hafida Elyaazoubi 3. LahbibAzryaihadik 2. Hafida Elyaazoubi 3. LahbibAzryaih)
  • Les séances d’auditions publiques- Rabat 01  + (Videos: Public Hearings is a compilation bVideos: Public Hearings is a compilation box, which contains fifteen DVDs of public hearings which were organized by the Equity and Reconciliation Commission (IER), published by Conseil Consultatif Des Driots de I'HOMME(CCDH). Those public hearings took place in several cities, such as Figuige, Khenifra, El-houssaim, Marrakech, Rabat, El Rachidia. In them, the victims of years of lead were called to testify freely about their suffering, without naming their torturers. For the organizers of the hearings, it is not to "judge" but to "establish the truth" and "reconcile". </br>This session of public hearing took place in Rabat, the capital of Maroc. Witness : 1. Rachid elmanouzi 2. Fatna 3. Ahmed benmansour 4. Jamal amezyan 5. Chari lahou 6. Alghali Bara.</br>En français</br>L'Instance équité et réconciliationa organisé des séances d'auditions publiques à Rabat, où les victimes des années de plomb sont appelées à témoigner librement de leurs souffrances, sans pour autant nommer leurs tortionnaires.</br>Pour les organisateurs de ces auditions, il ne s'agit pas de « juger », mais de « rétablir la vérité » pour « se réconcilier ».</br>Les témoins : 1. Rachid elmanouzi 2. Fatna 3. Ahmed benmansour 4. Jamal amezyan 5. Chari lahou 6. Alghali Baramal amezyan 5. Chari lahou 6. Alghali Bara)
  • Les séances d’auditions publiques- Rabat 02  + (Videos: Public Hearings is a compilation bVideos: Public Hearings is a compilation box, which contains fifteen DVDs of public hearings which were organized by the Equity and Reconciliation Commission (IER), published by Conseil Consultatif Des Driots de I'HOMME(CCDH). Those public hearings took place in several cities, such as Figuige, Khenifra, El-houssaim, Marrakech, Rabat, El Rachidia. In them, the victims of years of lead were called to testify freely about their suffering, without naming their torturers. For the organizers of the hearings, it is not to "judge" but to "establish the truth" and "reconcile". </br>This session of public hearing took place in Rabat, the capital of Maroc. Witness : 1. Maria ezzaouini 2. Abdallah agawe 3. Abdallah haydou 4. Ahmed Harzenni</br>En français</br>L'Instance équité et réconciliationa organisé des séances d'auditions publiques àRabat,où les victimes des années de plomb sont appelées à témoigner librement de leurs souffrances, sans pour autant nommer leurs tortionnaires.</br>Pour les organisateurs de ces auditions, il ne s'agit pas de « juger », mais de « rétablir la vérité » pour « se réconcilier ».</br>Les témoins : 1. Maria ezzaouini 2. Abdallah agawe 3. Abdallah haydou 4. Ahmed Harzenniagawe 3. Abdallah haydou 4. Ahmed Harzenni)
  • Les séances d’auditions publiques- Figuig  + (Videos: Public Hearings is a compilation bVideos: Public Hearings is a compilation box, which contains fifteen DVDs of public hearings which were organized by the Equity and Reconciliation Commission (IER), published by Conseil Consultatif Des Driots de I'HOMME(CCDH). Those public hearings took place in several cities, such as Figuige, Khenifra, El-houssaim, Marrakech, Rabat, El Rachidia. In them, the victims of years of lead were called to testify freely about their suffering, without naming their torturers. For the organizers of the hearings, it is not to "judge" but to "establish the truth" and "reconcile". </br>This session of public hearing took place in Figuig. Witness 1. Famille « Belkassem OUZZANE » 2. BouazzaBenchara 3. Mohammed Kada 4. Mohammed .. 5. Fatima saadeddine 6. Abdelhak Ben abdellah</br>En français</br>L'Instance équité et réconciliationa organisé des séances d'auditions publiques à Figuig, où les victimes des années de plomb sont appelées à témoigner librement de leurs souffrances, sans pour autant nommer leurs tortionnaires.</br>Pour les organisateurs de ces auditions, il ne s'agit pas de « juger », mais de « rétablir la vérité » pour « se réconcilier ». Les témoins :</br>1. Famille « Belkassem OUZZANE » 2. BouazzaBenchara 3. Mohammed Kada 4. Mohammed .. 5. Fatima saadeddine 6. Abdelhak Ben abdellahFatima saadeddine 6. Abdelhak Ben abdellah)
  • LABSUS - Qui sommes-nous? (FRA)  + (Vidéo de présentation de Labsus, le Laboratoire pour la subsidiarité, organisation italienne qui promeut les règlements fondés sur l'idée de l'administration partagée.)
  • Les Biens Communs - Grève Étudiante - Accessibilité à l'éducation  + (Vidéo réalisé dans le contexte des mobilisations étudiantes au Québec en 2012, qui explique ce que sont les biens communs et le lien entre l'éducation et les biens communs.)
  • MOBmontréal et À vous, citoyens! à Laurier rue Libre  + (Vidéo réalisée par Communautique sur LauriVidéo réalisée par Communautique sur Laurier rue Libre au métro Laurier à Montréal le 18 mai 2013. </br></br>Laurier rue Libre est un événement organisé par Greenpeace et ruepublique dans le cadre de MOBmontréal et À table citoyens! pour la récupération de l'espace public comme bien commun.tion de l'espace public comme bien commun.)
  • Remix de "Abuela Grillo" par Simon  + (Voici un remix que j'ai fait à partir de lVoici un remix que j'ai fait à partir de la vidéo Abuela Grillo de Denis Chapon, ainsi que d'extraits audio des différentes entrevue réalisées par AMBROSI Alain. </br>En français</br>Voici un remix que j'ai fait à partir de la vidéo Abuela Grillo de Denis Chapon, ainsi que d'extraits audio des différentes entrevue réalisées par AMBROSI Alain.ntes entrevue réalisées par AMBROSI Alain.)
  • Remix des communs de Guérande  + (un atelier de Remix des communs de la rencun atelier de Remix des communs de la rencontre comme processus d'appropriation et d'approfondissement de la notion de Biens Communs "in situ", c'est à dire, placé dans le contexte du processus de Guérande et de ses suites. </br></br>L'atelier vise à : </br>*produire collectivement une lecture cartographique des communs de Guérande.</br>*identifier et définir le vocabulaire des communs de Guérande.</br>*produire une documentation de l'expérience afin que celle-ci puisse être reproduite, améliorée et/ou adaptée à de nouveaux contextes.rée et/ou adaptée à de nouveaux contextes.)
  • Another Life Is Possible - Homage to Catalonia II  + (« Another life is possible. Homage to Cata« Another life is possible. Homage to Catalunya II » est un documentaire issue d’un projet de recherche universitaire, une histoire des histoires sur la construction d’une économie durable, solidaire et décentralisée, et des milliers de personnes chaque jour partout dans le monde. Ici et maintenant tissant des liens au-delà de l’individualisation et de la division hiérarchique du travail.et de la division hiérarchique du travail.)
  • Geek Politics  + (« Geek Politics » est un web-documentaire « Geek Politics » est un web-documentaire belge qui vous propose de plonger dans le monde des hackers, des Partis Pirates, mais aussi de ces Etats et entreprises qui cadenassent chaque jour un peu plus l'Internet que nous utilisons. Soutenu par le Fonds pour le journalisme,</br></br>Ce projet vous propose de découvrir l'univers méconnu des hackers et d'autres acteurs se cachant derrière Internet, ce réseau des réseaux que vous et moi nous utilisons tous les jours. Vous le verrez en parcourant les vidéos du webdoc, on est loin ici de l'image fantasmée du hacker diabolique derrière son écran en train d'essayer de pirater votre compte en banque pour vous délester de quelques euros. Non, on parle ici de communautés d'acteurs, dont certains ont développé les logiciels les plus répandus au monde, et qui participent à la mise en place de nouvelles formes de démocraties. On parle d'hommes et de femmes qui refusent de voir Internet contrôlé et cadenassé par une poignée d'Etats et d'entreprises spécialisées. Car les risques de flicage et de censure sont bel et bien réels. Et on parle du Parti Pirate aussi, cette formation politique originaire du nord de l'Europe qui se répand progressivement à travers le continent.</br></br>Enquête / Interviews / Voix : Quentin Noirfalisse Images : Adrien Kaempf, Maximilien Charlier Son / Design : Antoine Sanchez Montage : Adrien KaempfProduction : Maximilien Charlier Programmation : Yannick Ferireen Charlier Programmation : Yannick Ferire)
  • Les communs dans l’espace politique  + (« Les communs dans l'espace politique » est un montage réalisé à partir des vidéos d'ateliers et d'entrevues menés dans le cadre de l'Espace des communs à Montréal en août et septembre 2016.)
  • Neuf essentiels pour penser la culture en commun(s)  + (« Neuf essentiels » est une initiative édi« Neuf essentiels » est une initiative éditoriale de l’asbl Culture & Démocratie qui consiste en la compilation, introduite et commentée, d’au moins neuf notices bibliographiques concernant des ouvrages utiles pour qui veut s’informer sur un sujet d’actualité touchant à la culture et/ou à la démocratie.é touchant à la culture et/ou à la démocratie.)
  • Atelier Populaire d'Urbanisme  + (À la Villeneuve de Grenoble, des habitantsÀ la Villeneuve de Grenoble, des habitants ont construit un projet urbain alternatif face à une rénovation urbaine autoritaire menée par l'Etat. Un atelier populaire d'urbanisme a été organisé pour définir les grands axes du projet : habitat, éducation, environnement, démocratie et économie. A la suite de l'élection d'une nouvelle coalition de gauche, écologiste et citoyenne à Grenoble en 2014, l'architecte en chef a été démis de ses fonctions et il est projeté de co-construire un nouveau projet urbain. Un enjeu de construction du commun à l'échelle d'un quartier de 10 000 habitants.échelle d'un quartier de 10 000 habitants.)
  • L'économie collaborative, aubaine ou partage de miettes ?  + (À la croisée de l’innovation sociale et deÀ la croisée de l’innovation sociale et de la culture numérique, l'économie collaborative est en pleine explosion et nous force à repenser nos manières de vivre et de travailler. Mais Airbnb, Uber, Blablacar incarnent-ils l'avènement d'une nouvelle précarité ? Débat vidéo avec l'“économiste atterré” Benjamin Coriat et Diana Filippova, coordinatrice du think tank OuiShare.ova, coordinatrice du think tank OuiShare.)
  • Remix sémantique  + (Élaborer des outils pour une documentation systématique des communs et l'interconnexion des bases de données de documentation des communs.)
  • Bassin Versant Solidaire de Forest - RAPTZ  + (Émission de radio sur le projet Bassin versant solidaire de Forest)
  • Communs et Protection Sociale  + ('''La Protection Sociale est un projet de '''La Protection Sociale est un projet de société, c'est à dire une démarche volontaire pour répondre aux carences du système économique. Cette réponse s'est construite de manière située géographiquement, au niveau national, et dans une époque historique, pour évoluer au fil du temps. Aujourd'hui, elle est mise sous tension, fragmentée, ses institutions sont détournés de leur finalités. Quelle contribution les communs peuvent-ils apporter à une réforme de la protection sociale ?''' une réforme de la protection sociale ?''')
  • Série de podcasts sur la ressource en eau « Entre Rhône et Saône »  + (5ème (et dernier) épisode : « Ressource en5ème (et dernier) épisode : « Ressource en eau : les effets du changement climatique » (2)</br>avec Clémence Aubert (responsable du pilotage stratégique CNR), Nicolas Chantepy ( directeur adjoint de l’Agence Rhône Méditerranée Corse ) et Charlène Descollonges (ingénieure hydrologue).</br></br>4ème épisode : « Ressource en eau : les effets du changement climatique » (1)</br>avec Laurent Roy (directeur de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse), Matthieu Hervé (directeur du SAGYRC) et Coralie Scribe (La Jardinière Partageuse).</br></br>3ème épisode : « Tout savoir sur le cycle de l’eau »</br>avec Laurie Caillouet (association Eau’Dyssée), Maude Garcia (association l’Araire), Christophe Drozd et Anne Perrissin (Eau publique du Grand Lyon)</br></br>2ème épisode : « Les gardiens de l’eau »</br>avec le Collectif des péniches de Lyon, Odysseus 3.1, Randossage et HISA (Human Initiatives to Save Animals)</br></br>1er épisode : « Milieux aquatiques et biodiversité : le retour des castors et des poissons »</br>avec Des Espèces Parmi’Lyon (DEPL)sons » avec Des Espèces Parmi’Lyon (DEPL))
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Du 15 au 17 No<blockquote><p></br>Du 15 au 17 Novembre 2016, une Assemblée européenne des communs aura lieu à Bruxelles. Les commoners se réuniront, pour discuter, partager leur expérience, et réclamer une autre Europe. L’après-midi du 16, une réunion se déroulera au Parlement Européen, avec 150 d’entre eux, organisée en collaboration avec l’Intergroupe Parlementaire sur les biens communs et les services publics (dirigé par Marisa Matias, Dario Tamburrano, Ernesto Urtasun, Sergio Cofferati). Dans le même temps, d’autres événements et des assemblées locales auront lieu en dehors du Parlement, à Bruxelles et dans toute l’Europe.</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2016/09/ECA-300x212.jpg" alt="eca" width="900" height="636" class="aligncenter size-medium wp-image-4561" /><br /></br>Author: TILL GENTZSCH</p></br><p><H1>Autour du paradigme des communs</H1></p></br><p>Le 26 Septembre, un groupe d’organismes sans but lucratif, de fondations et d’autres organisations de la société civile publient conjointement un «Appel pour une Assemblée européenne des communs ». Le document rédigé collectivement, qui continue de recueillir les signatures collectives et individuelles à travers toute l’Europe, sert d’appel dans le but de constituer un réseau de «commoners».</p></br><p>L’Assemblée cherche à unir les citoyens dans un élan de solidarité trans-local et trans-européen pour faire face aux défis actuels de l’Europe et relancer le processus politique pour le 21e siècle. Les biens communs peuvent être compris comme un paradigme de transition qui met l’accent sur la coopération dans la gestion des ressources, des connaissances, des outils et des espaces aussi divers que l’eau, Wikipedia, le crowdfunding, ou un jardin communautaire. Leur appel décrit les communs comme :</p></br><ol></br>… les initiatives locales de coopération partant des habitants, basées sur le réseau qui sont déjà soutenues par des millions de personnes à travers l’Europe et le monde. Ces initiatives créent des systèmes autogérés qui répondent à des besoins importants. Elles opèrent à l’extérieur des marchés dominants et des programmes traditionnels de l’Etat et expérimentent de nouvelles structures hybrides.</ol></br><p>La proposition d’Assemblée Européenne des Communs a émergé en mai 2016, initiée par une communauté pilote de 28 militants issus de 15 pays européens, équilibré sur le plan du genre, travaillant dans différents champs des biens communs. Ce groupe est rejoint chaque jour par de nouveaux militants qui insistent sur le fait que l’Assemblée Européenne des communs est inclusive et ouverte, de sorte qu’un mouvement européen large et fluide puisse formé une large alliance citoyenne et démocratique. Elle cherche à rendre visibles les actes de mise en commun des citoyens pour les citoyens, tout en favorisant l’interaction avec les politiques et les institutions aux niveaux national et européen.</p></br><p><H1>Prendre part à un large mouvement </H1><br /></br>L’adoption rapide des communs comme une alternative durable et une vision du monde sociale et holistique, est en partie l’expression d’un malaise face au système économique actuel injuste et aux carences démocratiques. Le mouvement des communes a explosé ces dernières années, suite à l’attribution du prix Nobel d’économie à Elinor Ostrom en 2009 pour son travail sur la gestion des ressources communes. Il fusionne avec d’autres mouvements, comme les mouvements pour une économie de la solidarité et du partage, pour la production pairs à pairs, et pour la décroissance.</p></br><p>Michel Bauwens, figure de premier plan dans le mouvement peer-to-peer, qui fait partie de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA), explique: <em>Partout dans le monde, un nouveau mouvement social émerge, qui conteste les présupposés « extractivites » de l’économie politique dominante, sème des formes co-construites d’une société durable et solidaire. Les commoners prennent la parole, par exemple, dans les assemblées des communs qui émergent dans les villes françaises et ailleurs. Le temps est venu pour une transformation du monde politique, à travers une Assemblée européenne des communs.</em></p></br><p>L’Appel inclue une invitation à participer à une rencontre ouverte à Bruxelles du 15 au 17 Novembre 2016 pour trois jours d’activités et de réflexion partagée sur la façon de protéger et de promouvoir les communs. Cette rencontre inclue une session officielle au Parlement européen, accueillie par l’Intergroupe parlementaire sur les biens communs et services publics, le 16 Novembre (le nombre de place est limité).</p></br><p>Vous pouvez lire et <a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">signer le texte intégral</a> de l’appel, également disponible en français, en espagnol, et bientôt dans d’autres langues européennes, sur le <a href="http://europeancommonsassembly.eu">site Web</a> de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA). Cette signature (http://europeancommonsassembly.eu/sign-call/) peut être individuelle ou au nom d’organisations de la société civile. </p></br><p>Pour plus d’informations, visitez le site web <a href="http://europeancommonsassembly.eu/"> http://europeancommonsassembly.eu/ </a>ou suivez les mises à jour régulières via @CommonsAssembly sur Twitter.</p></br><p>Contact pour les médias: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu</p></br><p>Appel pour un processus d’assemblée européenne des communs :<br /></br><a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/</a></p></br><p>Traduction de de l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p> l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<blockquote><p> Interview of P<blockquote><p> Interview of Philippe Minard about E. P. Thompson’s book: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, translated and published in French in 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p>ef="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Interview of P<blockquote><p> Interview of Philippe Minard about E. P. Thompson’s book: Whigs and Hunters : The Origin of the Black Act, translated and published in French in 2014.</br></p></blockquote></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x1b1xbe?logo=0" allowfullscreen></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x1b1xbe_philippe-minard-boite-a-idees_news" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Philippe Minard</a> <i>par <a href="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p>ef="http://www.dailymotion.com/Mediapart" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Mediapart</a></i></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 mois après l’<blockquote><p>6 mois après l’espace des communs au Forum Social Mondial, notre outil de documentation / jeu de carte sur les communs est prêt à circuler, animer des conversations et vous aider à faire avancer les communs près de chez vous !</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" /></p></br><p>C@rtes en Commun est un jeu où 2 à 5 joueurs collaborant pour construire une société civile résiliente qui défend les communs contre les forces d’accaparement. Outre le plaisir de jouer, C@rtes en commun a été imaginé comme un moyen de documenter la présence des communs à l’Espace de communs, dispositif éphémère de rencontre au Forum Social Mondial à Montréal qui se déroulait en août 2016. Les cartes qui composent le jeu ont été conçues par les personnes présentes volontaires qui ont partagé leur vision et leur expérience des communs sur la base d’un design du jeu réalisé par Mathhieu Rhéaume et son équipe. Cette expérience permet de penser qu’il serait possible d’utiliser une même approche et ces outils méthodologiques pour documenter les communs dans d’autres contextes locaux, votre quartier, ou thématique comme les communs de la connaissance par exemple. Nous avons hâte de pouvoir mener de telles expériences ! </p></br><p>Pour en savoir plus sur le jeu, visitez le <a href="http://cartesencommun.cc/">site Internet</a>. Le jeu est publié à la demande par The Game Crafter aux USA pour le prix de 22,99 $US l’unité plus frais de port et de douane via : <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rtes-en-commun">https://www.thegamecrafter.com/</a> </p></br><p>Pour réduire les frais de port et douane pour les européens, nous lançons une commande groupée et nous espérons que cela ramènera le coût de chaque jeu livré en Europe à environ de 30/35 $US. </p></br><p>Si vous souhaitez participer à cette première commande groupée, <a href="https://goo.gl/forms/UdXsgNWxqklo4bJq2">remplissez le formulaire</a> avant le 18 mars à 20:00 GMT: </p></br><p>Vous devrez aussi versez une avance correspondant uniquement au prix du ou des jeux commandés. Le reste à payer (port et douane) vous sera demandé une fois la commande terminée, lorsque nous connaîtrons les coûts des frais postaux et de douane. </p></br><p>Ensuite, soyez patient ! La commande groupée sera initiée le 18 mars et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Afin de nourrir<blockquote><p>Afin de nourrir la réflexion sur l’intégration des communs de la connaissance dans les visions et perspectives des acteurs engagés dans la transition, nous proposons un séminaire autour du projet FLOK Society ave c Michel Bauwens les 22 et 23 septembre 2014 en région parisienne.</p></blockquote></br><p>Le projet FLOK Society (Free, Libre, Open Knowledge) est la première tentative d’apporter des propositions opérationnelles à l’échelle d’un pays pour une transition vers une société basée sur la connaissance libre et ouverte. Il vise à créer les conditions d’une transformation simultanée de la société civile, du marché et des pouvoirs publics basée sur une appropriation du paradigme des communs de la connaissance.</p></br><p>Le projet FLOK Society a été élaborer en Équateur à la demande d’institutions gouvernementales. Il a été dirigé par Michel Bauwens, leader de la P2P Foudation, qui a mobilisé autour de lui une large équipe de chercheurs et d’activistes en Équateur, en Amérique Latine et à travers le monde. Les travaux ont mis en perspective les quatre grandes filières mobilisant et produisant les communs de la connaissance : éducation et culture, science, industrie agriculture et services, et citoyenneté et participation (ref : <a href="http://tinyurl.com/obd9jdh">http://tinyurl.com/obd9jdh</a>), pour brosser une analyse de leurs effets de transformations sur le marché, l’État et la société civile, et proposer des orientations transversales et sectorielles de politiques publiques pour faire émerger une économie sociale de la connaissance qui contribue à une transition sociale, économique et environnementale. Ces propositions sont la déclinaison d’une matrice à caractère générale, sous forme de préconisations spécifiques au contexte local équatorien.</p></br><p>Indépendamment de la manière dont celles-ci seront (ou non) reprises sous formes de politiques publiques par le gouvernement ou d’initiatives de la société civile en Équateur, les travaux du projet FLOK Society offrent un corpus de propositions et une méthodologie qui méritent d’être mis à l’épreuve d’autres contextes que celui de l’Équateur. Ce séminaire invite à identifier et approfondir les propositions du projet FLOK Society et les mettre en perspective avec la recherche, les expériences et les mobilisations dans le contexte français et européen.</p></br><p>Dans ce contexte, les acteurs de la transition sont inscrits dans une histoire et un agenda de luttes, de mobilisations et d’expérimentations. Ce séminaire vise à permettre d’intégrer le paradigme des communs de la connaissance de manière utile et efficace dans les visions politiques des familles de pensée qui constituent les forces de la transition, que sont les mouvements sociaux, le syndicalisme, et l’Economie Sociale et Solidaire.</p></br><p>Comment la réflexion sur la place des communs de la connaissance va-t-elle inspirer ces familles de pensée ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ?</p></br><p>Le séminaire se structure autour de trois temps, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s’agit d’analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, pour, dans la mesure du possible, élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Ces trois axes de travail seront précédés d’une présentation du projet FLOK Society et suivi d’un temps de bilan du séminaire.</p></br><p>Le séminaire se déroule à Villarceaux, OEcocentre de la Bergerie, avec le soutien de la Fondation Charles Léopold Mayer – FPH</p></br><p>Information complémentaire : <a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan</a></p>ericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>L’Assemblée Eur<blockquote><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) est un <a href="http://europeancommonsassembly.eu">réseau de personnes engagées dans les communs</a> sur le terrain en Europe. Ce réseau s’est donné rendez-vous au Medialab Prado, Madrid du 25 au 27 octobre prochain. Cette rencontre se déroule en parallèle du Festival Transeuropa, lui-même une vaste réunion autour des alternatives politiques, sociales et environnementales. L’appel à participer est ouvert jusqu’au 4 août. [voir ici le <a href="https://goo.gl/forms/9vID21eSIojQsffk1">formulaire d’inscription</a>] </p></blockquote></br><p><a data-flickr-embed="true" data-footer="true" href="https://www.flickr.com/photos/medialab-prado/28100107155/" title="18.05.16 Taller"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://farm8.staticflickr.com/7379/28100107155_1659853c90_c.jpg" width="800" height="500" alt="18.05.16 Taller"></a><script async src="//embedr.flickr.com/assets/client-code.js" charset="utf-8"></script></p></br><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) a été lancée en novembre 2016 lors du <a href="https://europeancommonsassembly.eu/process/">premier événement public</a> sur les communs qui s’est déroulé au Parlement Européen et au centre social Zinneke à Bruxelles, en Belgique. Cette réunion a rassemblé plus de 150 commoners européens pour faire valoir la nécessité de politiques publiques pour les communs en Europe et développer les réseaux pour inscrire cette démarche dans la durée. </p></br><p>La rencontre de Madrid se structure autour d’ateliers thématiques sur les communs urbains, d’une rencontre avec les acteurs politiques de madrilènes et d’autres villes espagnoles, et de temps de délibération sur le futur de ECA à l’horizon 2018/2019. </p></br><p>Les ateliers thématiques, au coeur du processus de cette rencontre, permettront, à partir des échanges avec les initiatives madrilènes et espagnoles, d’expérimenter et de proto-typer les outils utiles au développement des communs urbains en Europe. Les premiers participants inscrits ont proposés de travailler sur dans thèmes tels que : Espace public, Migrations et réfugiés, Participation citoyenne à la politique urbaine, Culture, Aliments, Logement, Santé, Devise et financement pour les communs, Lois et mécanismes juridiques pour protéger les communs, Technologie pour la citoyenneté. Vous pouvez également proposer un thème qui ne figure pas déjà dans cette liste. Un processus d’agglutination permettra de définir la liste définitive des ateliers dans la limite de 8 atleirs. Pour cela remplissez le formulaire et proposez l’organisation d’un atelier spécifique et / ou de participer à l’un des ateliers déjà identifié qui vous intéresse.</p></br><p>Chaque atelier sera l’occasion de collaborations entre une ou plusieurs initiatives communautaires locales espagnoles et d’autres venant d’ailleurs en Europe engagées sur le thème de l’atelier. Ces ateliers seront conçus pour permettre le partage et l’exploration des connaissances et des stratégies fruits de ces expériences. À cette fin, l’équipe de coordination de ECA à Madrid organisera plusieurs vidéoconférences pour relier les différentes initiatives et co-concevoir les contenus de l’atelier avant la rencontre avec les participants. La méthodologie de facilitation sera aussi conçue pour inclure les participants dans la démarche structuration de la documentation des travaux collectifs afin de ressortir de la rencontre avec une boite à outils partagée sur les communs urbains. </p></br><p>Coté logistique, lorsque vous remplissez le formulaire, vous pouvez indiquer si vous avez besoin de faire couvrir vos frais de déplacement et / ou d’hébergement par l’organisation (dans le cas où il n’est pas possible de couvrir ces dépenses d’une autre manière). </p></br><p>Pour plus d’informations, contactez nicole.leonard [at] sciencespo.fr ou bien retrouvez plus d’informations sur le<a href="https://europeancommonsassembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>assembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Revoir et comme<blockquote><p>Revoir et commenter la conversation sur polemictweet.com. </p></blockquote></br><div id="metadataplayer_embed"></div></br><p><script type="text/javascript" src="http://polemictweet.com/pour-la-transition-une-conomie-du-partage-de-la-connaissance-et-des-biens-communs/embedscript.php"></script></p>nomie-du-partage-de-la-connaissance-et-des-biens-communs/embedscript.php"></script></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>See and comment<blockquote><p>See and comment the conversation with polemictweet.com</br></p></blockquote></br><p>This conference is only in French. </p></br><div id="metadataplayer_embed"></div></br><p><script type="text/javascript" src="http://polemictweet.com/pour-la-transition-une-conomie-du-partage-de-la-connaissance-et-des-biens-communs/embedscript.php"></script></p>ition-une-conomie-du-partage-de-la-connaissance-et-des-biens-communs/embedscript.php"></script></p>)
  • Chargement/Site  + (<figure id="attachment_6626" aria-descr<figure id="attachment_6626" aria-describedby="caption-attachment-6626" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6626 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg" alt="" width="607" height="273" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-342x154.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-768x346.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1.jpg 1024w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6626" class="wp-caption-text">Photo Vincent Calle</figcaption></figure></br><h2>Appel en commun</h2></br><p>le 19 février 2021.Rencontre avec Joël Lecussan, coordinateur de Mix’art Myris et une personne membre d’un lieu, une réalité sociale du réseau italien des communs urbains, à partir des questions suivantes : <strong>Comment créer et maintenir des conditions d’une pérennité des lieux indépendants en communs ? Quelles stratégies ont été mises en place ? Quelles expériences partager et quelles solidarités pour soutenir les lieux menacés ?</strong></p></br><p style="padding-left: 40px;">Date : mardi 23/02/2021<br /></br>Heure : de 20 h à 21 h CET (Paris) – 14 h à 15 h EDT (Montréal)<br /></br>Rencontre en ligne : <a href="https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw">https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw</a><br /></br>(utilisez votre navigateur – aucune installation d’application n’est nécessaire)<br /></br>La rencontre se déroulera en français.</p></br><p>Un grand nombre de lieux occupés fonctionnent sur la base des communs. Les artistes y trouvent un espace de travail collectif alors qu’ils sont souvent confrontés à la rareté des espaces accessibles en milieu urbain. Ils sont le creuset où s’élabore la production artistique à laquelle aura accès le public. Ces lieux sont aussi des espaces les communautés produisent, diffusent et reproduisent de la connaissance utile à leur membres. Ils permettent de satisfaire de nombreux besoins d’utilisatrices et d’utilisateurs dans des domaines très variés : santé, alimentation, éducation, accès aux droits, accueil des réfugié-e-s pour ne citer que les plus courants. Ce rapport à la communauté en fait de véritables lieux en commun, de l’agir en commun : auto-organisation et horizontalité de la gouvernance, partage des ressources, soin apporté à la communauté et ses conditions d’existence.</p></br><p>Pourtant, l’existence de ces lieux est fragile. Leur rôle est remis en cause et ils sont souvent menacés d’expulsion sur des bases administratives. C’est ce qui arrive aujourd’hui à Mix’art à Toulouse. Mix’art Myris, c’est pourtant le squat emblématique de la scène artistique et sociale de la ville rose. Des générations de plasticiens, sculpteurs, circaciens s’y sont retrouvés. Et ces dernières années, le lieu est devenu un point de ralliement pour le mouvement des gilets jaunes. L’appel en commun sera l’occasion d’un échange sur entre militants français et italiens qui font face à ces questions et imaginent des stratégies pour défendre les lieux communs.</p>éfendre les lieux communs.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<h1 id="magicdomid852"><strong><h1 id="magicdomid852"><strong>Présentation</strong></h1></br><h3 id="magicdomid4">Contexte :</h3></br><div id="magicdomid63">En automne 2012, j’ai été invitée à accompagner un groupe de treize adolescents-es dans une expérience interculturelle et humanitaire en tant que vidéaste documentaire. Organisé par le Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVSEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine, le séjour s’est déroulé au Bénin (du 4 au 22 janvier 2013) avec la Société des Missions Africaines. Mon mandat: réaliser un documentaire sur l’expérience béninoise. Étant à ce moment animatrice vidéo chez Communautique, le séjour humanitaire a été l’occasion de créer des liens avec mon milieu de travail. J’ai donc proposé la création de capsules vidéo sur les biens communs au Bénin.</div></br><div id="magicdomid7"></div></br><div id="magicdomid8">Pour préparer l’expérience à l’étranger, il y a eu deux camps de formation. J’ai préparé des ateliers vidéo pour transmettre des connaissances techniques, pour expérimenter avec les jeunes et pour scénariser la vision du projet vidéo. Lors du deuxième camp, la notion de bien commun a été abordé en parallèle à la présentation de Remix Biens Communs. J’ai invité les jeunes à choisir trois thèmes qui les interpellaient. Ils ont identifié l’eau, l’éducation et la culture. Ceux-ci devenaient par la suite des sujets des discussions ou d’observations pour documenter notre séjour.</div></br><div id="magicdomid9"></div></br><div id="magicdomid10">Stéphanie L.-Bérubé</div></br><div id="magicdomid11">Vidéaste documentaire</div></br><div id="magicdomid12"></div></br><h3 id="magicdomid426">Projet final : Bénin Bien Commun</h3></br><div id="magicdomid14"></div></br><div id="magicdomid15">Le projet se traduit en une série de cinq capsules vidéo, réalisées à partir du matériel recueilli, qui ouvre sur des possibilités de remix.</div></br><div id="magicdomid17"></br><ul></br><li>Chapitre de l’eau</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid18"><b>Sô-Ava et ses heaurizons </b></div></br><div id="magicdomid19">La commune de So-Âva (Ganvié) regroupe plusieurs villages dont plusieurs sont bâtis sur pilotis. La sacralité de l’eau, l’accès à l’eau potable et la culture locale de la pêche sont abordés dans cette vidéo qui sert les objectifs de VOIR et d’ANALYSER du Service en animation et à la vie étudiante et communautaire (SAVEC).</div></br><div id="magicdomid20"></div></br><div id="magicdomid21"><b>PUITS</b></div></br><div id="magicdomid22">« Quand le puits est sec, on sait ce que vaut l’eau. » Ou encore, « c’est avec l’eau du corps qu’on tire celle du puits. » Vous trouverez beaucoup de ces proverbes africains, car le puits est un symbole connu de l’accès à l’eau en Afrique. Pendant notre séjour, nous avons vu une diversité de puits. Aussi, les jeunes ont pu essayer de leurs propres mains la courroie de l’accès. Une petite capsule a été réalisée afin de  lui rendre hommage, une ode indirecte à l’eau.</div></br><div id="magicdomid23"></div></br><div id="magicdomid24"></br><ul></br><li>Chapitre de l’éducation</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid25"><b>L’éducation dans tous ses états</b></div></br><div id="magicdomid26">La jeune COOP du Collège Sainte-Anne de Lachine appuie des projets d’éducation dans le monde. C’est donc avec grand intérêt que les jeunes ont souhaité abordé la diversité des lieux d’éducation au Bénin. Dans cette capsule, quatre situations (l’école rurale, l’école en pirogue, formation et réinsertion, l’éducation appliquée) sont abordées et  illustrent qu’un projet d’éducation doit s’inscrire d’abord dans le contexte local pour appuyer son développement national.</div></br><div id="magicdomid27"></div></br><div id="magicdomid28"></br><ul></br><li>Chapitre de la culture immatérielle</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid29">De l’histoire aux pratiques spirituelles, le bien commun se traduit également par la façon dont les individus se regroupent pour prendre en charge la culture immatérielle de leur nation et de notre humanité.</div></br><div id="magicdomid30"></div></br><div id="magicdomid31"><b>Le chez soi</b></div></br><div id="magicdomid32">Quel est le rôle de l’Histoire dans notre compréhension de la démocratie, des droits humains et, finalement, du bien commun? Comment le passé peut expliquer les réalités d’aujourd’hui et nous faire réfléchir sur l’avenir? Dans cette vidéo, l’histoire de l’esclavage est mis en parallèle (et donc en opposition) avec la notion du « chez soi » afin d’améliorer notre compréhension de la liberté des États africains et des Africains. Où ce chez soi commence-t-il?</div></br><div id="magicdomid33"></div></br><div id="magicdomid34" style="padding-left: 30px;">« Le chez soi est un droit inné que nul n’a le droit de violer parce qu’il est source d’affection, de bonheur, de liberté d’action, de liberté d’expression. Je crois que le chez soi commence dans le foyer. […] il s’entend à la cour, à l’environnement, à la région, au pays organisé. » <i>(intervention en introduction : « Jusqu’où es-tu chez soi? Petit déjeuner en commun à Kédougou » réalisé par Anne-Julie Rollet et Kër Thiossane en collaboration avec La Companyìa)</i></div></br><div id="magicdomid35"></div></br><div id="magicdomid36"><b>Le monde invisible</b></div></br><div id="magicdomid430">Tournée lors de la Journée internationale du vaudou au Bénin, cette vidéo présente une discussion avec les jeunes sur leur perception et  leur compréhension de la fête religieuse. Le caractère ethnographique de cette vidéo illustre la complexité de la diversité et permet de réfléchir à la façon d’aborder l’interculturel en matière de biens communs et de métaphysique à travers des questions telles que: D’où viennent  vos conceptions du monde? Comment se reflètent-elles dans vos actions, votre intégrité et, donc, votre approche du bien commun?</div></br><div id="magicdomid728"></div></br><h2 id="magicdomid850">Futur développement</h2></br><div id="magicdomid1023"></br><div id="magicdomid422">Actuellement, ce projet personnel est terminé. Il présente néanmoins un potentiel de développement et de réutilisation pour aborder les biens communs en Afrique ou la perspective interculturelle des biens communs.</div></br><div id="magicdomid410"></br><ul></br><li>Le matériel peut être utilisé pour des remixs.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid411"></br><ul></br><li>Les capsules sur l’eau pourraient être utilisées dans des projets vidéo sur l’eau selon différents pays. Par exemple, faire un remix de « Sô-AVA et ses heaurizons » de Bénin Biens Communs et de « Ô Saint-Laurent : une histoire de culture et d’appartenance » de Communautique.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid412"></br><ul></br><li>Le chapitre sur l’éducation offre du matériel intéressant à croiser dans une réflexion mondiale sur la diversité des projets ou des réalités de l’éducation.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid413"></br><ul></br><li>Les deux capsules du chapitre « culture » mériteraient d’être améliorées par du nouveau matériel qui permettent de mieux encadrer la réflexion (qu’est-ce qu’un bien commun culturel immatériel?) et donc de la clarifier. Aussi, un remix peut mettre en parralèle de nouveaux matériels audiovisuels qui illustrent d’autres exemples concrets.</li></br></ul></br></div></br></div></br><div id="magicdomid1141">Les vidéos seront sous-titrées en français pour l’accessibilité du web pour les sourds, mais pourraient également être traduites en anglais.</div></br><div id="magicdomid1143"></div></br><h2 id="magicdomid1347">Collaborateurs</h2></br><div id="magicdomid47">Réalisation et montage : Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid48">Caméra: captation collective (les treize jeunes du groupe*), sous la direction de Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid49">* Anne-Julie, Amélie, Ariane, Cassandra, Cédric, Charlotte, Daphnée, Élaine, Mathieu, Marika, Nathaniel, Roxanne et Zoé.</div></br><div id="magicdomid50">Accompagnateurs: Martin Chevalier et François Gnonhoussou</div></br><h2 id="magicdomid1364">Financement</h2></br><p>Une production de Communautique, avec l’appui du Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine.</p></br><div id="magicdomid54"></div></br><div id="magicdomid55"></br><h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2></br></div></br><div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>p> <div id="magicdomid54"></div> <div id="magicdomid55"> <h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2> </div> <div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>)
  • Chargement/Site  + (<h1 id="magicdomid852"><strong><h1 id="magicdomid852"><strong>Présentation</strong></h1></br><h3 id="magicdomid4">Contexte :</h3></br><div id="magicdomid63">En automne 2012, j’ai été invitée à accompagner un groupe de treize adolescents-es dans une expérience interculturelle et humanitaire en tant que vidéaste documentaire. Organisé par le Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVSEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine, le séjour s’est déroulé au Bénin (du 4 au 22 janvier 2013) avec la Société des Missions Africaines. Mon mandat: réaliser un documentaire sur l’expérience béninoise. Étant à ce moment animatrice vidéo chez Communautique, le séjour humanitaire a été l’occasion de créer des liens avec mon milieu de travail. J’ai donc proposé la création de capsules vidéo sur les biens communs au Bénin.</div></br><div id="magicdomid7"></div></br><div id="magicdomid8">Pour préparer l’expérience à l’étranger, il y a eu deux camps de formation. J’ai préparé des ateliers vidéo pour transmettre des connaissances techniques, pour expérimenter avec les jeunes et pour scénariser la vision du projet vidéo. Lors du deuxième camp, la notion de bien commun a été abordé en parallèle à la présentation de Remix Biens Communs. J’ai invité les jeunes à choisir trois thèmes qui les interpellaient. Ils ont identifié l’eau, l’éducation et la culture. Ceux-ci devenaient par la suite des sujets des discussions ou d’observations pour documenter notre séjour.</div></br><div id="magicdomid9"></div></br><div id="magicdomid10">Stéphanie L.-Bérubé</div></br><div id="magicdomid11">Vidéaste documentaire</div></br><div id="magicdomid12"></div></br><h3 id="magicdomid426">Projet final : Bénin Bien Commun</h3></br><div id="magicdomid14"></div></br><div id="magicdomid15">Le projet se traduit en une série de cinq capsules vidéo, réalisées à partir du matériel recueilli, qui ouvre sur des possibilités de remix.</div></br><div id="magicdomid17"></br><ul></br><li>Chapitre de l’eau</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid18"><b>Sô-Ava et ses heaurizons </b></div></br><div id="magicdomid19">La commune de So-Âva (Ganvié) regroupe plusieurs villages dont plusieurs sont bâtis sur pilotis. La sacralité de l’eau, l’accès à l’eau potable et la culture locale de la pêche sont abordés dans cette vidéo qui sert les objectifs de VOIR et d’ANALYSER du Service en animation et à la vie étudiante et communautaire (SAVEC).</div></br><div id="magicdomid20"></div></br><div id="magicdomid21"><b>PUITS</b></div></br><div id="magicdomid22">« Quand le puits est sec, on sait ce que vaut l’eau. » Ou encore, « c’est avec l’eau du corps qu’on tire celle du puits. » Vous trouverez beaucoup de ces proverbes africains, car le puits est un symbole connu de l’accès à l’eau en Afrique. Pendant notre séjour, nous avons vu une diversité de puits. Aussi, les jeunes ont pu essayer de leurs propres mains la courroie de l’accès. Une petite capsule a été réalisée afin de  lui rendre hommage, une ode indirecte à l’eau.</div></br><div id="magicdomid23"></div></br><div id="magicdomid24"></br><ul></br><li>Chapitre de l’éducation</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid25"><b>L’éducation dans tous ses états</b></div></br><div id="magicdomid26">La jeune COOP du Collège Sainte-Anne de Lachine appuie des projets d’éducation dans le monde. C’est donc avec grand intérêt que les jeunes ont souhaité abordé la diversité des lieux d’éducation au Bénin. Dans cette capsule, quatre situations (l’école rurale, l’école en pirogue, formation et réinsertion, l’éducation appliquée) sont abordées et  illustrent qu’un projet d’éducation doit s’inscrire d’abord dans le contexte local pour appuyer son développement national.</div></br><div id="magicdomid27"></div></br><div id="magicdomid28"></br><ul></br><li>Chapitre de la culture immatérielle</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid29">De l’histoire aux pratiques spirituelles, le bien commun se traduit également par la façon dont les individus se regroupent pour prendre en charge la culture immatérielle de leur nation et de notre humanité.</div></br><div id="magicdomid30"></div></br><div id="magicdomid31"><b>Le chez soi</b></div></br><div id="magicdomid32">Quel est le rôle de l’Histoire dans notre compréhension de la démocratie, des droits humains et, finalement, du bien commun? Comment le passé peut expliquer les réalités d’aujourd’hui et nous faire réfléchir sur l’avenir? Dans cette vidéo, l’histoire de l’esclavage est mis en parallèle (et donc en opposition) avec la notion du « chez soi » afin d’améliorer notre compréhension de la liberté des États africains et des Africains. Où ce chez soi commence-t-il?</div></br><div id="magicdomid33"></div></br><div id="magicdomid34" style="padding-left: 30px;">« Le chez soi est un droit inné que nul n’a le droit de violer parce qu’il est source d’affection, de bonheur, de liberté d’action, de liberté d’expression. Je crois que le chez soi commence dans le foyer. […] il s’entend à la cour, à l’environnement, à la région, au pays organisé. » <i>(intervention en introduction : « Jusqu’où es-tu chez soi? Petit déjeuner en commun à Kédougou » réalisé par Anne-Julie Rollet et Kër Thiossane en collaboration avec La Companyìa)</i></div></br><div id="magicdomid35"></div></br><div id="magicdomid36"><b>Le monde invisible</b></div></br><div id="magicdomid430">Tournée lors de la Journée internationale du vaudou au Bénin, cette vidéo présente une discussion avec les jeunes sur leur perception et  leur compréhension de la fête religieuse. Le caractère ethnographique de cette vidéo illustre la complexité de la diversité et permet de réfléchir à la façon d’aborder l’interculturel en matière de biens communs et de métaphysique à travers des questions telles que: D’où viennent  vos conceptions du monde? Comment se reflètent-elles dans vos actions, votre intégrité et, donc, votre approche du bien commun?</div></br><div id="magicdomid728"></div></br><h2 id="magicdomid850">Futur développement</h2></br><div id="magicdomid1023"></br><div id="magicdomid422">Actuellement, ce projet personnel est terminé. Il présente néanmoins un potentiel de développement et de réutilisation pour aborder les biens communs en Afrique ou la perspective interculturelle des biens communs.</div></br><div id="magicdomid410"></br><ul></br><li>Le matériel peut être utilisé pour des remixs.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid411"></br><ul></br><li>Les capsules sur l’eau pourraient être utilisées dans des projets vidéo sur l’eau selon différents pays. Par exemple, faire un remix de « Sô-AVA et ses heaurizons » de Bénin Biens Communs et de « Ô Saint-Laurent : une histoire de culture et d’appartenance » de Communautique.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid412"></br><ul></br><li>Le chapitre sur l’éducation offre du matériel intéressant à croiser dans une réflexion mondiale sur la diversité des projets ou des réalités de l’éducation.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid413"></br><ul></br><li>Les deux capsules du chapitre « culture » mériteraient d’être améliorées par du nouveau matériel qui permettent de mieux encadrer la réflexion (qu’est-ce qu’un bien commun culturel immatériel?) et donc de la clarifier. Aussi, un remix peut mettre en parralèle de nouveaux matériels audiovisuels qui illustrent d’autres exemples concrets.</li></br></ul></br></div></br></div></br><div id="magicdomid1141">Les vidéos seront sous-titrées en français pour l’accessibilité du web pour les sourds, mais pourraient également être traduites en anglais.</div></br><div id="magicdomid1143"></div></br><h2 id="magicdomid1347">Collaborateurs</h2></br><div id="magicdomid47">Réalisation et montage : Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid48">Caméra: captation collective (les treize jeunes du groupe*), sous la direction de Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid49">* Anne-Julie, Amélie, Ariane, Cassandra, Cédric, Charlotte, Daphnée, Élaine, Mathieu, Marika, Nathaniel, Roxanne et Zoé.</div></br><div id="magicdomid50">Accompagnateurs: Martin Chevalier et François Gnonhoussou</div></br><h2 id="magicdomid1364">Financement</h2></br><p>Une production de Communautique, avec l’appui du Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine.</p></br><div id="magicdomid54"></div></br><div id="magicdomid55"></br><h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2></br></div></br><div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>p> <div id="magicdomid54"></div> <div id="magicdomid55"> <h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2> </div> <div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>)
  • Chargement/Site  + (<h2>Entrevue avec Ugo Mattei. Chieri<h2>Entrevue avec Ugo Mattei. Chieri, 14 juillet 2015</h2></br><p><strong>Auteur : Irene Favero</strong><br /></br><strong>Traduction de Camille Le Crosnier</strong></p></br><p>Cette interview a été réalisée sous la forme d’une promenade, partant de la mairie de Chieri, point central du Festival International des Communs, jusqu’à Ex Tabasso, une friche industrielle de 3000m2, située en centre ville, récupérée pour y instituer un espace en-commun.</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/images/Ugo_Mattei_-_Biennale_Democrazia_2013.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/Ugo_Mattei_-_Biennale_Democrazia_2013.jpg" width="512" height="700" /></a></p></br><p> </p></br><h3><span id="Histoire_d.27un_festival" class="mw-headline">Histoire d’un festival</span></h3></br><p>Ce festival est une tentative de travail sur l’alphabétisation des peuples par rapport aux biens communs. Dans un processus révolutionnaire il est nécessaire de ne pas retomber dans les erreurs du passé. Jusqu’à présent tous les processus révolutionnaires ont fini par retomber dans les mêmes mécanismes de pouvoir en se limitant à changer les personnes qui détiennent ces pouvoirs.</p></br><p>J’ai consacré presque toute ma carrière scientifique et académique à essayer de former des générations et des groupes de personnes qui pourront devenir des leaders une fois la révolution faite, sans retomber dans les erreurs du passé.</p></br><p>La fondation de l’IUC1 n’avait pas comme but de faire la révolution, puisqu’elle viendra de toute façon, mais de me préoccuper de ce qui viendra après. Pendant un certain temps j’ai pensé que cela pouvait se réaliser uniquement grâce aux élites, que l’on pourrait imaginer la construction d’une avant-garde. À partir de 2010-2011 environ, de la période de la première organisation du référendum, j’ai réalisé que les élites sont trop facilement corruptibles et qu’au contraire les masses ne peuvent pas être corrompues, sinon par des processus extrêmement complexes.</p></br><p>J’ai donc pensé que les biens communs devaient devenir une grammaire de masse, que l’on doive arriver d’abord à une fertilisation intellectuelle des personnes, pour leur faire comprendre ce que sont les biens communs, les risques que l’on encourt si on ne s’en préoccupe pas, la joie que l’on ressent à s’en occuper, en bref toutes ces expériences qui rendent la vie digne d’être vécue non pas comme une expérience de masturbation solipsiste mais comme une expérience plus sociale, politique. J’ai donc réfléchi à la façon de contaminer le plus de personnes possible. C’est ce que j’ai essayé de faire à Naples, avec l’idée d’alphabétisation écologique. J’avais introduit, dans le statut de l’Azienda Spéciale ABC (Acqua Bene Comune) de Naples, un chapitre consacré à cette question : investir dans la construction d’une conscience écologique dans les écoles etc. Et je l’ai fait en partie, mais ensuite l’expérience napolitaine s’est arrêtée, d’une façon plutôt dramatique d’ailleurs, et puis je me suis retrouvé avec cette opportunité.</p></br><h3><span id="Contexte_politique_de_Chieri" class="mw-headline">Contexte politique de Chieri</span></h3></br><p>Je n’aurais jamais imaginé participer à une élection administrative et encore moins vouloir devenir maire de Chieri. J’y ai une maison de vacances, mais je n’avais jamais fréquenté l’environnement politique de cette ville. Puis, un groupe de camarades m’ont dit « Ici, c’est l’ennui total, ils sont tous pareils, le Parti démocrate (centre gauche) est comme le PDL (centre droite)… », donc j’ai dit « Si vous voulez utiliser mon nom pour les menacer d’une candidature, allez-y », et ces camarades ont répandu la rumeur selon laquelle j’aurais voulu me porter candidat aux élections locales. Le Parti démocrate, surestimant mes possibilités de gagner l’élection, du fait de ma présence dans le contexte politique national, a proposé de faire un accord politique plutôt que de me laisser participer. Et dans cet accord j’ai négocié un certain nombre de points.</p></br><p>Le premier étant le refus de la construction du Périphérique Est, qui était un grand chantier qui devait se faire, voulu par le Parti démocrate, et ils ont finalement accepté malgré des désaccords importants. Le deuxième était la création d’un règlement pour le gouvernement des biens communs sur lequel j’aurais eu la main, donc différent et plus avancé que celui de Bologne et des autres plus subsidiaires, et qui puisse fonctionner d’une autre façon. Le troisième point était l’organisation d’un festival international des biens communs.</p></br><p>C’était donc un accord d’un an, un accord politique que j’ai respecté. Et nous avons donc organisé le festival avec les camarades : Freddy, Roberta, Ettore, Michele Spanò, les camarades de l’IUC, et toutes les personnes qui ont collaboré.</p></br><p>J’ai vu le festival comme un moyen de faire repartir en Italie le discours sur les biens communs après le référendum sur « l’Acqua bene commune », en remettant les communs au centre de la discussion, avec une dimension nationale et même internationale et pas seulement purement locale. L’idée était de sensibiliser cette population locale qui en a bien besoin : Chieri est une petite ville riche, petite-bourgeoise, très catholique, qui a donc un véritable besoin de pensée critique. Mais il y a aussi une dimension nationale, on voulait essayer de voir combien de personnes ayant participé aux luttes pour les biens communs ces dernières années voulaient y prendre part, et elles sont nombreuses. Il s’agissait d’ouvrir de nouveaux scénarios de dialogue international. L’équilibre entre le monde académique et les activistes en ce qui concerne les communs</p></br><p>Deux choses importantes se sont passées ici. La première étant celle de la réflexion politique : il y a eu un rapprochement en Italie entre les praticiens des biens communs « gentils », donc Rodotà et le monde issu de la commission sur les biens communs (les biens communs libéraux si on peux les appeler ainsi), et les praticiens des biens communs « méchants », les « méchants maîtres », Negri, EuroNomade etc… Et cette recomposition a eu lieu, c’est à dire que nous avons parlé un langage commun, nous nous sommes mis ensemble autour de la table, nous avons repris des conversations qui étaient en suspend depuis longtemps. C’était un point important. À cela s’est ajouté un fait nouveau très important, que l’on comprendra mieux avec le temps : le passage, dans la doctrine catholique relative aux biens communs, de la vision transcendante à la vision immanente. C’est l’un des sujets de discussion que l’on a fait avancer.</p></br><p>Il existe un acte constitutionnel (je prends le point de vue du juriste que je suis) du plus ancien système juridique occidental, celui de l’église catholique, qui a mis dans sa constitution le devoir pour plus d’un milliard de personnes de traiter les biens communs immanents, ceux de la terre, avec une attitude de soin et de protection. Avec une composition de ce type, on est face à une composition constituante. Remettre en jeu, contre le néolibéralisme et contre la pensée unique, une masse très vaste et hétérogène mais réunie autour d’un processus de résistance, cela a une importance énorme. Et cela a fonctionné comme cadre théorique.</p></br><p>Pour ce qui est de la participation citoyenne, il y a eu beaucoup de monde, il y a eu quelques articles dans les journaux, on en a parlé… Bien sûr, nombre de ces séminaires n’étaient pas simples, mais ils ont représenté un moment de discussion et beaucoup de personnes ont participé. Lors des conférences matinales, qui étaient pensées comme des moments d’étude, hier, vendredi matin, il y avait 150-160 personnes engagées dans les trois séminaires, ce matin, samedi, une centaine. Cela signifie qu’environ 250 personnes ont pensé aux communs avec un niveau technique plutôt avancé. Et puis on a parlé de beaucoup d’autres choses aussi, dont l’« Area Tabasso bene comune ».</p></br><p>C’est clair qu’il faut trouver des équilibres, mais on fait ce qu’on peut, c’était une première édition et on verra dans le futur. La suite</p></br><p>Dans l’idéologie de la modernité je refuse l’idée de l’obligation de résultat, l’important c’est le processus. Cette idée du résultat est un peu phallique, ce qui m’intéresse c’est le processus qui conduit au résultat. Ce festival est une partie d’un chemin, qui m’occupe complètement et qui occupe d’autres personnes aussi, qui est le chemin qui doit conduire à l’incendie du grand tas de bois mouillé qu’est le capitalisme, qui peut être incendié mais en s’y prenant de différentes façons. Si tu essayes d’incendier un tas de bois mouillé à partir d’un seul endroit tu n’y arriveras jamais, si tu t’y mets de différents endroits tu y arrives. Comme on ne sait pas quel pourrait être l’endroit le plus adapté, moi, de façon peut-être désordonnée, j’essaye à chaque fois que je peux et d’où je peux. Si chacun fait de même, ensemble, on construit un chemin d’émancipation, et cela serait très beau à mon avis.</p></br><h3><span id="La_dimension_internationale" class="mw-headline">La dimension internationale</span></h3></br><p>Il a été très important d’avoir avec nous le réseau francophone, les camarades des Balkans, des gens comme Bollier, très actif aux Etats Unis, des personnes venues de l’Allemagne, etc… Et pas que des activistes, par exemple des personnes de la European Cultural Foundation qui ont aussi soutenu ce festival et ont été, comme d’habitude, très éclairés. Donc il y a eu des premiers pas. Bien sûr, s’il fallait organiser des états généraux des communs en Europe on pourrait les faire mais il faudrait des ressources, un lieu un peu plus central que Chieri. On pourrait imaginer les mettre en place, mais pour le moment on a fait ce qu’on était en mesure de faire dans ce contexte.</p></br><h3><span id="Que_peut_apporter_Chieri_dans_un_contexte_international_?"></span><span id="Que_peut_apporter_Chieri_dans_un_contexte_international_.3F" class="mw-headline">Que peut apporter Chieri dans un contexte international ?</span></h3></br><p>Chieri, dans ce processus, amène une pratique et une expérimentation, le dépassement d’une fermeture culturelle et intellectuelle plutôt forte qui était là et que l’on a essayé de faire sauter avec ce festival. La politique de la représentativité n’a pas encore été comprise : je perdrai probablement mon poste de maire adjoint suite à ce festival, malgré le succès, à cause des polémiques… mais ça a donné des résultats. Ça a démontré que, dans n’importe quel contexte, il est possible de faire passer la discussion sur les biens communs. Je pense qu’à Chieri aujourd’hui beaucoup de personnes savent ce que sont les biens communs, ou en tout cas en ont entendu parler.</p></br><p>À chaque action correspond une réaction. Il y a des réactions qu’il vaut la peine de contraster et d’autres non. Je ne sais pas si ça en vaut la peine ici, ça dépend des capacités évolutives d’un chemin politique. Chacun n’a qu’une vie, je mène une lutte politique qui n’est pas locale, c’est une lutte politique pour les communs. Ici comme à Naples, qui sont les deux expériences d’administrateur public que j’ai eues, j’ai laissé une marque culturelle, beaucoup de monde a changé sa façon de voir les organisations hiérarchico-administratives suite au passage des biens communs et du travail que l’on a mené dans ces contextes. Et puis est-ce que ça vaut la peine de résister ? Ça dépend, peut-être que si on résistait on pourrait rester, mais ça dépend pour quoi faire. C’est un match politique ouvert. Nous referons sans doute le festival, ici ou ailleurs, à un moment ou un autre. Dans combien de temps ? On verra, on est libre. Si la formule a marché ça on le comprendra après…</p></br><h3><span id="Ex_Tabasso,_friche_et_charte_des_communs"></span><span id="Ex_Tabasso.2C_friche_et_charte_des_communs" class="mw-headline">Ex Tabasso, friche et charte des communs</span></h3></br><p>Cet endroit est une ancienne filature de coton qui a du fermer suite à la mondialisation, du jour au lendemain. L’endroit a été abandonné puis racheté par la mairie dans une opération visionnaire et en dépensant un peu de sous. La mairie a essayé ensuite d’en faire un project financing, elle voulait le transformer en un lieu avec un cinéma, un supermarché et des parkings, en le détruisant et le reconstruisant. Heureusement, le project financing a échoué à cause de la crise, et maintenant se pose la question de ce qu’on peut en faire. Par exemple, au cours de cette première année de mon mandat électoral, j’ai constaté que l’Area Tabasso avait de fait été déclarée bien commun par la population de Chieri, avec des pratiques, un comité qui s’est mis en place, des discussions… C’est un lieu important dans l’imaginaire des gens du coin… et si tu y penses ça ne peux être qu’ainsi pour les citoyens de Chieri. C’est une construction de 33000m2, énorme, très belle, on pourrait y faire beaucoup de choses, une partie de leur vie est liée à ce lieu, c’est leur histoire, le textile est très lié aux conditions de cette ville, donc c’est un endroit idéal…</p></br><p>Je dois dire (en parlant en tant que camarade et non en tant que maire-adjoint) que dans la plupart des autres contextes ce lieu aurait déjà été occupé. Ça aurait été une belle occasion d’occuper un lieu en ayant une administration qui parle de biens communs, on aurait pu voir quelle était la dynamique réelle sous-jacente et quelle part j’aurais pu jouer dans ce sens. Si on pense à une autre expérience comme celle du Colorificio (ancienne usine de peinture) à Pise, c’est une zone plus petite et moins belle que celle-ci, elle a été occupée en très peu de temps et a commencé à revivre. Ici, depuis un an que l’on en parle, aujourd’hui, pour un grand nombre d’habitants de Chieri, c’est la première fois qu’ils ont eu l’intérêt de venir voir et qu’ils sont rentrés, grâce à l’organisation de cette promenade. Cela démontre le type de tissu social existant à Chieri.</p></br><p>Ce festival a ouvert cet espace aux citoyens. Il a ré-ouvert aussi le Bastione della mina où se tiennent ce soir des performances, il y en a une magnifique où l’on va voir les étoiles tous ensemble. C’est un lieu magnifique, public, fermé depuis des années, personne n’y rentrait plus et nous l’avons ré-ouvert pour le festival. On a fait un pacte de partage avec un de mes amis qui s’est occupé de l’ouvrir, qui l’a nettoyé et remis aux normes. La population de Chieri sait maintenant qu’il y a un parc là, qu’elle ne connaissait pas avant. C’est un endroit émouvant de beauté. Chieri n’est pas une belle ville, elle a des côtés très beaux dans un tissu urbain qui a été transformé brutalement par un développement très extractif, il y a des grands immeubles très moches juste à côté de belles constructions du moyen âge. Ce Bastione est une forteresse médiévale qui défendait la ville, et il y a un parc magnifique à l’intérieur. La cour de la mairie, où nous avons fait l’ouverture du festival, est normalement le parking où se garent les employés et c’est un endroit très beau, et la partie devant la mairie c’est normalement l’endroit où on fait la queue pour payer les amendes…</p></br><h3><span id="Le_règlement_:_un_moyen_pour_étudier_un_projet_pour_l’Area_Tabasso"></span><span id="Le_r.C3.A8glement_:_un_moyen_pour_.C3.A9tudier_un_projet_pour_l.E2.80.99Area_Tabasso" class="mw-headline">Le règlement : un moyen pour étudier un projet pour l’Area Tabasso</span></h3></br><p>Le règlement prévoit déjà un avis pour la constitution d’une entité que l’on souhaite voir devenir l’entité de référence pour cet endroit. Si je restais maire-adjoint je soignerais en particulier l’interprétation du règlement, il y a toujours un risque que les règlements soient appliqués d’une façon détournée… Mais si on arrivait à mettre en place une entité autonome, partagée, avec des processus délibératifs de type démocratique, inclusive et non-verticale, cette entité deviendrait la titulaire de l’Area Tabasso et déciderait de ce qui se passe ici, ce qui est quelque chose d’énorme qui ne s’est jamais produit auparavant. Évidemment, il est très difficile de mettre en place cette entité, nous avons mis à disposition un espace public où un groupe de personnes se rencontre tous les mardis, c’est toujours un peu les mêmes mais ce sont eux qui ont organisé tout ça. L’idée est de commencer en transformant le lieu en un espace ouvert, une sorte de place couverte, en faisant les travaux minimum nécessaires pour garantir la sécurité du lieu et que ce soit peu coûteux. Ça serait un endroit où l’on puisse mettre 700 chaises et une scène pour faire des spectacles, y faire du skate, du parkour, du sport, ce qu’on veut… Ici il fait très froid l’hiver, donc avoir un endroit couvert comme celui-ci peut être utile.</p></br><h3><span id="Ne_pas_perdre_de_vue_la_dimension_festive_des_biens_communs" class="mw-headline">Ne pas perdre de vue la dimension festive des biens communs</span></h3></br><p>As-tu jamais essayé de récolter des cerises ? C’est un travail chiant. Au temps des biens communs les paysans récoltaient les cerises tous ensemble, en un jour, en faisant la fête des cerises. Donc, une même activité qui faite tout seul devient l’un des travaux les plus aliénants et ennuyeux qui existent, si faite dans un cadre festif devient une belle chose. On récolte les cerises tous ensemble, on moissonne tous ensemble, et ça devient un travail qui se transforme grâce à la dimension festive. La dimension festive pour les communs est fondamentale parce que tu peux faire la révolution avec le visage triste, tu peux essayer d’être révolutionnaire d’une façon sérieuse ou pensive, ou tu peux faire une révolution en riant. Et l’une des choses que l’on a appris c’est qu’on ne fait pas de révolution si on ne s’amuse pas. Donc oui, la dimension festive est incroyablement importante.</p></br><p>Ici il y aura la place couverte, si on la fait, de là bas jusqu’ici. Et ici c’est un théâtre naturel, il n’y aurait qu’à creuser là, ici tu mets les gradins, là-bas tu mets les écrans, et c’est un théâtre. Avec très peu tu peux imaginer de mettre une structure en bois et en faire une vraie salle de théâtre, dont on a un besoin dramatique dans cette petite ville.</p></br><p>Ça, ça appartient à tous les habitants de Chieri. Du fait de l’avoir ouvert, les gens maintenant se disent « ça c’est à nous ! à notre communauté, on peut construire de la cohésion, en travaillant dur et en investissant de l’argent dedans, mais en ayant un projet commun ». Et le processus pour définir cette vision commune devient un processus démocratique. Ce qui m’intéresserait, mais je ne sais pas si je vais y arriver, c’est de prendre tout ça et de le faire devenir un bien commun d’un point de vue juridique. Que ça ne soit plus public, que ça ne dépende plus de qui a gagné l’élection municipale, que ça ne dépende plus du fait qu’il y ait un maire praticien des biens communs, un maire du Parti démocrate ou un maire du PDL, mais que ça devienne un bien commun pour toujours, que ça devienne une fondation dans l’intérêt des générations futures, que ça devienne un Community Land Trust, que ça devienne une structure juridique différente, nouvelle, complètement autonome par rapport à la machine politique.</p></br><p>Le règlement permet de faire des pas dans ce sens. Évidemment il faut aussi une volonté politique, qui ne sera jamais accordée si le mouvement ne devient pas suffisamment fort autour de tout ça. Les luttes pour l’émancipation ne peuvent jamais être imposées d’en haut. Si socialement, dans cette petite ville, dans cette population, il y a une envie de lutter afin que ce lieu devienne une expérimentation au niveau international, les conditions sont déjà là pour pouvoir le faire et nous les avons construites également d’un point de vue juridique. Si cette volonté politique de la base n’est pas là, il y aura une volonté politique d’en haut, mais je doute fortement qu’elle accepte de se priver d’un bien d’une aussi grande valeur.</p></br><h3><span id="Quelles_convergences_entre_loi_et_pratiques_autour_des_communs_?"></span><span id="Quelles_convergences_entre_loi_et_pratiques_autour_des_communs_.3F" class="mw-headline">Quelles convergences entre loi et pratiques autour des communs ?</span></h3></br><p>En ce qui concerne le contexte de Chieri, jusqu’ici la partie légale est en avance par rapport à la partie sociale, qui n’est pas encore là. Il y a du mouvement autour de ça, je ne sais pas si c’est un mouvement structurellement relevant des communs, ni quels intérêts il y a derrière, mais c’est un processus, donc on verra bien. Ce que je sais c’est qu’il y a du scepticisme du côté électoral, donc on verra, c’est une bataille politique. Mais la partie légale est prête : on peut maintenant suivre un chemin légal pour arriver à ce que l’Area Tabasso soit un bien commun pour toujours. C’est déjà en place, on va voir si on peut remplir ce cadre légal. La loi est juste un contenant, tout dépend de ce que tu mets dedans.</p></br><p>D’une façon plus générale : la relation entre loi et mouvements sociaux est extrêmement compliquée. Je ne suis qu’un juriste, pas un philosophe, donc je ne sais pas vraiment comment faire abstraction de ça. Je me considère comme la preuve vivante du fait qu’on peut être juriste et praticien des biens communs en même temps. Tu peux être juriste et raisonner dans le cadre mental de la loi, qui se développe d’une façon très traditionnelle : s’il faut aller aux tribunaux, je vais aux tribunaux… Mais en même temps j’essaie d’être aux côtés des personnes qui essayent de se battre pour quelque chose et de prendre part à ces luttes, et de comprendre que la loi est là pour les citoyens et essayer de l’interpréter, donc je crois que c’est possible…</p></br><p>Nous avons une classe de juristes qui est prête à travailler dans ce sens, ils ne sont pas nombreux mais ça sera sans doute le cas pour les plus jeunes. Et quelques autres fous plus âgés… même plus âgés que moi !</p></br><p> </p>les citoyens et essayer de l’interpréter, donc je crois que c’est possible…</p> <p>Nous avons une classe de juristes qui est prête à travailler dans ce sens, ils ne sont pas nombreux mais ça sera sans doute le cas pour les plus jeunes. Et quelques autres fous plus âgés… même plus âgés que moi !</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<h3>Quelle gouvernance du projet Rem<h3>Quelle gouvernance du projet Remix Biens Communs et quel modèle de gouvernance en biens communs ?</h3></br><p>Sous la direction du LARTES-IFAN, la coordination de la dimension Gouvernance a travaillé à la mise en place d’un prototype de charte de gouvernance du projet et de la plateforme REMIX. Elle a, en outre, réalisé deux films documentaires de 12 minutes sur des expériences de conception et mise en oeuvre de chartes, l’une dans un quartier de Dakar et l’autre sur la charte nationale sénégalaise : <em>Charte de Bonne Gouvernance Démocratique</em> et <em>Charte de bon voisinage, éloignez votre poubelle !</em> omme processus exemplaire de production de Bien Commun. Elle a, enfin, assemblé un certain nombre de ressources et liens ciblés pour aussi bien faciliter une mise à niveau documentaire, qu’élargir le champ de possibilité des collaborations scientifiques dans le cadre du mouvement de l’économie sociale et des Biens Communs.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les recherches sur la pratique de charte de gouvernance se poursuivent et seront amenées à venir nourrir la réflexion de praticiens des biens communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Abdou Salam Fall et Abdou Rahmane Seck, chercheurs au LARTES au Sénégal</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet de « Chartes de gouvernance » fait partie des travaux de recherche conduits par le LARTES IFAN. Il a été partiellement financé par la Francophonie au travers de Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs est un espace de rencontre entre chercheurs et praticiens pour le développement de pratiques de gouvernance basées sur les communs.</p>gt; <p>Remix Biens Communs est un espace de rencontre entre chercheurs et praticiens pour le développement de pratiques de gouvernance basées sur les communs.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<h3>Quelle gouvernance du projet Rem<h3>Quelle gouvernance du projet Remix Biens Communs et quel modèle de gouvernance en biens communs ?</h3></br><p>Sous la direction du LARTES-IFAN, la coordination de la dimension Gouvernance a travaillé à la mise en place d’un prototype de charte de gouvernance du projet et de la plateforme REMIX. Elle a, en outre, réalisé deux films documentaires de 12 minutes sur des expériences de conception et mise en oeuvre de chartes, l’une dans un quartier de Dakar et l’autre sur la charte nationale sénégalaise : <em>Charte de Bonne Gouvernance Démocratique</em> et <em>Charte de bon voisinage, éloignez votre poubelle !</em> omme processus exemplaire de production de Bien Commun. Elle a, enfin, assemblé un certain nombre de ressources et liens ciblés pour aussi bien faciliter une mise à niveau documentaire, qu’élargir le champ de possibilité des collaborations scientifiques dans le cadre du mouvement de l’économie sociale et des Biens Communs.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les recherches sur la pratique de charte de gouvernance se poursuivent et seront amenées à venir nourrir la réflexion de praticiens des biens communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Abdou Salam Fall et Abdou Rahmane Seck, chercheurs au LARTES au Sénégal</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet de « Chartes de gouvernance » fait partie des travaux de recherche conduits par le LARTES IFAN. Il a été partiellement financé par la Francophonie au travers de Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs est un espace de rencontre entre chercheurs et praticiens pour le développement de pratiques de gouvernance basées sur les communs.</p>gt; <p>Remix Biens Communs est un espace de rencontre entre chercheurs et praticiens pour le développement de pratiques de gouvernance basées sur les communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<ol> <li style="list-style-type: <ol></br><li style="list-style-type: none;"></br><ol>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur</ol></br></li></br></ol></br><p><a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p></br><blockquote><p>En 1928, Ravel compose le Boléro, une partition qui va connaître un succès mondial et des centaines de versions et arrangements. Un crescendo harmonique qui rapporte aussi des millions.</p></br><p>Une excellent série de neuf vidéos de 8 minutes réalisée par Fabian Caux-Lahalle et diffusée par l’INA raconte cette histoire de l’accaparement post-mortem de ce bijou de Maurice Ravel, qui n’en profitera guère, tombant rapidement malade et mourrant moins de dix ans plus tard.</p></blockquote></br><p>Cette série vidéo se regarde comme un roman policier. Traitrises, marché clandestins, paradis fiscaux, et masseuse d’un côté, hommes politiques abreuvés par les lobbies et incapables de défendre le domaine public de l’autre. Nous avons ici une saga qui démontre la nocivité de la notion « d’ayants-droits », le détournement de toutes les lois et pratiques culturelles par des affairistes qui se servent ensuite du pouvoir acquis pour influencer les politiques et réduire toujours plus le domaine public.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/2885055/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN5464180431/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Le tout sur fond de Boléro, dans de nombreuses interprétations venant du monde entier, de tous les styles musicaux et de toutes les époques.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7910555309/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN6248963306/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Ah, les paradis fiscaux pour cacher l’argent récupéré des cendres de Maurice Ravel, mort sans enfants, léguant tout à son frère, lui-même sans enfants.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN2464909165/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Mais c’est bien une affaire politique, dans laquelle les lobbies des industries culturelles ont préempté les pouvoirs publics, et nos chers hommes politiques, prêts à se laisser séduire.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN8716173688/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>La Suisse, Monaco, Gibraltar, Panama… La culture ne connaît pas de frontières, l’argent non plus.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN9205650456/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN4764653149/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7455517816/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>C’est intéressant que ce soit l’INA qui ait produit ce brûlot, juste au lendemain du déclassement par le gouvernement, suite à la pression des lobbies soi-disant de la « culture », de l’article 8 de la Loi Lemaire. Celui-ci visait à protéger les communs informationnels, notamment en permettant aux associations spécialisées de porter plainte pour défendre le domaine public contre les accapareurs.</p></br><p>Il faudrait montrer cela aux membres de la commission mixte Sénat-Assemblée qui va définir au final cette loi. Il faut aussi le montrer à tous nos élus pour qu’ils voient combien leur manque d’intérêt pour la protection du domaine public n’est en réalité qu’une soumission aux arnaqueurs, aux lobbies, aux puissances de l’argent et le mépris de la société et de sa volonté de partage culturel, de ré-interprétation inventive des oeuvres. Qu’ils ne puissent plus fermer les yeux : ils sont responsables de ce qu’on vole au domaine public au profit de société panaméennes ou monégasques.</p></br><p>Qu’en aurait dit Maurice Ravel, qui écrivait : « Prenez un modèle, imitez-le. Si vous avez quelque chose à dire, votre personnalité ne paraîtra jamais mieux que dans votre inconsciente infidélité. » (cette phrase est la conclusion de ce superbe documentaire).</p></br><p>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p>ue chose à dire, votre personnalité ne paraîtra jamais mieux que dans votre inconsciente infidélité. » (cette phrase est la conclusion de ce superbe documentaire).</p> <p>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://aoc.media/opi<p><a href="https://aoc.media/opinion/2021/03/14/de-loccupation-des-lieux-culturels-a-lassemblee-des-communs" target="_blank" rel="noopener">Tribune de Frédéric Sultan et Michel Bauwens publiée par AOC le 14 mars 2021</a></p></br><blockquote><p>L’occupation des théâtres et des lieux culturels depuis le mois de février 2021 n’est pas seulement motivée par l’urgence de sauver une activité en péril économique. C’est aussi la revendication d’un usage de l’espace public, du droit d’expression et de création et de la reconnaissance que la culture est un commun, socle de notre société.</p></blockquote></br><p>Les communs sont plus que l’addition, par ailleurs indispensables, d’initiatives de partage et d’entre-aide et que l’ingénierie juridico-économique qui leur permet de se déployer. Ils sont l’expression d’un large élan de la société pour la démocratie et la participation active qui rencontre les mobilisations féministe, anti-raciste, décolonialiste, et écologiste actuelles, afin que nous prenions soin de la vie et l’épanouissement de chacune et chacun et de l’état la planète Terre.<br /></br>Transformer cet horizon en un nouveau pacte social et écologique ne se fera pas sans la production d’une base culturelle et politique solide, un récit à même de contrer le risque d’une récupération et d’une dilution dans la grande lessiveuse à idées qu’est devenu le capitalisme financiarisé à tendance autoritaire. C’est à relever ce défi que nos organisations travaillent avec acharnement.</p></br><h2>Renouveler l’engagement par les communs</h2></br><p>Les communs recouvrent toutes sortes d’actions qui consistent, pour les personnes concernées, à s’auto-organiser, coopérer et co-produire les gestes de solidarité dont elles ont besoin pour bien vivre et dessiner un avenir meilleur pour les générations futures. Les communs sont le moteur encore largement invisible d’une société solidaire, basée sur la coopération et la mutualisation des ressources. En quelques décennies, la coopération de pair à pair (P2P) a profondément renouvelé les relations entre usagers et producteurs, dans des domaines aussi divers que la recherche, l’éducation, les services, la culture, l’alimentation, la mobilité, la production industrielle ou la santé. La perspective des communs témoigne de la volonté que le partage soit juste.</p></br><p>Les communs sont porteurs d’une alternative politique, et ne sauraient être réduits à leur seule dimension d’ingénierie juridico-économique. Jardins partagés, lieux de fabrication, épiceries solidaires, coopératives d’énergie, encyclopédies libres, … sont autant d’espaces d’engagement que l’on reconnaît comme des communs de par leur destination : combler un besoin socialisé par la coopération plutôt que par la compétition. Mais leurs membres y revendiquent aussi de vivre l’expérience des communs, et de voir reconnue leur valeur dans notre culture. Si nous en sommes là aujourd’hui, c’est parce qu’un travail de fond conduit au sein de collectifs agissants a mis en lumière une nouvelle manière d’agir collectivement, d’agir en-commun, comme commoners.</p></br><p>Tout comme les engagements écologiste, ou féministe par exemples, celui de commoner s’incarne à la fois dans l’exercice d’un rôle pratique dans des dispositifs sociaux singuliers, et dans une orientation de la citoyenneté. L’engagement du ou de la commoner se constitue à partir de ses communautés d’appartenance. Celles-ci le relient à son territoire, à des pratiques sociales ou des modes de vie singuliers, que le droit peine encore souvent à reconnaître. La protection et le soin apportés à ces communautés et aux ressources vitales pour leur renouvellement, et l’auto-organisation participent des pratiques d’émancipation. L’adhésion au projet de société qu’emporte le mouvement des communs se fonde en même temps sur le souci de préserver les domaines de l’inappropriable et empêcher la transformation de l’homme et de la nature en marchandise.</p></br><p>La culture des communs transforme aujourd’hui jusqu’aux mouvements sociaux et politiques, l’éducation populaire et la participation citoyenne. Rien de tel que d’observer les modes d’organisation des militants fondés sur les assemblées ouvertes, la gouvernance collégiale, les élections sans candidats, les outils et les principes de fédération, pour se rendre compte de l’impact des communs dans le domaine politique. Le mouvement néo-municipaliste, couronné de succès dans plusieurs villes européennes ces dernières années, a su s’appuyer sur cette culture politique. Il faudra savoir s’appuyer sur cette expérience pour élargir son horizon d’action sans sous-estimer l’effort d’inventivité que cela représente.</p></br><figure id="attachment_6666" aria-describedby="caption-attachment-6666" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6666 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-607x341.jpg" alt="Les communs à l'ère de l'anthropocène - Fish-Bowl animation Bernard Brunet" width="607" height="341" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-607x341.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-342x192.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-768x432.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-1536x864.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-2048x1152.jpg 2048w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-1920x1080.jpg 1920w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6666" class="wp-caption-text">Assemblée des communs – Frédéric Sultan – CC.BC.SA.2021</figcaption></figure></br><h2>Renouveler les alliances</h2></br><p>Face à l’accélération des dynamiques néo-libérales, le mouvement des communs offre un espace pour recomposer des alliances entre les acteurs sociaux. La puissance des communs est de faire savoir, tant par la force de l’expérience vécue, que par les valeurs défendues, que l’action publique ne saurait être le monopole de la puissance publique et l’économie celui du secteur privé. Revendiquer une part d’autonomie dans l’action publique est devenu une urgence à l’heure où l’État est mis au service d’une quasi toute puissante idéologie néo-libérale. La généralisation de la financiarisation, le New public management et la techno-bureaucratisation, dont on a vu se révéler au grand jour les effets dans le domaine de la santé à chaque étape de la crise COVID19, sont à l’œuvre dans toutes les sphères de l’action publique.</p></br><p>Cette revendication est portée de longue date par le mouvement associationniste qui a vécu au cours des dernières décennies une marche forcée vers la marchandisation. Celle-ci est caractérisée par une baisse massive des ressources et une montée en puissance des logiques d’appel d’offre au détriment de celles des subventions, et aujourd’hui l’arrivée des Social Impact Bonds. Ces mécanismes financiers visent à enfermer celles et ceux qui traitent des questions sociales dans la logique du marché capitaliste. Depuis le début des années 2000, RGPP et MAP (Révision Générale des Politiques Publiques et Modernisation de l’action publique) ont transformé les associations en délégataire de service public et créé une dépendance à la fois financière, stratégique et politique aux pouvoirs publics. A cela s’ajoute parfois l’ambivalence d’acteurs, qui ont baigné dans la culture du faire, et sont guidés par un appel à agir et à l’efficacité dans l’action publique, qui à leurs yeux, relègue à l’arrière-plan les conséquences de la privatisation du domaine du social et de l’écologie. Le champ du numérique et bientôt des lieux de l’innovation sociale : tiers lieux, lieux culturels alternatifs, espaces dédiés au social, à l’éducation populaire… etc, secteurs d’activités émergent du P2P et des communs, sont nombreux à passer rapidement d’un projet de transformation de la société à de simples services marchands.</p></br><p>Pour lutter contre ces phénomènes, plusieurs visions se côtoient. L’une consiste à reconquérir des services publics pour les administrer comme des communs, c’est à dire avec une participation plus importante des citoyens. Elle s’appuie sur l’expérience historique de l’État social du siècle passé et défend le renforcement de la représentation des usagers. Elle passe par la réforme de la culture du service public, la transformation des agents et des institutions, et pour certains par l’administration publique des communs. L’expérience montre que les mécanismes de représentation peinent à éviter le risque d’une amplification de l’asymétrie du pouvoir entre l’administration et les usagers, renforcée aujourd’hui par la numérisation des services publics. Cette perspective offre néanmoins une possibilité de partenariats entre les communs et la puissance publique, si cette dernière se dote d’une éthique de la participation citoyenne renouvelée.<br /></br>Une autre vision passe par la mise en place d’espaces d’autonomie à même d’établir des interactions avec les acteurs de la puissance publique et du marché (ou au contraire de s’en isoler) et de transformer leurs règles en faisant émerger d’autres pratiques et d’autres normes. Cette approche remet en cause l’hégémonie des représentants élus sur la production des règles de droit. Dans les communs, les acteurs font la preuve de leur capacité à produire des règles qui montrent leur utilité pour eux-mêmes, mais aussi au bénéfice de la société dans son ensemble. Ils revendiquent la reconnaissance d’une pluralité des sources du droit. Plus généralement, dans cette perspective, les communs revendiquent d’être reconnus comme des acteurs à part entière de la sphère publique plutôt que subordonnés à la puissance publique, et s’organisent sous forme d’assemblées, de collectifs, qui peuvent produire et mettre en œuvre des propositions nouvelles.</p></br><h2>Renouveler notre culture juridique</h2></br><p>Si on veut éviter que les communs ne soient finalement l’objet d’une prédation ou d’instrumentalisation, sinon organisée par les tenants d’un État néolibéral, au moins consentie par des commoners qui en sont largement dépendants, ces configurations emportent avec elles deux conséquences.</p></br><p>D’abord, il s’agit de construire les infrastructures collectives, libres et souveraines des communs à l’opposé de la « start-upisation » de la nation. Cet enjeu se traduit aussi bien dans le domaine des idées que celui d’une ingénierie socio-technique. Théorie de la valeur contributive et du pair-à-pair, reconnaissance de la contribution à l’intérêt général, ne peuvent se résumer à la rémunération des commoners et à la marchandisation de leur activité, mais oblige à imaginer une économie dans laquelle nous sommes tous des commoners en devenir ! Les outils juridiques, les logiciels, les outils sémantiques, les lieux et autres outils de transition ouverts sont les chantiers de recherche et d’expérimentation actuels. De nombreux acteurs y travaillent avec une variété d’approches, qu’il faut préserver afin de nourrir les dimensions épistémologiques, phénoménologiques et politiques des communs.</p></br><p>La souveraineté des communs questionne le droit et appelle une autre culture juridique. Le droit des communs résulte des règles et des gestes de l’engagement mutuel plutôt que des lois nationales et universelles. Pour exister dans la société contemporaine, et pouvoir la transformer, les commoners doivent accepter d’articuler leurs mécanismes juridiques (et leurs souverainetés) avec ceux de la démocratie, qui constitue l’espace où se mesure la compatibilité des communs avec l’intérêt général. Ce que les communs nous disent du droit, c’est qu’il n’est pas réductible à la loi, et que le domaine juridique doit être appréhendé comme un terrain de luttes et de créativité. L’usage créatif du droit consiste à chaque fois que cela est possible, à faire reconnaître les communs comme l’une des formes de mise en œuvre concrète des principes, qui sinon restent trop souvent lettres mortes, des droits civils et sociaux (DESC), de l’égalité, de la fonction sociale de la propriété, des droits à la participation et de la possibilité de voir la gestion des services essentiels attribuée aux travailleurs et usagers en coopération. Cette leçon, nous l’avons apprise de l’expérience du réseau national des biens communs italiens.</p></br><h2>Reconnaissance et politique des communs</h2></br><p>Pour cette lutte créative, nous appelons les commoners et leurs collectifs à se réunir en Assemblée des communs afin de construire des alliances, répondre à leurs besoins par l’auto-organisation et interpeller l’État et les institutions. Rares sont aujourd’hui les politiques en mesure de penser la société avec un autre vocabulaire que celui de la propriété individuelle, qui se décline d’abord en droit d’entreprendre. C’est précisément pour cela qu’il nous faut continuer à élaborer le vocabulaire des communs, à le faire émerger et permettre son appropriation. Sa valeur tient à son lien étroit avec l’action collective, en ce qu’il permet d’en coconstruire le sens. La reconnaissance des communs ne pourra être que le résultat des conditions que les contributeurs et contributrices à ces actions sauront faire valoir ensemble. Il ne s’agit pas seulement de se voir labellisé par un ministère ou une agence de l’État, mais bien d’éprouver et de légitimer les mécanismes juridiques et économiques, les cultures de la solidarité et de la coopération, une éthique et une loyauté dans la politique, qui permettent la préservation et l’expansion des communs.</p></br><p>FS MB 14/03/2021</p>smes juridiques et économiques, les cultures de la solidarité et de la coopération, une éthique et une loyauté dans la politique, qui permettent la préservation et l’expansion des communs.</p> <p>FS MB 14/03/2021</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://www.remixthec<p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4194" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water-198x300.jpg" alt="Move North South Water" width="198" height="300" /></a></p></br><p>The « Nan Shui Bei Diao » – literally South North Water Move – is the largest water transfer project in the world, between the southern and northern China. In the footsteps of this colossal project, the film stands by Antoine Boutet eventful mapping a territory where cement beats plains, rivers leave their beds, deserts become forests, which gradually voices are in demand of justice and the right to speak. While the material decomposes and individuals are alarmed, a landscape of science fiction, against nature, is recomposed.</p></br><p>Move North South Water released Wednesday, January 28th. If you want to associate yourself with one projection, contact the respective theater or distribution of the film: mdecout@zeugmafilms.fr. And if you want to support a projection in a city where the film is not yet scheduled, contact us: hague.philippe@gmail.com</p> where the film is not yet scheduled, contact us: hague.philippe@gmail.com</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://www.remixthec<p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4194" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water-198x300.jpg" alt="Move North South Water" width="198" height="300" /></a></p></br><p>Le « Nan Shui Bei Diao » – littéralement Sud Eau Nord Déplacer – est le plus gros projet de transfert d’eau au monde, entre le sud et le nord de la Chine. Sur les traces de ce chantier colossal, le film d’Antoine Boutet dresse la cartographie mouvementée d’un territoire d’ingénieur où le ciment bat les plaines, les fleuves quittent leur lit, les déserts deviennent forêts, où peu à peu des voix s’élèvent, réclamant justice et droit à la parole. Tandis que la matière se décompose et que les individus s’alarment, un paysage de science-fiction, contre nature, se recompose.</p></br><p>Sud Eau Nord Déplacer sortira mercredi 28 janvier 2915 dans les salles de cinéma. Si vous souhaitez vous associer à une de ces projections, contactez la salle de cinéma concernée ou la distribution du film : mdecout@zeugmafilms.fr. Si vous souhaitez accompagner une projection dans une ville où le film n’est pas encore programmé, contactez-nous : hague.philippe@gmail.com</p>film n’est pas encore programmé, contactez-nous : hague.philippe@gmail.com</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><b>Rendre visibles les méca<p><b>Rendre visibles les mécanismes de gouvernance des communs urbains et apprendre de l’expérience de la co-production du droit. Partager les tactiques de l’agir en commun (commoning) en milieu urbain. </b></p></br><p>Atlas des chartes des communs urbains propose de :</p></br><ol></br><li>Réaliser et entretenir un inventaire ouvert et interactif de mécanismes juridiques consacrés à la mise en œuvre des communs urbains.</li></br><li>fournir un espace collectif pour l’analyse et l’interprétation de ces mécanismes de gouvernance des communs urbains et produire et partager des connaissances avec les commoners dans une perspective interculturelle.</li></br><li>offrir un espace d’échange et d’entraide autour de l’élaboration de chartes et autres instruments juridiques pour la régénération ou la création des communs urbains.</li></br></ol></br><p> </p></br><p><iframe style="width: 900px; height: 500px; border: 1px solid black;" src="https://framindmap.org/c/maps/198701/embed?zoom=1"> </iframe></p></br><p>Pour contribuer à la grille d’analyse des communs urbains, utilisez<br /></br><a href="https://framindmap.org/c/maps/198701/edit">framindmap.org</a><br /></br>(Vous devez être titulaire d’un compte)</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p></p> <p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><em>Les voies maritimes<<p><em>Les voies maritimes</em>, a beautiful idea of video about a project of protected sea area. </p></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="//www.dailymotion.com/embed/video/xu8azp" allowfullscreen></iframe><br /></br>By <a href="http://www.aires-marines.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Aires-marines-protegees</a></i></p></br><p>Three photographers have traveled for months Normand Breton Gulf stretching from the island of Brehat to Cape of La Hague and which is the subject of a proposed marine park. Rodolphe Marics, Denis Bourges and Xavier Desmier propose an X-ray of the marine space in three different and complementary points of view: aerial photos, hiking and underwater.</p></br><p><em>Les voies maritimes</em> was born of a partnership between the Agency for Marine Protected Areas and the association Les champs photographiques.</p>maritimes</em> was born of a partnership between the Agency for Marine Protected Areas and the association Les champs photographiques.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck?rel=0" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international. Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p>IPinCH (Intellectual Property Issues in Cultural Heritage) est un projet international de recherche participative autour de la réappropriation de l’héritage culturel par les communautés ancestrales. A qui appartient le passé ? A qui bénéficie-t-il ? quelles sont les conceptions culturelles de l’héritage culturel (de la mémoire) ? Comment distinguer accaparement et emprunts culturels (cultural borrowings) ? Ce projet croise des questions sur le domaine public, la nature de la recherche conduite par les communautés (et non pour elles) et sur les connaissances ancestrales (et culturelles en général). Il montre un éventail de processus de gestion collective des connaissances des communautés et tire des principes applicables à la recherche et pour comprendre les questions étudiées. Enfin, il propose l’usage de la <a href="http://www.localcontexts.org/">Traditional Knowledge licence</a> et un <a href="http://www.sfu.ca/ipinch/outputs/blog/appropriation-month-midterm-exam">questionnaire </a>pour évaluer accaparement ou emprunt culturel.</p></br><p>Speaker: George Nicholas<br /></br>Event: SFU Public Square<br /></br>Date: April 2, 2014</p>;/p> <p>Speaker: George Nicholas<br /> Event: SFU Public Square<br /> Date: April 2, 2014</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Pour Étienne Le Roy, l’anthropologie est la science de l’homme parce que fondamentalement science de l’autre. « J’ai souvent commenté cette observation de Jean-Jacques Rousseau dans son ‘Essai sur l’origine des langues’, que cite Claude Lévi-Strauss: ‘Quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin; il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés.’ Au sens de Jean-Jacques Rousseau, découvrir les propriétés, c’est mettre à jour les attributs de l’homme, les critères qui en fondent l’humanité dans leur plus grande généralité. Mais on ne pourra s’empêcher, dans un ouvrage consacré à l’appropriation de la terre et, pour une part, au régime de ‘propriété’ foncière, d’user de l’ambivalence de la dernière phrase (observer les différences pour découvrir les propriétés) et ainsi justifier un point de vue qui use d’un regard sur l’autre pour découvrir le sens que les hommes donnent, généralement mais aussi spécifiquement, au cas par cas, aux rapports de propriété. »</p></br><p>Étienne Le Roy « Le choix d’une démarche anthropologique pour traiter des régimes d’appropriation des terres et des ressources m’a conduit à plusieurs options de méthode et, en particulier, a obligé le lecteur à entrer dans l’étude du droit de propriété par la prise de conscience que cette forme juridique ne fait que traduire procéduralement une représentation du monde, de l’homme et de la nature originale et profondément liée à l’expérience de la modernité en Occident. Pour répondre à la vocation de l’anthropologie de réunir une connaissance valable pour l’ensemble du développement humain, il convenait de traiter analogiquement les autres civilisations et chercher derrière les réponses coutumières ou rituelles les représentations de l’espace qu’elles véhiculaient. »</p></br><p>Dans cette interview réalisée à Paris le 4 mars 2014, Étienne Le Roy, tout en présentant ses travaux sur les régimes d’appropriation foncière synthétisés dans son ouvrage ‘La terre de l’autre », nous introduit au coeur de l’anthropologie du droit francophone qu’il a participé à fondée et éveille notre curiosité de commoner sensible aux mécanismes juridiques et à ce qui les fait advenir dans la société d’interroger autrement, et dans le partage avec d’autres, le monde dans lequel nous vivons.</p></br><p>« L’autre n’est pas un vide à remplir. C’est une plénitude à découvrir. » Christoph Eberhard</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Pour Étienne Le Roy, l’anthropologie est la science de l’homme parce que fondamentalement science de l’autre. « J’ai souvent commenté cette observation de Jean-Jacques Rousseau dans son ‘Essai sur l’origine des langues’, que cite Claude Lévi-Strauss: ‘Quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin; il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés.’ Au sens de Jean-Jacques Rousseau, découvrir les propriétés, c’est mettre à jour les attributs de l’homme, les critères qui en fondent l’humanité dans leur plus grande généralité. Mais on ne pourra s’empêcher, dans un ouvrage consacré à l’appropriation de la terre et, pour une part, au régime de ‘propriété’ foncière, d’user de l’ambivalence de la dernière phrase (observer les différences pour découvrir les propriétés) et ainsi justifier un point de vue qui use d’un regard sur l’autre pour découvrir le sens que les hommes donnent, généralement mais aussi spécifiquement, au cas par cas, aux rapports de propriété. »</p></br><p>Étienne Le Roy « Le choix d’une démarche anthropologique pour traiter des régimes d’appropriation des terres et des ressources m’a conduit à plusieurs options de méthode et, en particulier, a obligé le lecteur à entrer dans l’étude du droit de propriété par la prise de conscience que cette forme juridique ne fait que traduire procéduralement une représentation du monde, de l’homme et de la nature originale et profondément liée à l’expérience de la modernité en Occident. Pour répondre à la vocation de l’anthropologie de réunir une connaissance valable pour l’ensemble du développement humain, il convenait de traiter analogiquement les autres civilisations et chercher derrière les réponses coutumières ou rituelles les représentations de l’espace qu’elles véhiculaient. »</p></br><p>Dans cette interview réalisée à Paris le 4 mars 2014, Étienne Le Roy, tout en présentant ses travaux sur les régimes d’appropriation foncière synthétisés dans son ouvrage ‘La terre de l’autre », nous introduit au coeur de l’anthropologie du droit francophone qu’il a participé à fondée et éveille notre curiosité de commoner sensible aux mécanismes juridiques et à ce qui les fait advenir dans la société d’interroger autrement, et dans le partage avec d’autres, le monde dans lequel nous vivons.</p></br><p>« L’autre n’est pas un vide à remplir. C’est une plénitude à découvrir. » Christoph Eberhard</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/a0J2gj80EVI?rel=0" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>« Sans Lendemain », est un film d’animation sur l’exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles et leurs conséquences sur la vie humaine sur la planète. Il est réalisé par Dermot O’ Connor et produit par Incubate Pictures. en 35 minutes, il aborde de façon très intelligible toute une série de problématiques liées à la croissance de notre système économique et à notre façon de consommer.</p></br><p>Réalisation : Dermot O’ Connor (35 minutes, 2012).<a href="http://www.idleworm.com">http://www.idleworm.com</a><br /></br><a href="http://www.incubatepictures.com">http://www.incubatepictures.com</a> – <a href="http://www.angryanimator.com">http://www.angryanimator.com</a></p></br><p>Information et documentation sur le site <a href="http://sansLendemain.mpOC.be">http://sansLendemain.mpOC.be</a>.</p></br><p>Titre original étasunien : There’s no tomorrow.<br /></br><a href="https://www.youtube.com/redirect?q=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DVOMWzjrRiBg&redir_token=PRF4kw9bwKfWe7SJ5S33XwpWSiZ8MTQwMTM2NzY0MEAxNDAxMjgxMjQw">https://www.youtube.com</a></p></br><p>Version française 2013 due à l’initiative du groupe de Liège du mpOC, Mouvement politique des objecteurs de croissance (le mpOC n’est pas un parti politique).</p></br><p>Avec le soutien de :<br /></br>Amis de la Terre Belgique, ASPO.be (section belge de l’Association for the Study of Peak Oil and Gas), GRAPPE (Groupe de Réflexion et d’Action Pour une Politique Ecologique), IEW (Inter-Environnement Wallonie), Imagine demain le monde, mpOC.</p></br><p>Traduction : Francis Leboutte.<br /></br>Voix : Caroline Lamarche.<br /></br>Mixage voix : Margarida Guia.<br /></br>Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.</p>aduction : Francis Leboutte.<br /> Voix : Caroline Lamarche.<br /> Mixage voix : Margarida Guia.<br /> Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Voici un film photographique (un nouveau genre ?) très intéressant, réalisé par Brygo et publié par Le Monde diplomatique, sur les rapports entre les riches et les pauvres à Glasgow en Ecosse.</p></br><p>Fiche technique :</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>Un film photographique de Julien Brygo<br /></br>Montage : Matthieu Parmentier et Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixage : Clément Chauvelle<br /></br>Prix du Jury au Festival Les Nuits Photographiques 2014.</p></br><p>Film photographique réalisé <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow">pour le site du Monde diplomatique</a><br /></br>Ce film est tiré de l’article « Vivre riche dans une ville de pauvres », paru dans Le Monde diplomatique d’août 2010 : monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</p></br><p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p></br><p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>GO/19565</p> <p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p> <p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Voici un film photographique (un nouveau genre ?) très intéressant, réalisé par Brygo et publié par Le Monde diplomatique, sur les rapports entre les riches et les pauvres à Glasgow en Ecosse.</p></br><p>Fiche technique :</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>Un film photographique de Julien Brygo<br /></br>Montage : Matthieu Parmentier et Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixage : Clément Chauvelle<br /></br>Prix du Jury au Festival Les Nuits Photographiques 2014.</p></br><p>Film photographique réalisé <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow">pour le site du Monde diplomatique</a><br /></br>Ce film est tiré de l’article « Vivre riche dans une ville de pauvres », paru dans Le Monde diplomatique d’août 2010 : monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</p></br><p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p></br><p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>GO/19565</p> <p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p> <p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/ihDoZ5dYapw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Autogestion et coopérativisme integral : une expérience sur la durée à l’échelle de la communauté.</p></br><p>Coopérative de Barquisimeto (nord-est du Venezuela), au fonctionnement totalement autogestionnaire. Plus de 1200 travailleurs, aucun chef, aucun gérant, aucune structure hiérarchique, énormément de participation, de confiance et d’apprentissage, une rotation constante dans tous les postes de travail … et bien plus</p></br><p>Pour en savoir plus,</p></br><p>voir l’article écrit disponible sur. <a href="http://www.utopiasproject.lautre.net/reportages/article/venezuela" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.utopiasproject.lautre.net/</a>…</p></br><p>voir le site de CECOSESOLA</p></br><p><a href="http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA">http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA</a></p></br><p>voir aussi les vidéos produits par remixthecommons :<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia">https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>lt;/a></p> <p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>This interview of Etienne Le Roy, made in Paris March 4, 2014, while presenting his work on land ownership synthesized in his book ‘The land of the other. An anthropology of land ownership schemes’ introduces us in the heart of anthropological paths of one of the founders of French anthropology of Law and awakens our curiosity to question otherwise, and by sharing with others, our world.</p></br><p>« The other is not a gap to fill. It is a fullness to discover. » Christoph Eberhard</p></br><p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/U4rDt0-pQG8" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>idth="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>This interview of Etienne Le Roy, made in Paris March 4, 2014, while presenting his work on land ownership synthesized in his book ‘The land of the other. An anthropology of land ownership schemes’ introduces us in the heart of anthropological paths of one of the founders of French anthropology of Law and awakens our curiosity to question otherwise, and by sharing with others, our world.</p></br><p>« The other is not a gap to fill. It is a fullness to discover. » Christoph Eberhard</p></br><p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/U4rDt0-pQG8" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>idth="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Very interesting video made with pictures by Julien Brygo and edited by Le Monde diplomatique, about the relations between poor and rich people in Glasgow, Scotland.</p></br><p>MSDS:</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>A photographic film by Julien Brygo<br /></br>Editing: Matthieu Parmentier and Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixing: Clément Chauvelle<br /></br>Jury Prize at the 2014 Festival Photographic Nights.</p></br><p>Photographic film directed <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow"> for the website of Le Monde diplomatique </ a><br /></br>This film is taken from the article « Living in a city rich poor », published in Le Monde diplomatique, August 2010: monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</a></p></br><p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p></br><p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>BRYGO/19565</a></p> <p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p> <p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Very interesting video made with pictures by Julien Brygo and edited by Le Monde diplomatique, about the relations between poor and rich people in Glasgow, Scotland.</p></br><p>MSDS:</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>A photographic film by Julien Brygo<br /></br>Editing: Matthieu Parmentier and Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixing: Clément Chauvelle<br /></br>Jury Prize at the 2014 Festival Photographic Nights.</p></br><p>Photographic film directed <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow"> for the website of Le Monde diplomatique </ a><br /></br>This film is taken from the article « Living in a city rich poor », published in Le Monde diplomatique, August 2010: monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</a></p></br><p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p></br><p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>BRYGO/19565</a></p> <p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p> <p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/ihDoZ5dYapw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Self-management and integral cooperativism: an experiment of the community on the length scale.</p></br><p>A group of coop at Barquisimeto (northeastern Venezuela), totally self-managed. More than 1,200 workers, no leader, no manager, no hierarchical structure, a lot of participation, confidence and learning, constant rotation in all workplaces … and more</p></br><p>For more information, see the article in <a href="http://www.utopiasproject.lautre.net/reportages/article/venezuela" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.utopiasproject.lautre.net/</a>…</p></br><p>See CECOSESOLA web site</p></br><p><a href="http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA">http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA</a></p></br><p>See also the remixthecommons productions:</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia">https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>-noel-vale-valera</a></p> <p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Publié le 1er mars 2012</p></br><p>Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a><br /></br>Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie</p></br><p>Lire le livre <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a></p></br><p>Sous-titrage <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a></p></br><p>Sacred économics retrace l’histoire de l’argent de l’économie du don au capitalisme moderne, révélant comment le système monétaire a contribué à l’aliénation, par la concurrence et la rareté, et par la destruction de la communauté, et la nécessité d’une croissance sans fin.</p></br><p>Aujourd’hui, ces tendances ont atteint leur paroxysme – mais dans le sillage de la crise, on peut trouver de belles occasions de faire la transition vers une façon plus interactive, écologique et durable d’être.</p></br><p>Ce court métrage contient quelques visuels de Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org</a></p></br><p><strong>CREDITS COMPLETS</strong></p></br><p>Directed & Edited by Ian MacKenzie<br /></br>Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill<br /></br>Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie<br /></br>Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy<br /></br>Music: Chris Zabriskie<br /></br>Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /></br>Stills: Kris Krug, NASA<br /></br>Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p> Chris Zabriskie<br /> Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /> Stills: Kris Krug, NASA<br /> Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Published Marsh 1st, 2012</p></br><p>Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a><br /></br>Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie</p></br><p>READ THE BOOK <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a></p></br><p>HELP ADD SUBTITLES <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a></p></br><p>Sacred Economics traces the history of money from ancient gift economies to modern capitalism, revealing how the money system has contributed to alienation, competition, and scarcity, destroyed community, and necessitated endless growth.</p></br><p>Today, these trends have reached their extreme – but in the wake of their collapse, we may find great opportunity to transition to a more connected, ecological, and sustainable way of being.</p></br><p>This short contains some visuals from the upcoming feature doc Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org<br /></br></a></p></br><p><strong>FULL CREDITS</strong></p></br><p>Directed & Edited by Ian MacKenzie<br /></br>Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill<br /></br>Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie<br /></br>Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy<br /></br>Music: Chris Zabriskie<br /></br>Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /></br>Stills: Kris Krug, NASA<br /></br>Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>dam Giangregorio, Brian Duffy<br /> Music: Chris Zabriskie<br /> Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /> Stills: Kris Krug, NASA<br /> Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Published Marsh 1st, 2012</p></br><p>Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a><br /></br>Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie</p></br><p>READ THE BOOK <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a></p></br><p>HELP ADD SUBTITLES <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a></p></br><p>Sacred Economics traces the history of money from ancient gift economies to modern capitalism, revealing how the money system has contributed to alienation, competition, and scarcity, destroyed community, and necessitated endless growth.</p></br><p>Today, these trends have reached their extreme – but in the wake of their collapse, we may find great opportunity to transition to a more connected, ecological, and sustainable way of being.</p></br><p>This short contains some visuals from the upcoming feature doc Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org<br /></br></a></p></br><p><strong>FULL CREDITS</strong></p></br><p>Directed & Edited by Ian MacKenzie<br /></br>Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill<br /></br>Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie<br /></br>Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy<br /></br>Music: Chris Zabriskie<br /></br>Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /></br>Stills: Kris Krug, NASA<br /></br>Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>dam Giangregorio, Brian Duffy<br /> Music: Chris Zabriskie<br /> Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /> Stills: Kris Krug, NASA<br /> Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="The London Orchard Project" src="https://player.vimeo.com/video/9785112?h=7e9899600f&dnt=1&app_id=122963" width="880" height="495" frameborder="0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p> </p></br><p><a href="http://www.vimeo.com/9785112#?pg=embed&sec=9785112#">The London Orchard Project on Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p> Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/7kBgo-z3iCM?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo El profesor Rick Wolff explica los motivos por los que el crecimiento ha adquirido tal protagonismo en nuestros sistemas políticos. La desigualdad es consecuencia de la forma en la que están organizadas las empresas. Asumiendo que pasamos una parte significativa de nuestras vidas en el trabajo, ¿qué pasaría si extendiéramos nuestro afán democrático al entorno laboral? ¿en qué cambiaría la sociedad si todas las empresas fueran más democráticas? ¿cuáles serían las implicaciones sociales y políticas de un cambio como este? Para saber más de Rick Wolff, visitad rdwolff.com/ Vídeo y edición de The extraenvironmentalist.com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /></br>http://bit.ly/1l9t6ba</p></br><p> </p>com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /> http://bit.ly/1l9t6ba</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/7kBgo-z3iCM?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo El profesor Rick Wolff explica los motivos por los que el crecimiento ha adquirido tal protagonismo en nuestros sistemas políticos. La desigualdad es consecuencia de la forma en la que están organizadas las empresas. Asumiendo que pasamos una parte significativa de nuestras vidas en el trabajo, ¿qué pasaría si extendiéramos nuestro afán democrático al entorno laboral? ¿en qué cambiaría la sociedad si todas las empresas fueran más democráticas? ¿cuáles serían las implicaciones sociales y políticas de un cambio como este? Para saber más de Rick Wolff, visitad rdwolff.com/ Vídeo y edición de The extraenvironmentalist.com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /></br>http://bit.ly/1l9t6ba</p></br><p> </p>com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /> http://bit.ly/1l9t6ba</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="The London Orchard Project" src="https://player.vimeo.com/video/9785112?h=7e9899600f&dnt=1&app_id=122963" width="880" height="495" frameborder="0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p> </p></br><p><a href="http://www.vimeo.com/9785112#?pg=embed&sec=9785112#">The London Orchard Project on Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p> Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>La RFUK et la MEFP, en collaboration avec le réalisateur Luis Leitao, ont lancé un nouveau film sur la manière dont les BaAka de la forêt tropicale de République Centrafrique font entendre leurs voix à travers la cartographie participative.</p></br><p>Afin de sensibiliser le public aux problèmes rencontrés par les communautés autochtones des forêts du bassin du Congo, et au rôle que la cartographie participative peut jouer dans la résolution de ces difficultés, la RFUK et l’ONG centrafricaine « Maison de l’Enfant et de la Femme Pygmées » (MEFP) ont produit un film de 30 minutes intitulé « Ndima — Les cartes de notre futur ». « Ndima », qui signifie « forêt » en BaAka, raconte la manière dont les communautés autochtones BaAka de la République centrafricaine ont utilisé la cartographie pour appuyer leurs revendications relatives à l’accès et à l’utilisation de leurs terres traditionnelles. Le film met en évidence ces enjeux dans le cas d’une aire protégée.</p></br><p>Le film s’adresse au tout public tant au « Nord » que dans le bassin du Congo – mais soulève également des questions importantes pour les décideurs, concernant les besoins et le rôle potentiel des premiers gardiens de la forêt dans les efforts de conservation au sens large.</p></br><p>Durée : 28mins<br /></br>Publiée le 2 juil. 2013<br /></br>Licence : Licence YouTube standard</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. We work in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit our website and watch our clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth est une entrepreneur sociale basée à Harare, Zimbabwe. Elle raconte l’histoire de On the Up Village Kafunda, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>da, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth est une entrepreneur sociale basée à Harare, Zimbabwe. Elle raconte l’histoire de On the Up Village Kafunda, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>da, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/O_pKnP-2mOQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>75% of Mali’s population are farmers, but rich, land-hungry nations like China and Saudi Arabia are leasing Mali’s land in order to turn large areas into agribusiness farms. Many Malian peasants do not welcome these efforts, seeing them as yet another manifestation of imperialism. As Mali experiences a military coup, the developers are scared off – but can Mali’s farmers combat food shortages and escape poverty on their own terms?</p></br><p>How do you feed the world? To find out more and get teaching resources, go to <a href="http://www.whypoverty.net">www.whypoverty.net</a></p></br><p>Director Hugo Berkeley & Osvalde Lewat<br /></br>Producer Eli Cane<br /></br>Produced by Normal Life Pictures<br /></br><a href="http://www.whypoverty.net/en/video/31/">Why Poverty?</a><br /></br>Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /></br>ITVS</p>a><br /> Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /> ITVS</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>The RFUK and MEFP, in collaboration with the director Luis Leitao, have launched a new film on the way BaAka rainforest of Central African Republic make their voices heard through participatory mapping.</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. It works in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit the website and watch the clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>The RFUK and MEFP, in collaboration with the director Luis Leitao, have launched a new film on the way BaAka rainforest of Central African Republic make their voices heard through participatory mapping.</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. It works in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit the website and watch the clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth is a social entrepreneur based in Harare, Zimbabwe. She is telling On the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p> the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth is a social entrepreneur based in Harare, Zimbabwe. She is telling On the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p> the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="560" height="315" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international.</p></br><p>Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>t;p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="560" height="315" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international.</p></br><p>Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>t;p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/O_pKnP-2mOQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>L’Afrique produit 10 pour cent de moins de nourriture qu’en 1960. Avec la montée de la monoculture et de la production alimentaire mondialisée, le paysage du continent est en train de changer et menace sa capacité de se nourrir. Au Mali, un plan américain pour une vaste opération de production de canne à sucre sur les rives du fleuve Niger menace les producteurs de riz à petite échelle qui ont nourri leurs communautés pendant des générations.</p></br><p>Comment nourrir le monde ? Pour en savoir plus et obtenir des ressources pédagogiques, aller à <a href="http://www.whypoverty.net">www.whypoverty.net</a></p></br><p>Director Hugo Berkeley & Osvalde Lewat<br /></br>Producer Eli Cane<br /></br>Produced by Normal Life Pictures<br /></br><a href="http://www.whypoverty.net/en/video/31/">Why Poverty?</a><br /></br>Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /></br>ITVS</p>overty?</a><br /> Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /> ITVS</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>La RFUK et la MEFP, en collaboration avec le réalisateur Luis Leitao, ont lancé un nouveau film sur la manière dont les BaAka de la forêt tropicale de République Centrafrique font entendre leurs voix à travers la cartographie participative.</p></br><p>Afin de sensibiliser le public aux problèmes rencontrés par les communautés autochtones des forêts du bassin du Congo, et au rôle que la cartographie participative peut jouer dans la résolution de ces difficultés, la RFUK et l’ONG centrafricaine « Maison de l’Enfant et de la Femme Pygmées » (MEFP) ont produit un film de 30 minutes intitulé « Ndima — Les cartes de notre futur ». « Ndima », qui signifie « forêt » en BaAka, raconte la manière dont les communautés autochtones BaAka de la République centrafricaine ont utilisé la cartographie pour appuyer leurs revendications relatives à l’accès et à l’utilisation de leurs terres traditionnelles. Le film met en évidence ces enjeux dans le cas d’une aire protégée.</p></br><p>Le film s’adresse au tout public tant au « Nord » que dans le bassin du Congo – mais soulève également des questions importantes pour les décideurs, concernant les besoins et le rôle potentiel des premiers gardiens de la forêt dans les efforts de conservation au sens large.</p></br><p>Durée : 28mins<br /></br>Publiée le 2 juil. 2013<br /></br>Licence : Licence YouTube standard</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. We work in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit our website and watch our clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><img decoding="async" loading=<p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-4963" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2019/07/pla_barcelona_digital_city_in-2.jpg" alt="" width="600" height="300"><br /></br>Aux dernières élections  de mai,  Barcelone en Commun a fait alliance avec le Parti socialiste Catalan pour former un nouveau gouvernement municipal avec un programme commun et Ada Colau a été réélue  pour un autre mandat de 4 ans. Le premier mandat 2015-2019 s’est  effectué avec un gouvernement minoritaire et  dans un contexte régional et national politiquement et idéologiquement peu propice au développement d’un «  nouveau municipalisme des communs » et d’« une autre manière de faire de la politique»  dont se réclamait Barcelona en Comù. L’heure est au bilan et, bien sûr, beaucoup auront à dire sur les réalisations effectuées en les comparant au  programme initial. Mais quand on voit d’une part les réalisations concrètes qui dépassent souvent  ou questionnent les compétences d’une municipalité  (logement, mobilité, revenu  civique, santé, immigration, tourisme, féminisation de la politique, souveraineté énergétique  et technologique, etc.) et d’autre part ce qui a été mis en place pour transformer la relation entre l’institution, les mouvements sociaux et les assemblées de quartiers dans la transparence et la recherche de co-production de politiques, on peut affirmer que le bilan est globalement positif.</p></br><p>Le mouvement des communs et les tenants d’un nouveau municipalisme ne peuvent que se féliciter que, grâce à une coalition de mouvements sociaux qui a eu le courage (et il en faut) d’investir  une institution aux pratiques imprégnées de néo- libéralisme et dans une logique de partis souvent éloignée des besoins et réalités des résidents,  Barcelone demeure un des laboratoires des communs urbains les plus dynamiques et un modèle auquel se référer.</p></br><p>Le <a href="https://ajuntament.barcelona.cat/digital/sites/default/files/pla_barcelona_digital_city_in.pdf">bilan du plan numérique</a> mis en place au cours du premier mandat que l’on propose ici est caractéristique des réalisations, du cheminement critique et de la créativité de ce laboratoire.</p></br><p>Voici comment la ville y résume les principes de son action :</p></br><blockquote></br><ul></br><li>S’imposer comme une référence mondiale en tant que ville des communs et de la production collaborative.</li></br><li>Mettre fin à la privatisation et au transfert des actifs publics au secteur privé, tout en encourageant la re-municipalisation des infrastructures urbaines critiques.</li></br><li>Réduire massivement le coût des services de base tels que le logement, les transports, l’éducation et la santé, afin d’aider les couches les plus précaires de la population.</li></br><li>Instituer un revenu de base des citoyens axé sur la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale</li></br><li>Construire des modèles de l’économie guidés par les données, avec des intrants réels (en utilisant des analyses de données en temps réel) afin que la démocratie participative puisse modéliser des décisions complexes.</li></br><li>Préférer et promouvoir les organisations collaboratives plutôt que les solutions centralisées de l’État et du marché (augmenter la proportion des investissements du budget public dans les PME innovantes et le secteur coopératif).</li></br><li>Construire le patrimoine commun de données de la ville : décréter que les données de la population générées dans le cadre de l’utilisation des services publics ne peuvent être la propriété des opérateurs de services.</li></br></ul></br></blockquote></br><p>Ces principes s’incarnent dans un programme d’actions dont ce document détaille les effets. À coté des emblématiques 13 000 propositions politiques qui émanent des habitants, dont 9,245 (72%) ont été acceptées, on relève par exemple les 126 cas de corruption dénoncés à travers la boite courriel de la transparence (Transparency mailbox) depuis 2017 ou la prise en compte de la différence des genres dans le programme STEAM d’éducation et de formation technologique .</p></br><p>Enfin, Barcelone, ici comme dans d’autres domaines, s’appuie et renforce les réseaux de villes. Elle a initié – avec New-York et Amsterdam – la Coalition des villes pour les droits numériques et lancé la campagne « 100 villes en 100 jours »pour défendre 5 principes de politique numérique :</p></br><blockquote></br><ul></br><li>l’accès égal et universel à l’Internet et à la culture numérique</li></br><li>la protection de la vie privée et la sécurité des données</li></br><li>la transparence, la responsabilité et la non-discrimination dans l’usage les données, les contenus et les algorithmes</li></br><li>la démocratie participative, la diversité et l’inclusion</li></br><li>l’ouverture des services numériques et des normes éthiques</li></br></ul></br></blockquote></br><p>Les villes de la Coalition développent des feuilles de route, lois, outils, actions et ressources communes pour protéger les droits numériques des résidents et des visiteurs.</p></br><p><strong>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</strong></p></br><p><em>Pour un bilan plus exhaustif voir le bilan secteur par secteur sur le <a href="https://barcelonaencomu.cat/es">site de Barcelone en Commun (en espagnol)</a> ou bien l’actualité sur le <a href="https://ajuntament.barcelona.cat/en/">site de la mairie de Barcelone (en anglais) </a>.</em></p><a href="https://barcelonaencomu.cat/es">site de Barcelone en Commun (en espagnol)</a> ou bien l’actualité sur le <a href="https://ajuntament.barcelona.cat/en/">site de la mairie de Barcelone (en anglais) </a>.</em></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><span style="color: #000000;"&<p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Alain Ambrosi</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Avant même le dénouement de la crise dans laquelle se trouvent les Catalans après l’ultimatum lancé par le gouvernement espagnol, il est important de faire circuler dans l’écosystème des communs la tournure des événements en Catalogne et la position que prennent les organismes, institutions et associations catalanes qui se réclament des communs.</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Rappelons les faits : après avoir réprimé violemment les manifestations pacifiques des Catalans partisans de la tenue d’un référendum qu’ils soient pour ou contre l’indépendance, le gouvernement de Mariano Rajoy vient d’emprisonner Jordi Sànchez et Jordi Cuixart sous l’accusation de sédition pour avoir appelé à ces manifestations pacifiques. Par ce geste, le gouvernent espagnol viole les droits fondamentaux d’expression et de manifestation consignés dans la Déclaration des droits de l’homme en 1948 et reproduits depuis dans nombre de conventions dont celle de l’Europe sur la Protection des droits humains et des libertés fondamentales de 1950. Cette escalade dans la répression de revendications pacifiques dans un cadre démocratique est appuyée sans hésitations par les partis espagnols de droite (Parti Populaire) et de centre droit (Ciudadanos) et les sociaux démocrates du PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol) ce qui présage mal pour la suite des événements qui, selon l’Article 155 de la constitution, pourrait mettre fin au statut d’autonomie de la Catalogne.</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Sans être indépendantistes ni pour la tenue d’un référendum unilatéral, Barcelona en Comù (l’organisation de la maire de Barcelone Ada Colau minoritaire au conseil de ville de Barcelone depuis 2015) et Catalunya en Comù (le nouvel espace politique catalan créé en avril de cette année) avaient appelé, au nom du « droit  à décider », à la mobilisation populaire lors du référendum du 1er octobre et aux manifestations pacifiques qui l’ont précédé et suivi. Après l’arrestation des deux dirigeants indépendantistes, les deux organisations ont annulé leurs activités courantes et </span></span></span><a href="https://www.barcelonaencomu.cat/ca/premsa/barcelona-en-comu-considera-un-atac-gravissim-la-democracia-i-als-drets-basics-lempresonament"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>ont condamné vertement</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"> ce geste anti-démocratique et appelé la population à se joindre aux manifestations pacifiques prévues le 17 octobre. Le communiqué de Catalunya en Comù l’exprime ainsi : </span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Il est absolument intolérable dans toute démocratie d’emprisonner des représentants de la société civile pour leurs idées politiques et des manifestations pacifiques. Nous exigeons la liberté immédiate de ceux qui sont désormais des prisonniers politiques et demandons à toutes les forces politiques de ne pas être complices de cette attaque aux libertés fondamentales. Nous appelons à participer aux manifestations d’aujourd’hui [heures et lieux].</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">De nombreuses autres organisations de la société civile se joignent à cette position dont en particulier le Réseau de l’Économie Solidaire (</span></span></span><a href="http://xes.cat/2017/10/17/comunicat-rebuig-detencio-dels-presidents-lanc-omnium/"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>Xarxa de Economia Solidaria</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">) qui est partie prenante de l’économie coopérative en plateforme dans l’écosystème catalan des communs aux côtés de la mairie de Barcelone.</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">De son côté, la mairie de Barcelone publie </span></span></span><a href="http://eldigital.barcelona.cat/es/declaracion-institucional-de-rechazo-al-encarcelamiento-de-jordi-sanchez-y-jordi-cuixart_563009.html"><span style="font-size: large;">une déclaration institutionnelle</span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"> condamnant les arrestations et appelant la population à manifester pacifiquement. Il est à noter que cette déclaration est signée par tous les partis sauf les  partis de droite et centre droit (Parti Populaire, Ciudadanos) ainsi que le PSC Parti socialiste Catalan – qui en prenant cette position confirme son alignement sur le PSOE national et met en question l’appui qu’il donnait à Barcelona en Comù au sein de la municipalité.</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Au lendemain des impressionnantes manifestations aux chandelles effectuées dans le calme pour la libération des deux accusés, une nouvelle coalition vient de se former pour coordonner les manifestations pacifiques. Sous le nom de </span></span></span><a href="https://www.vilaweb.cat/noticies/neix-en-peu-de-pau-una-iniciativa-per-coordinar-les-mobilizaciones-pacifiques/"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>« En Peu de Pau »</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">  (littéralement « En pied de paix »), ce regroupement initié par douze organismes réunit des entités qui vont des Collectifs de pompiers aux Universités pour la démocratie. Il inclut également les deux organisations des accusés, l’ANC et Omnium Cultural. Dans la présentation, la philosophe Marina Garces, connue entre autres pour ses écrits et son engagement sur les Communs, voit cette nouvelle initiative comme « un espace d’intelligence collective basé sur la confiance contre le mécanisme de la peur ».</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Pour vous donner une idée de la répression et de l’attitude des manifestants, je propose la </span></span></span><a href="https://www.vilaweb.cat/noticies/a-video-denounces-spains-authoritarianism-help-catalonia-save-europe/"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>un vidéo</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"> qui donne une idée de la répression et de l’attitude des manifestants. Il est réalisé par </span></span></span><a href="https://en.wikipedia.org/wiki/Òmnium_Cultural"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>Omnium Cultural</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">, l’organisation dirigée Jordi Cuixart. Omnium est une organisation culturelle qui promeut la culture et la langue </span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">catala</span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">nes depuis 1960. Elle n’est devenue indépendantiste qu’en 2012. Si Rajoy continue sa répression aveugle, il va convertir à l’indépendantisme beaucoup d’autres organisations et individus aujourd’hui non partisans d’une révision de la constitution espagnole et d’une république catalane associée ou non avec l’Espagne.</span></span></span></p>: large;"><u>Omnium Cultural</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">, l’organisation dirigée Jordi Cuixart. Omnium est une organisation culturelle qui promeut la culture et la langue </span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">catala</span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">nes depuis 1960. Elle n’est devenue indépendantiste qu’en 2012. Si Rajoy continue sa répression aveugle, il va convertir à l’indépendantisme beaucoup d’autres organisations et individus aujourd’hui non partisans d’une révision de la constitution espagnole et d’une république catalane associée ou non avec l’Espagne.</span></span></span></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Après la première<a href="http<p>Après la première<a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article115"> rencontre à Dakar dans le cadre d’</a><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article115">Afropixe</a>l</span>, « A l’école des Communs » était un nouveau rendez-vous pour et avec Remix Biens Communs. Cela a été l’occasion de faire évoluer le projet d’oeuvre collaborative multimédia, et de le déployer comme une infrastructure du mouvement des biens communs au service d’un projet à Montréal.</p></br><p>« A l’école des communs » est une rencontre qui a pour objectif d’attirer, les commoners, remixers, créateurs, activistes, médiateurs et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement des synergies entre les projets de médiation et d’appropriation des biens communs. L’ouverture des initiatives, des projets, de l’échange des idées et le partage de ressources, d’outils, de formats de documentation permet d’irriguer les pratiques des biens communs.</p></br><p>Cette rencontre a créé l’opportunité d’échanges à la fois entre locaux et à l’échelle internationale. Cela a produit un effet d’entraînement et de stimulation sur les groupes de commoners présents, dont on peut espérer un effet d’enrichissement des pratiques elles-mêmes. Elle avait adopté des formes de travail actives, pour  définir les biens communs à la fois à travers les témoignages des personnes qui sont investies dans des pratiques, et les contributions des chercheurs qui étudient le sujet.</p>i étudient le sujet.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Après la première<a href="http<p>Après la première<a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article115"> rencontre à Dakar dans le cadre d’</a><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article115">Afropixe</a>l</span>, « A l’école des Communs » était un nouveau rendez-vous pour et avec Remix Biens Communs. Cela a été l’occasion de faire évoluer le projet d’oeuvre collaborative multimédia, et de le déployer comme une infrastructure du mouvement des biens communs au service d’un projet à Montréal.</p></br><p>« A l’école des communs » est une rencontre qui a pour objectif d’attirer, les commoners, remixers, créateurs, activistes, médiateurs et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement des synergies entre les projets de médiation et d’appropriation des biens communs. L’ouverture des initiatives, des projets, de l’échange des idées et le partage de ressources, d’outils, de formats de documentation permet d’irriguer les pratiques des biens communs.</p></br><p>Cette rencontre a créé l’opportunité d’échanges à la fois entre locaux et à l’échelle internationale. Cela a produit un effet d’entraînement et de stimulation sur les groupes de commoners présents, dont on peut espérer un effet d’enrichissement des pratiques elles-mêmes. Elle avait adopté des formes de travail actives, pour  définir les biens communs à la fois à travers les témoignages des personnes qui sont investies dans des pratiques, et les contributions des chercheurs qui étudient le sujet.</p>i étudient le sujet.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La Charte de la Forêt – <a hre<p>La Charte de la Forêt – <a href="http://www.nationalarchives.gov.uk/education/resources/magna-carta/charter-forest-1225-westminster/">Carta de Foresta</a> – publiée en 1217, est reconnue comme le premier acte officiel qui étend les protections et les droits essentielles de la <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Magna_Carta">Magna Carta</a> aux commoners anglais contre les abus de l’aristocratie. En vertu de cette charte, le peuple se voit garantir le droit l’accès aux ressources des forêts. L’impact de cette charte a été révolutionnaire. Elle est généralement considérée comme une des pierres angulaires de la Constitution Britannique et <a href="https://www.americanbar.org/groups/public_services/law_library_congress/charter_of_the_forest.html">inspiration de la Constitution Américaine</a>. Elle a permi de rendre de vastes étendues de terres aux paysans, de s’opposer au pillage des biens communs par la monarchie et l’aristocratie. Au 17ème siècle, elle inspire les Diggers et les Levellers et par la suite les protestations contre l’enclosure des terres par la bourgeoisie capitaliste. Mais elle sera abrogée en 1971, par un gouvernement conservateur, permettant ainsi la privatisation de ressources comme l’eau au bénéfice d’entreprises multinationales.</p></br><p>Aujourd’hui, les forêts demeurent des ressources essentielles pour l’habitat, la souveraineté alimentaire, et sont essentielles pour lutter contre les crises environnementales. Une <a href="http://charteroftheforest800.org/">campagne</a> de célébration de la Charte de la Forêt a commencé en Grande Bretagne au mois de Septembre et se poursuit en Novembre. La Lincoln Record Society a organisé une conférence internationale sur la Charte de la Forêt qui a débuté par un voyage en péniche sur la Tamise de Windsor à Runnymede, lieu de signature de la Magna Carta. Des experts ont présenté la Charte de la Forêt, son histoire et ses implications contemporaines. Les participants ont également pu voir l’un des exemplaires originaux et participer à une visite guidée de la Forêt de Sherwood que nous connaissons à travers l’histoire de Robin des Bois.</p></br><p>Aujourd’hui même, 7 novembre, se déroule un débat présidé par John McDonnell, Député et soutien de Jeremy Corbyn, les professeurs Peter Linebaugh et Guy Standing, et Julie Timbrell de <a href="https://thenewputneydebates.com/">New Putney Debates</a>. Ce débat fait parti d’un <a href="http://charteroftheforest800.org/november-2017/">programme </a> étalé sur une semaine qui appelle à la création d’un nouveau <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domesday_Book">Domesday Book</a>, un recensement national des propriétaires terriens britanniques et l’identification des communs ainsi qu’à une nouvelle Charte des communs et des Chartes locales. Il s’agit d’interroger la notion de propriété foncière dans un pays où elle est l’une des plus concentrée des pays occidentaux et d’élaborer des propositions politiques, y compris à travers une taxe sur la propriété foncière, pour une meilleure répartition des droits et des responsabilités sur les terres,</p></br><p>Merci à Yves Otis de m’avoir signalé l’article <a href="https://www.nakedcapitalism.com/2017/11/youve-never-heard-charter-important-magna-carta.html">Why You’ve Never Heard of a Charter as Important as the Magna Carta </a></p></br><p>Transcription de la Charte de la Forêt : <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La Rencontre »A l’école des Commu<p>La Rencontre »A l’école des Communs » a pour objectif d’attirer les créateurs, activistes et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement et l’appropriation des biens communs. Cela permet de contribuer à la compréhension, à la recherche et à la défense des biens communs.</p></br><p>Organisé par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l’UQÀM, l’événement À l’école des communs, qui s’est déroulé les 2 et 3 novembre 2012, était le premier du projet. Les participants et participantes présents ont eu l’occasion d’échanger sur les prérequis politiques, légaux, économiques et culturels nécessaires à l’émergence et au développement d’une économie des communs, le tout en présence d’invités internationaux Michel Bauwens fondateur de la fondation P2P et Lionel Maurel, aka Calimaq, fondateur de Savoircom1 et de leurs homologues québécois Ianick Marcil, économiste indépendant, et Stéphane Guidoin, de NordOuvert.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>A l’école des communs se structure autour de rencontres à géométrie vaviable. Une prochaine rencontre devrait être programmée à l’automne 2013.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Le projet est est conduit par Alain Ambrosi, soutenu par l’équipe de Communautique et Frédéric Sultan.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet bénéficie du soutien financier de la l’Organisation Internationale de la Francophone à travers Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs s’est déployé comme une infrastructure au service du projet à Montréal. Le réseau a fonctionner pour mobiliser ressources et intervenants. Les documents médiatiques ont été produits. Une expérimentation de retranscription a été réalisée.</p>ants. Les documents médiatiques ont été produits. Une expérimentation de retranscription a été réalisée.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>La Rencontre »A l’école des Commu<p>La Rencontre »A l’école des Communs » a pour objectif d’attirer les créateurs, activistes et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement et l’appropriation des biens communs. Cela permet de contribuer à la compréhension, à la recherche et à la défense des biens communs.</p></br><p>Organisé par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l’UQÀM, l’événement À l’école des communs, qui s’est déroulé les 2 et 3 novembre 2012, était le premier du projet. Les participants et participantes présents ont eu l’occasion d’échanger sur les prérequis politiques, légaux, économiques et culturels nécessaires à l’émergence et au développement d’une économie des communs, le tout en présence d’invités internationaux Michel Bauwens fondateur de la fondation P2P et Lionel Maurel, aka Calimaq, fondateur de Savoircom1 et de leurs homologues québécois Ianick Marcil, économiste indépendant, et Stéphane Guidoin, de NordOuvert.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>A l’école des communs se structure autour de rencontres à géométrie vaviable. Une prochaine rencontre devrait être programmée à l’automne 2013.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Le projet est est conduit par Alain Ambrosi, soutenu par l’équipe de Communautique et Frédéric Sultan.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet bénéficie du soutien financier de la l’Organisation Internationale de la Francophone à travers Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs s’est déployé comme une infrastructure au service du projet à Montréal. Le réseau a fonctionner pour mobiliser ressources et intervenants. Les documents médiatiques ont été produits. Une expérimentation de retranscription a été réalisée.</p>ants. Les documents médiatiques ont été produits. Une expérimentation de retranscription a été réalisée.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La destruction violente des commu<p>La destruction violente des communs de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes par le gouvernement français est un acte infâme et révoltant. L’actuelle offensive policière, menée par plusieurs milliers de gendarmes et de CRS, avec engins blindés et hélicoptères n’est que l’exercice de la violence étatique la plus pure contre un ensemble de pratiques collectives en cours ou en gestation, dont les fragiles conditions matérielles (bâtiments, lieux de réunion, outils de travail, troupeaux) sont anéanties par les bulldozers et les escouades policières. </p></br><p>Dès la première journée d’assaut contre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes la destruction de la ferme des «cents noms» constituait une véritable déclaration de guerre sociale et politique. La destruction de ce lieu ne s’imposait nullement au regard des critères invoqués par le gouvernement dans sa «communication». Nicole Klein, préfète des pays de Loire, justifie l’opération policière en prétendant que les «cents noms» n’avaient pas déposé de projet agricole. Ce qui est de toute évidence faux : les habitants de cette ferme étaient porteurs d’un projet agricole alternatif et certains d’entre eux avaient déposé une demande de régularisation. </p></br><p>Quelle est la véritable raison de cette rage destructrice? Ce n’est pas l’absence de projet, c’est la nature des projets qui est en cause. Ce que ne supportent pas l’Etat et ses représentants c’est que s’expérimentent depuis 10 ans des formes de vie qui préfigurent ici et maintenant ce que pourrait être une société libérée de l’emprise de la logique propriétaire sous toutes ses formes. De ce point de vue, il est de la plus haute valeur symbolique que les habitants et défenseurs de<br /></br>la zone aient proposé dès le début que l’Assemblée des usages<br /></br> prenne en charge la gestion collective des terres et des espaces. Cette solution présentait l’avantage de prolonger directement l’expérience initiée et poursuivie durant tant d’années: faire prévaloir la logique de l’usage commun, qui est une logique de soin et d’entretien, sur la logique propriétaire, qui est une logique destructrice et mortifère.</p></br><p>Ce n’est pas «l’État de droit» qui se défend, comme le soutient le premier Ministre, c’est un État de force qui veut éliminer le plus vite et le plus complètement possible tout ce qui pourrait relever du principe en acte du commun: associations, coopératives de consommation et de production, projets agricoles et artisanaux, modes d’échange et de vie conviviaux. L’État veut empêcher par ses moyens policiers démesurés ce qui est une véritable invention dans la manière de produire et de vivre, il veut faire table rase d un modèle de vie collective et écologique dont nous avons besoin aujourd’hui. </p></br><p>L’Etat apparaît ici sous son vrai visage: il n’est pas simplement le garant de la propriété privée, il est lui-même soumis de fond en comble à la logique propriétaire, il est l’Etat propriétaire en guerre contre les communs. Il faut lui faire échec coûte que coûte pour préserver le trésor menacé<br /></br>des communs.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot et Christian Laval</strong></p></br><p>Publication originale : 12/04/2018, <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>lence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La démarche des <a href="https<p>La démarche des <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">petits déjeuners en commun</a> à été lancée par le centre d’art sénégalais Kër Thiossane au Sénégal et l’organisation Communautique au Québec, dans le cadre du projet Remix Biens Communs.</p></br><p>Nés dans une dynamique de recherche à propos des définitions endogènes des biens communs, les petits déjeuners en commun constituent des occasions pour réfléchir ensemble à ce que signifient les biens communs à partir d’une approche artistique. Le but des ces rencontres célébrées aussi bien à Dakar, qu’à Montréal, est de non seulement de « comprendre », mais aussi de sentir la signification qui existe entre mon « je » et le « nous » d’une démarche collective. Une expérience sensible qui permet de bâtir des récits capables de redonner du sens au fait de vivre ensemble. Des récits qui maintiennent la communauté en mouvement pour donner du sens à sa propre existence et à sa propre lutte.</p></br><h2>Prémices Dakar</h2></br><p>A partir de janvier 2012, à Dakar, dans un contexte pré-électoral violent, en pleine remise en question de la constitution et de prise de conscience citoyenne dans tout le Sénégal, Kër Thiossane a commencé à explorer un chantier autour des biens communs, en organisant, à raison d’une fois par mois, un cycle de Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><p>Trois Petit-Déjeuner en-Commun ont été organisés entre janvier et avril 2012 sur le thème « Les biens communs dans les villes africaines » ; « Biens Communs et Espace » et « Langues et savoirs ».</p></br><p>Ces Petit-Déjeuner en-Commun ont été des temps de rencontres et d’échanges qui constituent en soi même une pratique de l’en-commun, où tout le monde participe, en raison d’une dynamique horizontale de partage de savoir.</p></br><p>Ils démarrent à chaque fois à partir d’un film réalisé par l’équipe de Kër Thiossane, sur un artiste et son questionnement sur un aspect des biens communs, dans la société sénégalaise.</p></br><p>Certains films et des extraits de petits déjeuners sont accessibles en ligne, sur le site web de Kër Thiossane, avec « une boite à outils » constituée d’ouvrages, de textes, d’interviews… que chacun est invité à enrichir par ses contributions via un wiki ou lors des Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><h2>Festival Afropixel</h2></br><p>Cette matière accumulée depuis le début de l’année 2012 et la réflexion amorcée auprès de la communauté artistique et des habitants, ont servi à préparer différentes activités (résidences, ateliers, performances…), le temps du Festival Afropixel sur le thème « Création, Culture et Savoirs en Communs », en mai 2012.</p></br><p>Parmi cette programmation riche et diversifiée, Kër Thiossane a rassemblé de grand penseurs et artistes africains pour réfléchir ensemble à la question de « La responsabilité artistique dans la construction de l’en-commun ».</p></br><p>Tous autour d’un verre de thé, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat et Ibrahima Wane ont participé, non pas à une rencontre entre experts, mais plutôt à un espace où l’expertise de chacun était mise au service de la pensée collective, qui s’est tissée au long de la discussion.</p></br><h2>Kédougou, jusqu’où tu es chez toi ?</h2></br><p>En 2013, les petits déjeuners en-commun, se poursuivent, en collaboration avec le collectif La Companyía (http://www.lacompanyia.org/). Il se délocalisent avec un premier petit déjeuner hors de Dakar, en mars, dans le cadre du festival la Nuit des étoiles, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou.</p></br><p>Prenant comme thématique le sujet central du festival, « Jusqu’où tu es chez toi ? » , nous avons cherché à enquêter sur les problématiques de la région de Kédougou liées aux biens communs. L’ouverture de la question Jusqu’où tu es chez toi ? a permis d’aborder des questions liées à la gestion des ressources naturelles dans une région frontalière riche en or et minérales, ainsi que des questions liées à l’appartenance et à la construction de communautés de vie.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les Petits déjeuners en Communs et le festival Afropixel organisés jusqu’à présent ont suscité un grand intérêt, aussi bien de la part des artistes, des acteurs de la société civile que des citoyens, au Sénégal. Des graines ont été semées et une réelle prise de conscience de l’enjeu des Biens Communs, nous invite à poursuivre ces discussions de façon encore plus ouvertes, autour d’autres facettes des biens communs, dans le but toujours de rendre possible et d’élargir cet espace de réflexion collective.<br /></br>En 2013/2014, Kër Thiossane souhaite organiser à intervalles réguliers, d’autres petits déjeuners, en reconduisant d’avantage les expériences, hors de Dakar, en partenariat avec le réseau des radios communautaires du Sénégal.</p></br><p>Ces expériences continueront à être filmées, documentées et partagées avec Communautique à Montréal, et d’autres partenaires, acteurs des communs ailleurs dans le monde (Finlande, Colombie…). Les Vidéos et autres médias issus de ces petits déjeuners seront mis en ligne sur la plate-forme Remix Biens Communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane)<br /></br>Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Petits déjeuners en-communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.<br /></br>La réalisation des petits dej en Communs à Dakar a également pu se faire grâce à l’appui financier de Arts Collaboratory et de l’Organisation Internationale de la Francophonie à Kër Thiossane.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a contribué à l’émergence du projet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>jet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>La démarche des <a href="https<p>La démarche des <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">petits déjeuners en commun</a> à été lancée par le centre d’art sénégalais Kër Thiossane au Sénégal et l’organisation Communautique au Québec, dans le cadre du projet Remix Biens Communs.</p></br><p>Nés dans une dynamique de recherche à propos des définitions endogènes des biens communs, les petits déjeuners en commun constituent des occasions pour réfléchir ensemble à ce que signifient les biens communs à partir d’une approche artistique. Le but des ces rencontres célébrées aussi bien à Dakar, qu’à Montréal, est de non seulement de « comprendre », mais aussi de sentir la signification qui existe entre mon « je » et le « nous » d’une démarche collective. Une expérience sensible qui permet de bâtir des récits capables de redonner du sens au fait de vivre ensemble. Des récits qui maintiennent la communauté en mouvement pour donner du sens à sa propre existence et à sa propre lutte.</p></br><h2>Prémices Dakar</h2></br><p>A partir de janvier 2012, à Dakar, dans un contexte pré-électoral violent, en pleine remise en question de la constitution et de prise de conscience citoyenne dans tout le Sénégal, Kër Thiossane a commencé à explorer un chantier autour des biens communs, en organisant, à raison d’une fois par mois, un cycle de Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><p>Trois Petit-Déjeuner en-Commun ont été organisés entre janvier et avril 2012 sur le thème « Les biens communs dans les villes africaines » ; « Biens Communs et Espace » et « Langues et savoirs ».</p></br><p>Ces Petit-Déjeuner en-Commun ont été des temps de rencontres et d’échanges qui constituent en soi même une pratique de l’en-commun, où tout le monde participe, en raison d’une dynamique horizontale de partage de savoir.</p></br><p>Ils démarrent à chaque fois à partir d’un film réalisé par l’équipe de Kër Thiossane, sur un artiste et son questionnement sur un aspect des biens communs, dans la société sénégalaise.</p></br><p>Certains films et des extraits de petits déjeuners sont accessibles en ligne, sur le site web de Kër Thiossane, avec « une boite à outils » constituée d’ouvrages, de textes, d’interviews… que chacun est invité à enrichir par ses contributions via un wiki ou lors des Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><h2>Festival Afropixel</h2></br><p>Cette matière accumulée depuis le début de l’année 2012 et la réflexion amorcée auprès de la communauté artistique et des habitants, ont servi à préparer différentes activités (résidences, ateliers, performances…), le temps du Festival Afropixel sur le thème « Création, Culture et Savoirs en Communs », en mai 2012.</p></br><p>Parmi cette programmation riche et diversifiée, Kër Thiossane a rassemblé de grand penseurs et artistes africains pour réfléchir ensemble à la question de « La responsabilité artistique dans la construction de l’en-commun ».</p></br><p>Tous autour d’un verre de thé, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat et Ibrahima Wane ont participé, non pas à une rencontre entre experts, mais plutôt à un espace où l’expertise de chacun était mise au service de la pensée collective, qui s’est tissée au long de la discussion.</p></br><h2>Kédougou, jusqu’où tu es chez toi ?</h2></br><p>En 2013, les petits déjeuners en-commun, se poursuivent, en collaboration avec le collectif La Companyía (http://www.lacompanyia.org/). Il se délocalisent avec un premier petit déjeuner hors de Dakar, en mars, dans le cadre du festival la Nuit des étoiles, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou.</p></br><p>Prenant comme thématique le sujet central du festival, « Jusqu’où tu es chez toi ? » , nous avons cherché à enquêter sur les problématiques de la région de Kédougou liées aux biens communs. L’ouverture de la question Jusqu’où tu es chez toi ? a permis d’aborder des questions liées à la gestion des ressources naturelles dans une région frontalière riche en or et minérales, ainsi que des questions liées à l’appartenance et à la construction de communautés de vie.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les Petits déjeuners en Communs et le festival Afropixel organisés jusqu’à présent ont suscité un grand intérêt, aussi bien de la part des artistes, des acteurs de la société civile que des citoyens, au Sénégal. Des graines ont été semées et une réelle prise de conscience de l’enjeu des Biens Communs, nous invite à poursuivre ces discussions de façon encore plus ouvertes, autour d’autres facettes des biens communs, dans le but toujours de rendre possible et d’élargir cet espace de réflexion collective.<br /></br>En 2013/2014, Kër Thiossane souhaite organiser à intervalles réguliers, d’autres petits déjeuners, en reconduisant d’avantage les expériences, hors de Dakar, en partenariat avec le réseau des radios communautaires du Sénégal.</p></br><p>Ces expériences continueront à être filmées, documentées et partagées avec Communautique à Montréal, et d’autres partenaires, acteurs des communs ailleurs dans le monde (Finlande, Colombie…). Les Vidéos et autres médias issus de ces petits déjeuners seront mis en ligne sur la plate-forme Remix Biens Communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane)<br /></br>Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Petits déjeuners en-communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.<br /></br>La réalisation des petits dej en Communs à Dakar a également pu se faire grâce à l’appui financier de Arts Collaboratory et de l’Organisation Internationale de la Francophonie à Kër Thiossane.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a contribué à l’émergence du projet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>jet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Le 19 avril 2012 Communautique or<p>Le 19 avril 2012 Communautique organisait le premier « <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/D%C3%A9jeuner_des_communs">Déjeuner des Communs</a> » dans ses locaux de Montréal. Le contexte de ce déjeuner est remarquable : Cela faisait déjà deux mois qu’un mouvement social sans précédent initié et animé par les étudiants envahissaient les rues de Montréal et des villes de province mobilisant toutes les couches de la population dans des manifestations d’une participation inégalée. Et ce 19 avril, ce qui fut appelé à juste titre le «printemps érable » par la profondeur de ses revendications, était à la veille de manifester le jour de la Terre qui devait être le point culminant du ralliement des différents secteurs de la société civile et qui, en se faisant sous nul autre thème que celui du « Bien Commun », a rassemblé près de 300 000 personnes. Ce déjeuner était donc fort à propos au moment où « le bien commun était sur toutes les lèvres », titre d’un texte lancé par Communautique, largement circulé sur la toile.</p></br><p>Préalablement à ce premier d’une série des 4 déjeuners en 2012, Communautique a contribué à l’animation sur le thème des biens communs à différentes occasions en organisant des ateliers ou en participant à des événements dans l’ambiance survoltée de la grève étudiante propice à la participation et à l’innovation.</p></br><p>Chacune des rencontres a favorisé l’échange des savoirs sous forme horizontale par des « conversations » et des « cercles d’apprentissage » selon une méthodologie d’animation éprouvée et de plus en plus utilisée dans les dynamiques de co-création, co-design et innovation sociale ascendante. Ces méthodes sont explicitées par Percolab partenaire de Communautique qui a assuré l’animation.</p></br><p>Chaque déjeuner a été documenté en vidéo mais a été aussi suivi de productions vidéos qui prolongeaint le débat en illustrant l’une ou l’autre des activités des participants au déjeuner par des entrevues et des prises de vue sur leur terrain d’opération. Ces productions sont éventuellement utilisées pour alimenter les déjeuners suivants.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La poursuite des déjeuners en communs de Montréal pourraient faire l’objet de remix tant avec ceux qui existent à Dakar que dans de nouvelles cités.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Alain Ambrosi et toute l’équipe de Communautique sont accompagnés par Samantha Slade de Percolab.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>La production vidéo des déjeuners des Communs de Montréal est réalisée grâce à l’appui du ministère de l’Éducation du Loisir et du Sport à la mission de formation continue et une contribution des stagiraires du programme Stages pour les jeunes d’Industrie Canada..</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix a été le creuset de la conception des déjeuners des Communs de Montréal, regards croisé avec Ker Thiossane à Dakar sur les biens communs.</p>Montréal, regards croisé avec Ker Thiossane à Dakar sur les biens communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Le 19 avril 2012 Communautique or<p>Le 19 avril 2012 Communautique organisait le premier « <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/D%C3%A9jeuner_des_communs">Déjeuner des Communs</a> » dans ses locaux de Montréal. Le contexte de ce déjeuner est remarquable : Cela faisait déjà deux mois qu’un mouvement social sans précédent initié et animé par les étudiants envahissaient les rues de Montréal et des villes de province mobilisant toutes les couches de la population dans des manifestations d’une participation inégalée. Et ce 19 avril, ce qui fut appelé à juste titre le «printemps érable » par la profondeur de ses revendications, était à la veille de manifester le jour de la Terre qui devait être le point culminant du ralliement des différents secteurs de la société civile et qui, en se faisant sous nul autre thème que celui du « Bien Commun », a rassemblé près de 300 000 personnes. Ce déjeuner était donc fort à propos au moment où « le bien commun était sur toutes les lèvres », titre d’un texte lancé par Communautique, largement circulé sur la toile.</p></br><p>Préalablement à ce premier d’une série des 4 déjeuners en 2012, Communautique a contribué à l’animation sur le thème des biens communs à différentes occasions en organisant des ateliers ou en participant à des événements dans l’ambiance survoltée de la grève étudiante propice à la participation et à l’innovation.</p></br><p>Chacune des rencontres a favorisé l’échange des savoirs sous forme horizontale par des « conversations » et des « cercles d’apprentissage » selon une méthodologie d’animation éprouvée et de plus en plus utilisée dans les dynamiques de co-création, co-design et innovation sociale ascendante. Ces méthodes sont explicitées par Percolab partenaire de Communautique qui a assuré l’animation.</p></br><p>Chaque déjeuner a été documenté en vidéo mais a été aussi suivi de productions vidéos qui prolongeaint le débat en illustrant l’une ou l’autre des activités des participants au déjeuner par des entrevues et des prises de vue sur leur terrain d’opération. Ces productions sont éventuellement utilisées pour alimenter les déjeuners suivants.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>La poursuite des déjeuners en communs de Montréal pourraient faire l’objet de remix tant avec ceux qui existent à Dakar que dans de nouvelles cités.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Alain Ambrosi et toute l’équipe de Communautique sont accompagnés par Samantha Slade de Percolab.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>La production vidéo des déjeuners des Communs de Montréal est réalisée grâce à l’appui du ministère de l’Éducation du Loisir et du Sport à la mission de formation continue et une contribution des stagiraires du programme Stages pour les jeunes d’Industrie Canada..</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix a été le creuset de la conception des déjeuners des Communs de Montréal, regards croisé avec Ker Thiossane à Dakar sur les biens communs.</p>Montréal, regards croisé avec Ker Thiossane à Dakar sur les biens communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Le projet « Justice transitionnel<p>Le projet « Justice transitionnelle: l’expérience marocaine » a pour but de partager les expériences extrêmement importantes marocaines sur la justice transitionnelle et la réparation communautaire.</p></br><p>Au Maroc, de 1959 à 1999, l’ancien roi Hassan II a souvent gouverné son pays d’une main de fer. Cette période est appelée les années de plomb au Maroc, au cours de laquelle ceux qui étaient considérés comme une menace pour le régime étaient soumis à un large éventail de violations des droits de l’homme. Des milliers de personnes ont été soumis à des arrestations arbitraires, à la torture et les disparitions, laissant un héritage amer.</p></br><p>Cependant, dès le début des années 1990, un processus graduel de réconciliation avec le passé a commencé à prendre racine, culminant le plus récemment dans les travaux de l’Instance Equité et Réconciliation du Maroc (Instance Equité et Réconciliation (IER)), mise en place par le successeur sur le trône, le roi Mohammed VI.</p></br><p>Le 7 Janvier 2004, l’IER a été créé. C’est la première commission de la vérité dans le monde arabe. Cela a été saluée internationalement comme un grand pas en avant, et un exemple pour le monde arabe. Depuis, l’IER a travaillé sur le terrible héritage de cette époque en examinant certains des pires abus au Maroc et en organisant des réparations pour les victimes et leurs familles.</p></br><p>Pendant toute la durée de son mandat, l’IER a amassé une archive de plus de 20.000 témoignages de victimes et de leurs familles, qui ont été organisées dans une base de données centrale à Rabat. Elle a mené une série de réunions, de conférences et de séminaires autour d’une multitude de questions qui sont clés pour comprendre le Maroc passé et le présent.</p></br><p>Elle a également pris l’initiative de tenir des audiences publiques pour donner aux victimes une plate-forme à partir de laquelle partager leurs souffrances. Tout au long de ses travaux, la Commission a pour but de documenter, de conserver et d’analyser les racines de la crise dans une tentative pour aider le Maroc à se réconcilier avec son passé.</p></br><p>Le projet Justice transitionnelle: l’expérience marocaine vise à partager des vidéos sur ce processus de la justice transitionnelle et la réparation communautaire. Ces vidéos évoquent la façon de préserver la mémoire des communautés des victimes pendant les «années de plomb» au Maroc et quels types d’audiences publiques ont eu lieu. Ces audiences ont été le point culminant d’un vaste processus de délibération citoyenne, de compassion et de liberté d’expression au Maroc . Ces vidéos abordent la façon dont le projet de réparation communautaire fonctionne pour améliorer les conditions de vie des populations dans les communautés de victimes et de les responsabiliser. En fait, ces matériaux ont principalement porté sur les femmes et les enfants.</p></br><p>L’expérience marocaines en matière de justice transitionnelle comme communes est utile et précieuse dans d’autres pays, en particulier pour les pays arabes qui ont la même histoire de la justice transitionnelle, comme l’Irak, l’Egypte, la Tunisie, la Syrie, le Liban, la Palestine, Algérie et ainsi de suite.</p></br><h3>Futur Développement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine va continuer à partager des vidéos et des matériaux plus historiques sur les expériences en matière de justice de transition, tels que les vidéos des auditions publiques, les vidéos des séminaires et des conférences publiques, des photos historiques et des rapports finaux des le projet de réparation communautaire.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Ning, Mohamed Leghtas</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine est financé par les fonds de l’Instance Equité et Réconciliation (IER)</p></br><h3>Contribution au projet « Justice transitionnelle « </h3></br><p>Remix Biens Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Le projet « Justice transitionnel<p>Le projet « Justice transitionnelle: l’expérience marocaine » a pour but de partager les expériences extrêmement importantes marocaines sur la justice transitionnelle et la réparation communautaire.</p></br><p>Au Maroc, de 1959 à 1999, l’ancien roi Hassan II a souvent gouverné son pays d’une main de fer. Cette période est appelée les années de plomb au Maroc, au cours de laquelle ceux qui étaient considérés comme une menace pour le régime étaient soumis à un large éventail de violations des droits de l’homme. Des milliers de personnes ont été soumis à des arrestations arbitraires, à la torture et les disparitions, laissant un héritage amer.</p></br><p>Cependant, dès le début des années 1990, un processus graduel de réconciliation avec le passé a commencé à prendre racine, culminant le plus récemment dans les travaux de l’Instance Equité et Réconciliation du Maroc (Instance Equité et Réconciliation (IER)), mise en place par le successeur sur le trône, le roi Mohammed VI.</p></br><p>Le 7 Janvier 2004, l’IER a été créé. C’est la première commission de la vérité dans le monde arabe. Cela a été saluée internationalement comme un grand pas en avant, et un exemple pour le monde arabe. Depuis, l’IER a travaillé sur le terrible héritage de cette époque en examinant certains des pires abus au Maroc et en organisant des réparations pour les victimes et leurs familles.</p></br><p>Pendant toute la durée de son mandat, l’IER a amassé une archive de plus de 20.000 témoignages de victimes et de leurs familles, qui ont été organisées dans une base de données centrale à Rabat. Elle a mené une série de réunions, de conférences et de séminaires autour d’une multitude de questions qui sont clés pour comprendre le Maroc passé et le présent.</p></br><p>Elle a également pris l’initiative de tenir des audiences publiques pour donner aux victimes une plate-forme à partir de laquelle partager leurs souffrances. Tout au long de ses travaux, la Commission a pour but de documenter, de conserver et d’analyser les racines de la crise dans une tentative pour aider le Maroc à se réconcilier avec son passé.</p></br><p>Le projet Justice transitionnelle: l’expérience marocaine vise à partager des vidéos sur ce processus de la justice transitionnelle et la réparation communautaire. Ces vidéos évoquent la façon de préserver la mémoire des communautés des victimes pendant les «années de plomb» au Maroc et quels types d’audiences publiques ont eu lieu. Ces audiences ont été le point culminant d’un vaste processus de délibération citoyenne, de compassion et de liberté d’expression au Maroc . Ces vidéos abordent la façon dont le projet de réparation communautaire fonctionne pour améliorer les conditions de vie des populations dans les communautés de victimes et de les responsabiliser. En fait, ces matériaux ont principalement porté sur les femmes et les enfants.</p></br><p>L’expérience marocaines en matière de justice transitionnelle comme communes est utile et précieuse dans d’autres pays, en particulier pour les pays arabes qui ont la même histoire de la justice transitionnelle, comme l’Irak, l’Egypte, la Tunisie, la Syrie, le Liban, la Palestine, Algérie et ainsi de suite.</p></br><h3>Futur Développement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine va continuer à partager des vidéos et des matériaux plus historiques sur les expériences en matière de justice de transition, tels que les vidéos des auditions publiques, les vidéos des séminaires et des conférences publiques, des photos historiques et des rapports finaux des le projet de réparation communautaire.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Ning, Mohamed Leghtas</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine est financé par les fonds de l’Instance Equité et Réconciliation (IER)</p></br><h3>Contribution au projet « Justice transitionnelle « </h3></br><p>Remix Biens Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les récentes élections municipale<p>Les récentes élections municipales et de quelques unes des communautés autonomes (régions) bouleversent l’échiquier politique espagnol. Les victoires inattendues aux municipales de nouvelles coalitions citoyennes issues des mouvements associatifs et de petits partis de gauche combinées à l’ irruption décisive des nouveaux partis nationaux Podemos et Ciudadanos dans les communautés autonomes met en échec le bipartidisme (Parti Populaire/Parti Socialiste) dominant depuis la Transition  démocratique de 1975. Vainqueurs dans 7 grandes villes  du nord au sud du pays dont les trois plus importantes , Madrid, Barcelone et Valencia, ces coalitions appellent à une transition d’un autre type en bousculant les mentalités et la culture politique et en forçant, dans la plupart des cas, à gouverner en mode minoritaire c’est à dire à composer avec les différents partis. À noter ici que le jeune parti de gauche Podemos qui a fait une apparition fulgurante au niveau européen en 2014 et fait aujourd’hui une entrée remarquée dans les communautés autonomes ne présentait pas de candidats aux municipales mais participait ou, le plus souvent, appuyait les coalitions citoyennes dans plusieurs villes.</p></br><h2>Ré-inventer les communs urbains du XXIème siècle</h2></br><p>Les nouveaux venus dans l’espace politique municipal se réclament des Communs allant pour certains jusqu’à associer ce terme à leur sigle : Barcelona en Comù, Zaragoza en Comun. Une lecture tant des programmes que des processus d’élaboration de ceux-ci montrent que, loin d’un simple effet de mode, la référence aux communs, introduit un nouveau discours et un nouvel horizon politique mais surtout une nouvelle manière de faire de la politique . Les nouveaux élus sont issus des mouvements sociaux et font leurs premiers pas en politique active. Leurs « non-partis » ont, pour la plupart , au plus une année d’existence mais les associations où ils ont milité ont connu des mobilisations et des victoires locales significatives. À y regarder de plus près, la nouvelle culture politique qu’ils proposent est ancrée dans des traditions de luttes urbaines aujourd’hui revues et améliorées par les initiatives citoyennes issues de la crise de 2008, des indignados en 2011 et des différentes «  marées » ou mobilisations qui ont suivi dans les domaines du logement, de la santé, de l’éducation, de la culture et de l’écologie urbaine. Ces traditions d’autogestion et d’ « auto-gouvernement » aux racines le plus souvent libertaires et connues sous le nom de « municipalisme » ont été revisitées par les cultures et pratiques des mouvements anti-croissance, écologiste, altermondialiste et de culture libre dans la foulée et dans l’esprit des indignados de 2011 avec une maîtrise et une utilisation raisonnée et intelligente des nouvelles technologies et des médias audiovisuels.</p></br><p>Les défis qui attendent ce nouveau municipalisme sont immenses dans un pays où au lendemain même des élections du 24 mai deux rapports internationaux faisaient état, l’un (1), d’une augmentation exponentielle (de 9 à 18%) de la pauvreté depuis le début de la crise et l’autre (2), de l’augmentation des grandes fortunes (40%) pendant la même période. Pour rajouter à la morosité régnante et bien planter le décor, le FMI n’a pas manqué, quelques jours avant les investitures municipales, de féliciter le gouvernement espagnol pour ses résultats économiques « encourageants » tout en lui rappelant qu’il devait continuer ses mesures d’austérité en augmentant les impôts indirects, en coupant les dépenses de santé et d’éducation et en baissant les salaires. Fallait-il s’attendre à moins des chantres de l’austérité ?</p></br><h2>Un Bien Vivre dans la dignité restaurée</h2></br><p>Mais cela ne semble pas entamer la confiance des nouveaux titulaires des mairies qui ont mené campagne et bâti leur programme sur des politiques anti-austérité et mettent déjà en place, comme à Barcelone, les mesures de leur « plan de choc » sur le logement, l’alimentation, l’accès garanti et à moindre coût aux services de base, le transport et une allocation municipale. Ce plan auquel ils consacrent des budgets significatifs de façon jusque là inédite au niveau municipal, vise à contrer la « déshumanisation » des politiques d’austérité et « restaurer la dignité » des personnes les plus démunies .</p></br><p>Cependant, l’ambition affichée des nouvelles administrations va bien au delà de ces mesures d’urgence des premiers mois de leur mandat. Ils veulent faire de leurs villes des lieux d’expérimentation et de promotion d’un Bien Vivre urbain qui interpelle les politiques sociales et économiques autant que les compétences et les pratiques démocratiques au plan municipal mais aussi régional, national et international. Dans son discours inaugural à la mairie de Barcelone, Ada Colau a évoqué la création « d’un réseau des villes démocratiques d’Europe du sud ».</p></br><h2>Transparence et Participation</h2></br><p>Cette petite révolution dans la culture et la pratique politique se fait dans la transparence la plus totale, en se donnant un code d’éthique, en réduisant les salaires des élus et supprimant leurs divers avantages collatéraux (voitures de service, perdiems, etc.), et surtout, en misant sur l’intelligence collective et la participation effective des citoyens. Beaucoup de ceux-ci sont d’ailleurs d ‘ores et déjà partie prenante du programme de la municipalité pour y avoir contribué avant et pendant la campagne au cours des nombreuses assemblées de « voisins » dans les quartiers et des différents moments de « crowdsourcing » sur une plateforme virtuelle. Le programme très structuré qui en résulte reste ouvert et est une invitation à participer. La page web de Barcelona en Comù l’annonce d’emblée : «  Le programme que tu as devant les yeux est un programme En Commun et, comme tu pourras voir, cela suppose un changement très important par rapport aux programmes politiques traditionnels. (…) c’est un document qui prétend être utile au dialogue citoyen. (…) »(3)</p></br><p>Lors de l’acte inaugural Ada Colau affirmait qu’  « il est indispensable de créer une nouvelle forme de gouvernance » , rappelait qu’elle n’est que « l’une des milliers de voisines » , qu’elle compte « gouverner en obéissant » et que si son équipe ne fait pas ce qui est promis dans le programme :«  Mettez nous dehors!». Les milliers de personnes qui l’attendaient sur la Place Saint Jaume à la fin de son discours diffusé sur de grands écrans, l’ont accueillie avec le « Si se puede » (Oui, c’est possible) qui avait scandé toutes les assemblées au cours de la campagne. Dans une foule dense où elle avait du mal à avancer mais visiblement à l’aise au milieu de ses « voisins », compagnons et partisans, Ada a retrouvé les mots et la manière de la présidente et militante de la PAH (4). Et à cette multitude enthousiaste elle pouvait dire avec un grand sourire « ça va être dur de gouverner  mais nous ne sommes pas seuls » et appeler à participer et se responsabiliser. Elle concluait en parlant d’empathie<br /></br>et en invitant à organiser une manifestation de soutien aux travailleurs de la compagnie de téléphonie Movistar, présents dans la foule, dont elle avait appuyé la grève avant et pendant la campagne.</p></br><p>Le ton est donné et donne à penser qu’avec les communs c’est aussi les Indignés qui sont entrés à l’Hotel de Ville.</p></br><h2>Le réalisme des communs.</h2></br><p>Dans un article intitulé « L’heure est au réalisme » Josep Ramoneda, chroniqueur du quotidien barcelonais ARA, opposait les propositions de Barcelone en Commun aux derniers diktats du FMI en montrant que les « utopistes nihilistes » , termes souvent utilisés par les médias et le parti au pouvoir pour dénigrer les alternatives de gauche, sont plutôt du côté des tenants du néolobéralisme incapables de sortir de la crise et creusant les inégalités. Il concluait en disant : « Soyons réalistes, pensons au bien commun »(5) Commentaire assez surprenant dans ce journal en langue catalane plus connu pour son indépendentisme que son « commun-isme ». Commentaire qui laisse entendre que les communs ne sont pas seulement entrés dans les hôtels de ville mais aussi dans l’imaginaire collectif et le discours politique et qu’il faudra maintenant compter avec eux.</p></br><h2>Un laboratoire vivant qui invite au commoning</h2></br><p>Le mouvement émergeant des commoners et apprentis commoners du local à l’international devront prêter une attention particulière à ce véritable laboratoire vivant des communs urbains.</p></br><p>Il y a beaucoup à apprendre de ces communs en action sur la nature même des communs, le faire en commun (commoning) et la possible transition vers une société des communs? C’est aussi une occasion unique de pouvoir y contribuer de « pair à pair » en y apportant les compétences, expériences et expertises développées sous différentes latitudes et dans les différents contextes socio-culturels où se réinventent les communs depuis une dizaine d’années.</p></br><p><strong>Alain Ambrosi, Barcelone, 17 juin 2015</strong></p></br><p>(1) Rapport de l’OCDE mai 2015 <a href="http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en">http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en</a><br /></br>(2) Rapport réalisé par Capgemini et Royal Bank of Canada (RBC) Wealth Management. (El Pais du 17 juin 2015)<br /></br>(3) <a href="https://barcelonaencomu.cat">https://barcelonaencomu.cat</a><br /></br>(4) PAH Plateforme des affectés par l’hypothèque ( contre les expulsions) créée en 2009 à Barcelone et qui compte aujourd’hui 200 associations en Espagne.<br /></br>(5) ARA du 10 juin 2015</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les voies maritimes, une belle id<p>Les voies maritimes, une belle idée de vidéo autour d’un projet d’aire maritime à protéger</p></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="//www.dailymotion.com/embed/video/xu8azp" allowfullscreen></iframe><br /></br>Par <a href="http://www.aires-marines.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Aires-marines-protegees</a></i></p></br><p>Trois photographes ont sillonné pendant plusieurs mois le golfe normand breton qui s’étend de l’île de Bréhat au Cap de La Hague et qui fait l’objet d’un projet de parc naturel marin. Rodolphe Marics, Denis Bourges et Xavier Desmier proposent une radiographie de cet espace marin selon trois points de vue différents et complémentaires : photos aériennes, pédestres et sous-marines. </p></br><p>Les voies maritimes est né d’un partenariat entre l’Agence des aires marines protégées et l’association Les champs photographiques. </p> des aires marines protégées et l’association Les champs photographiques. </p>)
  • Chargement/Site 2  + (<p>Maxime Combes a produit un <a <p>Maxime Combes a produit un <a href="https://www.boell.de/en/2014/01/21/valuing-natural-capital-or-devaluing-nature">rapport sur le premier « Forum mondial sur le capital naturel »</a> qui se déroulait fin novembre 2013 à Edimbourg.</p></br><p>Ce document décrypte le processus d’élaboration des nouveaux outils de comptabilité du « capital naturel » qui valorise la nature et les services éco-systémiques en capital à grande échelle. Cette démarche est aune traduction très concrète de Rio+20 et de l’économie verte qui se justifie encore avec l’argument de la tragédie des communs.</p></br><p>On est face à un enjeu majeur pour les communs dits naturels. Il confirme l’importance de définir des outils et les principes de gestion qui permettent de préserver les communs et la nature.</p></br><p>Rapport réalisé pour la Fondation Heinrich Boll</p>.</p> <p>Rapport réalisé pour la Fondation Heinrich Boll</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Maxime Combes a produit un <a <p>Maxime Combes a produit un <a href="https://www.boell.de/en/2014/01/21/valuing-natural-capital-or-devaluing-nature">rapport sur le premier « Forum mondial sur le capital naturel »</a> qui se déroulait fin novembre 2013 à Edimbourg.</p></br><p>Ce document décrypte le processus d’élaboration des nouveaux outils de comptabilité du « capital naturel » qui valorise la nature et les services éco-systémiques en capital à grande échelle. Cette démarche est aune traduction très concrète de Rio+20 et de l’économie verte qui se justifie encore avec l’argument de la tragédie des communs.</p></br><p>On est face à un enjeu majeur pour les communs dits naturels. Il confirme l’importance de définir des outils et les principes de gestion qui permettent de préserver les communs et la nature.</p></br><p>Rapport réalisé pour la Fondation Heinrich Boll</p>.</p> <p>Rapport réalisé pour la Fondation Heinrich Boll</p>)
  • Le « Commun » : une alternative politique au néolibéralisme  + (Après une définition du commun, Christian Après une définition du commun, Christian Laval propose dans la conférence "Le « Commun » : une alternative politique au néolibéralisme", un historique de l'émergence des communs comme question centrale dans l'espace public. Cette conférence fait partie du cycle "Comprendre et Agir" organisé par l'INRIA GRENOBLE RHÔNE-ALPES en 2020. par l'INRIA GRENOBLE RHÔNE-ALPES en 2020.)
  • Bassin Versant Solidaire de Forest  + (Bassin Versant Solidaire de Forest est uneBassin Versant Solidaire de Forest est une démarche de mobilisation citoyenne qui vise à proposer des solutions co-gérées avec la société civile pour l'aménagement d'un bassin versant à Bruxelles. Cette démarche est conduite par les Etats Généraux de l'Eau à Bruxelles.r les Etats Généraux de l'Eau à Bruxelles.)
  • Faut-il "en finir" avec la démocratie participative ?  + (Budgets participatifs, conseils de quartieBudgets participatifs, conseils de quartier, réunions publiques... Les dispositifs de participation citoyenne censés répondre à la crise démocratique sont nombreux. Pourtant la relation de pouvoir avec les institutions publiques demeure verticale, la parole recueillie et son utilisation étant toujours contrôlée par les autorités. La démocratie participative semble dans ce sens instituer l'illusion d'un dialogue plutôt qu'ouvrir nouveaux espaces où exercer des formes de démocratie réelle. Dans cet entretien Manon Loisel nous explique les limites de ces dispositifs qui aboutissent souvent à renforcer les vices de la démocratie représentative.les vices de la démocratie représentative.)
  • Remettre l'eau au cœur du débat public  + (Cet étude examine deux démarches participaCet étude examine deux démarches participatives de la Métropole de Lyon : la création de l’Assemblée des usagers de l’eau, en accompagnement de la nouvelle régie publique, et Eau futurE, une expérience de prospective participative. L'idée qui accompagne ces projets était de proposer aux habitants des espaces, des temps et des méthodes pour s’informer, réfléchir aux enjeux, se projeter vers l’avenir et peser sur les décisions, facilitant l’émergence d’une dynamique citoyenne autour de l’eau, de sa gestion et de sa préservation. Dans ce rapport on retrouve racontées ces deux initiatives afin de partager leurs méthodes, leurs partis-pris, leurs apports et leurs limites, aux professionnels de la</br>participation citoyenne et à toute personne intéressée par la vie démocratique.rsonne intéressée par la vie démocratique.)
  • D'où vient l'eau potable du Grand Lyon ?  + (Cette vidéo retrace de manière très simpleCette vidéo retrace de manière très simple et claire le cycle de l'eau à partir du ruissellement dans la source jusqu'à la distribution dans le Grand Lyon en montrant étape par étape (ruissellement, infiltration, captage, production, stockage, distribution) comment ce parcours se déroule.tribution) comment ce parcours se déroule.)
  • Politique de l'eau en France  + (Cette vidéo réalisée par les agences de l'Cette vidéo réalisée par les agences de l'eau à l'occasion du 6ème Forum mondial de l'eau retrace l'histoire de la politique de l'eau, les principes, les enjeux et décrit les acteurs qui la mettent en œuvre. Cette reconstruction est faite à partir des lois principales adoptées à niveau national et européen et elle essaie d'encadrer ces mesures dans l'évolution de l'économie française. La vidéo explique aussi le fonctionnement des instances de gouvernance et contrôle créées à cette fin.ouvernance et contrôle créées à cette fin.)
  • Charte Remix - Version 6 mai 2013  + (Charte de Remix Biens Communs - Version 0.1 - 6 mai 2013)
  • Comprendre le mouvement des communs  + (Comprendre le mouvement de commun est une récolte d’articles qui analysent différents aspects du mouvement des communs : approches, activités, stratégies, ...etc. Les documents constituent une exploration de la complexité du mouvement.)
  • Recours d'urgence pour l'accès à l'eau (Mayotte a soif)  + (Dans ce dossier de presse conjoint les assDans ce dossier de presse conjoint les associations Mayotte a soif et Notre Affaire à Tous dénonce la crise de l'eau que les habitant.e.s de Mayotte sont en train d'affronter en expliquant les raisons de cette crise. Via un référé liberté, ces associations ainsi que 15 victimes requérantes demandent au tribunal administratif de Paris de reconnaître l'impact de la crise sur les droits fondamentaux et la réponse insuffisante de l'État. Pour eux, la situation à Mayotte est le résultat de plusieurs années d’un désengagement de l’État sur ces questions et d’une inadaptation discriminatoire des politiques publiques déployées.atoire des politiques publiques déployées.)
  • Épisode 2 L'homme augmenté en eau  + (Dans ce podcast Jean-Sébastien Steyer (palDans ce podcast Jean-Sébastien Steyer (paléontologue au CNRS et au MNHN de Paris), Christian Clot (explorateur-chercheur) et Guillaume Levrier (chercheur au CEVIPOF en Politique Comparée) nous parle des possibilités d'adaptation de l'humain dans des conditions de rareté des ressources en eau à la croisée entre démarche scientifique et science-fiction. Chacun avec sa propre perspective, les intervenants approche cette question sous différents angles : technologique, scientifique et comportemental.nologique, scientifique et comportemental.)
  • Pénuries, montées d'eaux, canicules : comment s'adapter ?  + (Dans cet entretien Alexandre Magnan, co-auDans cet entretien Alexandre Magnan, co-auteur du groupe II du GIEC et chercheur senior en "adaptation au changement climatique" à l’IDDRI, nous parle du sixième rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). Le rapport non seulement constate l'aggravation des risques climatiques mais propose aussi des solutions possible pour s'adapter, absorber les crises futures et construire un avenir meilleur. futures et construire un avenir meilleur.)
  • Questions à Sabine Girard (Saillans dans la Drôme)  + (Dans cet entretien Sabine Girard (auditionDans cet entretien Sabine Girard (auditionnée par la Section de l'éducation, de la culture et de la communication du CESE dans le cadre de la saisine : "L'éducation populaire, une exigence du 21ème siècle") nous explique les mécanismes de participation à la base de la liste citoyenne dans laquelle elle a été élue, ainsi que les effets positifs de cet engagement des habitants. positifs de cet engagement des habitants.)
  • L’eau en partage  + (Dans cet épisode titré « L'eau en partage Dans cet épisode titré « L'eau en partage » Emeline Hassenforder et Chamseddine Harrabi nous parle du programme mis en place en Tunisie pour répondre aux problèmes liés au manque d'eau dans le secteur de l'agriculture. Ce programme lancé par le gouvernement tunisien vise à améliorer la gouvernance des ressources naturelles, en l'occurrence de l'eau, en misant sur la participation citoyenne. en misant sur la participation citoyenne.)
  • À la découverte des communs  + (Dans cette brève vidéo de présentation de Dans cette brève vidéo de présentation de son engagement dans les communs, l'Agence Française du Développement (AFD) propose une définition nuancée et intelligente des communs à partir de trois exemples situés dans des contextes culturels et économiques et sociaux différents. Un Fab lab à Lomé, une association qui facilite l’accès aux terres pour les agriculteurs, une association d’usagers qui organise l’accès à l’eau à Kinshasa, à travers ces trois exemples cette vidéo met en évidence les mécanismes de partage, d'interdépendance et les enjeux sociaux économiques et environnementaux.x sociaux économiques et environnementaux.)
  • La charte des engagements d'Eau publique du Grand Lyon  + (Dans cette charte on retrouve les engagemeDans cette charte on retrouve les engagements divisés par points de l'acteur public maintenant en charge de la gestion de l'eau dans la Métropole de Lyon. Ces engagements visent à assurer la qualité et l'accessibilité de l'eau ainsi que la disponibilité et la transparence de l'agence dans la relation avec les usagers ce qui concerne le partage des informations mais aussi la réactivité de la réponse dans le cas où il y ait de problèmes.onse dans le cas où il y ait de problèmes.)
  • Petite histoire de la gestion de l'eau dans la Métropole de Lyon  + (Dans cette présentation on retrouve une reDans cette présentation on retrouve une reconstruction chronologique synthétique des étapes qui ont marqué l'histoire de la gestion de l'eau à Lyon du 19ème siècle à aujourd'hui. Produite par le collectif EAU BIEN COMMUN ce texte vise à promouvoir la mise en place d'une gestion publique et citoyenne de l'eau, ce qui a été finalement réalisé.de l'eau, ce qui a été finalement réalisé.)
  • Les résistances territorialisées aux réformes de modernisation des services d'eau  + (Dans cette vidéo Antoine Brochet nous faitDans cette vidéo Antoine Brochet nous fait une synthèse de son travail de recherche. Le titre étant « Les résistances territorialisées aux réformes de modernisation des services d'eau » la thèse porte justement sur les reformes européennes et d'inspiration économique qui visent à croître la performance des services d'eau.croître la performance des services d'eau.)
  • La crise de l'eau approche ?  + (Dans cette vidéo Charlène Descollonges (inDans cette vidéo Charlène Descollonges (ingénieure hydrologue) nous parle d'inondations, sécheresses, et gestion partagée de la ressource en eau. Elle nous montre à travers plusieurs exemples que le cycle de l’eau est complètement bouleversé au point d’avoir dépassé les limites planétaires de l’eau bleue et verte. Ce faisant au cours de l'entretien plusieurs questions sont traitées pour comprendre d'une part quelle est la source de tous ces dérèglements tant localement que globalement et de l'autre comment pouvons nous s’adapter à un contexte de plus en plus imprévisible et concilier les besoins essentiels et superflus de l’eau de manière plus démocratique.lus de l’eau de manière plus démocratique.)
  • Projet de territoire de gestion de l'eau du bassin du Clain  + (Dans cette vidéo Christine Graval (conseilDans cette vidéo Christine Graval (conseillère régionale de la Vienne), Nicolas Fortin (secrétaire national Confédération Paysanne), Jean-Claude Hallouin (conseiller juridique Vienne Nature) et Jean-Pierre Coillot (vice-président UFC que choisir de la Vienne) présentent le projet territorial de gestion de l'eau du bassin du Clain. Chacun et chacune à partir de sa propre perspective (politique, juridique, sanitaire, agricole) les intervenants nous expliquent les raisons qui ont motivé le lancement de ce projet, ainsi que les défis, les enjeux et les objectifs qui concernent surtout la répartition équitable, l'accessibilité et la qualité de l'eau.e, l'accessibilité et la qualité de l'eau.)
  • Les Champs Captants du Sud de Lille  + (Dans cette vidéo l'association « EntrelianDans cette vidéo l'association « Entrelianes » nous parle des enjeux environnementaux auxquels Les Champs Captants sont confrontés : défi climatique, crise de la biodiversité et crise de l'eau. Il s'agit d'un territoire qui alimente 30% de l'eau potable de la Métropole Européenne de Lille. L'expression « champs captants » définit des terres qui infiltrent directement l'eau de la pluie vers les nappes phréatiques sous-jacentes.vers les nappes phréatiques sous-jacentes.)
  • Accompagner la gouvernance concertée des eaux souterraines - Limaoua  + (Dans cette vidéo on retrouve le travail deDans cette vidéo on retrouve le travail de conception des politiques de gestion de l'eau mises en place à Limaoua en Tunisie. L'idée était d'adopter une démarche participative pour arriver à une gouvernance concertées des eaux souterraines. Professionnels, agriculteurs et d'autres acteurs concernés nous expliquent les raisons qui ont motivé ce choix.quent les raisons qui ont motivé ce choix.)
  • Accompagner la gouvernance concertée des eaux souterraines - Aousja  + (Dans cette vidéo on retrouve une rétrospécDans cette vidéo on retrouve une rétrospéctive des politiques de gestion de l'eau mises en place à Aousja en Tunisie. L'idée était d'adopter une démarche participative pour arriver à une gouvernance concertées des eaux souterraines. Professionnels, agriculteurs et d'autres acteurs concernés nous expliquent les raisons qui ont motivé ce choix et comment le processus s'est déroulé.oix et comment le processus s'est déroulé.)
  • Mégabassines, histoire secrète d'un mensonge d'État  + (Dans cette vidéo réalisée par Clarisse FélDans cette vidéo réalisée par Clarisse Félétin on parle de la question des mégabassines à partir du cas particulier de la zone humide du Marais poitevin. L'enquête montre, d'un côté, les intérêts financiers sous-jacents les discours promouvant et justifiant les mégabassines avec le soutien inconditionnel de l'État et dévoile, de l'autre, la nature mensongère de ces discours avec les effets néfastes que cette gestion engendre (pénurie d'eau, pollution, destruction des écosystèmes etc.).lution, destruction des écosystèmes etc.).)
  • L'eau est un bien commun  + (Dans le cas de l'eau il ne s'agit pas de pDans le cas de l'eau il ne s'agit pas de penser à cette ressource en tant que naturellement et intrinsèquement commune. Au contraire, l'eau devient un bien commun lorsqu'un collectif l'institue comme bien commun, c'est-à-dire en fait une ressource commune par un processus démocratique qui définissent les termes dans lesquels l'eau est utilisée, produite et distribuée.'eau est utilisée, produite et distribuée.)
  • Co-construction d’une nouvelle structure tarifaire solidaire et environnementale  + (Dans le contexte de la mise en place de laDans le contexte de la mise en place de la Régie publique de l’Eau, la Métropole de Lyon et la Régie ont proposé un</br>premier cycle de travail à l’Assemblée des Usagers de l'eau sur la mise en place d’une tarification solidaire et environnementale de l’eau potable. Ce projet s’inscrit dans une réflexion plus large sur le « droit à l’eau ». La spécificité de la démarche proposée par la Métropole et la Régie à l’Assemblée a résidé dans sa volonté d’une co-construction des évolutions du cadre tarifaire entre les usagers, à travers l’Assemblée, les services de la Métropole et de la Régie et les élus. Dans ce bilan on retrouve décrit le processus qui a accompagné cette démarche, ses résultats et ses perspectives futures.ses résultats et ses perspectives futures.)
  • Itinéraires en Biens Communs  + (Description::Itinéraires en Biens Communs est une initiative d'Alain Ambrosi. Celui-ci nous invite à contribuer de manière créative et interactive à la l'appropriation des concepts et des pratiques autour de la notion de communs.)
  • L'approche COOPLAGE  + (Développé à partir du 2004, l'approche « CDéveloppé à partir du 2004, l'approche « CoOPLAGE (Coupler des Outils Ouverts et Participatifs pour Laisser les Acteurs s’adapter pour la Gestion de l’Eau » a été élaboré par les chercheurs INRAE de l’Unité Mixte de Recherche gestion de l’Eau, Acteurs, Usages à Montpellier. Il s'agit d'une suite intégrée d’outils et protocoles participatifs destinés à accompagner et autonomiser des groupes d’acteurs de tous niveaux vers une discussion et un engagement réel dans des stratégies de changement social et environnemental. Outre la présentation générale de cette approche dans cette page on retrouve aussi une fiche téléchargeable en anglais qui explique les différentes étapes.glais qui explique les différentes étapes.)
  • Voyage à Chieri et Milan 2015  + (Entrevues réalisées à l'occasion du festival international des communs de Chieri et d'une visite des centres sociaux à Milan.)
  • Épisode 3 Conflits d’eau, enjeux de pouvoir - De la géopolitique au dialogue territorial  + (Face à l'émergence et à la démultiplicatioFace à l'émergence et à la démultiplication des conflits de l'eau à niveau local, national et international Emma Haziza (hydrologue), Julie Trottier (directrice de recherche au CNRS) et Fadi Comair (viceprésident du Programme Hydrologique Intergouvernemental de l'UNESCO) interrogent et problématisent ces tensions pour mettre en exergue enjeux, raisons et solutions possibles. L'une des pistes suggérées par les intervenant.e.s porte précisément sur la possibilité de centrer la gestion de l'eau sur la demande plutôt que sur l'offre.eau sur la demande plutôt que sur l'offre.)
  • Commons Ecosystems - Écosystèmes des communs  + (Faire alliance autour du renforcement des écosystèmes de communs)
  • École des communs de l'alimentation  + (Faire émerger l’alimentation comme « acteuFaire émerger l’alimentation comme « acteur/réseau » en tissant le champ d'intermédiation entre les communs urbains, naturels & culturels, participe des alternatives au régime alimentaire international néolibéral. L’École des communs propose de soumettre à l’enquête les savoirs et savoir-faire des acteurs de l’alimentation en commun entre 4 sites : Marseille, Montreuil et Toulouse et Autrans pour produire un commun de la connaissance sur la transition écologique par l'alimentation. Elle prend la forme de 4 chantiers pour faire école : interconnecter et faire</br>communauté, rendre visible et renforcer ces pratiques. Ce projet servira de modèle pour développer 1) de nouveaux communs de l’alimentation et 2) de nouvelles écoles des communs dans d’autres domaines.les écoles des communs dans d’autres domaines.)
  • Les communs urbains à Bologne  + (Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Bologne sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.)
  • Les communs urbains à Rome  + (Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Rome sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.)
  • Les communs urbains à Naples  + (Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains à Naples sous l'angle de l'Atlas des chartes des communs urbains.)
  • Chapitre 3 : Auto-organiser le soin en commun  + (L'urgence de la crise du Covid a créé une L'urgence de la crise du Covid a créé une situation où les professionnels de la santé ont pu dans beaucoup de cas reprendre le contrôle de l'activité soignante en implémentant des formes de gouvernance participative et centrées sur le service offert à la population. Qu'est qu'il faut retenir de ces expériences pour les prolonger au-delà d'une situation exceptionnelle ? Comment se charger collectivement du soin et faire de la santé une véritable commun ?t faire de la santé une véritable commun ?)
  • Maison des Utopies en Expérimentation (MUE)  + (La Maison des utopies est un projet de création de lieu de refuge, de ressourcement et d'activité pour les collectifs militants engagés pour une transformation radicale.)
  • Administration coopérative et communs à Grenoble  + (Le 28 mars 2022, le conseil municipal de Grenoble a délibéré et validé les principes d’une politique de démocratie plus contributive en s’appuyant sur la notion des communs, de la coopération et des exemples italiens des pactes de collaboration.)
  • GIRE - Gestion Intégrée des Ressources en Eau  + (Le GRET (organisation non gouvernementale Le GRET (organisation non gouvernementale de solidarité internationale) a intégré dans ses démarches le concept de Gestion Intégrée des Ressources en Eau. Dans cette fiche il nous est expliqué dans quelle mesure les processus de GIRE sont mis en place. On retrouve également des témoignages des acteurs concernés et un focus sur deux projets menés au Sénégal et en Haïti.deux projets menés au Sénégal et en Haïti.)
  • Se rejoindre - se raconter!  + (Le projet École des communs est un projet qui veut créer un espace d’auto-formation sur la gouvernance des lieux en commun et des espaces auto-gérés.)
  • Redessiner la protection sociale avec les communs  + (Le système de protection sociale est une iLe système de protection sociale est une institution essentielle de la vie économique et politique du 21è siècle. Il fait face à un ensemble de difficultés liées à la fois à ses forces et faiblesses héritées du passé, aux attaques systématiques qu’il subit aujourd’hui de la part de l’idéologie néo-libérale et à l’incapacité des élites oligarchiques à actualiser un contrat social dans le sens d’une plus grande justice et démocratie. Motivée par la pensée de sa réforme, une approche en termes de «communs» permettrait d’ouvrir un nouvel horizon : coproduire la solidarité sur la base d’un droit des communs. Il s’agit de renouveler et régénérer les logiques de redistribution et de protection qui sont d’ores et déjà bien implantées et non bien sûr de tout inventer.plantées et non bien sûr de tout inventer.)
  • Discussion autour de « Que Faire ? » de Ludivine Bantigny  + (Ludivine Bantigny et Francesco Brancaccio Ludivine Bantigny et Francesco Brancaccio ont profité de cette occasion pour dresser un bilan des luttes du printemps et de l'été 2023, mais aussi pour esquisser des perspectives pour les luttes des mois à venir. Le prétexte à partir duquel développer ces réflexions a été justement la publication du livre de Bantigny « Que Faire ? Exemples et propositions d'hier et d'aujourd'hui pour repenser travail, propriété et démocratie ».penser travail, propriété et démocratie ».)
  • Assemblée des communs française  + (L’Assemblée des communs est une rencontre nationale pour mettre les communs à l’agenda, partager les expériences et les relier, débattre, se doter d’outils et de stratégies pour la reconnaissance des communs.)
  • Macao  + (Macao est un centre social (squat) situé à Milan en Italie, occupé par des artistes.)
  • Canicules, feux, inondations : comment éviter le pire ?  + (Magali Reghezza, géographe et membre du HaMagali Reghezza, géographe et membre du Haut Conseil pour le climat, se focalise sur les risques climatiques dans la mesure où de plus en plus chaque année les impacts des vagues de chaleur, des sécheresses ou des inondations s’aggravent, avec des conséquences toujours plus fortes pour la santé humaine et l’économie. Reghezza nous propose des mesures à prendre pour être, d'un côté, moins vulnérables aux feux de forêts, aux inondations, aux vagues de chaleur et, de l'autre, pour envisager un futur différent.'autre, pour envisager un futur différent.)
  • GIRE locale dans les Niayes au Sénégal  + (Projet d'opérationnalisation du GRET d'une GIRE locale dans les Niayes au Sénégal : faire commun pour préserver les ressources en eaux souterraines.)
  • Chapitre 1 : Soin empêché  + (Qu'est-ce que le soin ? Professionnels de Qu'est-ce que le soin ? Professionnels de la santé et chercheurs s'interrogent sur l'activité de soin aujourd'hui, une activité qu'au fil des années a été soumise à plusieurs contrainte. C'est pour cela qu'il faut remettre au centre la qualité du soin, ce qui implique reconnaître et valoriser toute une série de gestes et d'attentions invisibilisées et pourtant indispensables. Il s'agit, en effet, de tout ce que, sans être forcement rentable, donne du sens à l'expérience du soignant et du soigné.s à l'expérience du soignant et du soigné.)
  • Remix the commons/Collectif initial en 2011  + (Remix Biens Communs est un espace interculRemix Biens Communs est un espace interculturel de partage et de co-création de documents multimédias sur les biens communs. Le projet est porté par un collectif interculturel, composé de personnes et d’organisations qui pensent que le recueil, l’échange et le remix des récits, des définitions et des images des biens communs sont une manière active et conviviale de s’approprier cette notion et de la diffuser dans la société. notion et de la diffuser dans la société.)
  • Remix the commons  + (Remix Biens Communs est un espace interculturel de partage et de co-création de connaissance sur les communs et de projets qui outillent les militants commoners.)
  • Eau Lyon (titre temporaire)  + (Schéma récapitulatif des rôles de l'Assemblée des usagers de l'eau dans la démarche de gestion publique de l'eau mise en place par la Métropole de Lyon)
  • Hommage à Silke Helfrich  + (Silke Helfrich est décédée lors d’un accident de montagne au Liechtenstein le 10 novembre 2021. Remix lui a rendu hommage à travers un temps de rencontre dédié au partage et à la continuation de son travail.)
  • Les îles de Crépieux-Charmy, eau potable et nature  + (Situées au nord de Lyon, les îles de CrépiSituées au nord de Lyon, les îles de Crépieux-Charmy abritent le champ captant, principale source d'alimentation en eau potable de la Métropole de Lyon. Protégé, ce site classé en aire de protection de biotope, a une exceptionnelle biodiversité. 98% de l'eau distribuée sur la Métropole de Lyon est puisée dans les nappes souterraines du Rhône, prélevées dans ce champ captant qui est le plus grand d'Europe. Situé au nord de Lyon, ce territoire compte 114 puits sur 375 hectaresrritoire compte 114 puits sur 375 hectares)
  • La culture des communs est-elle indispensable pour la bascule ?  + (Table ronde avec plusieurs professionnels Table ronde avec plusieurs professionnels engagés dans l'agenda du Développement Durale et de la RSE en Europe. Remettre au centre les ressources, initier de nouvelles conditions de partage, instituer la possibilité de “faire ensemble” : c'étaient les thématiques abordée lors de cette rencontre en se posant la question si la culture des communs peut être un point de départ pour faire face à ces enjeux.nt de départ pour faire face à ces enjeux.)
  • Modèle de Soutenabilité des Communs en français  + (Traduire en français, italien et anglais et permettre une appropriation la méthode pour la soutenabilité des communs par les commoners francophones)
  • Assemblées Populaires des Gilets Jaunes  + (Une page pour décrire la dynamique d’Assemblées Populaires initiée avec le Mouvement des Gilets Jaunes (à la suite de l’appel de Commercy de Novembre 2018) avec le langage des communs.)
  • Ri-Maflow  + (Visite de l'entreprise récupérée Ri-Maflow avec Gigi Malabarba.)
  • FLOK Society - Séminaire de Villarceaux  + (Comment la réflexion sur la place des commComment la réflexion sur la place des communs de la connaissance inspire-t-elle les forces de la transition ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ? Ce séminaire, loin d'épuiser le sujet, est un moment pour ébaucher les pistes de travail qui permettent de mobiliser les forces de la transition, qu'il s'agisse d'activistes ou de chercheurs, de acteurs publics ou de la société civile.</br></br>Pour explorer ces questions, le séminaire se structure autour de trois temps de dialogues, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s'agit d'analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, puis, dans la mesure du possible, d'élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Le dialogue sur ces trois axes de travail sera précédé d'une présentation du projet FLOK Society par Michel Bauwens et suivi d'un temps de bilan du séminaire.et suivi d'un temps de bilan du séminaire.)
  • Atelier sur les biens communs à la Ferme des Bouillons  + (À la demande de l'association de la Ferme À la demande de l'association de la Ferme des bouillons, nous avons organisé deux jours de formation des militants autour de la notion de communs. Cette formation se déroule dans le contexte de la lutte pour la préservation de la ferme occupée. Elle s'appuie sur une mise à jour de l'histoire des communs dans les domaines de l'alimentation, du foncier, de la culture et du vivre ensemble.ncier, de la culture et du vivre ensemble.)
  • Expo sur les communs  + (L'exposition itinérante Les communs proposL'exposition itinérante Les communs propose au «grand public» de découvrir cette notion à travers la présentation du principe illustré par des exemples concrets issus de différents secteurs d'activité, son histoire et les perspectives qu'il ouvre pour changer notre société. L'exposition est conçue pour pouvoir être utilisée facilement dans le plus grand nombre possible de lieux recevant du public. Les panneaux qui la composent peuvent être imprimés (individuellement ou bien l'ensemble) en différents formats, afin de s'adapter à un espace selon ses dimensions et sa fréquentation par le public.ensions et sa fréquentation par le public.)
  • Catalunya en Comú - Building a country in common(s)  + (Interview with Joan Subirats - Barcelona, April 20, 2017)
  • Justice transitionnelle: l'expérience Marocaine  + (Project Justice transitionnelle, l'expérieProject Justice transitionnelle, l'expérience Marocaine aims to share videos about the process of transitional justice and community reparation and to preserve memory of victim communities during “the years of lead” in Morocco and what kinds of public hearings took place, in fact those hearings gave the highlight of an extensive process of citizen deliberation, compassion and free expression in Morocco. They also talked about lots of stories about how community reparation project aimed to improve the living conditions of the people in victim communities and empower them. In fact, those materials mainly focused on women and children.ials mainly focused on women and children.)
  • Quelle stratégie participative pour la gestion locale de l’eau avec les citoyens ? Volume 5 - Rapport final  + (« Dans le cadre du projet « Quelle stratég« Dans le cadre du projet « Quelle stratégie participative pour la gestion locale de l’eau avec les</br>citoyens ? », cinq terrains ont été accompagnés par IRSTEA dans la construction et la mise en</br>œuvre de leur démarche participative. Ces terrains sont représentatifs de différentes zones du bassin Rhône Méditerranée Corse et de différents enjeux auxquels cherchent à répondre les gestionnaires de l’eau: restauration</br>hydromorphologique, partage de l’eau entre différentes usages, inondations et gestion intégrée.</br>L’objectif était que les retours d’expérience de ces cinq démarches participatives puissent être utiles à d’autres gestionnaires de l’eau voulant mettre en place des démarches participatives sur leurs territoires.</br>Ce document a donc été construit autour des questions que se sont posées les gestionnaires de l’eau de ces cinq terrains avant, pendant et après leurs démarches participatives. Nous avons fait l’hypothèse que d’autres gestionnaires se poseraient les mêmes questions et qu’ils seraient donc intéressés par les choix qu’ont fait les cinq terrains pour y répondre et les enseignements qu’ils en ont tiré » (p. 6) enseignements qu’ils en ont tiré » (p. 6))
  • REGIRE Lac Togo  + (« Démarré en mai 2023, le projet REGIRE La« Démarré en mai 2023, le projet REGIRE Lac Togo découle d’une étude de faisabilité conduite par le Gret et la Direction des Ressources en Eau (DRE) du Togo pour caractériser les principaux enjeux des ressources en eau dans le bassin versant du Lac Togo. Dans un contexte de fortes pressions sur les ressources en eau du bassin dues à la croissance et à la concentration démographique, la diversité des usages et les impacts des changements climatiques, les équipes du projet ont l’intention de rendre opérationnelle une gestion intégrée des ressources en eau (GIRE) au niveau local (commune) selon une approche ascendante, territoriale et inclusive. Prévu pour la période 2023-2026, le projet sera mis en œuvre dans une phase pilote dans trois communes qui sont Haho 1, Kpélé 1 et Zio 2. À terme, ce projet, exécuté par le Gret et la DRE, permettra de mettre en place des organes locaux de gestion de l’eau, de réaliser des schémas locaux de gestion de l’eau, de contribuer à l’amélioration de l’action et des politiques publiques en matière de GIRE au Togo et de créer des mécanismes locaux de redevabilité. »r des mécanismes locaux de redevabilité. »)
  • TRAVAILLER ENSEMBLE en Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée  + (« TRAVAILLER ENSEMBLE EN TERRITOIRE ZÉRO C« TRAVAILLER ENSEMBLE EN TERRITOIRE ZÉRO CHÔMEUR DE LONGUE DURÉE » est un film documentaire réalisé par l’association « Autour du Premier Mai » avec de l’Entreprise à but d’emploi « La Fabrique », en Lorraine. Ce film permet de rentrer dans le quotidien de cette expérience de retour à l’emploi pour des chômeurs de longue durée et de les entendre échanger sur le travail avec Florence Jany-Catrice, une économiste spécialiste de cette initiative.conomiste spécialiste de cette initiative.)
  • Revisiter l'engagement citoyen avec les communs urbains  + (Vidéo de l'atelier organisé par la GEF (GrVidéo de l'atelier organisé par la GEF (Green European Fondation) en partenariat avec la FEP (Fondation pour lEcologie Politique) organisé dans le cadre de la journée de convergence du festival LE TEMPS DES COMMUNS en Ile-de-France et du projet de la Green European Foundation RECLAIM THE COMMONS (http://gef.eu/projects/reclaim-the-commons/). </br>Centre de Recherche Interdisciplinaire (CRI), 10 Rue Charles V 75004 Paris.</br></br>Participants à l'atelier : FESTA Daniela, juriste et géographe sociale, auteur de Fare spazio. Pratiche del comune e diritto alla città (Kosmos 10), Milano/Udine: Mimesis, mai 2015; LABOREY Claire, réalisatrice du documentaire "Mainmise sur les villes"(Arte, 2015); LARGETEAU Quitterie, biologiste, fondatrice de Biohacking Safari.</br>Animation: Silvia Marcon, directrice de la Fondation de l'Ecologie Politique.e de la Fondation de l'Ecologie Politique.)
  • Construisons ensemble - Auto construction d'éoliennes  + ("Construisons Ensemble - Un travail collec"Construisons Ensemble - Un travail collectif d'auto-construction d'éolienne riche de sens" est le 4ème épisode de la web-série documentaire sur les alternatives (http://www.side-ways.netSideWays). En une semaine, un groupe de 10 personnes va construire deux éoliennes avec un formateur expérimenté. Tout en apprenant le travail du bois, du métal et de l'électricité, les membres vont découvrir une autre manière de travailler. découvrez le magazine multimédia : http://www.side-ways.net/episode4).</br></br>Le tournage a eu lieu lors du stage organisé à Henripont (Belgique) par Peter du 28 octobre au 2 novembre 2013. Mélanie et Aurélien, un jeune couple de Moselle, vivent dans une petite maison en bois. Pour des raisons pratiques et économiques, ils souhaitent devenir autonomes en électricité. Après de nombreuses recherches, ils se rendent compte que c'est plus compliqué qu'ils ne le pensent et qu'il faut éviter les nombreuses arnaques dans ce secteur. Ils décident alors de participer à un stage d'auto-construction d'éolienne avec l'association Tripalium.</br></br>'''Tripalium''' est une association fondée en 2007. Elle propose régulièrement des stages d'auto-construction d'éolienne ouverts à tous.''' Que l'on soit manuel ou non, tout le monde peut participer au stage et apprendre les différents métiers nécessaires à sa construction : travail du bois, du métal et de l'électricité.</br></br>Pendant un stage d'une semaine, une ou deux éoliennes sont fabriquées par le groupe. Elles sont alors tirées au sort parmi les participants qui souhaitent l'acheter. Le coût correspond alors au prix des matériaux bruts nécessaires à la construction. Mélanie et Aurélien participent au stage qui a lieu à Henripont, un petit village belge situé à une trentaine de kilomètres de Bruxelles.</br></br>Dans un habitat groupé très vivant, Peter commence à organiser des stages d'auto-construction de toutes sortes pour participer à la transmission de savoirs-faire variés. Après une brève présentation théorique, la dizaine de stagiaires aux profils et compétences très variés se met au travail avec une motivation perceptible. Il y a trois ateliers et tout le monde s'organise comme il le souhaite. Cela facilite les collaborations entre les participants et développe les échanges de savoirs. Toutes les indications sont présentes dans le guide d'auto-construction d'éolienne fourni par Tripalium dès de lundi matin. Ainsi, Jay Hudnall, le formateur, n'est qu'une personne parmi tant d'autres qui possède des connaissances spécifiques.</br></br>Cette organisation collaborative correspond bien à l'esprit de Tripalium et de Ti'éole, l'entreprise d'éolienne dont Jay est également le maître d'oeuvre. Lorsqu'il monte une éolienne chez un particulier, il demande à cette personne de participer au travail. Elle est ainsi plus autonome en cas de problème.</br></br>http://side-ways.net/episode4/#sthash.3F3QWeby.dpufde-ways.net/episode4/#sthash.3F3QWeby.dpuf)
  • Du public au commun  + ("Contribuer à frayer de nouvelles voies à la pensée sociale et politique", telle était l’ambition du séminaire « Du public au commun » qui s'est tenue en 2010-2011 à Paris.)
  • La forêt comestible de Juan Anton  + ("Il faut que tout le monde puisse manger. "Il faut que tout le monde puisse manger. Et comme la nourriture vient de la terre, produisons nous-même notre propre nourriture !" Apprendre à produire sa nourriture avec Juan Anton. Le tournage a été réalisé à Alzira, au sud de Valence - </br> </br>Episode 5 de la web-série itinérante SideWays, cette vidéo est la première partie de l'épisode. La seconde est un webmag interactif à découvrir sur http://side-ways.net/episode5 . Plus d'info à http://side-ways.net/episode5/#sthash.kKGrAHrZ.dpufde-ways.net/episode5/#sthash.kKGrAHrZ.dpuf)
  • Définition des communs selon Hervé Le Crosnier  + ("Les communs c'est avant tout une ressource partagée qui pourrait être victime d'enclosure.")
  • Définition des communs selon Alain Ambrosi  + ("Les communs c'est un mode d'être et de vi"Les communs c'est un mode d'être et de vivre ensemble, de faire ensemble et de devenir ensemble. Et pour faire tout ça et dans tout ça chaque individualité, chaque personne, chaque être humain fait ça en étant partie de quelque chose, en prenant part à quelque chose et en partageant quelque chose".que chose et en partageant quelque chose".)
  • Luttes communes  + ("Luttes communes" est un documentaire qui "Luttes communes" est un documentaire qui raconte l'histoire de la recherche de la signification des Biens Communs en Europe centrale et orientale. Alternatives Européennes (EA) - une organisation qui prône la démocratie et l'égalité au-delà de l'Etat-Nation avec Teatro Valle Occupato de Rome ont initié en 2012 un débat transnational sur la signification des communs au-delà des frontières. Le désir d'en savoir plus sur les différentes luttes pour la réappropriation ou la protection des biens communs dans les anciennes sociétés communistes et socialistes qui ont connu des années de privatisation, amène à voyager à travers la Serbie, la Roumanie et la Bulgarie. Cela a pris la forme d'une «caravane des biens communs», composé de différents acteurs et occupants du Teatro Valle. Le voyage à travers l'Europe centrale et orientale visite les villes qui participaient au Festival Transeuropa, festival culturel d'EA qui a eu lieu dans 14 villes européennes en mai 2012.</br></br>Titre original: Common Struggles</br></br>Sous-titre: A journey with European movements for the commons</br></br>Directed by: Cecilia Anesi</br>Filmed by: Cecilia Anesi, Davide Starinieri, Giulio Rubino</br>Edited by: Cecilia Anesi, Gianmarco Giometti</br>Graphics and animation: Gianmarco Giometti, Diego Parbuono</br>Sound engineering: Marcello Fantera</br>Music: Municipale Balcanicarcello Fantera Music: Municipale Balcanica)
  • Puits  + ("Quand le puits est sec, on sait ce que va"Quand le puits est sec, on sait ce que vaut l'eau."</br></br>Ou encore, "c'est avec l'eau du corps qu'on tire celle du puits."</br></br>Vous trouverez beaucoup de ces proverbes africains, car le puits est un symbole connu de l'accès à l'eau en Afrique. Pendant notre séjour, nous avons vu une diversité de puits. Aussi, les jeunes ont pu essayer de leurs propres mains la courroie de l'accès.</br></br>Une petite capsule remix pour une ode aux puits.</br></br>Tout en travaillant à documenter leur stage humanitaire au Bénin, les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine (Montréal (Québec)) ont été amené à porter leur regard sur trois thèmes choisis pendant le dernier camp de formation (eau, éducation, culture) afin de réaliser des capsules à partager sur la plate-forme de Remix Biens Communs.</br></br>Musique: "Odmiyasin" de Youssouf Karembe Musique: "Odmiyasin" de Youssouf Karembe)
  • Un nouveau droit pour l'administration partagée de biens communs  + ('''De nouvelles règles juridiques pour pre'''De nouvelles règles juridiques pour prendre soin des biens communs et reconstruire les communautés locales'''.</br></br>Quelque chose de nouveau s'est produit en Italie ces dernières années, quelque chose que personne n'aurait cru possible dans un pays où les biens communs ont traditionnellement été considérés comme les biens de personne, donc la proie du pillage ou de l'exploitation. C'est un changement culturel grâce auquel des milliers de personnes dans les villes comme dans les villages, au nord comme au sud, sortent de chez eux pour prendre soin avec leurs voisins des biens communs urbains : rues, places, parcs et espaces publics en général, biens culturels, écoles ainsi que des bâtiments publics abandonnés qui sont restaurés et revivent grâce aux efforts combinés de citoyens actifs. Tout cela va bien au-delà de la simple maintenance des biens urbains. Il s'agit plutôt d'une participation à la vie publique sous de nouvelles formes, alors que les citoyens actifs participent non seulement aux décisions publiques (démocratie participative), mais aussi à la solution des problèmes d'intérêt général (administration partagée). Ce faisant, ils construisent ou reconstruisent les liens qui unissent leur communauté, aident les gens à lutter contre la solitude, produisent l'intégration, le capital social et la confiance réciproque. L'impact positif de l'engagement des citoyens à prendre soin des biens communs va donc bien au-delà des aspects matériels, aussi importants soient-ils pour une meilleure qualité de vie. Cependant, paradoxalement, les règles juridiques issues d'une conception ancienne de la relation entre les citoyens et l'État interdisent de telles activités. C'est pourquoi le Labsus (Laboratorio per la sussidiarietà) a élaboré en 2014, en collaboration avec la municipalité de Bologne, de nouvelles règles municipales pour réglementer l'administration partagée et permettre aux citoyens de prendre soin des biens communs. Ces nouvelles règles ont été adoptées par les municipalités de tout le pays, permettant aux citoyens d'avoir des rapports égaux avec les administrations publiques locales, libérant ainsi de précieuses ressources et énergies civiques dans l'intérêt général. énergies civiques dans l'intérêt général.)
  • 19.06 Médias et communs - médias des communs  + ('''L'Appel en commun de juin 2019''' a été'''L'Appel en commun de juin 2019''' a été dédié à un temps d'échange sur les média et les communs. Les discussions ont permi de faire le point sur les initiatives de médias sur les communs avec les personnes engagé.e.s dans un projet de cette nature. Cette rencontre avait pour objectifs de faire connaître nos différentes initiatives, de faire émerger les besoins, les attentes et les propositions tant des porteurs des projets que des utilisateurs et utilisatrices.ets que des utilisateurs et utilisatrices.)
  • Anniversaire des 800 ans de la Magna Carta  + ('''Présentation''' A l’occasion du 800 iè'''Présentation'''</br></br>A l’occasion du 800 ième anniversaire de la signature de la Magna Carta (2015), le Festival Temps des communs organisait une conférence de presse durant laquelle différentes associations ont présenté les enjeux sur lesquels ils se mobilisent pour les temps des communs en passant des communs naturels aux outils numériques et juridiques, à l'éducation: des examples des enjeux.s, à l'éducation: des examples des enjeux.)
  • 08 Déplier la finance  + (''Déplier la finance, retour sur le rôle d''Déplier la finance, retour sur le rôle de passeur de connaissances du séminaire de SSFA 1998-2018'' a été présenté lors de la Table ronde : La finance depuis le prisme des sciences sociales, organisée dans le cadre de la Semaine du Management, FNEGE 1968-2018, Session RIODD - FINANCE AUTREMENT le 25 mai 2018. RIODD - FINANCE AUTREMENT le 25 mai 2018.)
  • Cagette - Système de garantie participatif des AMAP  + (''Extrait de «ACTES D’UNE RECHERCHE - ACTION EXPERIMENTALE - Le monde associatif aujourd’hui : évaluation ou managérialisation ? » Printemps 2016'')
  • Ici, ailleurs... la terre qui nous nourrit  + (''Ici, ailleurs... la terre qui nous nourr''Ici, ailleurs... la terre qui nous nourrit'' suit l’itinéraire de Gavin, jeune maraîcher bio anglais qui travaille dans une ferme du sud de l’Angleterre. Confronté à la perte de ses terres agricoles, il prend conscience de la difficulté de trouver des terres pour développer des projets d’agriculture de proximité comme le sien. Il part alors à la rencontre d’autres fermiers européens qui ont eux aussi bataillé pour trouver des terres et les conserver dans la durée. Ce faisant, il rencontre des organisations qui se mobilisent pour préserver les terres nourricières et faciliter l’installation d’une nouvelle génération d’agriculteurs.</br></br>Introduction très concrète à la question de l’accès à la terre en Europe, ce film offre le panorama d’un mouvement en émergence qui voit fermiers, citoyens et orgnisations de la société civile s’unir pour préserver des terres pour une agriculture et une alimentation de proximité et de qualité.</br></br>Plus d'information : </br>* http://www.accesstoland.eu/film-Land-for-our-food</br>* http://www.accesstoland.eu/IMG/pdf/overview_-_the_land_for_our_food.pdfG/pdf/overview_-_the_land_for_our_food.pdf)
  • 100 en 1 jour Montréal: la ville comme bien commun  + (100 actions citoyennes le 5 octobre 2013 à Montréal. Un festival de création urbaine durant lequel les citoyens se réapproprient leur ville et y créent un meilleur endroit où vivre." http://www.100en1jourmontreal.com/)
  • Elf Pavlik - Strictly Moneyless  + (1er épisode de la web-série SideWays consa1er épisode de la web-série SideWays consacré à elf Pavlik. Ce dernier vit sans utiliser d'argent depuis plusieurs années et nous montre ainsi que d'autres voies sont possibles. Il travaille beaucoup, en tant que développeur web, mais exclusivement sur des projets qui ont du sens pour l'intérêt général (et donc non rémunéré). l'intérêt général (et donc non rémunéré).)
  • Balade de l'oppidum de Verduron - 11 Histoire de l'oppidum  + (2léments de l'histoire de l'oppidum et de son rôle dans l'origine de la ville de Marseille)
  • Agrocité de Gennevilliers - RAPTZ  + (2ème émission de radio Les communs urbains, l'Atl sur l'Agrocité de Gennevilliers réalisée avec RAPTZ.com.)
  • Balade urbaine autour des communs  + (3 balades urbaines sur le thème des communs, organisées à Paris, Marseille et Lille.)
  • 01 Les communs, quelle (im)pertinence ?  + ( :Pourquoi les communs ? Pourquoi les rapp</br>:Pourquoi les communs ? Pourquoi les rapprocher de l’éducation permanente ? Quelle convergence (ou pas) avec les politiques culturelles publiques ? Pourquoi publier un ouvrage pour stimuler la rencontre entre communs, opérateurs et droits culturels ?</br></br>:Avant-propos de l'ouvrage ''Neuf essentiels pour penser la culture en commun(s)'' par Pierre Hemptinne Directeur de la médiation culturelle à PointCulture, Administrateur de Culture & Démocratie</br>ure, Administrateur de Culture & Démocratie )
  • Good Copy Bad Copy  + ( :Un documentaire sur l'état du copyright et de la culture par Andreas Johsen, Ralf Christensen et Henrik Moltke. :Sous-titrage dans de nombreuses langues : français, espagnol, Allemand, russe et plus )
  • 14 Notice sur "Culture libre" de Lawrence Lessig  + ( :Une notice sur l'ouvrage ''Culture libre</br>:Une notice sur l'ouvrage ''Culture libre. Comment les médias utilisent la loi pour confisquer la culture et contrôler la créativité'' de Lawrence Lessig, </br></br>:Traduction collective de l’anglais via Wikisource https://www.ebooksgratuits.com/pdf/lessing_freeculture.pdf</br>oksgratuits.com/pdf/lessing_freeculture.pdf )
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p> Du 15 au 17 No<blockquote><p></br>Du 15 au 17 Novembre 2016, une Assemblée européenne des communs aura lieu à Bruxelles. Les commoners se réuniront, pour discuter, partager leur expérience, et réclamer une autre Europe. L’après-midi du 16, une réunion se déroulera au Parlement Européen, avec 150 d’entre eux, organisée en collaboration avec l’Intergroupe Parlementaire sur les biens communs et les services publics (dirigé par Marisa Matias, Dario Tamburrano, Ernesto Urtasun, Sergio Cofferati). Dans le même temps, d’autres événements et des assemblées locales auront lieu en dehors du Parlement, à Bruxelles et dans toute l’Europe.</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2016/09/ECA-300x212.jpg" alt="eca" width="900" height="636" class="aligncenter size-medium wp-image-4561" /><br /></br>Author: TILL GENTZSCH</p></br><p><H1>Autour du paradigme des communs</H1></p></br><p>Le 26 Septembre, un groupe d’organismes sans but lucratif, de fondations et d’autres organisations de la société civile publient conjointement un «Appel pour une Assemblée européenne des communs ». Le document rédigé collectivement, qui continue de recueillir les signatures collectives et individuelles à travers toute l’Europe, sert d’appel dans le but de constituer un réseau de «commoners».</p></br><p>L’Assemblée cherche à unir les citoyens dans un élan de solidarité trans-local et trans-européen pour faire face aux défis actuels de l’Europe et relancer le processus politique pour le 21e siècle. Les biens communs peuvent être compris comme un paradigme de transition qui met l’accent sur la coopération dans la gestion des ressources, des connaissances, des outils et des espaces aussi divers que l’eau, Wikipedia, le crowdfunding, ou un jardin communautaire. Leur appel décrit les communs comme :</p></br><ol></br>… les initiatives locales de coopération partant des habitants, basées sur le réseau qui sont déjà soutenues par des millions de personnes à travers l’Europe et le monde. Ces initiatives créent des systèmes autogérés qui répondent à des besoins importants. Elles opèrent à l’extérieur des marchés dominants et des programmes traditionnels de l’Etat et expérimentent de nouvelles structures hybrides.</ol></br><p>La proposition d’Assemblée Européenne des Communs a émergé en mai 2016, initiée par une communauté pilote de 28 militants issus de 15 pays européens, équilibré sur le plan du genre, travaillant dans différents champs des biens communs. Ce groupe est rejoint chaque jour par de nouveaux militants qui insistent sur le fait que l’Assemblée Européenne des communs est inclusive et ouverte, de sorte qu’un mouvement européen large et fluide puisse formé une large alliance citoyenne et démocratique. Elle cherche à rendre visibles les actes de mise en commun des citoyens pour les citoyens, tout en favorisant l’interaction avec les politiques et les institutions aux niveaux national et européen.</p></br><p><H1>Prendre part à un large mouvement </H1><br /></br>L’adoption rapide des communs comme une alternative durable et une vision du monde sociale et holistique, est en partie l’expression d’un malaise face au système économique actuel injuste et aux carences démocratiques. Le mouvement des communes a explosé ces dernières années, suite à l’attribution du prix Nobel d’économie à Elinor Ostrom en 2009 pour son travail sur la gestion des ressources communes. Il fusionne avec d’autres mouvements, comme les mouvements pour une économie de la solidarité et du partage, pour la production pairs à pairs, et pour la décroissance.</p></br><p>Michel Bauwens, figure de premier plan dans le mouvement peer-to-peer, qui fait partie de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA), explique: <em>Partout dans le monde, un nouveau mouvement social émerge, qui conteste les présupposés « extractivites » de l’économie politique dominante, sème des formes co-construites d’une société durable et solidaire. Les commoners prennent la parole, par exemple, dans les assemblées des communs qui émergent dans les villes françaises et ailleurs. Le temps est venu pour une transformation du monde politique, à travers une Assemblée européenne des communs.</em></p></br><p>L’Appel inclue une invitation à participer à une rencontre ouverte à Bruxelles du 15 au 17 Novembre 2016 pour trois jours d’activités et de réflexion partagée sur la façon de protéger et de promouvoir les communs. Cette rencontre inclue une session officielle au Parlement européen, accueillie par l’Intergroupe parlementaire sur les biens communs et services publics, le 16 Novembre (le nombre de place est limité).</p></br><p>Vous pouvez lire et <a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">signer le texte intégral</a> de l’appel, également disponible en français, en espagnol, et bientôt dans d’autres langues européennes, sur le <a href="http://europeancommonsassembly.eu">site Web</a> de l’Assemblée Européenne des Communs (ECA). Cette signature (http://europeancommonsassembly.eu/sign-call/) peut être individuelle ou au nom d’organisations de la société civile. </p></br><p>Pour plus d’informations, visitez le site web <a href="http://europeancommonsassembly.eu/"> http://europeancommonsassembly.eu/ </a>ou suivez les mises à jour régulières via @CommonsAssembly sur Twitter.</p></br><p>Contact pour les médias: Nicole Leonard contact@europeancommonsassembly.eu</p></br><p>Appel pour un processus d’assemblée européenne des communs :<br /></br><a href="http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/">http://europeancommonsassembly.eu/appel-a-une-assemblee-europeenne-des-communs/</a></p></br><p>Traduction de de l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p> l’article original publié sur : <a href="http://europeancommonsassembly.eu/">http://europeancommonsassembly.eu/</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>6 mois après l’<blockquote><p>6 mois après l’espace des communs au Forum Social Mondial, notre outil de documentation / jeu de carte sur les communs est prêt à circuler, animer des conversations et vous aider à faire avancer les communs près de chez vous !</p></blockquote></br><p><img decoding="async" loading="lazy" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2017/03/IMG_0071-1024x768-300x225.jpg" alt="IMG_0071-1024x768" width="800" height="600" class="aligncenter size-medium wp-image-4621" /></p></br><p>C@rtes en Commun est un jeu où 2 à 5 joueurs collaborant pour construire une société civile résiliente qui défend les communs contre les forces d’accaparement. Outre le plaisir de jouer, C@rtes en commun a été imaginé comme un moyen de documenter la présence des communs à l’Espace de communs, dispositif éphémère de rencontre au Forum Social Mondial à Montréal qui se déroulait en août 2016. Les cartes qui composent le jeu ont été conçues par les personnes présentes volontaires qui ont partagé leur vision et leur expérience des communs sur la base d’un design du jeu réalisé par Mathhieu Rhéaume et son équipe. Cette expérience permet de penser qu’il serait possible d’utiliser une même approche et ces outils méthodologiques pour documenter les communs dans d’autres contextes locaux, votre quartier, ou thématique comme les communs de la connaissance par exemple. Nous avons hâte de pouvoir mener de telles expériences ! </p></br><p>Pour en savoir plus sur le jeu, visitez le <a href="http://cartesencommun.cc/">site Internet</a>. Le jeu est publié à la demande par The Game Crafter aux USA pour le prix de 22,99 $US l’unité plus frais de port et de douane via : <a href="https://www.thegamecrafter.com/games/c-rtes-en-commun">https://www.thegamecrafter.com/</a> </p></br><p>Pour réduire les frais de port et douane pour les européens, nous lançons une commande groupée et nous espérons que cela ramènera le coût de chaque jeu livré en Europe à environ de 30/35 $US. </p></br><p>Si vous souhaitez participer à cette première commande groupée, <a href="https://goo.gl/forms/UdXsgNWxqklo4bJq2">remplissez le formulaire</a> avant le 18 mars à 20:00 GMT: </p></br><p>Vous devrez aussi versez une avance correspondant uniquement au prix du ou des jeux commandés. Le reste à payer (port et douane) vous sera demandé une fois la commande terminée, lorsque nous connaîtrons les coûts des frais postaux et de douane. </p></br><p>Ensuite, soyez patient ! La commande groupée sera initiée le 18 mars et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>et arrivera à Paris au cours du mois d’avril. Dès leur arrivée à Paris, les jeux seront expédiés par la poste à leurs destinataires. </p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Afin de nourrir<blockquote><p>Afin de nourrir la réflexion sur l’intégration des communs de la connaissance dans les visions et perspectives des acteurs engagés dans la transition, nous proposons un séminaire autour du projet FLOK Society ave c Michel Bauwens les 22 et 23 septembre 2014 en région parisienne.</p></blockquote></br><p>Le projet FLOK Society (Free, Libre, Open Knowledge) est la première tentative d’apporter des propositions opérationnelles à l’échelle d’un pays pour une transition vers une société basée sur la connaissance libre et ouverte. Il vise à créer les conditions d’une transformation simultanée de la société civile, du marché et des pouvoirs publics basée sur une appropriation du paradigme des communs de la connaissance.</p></br><p>Le projet FLOK Society a été élaborer en Équateur à la demande d’institutions gouvernementales. Il a été dirigé par Michel Bauwens, leader de la P2P Foudation, qui a mobilisé autour de lui une large équipe de chercheurs et d’activistes en Équateur, en Amérique Latine et à travers le monde. Les travaux ont mis en perspective les quatre grandes filières mobilisant et produisant les communs de la connaissance : éducation et culture, science, industrie agriculture et services, et citoyenneté et participation (ref : <a href="http://tinyurl.com/obd9jdh">http://tinyurl.com/obd9jdh</a>), pour brosser une analyse de leurs effets de transformations sur le marché, l’État et la société civile, et proposer des orientations transversales et sectorielles de politiques publiques pour faire émerger une économie sociale de la connaissance qui contribue à une transition sociale, économique et environnementale. Ces propositions sont la déclinaison d’une matrice à caractère générale, sous forme de préconisations spécifiques au contexte local équatorien.</p></br><p>Indépendamment de la manière dont celles-ci seront (ou non) reprises sous formes de politiques publiques par le gouvernement ou d’initiatives de la société civile en Équateur, les travaux du projet FLOK Society offrent un corpus de propositions et une méthodologie qui méritent d’être mis à l’épreuve d’autres contextes que celui de l’Équateur. Ce séminaire invite à identifier et approfondir les propositions du projet FLOK Society et les mettre en perspective avec la recherche, les expériences et les mobilisations dans le contexte français et européen.</p></br><p>Dans ce contexte, les acteurs de la transition sont inscrits dans une histoire et un agenda de luttes, de mobilisations et d’expérimentations. Ce séminaire vise à permettre d’intégrer le paradigme des communs de la connaissance de manière utile et efficace dans les visions politiques des familles de pensée qui constituent les forces de la transition, que sont les mouvements sociaux, le syndicalisme, et l’Economie Sociale et Solidaire.</p></br><p>Comment la réflexion sur la place des communs de la connaissance va-t-elle inspirer ces familles de pensée ? Quels agendas bâtir ou rejoindre ? Sur quels territoires et à quelles échelles doit-on mobiliser les communs de la connaissance pour une transformation sociale, culturelle, économique et politique vers une société plus juste, plus participative et, consciente et respectueuse des limites de la planète ?</p></br><p>Le séminaire se structure autour de trois temps, correspondant aux trois axes objets en transformation : le marché, la puissance publique et la société civile. Pour chacun de ces temps, il s’agit d’analyser les apports des communs de la connaissance aux débats et aux luttes sociales et politiques en cours, pour, dans la mesure du possible, élaborer des propositions, dégager des lignes de forces et des stratégies de convergence sectorielles et territoriales. Ces trois axes de travail seront précédés d’une présentation du projet FLOK Society et suivi d’un temps de bilan du séminaire.</p></br><p>Le séminaire se déroule à Villarceaux, OEcocentre de la Bergerie, avec le soutien de la Fondation Charles Léopold Mayer – FPH</p></br><p>Information complémentaire : <a href="mailto:fredericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan</a></p>ericsultan@gmail.com">Frédéric Sultan</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>L’Assemblée Eur<blockquote><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) est un <a href="http://europeancommonsassembly.eu">réseau de personnes engagées dans les communs</a> sur le terrain en Europe. Ce réseau s’est donné rendez-vous au Medialab Prado, Madrid du 25 au 27 octobre prochain. Cette rencontre se déroule en parallèle du Festival Transeuropa, lui-même une vaste réunion autour des alternatives politiques, sociales et environnementales. L’appel à participer est ouvert jusqu’au 4 août. [voir ici le <a href="https://goo.gl/forms/9vID21eSIojQsffk1">formulaire d’inscription</a>] </p></blockquote></br><p><a data-flickr-embed="true" data-footer="true" href="https://www.flickr.com/photos/medialab-prado/28100107155/" title="18.05.16 Taller"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://farm8.staticflickr.com/7379/28100107155_1659853c90_c.jpg" width="800" height="500" alt="18.05.16 Taller"></a><script async src="//embedr.flickr.com/assets/client-code.js" charset="utf-8"></script></p></br><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) a été lancée en novembre 2016 lors du <a href="https://europeancommonsassembly.eu/process/">premier événement public</a> sur les communs qui s’est déroulé au Parlement Européen et au centre social Zinneke à Bruxelles, en Belgique. Cette réunion a rassemblé plus de 150 commoners européens pour faire valoir la nécessité de politiques publiques pour les communs en Europe et développer les réseaux pour inscrire cette démarche dans la durée. </p></br><p>La rencontre de Madrid se structure autour d’ateliers thématiques sur les communs urbains, d’une rencontre avec les acteurs politiques de madrilènes et d’autres villes espagnoles, et de temps de délibération sur le futur de ECA à l’horizon 2018/2019. </p></br><p>Les ateliers thématiques, au coeur du processus de cette rencontre, permettront, à partir des échanges avec les initiatives madrilènes et espagnoles, d’expérimenter et de proto-typer les outils utiles au développement des communs urbains en Europe. Les premiers participants inscrits ont proposés de travailler sur dans thèmes tels que : Espace public, Migrations et réfugiés, Participation citoyenne à la politique urbaine, Culture, Aliments, Logement, Santé, Devise et financement pour les communs, Lois et mécanismes juridiques pour protéger les communs, Technologie pour la citoyenneté. Vous pouvez également proposer un thème qui ne figure pas déjà dans cette liste. Un processus d’agglutination permettra de définir la liste définitive des ateliers dans la limite de 8 atleirs. Pour cela remplissez le formulaire et proposez l’organisation d’un atelier spécifique et / ou de participer à l’un des ateliers déjà identifié qui vous intéresse.</p></br><p>Chaque atelier sera l’occasion de collaborations entre une ou plusieurs initiatives communautaires locales espagnoles et d’autres venant d’ailleurs en Europe engagées sur le thème de l’atelier. Ces ateliers seront conçus pour permettre le partage et l’exploration des connaissances et des stratégies fruits de ces expériences. À cette fin, l’équipe de coordination de ECA à Madrid organisera plusieurs vidéoconférences pour relier les différentes initiatives et co-concevoir les contenus de l’atelier avant la rencontre avec les participants. La méthodologie de facilitation sera aussi conçue pour inclure les participants dans la démarche structuration de la documentation des travaux collectifs afin de ressortir de la rencontre avec une boite à outils partagée sur les communs urbains. </p></br><p>Coté logistique, lorsque vous remplissez le formulaire, vous pouvez indiquer si vous avez besoin de faire couvrir vos frais de déplacement et / ou d’hébergement par l’organisation (dans le cas où il n’est pas possible de couvrir ces dépenses d’une autre manière). </p></br><p>Pour plus d’informations, contactez nicole.leonard [at] sciencespo.fr ou bien retrouvez plus d’informations sur le<a href="https://europeancommonsassembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>assembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>L’Assemblée Eur<blockquote><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) est un <a href="http://europeancommonsassembly.eu">réseau de personnes engagées dans les communs</a> sur le terrain en Europe. Ce réseau s’est donné rendez-vous au Medialab Prado, Madrid du 25 au 27 octobre prochain. Cette rencontre se déroule en parallèle du Festival Transeuropa, lui-même une vaste réunion autour des alternatives politiques, sociales et environnementales. L’appel à participer est ouvert jusqu’au 4 août. [voir ici le <a href="https://goo.gl/forms/9vID21eSIojQsffk1">formulaire d’inscription</a>] </p></blockquote></br><p><a data-flickr-embed="true" data-footer="true" href="https://www.flickr.com/photos/medialab-prado/28100107155/" title="18.05.16 Taller"><img decoding="async" loading="lazy" src="https://farm8.staticflickr.com/7379/28100107155_1659853c90_c.jpg" width="800" height="500" alt="18.05.16 Taller"></a><script async src="//embedr.flickr.com/assets/client-code.js" charset="utf-8"></script></p></br><p>L’Assemblée Européenne des Communs (ECA) a été lancée en novembre 2016 lors du <a href="https://europeancommonsassembly.eu/process/">premier événement public</a> sur les communs qui s’est déroulé au Parlement Européen et au centre social Zinneke à Bruxelles, en Belgique. Cette réunion a rassemblé plus de 150 commoners européens pour faire valoir la nécessité de politiques publiques pour les communs en Europe et développer les réseaux pour inscrire cette démarche dans la durée. </p></br><p>La rencontre de Madrid se structure autour d’ateliers thématiques sur les communs urbains, d’une rencontre avec les acteurs politiques de madrilènes et d’autres villes espagnoles, et de temps de délibération sur le futur de ECA à l’horizon 2018/2019. </p></br><p>Les ateliers thématiques, au coeur du processus de cette rencontre, permettront, à partir des échanges avec les initiatives madrilènes et espagnoles, d’expérimenter et de proto-typer les outils utiles au développement des communs urbains en Europe. Les premiers participants inscrits ont proposés de travailler sur dans thèmes tels que : Espace public, Migrations et réfugiés, Participation citoyenne à la politique urbaine, Culture, Aliments, Logement, Santé, Devise et financement pour les communs, Lois et mécanismes juridiques pour protéger les communs, Technologie pour la citoyenneté. Vous pouvez également proposer un thème qui ne figure pas déjà dans cette liste. Un processus d’agglutination permettra de définir la liste définitive des ateliers dans la limite de 8 atleirs. Pour cela remplissez le formulaire et proposez l’organisation d’un atelier spécifique et / ou de participer à l’un des ateliers déjà identifié qui vous intéresse.</p></br><p>Chaque atelier sera l’occasion de collaborations entre une ou plusieurs initiatives communautaires locales espagnoles et d’autres venant d’ailleurs en Europe engagées sur le thème de l’atelier. Ces ateliers seront conçus pour permettre le partage et l’exploration des connaissances et des stratégies fruits de ces expériences. À cette fin, l’équipe de coordination de ECA à Madrid organisera plusieurs vidéoconférences pour relier les différentes initiatives et co-concevoir les contenus de l’atelier avant la rencontre avec les participants. La méthodologie de facilitation sera aussi conçue pour inclure les participants dans la démarche structuration de la documentation des travaux collectifs afin de ressortir de la rencontre avec une boite à outils partagée sur les communs urbains. </p></br><p>Coté logistique, lorsque vous remplissez le formulaire, vous pouvez indiquer si vous avez besoin de faire couvrir vos frais de déplacement et / ou d’hébergement par l’organisation (dans le cas où il n’est pas possible de couvrir ces dépenses d’une autre manière). </p></br><p>Pour plus d’informations, contactez nicole.leonard [at] sciencespo.fr ou bien retrouvez plus d’informations sur le<a href="https://europeancommonsassembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>assembly.eu/"> site Web de ECA</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>Revoir et comme<blockquote><p>Revoir et commenter la conversation sur polemictweet.com. </p></blockquote></br><div id="metadataplayer_embed"></div></br><p><script type="text/javascript" src="http://polemictweet.com/pour-la-transition-une-conomie-du-partage-de-la-connaissance-et-des-biens-communs/embedscript.php"></script></p>nomie-du-partage-de-la-connaissance-et-des-biens-communs/embedscript.php"></script></p>)
  • Chargement/Site  + (<blockquote><p>See and comment<blockquote><p>See and comment the conversation with polemictweet.com</br></p></blockquote></br><p>This conference is only in French. </p></br><div id="metadataplayer_embed"></div></br><p><script type="text/javascript" src="http://polemictweet.com/pour-la-transition-une-conomie-du-partage-de-la-connaissance-et-des-biens-communs/embedscript.php"></script></p>ition-une-conomie-du-partage-de-la-connaissance-et-des-biens-communs/embedscript.php"></script></p>)
  • Chargement/Site  + (<figure id="attachment_6626" aria-descr<figure id="attachment_6626" aria-describedby="caption-attachment-6626" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6626 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg" alt="" width="607" height="273" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-342x154.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-768x346.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1.jpg 1024w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6626" class="wp-caption-text">Photo Vincent Calle</figcaption></figure></br><h2>Appel en commun</h2></br><p>le 19 février 2021.Rencontre avec Joël Lecussan, coordinateur de Mix’art Myris et une personne membre d’un lieu, une réalité sociale du réseau italien des communs urbains, à partir des questions suivantes : <strong>Comment créer et maintenir des conditions d’une pérennité des lieux indépendants en communs ? Quelles stratégies ont été mises en place ? Quelles expériences partager et quelles solidarités pour soutenir les lieux menacés ?</strong></p></br><p style="padding-left: 40px;">Date : mardi 23/02/2021<br /></br>Heure : de 20 h à 21 h CET (Paris) – 14 h à 15 h EDT (Montréal)<br /></br>Rencontre en ligne : <a href="https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw">https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw</a><br /></br>(utilisez votre navigateur – aucune installation d’application n’est nécessaire)<br /></br>La rencontre se déroulera en français.</p></br><p>Un grand nombre de lieux occupés fonctionnent sur la base des communs. Les artistes y trouvent un espace de travail collectif alors qu’ils sont souvent confrontés à la rareté des espaces accessibles en milieu urbain. Ils sont le creuset où s’élabore la production artistique à laquelle aura accès le public. Ces lieux sont aussi des espaces les communautés produisent, diffusent et reproduisent de la connaissance utile à leur membres. Ils permettent de satisfaire de nombreux besoins d’utilisatrices et d’utilisateurs dans des domaines très variés : santé, alimentation, éducation, accès aux droits, accueil des réfugié-e-s pour ne citer que les plus courants. Ce rapport à la communauté en fait de véritables lieux en commun, de l’agir en commun : auto-organisation et horizontalité de la gouvernance, partage des ressources, soin apporté à la communauté et ses conditions d’existence.</p></br><p>Pourtant, l’existence de ces lieux est fragile. Leur rôle est remis en cause et ils sont souvent menacés d’expulsion sur des bases administratives. C’est ce qui arrive aujourd’hui à Mix’art à Toulouse. Mix’art Myris, c’est pourtant le squat emblématique de la scène artistique et sociale de la ville rose. Des générations de plasticiens, sculpteurs, circaciens s’y sont retrouvés. Et ces dernières années, le lieu est devenu un point de ralliement pour le mouvement des gilets jaunes. L’appel en commun sera l’occasion d’un échange sur entre militants français et italiens qui font face à ces questions et imaginent des stratégies pour défendre les lieux communs.</p>éfendre les lieux communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<figure id="attachment_6626" aria-descr<figure id="attachment_6626" aria-describedby="caption-attachment-6626" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6626 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg" alt="" width="607" height="273" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-607x273.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-342x154.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1-768x346.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/02/Mixart-Par-Vincent-Caille-3-1024x461-1.jpg 1024w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6626" class="wp-caption-text">Photo Vincent Calle</figcaption></figure></br><h2>Appel en commun</h2></br><p>le 19 février 2021.Rencontre avec Joël Lecussan, coordinateur de Mix’art Myris et une personne membre d’un lieu, une réalité sociale du réseau italien des communs urbains, à partir des questions suivantes : <strong>Comment créer et maintenir des conditions d’une pérennité des lieux indépendants en communs ? Quelles stratégies ont été mises en place ? Quelles expériences partager et quelles solidarités pour soutenir les lieux menacés ?</strong></p></br><p style="padding-left: 40px;">Date : mardi 23/02/2021<br /></br>Heure : de 20 h à 21 h CET (Paris) – 14 h à 15 h EDT (Montréal)<br /></br>Rencontre en ligne : <a href="https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw">https://ca.meet.coop/b/rem-xoc-eoo-kkw</a><br /></br>(utilisez votre navigateur – aucune installation d’application n’est nécessaire)<br /></br>La rencontre se déroulera en français.</p></br><p>Un grand nombre de lieux occupés fonctionnent sur la base des communs. Les artistes y trouvent un espace de travail collectif alors qu’ils sont souvent confrontés à la rareté des espaces accessibles en milieu urbain. Ils sont le creuset où s’élabore la production artistique à laquelle aura accès le public. Ces lieux sont aussi des espaces les communautés produisent, diffusent et reproduisent de la connaissance utile à leur membres. Ils permettent de satisfaire de nombreux besoins d’utilisatrices et d’utilisateurs dans des domaines très variés : santé, alimentation, éducation, accès aux droits, accueil des réfugié-e-s pour ne citer que les plus courants. Ce rapport à la communauté en fait de véritables lieux en commun, de l’agir en commun : auto-organisation et horizontalité de la gouvernance, partage des ressources, soin apporté à la communauté et ses conditions d’existence.</p></br><p>Pourtant, l’existence de ces lieux est fragile. Leur rôle est remis en cause et ils sont souvent menacés d’expulsion sur des bases administratives. C’est ce qui arrive aujourd’hui à Mix’art à Toulouse. Mix’art Myris, c’est pourtant le squat emblématique de la scène artistique et sociale de la ville rose. Des générations de plasticiens, sculpteurs, circaciens s’y sont retrouvés. Et ces dernières années, le lieu est devenu un point de ralliement pour le mouvement des gilets jaunes. L’appel en commun sera l’occasion d’un échange sur entre militants français et italiens qui font face à ces questions et imaginent des stratégies pour défendre les lieux communs.</p>éfendre les lieux communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<h1 id="magicdomid852"><strong><h1 id="magicdomid852"><strong>Présentation</strong></h1></br><h3 id="magicdomid4">Contexte :</h3></br><div id="magicdomid63">En automne 2012, j’ai été invitée à accompagner un groupe de treize adolescents-es dans une expérience interculturelle et humanitaire en tant que vidéaste documentaire. Organisé par le Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVSEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine, le séjour s’est déroulé au Bénin (du 4 au 22 janvier 2013) avec la Société des Missions Africaines. Mon mandat: réaliser un documentaire sur l’expérience béninoise. Étant à ce moment animatrice vidéo chez Communautique, le séjour humanitaire a été l’occasion de créer des liens avec mon milieu de travail. J’ai donc proposé la création de capsules vidéo sur les biens communs au Bénin.</div></br><div id="magicdomid7"></div></br><div id="magicdomid8">Pour préparer l’expérience à l’étranger, il y a eu deux camps de formation. J’ai préparé des ateliers vidéo pour transmettre des connaissances techniques, pour expérimenter avec les jeunes et pour scénariser la vision du projet vidéo. Lors du deuxième camp, la notion de bien commun a été abordé en parallèle à la présentation de Remix Biens Communs. J’ai invité les jeunes à choisir trois thèmes qui les interpellaient. Ils ont identifié l’eau, l’éducation et la culture. Ceux-ci devenaient par la suite des sujets des discussions ou d’observations pour documenter notre séjour.</div></br><div id="magicdomid9"></div></br><div id="magicdomid10">Stéphanie L.-Bérubé</div></br><div id="magicdomid11">Vidéaste documentaire</div></br><div id="magicdomid12"></div></br><h3 id="magicdomid426">Projet final : Bénin Bien Commun</h3></br><div id="magicdomid14"></div></br><div id="magicdomid15">Le projet se traduit en une série de cinq capsules vidéo, réalisées à partir du matériel recueilli, qui ouvre sur des possibilités de remix.</div></br><div id="magicdomid17"></br><ul></br><li>Chapitre de l’eau</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid18"><b>Sô-Ava et ses heaurizons </b></div></br><div id="magicdomid19">La commune de So-Âva (Ganvié) regroupe plusieurs villages dont plusieurs sont bâtis sur pilotis. La sacralité de l’eau, l’accès à l’eau potable et la culture locale de la pêche sont abordés dans cette vidéo qui sert les objectifs de VOIR et d’ANALYSER du Service en animation et à la vie étudiante et communautaire (SAVEC).</div></br><div id="magicdomid20"></div></br><div id="magicdomid21"><b>PUITS</b></div></br><div id="magicdomid22">« Quand le puits est sec, on sait ce que vaut l’eau. » Ou encore, « c’est avec l’eau du corps qu’on tire celle du puits. » Vous trouverez beaucoup de ces proverbes africains, car le puits est un symbole connu de l’accès à l’eau en Afrique. Pendant notre séjour, nous avons vu une diversité de puits. Aussi, les jeunes ont pu essayer de leurs propres mains la courroie de l’accès. Une petite capsule a été réalisée afin de  lui rendre hommage, une ode indirecte à l’eau.</div></br><div id="magicdomid23"></div></br><div id="magicdomid24"></br><ul></br><li>Chapitre de l’éducation</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid25"><b>L’éducation dans tous ses états</b></div></br><div id="magicdomid26">La jeune COOP du Collège Sainte-Anne de Lachine appuie des projets d’éducation dans le monde. C’est donc avec grand intérêt que les jeunes ont souhaité abordé la diversité des lieux d’éducation au Bénin. Dans cette capsule, quatre situations (l’école rurale, l’école en pirogue, formation et réinsertion, l’éducation appliquée) sont abordées et  illustrent qu’un projet d’éducation doit s’inscrire d’abord dans le contexte local pour appuyer son développement national.</div></br><div id="magicdomid27"></div></br><div id="magicdomid28"></br><ul></br><li>Chapitre de la culture immatérielle</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid29">De l’histoire aux pratiques spirituelles, le bien commun se traduit également par la façon dont les individus se regroupent pour prendre en charge la culture immatérielle de leur nation et de notre humanité.</div></br><div id="magicdomid30"></div></br><div id="magicdomid31"><b>Le chez soi</b></div></br><div id="magicdomid32">Quel est le rôle de l’Histoire dans notre compréhension de la démocratie, des droits humains et, finalement, du bien commun? Comment le passé peut expliquer les réalités d’aujourd’hui et nous faire réfléchir sur l’avenir? Dans cette vidéo, l’histoire de l’esclavage est mis en parallèle (et donc en opposition) avec la notion du « chez soi » afin d’améliorer notre compréhension de la liberté des États africains et des Africains. Où ce chez soi commence-t-il?</div></br><div id="magicdomid33"></div></br><div id="magicdomid34" style="padding-left: 30px;">« Le chez soi est un droit inné que nul n’a le droit de violer parce qu’il est source d’affection, de bonheur, de liberté d’action, de liberté d’expression. Je crois que le chez soi commence dans le foyer. […] il s’entend à la cour, à l’environnement, à la région, au pays organisé. » <i>(intervention en introduction : « Jusqu’où es-tu chez soi? Petit déjeuner en commun à Kédougou » réalisé par Anne-Julie Rollet et Kër Thiossane en collaboration avec La Companyìa)</i></div></br><div id="magicdomid35"></div></br><div id="magicdomid36"><b>Le monde invisible</b></div></br><div id="magicdomid430">Tournée lors de la Journée internationale du vaudou au Bénin, cette vidéo présente une discussion avec les jeunes sur leur perception et  leur compréhension de la fête religieuse. Le caractère ethnographique de cette vidéo illustre la complexité de la diversité et permet de réfléchir à la façon d’aborder l’interculturel en matière de biens communs et de métaphysique à travers des questions telles que: D’où viennent  vos conceptions du monde? Comment se reflètent-elles dans vos actions, votre intégrité et, donc, votre approche du bien commun?</div></br><div id="magicdomid728"></div></br><h2 id="magicdomid850">Futur développement</h2></br><div id="magicdomid1023"></br><div id="magicdomid422">Actuellement, ce projet personnel est terminé. Il présente néanmoins un potentiel de développement et de réutilisation pour aborder les biens communs en Afrique ou la perspective interculturelle des biens communs.</div></br><div id="magicdomid410"></br><ul></br><li>Le matériel peut être utilisé pour des remixs.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid411"></br><ul></br><li>Les capsules sur l’eau pourraient être utilisées dans des projets vidéo sur l’eau selon différents pays. Par exemple, faire un remix de « Sô-AVA et ses heaurizons » de Bénin Biens Communs et de « Ô Saint-Laurent : une histoire de culture et d’appartenance » de Communautique.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid412"></br><ul></br><li>Le chapitre sur l’éducation offre du matériel intéressant à croiser dans une réflexion mondiale sur la diversité des projets ou des réalités de l’éducation.</li></br></ul></br></div></br><div id="magicdomid413"></br><ul></br><li>Les deux capsules du chapitre « culture » mériteraient d’être améliorées par du nouveau matériel qui permettent de mieux encadrer la réflexion (qu’est-ce qu’un bien commun culturel immatériel?) et donc de la clarifier. Aussi, un remix peut mettre en parralèle de nouveaux matériels audiovisuels qui illustrent d’autres exemples concrets.</li></br></ul></br></div></br></div></br><div id="magicdomid1141">Les vidéos seront sous-titrées en français pour l’accessibilité du web pour les sourds, mais pourraient également être traduites en anglais.</div></br><div id="magicdomid1143"></div></br><h2 id="magicdomid1347">Collaborateurs</h2></br><div id="magicdomid47">Réalisation et montage : Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid48">Caméra: captation collective (les treize jeunes du groupe*), sous la direction de Stéphanie L. Bérubé.</div></br><div id="magicdomid49">* Anne-Julie, Amélie, Ariane, Cassandra, Cédric, Charlotte, Daphnée, Élaine, Mathieu, Marika, Nathaniel, Roxanne et Zoé.</div></br><div id="magicdomid50">Accompagnateurs: Martin Chevalier et François Gnonhoussou</div></br><h2 id="magicdomid1364">Financement</h2></br><p>Une production de Communautique, avec l’appui du Service d’animation à la vie spirituelle et à l’engagement communautaire (SAVEC) du Collège Sainte-Anne de Lachine.</p></br><div id="magicdomid54"></div></br><div id="magicdomid55"></br><h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2></br></div></br><div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>p> <div id="magicdomid54"></div> <div id="magicdomid55"> <h2>Contribution au projet (de Remix à <b>Bénin Biens Communs)</b></h2> </div> <div id="magicdomid76">L’existence d’un projet comme Remix bien commun a été le moteur de la création de la vision de Bénin bien commun, comme quoi sa présence est un levier à la documentation du bien commun. Remix Biens Communs facilite aussi le ré-usage du matériel réalisé dans le cadre de Bénin Bien Commun.</div>)
  • Chargement/Site  + (<h2>Entrevue avec Ugo Mattei. Chieri<h2>Entrevue avec Ugo Mattei. Chieri, 14 juillet 2015</h2></br><p><strong>Auteur : Irene Favero</strong><br /></br><strong>Traduction de Camille Le Crosnier</strong></p></br><p>Cette interview a été réalisée sous la forme d’une promenade, partant de la mairie de Chieri, point central du Festival International des Communs, jusqu’à Ex Tabasso, une friche industrielle de 3000m2, située en centre ville, récupérée pour y instituer un espace en-commun.</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/images/Ugo_Mattei_-_Biennale_Democrazia_2013.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium" src="https://wiki.remixthecommons.org/images/Ugo_Mattei_-_Biennale_Democrazia_2013.jpg" width="512" height="700" /></a></p></br><p> </p></br><h3><span id="Histoire_d.27un_festival" class="mw-headline">Histoire d’un festival</span></h3></br><p>Ce festival est une tentative de travail sur l’alphabétisation des peuples par rapport aux biens communs. Dans un processus révolutionnaire il est nécessaire de ne pas retomber dans les erreurs du passé. Jusqu’à présent tous les processus révolutionnaires ont fini par retomber dans les mêmes mécanismes de pouvoir en se limitant à changer les personnes qui détiennent ces pouvoirs.</p></br><p>J’ai consacré presque toute ma carrière scientifique et académique à essayer de former des générations et des groupes de personnes qui pourront devenir des leaders une fois la révolution faite, sans retomber dans les erreurs du passé.</p></br><p>La fondation de l’IUC1 n’avait pas comme but de faire la révolution, puisqu’elle viendra de toute façon, mais de me préoccuper de ce qui viendra après. Pendant un certain temps j’ai pensé que cela pouvait se réaliser uniquement grâce aux élites, que l’on pourrait imaginer la construction d’une avant-garde. À partir de 2010-2011 environ, de la période de la première organisation du référendum, j’ai réalisé que les élites sont trop facilement corruptibles et qu’au contraire les masses ne peuvent pas être corrompues, sinon par des processus extrêmement complexes.</p></br><p>J’ai donc pensé que les biens communs devaient devenir une grammaire de masse, que l’on doive arriver d’abord à une fertilisation intellectuelle des personnes, pour leur faire comprendre ce que sont les biens communs, les risques que l’on encourt si on ne s’en préoccupe pas, la joie que l’on ressent à s’en occuper, en bref toutes ces expériences qui rendent la vie digne d’être vécue non pas comme une expérience de masturbation solipsiste mais comme une expérience plus sociale, politique. J’ai donc réfléchi à la façon de contaminer le plus de personnes possible. C’est ce que j’ai essayé de faire à Naples, avec l’idée d’alphabétisation écologique. J’avais introduit, dans le statut de l’Azienda Spéciale ABC (Acqua Bene Comune) de Naples, un chapitre consacré à cette question : investir dans la construction d’une conscience écologique dans les écoles etc. Et je l’ai fait en partie, mais ensuite l’expérience napolitaine s’est arrêtée, d’une façon plutôt dramatique d’ailleurs, et puis je me suis retrouvé avec cette opportunité.</p></br><h3><span id="Contexte_politique_de_Chieri" class="mw-headline">Contexte politique de Chieri</span></h3></br><p>Je n’aurais jamais imaginé participer à une élection administrative et encore moins vouloir devenir maire de Chieri. J’y ai une maison de vacances, mais je n’avais jamais fréquenté l’environnement politique de cette ville. Puis, un groupe de camarades m’ont dit « Ici, c’est l’ennui total, ils sont tous pareils, le Parti démocrate (centre gauche) est comme le PDL (centre droite)… », donc j’ai dit « Si vous voulez utiliser mon nom pour les menacer d’une candidature, allez-y », et ces camarades ont répandu la rumeur selon laquelle j’aurais voulu me porter candidat aux élections locales. Le Parti démocrate, surestimant mes possibilités de gagner l’élection, du fait de ma présence dans le contexte politique national, a proposé de faire un accord politique plutôt que de me laisser participer. Et dans cet accord j’ai négocié un certain nombre de points.</p></br><p>Le premier étant le refus de la construction du Périphérique Est, qui était un grand chantier qui devait se faire, voulu par le Parti démocrate, et ils ont finalement accepté malgré des désaccords importants. Le deuxième était la création d’un règlement pour le gouvernement des biens communs sur lequel j’aurais eu la main, donc différent et plus avancé que celui de Bologne et des autres plus subsidiaires, et qui puisse fonctionner d’une autre façon. Le troisième point était l’organisation d’un festival international des biens communs.</p></br><p>C’était donc un accord d’un an, un accord politique que j’ai respecté. Et nous avons donc organisé le festival avec les camarades : Freddy, Roberta, Ettore, Michele Spanò, les camarades de l’IUC, et toutes les personnes qui ont collaboré.</p></br><p>J’ai vu le festival comme un moyen de faire repartir en Italie le discours sur les biens communs après le référendum sur « l’Acqua bene commune », en remettant les communs au centre de la discussion, avec une dimension nationale et même internationale et pas seulement purement locale. L’idée était de sensibiliser cette population locale qui en a bien besoin : Chieri est une petite ville riche, petite-bourgeoise, très catholique, qui a donc un véritable besoin de pensée critique. Mais il y a aussi une dimension nationale, on voulait essayer de voir combien de personnes ayant participé aux luttes pour les biens communs ces dernières années voulaient y prendre part, et elles sont nombreuses. Il s’agissait d’ouvrir de nouveaux scénarios de dialogue international. L’équilibre entre le monde académique et les activistes en ce qui concerne les communs</p></br><p>Deux choses importantes se sont passées ici. La première étant celle de la réflexion politique : il y a eu un rapprochement en Italie entre les praticiens des biens communs « gentils », donc Rodotà et le monde issu de la commission sur les biens communs (les biens communs libéraux si on peux les appeler ainsi), et les praticiens des biens communs « méchants », les « méchants maîtres », Negri, EuroNomade etc… Et cette recomposition a eu lieu, c’est à dire que nous avons parlé un langage commun, nous nous sommes mis ensemble autour de la table, nous avons repris des conversations qui étaient en suspend depuis longtemps. C’était un point important. À cela s’est ajouté un fait nouveau très important, que l’on comprendra mieux avec le temps : le passage, dans la doctrine catholique relative aux biens communs, de la vision transcendante à la vision immanente. C’est l’un des sujets de discussion que l’on a fait avancer.</p></br><p>Il existe un acte constitutionnel (je prends le point de vue du juriste que je suis) du plus ancien système juridique occidental, celui de l’église catholique, qui a mis dans sa constitution le devoir pour plus d’un milliard de personnes de traiter les biens communs immanents, ceux de la terre, avec une attitude de soin et de protection. Avec une composition de ce type, on est face à une composition constituante. Remettre en jeu, contre le néolibéralisme et contre la pensée unique, une masse très vaste et hétérogène mais réunie autour d’un processus de résistance, cela a une importance énorme. Et cela a fonctionné comme cadre théorique.</p></br><p>Pour ce qui est de la participation citoyenne, il y a eu beaucoup de monde, il y a eu quelques articles dans les journaux, on en a parlé… Bien sûr, nombre de ces séminaires n’étaient pas simples, mais ils ont représenté un moment de discussion et beaucoup de personnes ont participé. Lors des conférences matinales, qui étaient pensées comme des moments d’étude, hier, vendredi matin, il y avait 150-160 personnes engagées dans les trois séminaires, ce matin, samedi, une centaine. Cela signifie qu’environ 250 personnes ont pensé aux communs avec un niveau technique plutôt avancé. Et puis on a parlé de beaucoup d’autres choses aussi, dont l’« Area Tabasso bene comune ».</p></br><p>C’est clair qu’il faut trouver des équilibres, mais on fait ce qu’on peut, c’était une première édition et on verra dans le futur. La suite</p></br><p>Dans l’idéologie de la modernité je refuse l’idée de l’obligation de résultat, l’important c’est le processus. Cette idée du résultat est un peu phallique, ce qui m’intéresse c’est le processus qui conduit au résultat. Ce festival est une partie d’un chemin, qui m’occupe complètement et qui occupe d’autres personnes aussi, qui est le chemin qui doit conduire à l’incendie du grand tas de bois mouillé qu’est le capitalisme, qui peut être incendié mais en s’y prenant de différentes façons. Si tu essayes d’incendier un tas de bois mouillé à partir d’un seul endroit tu n’y arriveras jamais, si tu t’y mets de différents endroits tu y arrives. Comme on ne sait pas quel pourrait être l’endroit le plus adapté, moi, de façon peut-être désordonnée, j’essaye à chaque fois que je peux et d’où je peux. Si chacun fait de même, ensemble, on construit un chemin d’émancipation, et cela serait très beau à mon avis.</p></br><h3><span id="La_dimension_internationale" class="mw-headline">La dimension internationale</span></h3></br><p>Il a été très important d’avoir avec nous le réseau francophone, les camarades des Balkans, des gens comme Bollier, très actif aux Etats Unis, des personnes venues de l’Allemagne, etc… Et pas que des activistes, par exemple des personnes de la European Cultural Foundation qui ont aussi soutenu ce festival et ont été, comme d’habitude, très éclairés. Donc il y a eu des premiers pas. Bien sûr, s’il fallait organiser des états généraux des communs en Europe on pourrait les faire mais il faudrait des ressources, un lieu un peu plus central que Chieri. On pourrait imaginer les mettre en place, mais pour le moment on a fait ce qu’on était en mesure de faire dans ce contexte.</p></br><h3><span id="Que_peut_apporter_Chieri_dans_un_contexte_international_?"></span><span id="Que_peut_apporter_Chieri_dans_un_contexte_international_.3F" class="mw-headline">Que peut apporter Chieri dans un contexte international ?</span></h3></br><p>Chieri, dans ce processus, amène une pratique et une expérimentation, le dépassement d’une fermeture culturelle et intellectuelle plutôt forte qui était là et que l’on a essayé de faire sauter avec ce festival. La politique de la représentativité n’a pas encore été comprise : je perdrai probablement mon poste de maire adjoint suite à ce festival, malgré le succès, à cause des polémiques… mais ça a donné des résultats. Ça a démontré que, dans n’importe quel contexte, il est possible de faire passer la discussion sur les biens communs. Je pense qu’à Chieri aujourd’hui beaucoup de personnes savent ce que sont les biens communs, ou en tout cas en ont entendu parler.</p></br><p>À chaque action correspond une réaction. Il y a des réactions qu’il vaut la peine de contraster et d’autres non. Je ne sais pas si ça en vaut la peine ici, ça dépend des capacités évolutives d’un chemin politique. Chacun n’a qu’une vie, je mène une lutte politique qui n’est pas locale, c’est une lutte politique pour les communs. Ici comme à Naples, qui sont les deux expériences d’administrateur public que j’ai eues, j’ai laissé une marque culturelle, beaucoup de monde a changé sa façon de voir les organisations hiérarchico-administratives suite au passage des biens communs et du travail que l’on a mené dans ces contextes. Et puis est-ce que ça vaut la peine de résister ? Ça dépend, peut-être que si on résistait on pourrait rester, mais ça dépend pour quoi faire. C’est un match politique ouvert. Nous referons sans doute le festival, ici ou ailleurs, à un moment ou un autre. Dans combien de temps ? On verra, on est libre. Si la formule a marché ça on le comprendra après…</p></br><h3><span id="Ex_Tabasso,_friche_et_charte_des_communs"></span><span id="Ex_Tabasso.2C_friche_et_charte_des_communs" class="mw-headline">Ex Tabasso, friche et charte des communs</span></h3></br><p>Cet endroit est une ancienne filature de coton qui a du fermer suite à la mondialisation, du jour au lendemain. L’endroit a été abandonné puis racheté par la mairie dans une opération visionnaire et en dépensant un peu de sous. La mairie a essayé ensuite d’en faire un project financing, elle voulait le transformer en un lieu avec un cinéma, un supermarché et des parkings, en le détruisant et le reconstruisant. Heureusement, le project financing a échoué à cause de la crise, et maintenant se pose la question de ce qu’on peut en faire. Par exemple, au cours de cette première année de mon mandat électoral, j’ai constaté que l’Area Tabasso avait de fait été déclarée bien commun par la population de Chieri, avec des pratiques, un comité qui s’est mis en place, des discussions… C’est un lieu important dans l’imaginaire des gens du coin… et si tu y penses ça ne peux être qu’ainsi pour les citoyens de Chieri. C’est une construction de 33000m2, énorme, très belle, on pourrait y faire beaucoup de choses, une partie de leur vie est liée à ce lieu, c’est leur histoire, le textile est très lié aux conditions de cette ville, donc c’est un endroit idéal…</p></br><p>Je dois dire (en parlant en tant que camarade et non en tant que maire-adjoint) que dans la plupart des autres contextes ce lieu aurait déjà été occupé. Ça aurait été une belle occasion d’occuper un lieu en ayant une administration qui parle de biens communs, on aurait pu voir quelle était la dynamique réelle sous-jacente et quelle part j’aurais pu jouer dans ce sens. Si on pense à une autre expérience comme celle du Colorificio (ancienne usine de peinture) à Pise, c’est une zone plus petite et moins belle que celle-ci, elle a été occupée en très peu de temps et a commencé à revivre. Ici, depuis un an que l’on en parle, aujourd’hui, pour un grand nombre d’habitants de Chieri, c’est la première fois qu’ils ont eu l’intérêt de venir voir et qu’ils sont rentrés, grâce à l’organisation de cette promenade. Cela démontre le type de tissu social existant à Chieri.</p></br><p>Ce festival a ouvert cet espace aux citoyens. Il a ré-ouvert aussi le Bastione della mina où se tiennent ce soir des performances, il y en a une magnifique où l’on va voir les étoiles tous ensemble. C’est un lieu magnifique, public, fermé depuis des années, personne n’y rentrait plus et nous l’avons ré-ouvert pour le festival. On a fait un pacte de partage avec un de mes amis qui s’est occupé de l’ouvrir, qui l’a nettoyé et remis aux normes. La population de Chieri sait maintenant qu’il y a un parc là, qu’elle ne connaissait pas avant. C’est un endroit émouvant de beauté. Chieri n’est pas une belle ville, elle a des côtés très beaux dans un tissu urbain qui a été transformé brutalement par un développement très extractif, il y a des grands immeubles très moches juste à côté de belles constructions du moyen âge. Ce Bastione est une forteresse médiévale qui défendait la ville, et il y a un parc magnifique à l’intérieur. La cour de la mairie, où nous avons fait l’ouverture du festival, est normalement le parking où se garent les employés et c’est un endroit très beau, et la partie devant la mairie c’est normalement l’endroit où on fait la queue pour payer les amendes…</p></br><h3><span id="Le_règlement_:_un_moyen_pour_étudier_un_projet_pour_l’Area_Tabasso"></span><span id="Le_r.C3.A8glement_:_un_moyen_pour_.C3.A9tudier_un_projet_pour_l.E2.80.99Area_Tabasso" class="mw-headline">Le règlement : un moyen pour étudier un projet pour l’Area Tabasso</span></h3></br><p>Le règlement prévoit déjà un avis pour la constitution d’une entité que l’on souhaite voir devenir l’entité de référence pour cet endroit. Si je restais maire-adjoint je soignerais en particulier l’interprétation du règlement, il y a toujours un risque que les règlements soient appliqués d’une façon détournée… Mais si on arrivait à mettre en place une entité autonome, partagée, avec des processus délibératifs de type démocratique, inclusive et non-verticale, cette entité deviendrait la titulaire de l’Area Tabasso et déciderait de ce qui se passe ici, ce qui est quelque chose d’énorme qui ne s’est jamais produit auparavant. Évidemment, il est très difficile de mettre en place cette entité, nous avons mis à disposition un espace public où un groupe de personnes se rencontre tous les mardis, c’est toujours un peu les mêmes mais ce sont eux qui ont organisé tout ça. L’idée est de commencer en transformant le lieu en un espace ouvert, une sorte de place couverte, en faisant les travaux minimum nécessaires pour garantir la sécurité du lieu et que ce soit peu coûteux. Ça serait un endroit où l’on puisse mettre 700 chaises et une scène pour faire des spectacles, y faire du skate, du parkour, du sport, ce qu’on veut… Ici il fait très froid l’hiver, donc avoir un endroit couvert comme celui-ci peut être utile.</p></br><h3><span id="Ne_pas_perdre_de_vue_la_dimension_festive_des_biens_communs" class="mw-headline">Ne pas perdre de vue la dimension festive des biens communs</span></h3></br><p>As-tu jamais essayé de récolter des cerises ? C’est un travail chiant. Au temps des biens communs les paysans récoltaient les cerises tous ensemble, en un jour, en faisant la fête des cerises. Donc, une même activité qui faite tout seul devient l’un des travaux les plus aliénants et ennuyeux qui existent, si faite dans un cadre festif devient une belle chose. On récolte les cerises tous ensemble, on moissonne tous ensemble, et ça devient un travail qui se transforme grâce à la dimension festive. La dimension festive pour les communs est fondamentale parce que tu peux faire la révolution avec le visage triste, tu peux essayer d’être révolutionnaire d’une façon sérieuse ou pensive, ou tu peux faire une révolution en riant. Et l’une des choses que l’on a appris c’est qu’on ne fait pas de révolution si on ne s’amuse pas. Donc oui, la dimension festive est incroyablement importante.</p></br><p>Ici il y aura la place couverte, si on la fait, de là bas jusqu’ici. Et ici c’est un théâtre naturel, il n’y aurait qu’à creuser là, ici tu mets les gradins, là-bas tu mets les écrans, et c’est un théâtre. Avec très peu tu peux imaginer de mettre une structure en bois et en faire une vraie salle de théâtre, dont on a un besoin dramatique dans cette petite ville.</p></br><p>Ça, ça appartient à tous les habitants de Chieri. Du fait de l’avoir ouvert, les gens maintenant se disent « ça c’est à nous ! à notre communauté, on peut construire de la cohésion, en travaillant dur et en investissant de l’argent dedans, mais en ayant un projet commun ». Et le processus pour définir cette vision commune devient un processus démocratique. Ce qui m’intéresserait, mais je ne sais pas si je vais y arriver, c’est de prendre tout ça et de le faire devenir un bien commun d’un point de vue juridique. Que ça ne soit plus public, que ça ne dépende plus de qui a gagné l’élection municipale, que ça ne dépende plus du fait qu’il y ait un maire praticien des biens communs, un maire du Parti démocrate ou un maire du PDL, mais que ça devienne un bien commun pour toujours, que ça devienne une fondation dans l’intérêt des générations futures, que ça devienne un Community Land Trust, que ça devienne une structure juridique différente, nouvelle, complètement autonome par rapport à la machine politique.</p></br><p>Le règlement permet de faire des pas dans ce sens. Évidemment il faut aussi une volonté politique, qui ne sera jamais accordée si le mouvement ne devient pas suffisamment fort autour de tout ça. Les luttes pour l’émancipation ne peuvent jamais être imposées d’en haut. Si socialement, dans cette petite ville, dans cette population, il y a une envie de lutter afin que ce lieu devienne une expérimentation au niveau international, les conditions sont déjà là pour pouvoir le faire et nous les avons construites également d’un point de vue juridique. Si cette volonté politique de la base n’est pas là, il y aura une volonté politique d’en haut, mais je doute fortement qu’elle accepte de se priver d’un bien d’une aussi grande valeur.</p></br><h3><span id="Quelles_convergences_entre_loi_et_pratiques_autour_des_communs_?"></span><span id="Quelles_convergences_entre_loi_et_pratiques_autour_des_communs_.3F" class="mw-headline">Quelles convergences entre loi et pratiques autour des communs ?</span></h3></br><p>En ce qui concerne le contexte de Chieri, jusqu’ici la partie légale est en avance par rapport à la partie sociale, qui n’est pas encore là. Il y a du mouvement autour de ça, je ne sais pas si c’est un mouvement structurellement relevant des communs, ni quels intérêts il y a derrière, mais c’est un processus, donc on verra bien. Ce que je sais c’est qu’il y a du scepticisme du côté électoral, donc on verra, c’est une bataille politique. Mais la partie légale est prête : on peut maintenant suivre un chemin légal pour arriver à ce que l’Area Tabasso soit un bien commun pour toujours. C’est déjà en place, on va voir si on peut remplir ce cadre légal. La loi est juste un contenant, tout dépend de ce que tu mets dedans.</p></br><p>D’une façon plus générale : la relation entre loi et mouvements sociaux est extrêmement compliquée. Je ne suis qu’un juriste, pas un philosophe, donc je ne sais pas vraiment comment faire abstraction de ça. Je me considère comme la preuve vivante du fait qu’on peut être juriste et praticien des biens communs en même temps. Tu peux être juriste et raisonner dans le cadre mental de la loi, qui se développe d’une façon très traditionnelle : s’il faut aller aux tribunaux, je vais aux tribunaux… Mais en même temps j’essaie d’être aux côtés des personnes qui essayent de se battre pour quelque chose et de prendre part à ces luttes, et de comprendre que la loi est là pour les citoyens et essayer de l’interpréter, donc je crois que c’est possible…</p></br><p>Nous avons une classe de juristes qui est prête à travailler dans ce sens, ils ne sont pas nombreux mais ça sera sans doute le cas pour les plus jeunes. Et quelques autres fous plus âgés… même plus âgés que moi !</p></br><p> </p>les citoyens et essayer de l’interpréter, donc je crois que c’est possible…</p> <p>Nous avons une classe de juristes qui est prête à travailler dans ce sens, ils ne sont pas nombreux mais ça sera sans doute le cas pour les plus jeunes. Et quelques autres fous plus âgés… même plus âgés que moi !</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<h3>Quelle gouvernance du projet Rem<h3>Quelle gouvernance du projet Remix Biens Communs et quel modèle de gouvernance en biens communs ?</h3></br><p>Sous la direction du LARTES-IFAN, la coordination de la dimension Gouvernance a travaillé à la mise en place d’un prototype de charte de gouvernance du projet et de la plateforme REMIX. Elle a, en outre, réalisé deux films documentaires de 12 minutes sur des expériences de conception et mise en oeuvre de chartes, l’une dans un quartier de Dakar et l’autre sur la charte nationale sénégalaise : <em>Charte de Bonne Gouvernance Démocratique</em> et <em>Charte de bon voisinage, éloignez votre poubelle !</em> omme processus exemplaire de production de Bien Commun. Elle a, enfin, assemblé un certain nombre de ressources et liens ciblés pour aussi bien faciliter une mise à niveau documentaire, qu’élargir le champ de possibilité des collaborations scientifiques dans le cadre du mouvement de l’économie sociale et des Biens Communs.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les recherches sur la pratique de charte de gouvernance se poursuivent et seront amenées à venir nourrir la réflexion de praticiens des biens communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Abdou Salam Fall et Abdou Rahmane Seck, chercheurs au LARTES au Sénégal</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet de « Chartes de gouvernance » fait partie des travaux de recherche conduits par le LARTES IFAN. Il a été partiellement financé par la Francophonie au travers de Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs est un espace de rencontre entre chercheurs et praticiens pour le développement de pratiques de gouvernance basées sur les communs.</p>gt; <p>Remix Biens Communs est un espace de rencontre entre chercheurs et praticiens pour le développement de pratiques de gouvernance basées sur les communs.</p>)
  • Chargement/Site  + (<ol> <li style="list-style-type: <ol></br><li style="list-style-type: none;"></br><ol>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur</ol></br></li></br></ol></br><p><a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p></br><blockquote><p>En 1928, Ravel compose le Boléro, une partition qui va connaître un succès mondial et des centaines de versions et arrangements. Un crescendo harmonique qui rapporte aussi des millions.</p></br><p>Une excellent série de neuf vidéos de 8 minutes réalisée par Fabian Caux-Lahalle et diffusée par l’INA raconte cette histoire de l’accaparement post-mortem de ce bijou de Maurice Ravel, qui n’en profitera guère, tombant rapidement malade et mourrant moins de dix ans plus tard.</p></blockquote></br><p>Cette série vidéo se regarde comme un roman policier. Traitrises, marché clandestins, paradis fiscaux, et masseuse d’un côté, hommes politiques abreuvés par les lobbies et incapables de défendre le domaine public de l’autre. Nous avons ici une saga qui démontre la nocivité de la notion « d’ayants-droits », le détournement de toutes les lois et pratiques culturelles par des affairistes qui se servent ensuite du pouvoir acquis pour influencer les politiques et réduire toujours plus le domaine public.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/2885055/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN5464180431/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Le tout sur fond de Boléro, dans de nombreuses interprétations venant du monde entier, de tous les styles musicaux et de toutes les époques.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7910555309/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN6248963306/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Ah, les paradis fiscaux pour cacher l’argent récupéré des cendres de Maurice Ravel, mort sans enfants, léguant tout à son frère, lui-même sans enfants.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN2464909165/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>Mais c’est bien une affaire politique, dans laquelle les lobbies des industries culturelles ont préempté les pouvoirs publics, et nos chers hommes politiques, prêts à se laisser séduire.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN8716173688/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>La Suisse, Monaco, Gibraltar, Panama… La culture ne connaît pas de frontières, l’argent non plus.</p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN9205650456/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN4764653149/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p><iframe loading="lazy" src="https://player.ina.fr/player/embed/MAN7455517816/1/1b0bd203fbcd702f9bc9b10ac3d0fc21/560/315/0" width="560" height="315" frameborder="0" marginwidth="0" marginheight="0" scrolling="no"></iframe></p></br><p>C’est intéressant que ce soit l’INA qui ait produit ce brûlot, juste au lendemain du déclassement par le gouvernement, suite à la pression des lobbies soi-disant de la « culture », de l’article 8 de la Loi Lemaire. Celui-ci visait à protéger les communs informationnels, notamment en permettant aux associations spécialisées de porter plainte pour défendre le domaine public contre les accapareurs.</p></br><p>Il faudrait montrer cela aux membres de la commission mixte Sénat-Assemblée qui va définir au final cette loi. Il faut aussi le montrer à tous nos élus pour qu’ils voient combien leur manque d’intérêt pour la protection du domaine public n’est en réalité qu’une soumission aux arnaqueurs, aux lobbies, aux puissances de l’argent et le mépris de la société et de sa volonté de partage culturel, de ré-interprétation inventive des oeuvres. Qu’ils ne puissent plus fermer les yeux : ils sont responsables de ce qu’on vole au domaine public au profit de société panaméennes ou monégasques.</p></br><p>Qu’en aurait dit Maurice Ravel, qui écrivait : « Prenez un modèle, imitez-le. Si vous avez quelque chose à dire, votre personnalité ne paraîtra jamais mieux que dans votre inconsciente infidélité. » (cette phrase est la conclusion de ce superbe documentaire).</p></br><p>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p>ue chose à dire, votre personnalité ne paraîtra jamais mieux que dans votre inconsciente infidélité. » (cette phrase est la conclusion de ce superbe documentaire).</p> <p>Publié le 21 mai 2016 par Hervé Le Crosnier sur <a href="http://vecam.org/Ce-que-nous-nous-apprend-l-histoire-du-Bolero-de-Ravel">Vecam.org</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://aoc.media/opi<p><a href="https://aoc.media/opinion/2021/03/14/de-loccupation-des-lieux-culturels-a-lassemblee-des-communs" target="_blank" rel="noopener">Tribune de Frédéric Sultan et Michel Bauwens publiée par AOC le 14 mars 2021</a></p></br><blockquote><p>L’occupation des théâtres et des lieux culturels depuis le mois de février 2021 n’est pas seulement motivée par l’urgence de sauver une activité en péril économique. C’est aussi la revendication d’un usage de l’espace public, du droit d’expression et de création et de la reconnaissance que la culture est un commun, socle de notre société.</p></blockquote></br><p>Les communs sont plus que l’addition, par ailleurs indispensables, d’initiatives de partage et d’entre-aide et que l’ingénierie juridico-économique qui leur permet de se déployer. Ils sont l’expression d’un large élan de la société pour la démocratie et la participation active qui rencontre les mobilisations féministe, anti-raciste, décolonialiste, et écologiste actuelles, afin que nous prenions soin de la vie et l’épanouissement de chacune et chacun et de l’état la planète Terre.<br /></br>Transformer cet horizon en un nouveau pacte social et écologique ne se fera pas sans la production d’une base culturelle et politique solide, un récit à même de contrer le risque d’une récupération et d’une dilution dans la grande lessiveuse à idées qu’est devenu le capitalisme financiarisé à tendance autoritaire. C’est à relever ce défi que nos organisations travaillent avec acharnement.</p></br><h2>Renouveler l’engagement par les communs</h2></br><p>Les communs recouvrent toutes sortes d’actions qui consistent, pour les personnes concernées, à s’auto-organiser, coopérer et co-produire les gestes de solidarité dont elles ont besoin pour bien vivre et dessiner un avenir meilleur pour les générations futures. Les communs sont le moteur encore largement invisible d’une société solidaire, basée sur la coopération et la mutualisation des ressources. En quelques décennies, la coopération de pair à pair (P2P) a profondément renouvelé les relations entre usagers et producteurs, dans des domaines aussi divers que la recherche, l’éducation, les services, la culture, l’alimentation, la mobilité, la production industrielle ou la santé. La perspective des communs témoigne de la volonté que le partage soit juste.</p></br><p>Les communs sont porteurs d’une alternative politique, et ne sauraient être réduits à leur seule dimension d’ingénierie juridico-économique. Jardins partagés, lieux de fabrication, épiceries solidaires, coopératives d’énergie, encyclopédies libres, … sont autant d’espaces d’engagement que l’on reconnaît comme des communs de par leur destination : combler un besoin socialisé par la coopération plutôt que par la compétition. Mais leurs membres y revendiquent aussi de vivre l’expérience des communs, et de voir reconnue leur valeur dans notre culture. Si nous en sommes là aujourd’hui, c’est parce qu’un travail de fond conduit au sein de collectifs agissants a mis en lumière une nouvelle manière d’agir collectivement, d’agir en-commun, comme commoners.</p></br><p>Tout comme les engagements écologiste, ou féministe par exemples, celui de commoner s’incarne à la fois dans l’exercice d’un rôle pratique dans des dispositifs sociaux singuliers, et dans une orientation de la citoyenneté. L’engagement du ou de la commoner se constitue à partir de ses communautés d’appartenance. Celles-ci le relient à son territoire, à des pratiques sociales ou des modes de vie singuliers, que le droit peine encore souvent à reconnaître. La protection et le soin apportés à ces communautés et aux ressources vitales pour leur renouvellement, et l’auto-organisation participent des pratiques d’émancipation. L’adhésion au projet de société qu’emporte le mouvement des communs se fonde en même temps sur le souci de préserver les domaines de l’inappropriable et empêcher la transformation de l’homme et de la nature en marchandise.</p></br><p>La culture des communs transforme aujourd’hui jusqu’aux mouvements sociaux et politiques, l’éducation populaire et la participation citoyenne. Rien de tel que d’observer les modes d’organisation des militants fondés sur les assemblées ouvertes, la gouvernance collégiale, les élections sans candidats, les outils et les principes de fédération, pour se rendre compte de l’impact des communs dans le domaine politique. Le mouvement néo-municipaliste, couronné de succès dans plusieurs villes européennes ces dernières années, a su s’appuyer sur cette culture politique. Il faudra savoir s’appuyer sur cette expérience pour élargir son horizon d’action sans sous-estimer l’effort d’inventivité que cela représente.</p></br><figure id="attachment_6666" aria-describedby="caption-attachment-6666" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6666 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-607x341.jpg" alt="Les communs à l'ère de l'anthropocène - Fish-Bowl animation Bernard Brunet" width="607" height="341" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-607x341.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-342x192.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-768x432.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-1536x864.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-2048x1152.jpg 2048w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-1920x1080.jpg 1920w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6666" class="wp-caption-text">Assemblée des communs – Frédéric Sultan – CC.BC.SA.2021</figcaption></figure></br><h2>Renouveler les alliances</h2></br><p>Face à l’accélération des dynamiques néo-libérales, le mouvement des communs offre un espace pour recomposer des alliances entre les acteurs sociaux. La puissance des communs est de faire savoir, tant par la force de l’expérience vécue, que par les valeurs défendues, que l’action publique ne saurait être le monopole de la puissance publique et l’économie celui du secteur privé. Revendiquer une part d’autonomie dans l’action publique est devenu une urgence à l’heure où l’État est mis au service d’une quasi toute puissante idéologie néo-libérale. La généralisation de la financiarisation, le New public management et la techno-bureaucratisation, dont on a vu se révéler au grand jour les effets dans le domaine de la santé à chaque étape de la crise COVID19, sont à l’œuvre dans toutes les sphères de l’action publique.</p></br><p>Cette revendication est portée de longue date par le mouvement associationniste qui a vécu au cours des dernières décennies une marche forcée vers la marchandisation. Celle-ci est caractérisée par une baisse massive des ressources et une montée en puissance des logiques d’appel d’offre au détriment de celles des subventions, et aujourd’hui l’arrivée des Social Impact Bonds. Ces mécanismes financiers visent à enfermer celles et ceux qui traitent des questions sociales dans la logique du marché capitaliste. Depuis le début des années 2000, RGPP et MAP (Révision Générale des Politiques Publiques et Modernisation de l’action publique) ont transformé les associations en délégataire de service public et créé une dépendance à la fois financière, stratégique et politique aux pouvoirs publics. A cela s’ajoute parfois l’ambivalence d’acteurs, qui ont baigné dans la culture du faire, et sont guidés par un appel à agir et à l’efficacité dans l’action publique, qui à leurs yeux, relègue à l’arrière-plan les conséquences de la privatisation du domaine du social et de l’écologie. Le champ du numérique et bientôt des lieux de l’innovation sociale : tiers lieux, lieux culturels alternatifs, espaces dédiés au social, à l’éducation populaire… etc, secteurs d’activités émergent du P2P et des communs, sont nombreux à passer rapidement d’un projet de transformation de la société à de simples services marchands.</p></br><p>Pour lutter contre ces phénomènes, plusieurs visions se côtoient. L’une consiste à reconquérir des services publics pour les administrer comme des communs, c’est à dire avec une participation plus importante des citoyens. Elle s’appuie sur l’expérience historique de l’État social du siècle passé et défend le renforcement de la représentation des usagers. Elle passe par la réforme de la culture du service public, la transformation des agents et des institutions, et pour certains par l’administration publique des communs. L’expérience montre que les mécanismes de représentation peinent à éviter le risque d’une amplification de l’asymétrie du pouvoir entre l’administration et les usagers, renforcée aujourd’hui par la numérisation des services publics. Cette perspective offre néanmoins une possibilité de partenariats entre les communs et la puissance publique, si cette dernière se dote d’une éthique de la participation citoyenne renouvelée.<br /></br>Une autre vision passe par la mise en place d’espaces d’autonomie à même d’établir des interactions avec les acteurs de la puissance publique et du marché (ou au contraire de s’en isoler) et de transformer leurs règles en faisant émerger d’autres pratiques et d’autres normes. Cette approche remet en cause l’hégémonie des représentants élus sur la production des règles de droit. Dans les communs, les acteurs font la preuve de leur capacité à produire des règles qui montrent leur utilité pour eux-mêmes, mais aussi au bénéfice de la société dans son ensemble. Ils revendiquent la reconnaissance d’une pluralité des sources du droit. Plus généralement, dans cette perspective, les communs revendiquent d’être reconnus comme des acteurs à part entière de la sphère publique plutôt que subordonnés à la puissance publique, et s’organisent sous forme d’assemblées, de collectifs, qui peuvent produire et mettre en œuvre des propositions nouvelles.</p></br><h2>Renouveler notre culture juridique</h2></br><p>Si on veut éviter que les communs ne soient finalement l’objet d’une prédation ou d’instrumentalisation, sinon organisée par les tenants d’un État néolibéral, au moins consentie par des commoners qui en sont largement dépendants, ces configurations emportent avec elles deux conséquences.</p></br><p>D’abord, il s’agit de construire les infrastructures collectives, libres et souveraines des communs à l’opposé de la « start-upisation » de la nation. Cet enjeu se traduit aussi bien dans le domaine des idées que celui d’une ingénierie socio-technique. Théorie de la valeur contributive et du pair-à-pair, reconnaissance de la contribution à l’intérêt général, ne peuvent se résumer à la rémunération des commoners et à la marchandisation de leur activité, mais oblige à imaginer une économie dans laquelle nous sommes tous des commoners en devenir ! Les outils juridiques, les logiciels, les outils sémantiques, les lieux et autres outils de transition ouverts sont les chantiers de recherche et d’expérimentation actuels. De nombreux acteurs y travaillent avec une variété d’approches, qu’il faut préserver afin de nourrir les dimensions épistémologiques, phénoménologiques et politiques des communs.</p></br><p>La souveraineté des communs questionne le droit et appelle une autre culture juridique. Le droit des communs résulte des règles et des gestes de l’engagement mutuel plutôt que des lois nationales et universelles. Pour exister dans la société contemporaine, et pouvoir la transformer, les commoners doivent accepter d’articuler leurs mécanismes juridiques (et leurs souverainetés) avec ceux de la démocratie, qui constitue l’espace où se mesure la compatibilité des communs avec l’intérêt général. Ce que les communs nous disent du droit, c’est qu’il n’est pas réductible à la loi, et que le domaine juridique doit être appréhendé comme un terrain de luttes et de créativité. L’usage créatif du droit consiste à chaque fois que cela est possible, à faire reconnaître les communs comme l’une des formes de mise en œuvre concrète des principes, qui sinon restent trop souvent lettres mortes, des droits civils et sociaux (DESC), de l’égalité, de la fonction sociale de la propriété, des droits à la participation et de la possibilité de voir la gestion des services essentiels attribuée aux travailleurs et usagers en coopération. Cette leçon, nous l’avons apprise de l’expérience du réseau national des biens communs italiens.</p></br><h2>Reconnaissance et politique des communs</h2></br><p>Pour cette lutte créative, nous appelons les commoners et leurs collectifs à se réunir en Assemblée des communs afin de construire des alliances, répondre à leurs besoins par l’auto-organisation et interpeller l’État et les institutions. Rares sont aujourd’hui les politiques en mesure de penser la société avec un autre vocabulaire que celui de la propriété individuelle, qui se décline d’abord en droit d’entreprendre. C’est précisément pour cela qu’il nous faut continuer à élaborer le vocabulaire des communs, à le faire émerger et permettre son appropriation. Sa valeur tient à son lien étroit avec l’action collective, en ce qu’il permet d’en coconstruire le sens. La reconnaissance des communs ne pourra être que le résultat des conditions que les contributeurs et contributrices à ces actions sauront faire valoir ensemble. Il ne s’agit pas seulement de se voir labellisé par un ministère ou une agence de l’État, mais bien d’éprouver et de légitimer les mécanismes juridiques et économiques, les cultures de la solidarité et de la coopération, une éthique et une loyauté dans la politique, qui permettent la préservation et l’expansion des communs.</p></br><p>FS MB 14/03/2021</p>smes juridiques et économiques, les cultures de la solidarité et de la coopération, une éthique et une loyauté dans la politique, qui permettent la préservation et l’expansion des communs.</p> <p>FS MB 14/03/2021</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://aoc.media/opi<p><a href="https://aoc.media/opinion/2021/03/14/de-loccupation-des-lieux-culturels-a-lassemblee-des-communs" target="_blank" rel="noopener">Tribune de Frédéric Sultan et Michel Bauwens publiée par AOC le 14 mars 2021</a></p></br><blockquote><p>L’occupation des théâtres et des lieux culturels depuis le mois de février 2021 n’est pas seulement motivée par l’urgence de sauver une activité en péril économique. C’est aussi la revendication d’un usage de l’espace public, du droit d’expression et de création et de la reconnaissance que la culture est un commun, socle de notre société.</p></blockquote></br><p>Les communs sont plus que l’addition, par ailleurs indispensables, d’initiatives de partage et d’entre-aide et que l’ingénierie juridico-économique qui leur permet de se déployer. Ils sont l’expression d’un large élan de la société pour la démocratie et la participation active qui rencontre les mobilisations féministe, anti-raciste, décolonialiste, et écologiste actuelles, afin que nous prenions soin de la vie et l’épanouissement de chacune et chacun et de l’état la planète Terre.<br /></br>Transformer cet horizon en un nouveau pacte social et écologique ne se fera pas sans la production d’une base culturelle et politique solide, un récit à même de contrer le risque d’une récupération et d’une dilution dans la grande lessiveuse à idées qu’est devenu le capitalisme financiarisé à tendance autoritaire. C’est à relever ce défi que nos organisations travaillent avec acharnement.</p></br><h2>Renouveler l’engagement par les communs</h2></br><p>Les communs recouvrent toutes sortes d’actions qui consistent, pour les personnes concernées, à s’auto-organiser, coopérer et co-produire les gestes de solidarité dont elles ont besoin pour bien vivre et dessiner un avenir meilleur pour les générations futures. Les communs sont le moteur encore largement invisible d’une société solidaire, basée sur la coopération et la mutualisation des ressources. En quelques décennies, la coopération de pair à pair (P2P) a profondément renouvelé les relations entre usagers et producteurs, dans des domaines aussi divers que la recherche, l’éducation, les services, la culture, l’alimentation, la mobilité, la production industrielle ou la santé. La perspective des communs témoigne de la volonté que le partage soit juste.</p></br><p>Les communs sont porteurs d’une alternative politique, et ne sauraient être réduits à leur seule dimension d’ingénierie juridico-économique. Jardins partagés, lieux de fabrication, épiceries solidaires, coopératives d’énergie, encyclopédies libres, … sont autant d’espaces d’engagement que l’on reconnaît comme des communs de par leur destination : combler un besoin socialisé par la coopération plutôt que par la compétition. Mais leurs membres y revendiquent aussi de vivre l’expérience des communs, et de voir reconnue leur valeur dans notre culture. Si nous en sommes là aujourd’hui, c’est parce qu’un travail de fond conduit au sein de collectifs agissants a mis en lumière une nouvelle manière d’agir collectivement, d’agir en-commun, comme commoners.</p></br><p>Tout comme les engagements écologiste, ou féministe par exemples, celui de commoner s’incarne à la fois dans l’exercice d’un rôle pratique dans des dispositifs sociaux singuliers, et dans une orientation de la citoyenneté. L’engagement du ou de la commoner se constitue à partir de ses communautés d’appartenance. Celles-ci le relient à son territoire, à des pratiques sociales ou des modes de vie singuliers, que le droit peine encore souvent à reconnaître. La protection et le soin apportés à ces communautés et aux ressources vitales pour leur renouvellement, et l’auto-organisation participent des pratiques d’émancipation. L’adhésion au projet de société qu’emporte le mouvement des communs se fonde en même temps sur le souci de préserver les domaines de l’inappropriable et empêcher la transformation de l’homme et de la nature en marchandise.</p></br><p>La culture des communs transforme aujourd’hui jusqu’aux mouvements sociaux et politiques, l’éducation populaire et la participation citoyenne. Rien de tel que d’observer les modes d’organisation des militants fondés sur les assemblées ouvertes, la gouvernance collégiale, les élections sans candidats, les outils et les principes de fédération, pour se rendre compte de l’impact des communs dans le domaine politique. Le mouvement néo-municipaliste, couronné de succès dans plusieurs villes européennes ces dernières années, a su s’appuyer sur cette culture politique. Il faudra savoir s’appuyer sur cette expérience pour élargir son horizon d’action sans sous-estimer l’effort d’inventivité que cela représente.</p></br><figure id="attachment_6666" aria-describedby="caption-attachment-6666" style="width: 607px" class="wp-caption aligncenter"><img decoding="async" loading="lazy" class="wp-image-6666 size-large" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-607x341.jpg" alt="Les communs à l'ère de l'anthropocène - Fish-Bowl animation Bernard Brunet" width="607" height="341" srcset="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-607x341.jpg 607w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-342x192.jpg 342w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-768x432.jpg 768w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-1536x864.jpg 1536w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-2048x1152.jpg 2048w, https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2021/03/IMG_20211112_183031393-1-1920x1080.jpg 1920w" sizes="(max-width: 607px) 100vw, 607px" /><figcaption id="caption-attachment-6666" class="wp-caption-text">Assemblée des communs – Frédéric Sultan – CC.BC.SA.2021</figcaption></figure></br><h2>Renouveler les alliances</h2></br><p>Face à l’accélération des dynamiques néo-libérales, le mouvement des communs offre un espace pour recomposer des alliances entre les acteurs sociaux. La puissance des communs est de faire savoir, tant par la force de l’expérience vécue, que par les valeurs défendues, que l’action publique ne saurait être le monopole de la puissance publique et l’économie celui du secteur privé. Revendiquer une part d’autonomie dans l’action publique est devenu une urgence à l’heure où l’État est mis au service d’une quasi toute puissante idéologie néo-libérale. La généralisation de la financiarisation, le New public management et la techno-bureaucratisation, dont on a vu se révéler au grand jour les effets dans le domaine de la santé à chaque étape de la crise COVID19, sont à l’œuvre dans toutes les sphères de l’action publique.</p></br><p>Cette revendication est portée de longue date par le mouvement associationniste qui a vécu au cours des dernières décennies une marche forcée vers la marchandisation. Celle-ci est caractérisée par une baisse massive des ressources et une montée en puissance des logiques d’appel d’offre au détriment de celles des subventions, et aujourd’hui l’arrivée des Social Impact Bonds. Ces mécanismes financiers visent à enfermer celles et ceux qui traitent des questions sociales dans la logique du marché capitaliste. Depuis le début des années 2000, RGPP et MAP (Révision Générale des Politiques Publiques et Modernisation de l’action publique) ont transformé les associations en délégataire de service public et créé une dépendance à la fois financière, stratégique et politique aux pouvoirs publics. A cela s’ajoute parfois l’ambivalence d’acteurs, qui ont baigné dans la culture du faire, et sont guidés par un appel à agir et à l’efficacité dans l’action publique, qui à leurs yeux, relègue à l’arrière-plan les conséquences de la privatisation du domaine du social et de l’écologie. Le champ du numérique et bientôt des lieux de l’innovation sociale : tiers lieux, lieux culturels alternatifs, espaces dédiés au social, à l’éducation populaire… etc, secteurs d’activités émergent du P2P et des communs, sont nombreux à passer rapidement d’un projet de transformation de la société à de simples services marchands.</p></br><p>Pour lutter contre ces phénomènes, plusieurs visions se côtoient. L’une consiste à reconquérir des services publics pour les administrer comme des communs, c’est à dire avec une participation plus importante des citoyens. Elle s’appuie sur l’expérience historique de l’État social du siècle passé et défend le renforcement de la représentation des usagers. Elle passe par la réforme de la culture du service public, la transformation des agents et des institutions, et pour certains par l’administration publique des communs. L’expérience montre que les mécanismes de représentation peinent à éviter le risque d’une amplification de l’asymétrie du pouvoir entre l’administration et les usagers, renforcée aujourd’hui par la numérisation des services publics. Cette perspective offre néanmoins une possibilité de partenariats entre les communs et la puissance publique, si cette dernière se dote d’une éthique de la participation citoyenne renouvelée.<br /></br>Une autre vision passe par la mise en place d’espaces d’autonomie à même d’établir des interactions avec les acteurs de la puissance publique et du marché (ou au contraire de s’en isoler) et de transformer leurs règles en faisant émerger d’autres pratiques et d’autres normes. Cette approche remet en cause l’hégémonie des représentants élus sur la production des règles de droit. Dans les communs, les acteurs font la preuve de leur capacité à produire des règles qui montrent leur utilité pour eux-mêmes, mais aussi au bénéfice de la société dans son ensemble. Ils revendiquent la reconnaissance d’une pluralité des sources du droit. Plus généralement, dans cette perspective, les communs revendiquent d’être reconnus comme des acteurs à part entière de la sphère publique plutôt que subordonnés à la puissance publique, et s’organisent sous forme d’assemblées, de collectifs, qui peuvent produire et mettre en œuvre des propositions nouvelles.</p></br><h2>Renouveler notre culture juridique</h2></br><p>Si on veut éviter que les communs ne soient finalement l’objet d’une prédation ou d’instrumentalisation, sinon organisée par les tenants d’un État néolibéral, au moins consentie par des commoners qui en sont largement dépendants, ces configurations emportent avec elles deux conséquences.</p></br><p>D’abord, il s’agit de construire les infrastructures collectives, libres et souveraines des communs à l’opposé de la « start-upisation » de la nation. Cet enjeu se traduit aussi bien dans le domaine des idées que celui d’une ingénierie socio-technique. Théorie de la valeur contributive et du pair-à-pair, reconnaissance de la contribution à l’intérêt général, ne peuvent se résumer à la rémunération des commoners et à la marchandisation de leur activité, mais oblige à imaginer une économie dans laquelle nous sommes tous des commoners en devenir ! Les outils juridiques, les logiciels, les outils sémantiques, les lieux et autres outils de transition ouverts sont les chantiers de recherche et d’expérimentation actuels. De nombreux acteurs y travaillent avec une variété d’approches, qu’il faut préserver afin de nourrir les dimensions épistémologiques, phénoménologiques et politiques des communs.</p></br><p>La souveraineté des communs questionne le droit et appelle une autre culture juridique. Le droit des communs résulte des règles et des gestes de l’engagement mutuel plutôt que des lois nationales et universelles. Pour exister dans la société contemporaine, et pouvoir la transformer, les commoners doivent accepter d’articuler leurs mécanismes juridiques (et leurs souverainetés) avec ceux de la démocratie, qui constitue l’espace où se mesure la compatibilité des communs avec l’intérêt général. Ce que les communs nous disent du droit, c’est qu’il n’est pas réductible à la loi, et que le domaine juridique doit être appréhendé comme un terrain de luttes et de créativité. L’usage créatif du droit consiste à chaque fois que cela est possible, à faire reconnaître les communs comme l’une des formes de mise en œuvre concrète des principes, qui sinon restent trop souvent lettres mortes, des droits civils et sociaux (DESC), de l’égalité, de la fonction sociale de la propriété, des droits à la participation et de la possibilité de voir la gestion des services essentiels attribuée aux travailleurs et usagers en coopération. Cette leçon, nous l’avons apprise de l’expérience du réseau national des biens communs italiens.</p></br><h2>Reconnaissance et politique des communs</h2></br><p>Pour cette lutte créative, nous appelons les commoners et leurs collectifs à se réunir en Assemblée des communs afin de construire des alliances, répondre à leurs besoins par l’auto-organisation et interpeller l’État et les institutions. Rares sont aujourd’hui les politiques en mesure de penser la société avec un autre vocabulaire que celui de la propriété individuelle, qui se décline d’abord en droit d’entreprendre. C’est précisément pour cela qu’il nous faut continuer à élaborer le vocabulaire des communs, à le faire émerger et permettre son appropriation. Sa valeur tient à son lien étroit avec l’action collective, en ce qu’il permet d’en coconstruire le sens. La reconnaissance des communs ne pourra être que le résultat des conditions que les contributeurs et contributrices à ces actions sauront faire valoir ensemble. Il ne s’agit pas seulement de se voir labellisé par un ministère ou une agence de l’État, mais bien d’éprouver et de légitimer les mécanismes juridiques et économiques, les cultures de la solidarité et de la coopération, une éthique et une loyauté dans la politique, qui permettent la préservation et l’expansion des communs.</p></br><p>FS MB 14/03/2021</p>smes juridiques et économiques, les cultures de la solidarité et de la coopération, une éthique et une loyauté dans la politique, qui permettent la préservation et l’expansion des communs.</p> <p>FS MB 14/03/2021</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><a href="https://www.remixthec<p><a href="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water.jpg"><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-medium wp-image-4194" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2015/01/Move-North-South-Water-198x300.jpg" alt="Move North South Water" width="198" height="300" /></a></p></br><p>Le « Nan Shui Bei Diao » – littéralement Sud Eau Nord Déplacer – est le plus gros projet de transfert d’eau au monde, entre le sud et le nord de la Chine. Sur les traces de ce chantier colossal, le film d’Antoine Boutet dresse la cartographie mouvementée d’un territoire d’ingénieur où le ciment bat les plaines, les fleuves quittent leur lit, les déserts deviennent forêts, où peu à peu des voix s’élèvent, réclamant justice et droit à la parole. Tandis que la matière se décompose et que les individus s’alarment, un paysage de science-fiction, contre nature, se recompose.</p></br><p>Sud Eau Nord Déplacer sortira mercredi 28 janvier 2915 dans les salles de cinéma. Si vous souhaitez vous associer à une de ces projections, contactez la salle de cinéma concernée ou la distribution du film : mdecout@zeugmafilms.fr. Si vous souhaitez accompagner une projection dans une ville où le film n’est pas encore programmé, contactez-nous : hague.philippe@gmail.com</p>film n’est pas encore programmé, contactez-nous : hague.philippe@gmail.com</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><b>Rendre visibles les méca<p><b>Rendre visibles les mécanismes de gouvernance des communs urbains et apprendre de l’expérience de la co-production du droit. Partager les tactiques de l’agir en commun (commoning) en milieu urbain. </b></p></br><p>Atlas des chartes des communs urbains propose de :</p></br><ol></br><li>Réaliser et entretenir un inventaire ouvert et interactif de mécanismes juridiques consacrés à la mise en œuvre des communs urbains.</li></br><li>fournir un espace collectif pour l’analyse et l’interprétation de ces mécanismes de gouvernance des communs urbains et produire et partager des connaissances avec les commoners dans une perspective interculturelle.</li></br><li>offrir un espace d’échange et d’entraide autour de l’élaboration de chartes et autres instruments juridiques pour la régénération ou la création des communs urbains.</li></br></ol></br><p> </p></br><p><iframe style="width: 900px; height: 500px; border: 1px solid black;" src="https://framindmap.org/c/maps/198701/embed?zoom=1"> </iframe></p></br><p>Pour contribuer à la grille d’analyse des communs urbains, utilisez<br /></br><a href="https://framindmap.org/c/maps/198701/edit">framindmap.org</a><br /></br>(Vous devez être titulaire d’un compte)</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p></p> <p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><b>Rendre visibles les méca<p><b>Rendre visibles les mécanismes de gouvernance des communs urbains et apprendre de l’expérience de la co-production du droit. Partager les tactiques de l’agir en commun (commoning) en milieu urbain. </b></p></br><p>Atlas des chartes des communs urbains propose de :</p></br><ol></br><li>Réaliser et entretenir un inventaire ouvert et interactif de mécanismes juridiques consacrés à la mise en œuvre des communs urbains.</li></br><li>fournir un espace collectif pour l’analyse et l’interprétation de ces mécanismes de gouvernance des communs urbains et produire et partager des connaissances avec les commoners dans une perspective interculturelle.</li></br><li>offrir un espace d’échange et d’entraide autour de l’élaboration de chartes et autres instruments juridiques pour la régénération ou la création des communs urbains.</li></br></ol></br><p> </p></br><p><iframe style="width: 900px; height: 500px; border: 1px solid black;" src="https://framindmap.org/c/maps/198701/embed?zoom=1"> </iframe></p></br><p>Pour contribuer à la grille d’analyse des communs urbains, utilisez<br /></br><a href="https://framindmap.org/c/maps/198701/edit">framindmap.org</a><br /></br>(Vous devez être titulaire d’un compte)</p></br><p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p></p> <p><a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Atlas_des_chartes_des_communs_urbains">Information sur le projet </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><em>Les voies maritimes<<p><em>Les voies maritimes</em>, a beautiful idea of video about a project of protected sea area. </p></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="//www.dailymotion.com/embed/video/xu8azp" allowfullscreen></iframe><br /></br>By <a href="http://www.aires-marines.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Aires-marines-protegees</a></i></p></br><p>Three photographers have traveled for months Normand Breton Gulf stretching from the island of Brehat to Cape of La Hague and which is the subject of a proposed marine park. Rodolphe Marics, Denis Bourges and Xavier Desmier propose an X-ray of the marine space in three different and complementary points of view: aerial photos, hiking and underwater.</p></br><p><em>Les voies maritimes</em> was born of a partnership between the Agency for Marine Protected Areas and the association Les champs photographiques.</p>maritimes</em> was born of a partnership between the Agency for Marine Protected Areas and the association Les champs photographiques.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck?rel=0" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international. Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p>IPinCH (Intellectual Property Issues in Cultural Heritage) est un projet international de recherche participative autour de la réappropriation de l’héritage culturel par les communautés ancestrales. A qui appartient le passé ? A qui bénéficie-t-il ? quelles sont les conceptions culturelles de l’héritage culturel (de la mémoire) ? Comment distinguer accaparement et emprunts culturels (cultural borrowings) ? Ce projet croise des questions sur le domaine public, la nature de la recherche conduite par les communautés (et non pour elles) et sur les connaissances ancestrales (et culturelles en général). Il montre un éventail de processus de gestion collective des connaissances des communautés et tire des principes applicables à la recherche et pour comprendre les questions étudiées. Enfin, il propose l’usage de la <a href="http://www.localcontexts.org/">Traditional Knowledge licence</a> et un <a href="http://www.sfu.ca/ipinch/outputs/blog/appropriation-month-midterm-exam">questionnaire </a>pour évaluer accaparement ou emprunt culturel.</p></br><p>Speaker: George Nicholas<br /></br>Event: SFU Public Square<br /></br>Date: April 2, 2014</p>;/p> <p>Speaker: George Nicholas<br /> Event: SFU Public Square<br /> Date: April 2, 2014</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/ihDoZ5dYapw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Self-management and integral cooperativism: an experiment of the community on the length scale.</p></br><p>A group of coop at Barquisimeto (northeastern Venezuela), totally self-managed. More than 1,200 workers, no leader, no manager, no hierarchical structure, a lot of participation, confidence and learning, constant rotation in all workplaces … and more</p></br><p>For more information, see the article in <a href="http://www.utopiasproject.lautre.net/reportages/article/venezuela" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.utopiasproject.lautre.net/</a>…</p></br><p>See CECOSESOLA web site</p></br><p><a href="http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA">http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA</a></p></br><p>See also the remixthecommons productions:</p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia">https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>-noel-vale-valera</a></p> <p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Very interesting video made with pictures by Julien Brygo and edited by Le Monde diplomatique, about the relations between poor and rich people in Glasgow, Scotland.</p></br><p>MSDS:</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>A photographic film by Julien Brygo<br /></br>Editing: Matthieu Parmentier and Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixing: Clément Chauvelle<br /></br>Jury Prize at the 2014 Festival Photographic Nights.</p></br><p>Photographic film directed <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow"> for the website of Le Monde diplomatique </ a><br /></br>This film is taken from the article « Living in a city rich poor », published in Le Monde diplomatique, August 2010: monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</a></p></br><p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p></br><p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>BRYGO/19565</a></p> <p>Screenings and debates: <a href="http://julienbrygo.com/actualite"> julienbrygo.com / actuality </ a></a></p> <p>To purchase the DVD, write to julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/ihDoZ5dYapw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Autogestion et coopérativisme integral : une expérience sur la durée à l’échelle de la communauté.</p></br><p>Coopérative de Barquisimeto (nord-est du Venezuela), au fonctionnement totalement autogestionnaire. Plus de 1200 travailleurs, aucun chef, aucun gérant, aucune structure hiérarchique, énormément de participation, de confiance et d’apprentissage, une rotation constante dans tous les postes de travail … et bien plus</p></br><p>Pour en savoir plus,</p></br><p>voir l’article écrit disponible sur. <a href="http://www.utopiasproject.lautre.net/reportages/article/venezuela" target="_blank" rel="noopener noreferrer">http://www.utopiasproject.lautre.net/</a>…</p></br><p>voir le site de CECOSESOLA</p></br><p><a href="http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA">http://www.cecosesolaorg.bugs3.com/index.php/publicaciones/experiencias-en-video?videoid=yejPDL6mKSA</a></p></br><p>voir aussi les vidéos produits par remixthecommons :<a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia">https://www.remixthecommons.org/?fiche=cecosesola-vivir-lo-comun-dia-a-dia</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-noel-vale-valera</a></p></br><p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>lt;/a></p> <p><a href="https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath">https://www.remixthecommons.org/?fiche=definir-les-communs-jorge-rath</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>This interview of Etienne Le Roy, made in Paris March 4, 2014, while presenting his work on land ownership synthesized in his book ‘The land of the other. An anthropology of land ownership schemes’ introduces us in the heart of anthropological paths of one of the founders of French anthropology of Law and awakens our curiosity to question otherwise, and by sharing with others, our world.</p></br><p>« The other is not a gap to fill. It is a fullness to discover. » Christoph Eberhard</p></br><p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/U4rDt0-pQG8" width="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>idth="800" height="450" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//player.vimeo.com/video/94640433" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p><a href="http://vimeo.com/94640433">Glasgow contre Glasgow</a> from <a href="http://vimeo.com/julienbrygo">Julien Brygo</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p></br><p>Voici un film photographique (un nouveau genre ?) très intéressant, réalisé par Brygo et publié par Le Monde diplomatique, sur les rapports entre les riches et les pauvres à Glasgow en Ecosse.</p></br><p>Fiche technique :</p></br><p>22 minutes – 2014<br /></br>Un film photographique de Julien Brygo<br /></br>Montage : Matthieu Parmentier et Sandrine Romet-Lemonne<br /></br>Mixage : Clément Chauvelle<br /></br>Prix du Jury au Festival Les Nuits Photographiques 2014.</p></br><p>Film photographique réalisé <a href="http://monde-diplomatique.fr/carnet/2014-05-22-Glasgow-contre-Glasgow">pour le site du Monde diplomatique</a><br /></br>Ce film est tiré de l’article « Vivre riche dans une ville de pauvres », paru dans Le Monde diplomatique d’août 2010 : monde-diplomatique.fr/2010/08/BRYGO/19565</p></br><p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p></br><p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>GO/19565</p> <p>Projections et débats : <a href="http://julienbrygo.com/actualite">julienbrygo.com/actualite</a></p> <p>Pour se procurer le DVD, écrire à julien-brygowanadoo.fr</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/iFGHar3m_rw" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>Pour Étienne Le Roy, l’anthropologie est la science de l’homme parce que fondamentalement science de l’autre. « J’ai souvent commenté cette observation de Jean-Jacques Rousseau dans son ‘Essai sur l’origine des langues’, que cite Claude Lévi-Strauss: ‘Quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin; il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés.’ Au sens de Jean-Jacques Rousseau, découvrir les propriétés, c’est mettre à jour les attributs de l’homme, les critères qui en fondent l’humanité dans leur plus grande généralité. Mais on ne pourra s’empêcher, dans un ouvrage consacré à l’appropriation de la terre et, pour une part, au régime de ‘propriété’ foncière, d’user de l’ambivalence de la dernière phrase (observer les différences pour découvrir les propriétés) et ainsi justifier un point de vue qui use d’un regard sur l’autre pour découvrir le sens que les hommes donnent, généralement mais aussi spécifiquement, au cas par cas, aux rapports de propriété. »</p></br><p>Étienne Le Roy « Le choix d’une démarche anthropologique pour traiter des régimes d’appropriation des terres et des ressources m’a conduit à plusieurs options de méthode et, en particulier, a obligé le lecteur à entrer dans l’étude du droit de propriété par la prise de conscience que cette forme juridique ne fait que traduire procéduralement une représentation du monde, de l’homme et de la nature originale et profondément liée à l’expérience de la modernité en Occident. Pour répondre à la vocation de l’anthropologie de réunir une connaissance valable pour l’ensemble du développement humain, il convenait de traiter analogiquement les autres civilisations et chercher derrière les réponses coutumières ou rituelles les représentations de l’espace qu’elles véhiculaient. »</p></br><p>Dans cette interview réalisée à Paris le 4 mars 2014, Étienne Le Roy, tout en présentant ses travaux sur les régimes d’appropriation foncière synthétisés dans son ouvrage ‘La terre de l’autre », nous introduit au coeur de l’anthropologie du droit francophone qu’il a participé à fondée et éveille notre curiosité de commoner sensible aux mécanismes juridiques et à ce qui les fait advenir dans la société d’interroger autrement, et dans le partage avec d’autres, le monde dans lequel nous vivons.</p></br><p>« L’autre n’est pas un vide à remplir. C’est une plénitude à découvrir. » Christoph Eberhard</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" src="//<p><iframe loading="lazy" src="//www.youtube.com/embed/a0J2gj80EVI?rel=0" width="400" height="225" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p></br><p>« Sans Lendemain », est un film d’animation sur l’exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles et leurs conséquences sur la vie humaine sur la planète. Il est réalisé par Dermot O’ Connor et produit par Incubate Pictures. en 35 minutes, il aborde de façon très intelligible toute une série de problématiques liées à la croissance de notre système économique et à notre façon de consommer.</p></br><p>Réalisation : Dermot O’ Connor (35 minutes, 2012).<a href="http://www.idleworm.com">http://www.idleworm.com</a><br /></br><a href="http://www.incubatepictures.com">http://www.incubatepictures.com</a> – <a href="http://www.angryanimator.com">http://www.angryanimator.com</a></p></br><p>Information et documentation sur le site <a href="http://sansLendemain.mpOC.be">http://sansLendemain.mpOC.be</a>.</p></br><p>Titre original étasunien : There’s no tomorrow.<br /></br><a href="https://www.youtube.com/redirect?q=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DVOMWzjrRiBg&redir_token=PRF4kw9bwKfWe7SJ5S33XwpWSiZ8MTQwMTM2NzY0MEAxNDAxMjgxMjQw">https://www.youtube.com</a></p></br><p>Version française 2013 due à l’initiative du groupe de Liège du mpOC, Mouvement politique des objecteurs de croissance (le mpOC n’est pas un parti politique).</p></br><p>Avec le soutien de :<br /></br>Amis de la Terre Belgique, ASPO.be (section belge de l’Association for the Study of Peak Oil and Gas), GRAPPE (Groupe de Réflexion et d’Action Pour une Politique Ecologique), IEW (Inter-Environnement Wallonie), Imagine demain le monde, mpOC.</p></br><p>Traduction : Francis Leboutte.<br /></br>Voix : Caroline Lamarche.<br /></br>Mixage voix : Margarida Guia.<br /></br>Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.</p>aduction : Francis Leboutte.<br /> Voix : Caroline Lamarche.<br /> Mixage voix : Margarida Guia.<br /> Sous-titres en néerlandais, allemand, anglais, français, espagnol et italien.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/7kBgo-z3iCM?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Rick Wolff: Cómo curarse del capitalismo El profesor Rick Wolff explica los motivos por los que el crecimiento ha adquirido tal protagonismo en nuestros sistemas políticos. La desigualdad es consecuencia de la forma en la que están organizadas las empresas. Asumiendo que pasamos una parte significativa de nuestras vidas en el trabajo, ¿qué pasaría si extendiéramos nuestro afán democrático al entorno laboral? ¿en qué cambiaría la sociedad si todas las empresas fueran más democráticas? ¿cuáles serían las implicaciones sociales y políticas de un cambio como este? Para saber más de Rick Wolff, visitad rdwolff.com/ Vídeo y edición de The extraenvironmentalist.com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /></br>http://bit.ly/1l9t6ba</p></br><p> </p>com: http://bit.ly/1jXN0mt<br /> http://bit.ly/1l9t6ba</p> <p> </p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Published Marsh 1st, 2012</p></br><p>Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a><br /></br>Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie</p></br><p>READ THE BOOK <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a></p></br><p>HELP ADD SUBTITLES <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a></p></br><p>Sacred Economics traces the history of money from ancient gift economies to modern capitalism, revealing how the money system has contributed to alienation, competition, and scarcity, destroyed community, and necessitated endless growth.</p></br><p>Today, these trends have reached their extreme – but in the wake of their collapse, we may find great opportunity to transition to a more connected, ecological, and sustainable way of being.</p></br><p>This short contains some visuals from the upcoming feature doc Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org<br /></br></a></p></br><p><strong>FULL CREDITS</strong></p></br><p>Directed & Edited by Ian MacKenzie<br /></br>Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill<br /></br>Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie<br /></br>Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy<br /></br>Music: Chris Zabriskie<br /></br>Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /></br>Stills: Kris Krug, NASA<br /></br>Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>dam Giangregorio, Brian Duffy<br /> Music: Chris Zabriskie<br /> Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /> Stills: Kris Krug, NASA<br /> Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="Sacred Economics with Charles Eisenstein - A Short Film" width="880" height="495" src="https://www.youtube.com/embed/EEZkQv25uEs?start=7&feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Publié le 1er mars 2012</p></br><p>Directed by Ian MacKenzie <a href="http://ianmack.com">http://ianmack.com</a><br /></br>Produced by Velcrow Ripper, Gregg Hill, Ian MacKenzie</p></br><p>Lire le livre <a href="http://sacred-economics.com">http://sacred-economics.com</a></p></br><p>Sous-titrage <a href="http://tinyurl.com/6qm37p9">http://tinyurl.com/6qm37p9</a></p></br><p>Sacred économics retrace l’histoire de l’argent de l’économie du don au capitalisme moderne, révélant comment le système monétaire a contribué à l’aliénation, par la concurrence et la rareté, et par la destruction de la communauté, et la nécessité d’une croissance sans fin.</p></br><p>Aujourd’hui, ces tendances ont atteint leur paroxysme – mais dans le sillage de la crise, on peut trouver de belles occasions de faire la transition vers une façon plus interactive, écologique et durable d’être.</p></br><p>Ce court métrage contient quelques visuels de Occupy Love <a href="http://occupylove.org">http://occupylove.org</a></p></br><p><strong>CREDITS COMPLETS</strong></p></br><p>Directed & Edited by Ian MacKenzie<br /></br>Producers: Ian MacKenzie, Velcrow Ripper, Gregg Hill<br /></br>Cinematography: Velcrow Ripper, Ian MacKenzie<br /></br>Animation: Adam Giangregorio, Brian Duffy<br /></br>Music: Chris Zabriskie<br /></br>Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /></br>Stills: Kris Krug, NASA<br /></br>Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p> Chris Zabriskie<br /> Additional footage: Steven Simonetti, Pond 5, Youtube<br /> Stills: Kris Krug, NASA<br /> Special thanks: Charles Eisenstein, Stella Osorojos, Hart Traveller, Clara Roberts-Oss, Line 21 Media</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" title="<p><iframe loading="lazy" title="The London Orchard Project" src="https://player.vimeo.com/video/9785112?h=7e9899600f&dnt=1&app_id=122963" width="880" height="495" frameborder="0" allow="autoplay; fullscreen; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></p></br><p> </p></br><p><a href="http://www.vimeo.com/9785112#?pg=embed&sec=9785112#">The London Orchard Project on Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p> Vimeo </a> via <a href="https://vimeo.com/9785112#">The London Orchard Project on Vimeo</a>.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/O_pKnP-2mOQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>75% of Mali’s population are farmers, but rich, land-hungry nations like China and Saudi Arabia are leasing Mali’s land in order to turn large areas into agribusiness farms. Many Malian peasants do not welcome these efforts, seeing them as yet another manifestation of imperialism. As Mali experiences a military coup, the developers are scared off – but can Mali’s farmers combat food shortages and escape poverty on their own terms?</p></br><p>How do you feed the world? To find out more and get teaching resources, go to <a href="http://www.whypoverty.net">www.whypoverty.net</a></p></br><p>Director Hugo Berkeley & Osvalde Lewat<br /></br>Producer Eli Cane<br /></br>Produced by Normal Life Pictures<br /></br><a href="http://www.whypoverty.net/en/video/31/">Why Poverty?</a><br /></br>Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /></br>ITVS</p>a><br /> Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /> ITVS</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>La RFUK et la MEFP, en collaboration avec le réalisateur Luis Leitao, ont lancé un nouveau film sur la manière dont les BaAka de la forêt tropicale de République Centrafrique font entendre leurs voix à travers la cartographie participative.</p></br><p>Afin de sensibiliser le public aux problèmes rencontrés par les communautés autochtones des forêts du bassin du Congo, et au rôle que la cartographie participative peut jouer dans la résolution de ces difficultés, la RFUK et l’ONG centrafricaine « Maison de l’Enfant et de la Femme Pygmées » (MEFP) ont produit un film de 30 minutes intitulé « Ndima — Les cartes de notre futur ». « Ndima », qui signifie « forêt » en BaAka, raconte la manière dont les communautés autochtones BaAka de la République centrafricaine ont utilisé la cartographie pour appuyer leurs revendications relatives à l’accès et à l’utilisation de leurs terres traditionnelles. Le film met en évidence ces enjeux dans le cas d’une aire protégée.</p></br><p>Le film s’adresse au tout public tant au « Nord » que dans le bassin du Congo – mais soulève également des questions importantes pour les décideurs, concernant les besoins et le rôle potentiel des premiers gardiens de la forêt dans les efforts de conservation au sens large.</p></br><p>Durée : 28mins<br /></br>Publiée le 2 juil. 2013<br /></br>Licence : Licence YouTube standard</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. We work in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit our website and watch our clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="560" height="315" src="//www.youtube.com/embed/6t0csmTRkck" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Les questions sur la «propriété» ou sur le droit de bénéficier de l’héritage indigène sont au cœur des débats politiques, économiques et éthiques en cours aux niveaux local, national et international.</p></br><p>Quand il s’agit de la recherche dans ce domaine, la vision des peuples autochtones sur la façon dont les études relatives à leur patrimoine sont gérés, est généralement peu prise en compte. De plus en plus cependant, des efforts sont faits pour décoloniser les pratiques de recherche en favorisant des relations plus équitables entre les chercheurs et les peuples autochtones, fondées sur la confiance mutuelle et la collaboration.</p></br><p>Dans cette présentation, George Nicholas critique les débats sur la «propriété» du patrimoine autochtone et fournit des exemples de nouvelles pratiques de recherche qui sont à la fois plus éthiques et plus efficaces. Ces modèles de recherche en collaboration, dans lesquels la communauté mène la recherche, mettent en évidence de nouvelles orientations importantes dans la protection du patrimoine des peuples autochtones.</p></br><p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>t;p><a href="http://bit.ly/1gYJW7Y">Intellectual Property Issues in Cultural Heritage</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="400" height="225" src="//www.youtube.com/embed/O_pKnP-2mOQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>L’Afrique produit 10 pour cent de moins de nourriture qu’en 1960. Avec la montée de la monoculture et de la production alimentaire mondialisée, le paysage du continent est en train de changer et menace sa capacité de se nourrir. Au Mali, un plan américain pour une vaste opération de production de canne à sucre sur les rives du fleuve Niger menace les producteurs de riz à petite échelle qui ont nourri leurs communautés pendant des générations.</p></br><p>Comment nourrir le monde ? Pour en savoir plus et obtenir des ressources pédagogiques, aller à <a href="http://www.whypoverty.net">www.whypoverty.net</a></p></br><p>Director Hugo Berkeley & Osvalde Lewat<br /></br>Producer Eli Cane<br /></br>Produced by Normal Life Pictures<br /></br><a href="http://www.whypoverty.net/en/video/31/">Why Poverty?</a><br /></br>Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /></br>ITVS</p>overty?</a><br /> Musique : « The River Tune » de Bassekou Kouyate + Ngoni ba (Google Play • iTunes • eMusic)<br /> ITVS</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth is a social entrepreneur based in Harare, Zimbabwe. She is telling On the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p> the Up the story of Kafunda Village, a learning centre in Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="600" height="338" src="//www.youtube.com/embed/rDi6i1Q1IJ4?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen></iframe><br /></br>The RFUK and MEFP, in collaboration with the director Luis Leitao, have launched a new film on the way BaAka rainforest of Central African Republic make their voices heard through participatory mapping.</p></br><p>The Rainforest Foundation UK’s mission is to support indigenous peoples and traditional populations of the world’s rainforest in their efforts to protect their environment and secure their rights to land, life and livelihood. Locally it helps forest communities to gain land rights, challenge logging companies and manage forests for their own wellbeing and protection of their environment. Globally it campaigns to influence national and international laws to protect rainforests and their inhabitants. It works in close collaboration with local partners and communities across Central Africa and the Peruvian Amazon.</p></br><p>Visit the website and watch the clips to learn more about the places we work and the people who live there.</p></br><p>http://ift.tt/1i26pnE<br /></br>http://ift.tt/1h4RB4W<br /></br>http://twitter.com/RFUK</p></br><p>RainforestFoundationUK.org<br /></br>http://ift.tt/yH3fTM </p></br><p>MappingForRights.org<br /></br>http://ift.tt/UB6kej<br /></br>http://ift.tt/1i26pnG</p>lt;br /> http://ift.tt/yH3fTM </p> <p>MappingForRights.org<br /> http://ift.tt/UB6kej<br /> http://ift.tt/1i26pnG</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><iframe loading="lazy" width="<p><iframe loading="lazy" width="420" height="315" src="//www.youtube.com/embed/KCbLh34Qhhk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></p></br><p>Marianne Knuth est une entrepreneur sociale basée à Harare, Zimbabwe. Elle raconte l’histoire de On the Up Village Kafunda, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>da, un centre d’apprentissage communautaire au Zimbabwe.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p><img decoding="async" loading=<p><img decoding="async" loading="lazy" class="aligncenter size-full wp-image-4963" src="https://www.remixthecommons.org/wp-content/uploads/2019/07/pla_barcelona_digital_city_in-2.jpg" alt="" width="600" height="300"><br /></br>Aux dernières élections  de mai,  Barcelone en Commun a fait alliance avec le Parti socialiste Catalan pour former un nouveau gouvernement municipal avec un programme commun et Ada Colau a été réélue  pour un autre mandat de 4 ans. Le premier mandat 2015-2019 s’est  effectué avec un gouvernement minoritaire et  dans un contexte régional et national politiquement et idéologiquement peu propice au développement d’un «  nouveau municipalisme des communs » et d’« une autre manière de faire de la politique»  dont se réclamait Barcelona en Comù. L’heure est au bilan et, bien sûr, beaucoup auront à dire sur les réalisations effectuées en les comparant au  programme initial. Mais quand on voit d’une part les réalisations concrètes qui dépassent souvent  ou questionnent les compétences d’une municipalité  (logement, mobilité, revenu  civique, santé, immigration, tourisme, féminisation de la politique, souveraineté énergétique  et technologique, etc.) et d’autre part ce qui a été mis en place pour transformer la relation entre l’institution, les mouvements sociaux et les assemblées de quartiers dans la transparence et la recherche de co-production de politiques, on peut affirmer que le bilan est globalement positif.</p></br><p>Le mouvement des communs et les tenants d’un nouveau municipalisme ne peuvent que se féliciter que, grâce à une coalition de mouvements sociaux qui a eu le courage (et il en faut) d’investir  une institution aux pratiques imprégnées de néo- libéralisme et dans une logique de partis souvent éloignée des besoins et réalités des résidents,  Barcelone demeure un des laboratoires des communs urbains les plus dynamiques et un modèle auquel se référer.</p></br><p>Le <a href="https://ajuntament.barcelona.cat/digital/sites/default/files/pla_barcelona_digital_city_in.pdf">bilan du plan numérique</a> mis en place au cours du premier mandat que l’on propose ici est caractéristique des réalisations, du cheminement critique et de la créativité de ce laboratoire.</p></br><p>Voici comment la ville y résume les principes de son action :</p></br><blockquote></br><ul></br><li>S’imposer comme une référence mondiale en tant que ville des communs et de la production collaborative.</li></br><li>Mettre fin à la privatisation et au transfert des actifs publics au secteur privé, tout en encourageant la re-municipalisation des infrastructures urbaines critiques.</li></br><li>Réduire massivement le coût des services de base tels que le logement, les transports, l’éducation et la santé, afin d’aider les couches les plus précaires de la population.</li></br><li>Instituer un revenu de base des citoyens axé sur la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale</li></br><li>Construire des modèles de l’économie guidés par les données, avec des intrants réels (en utilisant des analyses de données en temps réel) afin que la démocratie participative puisse modéliser des décisions complexes.</li></br><li>Préférer et promouvoir les organisations collaboratives plutôt que les solutions centralisées de l’État et du marché (augmenter la proportion des investissements du budget public dans les PME innovantes et le secteur coopératif).</li></br><li>Construire le patrimoine commun de données de la ville : décréter que les données de la population générées dans le cadre de l’utilisation des services publics ne peuvent être la propriété des opérateurs de services.</li></br></ul></br></blockquote></br><p>Ces principes s’incarnent dans un programme d’actions dont ce document détaille les effets. À coté des emblématiques 13 000 propositions politiques qui émanent des habitants, dont 9,245 (72%) ont été acceptées, on relève par exemple les 126 cas de corruption dénoncés à travers la boite courriel de la transparence (Transparency mailbox) depuis 2017 ou la prise en compte de la différence des genres dans le programme STEAM d’éducation et de formation technologique .</p></br><p>Enfin, Barcelone, ici comme dans d’autres domaines, s’appuie et renforce les réseaux de villes. Elle a initié – avec New-York et Amsterdam – la Coalition des villes pour les droits numériques et lancé la campagne « 100 villes en 100 jours »pour défendre 5 principes de politique numérique :</p></br><blockquote></br><ul></br><li>l’accès égal et universel à l’Internet et à la culture numérique</li></br><li>la protection de la vie privée et la sécurité des données</li></br><li>la transparence, la responsabilité et la non-discrimination dans l’usage les données, les contenus et les algorithmes</li></br><li>la démocratie participative, la diversité et l’inclusion</li></br><li>l’ouverture des services numériques et des normes éthiques</li></br></ul></br></blockquote></br><p>Les villes de la Coalition développent des feuilles de route, lois, outils, actions et ressources communes pour protéger les droits numériques des résidents et des visiteurs.</p></br><p><strong>Alain Ambrosi et Frédéric Sultan</strong></p></br><p><em>Pour un bilan plus exhaustif voir le bilan secteur par secteur sur le <a href="https://barcelonaencomu.cat/es">site de Barcelone en Commun (en espagnol)</a> ou bien l’actualité sur le <a href="https://ajuntament.barcelona.cat/en/">site de la mairie de Barcelone (en anglais) </a>.</em></p><a href="https://barcelonaencomu.cat/es">site de Barcelone en Commun (en espagnol)</a> ou bien l’actualité sur le <a href="https://ajuntament.barcelona.cat/en/">site de la mairie de Barcelone (en anglais) </a>.</em></p>)
  • Chargement/Site  + (<p><span style="color: #000000;"&<p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Alain Ambrosi</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Avant même le dénouement de la crise dans laquelle se trouvent les Catalans après l’ultimatum lancé par le gouvernement espagnol, il est important de faire circuler dans l’écosystème des communs la tournure des événements en Catalogne et la position que prennent les organismes, institutions et associations catalanes qui se réclament des communs.</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Rappelons les faits : après avoir réprimé violemment les manifestations pacifiques des Catalans partisans de la tenue d’un référendum qu’ils soient pour ou contre l’indépendance, le gouvernement de Mariano Rajoy vient d’emprisonner Jordi Sànchez et Jordi Cuixart sous l’accusation de sédition pour avoir appelé à ces manifestations pacifiques. Par ce geste, le gouvernent espagnol viole les droits fondamentaux d’expression et de manifestation consignés dans la Déclaration des droits de l’homme en 1948 et reproduits depuis dans nombre de conventions dont celle de l’Europe sur la Protection des droits humains et des libertés fondamentales de 1950. Cette escalade dans la répression de revendications pacifiques dans un cadre démocratique est appuyée sans hésitations par les partis espagnols de droite (Parti Populaire) et de centre droit (Ciudadanos) et les sociaux démocrates du PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol) ce qui présage mal pour la suite des événements qui, selon l’Article 155 de la constitution, pourrait mettre fin au statut d’autonomie de la Catalogne.</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Sans être indépendantistes ni pour la tenue d’un référendum unilatéral, Barcelona en Comù (l’organisation de la maire de Barcelone Ada Colau minoritaire au conseil de ville de Barcelone depuis 2015) et Catalunya en Comù (le nouvel espace politique catalan créé en avril de cette année) avaient appelé, au nom du « droit  à décider », à la mobilisation populaire lors du référendum du 1er octobre et aux manifestations pacifiques qui l’ont précédé et suivi. Après l’arrestation des deux dirigeants indépendantistes, les deux organisations ont annulé leurs activités courantes et </span></span></span><a href="https://www.barcelonaencomu.cat/ca/premsa/barcelona-en-comu-considera-un-atac-gravissim-la-democracia-i-als-drets-basics-lempresonament"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>ont condamné vertement</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"> ce geste anti-démocratique et appelé la population à se joindre aux manifestations pacifiques prévues le 17 octobre. Le communiqué de Catalunya en Comù l’exprime ainsi : </span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Il est absolument intolérable dans toute démocratie d’emprisonner des représentants de la société civile pour leurs idées politiques et des manifestations pacifiques. Nous exigeons la liberté immédiate de ceux qui sont désormais des prisonniers politiques et demandons à toutes les forces politiques de ne pas être complices de cette attaque aux libertés fondamentales. Nous appelons à participer aux manifestations d’aujourd’hui [heures et lieux].</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">De nombreuses autres organisations de la société civile se joignent à cette position dont en particulier le Réseau de l’Économie Solidaire (</span></span></span><a href="http://xes.cat/2017/10/17/comunicat-rebuig-detencio-dels-presidents-lanc-omnium/"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>Xarxa de Economia Solidaria</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">) qui est partie prenante de l’économie coopérative en plateforme dans l’écosystème catalan des communs aux côtés de la mairie de Barcelone.</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">De son côté, la mairie de Barcelone publie </span></span></span><a href="http://eldigital.barcelona.cat/es/declaracion-institucional-de-rechazo-al-encarcelamiento-de-jordi-sanchez-y-jordi-cuixart_563009.html"><span style="font-size: large;">une déclaration institutionnelle</span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"> condamnant les arrestations et appelant la population à manifester pacifiquement. Il est à noter que cette déclaration est signée par tous les partis sauf les  partis de droite et centre droit (Parti Populaire, Ciudadanos) ainsi que le PSC Parti socialiste Catalan – qui en prenant cette position confirme son alignement sur le PSOE national et met en question l’appui qu’il donnait à Barcelona en Comù au sein de la municipalité.</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Au lendemain des impressionnantes manifestations aux chandelles effectuées dans le calme pour la libération des deux accusés, une nouvelle coalition vient de se former pour coordonner les manifestations pacifiques. Sous le nom de </span></span></span><a href="https://www.vilaweb.cat/noticies/neix-en-peu-de-pau-una-iniciativa-per-coordinar-les-mobilizaciones-pacifiques/"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>« En Peu de Pau »</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">  (littéralement « En pied de paix »), ce regroupement initié par douze organismes réunit des entités qui vont des Collectifs de pompiers aux Universités pour la démocratie. Il inclut également les deux organisations des accusés, l’ANC et Omnium Cultural. Dans la présentation, la philosophe Marina Garces, connue entre autres pour ses écrits et son engagement sur les Communs, voit cette nouvelle initiative comme « un espace d’intelligence collective basé sur la confiance contre le mécanisme de la peur ».</span></span></span></p></br><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">Pour vous donner une idée de la répression et de l’attitude des manifestants, je propose la </span></span></span><a href="https://www.vilaweb.cat/noticies/a-video-denounces-spains-authoritarianism-help-catalonia-save-europe/"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>un vidéo</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"> qui donne une idée de la répression et de l’attitude des manifestants. Il est réalisé par </span></span></span><a href="https://en.wikipedia.org/wiki/Òmnium_Cultural"><span style="color: #386eff;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;"><u>Omnium Cultural</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">, l’organisation dirigée Jordi Cuixart. Omnium est une organisation culturelle qui promeut la culture et la langue </span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">catala</span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">nes depuis 1960. Elle n’est devenue indépendantiste qu’en 2012. Si Rajoy continue sa répression aveugle, il va convertir à l’indépendantisme beaucoup d’autres organisations et individus aujourd’hui non partisans d’une révision de la constitution espagnole et d’une république catalane associée ou non avec l’Espagne.</span></span></span></p>: large;"><u>Omnium Cultural</u></span></span></span></a><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">, l’organisation dirigée Jordi Cuixart. Omnium est une organisation culturelle qui promeut la culture et la langue </span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">catala</span></span></span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: Times New Roman,serif;"><span style="font-size: large;">nes depuis 1960. Elle n’est devenue indépendantiste qu’en 2012. Si Rajoy continue sa répression aveugle, il va convertir à l’indépendantisme beaucoup d’autres organisations et individus aujourd’hui non partisans d’une révision de la constitution espagnole et d’une république catalane associée ou non avec l’Espagne.</span></span></span></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Après la première<a href="http<p>Après la première<a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article115"> rencontre à Dakar dans le cadre d’</a><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://www.ker-thiossane.org/spip.php?article115">Afropixe</a>l</span>, « A l’école des Communs » était un nouveau rendez-vous pour et avec Remix Biens Communs. Cela a été l’occasion de faire évoluer le projet d’oeuvre collaborative multimédia, et de le déployer comme une infrastructure du mouvement des biens communs au service d’un projet à Montréal.</p></br><p>« A l’école des communs » est une rencontre qui a pour objectif d’attirer, les commoners, remixers, créateurs, activistes, médiateurs et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement des synergies entre les projets de médiation et d’appropriation des biens communs. L’ouverture des initiatives, des projets, de l’échange des idées et le partage de ressources, d’outils, de formats de documentation permet d’irriguer les pratiques des biens communs.</p></br><p>Cette rencontre a créé l’opportunité d’échanges à la fois entre locaux et à l’échelle internationale. Cela a produit un effet d’entraînement et de stimulation sur les groupes de commoners présents, dont on peut espérer un effet d’enrichissement des pratiques elles-mêmes. Elle avait adopté des formes de travail actives, pour  définir les biens communs à la fois à travers les témoignages des personnes qui sont investies dans des pratiques, et les contributions des chercheurs qui étudient le sujet.</p>i étudient le sujet.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La Charte de la Forêt – <a hre<p>La Charte de la Forêt – <a href="http://www.nationalarchives.gov.uk/education/resources/magna-carta/charter-forest-1225-westminster/">Carta de Foresta</a> – publiée en 1217, est reconnue comme le premier acte officiel qui étend les protections et les droits essentielles de la <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Magna_Carta">Magna Carta</a> aux commoners anglais contre les abus de l’aristocratie. En vertu de cette charte, le peuple se voit garantir le droit l’accès aux ressources des forêts. L’impact de cette charte a été révolutionnaire. Elle est généralement considérée comme une des pierres angulaires de la Constitution Britannique et <a href="https://www.americanbar.org/groups/public_services/law_library_congress/charter_of_the_forest.html">inspiration de la Constitution Américaine</a>. Elle a permi de rendre de vastes étendues de terres aux paysans, de s’opposer au pillage des biens communs par la monarchie et l’aristocratie. Au 17ème siècle, elle inspire les Diggers et les Levellers et par la suite les protestations contre l’enclosure des terres par la bourgeoisie capitaliste. Mais elle sera abrogée en 1971, par un gouvernement conservateur, permettant ainsi la privatisation de ressources comme l’eau au bénéfice d’entreprises multinationales.</p></br><p>Aujourd’hui, les forêts demeurent des ressources essentielles pour l’habitat, la souveraineté alimentaire, et sont essentielles pour lutter contre les crises environnementales. Une <a href="http://charteroftheforest800.org/">campagne</a> de célébration de la Charte de la Forêt a commencé en Grande Bretagne au mois de Septembre et se poursuit en Novembre. La Lincoln Record Society a organisé une conférence internationale sur la Charte de la Forêt qui a débuté par un voyage en péniche sur la Tamise de Windsor à Runnymede, lieu de signature de la Magna Carta. Des experts ont présenté la Charte de la Forêt, son histoire et ses implications contemporaines. Les participants ont également pu voir l’un des exemplaires originaux et participer à une visite guidée de la Forêt de Sherwood que nous connaissons à travers l’histoire de Robin des Bois.</p></br><p>Aujourd’hui même, 7 novembre, se déroule un débat présidé par John McDonnell, Député et soutien de Jeremy Corbyn, les professeurs Peter Linebaugh et Guy Standing, et Julie Timbrell de <a href="https://thenewputneydebates.com/">New Putney Debates</a>. Ce débat fait parti d’un <a href="http://charteroftheforest800.org/november-2017/">programme </a> étalé sur une semaine qui appelle à la création d’un nouveau <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domesday_Book">Domesday Book</a>, un recensement national des propriétaires terriens britanniques et l’identification des communs ainsi qu’à une nouvelle Charte des communs et des Chartes locales. Il s’agit d’interroger la notion de propriété foncière dans un pays où elle est l’une des plus concentrée des pays occidentaux et d’élaborer des propositions politiques, y compris à travers une taxe sur la propriété foncière, pour une meilleure répartition des droits et des responsabilités sur les terres,</p></br><p>Merci à Yves Otis de m’avoir signalé l’article <a href="https://www.nakedcapitalism.com/2017/11/youve-never-heard-charter-important-magna-carta.html">Why You’ve Never Heard of a Charter as Important as the Magna Carta </a></p></br><p>Transcription de la Charte de la Forêt : <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La Charte de la Forêt – <a hre<p>La Charte de la Forêt – <a href="http://www.nationalarchives.gov.uk/education/resources/magna-carta/charter-forest-1225-westminster/">Carta de Foresta</a> – publiée en 1217, est reconnue comme le premier acte officiel qui étend les protections et les droits essentielles de la <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Magna_Carta">Magna Carta</a> aux commoners anglais contre les abus de l’aristocratie. En vertu de cette charte, le peuple se voit garantir le droit l’accès aux ressources des forêts. L’impact de cette charte a été révolutionnaire. Elle est généralement considérée comme une des pierres angulaires de la Constitution Britannique et <a href="https://www.americanbar.org/groups/public_services/law_library_congress/charter_of_the_forest.html">inspiration de la Constitution Américaine</a>. Elle a permi de rendre de vastes étendues de terres aux paysans, de s’opposer au pillage des biens communs par la monarchie et l’aristocratie. Au 17ème siècle, elle inspire les Diggers et les Levellers et par la suite les protestations contre l’enclosure des terres par la bourgeoisie capitaliste. Mais elle sera abrogée en 1971, par un gouvernement conservateur, permettant ainsi la privatisation de ressources comme l’eau au bénéfice d’entreprises multinationales.</p></br><p>Aujourd’hui, les forêts demeurent des ressources essentielles pour l’habitat, la souveraineté alimentaire, et sont essentielles pour lutter contre les crises environnementales. Une <a href="http://charteroftheforest800.org/">campagne</a> de célébration de la Charte de la Forêt a commencé en Grande Bretagne au mois de Septembre et se poursuit en Novembre. La Lincoln Record Society a organisé une conférence internationale sur la Charte de la Forêt qui a débuté par un voyage en péniche sur la Tamise de Windsor à Runnymede, lieu de signature de la Magna Carta. Des experts ont présenté la Charte de la Forêt, son histoire et ses implications contemporaines. Les participants ont également pu voir l’un des exemplaires originaux et participer à une visite guidée de la Forêt de Sherwood que nous connaissons à travers l’histoire de Robin des Bois.</p></br><p>Aujourd’hui même, 7 novembre, se déroule un débat présidé par John McDonnell, Député et soutien de Jeremy Corbyn, les professeurs Peter Linebaugh et Guy Standing, et Julie Timbrell de <a href="https://thenewputneydebates.com/">New Putney Debates</a>. Ce débat fait parti d’un <a href="http://charteroftheforest800.org/november-2017/">programme </a> étalé sur une semaine qui appelle à la création d’un nouveau <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Domesday_Book">Domesday Book</a>, un recensement national des propriétaires terriens britanniques et l’identification des communs ainsi qu’à une nouvelle Charte des communs et des Chartes locales. Il s’agit d’interroger la notion de propriété foncière dans un pays où elle est l’une des plus concentrée des pays occidentaux et d’élaborer des propositions politiques, y compris à travers une taxe sur la propriété foncière, pour une meilleure répartition des droits et des responsabilités sur les terres,</p></br><p>Merci à Yves Otis de m’avoir signalé l’article <a href="https://www.nakedcapitalism.com/2017/11/youve-never-heard-charter-important-magna-carta.html">Why You’ve Never Heard of a Charter as Important as the Magna Carta </a></p></br><p>Transcription de la Charte de la Forêt : <a href="http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html">http://www.constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>constitution.org/eng/charter_forest.html</a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La Rencontre »A l’école des Commu<p>La Rencontre »A l’école des Communs » a pour objectif d’attirer les créateurs, activistes et utilisateurs des biens communs de tout calibre, afin de favoriser le dialogue entre ces groupes, et permettre le développement et l’appropriation des biens communs. Cela permet de contribuer à la compréhension, à la recherche et à la défense des biens communs.</p></br><p>Organisé par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l’UQÀM, l’événement À l’école des communs, qui s’est déroulé les 2 et 3 novembre 2012, était le premier du projet. Les participants et participantes présents ont eu l’occasion d’échanger sur les prérequis politiques, légaux, économiques et culturels nécessaires à l’émergence et au développement d’une économie des communs, le tout en présence d’invités internationaux Michel Bauwens fondateur de la fondation P2P et Lionel Maurel, aka Calimaq, fondateur de Savoircom1 et de leurs homologues québécois Ianick Marcil, économiste indépendant, et Stéphane Guidoin, de NordOuvert.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>A l’école des communs se structure autour de rencontres à géométrie vaviable. Une prochaine rencontre devrait être programmée à l’automne 2013.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Le projet est est conduit par Alain Ambrosi, soutenu par l’équipe de Communautique et Frédéric Sultan.</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet bénéficie du soutien financier de la l’Organisation Internationale de la Francophone à travers Remix Biens Communs.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs s’est déployé comme une infrastructure au service du projet à Montréal. Le réseau a fonctionner pour mobiliser ressources et intervenants. Les documents médiatiques ont été produits. Une expérimentation de retranscription a été réalisée.</p>ants. Les documents médiatiques ont été produits. Une expérimentation de retranscription a été réalisée.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La destruction violente des commu<p>La destruction violente des communs de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes par le gouvernement français est un acte infâme et révoltant. L’actuelle offensive policière, menée par plusieurs milliers de gendarmes et de CRS, avec engins blindés et hélicoptères n’est que l’exercice de la violence étatique la plus pure contre un ensemble de pratiques collectives en cours ou en gestation, dont les fragiles conditions matérielles (bâtiments, lieux de réunion, outils de travail, troupeaux) sont anéanties par les bulldozers et les escouades policières. </p></br><p>Dès la première journée d’assaut contre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes la destruction de la ferme des «cents noms» constituait une véritable déclaration de guerre sociale et politique. La destruction de ce lieu ne s’imposait nullement au regard des critères invoqués par le gouvernement dans sa «communication». Nicole Klein, préfète des pays de Loire, justifie l’opération policière en prétendant que les «cents noms» n’avaient pas déposé de projet agricole. Ce qui est de toute évidence faux : les habitants de cette ferme étaient porteurs d’un projet agricole alternatif et certains d’entre eux avaient déposé une demande de régularisation. </p></br><p>Quelle est la véritable raison de cette rage destructrice? Ce n’est pas l’absence de projet, c’est la nature des projets qui est en cause. Ce que ne supportent pas l’Etat et ses représentants c’est que s’expérimentent depuis 10 ans des formes de vie qui préfigurent ici et maintenant ce que pourrait être une société libérée de l’emprise de la logique propriétaire sous toutes ses formes. De ce point de vue, il est de la plus haute valeur symbolique que les habitants et défenseurs de<br /></br>la zone aient proposé dès le début que l’Assemblée des usages<br /></br> prenne en charge la gestion collective des terres et des espaces. Cette solution présentait l’avantage de prolonger directement l’expérience initiée et poursuivie durant tant d’années: faire prévaloir la logique de l’usage commun, qui est une logique de soin et d’entretien, sur la logique propriétaire, qui est une logique destructrice et mortifère.</p></br><p>Ce n’est pas «l’État de droit» qui se défend, comme le soutient le premier Ministre, c’est un État de force qui veut éliminer le plus vite et le plus complètement possible tout ce qui pourrait relever du principe en acte du commun: associations, coopératives de consommation et de production, projets agricoles et artisanaux, modes d’échange et de vie conviviaux. L’État veut empêcher par ses moyens policiers démesurés ce qui est une véritable invention dans la manière de produire et de vivre, il veut faire table rase d un modèle de vie collective et écologique dont nous avons besoin aujourd’hui. </p></br><p>L’Etat apparaît ici sous son vrai visage: il n’est pas simplement le garant de la propriété privée, il est lui-même soumis de fond en comble à la logique propriétaire, il est l’Etat propriétaire en guerre contre les communs. Il faut lui faire échec coûte que coûte pour préserver le trésor menacé<br /></br>des communs.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot et Christian Laval</strong></p></br><p>Publication originale : 12/04/2018, <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>lence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La destruction violente des commu<p>La destruction violente des communs de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes par le gouvernement français est un acte infâme et révoltant. L’actuelle offensive policière, menée par plusieurs milliers de gendarmes et de CRS, avec engins blindés et hélicoptères n’est que l’exercice de la violence étatique la plus pure contre un ensemble de pratiques collectives en cours ou en gestation, dont les fragiles conditions matérielles (bâtiments, lieux de réunion, outils de travail, troupeaux) sont anéanties par les bulldozers et les escouades policières. </p></br><p>Dès la première journée d’assaut contre la ZAD de Notre-Dame-des-Landes la destruction de la ferme des «cents noms» constituait une véritable déclaration de guerre sociale et politique. La destruction de ce lieu ne s’imposait nullement au regard des critères invoqués par le gouvernement dans sa «communication». Nicole Klein, préfète des pays de Loire, justifie l’opération policière en prétendant que les «cents noms» n’avaient pas déposé de projet agricole. Ce qui est de toute évidence faux : les habitants de cette ferme étaient porteurs d’un projet agricole alternatif et certains d’entre eux avaient déposé une demande de régularisation. </p></br><p>Quelle est la véritable raison de cette rage destructrice? Ce n’est pas l’absence de projet, c’est la nature des projets qui est en cause. Ce que ne supportent pas l’Etat et ses représentants c’est que s’expérimentent depuis 10 ans des formes de vie qui préfigurent ici et maintenant ce que pourrait être une société libérée de l’emprise de la logique propriétaire sous toutes ses formes. De ce point de vue, il est de la plus haute valeur symbolique que les habitants et défenseurs de<br /></br>la zone aient proposé dès le début que l’Assemblée des usages<br /></br> prenne en charge la gestion collective des terres et des espaces. Cette solution présentait l’avantage de prolonger directement l’expérience initiée et poursuivie durant tant d’années: faire prévaloir la logique de l’usage commun, qui est une logique de soin et d’entretien, sur la logique propriétaire, qui est une logique destructrice et mortifère.</p></br><p>Ce n’est pas «l’État de droit» qui se défend, comme le soutient le premier Ministre, c’est un État de force qui veut éliminer le plus vite et le plus complètement possible tout ce qui pourrait relever du principe en acte du commun: associations, coopératives de consommation et de production, projets agricoles et artisanaux, modes d’échange et de vie conviviaux. L’État veut empêcher par ses moyens policiers démesurés ce qui est une véritable invention dans la manière de produire et de vivre, il veut faire table rase d un modèle de vie collective et écologique dont nous avons besoin aujourd’hui. </p></br><p>L’Etat apparaît ici sous son vrai visage: il n’est pas simplement le garant de la propriété privée, il est lui-même soumis de fond en comble à la logique propriétaire, il est l’Etat propriétaire en guerre contre les communs. Il faut lui faire échec coûte que coûte pour préserver le trésor menacé<br /></br>des communs.<br /></br><strong><br /></br>Pierre Dardot et Christian Laval</strong></p></br><p>Publication originale : 12/04/2018, <a href="http://questionmarx.typepad.fr/question-marx/2018/04/nddl-non-a-la-violence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>lence-de-letat-contre-les-communs-.html" rel="noopener noreferrer" target="_blank">NDDL : NON A LA VIOLENCE DE L’ETAT CONTRE LES COMMUNS ! </a></p>)
  • Chargement/Site  + (<p>La démarche des <a href="https<p>La démarche des <a href="https://wiki.remixthecommons.org/index.php/Petit_d%C3%A9jeuner_en_commun_(Coll)">petits déjeuners en commun</a> à été lancée par le centre d’art sénégalais Kër Thiossane au Sénégal et l’organisation Communautique au Québec, dans le cadre du projet Remix Biens Communs.</p></br><p>Nés dans une dynamique de recherche à propos des définitions endogènes des biens communs, les petits déjeuners en commun constituent des occasions pour réfléchir ensemble à ce que signifient les biens communs à partir d’une approche artistique. Le but des ces rencontres célébrées aussi bien à Dakar, qu’à Montréal, est de non seulement de « comprendre », mais aussi de sentir la signification qui existe entre mon « je » et le « nous » d’une démarche collective. Une expérience sensible qui permet de bâtir des récits capables de redonner du sens au fait de vivre ensemble. Des récits qui maintiennent la communauté en mouvement pour donner du sens à sa propre existence et à sa propre lutte.</p></br><h2>Prémices Dakar</h2></br><p>A partir de janvier 2012, à Dakar, dans un contexte pré-électoral violent, en pleine remise en question de la constitution et de prise de conscience citoyenne dans tout le Sénégal, Kër Thiossane a commencé à explorer un chantier autour des biens communs, en organisant, à raison d’une fois par mois, un cycle de Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><p>Trois Petit-Déjeuner en-Commun ont été organisés entre janvier et avril 2012 sur le thème « Les biens communs dans les villes africaines » ; « Biens Communs et Espace » et « Langues et savoirs ».</p></br><p>Ces Petit-Déjeuner en-Commun ont été des temps de rencontres et d’échanges qui constituent en soi même une pratique de l’en-commun, où tout le monde participe, en raison d’une dynamique horizontale de partage de savoir.</p></br><p>Ils démarrent à chaque fois à partir d’un film réalisé par l’équipe de Kër Thiossane, sur un artiste et son questionnement sur un aspect des biens communs, dans la société sénégalaise.</p></br><p>Certains films et des extraits de petits déjeuners sont accessibles en ligne, sur le site web de Kër Thiossane, avec « une boite à outils » constituée d’ouvrages, de textes, d’interviews… que chacun est invité à enrichir par ses contributions via un wiki ou lors des Petit-Déjeuner en-Commun.</p></br><h2>Festival Afropixel</h2></br><p>Cette matière accumulée depuis le début de l’année 2012 et la réflexion amorcée auprès de la communauté artistique et des habitants, ont servi à préparer différentes activités (résidences, ateliers, performances…), le temps du Festival Afropixel sur le thème « Création, Culture et Savoirs en Communs », en mai 2012.</p></br><p>Parmi cette programmation riche et diversifiée, Kër Thiossane a rassemblé de grand penseurs et artistes africains pour réfléchir ensemble à la question de « La responsabilité artistique dans la construction de l’en-commun ».</p></br><p>Tous autour d’un verre de thé, Achille Mbembe, Simon Njami, Ken Bugul, Kan-Si, Felwine Sarr, Thiat et Ibrahima Wane ont participé, non pas à une rencontre entre experts, mais plutôt à un espace où l’expertise de chacun était mise au service de la pensée collective, qui s’est tissée au long de la discussion.</p></br><h2>Kédougou, jusqu’où tu es chez toi ?</h2></br><p>En 2013, les petits déjeuners en-commun, se poursuivent, en collaboration avec le collectif La Companyía (http://www.lacompanyia.org/). Il se délocalisent avec un premier petit déjeuner hors de Dakar, en mars, dans le cadre du festival la Nuit des étoiles, organisé par le Centre Multimédia Communautaire de Kédougou.</p></br><p>Prenant comme thématique le sujet central du festival, « Jusqu’où tu es chez toi ? » , nous avons cherché à enquêter sur les problématiques de la région de Kédougou liées aux biens communs. L’ouverture de la question Jusqu’où tu es chez toi ? a permis d’aborder des questions liées à la gestion des ressources naturelles dans une région frontalière riche en or et minérales, ainsi que des questions liées à l’appartenance et à la construction de communautés de vie.</p></br><h3>Futur développement</h3></br><p>Les Petits déjeuners en Communs et le festival Afropixel organisés jusqu’à présent ont suscité un grand intérêt, aussi bien de la part des artistes, des acteurs de la société civile que des citoyens, au Sénégal. Des graines ont été semées et une réelle prise de conscience de l’enjeu des Biens Communs, nous invite à poursuivre ces discussions de façon encore plus ouvertes, autour d’autres facettes des biens communs, dans le but toujours de rendre possible et d’élargir cet espace de réflexion collective.<br /></br>En 2013/2014, Kër Thiossane souhaite organiser à intervalles réguliers, d’autres petits déjeuners, en reconduisant d’avantage les expériences, hors de Dakar, en partenariat avec le réseau des radios communautaires du Sénégal.</p></br><p>Ces expériences continueront à être filmées, documentées et partagées avec Communautique à Montréal, et d’autres partenaires, acteurs des communs ailleurs dans le monde (Finlande, Colombie…). Les Vidéos et autres médias issus de ces petits déjeuners seront mis en ligne sur la plate-forme Remix Biens Communs.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Marion Louisgrand Sylla (Ker Thiossane)<br /></br>Susana Moliner – Marta Vallejo Herrando ( La Companiya),</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le projet Petits déjeuners en-communs bénéficie du soutien financier du Fonds Francophone des inforoutes à travers le projet Remix Biens Communs.<br /></br>La réalisation des petits dej en Communs à Dakar a également pu se faire grâce à l’appui financier de Arts Collaboratory et de l’Organisation Internationale de la Francophonie à Kër Thiossane.</p></br><h3>Rôle de Remix Biens Communs</h3></br><p>Remix Biens Communs a contribué à l’émergence du projet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>jet et à sa connaissance dans le milieu des commoners. Remix Biens Communs soutient la formalisation de la démarche et le déploiement d’un réseau de pratiques similaires.</p>)
  • Atlas des chartes des communs urbains/Atlas des chartes des communs urbains (projet)  + (<p>Le projet s’inscrit dans une pers<p>Le projet s’inscrit dans une perspective de long terme qui vise à : </p></br>* élaborer avec les « commoners » des outils et des méthodologies qui permettent la création de mécanismes juridiques (les chartes des communs urbains) afin de reconnaître et développer les communs urbains. </br>* comparer les expériences politiques et les méthodologies qui sont développées dans l’action citoyenne orientée vers la transition écologique et sociale afin de mettre en exergue les potentiels à l’oeuvre dans les initiatives concrètes de commoning, </br>* interroger les effets de la reconfiguration des processus de production du droit par les « commoners » sur le partage du pouvoir et la légitimité des acteurs dans l’espace public. </br>* contribuer à l’élaboration de propositions et de stratégies de politiques publiques et d’un cadre éthique pour le partage de la souveraineté entre les acteurs producteurs de la ville.ouveraineté entre les acteurs producteurs de la ville.)
  • Chargement/Site  + (<p>Le projet « Justice transitionnel<p>Le projet « Justice transitionnelle: l’expérience marocaine » a pour but de partager les expériences extrêmement importantes marocaines sur la justice transitionnelle et la réparation communautaire.</p></br><p>Au Maroc, de 1959 à 1999, l’ancien roi Hassan II a souvent gouverné son pays d’une main de fer. Cette période est appelée les années de plomb au Maroc, au cours de laquelle ceux qui étaient considérés comme une menace pour le régime étaient soumis à un large éventail de violations des droits de l’homme. Des milliers de personnes ont été soumis à des arrestations arbitraires, à la torture et les disparitions, laissant un héritage amer.</p></br><p>Cependant, dès le début des années 1990, un processus graduel de réconciliation avec le passé a commencé à prendre racine, culminant le plus récemment dans les travaux de l’Instance Equité et Réconciliation du Maroc (Instance Equité et Réconciliation (IER)), mise en place par le successeur sur le trône, le roi Mohammed VI.</p></br><p>Le 7 Janvier 2004, l’IER a été créé. C’est la première commission de la vérité dans le monde arabe. Cela a été saluée internationalement comme un grand pas en avant, et un exemple pour le monde arabe. Depuis, l’IER a travaillé sur le terrible héritage de cette époque en examinant certains des pires abus au Maroc et en organisant des réparations pour les victimes et leurs familles.</p></br><p>Pendant toute la durée de son mandat, l’IER a amassé une archive de plus de 20.000 témoignages de victimes et de leurs familles, qui ont été organisées dans une base de données centrale à Rabat. Elle a mené une série de réunions, de conférences et de séminaires autour d’une multitude de questions qui sont clés pour comprendre le Maroc passé et le présent.</p></br><p>Elle a également pris l’initiative de tenir des audiences publiques pour donner aux victimes une plate-forme à partir de laquelle partager leurs souffrances. Tout au long de ses travaux, la Commission a pour but de documenter, de conserver et d’analyser les racines de la crise dans une tentative pour aider le Maroc à se réconcilier avec son passé.</p></br><p>Le projet Justice transitionnelle: l’expérience marocaine vise à partager des vidéos sur ce processus de la justice transitionnelle et la réparation communautaire. Ces vidéos évoquent la façon de préserver la mémoire des communautés des victimes pendant les «années de plomb» au Maroc et quels types d’audiences publiques ont eu lieu. Ces audiences ont été le point culminant d’un vaste processus de délibération citoyenne, de compassion et de liberté d’expression au Maroc . Ces vidéos abordent la façon dont le projet de réparation communautaire fonctionne pour améliorer les conditions de vie des populations dans les communautés de victimes et de les responsabiliser. En fait, ces matériaux ont principalement porté sur les femmes et les enfants.</p></br><p>L’expérience marocaines en matière de justice transitionnelle comme communes est utile et précieuse dans d’autres pays, en particulier pour les pays arabes qui ont la même histoire de la justice transitionnelle, comme l’Irak, l’Egypte, la Tunisie, la Syrie, le Liban, la Palestine, Algérie et ainsi de suite.</p></br><h3>Futur Développement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine va continuer à partager des vidéos et des matériaux plus historiques sur les expériences en matière de justice de transition, tels que les vidéos des auditions publiques, les vidéos des séminaires et des conférences publiques, des photos historiques et des rapports finaux des le projet de réparation communautaire.</p></br><h3>Collaborateurs/trices</h3></br><p>Ning, Mohamed Leghtas</p></br><h3>Financement</h3></br><p>Le project Justice transitionnelle: l’expérience marocaine est financé par les fonds de l’Instance Equité et Réconciliation (IER)</p></br><h3>Contribution au projet « Justice transitionnelle « </h3></br><p>Remix Biens Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>Communs a facilité la conception d’un catalogage des documents vidéos du projet.</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les récentes élections municipale<p>Les récentes élections municipales et de quelques unes des communautés autonomes (régions) bouleversent l’échiquier politique espagnol. Les victoires inattendues aux municipales de nouvelles coalitions citoyennes issues des mouvements associatifs et de petits partis de gauche combinées à l’ irruption décisive des nouveaux partis nationaux Podemos et Ciudadanos dans les communautés autonomes met en échec le bipartidisme (Parti Populaire/Parti Socialiste) dominant depuis la Transition  démocratique de 1975. Vainqueurs dans 7 grandes villes  du nord au sud du pays dont les trois plus importantes , Madrid, Barcelone et Valencia, ces coalitions appellent à une transition d’un autre type en bousculant les mentalités et la culture politique et en forçant, dans la plupart des cas, à gouverner en mode minoritaire c’est à dire à composer avec les différents partis. À noter ici que le jeune parti de gauche Podemos qui a fait une apparition fulgurante au niveau européen en 2014 et fait aujourd’hui une entrée remarquée dans les communautés autonomes ne présentait pas de candidats aux municipales mais participait ou, le plus souvent, appuyait les coalitions citoyennes dans plusieurs villes.</p></br><h2>Ré-inventer les communs urbains du XXIème siècle</h2></br><p>Les nouveaux venus dans l’espace politique municipal se réclament des Communs allant pour certains jusqu’à associer ce terme à leur sigle : Barcelona en Comù, Zaragoza en Comun. Une lecture tant des programmes que des processus d’élaboration de ceux-ci montrent que, loin d’un simple effet de mode, la référence aux communs, introduit un nouveau discours et un nouvel horizon politique mais surtout une nouvelle manière de faire de la politique . Les nouveaux élus sont issus des mouvements sociaux et font leurs premiers pas en politique active. Leurs « non-partis » ont, pour la plupart , au plus une année d’existence mais les associations où ils ont milité ont connu des mobilisations et des victoires locales significatives. À y regarder de plus près, la nouvelle culture politique qu’ils proposent est ancrée dans des traditions de luttes urbaines aujourd’hui revues et améliorées par les initiatives citoyennes issues de la crise de 2008, des indignados en 2011 et des différentes «  marées » ou mobilisations qui ont suivi dans les domaines du logement, de la santé, de l’éducation, de la culture et de l’écologie urbaine. Ces traditions d’autogestion et d’ « auto-gouvernement » aux racines le plus souvent libertaires et connues sous le nom de « municipalisme » ont été revisitées par les cultures et pratiques des mouvements anti-croissance, écologiste, altermondialiste et de culture libre dans la foulée et dans l’esprit des indignados de 2011 avec une maîtrise et une utilisation raisonnée et intelligente des nouvelles technologies et des médias audiovisuels.</p></br><p>Les défis qui attendent ce nouveau municipalisme sont immenses dans un pays où au lendemain même des élections du 24 mai deux rapports internationaux faisaient état, l’un (1), d’une augmentation exponentielle (de 9 à 18%) de la pauvreté depuis le début de la crise et l’autre (2), de l’augmentation des grandes fortunes (40%) pendant la même période. Pour rajouter à la morosité régnante et bien planter le décor, le FMI n’a pas manqué, quelques jours avant les investitures municipales, de féliciter le gouvernement espagnol pour ses résultats économiques « encourageants » tout en lui rappelant qu’il devait continuer ses mesures d’austérité en augmentant les impôts indirects, en coupant les dépenses de santé et d’éducation et en baissant les salaires. Fallait-il s’attendre à moins des chantres de l’austérité ?</p></br><h2>Un Bien Vivre dans la dignité restaurée</h2></br><p>Mais cela ne semble pas entamer la confiance des nouveaux titulaires des mairies qui ont mené campagne et bâti leur programme sur des politiques anti-austérité et mettent déjà en place, comme à Barcelone, les mesures de leur « plan de choc » sur le logement, l’alimentation, l’accès garanti et à moindre coût aux services de base, le transport et une allocation municipale. Ce plan auquel ils consacrent des budgets significatifs de façon jusque là inédite au niveau municipal, vise à contrer la « déshumanisation » des politiques d’austérité et « restaurer la dignité » des personnes les plus démunies .</p></br><p>Cependant, l’ambition affichée des nouvelles administrations va bien au delà de ces mesures d’urgence des premiers mois de leur mandat. Ils veulent faire de leurs villes des lieux d’expérimentation et de promotion d’un Bien Vivre urbain qui interpelle les politiques sociales et économiques autant que les compétences et les pratiques démocratiques au plan municipal mais aussi régional, national et international. Dans son discours inaugural à la mairie de Barcelone, Ada Colau a évoqué la création « d’un réseau des villes démocratiques d’Europe du sud ».</p></br><h2>Transparence et Participation</h2></br><p>Cette petite révolution dans la culture et la pratique politique se fait dans la transparence la plus totale, en se donnant un code d’éthique, en réduisant les salaires des élus et supprimant leurs divers avantages collatéraux (voitures de service, perdiems, etc.), et surtout, en misant sur l’intelligence collective et la participation effective des citoyens. Beaucoup de ceux-ci sont d’ailleurs d ‘ores et déjà partie prenante du programme de la municipalité pour y avoir contribué avant et pendant la campagne au cours des nombreuses assemblées de « voisins » dans les quartiers et des différents moments de « crowdsourcing » sur une plateforme virtuelle. Le programme très structuré qui en résulte reste ouvert et est une invitation à participer. La page web de Barcelona en Comù l’annonce d’emblée : «  Le programme que tu as devant les yeux est un programme En Commun et, comme tu pourras voir, cela suppose un changement très important par rapport aux programmes politiques traditionnels. (…) c’est un document qui prétend être utile au dialogue citoyen. (…) »(3)</p></br><p>Lors de l’acte inaugural Ada Colau affirmait qu’  « il est indispensable de créer une nouvelle forme de gouvernance » , rappelait qu’elle n’est que « l’une des milliers de voisines » , qu’elle compte « gouverner en obéissant » et que si son équipe ne fait pas ce qui est promis dans le programme :«  Mettez nous dehors!». Les milliers de personnes qui l’attendaient sur la Place Saint Jaume à la fin de son discours diffusé sur de grands écrans, l’ont accueillie avec le « Si se puede » (Oui, c’est possible) qui avait scandé toutes les assemblées au cours de la campagne. Dans une foule dense où elle avait du mal à avancer mais visiblement à l’aise au milieu de ses « voisins », compagnons et partisans, Ada a retrouvé les mots et la manière de la présidente et militante de la PAH (4). Et à cette multitude enthousiaste elle pouvait dire avec un grand sourire « ça va être dur de gouverner  mais nous ne sommes pas seuls » et appeler à participer et se responsabiliser. Elle concluait en parlant d’empathie<br /></br>et en invitant à organiser une manifestation de soutien aux travailleurs de la compagnie de téléphonie Movistar, présents dans la foule, dont elle avait appuyé la grève avant et pendant la campagne.</p></br><p>Le ton est donné et donne à penser qu’avec les communs c’est aussi les Indignés qui sont entrés à l’Hotel de Ville.</p></br><h2>Le réalisme des communs.</h2></br><p>Dans un article intitulé « L’heure est au réalisme » Josep Ramoneda, chroniqueur du quotidien barcelonais ARA, opposait les propositions de Barcelone en Commun aux derniers diktats du FMI en montrant que les « utopistes nihilistes » , termes souvent utilisés par les médias et le parti au pouvoir pour dénigrer les alternatives de gauche, sont plutôt du côté des tenants du néolobéralisme incapables de sortir de la crise et creusant les inégalités. Il concluait en disant : « Soyons réalistes, pensons au bien commun »(5) Commentaire assez surprenant dans ce journal en langue catalane plus connu pour son indépendentisme que son « commun-isme ». Commentaire qui laisse entendre que les communs ne sont pas seulement entrés dans les hôtels de ville mais aussi dans l’imaginaire collectif et le discours politique et qu’il faudra maintenant compter avec eux.</p></br><h2>Un laboratoire vivant qui invite au commoning</h2></br><p>Le mouvement émergeant des commoners et apprentis commoners du local à l’international devront prêter une attention particulière à ce véritable laboratoire vivant des communs urbains.</p></br><p>Il y a beaucoup à apprendre de ces communs en action sur la nature même des communs, le faire en commun (commoning) et la possible transition vers une société des communs? C’est aussi une occasion unique de pouvoir y contribuer de « pair à pair » en y apportant les compétences, expériences et expertises développées sous différentes latitudes et dans les différents contextes socio-culturels où se réinventent les communs depuis une dizaine d’années.</p></br><p><strong>Alain Ambrosi, Barcelone, 17 juin 2015</strong></p></br><p>(1) Rapport de l’OCDE mai 2015 <a href="http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en">http://www.oecd-ilibrary.org/employment/in-it-together-why-lne.ess-inequality-benefits-all_9789264235120-en</a><br /></br>(2) Rapport réalisé par Capgemini et Royal Bank of Canada (RBC) Wealth Management. (El Pais du 17 juin 2015)<br /></br>(3) <a href="https://barcelonaencomu.cat">https://barcelonaencomu.cat</a><br /></br>(4) PAH Plateforme des affectés par l’hypothèque ( contre les expulsions) créée en 2009 à Barcelone et qui compte aujourd’hui 200 associations en Espagne.<br /></br>(5) ARA du 10 juin 2015</p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Les voies maritimes, une belle id<p>Les voies maritimes, une belle idée de vidéo autour d’un projet d’aire maritime à protéger</p></br><p><iframe loading="lazy" frameborder="0" width="400" height="225" src="//www.dailymotion.com/embed/video/xu8azp" allowfullscreen></iframe><br /></br>Par <a href="http://www.aires-marines.fr/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Aires-marines-protegees</a></i></p></br><p>Trois photographes ont sillonné pendant plusieurs mois le golfe normand breton qui s’étend de l’île de Bréhat au Cap de La Hague et qui fait l’objet d’un projet de parc naturel marin. Rodolphe Marics, Denis Bourges et Xavier Desmier proposent une radiographie de cet espace marin selon trois points de vue différents et complémentaires : photos aériennes, pédestres et sous-marines. </p></br><p>Les voies maritimes est né d’un partenariat entre l’Agence des aires marines protégées et l’association Les champs photographiques. </p> des aires marines protégées et l’association Les champs photographiques. </p>)
  • Chargement/Site  + (<p>Maxime Combes a produit un <a <p>Maxime Combes a produit un <a href="https://www.boell.de/en/2014/01/21/valuing-natural-capital-or-devaluing-nature">rapport sur le premier « Forum mondial sur le capital naturel »</a> qui se déroulait fin novembre 2013 à Edimbourg.</p></br><p>Ce document décrypte le processus d’élaboration des nouveaux outils de comptabilité du « capital naturel » qui valorise la nature et les services éco-systémiques en capital à grande échelle. Cette démarche est aune traduction très concrète de Rio+20 et de l’économie verte qui se justifie encore avec l’argument de la tragédie des communs.</p></br><p>On est face à un enjeu majeur pour les communs dits naturels. Il confirme l’importance de définir des outils et les principes de gestion qui permettent de préserver les communs et la nature.</p></br><p>Rapport réalisé pour la Fondation Heinrich Boll</p>.</p> <p>Rapport réalisé pour la Fondation Heinrich Boll</p>)
  • Aujourd'hui restaurons demain (ADDA), une épicerie participative et bien plus !  + (A Nantes depuis 2008, AujourdD’hui restaurA Nantes depuis 2008, AujourdD’hui restaurons DemAin (ADDA), une épicerie participative pas comme les autres, sans salarié, propose de nombreuses actions simples et concrètes pour agir immédiatement sur notre impact écologique : repas partagés, jardin communautaire, échanges de savoirs, espace de gratuité, finance solidaire, ateliers de revalorisation, ... </br></br>Episode 7 de la web-série itinérante SideWays. Voir aussi : http://side-ways.net/episode7.oir aussi : http://side-ways.net/episode7.)
  • Réponse de Michel Bauwens à trois questions sur les assemblées des communs  + (A l'occasion de la préparation de l'assembA l'occasion de la préparation de l'assemblée des communs de Toulouse, le 10 octobre 2015, 3 questions posées à Michel Bauwens sur les assemblées et les chambres des communs : </br></br>Michel, il semble de plus en plus évident que les communs constituent une alternative soutenable à l'affrontement stérile entre les idéologies qui prônent un rôle accru de la puissance publique et les tenants d'un laisser faire au marché. Mais comment rendre une "économie des communs" autonome par rapport à la logique de profit ? A la P2P Fundation, vous imaginez de faire émerger des "assemblées des communs" à l'échelle des territoires locaux, peux tu nous en dire un peu plus su cette idée ?</br></br>Parallèlement à ces assemblées, tu préconises de créer des "chambres des communs" qui rassembleraient aussi les citoyens mais cette fois-ci en tant qu'acteurs économiques, producteurs de "richesse" mais aussi contributeurs de communs. Comment dans ton idée, ces deux instances pourraient-elles articuler leur rôle et leur fonctionnement ?</br></br>Aujourd'hui nous sommes le 10 octobre, date choisie par le Réseau francophone des communs pour organiser dans chaque territoire un évènement "phare" du festival "le temps des communs" qui se déroule dans toute la Francophonie du 5 au 18 octobre. A Toulouse nous avons choisi de débattre de la création d'une assemblée locale des communs. Y a t-il d'autres endroits dans le monde où se préparent des initiatives semblables ? se préparent des initiatives semblables ?)
  • Charte de développement durable des vallées béarnaises et de protection de l'ours  + (A la suite du conflit entre les habitants A la suite du conflit entre les habitants des vallées du Haut Béarn et de l'administartion et des organisations de protection de la nature, une méthode innovante de "gestion en patrimoine commun" basée sur l'implication, la concertation et la décision partagée a été retenue comme alternative à un cadre réglementaire.</br></br>La Charte de Développement Durable des Vallées Béarnaises et de Protection de l'Ours a été signée le 31 janvier 1994. Par cette Charte, les partenaires se sont engagés pour concilier le développement socio-économique des vallées et la gestion de l'ours, de la faune et des milieux naturels. Elle permet aux habitants d'être les acteurs premiers de la maîtrise du développement de leurs vallées d'Ossau, d'Aspe et de Barétous et de la prise en charge de leur patrimoine naturel.</br></br>L'Institution Patrimoniale du Haut-Béarn (IPHB) est un rassemblement de partenaires, chargée de l'application de cette charte. Elle permet la rencontre de tous les acteurs du territoire pour qu'ils réfléchissent aux solutions les mieux adaptées et construisent ensemble l'avenir des 3 vallées béarnaises OSSAU, ASPE et BARÉTOUS : élus, administrations, bergers, éleveurs, forestiers, associations de protection de la nature, pêcheurs, chasseurs, acteurs du tourisme, hydroélectriciens, agents de développement, chambres consulaires... de développement, chambres consulaires...)
  • Ville en biens communs  + (A l’initiative du « réseau francophone autA l’initiative du « réseau francophone autour des biens communs » 200 événements auto organisés se sont tenus en octobre 2013 dans 5 pays. Destinés à permettre aux habitants de découvrir les communs existants sur leurs territoires, leur donner envie d’y contribuer. Cette initiative a permis de donner de la visibilité au mouvement des communs.de la visibilité au mouvement des communs.)
  • Espaces de Vie  + (A partir de janvier 2012, à Dakar, dans unA partir de janvier 2012, à Dakar, dans un contexte pré-électoral violent, en pleine remise en question de la constitution et de prise de conscience citoyenne dans tout le Sénégal, Kër Thiossane a commencé à explorer un chantier autour des biens communs, en organisant, à raison d'une fois par mois, un cycle de « Petit-Déjeuner en-Commun ».</br></br>Cette démarche a pour but de :</br></br>*Souligner le potentiel critique de la création artistique contemporaine à la discussion sur les biens communs.</br>*Imaginer un réseau des pratiques en communs, dans des contextes interculturels différents: Montréal, Dakar et Sevilla, en produisant la matière sur les biens communs invisibles.</br>*Penser quel laboratoire mettre en place, afin de permettre l'usage d'un outil qui nous fait de réfléchir ensemble. Il ne s'agit pas de faire des copier-coller d'un contexte à l'autre, sinon de partager les même pratiques dans des contextes différents et profiter des perspectives du Sud.</br></br>Pour le deuxième petit déjeuner, le 1er mars 2012, nous avons invité à réfléchir sur la notion et la pratique de l'espace de vie comme un bien commun : la maison, l'habitat, le quartier, l'environnement, les terres, la mer... Un espace de vie qui est aussi bien à préserver et à inventer.</br></br>Dans cette vidéo, les habitants de Dakar décrivent ce qui pour eux sont des biens communs.nt ce qui pour eux sont des biens communs.)
  • Les yeux de l’avenir  + (About summer camps for Moroccan Children, About summer camps for Moroccan Children, who comes from those regions such as Zagoura, Figuig, Nador, Midelt and Bengrir, that have suffered from discrimination during the years of lead. Those summer camps were organized by the Ministry of Youth and Sports, and the Advisory Council for Human Rights(CCDH).</br>En français</br>En collaboration la ministère de jeunesse et sport ,le conseil consultatif des droits de l’homme (CCDH) à organiser des colonies de vacance pour les enfants originaires des régions qui ont souffert de discrimination durant les années de plomb. Pour les enfants des zones défavorisées comme Zagoura, Midelt, Bengrir, Figuig et Nador.Zagoura, Midelt, Bengrir, Figuig et Nador.)
  • Terrra Brezoï  + (Achat collectif d'un lieu de coopération et résidence pour écrire, étudier et imaginer nouveaux projets orientés vers la résilience agro-écologique. L'espace est situé à Brezoï en Roumanie.)
  • La Quadrature Du Net s'engage pour le temps des communs  + (Adrienne Charmet présente les enjeux sur lAdrienne Charmet présente les enjeux sur lesquels se mobilise La Quadrature Du Net et les actions qu'elle projette pour le Temps des communs (2015) lors de la conférence de presse du festival organisée à l'occasion du 800 ième anniversaire de la signature de la Magna Carta.ersaire de la signature de la Magna Carta.)
  • Fiction & histoire du temps présent- Ali, Rabia et les autres…  + (Ali, impliqué malgré lui dans une affaire Ali, impliqué malgré lui dans une affaire politique, passe vingt ans en prison pour meurtre. À sa sortie, tout est bien différent, son groupe d’amis s’est éclaté, chacun mène sa vie, Ali n’a plus cette place privilégiée d’autrefois. Seules Rabia et sa fille offrent une solution de réintégration et de réconciliation avec le passé, pourtant douloureuses à réaliser.</br>Ahmed Boulane (Réalisateur), Né à Sale en 1956, il est renvoyé de l’école a 15 ans. De 1974 a 1979, il est membre de la troupe nationale d’art dramatique de la RTM et du théâtre Mohamed V en tant que comédien. De 1979 a 1980, il voyage en Italie pour des études cinématographiques interrompues. A partir de 1981, il entame un parcours complet dans le cinéma, successivement comme de films internationaux. Depuis 1999, il se consacre à la production et le passe, fut un succès et reçut le prix du Vatican. Son premier long métrage ali ,rabiaa et les autres…remporta plusieurs prix internationaux et lui donna une crédibilité immédiate. Son deuxième film, Les anges de Satan, fut premier au box office en 2007. Satan, fut premier au box office en 2007.)
  • École des Communs de Kër Thiossane  + (Alors qu'une crise de l’espace urbain à DaAlors qu'une crise de l’espace urbain à Dakar lié à des conflits de voisinage, des espaces de vie collective désinvestis et un espace public déconsidéré avec des infrastructures insuffisantes. , l’École des Communs de Kër Thiossane, au cœur de la capitale dakaroise, cherche à travers l’art et les technologies dites “ouvertes” à développer ou à consolider des actions de solidarité, des actions de voisinage et de citoyenneté. Elle cherche la possibilité d’élaborer des “solutions” aux problèmes urbains et sociaux, sur la base de rencontres et de projets. divers, de défendre la conscience d’un intérêt commun.éfendre la conscience d’un intérêt commun.)
  • Sciences et démocratie : La leçon du Tapajos  + (Annie est une jeune chercheuse en sciencesAnnie est une jeune chercheuse en sciences de l'environnement à l'Université du Québec à Montréal.</br></br>Nous la suivons de Montréal jusqu'à son terrain de recherche en Amazonie brésilienne, en passant par le Forum Social Mondial qui s'est tenu à Belém au début de l'année 2009.est tenu à Belém au début de l'année 2009.)
  • 21.01 Les communs et l'éducation tout au long de la vie  + (Appel en commun avec Daniel Baril, directeur général de l'Institut de coopération pour l'éducation des adultes (Montréal, Canada).)
  • 21.02 Défendre les lieux en communs - conditions et stratégies  + (Appel en commun avec Joël Lecussan de MixAAppel en commun avec Joël Lecussan de MixArt Myrys à Toulouse et TUROLLA Tommaso de RiMake à Naples sur les stratégies de résistance des lieux occupés en commun. Comment créer et maintenir des conditions d'une pérennité des lieux indépendants en communs ? Quelles stratégies ont été mises en place ? Quelles expériences partager et quelles solidarités pour soutenir les lieux menacés ?idarités pour soutenir les lieux menacés ?)
  • 20.04 Quelle santé publique en-commun  + (Appel en commun dédié à faire connaître etAppel en commun dédié à faire connaître et partager les actions mises en place présentement - en contexte de crise - et qui pourraient être étayées par des propositions politiques pour les communs par exemple à la manière de cahiers (https://politiquesdescommuns.cc) pour favoriser les conditions de leur passage à l'échelle dans un futur proche. passage à l'échelle dans un futur proche.)
  • 19.11Usage du concept de dignité dans des politiques publiques locales  + (Appel en commun dédié à la présentation du Rapport de synthèse de la recherche-action : Dignité - L’usage potentiel du concept de dignité dans des politiques publiques locales publié en Octobre 2019 par l'association Ville en commun.)
  • 20.09 État de l'art des initiatives d'activation, accélération et de transition vers les communs  + (Appel en commun dédié à un état de l'art des initiatives d'activation, accélération et de transition vers les communs.)
  • 20.02 Présentation et discussion autour du Cahier Politiques des communs  + (Appel en commun dédié à une présentation et discussion autour du cahier de propositions politiques pour les communs dans le contexte municipal.)
  • 20.03 Mobilisation des commoners italiens dans le contexte du COVID-19  + (Appel en commun dédié à une présentation et discussion autour du cahier de propositions politiques pour les communs dans le contexte municipal (site politiquesdescommuns.cc).)
  • Rencontre avec Elinor OSTROM - part 6  + (Apports de Mireille FLAM, Présidente du Comité Européen des Entreprises Publiques, et Denis Stokkink du think-tank Pour la Solidarité lors de la Table ronde : Économie sociale et biens communs, bien immatériels - systèmes d'information et internet.)
  • 19.05 Etat des lieux des luttes pour le droit à la ville et les communs à Lyon  + (Après plusieurs années passées à rendre viAprès plusieurs années passées à rendre visibles des luttes sur le terrain de l'aménagement urbain, les militant.e.s lyonnais élargissent le répertoire des actions politiques avec des assemblées, une dynamique municipaliste et la revendication d'une Charte municipale et métropolitaine qui viendrait compléter le nouveau Plan Local d’Urbanisme (PLU-H) pour que soient entendues les propositions des habitants et mise en place « une véritable co-construction de la ville » permettant « l’élaboration de projets respectueux des habitants ». Nous proposons un temps d'échange pour partager les réflexions que peut inspirer cette expérience au mouvement des communs.cette expérience au mouvement des communs.)
  • Art of Commoning 2014 - Lighthearted moments  + (Art of Commoning 2014 - Lighthearted momenArt of Commoning 2014 - Lighthearted moments est un remix réalisé à partir de capsules vidéo auto-enregistrées par les contributeurs dans le "com-fessionnal" lors de la rencontre Art de l'en-commun (Art of Commoning) qui s'est déroulée à Montréal en novembre 2014. Ce remix évoque les communs, leurs définitions et la perspective de l'école des communs comme mode d'émergence du mouvement des communs.mode d'émergence du mouvement des communs.)
  • La Coop des Communs  + (Association dédiée au rapprochement entre le ESS et les communs.)
  • Exploration des communs urbains - Atelier 1  + (Atelier d'exploration des communs urbains, échanges sur la ''définition des communs urbains'' et en particulier sur la place qu'y tient la dimension politique.)
  • Atelier de codesign de cartographie numérique Partie 2: Les enjeux liés à la cartographie  + (Atelier de codesign de cartographie numériAtelier de codesign de cartographie numérique Partie 2: Les enjeux liés à la cartographie</br></br>Exploration des usages et applications de cartographie numérique le 3 mai 2013.</br></br>Perspective ludique, partage de connaissances sur le "crowdmapping" et outillage du projet de cartographie des Communs de Montréal de l'École des Communs de Communautique.</br></br>Organisé dans le cadre de l'initiative MOBmontréal, une invitation de Communautique, Métacollab Montréal et l'École des communsMétacollab Montréal et l'École des communs)
  • Atelier de codesign de cartographie numérique Partie 4: Qualités et modèles de la cartographie  + (Atelier de codesign de cartographie numériAtelier de codesign de cartographie numérique Partie 4: Qualités et modèles de la cartographie</br></br>Exploration des usages et applications de cartographie numérique le 3 mai 2013.</br></br>Perspective ludique, partage de connaissances sur le "crowdmapping" et outillage du projet de cartographie des Communs de Montréal de l'École des Communs de Communautique.</br></br>Organisé dans le cadre de l'initiative MOBmontréal, une invitation de Communautique, Métacollab Montréal et l'École des communsMétacollab Montréal et l'École des communs)
  • Atelier de codesign de cartographie numérique Partie 1: Les avantages de la cartographie  + (Atelier de codesign de cartographie numériAtelier de codesign de cartographie numérique Partie 1: Les avantages de la cartographie</br></br>Exploration des usages et applications de cartographie numérique le 3 mai 2013.</br></br>Perspective ludique, partage de connaissances sur le "crowdmapping" et outillage du projet de cartographie des Communs de Montréal de l'École des Communs de Communautique.</br></br>Organisé dans le cadre de l'initiative MOBmontréal, une invitation de Communautique, Métacollab Montréal et l'École des communsMétacollab Montréal et l'École des communs)
  • Codesign de cartographie numérique  + (Atelier de codesign de cartographie numérique)
  • Atelier de codesign de cartographie numérique Partie 3: La cartographie des communs  + (Atelier de codesign de cartographie numériAtelier de codesign de cartographie numérique Partie 3: La cartographie des communs</br></br>Exploration des usages et applications de cartographie numérique le 3 mai 2013.</br></br>Perspective ludique, partage de connaissances sur le "crowdmapping" et outillage du projet de cartographie des Communs de Montréal de l'École des Communs de Communautique.</br></br>Organisé dans le cadre de l'initiative MOBmontréal, une invitation de Communautique, Métacollab Montréal et l'École des communsMétacollab Montréal et l'École des communs)
  • Atlas des chartes des communs urbains/Project planner/Maquette site web  + (Atlas des chartes des communs urbains propAtlas des chartes des communs urbains propose de : </br>Réaliser et entretenir un inventaire ouvert et interactif de mécanismes juridiques consacrés à la mise en œuvre des communs urbains.</br></br>fournir un espace collectif pour l'analyse et l'interprétation de ces mécanismes de gouvernance des communs urbains et produire et partager des connaissances avec les commoners dans une perspective interculturelle.</br>offrir un espace d'échange et d'entraide autour de l'élaboration de chartes et autres instruments juridiques pour la régénération ou la création des communs urbains.ration ou la création des communs urbains.)
  • Atlas des chartes des communs urbains  + (Atlas des chartes des communs urbains propAtlas des chartes des communs urbains propose de : </br># Réaliser et entretenir un inventaire ouvert et interactif de mécanismes juridiques consacrés à la mise en œuvre des communs urbains.</br># fournir un espace collectif pour l'analyse et l'interprétation de ces mécanismes de gouvernance des communs urbains et produire et partager des connaissances avec les commoners dans une perspective interculturelle.</br># offrir un espace d'échange et d'entraide autour de l'élaboration de chartes et autres instruments juridiques pour la régénération ou la création des communs urbains.ration ou la création des communs urbains.)
  • Les biens communs : de la co-création à l’action  + (Au cours du Printemps érable, le mouvementAu cours du Printemps érable, le mouvement étudiant en lutte contre la hausse des frais de scolarité se mobilise. L'Ecole de la montagne rouge, un groupe d'étudiants en graphisme élabore des matériels de communication pour les manifestations. Quelle relation la lutte des étudiants entretient-elle avec les biens communs ? cette courte vidéo rend compte d'un atelier de création réalisé sur ce sujet avec Alain Ambrosi.n réalisé sur ce sujet avec Alain Ambrosi.)
  • Cecosesola ou l'autogestion totale  + (Autogestion et coopérativisme intégral : uAutogestion et coopérativisme intégral : une expérience sur la durée à l’échelle de la communauté. Coopérative de Barquisimeto (nord-est du Venezuela), au fonctionnement totalement autogestionnaire. Plus de 1200 travailleurs, aucun chef, aucun gérant, aucune structure hiérarchique, énormément de participation, de confiance et d’apprentissage, une rotation constante dans tous les postes de travail … et bien plus tous les postes de travail … et bien plus)
  • Comme un escargot...  + (Bart, Dorothée et Samir vivent à BruxellesBart, Dorothée et Samir vivent à Bruxelles. Déménagements trop fréquents, logement social sur liste d'attente, appartement insalubre, froid, trop petit. Contraints d’accepter n’importe quoi, dans n’importe quel état et à n’importe quel prix... La crise du logement, ils la connaissent, ils la subissent. Depuis trop longtemps. Comment devenir propriétaires lorsque les revenus sont limités ? Les portes des banques restent toujours fermées... Face à cette exclusion, ils se sont mis ensemble avec d'autres familles et ont formé un groupe répondant aux modèles des Community Land Trust (CLT): le “nid” dans le quartier d’Anderlecht. </br></br>L'idée des CLT est d'acquérir des terres et de les gérer comme un bien commun. Répondre à une nécessité économique et sociale par une expérience collective et participative qui ose repenser la ville. Le labyrinthe de la précarité aurait-il une porte de sortie? Mais comment avoir confiance ? Comprendre, se réunir, s'organiser, patienter, se parler, se respecter... </br></br>Comme un escargot...accompagne ces futurs habitants dans leur chemin pour accéder à un « chez soi ». Des paroles qui naissent du vécu, de la précarité et de l'isolement à l'espoir et l'envie de construire un avenir commun. Un film pensé comme un outil pour les mal-logés, le monde politique et associatif, un message pour tous les habitants placé dans un bouteille jetée dans ce désert de béton qu'est la ville où les oasis ne sont pas toujours des mirages... Le projet le Nid de la rue Verheyden à Anderlecht est le fruit de la collaboration entre le CLTB, Samenlevingsopbouw et les familles du Nid. </br></br>Avec le soutien de Bruxelles-Capitale et de la Fédération Wallonie-Bruxelles service éducation permanente.ie-Bruxelles service éducation permanente.)
  • Le Community Land Trust Bruxellois - Une terre partagée pour un habitat responsable  + (Brève animation qui décrit le projet et leBrève animation qui décrit le projet et le mécanisme du CLT bruxellois. À Bruxelles, les familles avec peu de revenus qui veulent se loger, découvrent rapidement deux réalités : un déficit important de logements sociaux et une augmentation très importante des prix du logement. Il reste alors pour ces familles deux possibilités : vivre dans un petit logement insalubre et cher ou quitter Bruxelles. Comment répondre à cette crise du logement ? Et comment éviter que les prix continuent à monter ? Plusieurs associations bruxelloises ont réfléchi à cette question et ont découvert, aux États-Unis, un système qui pourrait y apporter une réponse : les Community Land Trusts (CLT). Le principe de base des CLT est que le sol doit être utilisé pour répondre aux besoins des habitants, et non pas comme un bien spéculatif.ants, et non pas comme un bien spéculatif.)
  • Les Communs  + (Brève vidéo d'introduction sur l'idée des Brève vidéo d'introduction sur l'idée des biens communs en même temps qu'une remise en cause de la fameuse "tragédie des communs". Existe aussi en allemand http://www.youtube.com/watch?v=OMfVtaIxAjA, en Italien http://www.youtube.com/watch?v=WT6vbAu_UjI et Espagnol http://www.youtube.com/watch?v=4Dg6f1F98LI. Vous êtes invités à utiliser librement cette vidéo. invités à utiliser librement cette vidéo.)
  • Cahier de propositions en contexte municipal  + (Cahier de propositions politiques pour les communs dans le contexte municipal)
  • Au delà du camp, dans le Commun, première partie  + (Campus in Camps a organisé une session IntCampus in Camps a organisé une session Into the common (http://www.campusincamps.ps/into-thecommon) au centre Al Feneiq (Camp de réfugié Dheisheh). Alessandro Petti, directeur présente Campus in Camps comme "le résultat d'un effort collectif fait par les participants de dialogue avec les habitants, les membres de la communauté, associations et collaborateurs."mmunauté, associations et collaborateurs.")
  • Mille jardins en Afrique  + (Capsule vidéo sur la campagne 1000 jardins en Afrique conduite par Slow Food. Les coordinateurs locaux, les enseignants et les étudiants des Mille jardins en Afrique présentent le projet.)
  • Cartographie du non accueil à Paris  + (Capsule vidéo sur « une carte traumatique Capsule vidéo sur « une carte traumatique de Paris » celle des campements et squats constitués autour des migrant.es, réfugié.es, et éxilé.es depuis juin 2015. Pensée à partir d’un diagnostic issu du terrain, cette carte a pour but d’ouvrir à la ville et à ses usagers d’autres récits possibles, par superposition de données, d’histoires, d’expériences et parfois d’absurdités vécues sur le terrain. Elle tente de raconter la ville selon les migrant.es et les soutiens, usagers urbains invisibles à l’imaginaire venue d’ailleurs et à l’espoir chevillé aux corps. En creux, elle espère poser les premières bases de ce que serait, vu d’ici, de la rue, « une ville refuge » coincées entre urgence humanitaire et développement urbain.gence humanitaire et développement urbain.)
  • La Mappa dei Beni Comuni di Cui Gli Abitanti Si Prendono Cura  + (Ce charte est une cartographie des communs à Palermo qu'ils ont créée pour représenter la collaboration entre l'État, la région, province, et la municipalité pour réaliser autonomie et la solidarité sur les initiatives des citoyens)
  • In case of emergency make your own city  + (Ce document donne les objectifs des communCe document donne les objectifs des communs et espaces publiques dans le Communs Josephat sur les sujets de economie plurielle,structures d'ecologie urbaine, habitat innovant, l'espace publique comme bien commun, mobilité durable, modele financier alternatif, et energie positive financier alternatif, et energie positive)
  • Déclaration Universelle Du Bien Commun de L'Humanité  + (Ce document est un appel a la communauté gCe document est un appel a la communauté globale de respecter la nature comme source de vie, et ca demontre des arguments de:</br>:1. Etablir la symbiose entre la terre et le genre humain</br>:2. Assurer l'harmonie entre tout les elements de la nature</br>:3. Proteger la terre physique, culturelle, spirituelle</br>:4. Garantir la regeneration de la terre</br>:5. Utiliser les formes social de production et de circulation</br>:6. Donner la priorité a la valeur d'usage sur la valeur d'echange</br>:7. Promouvoir un travail non exploité et digne</br>:8. Reconstruire le territoires</br>:9. Garantir l'accès aux biens communs et a une protection social universelle</br>:10. Généraliser la démocratie et assurer la construction du sujet</br>:11. Etablir une relations d'égalite entre hommes et femmes</br>:12. Interdire la guerre</br>:13. Construire l'Etat en fonction du Bien Commun</br>:14. Garantir les droits des peuples originaires</br>:15. Respecter le droit a la resistance</br>:16. Etablir l'interculturalité</br>:17. Assurer le droit a l'information et la circulation des savoirs</br>:18. Respecter l'application du paradigme du Bien commun de l'humanité du paradigme du Bien commun de l'humanité)
  • Ex Asilo Filangieri  + (Ce document présente l'Ex-Asilo FilangieriCe document présente l'Ex-Asilo Filangieri, lieu occupé à Naples, qui est à l'origine des Déclarations d'usage civique adoptées par la ville de Naples (Déclaration pour l'Usage Urbain Civique et Collectif - Urban Civic and Collective Use). Ces déclarations s'appuient sur une interprétation étendue des droits anciens "de la pêche et de pâturage sur les terres des petits et moyens hameaux ruraux" pour reconnaitre la légitimité de l’autogestion par les usagers de ressources dont dépend la satisfaction de leurs droits fondamentaux, dès lors qu’elle respecte des « principes de libre accessibilité, de convivialité, d’équité et d’inclusivité » convivialité, d’équité et d’inclusivité »)
  • Vivons ensemble! De la charte à la gouvernance de quartier 1  + (Ce document publié en avril 2015 se veut Ce document publié en avril 2015 se veut « un outil d’aide à l’élaboration et à la mise en œuvre d’une charte de quartier, il se structure selon trois thèmes : gouvernance, bien-vivre social et activités, gestion durable des ressources. » Il a été élaboré sur une période de 18 mois sur un mode participatif en 29 rencontres de travail. Il faisait suite et complètait deux publications précédentes de l'Association : « MétamorphOSONS » en 2009 qui a proposé 140 recommandations pour l’écoquartier des Plaines-du-Loup à Lausanne et, en 2012 « CONSTRUISONS ENSEMBLE ! Recommandations et critères d’attribution des terrains pour la réalisation d’un écoquartier. »</br></br>En précisant les définitions de ce qu'est une charte, de son processus et calendrier d'élaboration, des différents acteurs impliqués ce document est une référence très utile et applicable dans toute démarche de constitution d'une charte de communs urbains sous toutes les latitudes.</br>Ces thèmes sont présentés au travers de deux types de support complémentaires ce qui en fait un outil très accessible.</br>– une brochure, qui présente la démarche et son contexte ; elle ne se veut pas exhaustive, mais introduit et illustre les thèmes en présentant notamment trois enjeux concrets pour chacun d’eux. </br>– des tableaux, qui présentent thématiquement les possibilités d’action des différentes parties prenantes. Ils sont destinés aux personnes qui souhaitent approfondir le sujetsonnes qui souhaitent approfondir le sujet)
  • Vivons ensemble! De la charte à la gouvernance de quartier 2  + (Ce document se veut « un outil d’aide à lCe document se veut « un outil d’aide à l’élaboration et à la mise en œuvre d’une charte de quartier. Il se structure selon trois thèmes : gouvernance, bien-vivre social et activités, gestion durable des ressources. » Il a été élaboré sur une période de 18 mois sur un mode participatif en 29 rencontres de travail. Il faisait suite et complétait deux publications précédentes de l'Association : « MétamorphOSONS » en 2009 qui a proposé 140 recommandations pour l’écoquartier des Plaines-du-Loup à Lausanne et, en 2012 « CONSTRUISONS ENSEMBLE ! Recommandations et critères d’attribution des terrains pour la réalisation d’un écoquartier. »ns pour la réalisation d’un écoquartier. »)
  • 7 jours avec la PAH. ¡SÍ SE PUEDE!  + (Ce documentaire décrit comment le mouvemenCe documentaire décrit comment le mouvement de lutte contre les expulsions Plataforma de los Afectados por la Hypoteca (PAH) fait face aux expulsions massives des logements. LA PAH est fondée à la suite de l'explosion de la bulle immobilière lors la crise financière de 2008. Le documentaire suit sept jours d'activités à Barcelone. </br></br>http://commandovideo.net</br></br>Sous titrage en françaisommandovideo.net Sous titrage en français)
  • Génération spontanéee  + (Ce documentaire montre comment 4 jeunes arCe documentaire montre comment 4 jeunes artistes marocains se saisissent et renouvellent leur patrimoine culturel dans leurs créations. </br></br>En suivant ces 4 jeunes musiciens et leur entourage sur une période de 15 jours, l'équipe de tournage nous fait partager leurs réflexions sur leur patrimoine culturel et sa place dans leur construction identitaire personnelle. </br></br>Ce documentaire a été réalisé dans le cadre d'un projet REGARDS CROISES sur le patrimoine marocain.EGARDS CROISES sur le patrimoine marocain.)
  • Le développement dans la région d’Alhoussima - Bniboufarhan  + (Ce documentaire parle  de l’histoire de laCe documentaire parle  de l’histoire de la région du Rif marocain qui a connu des grandes événements historique contre la colonisation, et l’histoire de développement de la région qui commencé avec la nouvelle dynamique après le séisme d'al Hoceima en 2004 et l’apparition des nouvelles associations locales et internationales à Boufrah.</br>Avec le soutien du Conseil National des droits humains et du CGD.eil National des droits humains et du CGD.)
  • Seeing the Forest  + (Ce documentaire raconte comment les différCe documentaire raconte comment les différents acteurs vivants ou concernés par une forêt nationale sont passés d'une vision limitée à l'exploitation des arbres comme principale ressource, au développement de la forêt comme un ensemble durable et soutenable pour tous. Il décrit de manière exemplaire comment le processus de gouvernance s'est mis en place avec les personnes et les organisations concernées, faisant des événements climatiques dévastateurs une opportunité pour mobiliser les énergies de tous.unité pour mobiliser les énergies de tous.)
  • Grain de sable, une histoire d'eau  + (Ce documentaire raconte comment une communauté berbère gère son approvisionnement en eau, l'entretien des infrastructures, les modalités d'administration et de gouvernance construits au fil du temps et inscrits dans la coutume.)
  • SubmersionS  + (Ce documentaire tourné rapporte les témoigCe documentaire tourné rapporte les témoignages des élus, scientifiques, associations environnementales et des habitants sur les conséquences des tempêtes de 2014 et 2015 en Nouvelle Aquitaine, depuis la pointe de l’île de Ré jusqu’à Hendaye. Comment gérer le recul du trait de côte, faire face au risque d'inondation par submersion marine, la montée du niveau de la mer due au changement climatique ?u de la mer due au changement climatique ?)
  • The Internet's Own Boy  + (Ce film raconte l'histoire de Aaron SwartzCe film raconte l'histoire de Aaron Swartz, programmeur de génie et activiste de l'information. Depuis l'aide qu'il a apportée au développement de RSS, l'un des protocoles à la base d'Internet, à la co-fondation de Reddit, son empreinte est partout sur Internet.</br>Mais c'est le travail révolutionnaire de Swartz autour des questions de justice sociale et d'organisation politique, combiné à son approche sans concession de l'accès à l'information pour tous, qui l'a pris au piège dans un cauchemar juridique de deux années. Cette bataille s'est terminée par son suicide à 26 ans.</br></br>L'histoire d'Aaron touche une corde sensible chez des personnes même éloignées des communautés online parmi lesquelles il était une célébrité. Ce film est une histoire personnelle à propos de ce que nous perdons lorsque nous restons sourds à la technologie et à ses relations à nos libertés civiles.</br></br>Un film de </br></br>http://www.takepart.com/internets-own...</br>https://www.kickstarter.com/projects/...</br></br>Sous-titrage français par @dbourrion, @symac, @btreguier, @loopiloop à partir de la plateforme Amara http://www.amara.org/fr/videos/5Mo4oAj1bxOb/tp://www.amara.org/fr/videos/5Mo4oAj1bxOb/)
  • Le livre De tout.s Le Monde  + (Ce livre décrit une riche voyage qui va s'écrire page après page, s'enrichir ressource après ressource. C'est un livre sans fin, on peut dire, que chacun pourra consulter dans les bibliothèques publiques du quartier et à la Librairie le Rideau Rouge.)
  • RiP! A Remix Manifesto  + (Ce long métrage documentaire fouille les cCe long métrage documentaire fouille les complexités de la notion de propriété intellectuelle à l’ère du partage de fichiers pair-à-pair. Le cinéaste militant du Web Brett Gaylor interroge des acteurs importants du débat, dont le roi des collages musicaux de Pittsburgh, Girl Talk. Création de « remixage » en soi, RiP fracasse les barrières entre utilisateurs et producteurs et conteste les limites de « l’utilisation équitable ». </br></br>Rip A Remix Manifesto (http://www.nfb.ca/film/rip_a_remix_manifesto) par Brett Gaylor (http:////www.nfb.ca/explore-all-directors/brett-gaylor), Film Board of Canada (http://www.nfb.ca>National).rd of Canada (http://www.nfb.ca>National).)
  • Microtrottoir Biens Communs à Dakar (partie1)  + (Ce micro-trottoir réalisé en janvier 2012 Ce micro-trottoir réalisé en janvier 2012 recueille les témoignes des dakaroises sur ce que signifient les biens communs, dans los sociétés africaines. </br></br>Ce vidéo est fait dans le cadre des actions en amont du festival AFROPIXEL # 3 "NTICS, Création, Cultures et Savoirs Partagés en Afrique".</br></br>Découvrir plus sur le site de Kër Thiossane http://ker-thiossane.org/spip.php?article99ttp://ker-thiossane.org/spip.php?article99)
  • CECOSESOLA  + (Cecosesola est une coopérative du Nord du Cecosesola est une coopérative du Nord du Venezuela, expérience d'auto-géstion sans hiérarchie participative, qui accueille différentes activités, un supermarché social, un hopital… L'organisation met au centre l'etre humain et expérimente une économie en commun.ain et expérimente une économie en commun.)
  • Commoner (Dictionnaire des biens communs)  + (Cet article a été publié dans le Dictionnaire des biens communs, ouvrage dirigé par Fabienne Orsi, Judith Rochfeld et Marie Cornu, publié aux PUF en 2017.)
  • Finance autrement RIODD (SM 17)  + (Cet espace de travail met à disposition deCet espace de travail met à disposition de tous les "matériaux" (interventions, débats, études, notes, références et recensions...) proposés par les participants à la journée '''Finance autrement''' organisée à le RIODD dans le cadre de La Semaine du Management 2018.le cadre de La Semaine du Management 2018.)
  • Permis de végétaliser (Paris)  + (Cette initiative a été lancée le 30 juin 2Cette initiative a été lancée le 30 juin 2015 par la Mairie de Paris, et elle est en vigueur à ce jour. Elle vise à accroître la biodiversité à Paris tout en permettant aux résidents individuels de devenir acteurs de ce processus. Elle concerne les 20 arrondissements de la capitale. </br></br>Cette charte a un statut juridique. Le document précise que les résidents doivent obtenir l'autorisation de cultiver des plantes dans les espaces publics prédéfinis. De plus, la liste des espèces de plantes acceptées par l'autorité publique est précisée dans ce document. </br></br>Le contenu de ce document s'inscrit dans une initiative de la municipalité de Paris, accessible derrière ce lien (https://www.paris.fr/duvertpresdechezmoi).https://www.paris.fr/duvertpresdechezmoi).)
  • Communs et Protection Sociale/Note  + (Cette note est un des documents produits dans le cadre du groupe de recherche collaborative Protection sociale, ESS et communs, animé par l’association La Coop des Communs. Elle peut être lue indépendamment.)
  • Quartier du Crêt de Roc  + (Cette page rassemble la documentation prodCette page rassemble la documentation produite à l'occasion de l'atelier d'exploration urbaine dans le quartier du Crêt de Roc à Saint Étienne réalisée dans le cadre de la semaine de l'innovation publique organisée par la Cité du Design de Saint Étienne les 19 et 20 Novembre 2017. Saint Étienne les 19 et 20 Novembre 2017.)
  • L'Encre de mer  + (Cette revue de magazine dit que le lobbyinCette revue de magazine dit que le lobbying sur la privatizsation des droits de peche en Eruope est une menace pour la ressource (les poisson, la mer) et pour la societe (le pecheurs qui tombent victime de ce process de privatisation). Les gens ont une obligation de travailler avec les ONGs (greenpeace par exemple) pour protoger la ressourcece par exemple) pour protoger la ressource)
  • Le monde invisible  + (Cette vidéo a été tournée au Bénin lors deCette vidéo a été tournée au Bénin lors de la Journée internationale du Vodou 2013, plus précisément lors de la cérémonie de Ouidah. Elle présente une discussion dont l'exercice est de comprendre ce qui est étranger à soi. Toutefois, la vidéo défend le thème de la culture comme bien commun, et surtout de la culture immatérielle et de la vision propre du monde qu'elle véhicule.</br></br>Extrait remixé de Achille Mbembe, de Kër Thiossane</br></br>Tout en travaillant à documenter leur stage humanitaire au Bénin, les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine (Montréal (Québec)) ont été amené à porter leur regard sur trois thèmes choisis pendant le dernier camp de formation (eau, éducation, culture) afin de réaliser des capsules à partager sur la plate-forme de Remix Biens Communs.</br></br>Avec Martin Chevalier, François Gnonhoussou et les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine.</br></br>Jean-François Bourbeau (corrections audio)Jean-François Bourbeau (corrections audio))
  • Le chez soi  + (Cette vidéo a été tournée à Ouidah (Bénin)Cette vidéo a été tournée à Ouidah (Bénin), sur la plage de la Porte du non-retour. En prenant appui sur l'histoire, et tout particulièrement sur celle l'esclavage qui a marqué ce pays côtier, les jeunes sont amenés à réfléchir sur l'importance du chez soi, de la liberté et, donc, de la démocratie comme bien commun.</br>* Extraits remixés de "Jusqu'où es-tu chez toi" (Anne-Julie Rollet, Kër Thiossane et La Compagnyà) et Achille Mbembe (Kër Thiossane).</br>Cette capsule vidéo fait partie du projet: Bénin Bien Commun</br></br>Tout en travaillant à documenter leur stage humanitaire au Bénin, les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine (Montréal (Québec)) ont été amené à porter leur regard sur trois thèmes choisis pendant le dernier camp de formation (eau, éducation, culture) afin de réaliser des capsules à partager sur la plate-forme de Remix Biens Communs.</br></br>Deuxième caméra : Cédric Servay et Ariane Primeau</br></br>Avec Martin Chevalier, François Gnonhoussou et les jeunes du Collège Sainte-Anne de Lachine.</br></br>Extraits remixés de "Jusqu'où es-tu chez toi" (Anne-Julie Rollet, Kër Thiossane et La Compagnyà) et Achille Mbembe (Kër Thiossane)</br></br>Musique: "Transformation" de SoLaRisane) Musique: "Transformation" de SoLaRis)
  • Le soin empêché  + (Cette vidéo est un montage à partir des entrevues réalisées lors des Ateliers pour la refondation du service l'hôpitalier à Marseille le 3 et 4 juillet 2021)
  • Chieri  + (Chieri est une des villes en pointe sur les communs urbains en Italie. Ugo Mattei y fut l'organisateur du premier Festival International des Biens Communs en 2015.)
  • Définition des communs selon Claire Brossaud  + (Claire Brossaud processus)
  • Libre Ambulantage à Dakar  + (Clip d'appel à crowdfunding (via http://wwClip d'appel à crowdfunding (via http://www.kisskissbankbank.com/libre-ambulantage-a-dakar) pour Libre Ambulantage à Dakar, un projet de WOS/agence des hypothèses/Claire DehoveéJulie Boillot-Savarin. </br></br>Ce projet consiste à construire un dispositif d’étals ambulants, pour et avec un groupe de femmes exerçant une activité originale de couture et de stylisme dans la banlieue de Dakar ainsi qu’un groupe d’artisans exposant dans un marché artisanal bi-annuel à l’Institut Français de Dakar. L'enjeu est de permettre à ces utilisateurs de disposer d’un outil personnalisé, transformable, adaptable et évolutif : un étal itinérant, qui leur apporte mobilité et autonomie dans leur activité.</br>C’est à la fois un chariot qui transporte des marchandises ou des matériaux, un atelier de création ambulant, un micro-espace d’exposition, d’étalage et de vente. Il contribue à la visibilité et à l’émancipation professionnelle des femmes.</br></br>La réalisation d'une vingtaine d'étals, qui pourra se regrouper dans la rue et les marchés de Dakar et ses alentours, engendre un dispositif-ressource. Ce dispositif permet la mutualisation des services qu'il génère. Il crée un pôle identitaire, repérable et mobilisateur pour ses utilisatrices. Il vise à terme à créer un modèle féministe et solidaire.</br>Si les étals sont des outils de vente et de présentation dans le marché, ils s’agit de créer des zones qui imbriquent tous les éléments et situations en présence : zones de débats, d’échanges, de performances, de projections vidéographiques et d’exposition autour des activités des usagers, des phases du projet, des problématiques engagées et des actions déployées.atiques engagées et des actions déployées.)
  • Association Écoquartier  + (Comment favoriser un développement urbain Comment favoriser un développement urbain plus durable et véritablement intégrateur ? À Lausanne, l'Association Écoquartier développe un ensemble de recommandations pour la mise en œuvre d'un écoquartier. Ces recommandations peuvent être utiles pour négocier la construction et la gouvernance d'un éco-quartier avec les acteurs partis prenants : autorités locales, acteurs publics et privés de l’urbanisme et de l’immobilier, habitants et usagers de la ville.obilier, habitants et usagers de la ville.)
  • Balade de l'oppidum de Verduron - 07 L'engagement du CIQ  + (Comment le Comité de quartier s'est mobilisé pour faire connaître et protéger l'oppidum de Verduron.)
  • Aspects méconnus de l’agriculture urbaine 2 expériences entre humanisme et éveil pédagogique  + (Comment l’agriculture urbaine peut-elle paComment l’agriculture urbaine peut-elle participer d’une forme de justice sociale et environnementale ? Aux travers la présentation de deux expériences, la mise en place d’un jardin partagé dans un Centre d’Hébergement d’Urgence de migrants et l’installation d’une ferme urbaine dans un collège d’un réseau d’éducation prioritaire, ce document montrent les possibilités offertes par les initiatives de l’agriculture urbaine. les initiatives de l’agriculture urbaine.)
  • Communautique  + (Communautique a pour mission de soutenir lCommunautique a pour mission de soutenir la participation citoyenne en favorisant la maîtrise de l'information, l'appropriation des technologies de l'information et des communications et la contribution à leur développement. Communautique participe, depuis maintenant six ans, à différents projets nationaux et internationaux qui visent à s’approprier la nouvelle approche des biens communs, tant pour en préciser les concepts que pour rallier les pratiques existantes à travers le monde qui relèvent de ce nouveau paradigme.onde qui relèvent de ce nouveau paradigme.)
  • Journée Assemblées des communs - Rapport exhaustif  + (Compte rendu de la rencontre Journée Assemblées des communs organisée à Paris le 23 septembre 2016.)
  • Le climat, un "bien commun" dans les négociations internationales?  + (Conférence d'Amy Dahan dans le cadre du coConférence d'Amy Dahan dans le cadre du colloque "Pour une République des biens communs?" à Cerisy en 2016. Amy Dahan s'interroge sur la gouvernance des biens communs globaux à partir de l'expérience du climat et de la lutte contre le réchauffement climatique depuis 1992 à Rio.échauffement climatique depuis 1992 à Rio.)
  • À quelles conditions chacun peut-il contribuer aux communs ?  + (Conférence de 20 minutes suivie de questioConférence de 20 minutes suivie de questions réponses, donnée par Philippe Aigrain dans le cadre de Nuit debout. Philippe Aigrain présente 4 conditions qui favorise les communs : le temps libre, les compétences, les ressources monétaires ou modalités de transaction et la valorisation des contributions dans la société en général. contributions dans la société en général.)
  • La finance et le concept de commun  + (Conférence de Wojtek KALINOWSKI sur la finance et le concept de commun à l'occasion du colloque Vers une république des biens javascript:void(0);communs ?)
  • Jardin normal  + (Construction d'un jardin dans le quartier Crêt de Roch à Saint Étienne)
  • Rencontre avec Elinor OSTROM - part 9  + (Contributions de Roger BELOT, Président deContributions de Roger BELOT, Président de la MAIF, et de Jean Louis BANCEL, Président du Groupe Crédit Coopératif à la deuxième table-ronde : Économie sociale et Collectifs auto-organisés, gouvernance et régulation - Les apports de l'École de Bloomington (synthèse des travaux d'ateliers)omington (synthèse des travaux d'ateliers))
  • Travailler en commun - apport des coopératives d’activités et d’emploi  + (Coopaname est issue du mouvement des coopéCoopaname est issue du mouvement des coopératives d’activités et d’emploi, qui proposent une alternative à la création d’entreprise individuelle, en proposant un modèle d’entreprise original: chacun(e), qu’il soit graphiste, jardinière, formateur ou menuisier(ère) est invité(e) à développer sa propre activité de manière autonome au sein de la même coopérative. De la volonté originelle de sécurisation des parcours professionnels, dans un contexte de précarisation et d’individualisation du rapport au travail, naissent de nouvelles manières de travailler ensemble, et de nouvelles problématiques aujourd’hui au cœur du projet coopanamien: comment penser la démocratie dans une entreprise où chacun(e) développe sa propre activité? Qui possède quoi au sein de cette entreprise, au moment où la croissance de la coopérative, l’ampleur que prend le projet, impacte de plus en plus les activités, et où se développent de plus en plus d’activités collectives? Comment revoir notre rapport à la richesse, et à la rémunération, quand les coopérateurs peinent à se verser des salaires satisfaisants, alors même qu’au sein de la coopérative se crée quotidiennement une richesse qui n’est reconnue nulle part? Comment, enfin, réussir à tisser des liens solides avec l’ensemble des "travailleurs atypiques", des nouveaux indépendants, qui connaissent les mêmes problématiques et partagent pour beaucoup les aspirations des coopanamien(ne)s?</br></br>http://www.ccic-cerisy.asso.fr/bienscommuns16.htmlww.ccic-cerisy.asso.fr/bienscommuns16.html)
  • DEMlab BCN: laboratoire de démocratie  + (DEMlab BCN: laboratoire de démocratie À lDEMlab BCN: laboratoire de démocratie</br></br>À l'improbable « innovation » productiviste que propose la classe politique -toutes idéologies confondues- comme sortie de crise, la jeunesse espagnole oppose une innovation sociale majeure de rupture avec le capitalisme. Si le chemin à suivre est encore incertain, son point de départ est clair : il passe par une rénovation radicale de la démocratie 'réelle', celle de l'utilitarisme érigé en système, la démocratie de l'argent et de la corruption, de l'exclusion sociale, de la destruction de l'environnement et des solutions vertes, roses, sécuritaires ou magiques mais toutes d'abord technologiques pour sortir de tout ça et continuer « as usual », en toute « sécurité ». Ces jeunes ont une toute autre lecture du monde et de la véritable crise de civilisation qu'il traverse. Et, sans doute surpris de la réponse massive et intergénérationnelle à leur appel, ils ont maintenant à écrire une nouvelle page d'histoire. Rien de moins. Mais ils ont un atout majeur: libres de toute attache, ils ont fait la preuve de leur capacité d'initiative et d'innovation et le désir de créer est là. Et vous, toi, moi, nous, où en sommes nous?</br></br>AMBROSI Alain : Impressions glanées sur mon cellulaire Plaza de Catalunya de Barcelone du 16 au 20 mi 2011 et montées par Daniel Torrico. 20 mi 2011 et montées par Daniel Torrico.)
  • Diwo interview  + (DIWO Co-op est une coopérative de travaillDIWO Co-op est une coopérative de travailleurs situé à Madrid, Espagne qui a fait l'objet d'une présentation dans le programme espagnol de télévision, "La Aventura del Saber". Dans cette interview, deux membres de la coopérative parlent de coopérativisme, la collaboration contre l'individualisme, et des différences entre les entreprises traditionnelles et les coopératives. Ne manquez pas le récit de Mamen sur le conseiller financier qui leur a demandé de ne pas devenir une coopérative, car «ils perdraient le contrôle de leur entreprise", et leur réaction. </br></br>Lire l'article complet de Guerrilla Translation! (http://bit.ly/1hWmYyW)rilla Translation! (http://bit.ly/1hWmYyW))
  • Yochai Benkler : « Le chemin parcouru par les Communs en vingt ans »  + (Dans cette interview Yochai Benkler, préseDans cette interview Yochai Benkler, présente sa vision des communs et aborde ses relations avec l'école de Bloomington initiée par Elinor Ostrom. Il décrypte les défis et le poids politique des communs digitaux et partage sa perception de l'évolution des Communs dans le débat public depuis 20 ans.</br></br>L'entrevue a été réalisée à l'occasion de la conférence UNCOMMONS, 15ième conférence annuelle de la Berliner Gazette, qui se déroulait du 22 au 24 octobre 2015 à Berlin. Une initiative réalisée en coopération par Berliner Gazette et le théâtre Volksbühne am Rosa-Luxemburg-Platz.héâtre Volksbühne am Rosa-Luxemburg-Platz.)
  • Festival Afropixel 2  + (Dans le cadre du Off de la Biennale 2010, Dans le cadre du Off de la Biennale 2010, Kër Thiossane accueille la deuxième édition du festival Afropixel. Afropixel 2010 a pour objectif de mettre en débat la place des TICS dans la société d’aujourd’hui et d’en envisager un usage actif.</br></br>Afropixel 2010 se décompose en plusieurs actions :</br>:Des résidences artistiques avec Audry Liseron-Monfils (Guyane / Belgique), Jean Katambayi Mukendi (RDC).</br>:Des expositions, des performances , des concerts, des projections de films. Les intervenants Stephen Hobbs & Marcus Neustetter pour « Trinity Session » (Johannesburg), Jean-Noël Montagne pour « Art Sensitif » (Paris).</br>:Des débats publics – colloques</br>:Des formations publiques – Ateliers</br>:Un laboratoire de pensée sur le futur « Le Laboratoire de Prospectives Singulières ». Le Laboratoire de Prospectives Singulières ».)
  • Les communs dans l'agenda du développement  + (Dans les années 1990, les biens publics moDans les années 1990, les biens publics mondiaux s’imposent comme nouveau vecteur de l’aide. Concept puissant pour évoquer les enjeux globaux, ils souffrent néanmoins d’une interprétation étroite de la logique de l’État-Nation héritée du Traité de Westphalie (1648) qui contraint une gouvernance mondiale et limite l’efficacité d’outils réglementaires et économiques s’imposant à l’ensemble des acteurs. C’est dans ce contexte que les communs prennent leur sens, comme prolongement et relève des biens publics mondiaux. À travers eux, les actions locales et régionales reviennent au centre de l’effort global, dans une approche polycentrique de la gouvernance des ressources, défendue par E. Ostrom. Ils introduisent une démarche positive vis-à-vis des enjeux globaux, axée sur les processus. Enfin, et surtout, les communs tirent leur force de leur ancrage local. En mettant en avant clairement un espace entre le marché et l’État dans la coordination des acteurs, à des échelles diverses, ils permettent de repenser les dispositifs de gouvernance, de trouver des compromis et des synergies entre ces différents modes et d’inventer des articulations originales. Définir les communs comme vecteur de l’aide pour une agence comme l’AFD peut avoir des implications opérationnelles et stratégiques fortes. Quel positionnement peut-elle tenir entre ne pas nuire, accompagner, transformer, renforcer, voire faire émerger des communs? Comment intégrer les modes de pensée que nous proposent les communs dans les processus opérationnels et stratégiques?s processus opérationnels et stratégiques?)
  • Décodex, "fact-checking", "post-vérité" - de quoi sont-ils le nom ?  + (Dany Caligula est étudiant en master de phDany Caligula est étudiant en master de philosophie à Toulouse et travaille sur Internet à plusieurs projets qui visent à rendre accessible des "moments de pensée", notamment pour les plus jeunes et les néophytes en sciences humaines.</br></br>Décodex, "fact-checking", "post-vérité" : de quoi sont-ils le nom ? est un document qui analyse le fact-checking, au moment où le journal Le Monde propose le Décodex, un outil qui se présente comme un rempart contre ces fameuses "fake news". Dany Caligula propose en alternative de considérer l'information comme un commun et d'inventer une InfoPédia.mme un commun et d'inventer une InfoPédia.)
  • La mémoire de l'avenir  + (De 1956 à 1999, le Maroc été témoin énormeDe 1956 à 1999, le Maroc été témoin énorme violations des droits de l'homme qui comprennent la détention arbitraire, d'arrestation, de torture, de mauvais traitements et d'usage excessif de la force de la part du monarque autorités. Mais à partir de 1990, le Maroc été témoin le début des réformes sérieuses et transition vers la société plus démocratique. Maroc sérieusement traitée le nouveau code de la famille, le code pénal, la réforme du code de la liberté, une meilleure représentation des femmes au Parlement, la création de la Commission de la justice et la réconciliation, comme une commission indépendante qui a accordé l'indemnisation peu près quatre milliers de victimes de violations des droits de l'homme . Ce documentaire donne un aperçu général de la procédure de la justice transitionnelle et les projets de réparation communautaire au Maroc.jets de réparation communautaire au Maroc.)
  • De haute lutte !  + (De haute lutte ! est le titre d’un documentaire qui relate l’histoire d'une lutte de 15 ans (1992-2007) pour donner une utilité sociale et écologique à une friche ferroviaire urbaine qui deviendra Les Jardins d'Éole dans le 18em arrondissement à Paris.)
  • La gouvernance en expérimentation, modèles de partage du pouvoir et de la valeur dans l'économie collaborative  + (De la plateforme classique, à la coopératiDe la plateforme classique, à la coopérative, jusqu’au commun, les startups de l’économie collaborative font loupe sur les évolutions à l’oeuvre dans nos sociétés, vers des modes de production distribués et des modes de consommation circulaires. Parmi les derniers développements de services collaboratifs, des liens et des proximités se sont tissés avec l’ESS. D’autres, de culture plus classiquement "capitaliste numérique", font le choix rationnel d'associer les consommateurs et producteurs de services distribués aux décisions à prendre, voire à la valeur créée. Ainsi, à la croisée de courants d’appartenance différents, sont en train d’être inventés et expérimentés des schémas et pratiques de gouvernance fondées sur l’autonomie, l’implication des parties prenantes, la prise en compte des opinions.renantes, la prise en compte des opinions.)
  • Les normes comptables internationales, une nouvelle représentation de l'entreprise?  + (Depuis juillet 2002, l’Union Européenne a Depuis juillet 2002, l’Union Européenne a délégué sa fonction législative en matière de comptabilité du secteur privé à l’IASB qui émet les normes comptables internationales dites IFRS. Ce choix a orienté la comptabilité européenne vers un nouveau principe comptable, celui de la "juste valeur". Auparavant, la réglementation européenne s’inspirait essentiellement de la logique du coût historique: l’évaluation des actifs au bilan se fondait ainsi sur leurs "coûts d’acquisition amortis". Notre communication va opposer ces deux modèles comptables et analyser leurs conséquences pour la représentation, la gouvernance et la régulation des entreprises. Des cas d’étude telles les notions d’actif et de passif et la distinction entre dette et capitaux propres illustreront nos propos. Le modèle issu du principe de la juste valeur assume une représentation marchande de l’entreprise en tant que portefeuille d’actifs et passifs, alors que le modèle issue du principe du coût historique s’appuie sur une représentation de l’entreprise comme entité située dans le temps et l’espace. La crise financière qui a débuté à l'été 2007 a confirmé le défaut intrinsèque du modèle comptable de la juste valeur. Ce modèle n’a pas contribué à anticiper la crise et l’a même accentuée. La comptabilité peut et doit garder pour objectif la constitution d'un instrument de contrôle et de régulation, indépendant du marché et centré sur l’entreprise comme entité, et non suivre les valeurs de marché au jour le jour. La comptabilité doit s’imposer ainsi comme une institution centrale des économies de marché, essentielle au fonctionnement des marchés eux-mêmes, conformément à l’intérêt général.x-mêmes, conformément à l’intérêt général.)
  • FairCoin and a fair economic system  + (Des monnaies complémentaires au crédit équitable. Le système économique de faircoin expliqué dans un film d'animation)
  • Commun - Partie 1 - Commun(s) définit par Benjamin Coriat  + (Devenons Citoyens vous emmène à la conféreDevenons Citoyens vous emmène à la conférence du Mouvement Utopia, "Les communs, pour quoi faire et jusqu'où?" </br>Comme la définition des mots est d'une importance majeure pour réfléchir ensemble, Benjamin Coriat (Professeur d'économie et co-président des Economistes Atterrés) nous donne la définition précise du mot à la mode, "Commun", telle qu'Elinor Ostrom (prix Nobel d'économie 2009) et la littérature scientifique le définissent.a littérature scientifique le définissent.)
  • Commun(s) - Partie 2 - Repenser le droit des communs avec Béatrice Parance  + (Devenons Citoyens vous emmène à la conféreDevenons Citoyens vous emmène à la conférence du Mouvement Utopia, "Les communs, pour quoi faire et jusqu'où?" Ici, Béatrice Parance (professeure de droit à l'université Paris 8) nous propose un bref historique du droit des communs et des biens communs avant de faire un état des lieux du droit des communs.re un état des lieux du droit des communs.)
  • FLOK Society project  + (Dialogues et développement d'outils pour les transformations du marché, de la puissance publique et de la société civile basées sur les communs.)
  • Les remises en cause de la propriété à l’ère du numérique et les solutions pour le contrôle de la valeur  + (Divers facteurs de remises en question du Divers facteurs de remises en question du modèle "classique" de la propriété se font particulièrement prégnants à l’ère du numérique. Pour le démontrer, on reprendra tout d’abord la construction politique et juridique de la propriété en tant que pouvoir individuel de domination exclusif et absolu des choses matérielles. On insistera, ensuite, sur les débats déjà connus relativement à la pertinence du modèle, lors du basculement de la valeur, du corporel à l’incorporel et, particulièrement, à la "propriété intellectuelle". On se concentrera, enfin, sur les facteurs de remises en question actuels du modèle propriétaire, percuté par certaines des caractéristiques propres de la création de valeur à l’ère du numérique: ces facteurs vont de l’inefficacité du modèle de la propriété — en ce qui concerne notamment les propriétés intellectuelles, proclamées même aujourd’hui rudement attaquées — à l’inadaptation du modèle — en ce qui concerne des créations de la valeur qui impliquent davantage la personne que des biens, comme en matière de valorisation des données personnelles — à l’ignorance, par le modèle "historique" de propriété, des aspects collectifs ou "communs" de la création de valeur (crownfunding, crowdsourcing, communautés de création, etc.).dsourcing, communautés de création, etc.).)
  • Participez a l'écriture du manifeste commun  + (Document de travail pour la rédaction collective d'un manifeste pour les communs à Marseille pendant la quinzaine citoyenne)
  • Revolution OS  + (Documentaire de 2001 retraçant l'histoire Documentaire de 2001 retraçant l'histoire des mouvements GNU, Linux, Open Source et des logiciels libres à partir du témoignage des différents protagonistes - Torvalds, Larry Augustin, Eric S. Raymond, Bruce Perens, Frank Hecker et Brian Behlendorf.</br></br>Le film démarre avec les interviews d’Eric Raymond, Linus Torvals, Richard Stallman, Bruce Perens, puis se poursuit en présentant les différentes étape de cette histoire lorsque le code a été librement partagé et que des luttes avec les fournisseurs de logiciels propriétaires conduisaient, par exemple, au départ de Richard Stallman du MIT. Celui-ci a pu alors se concentrer sur le développement du logiciel libre et sur le projet GNU. Le film documente également l'impact de la première conférence LinuxWorld, montrant Linus Torvalds et Larry Augustin lors des sessions d'ouverture.ry Augustin lors des sessions d'ouverture.)
  • La Chapelle- Histoire d'un quartier  + (Documentaire sur l'histoire du quartier La Chapelle de Paris, fait par ses habitants.)
  • Zones d’Autonomie Conventionnée partie 1/2  + (Documentaire sur les occupations éphémèresDocumentaire sur les occupations éphémères du quartier de la Chapelle (Paris).</br></br>Arrière-Cour 93, Jardin d'Alice, Ecobox, Théâtre de Verre, Shakirail, Bois Dormoy, lieux éphémères du quartier de la Chapelle dans le XVIIIe arrondissement, racontent leur histoire d'occupation de bâtiments vides et de parcelles nues transformés en ateliers d'artistes et jardins partagés. A l'occasion des événements organisés par les six lieux dans le cadre des Portes Ouvertes de la Chapelle en 2013, ce documentaire se veut un voyage entre leur existence quotidienne et leur relation avec le Paris en transformation. relation avec le Paris en transformation.)
  • Zones d’Autonomie Conventionnée partie 2/2  + (Documentaire sur les occupations éphémèresDocumentaire sur les occupations éphémères du quartier de la Chapelle (Paris).</br></br>Arrière-Cour 93, Jardin d'Alice, Ecobox, Théâtre de Verre, Shakirail, Bois Dormoy, lieux éphémères du quartier de la Chapelle dans le XVIIIe arrondissement, racontent leur histoire d'occupation de bâtiments vides et de parcelles nues transformés en ateliers d'artistes et jardins partagés. A l'occasion des événements organisés par les six lieux dans le cadre des Portes Ouvertes de la Chapelle en 2013, ce documentaire se veut un voyage entre leur existence quotidienne et leur relation avec le Paris en transformation. relation avec le Paris en transformation.)
  • Bénin en biens communs  + (Documentation d'une expérience interculturelle au Bénin Version française : http://www.remixthecommons.org/projet/benin-bien-commun/ English version : http://www.remixthecommons.org/en/projet/benin-bien-commun/)
  • Atelier de création remix  + (Documentation ouverte de l'organisation d'Documentation ouverte de l'organisation d'un atelier en création de remix, à partir du défi d'organiser un atelier pour traiter et remixer le matériel vidéo issu d'une expérience de récolte au cours de l'événement Art de l'encommun qui s'est déroulé à Montréal en novembre 2014.s'est déroulé à Montréal en novembre 2014.)
  • La Chapelle Marx Dormoy/ Dormoy Labs  + (Dormoy Lab est une tentative d'explorationDormoy Lab est une tentative d'exploration du quartier La Chapelle - Marx Dormoy sous l'angle de ses initiatives populaires et de ses manières de donner vie au quartier. </br></br>Qui sont les habitants, quelles sont les richesses du quartier, comment y vit-on ? Cette exploration vise à nous permettre de connaître les communs du quartier. Les communs sont ici les manières qu'ont les habitants de se saisir et se doter de ressources collectives, et d'en assurer une gouvernance démocratique, pour résoudre les problèmes qu'ils rencontrent et améliorer leur vie quotidienne.ontrent et améliorer leur vie quotidienne.)
  • Droits en Biens Communs  + (Droits en biens communs'' est un projet de remix pour documenter la place du droit basé sur les biens communs dans le contexte des négociations de Rio+20.)
  • Charte de bon voisinage, éloignez votre poubelle !  + (Du conflit à la bienveillance : naissance Du conflit à la bienveillance : naissance d’un bien commun</br></br>Dans Dakar, ville océane, victime de son attractivité, les problèmes quotidiens se ressemblent. Gestion des ordures, pollution sonore, déficit d’infrastructures d’utilité publique… sont autant de sources de conflits latents ou ouverts entre voisins. Le documentaire du LARTES raconte comment des voisins qui vivent dans le secteur 15 des Almadies, quartier résidentiel de Dakar, ont su se concerter pour transformer un fort potentiel de conflit en sources et ressources d’une mutuelle sollicitude. Il montre l’opérationnalité d’une charte de bon voisinage qui permet de défragmenter les conflits et d’éviter leur juridication (gendarmerie). Le spectateur est ainsi entraîné au cœur de la gestion et des applications quotidiennes de la charte ; il est aussi invité à découvrir, au-delà de ses impacts dans l’organisation de l’espace commun, le remarquable outil citoyen qu’elle constitue pour dialoguer avec les pouvoirs publics et, collectivement, décider des transformations qui peuvent affecter dans un sens ou un autre la vie du quartier. Cependant, au-delà de ses effets sociaux ordinaires et politico-administratifs, le documentaire insiste également sur le regard lucide des concernés qui admettent volontiers que la charte de bon voisinage ne règle pas tous les problèmes. Cependant, et c’est ce que nous retenons avec eux, la charte crée un cadre d’interconnaissance vitale, pour bâtir une citoyenneté active à partir d’un projet commun de mieux vivre ensemble.’un projet commun de mieux vivre ensemble.)
  • Les enclosures des bien communs - du vivant aux logiciels libres  + (Débat avec Richard Stallman et Jean PierreDébat avec Richard Stallman et Jean Pierre Berlan organisé par Jeremie Nestel, Bellinux et La Cantine à Paris.</br></br>Accéder aux versions libres sur https://archive.org/details/LesEnclosuresDesBienCommuns-DuVivantAuxLogiciels</br></br>Philippe Charles Nestel (animateur)ciels Philippe Charles Nestel (animateur))
  • Dichiarazione d’uso civico e collettivo urbano  + (Déclaration d'usage civique et collectif urbain de l'Ex Asilo Filangieri, élaborée collectivement dans le cadre d'un atelier de travail public tenu chaque semaine de mai 2012 à décembre 2015.)
  • Définition des communs selon Moussa Mbaye  + (Définir les communs, Héritage commun, Préservation, Identité)
  • Enric Duran - FairCoop (sous-titres français)  + (Définissant Faircoop comme " une coopératiDéfinissant Faircoop comme " une coopérative ouverte mondiale  qui a pour objectif de créer un nouveau système économique qui vise à supprimer les inégalités …. et créer du bien commun mondial", Enric Duran, son fondateur, nous parle des monnaies complémentaires  et souligne la particularité de Faircoin par rapport à Bitcoin et autres cryptomonnaies . Après avoir expliqué le lien avec l'" Appel à la révolution intégrale", il détaille dans le concret  les différents fonds que propose la Faircoop. différents fonds que propose la Faircoop.)
  • Définir le Bien Commun: Salimata Wade à Dakar  + (Définition des biens communs par Salimata Wade à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011. Langue : Wolof, Français)
  • Définir le Bien Commun: Claire Brossaud à Dakar  + (Définition des biens communs par Claire Brossaud à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011.)
  • Définir le Bien Commun: Abdou Salam Fall à Dakar  + (Définition des biens communs par Abdou Salam Fall à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011. Langue : Wolof traduit en français)
  • Définir le Bien Commun: Isabella Lövin à Dakar  + (Définition des biens communs par Isabella Lövin à l'occasion du Forum Social Mondial à Dakar en février 2011. Langue : Suédois traduit en Anglais)
  • Définition des communs selon ANGA NINAWAMAN Chaska  + (Définition des communs en français et quechua.)
  • Produire les médicaments comme des communs  + (Développer une proposition concrète de production de plusieurs médicaments gérés comme des communs.)
  • Biens communs : Une alternative ici et maintenant pour les sciences  + (Echanges autour des enjeux des biens comuns et de la science ouverte dans le cadre du Forum sciences et démocratie à Belem en 2009.)
  • El Gran Dragon, sur les communs de la forêt au Pérou  + (El Gran Dragón, tourné au cours de plusieuEl Gran Dragón, tourné au cours de plusieurs séjours au Pérou, principalement en forêt amazonienne, est un voyage d’exploration mené par une équipe à la recherche d’un savoir en perdition : la médecine traditionnelle. </br></br>Au gré des rencontres et des témoignages, la découverte des origines de la médecine traditionnelle permet de saisir les fondements de la médication occidentale. Ces témoignages font état à la fois de la transmission des connaissance, de croyances d'une harmonie avec la forêt et de l'idée que le rôle du patient est primordiale dans sa guérison. Ce savoir, datant de plusieurs milliers d’années, est de moins en moins retranscrit et se perd entre lobbys pharmaceutiques, tourisme chamanique, pollution et déforestation et ses conséquences sur la perte des plantes utilisées en médecine.a perte des plantes utilisées en médecine.)
  • Rencontre avec Elinor OSTROM - part 4  + (Elinor Ostrom répond aux questions posées lors de la première Table ronde de la rencontre de l'ESS avec Elinor Ostrom : Économie sociale et biens communs, bien immatériels - systèmes d'information et internet.)
  • Rencontre avec Elinor OSTROM - part 7  + (Elinor Ostrom répond aux questions posées lors de la première Table ronde de la rencontre de l'ESS avec Elinor Ostrom : Économie sociale et biens communs, bien immatériels - systèmes d'information et internet.)
  • Ending The Tragedy of The Commons  + (Elinor Ostrom, l'économiste lauréat du prix Nobel a fait valoir que, contrairement à la théorie répandue, avec une bonne gouvernance, les humains sont susceptibles de forger des solutions pacifiques pour faire face à la rareté des ressources.)
  • Festival des murs à pêches de Montreuil  + (Emission de radio Communs urbains, l'atlas dédiée au Festival des murs à pêches à Montreuil)
  • Vincent Ostrom and the Alaska Constitution  + (En 1955, le secrétaire de la Convention coEn 1955, le secrétaire de la Convention constitutionnelle de l'Alaska a invité Vincent Ostrom à Fairbanks (nee College), en Alaska pour aider les délégués à rédiger la première loi constitutionnelle complète du monde sur les ressources naturelles. Vincent défini les idées des délégués en langage juridique et a travaillé avec eux jusqu'à ce que les citoyens du Territoire de l'Alaska votent la nouvelle constitution. L'Alaska, le North Star State, a rejoint l'Union 3 Janvier 1959.r State, a rejoint l'Union 3 Janvier 1959.)
  • Las Damas Azules  + (En 2012, le gouvernement péruvien donne leEn 2012, le gouvernement péruvien donne le feu vert au projet minier Conga à Cajamarca. Ce n'est pas la première fois que les projets d'expansion de l'exploitation minière menacent dans cette région. Depuis plus de vingt ans, Yanacocha la plus grande mine d'or à ciel ouvert en Amérique latine, s'attaque aux ressources en eau. C'est dans ce contexte, au coeur de Jalca andine, qu'est né une force féminine sans faille. Ni la peur, ni les attaques n'ont pu arrêter ces femmes qui, avec conviction et espoir, élèvent la voix de la lutte pour préserver la vie, la Pachamama et l'eau. Trois ans plus tard, Las Damas Azules (les femmes bleues) sont encore debout et chantent la liberté.sont encore debout et chantent la liberté.)
  • Falkirk  + (En 2013, en Écosse, les communautés de FalEn 2013, en Écosse, les communautés de Falkirk et des environs ont mis en place une charte communautaire pour lutter contre l'extraction du méthane de houille (un procédé similaire à la fracturation hydraulique). Les habitants se sont réunis pour dresser la liste de ce qu'ils estimaient important et voulaient protéger afin de préserver leur santé, leur mode de vie et le bien-être futur de leurs enfants et petits-enfants. Ils ont également imaginé à quoi ressemblerait une économie locale viable à long terme et ce qu'ils pourraient faire pour s'assurer que le monde naturel qui les entourait soit indemne. Cette charte a été l'un des outils pour faire reconnaître les droits de la communauté et la société civile locale.la communauté et la société civile locale.)
  • Soutien aux communs, l'approche de femProcomuns  + (En Catalogne, la coopérative femprocomuns En Catalogne, la coopérative femprocomuns propose des ateliers, des sessions de travail et des outils élaborés à partir du Modèle de Soutenabilité des Communs, qui a fait l'objet d'une recherche de plusieurs années avec des collectifs et des individus engagés dans les communs.et des individus engagés dans les communs.)
  • Tension entre public et communs  + (En Espagne, une vague colorée est dans la En Espagne, une vague colorée est dans la rue: vert (éducation), blanc (professionnels de santé), orange (services sociaux) pour répondre aux compressions des budgets publics et aux politiques de privatisation. Le secteur public se mobilise pour sauver l'accès universel aux services de base pour la vie sociale. Il s'agit d'une défense passionnée qui implique aussi bien les professionnels que les citoyens, appelant à inverser la tendance d'une aversion du domaine public.</br></br>Session générale du groupe de travail de Medialab Prado sur la tension entre le public et l'Etat et sa relation avec les communs.et l'Etat et sa relation avec les communs.)
  • Dévoilement du web documentaire « Ô Saint-Laurent : une histoire d'eau et d'appartenance »  + (En cette Journée mondiale de l'eau (22 marEn cette Journée mondiale de l'eau (22 mars 2013), Communautique dévoile le web documentaire « Ô Saint-Laurent : une histoire d'eau et d'appartenance ». Réalisé dans le cadre du projet Remix biens communs, le court-métrage donne la parole à une dizaine d'intervenants-tes montréalais qui oeuvrent à protéger les cours d'eau entourant la métropole et ses environs et à en favoriser l'accès pour les citoyens-nes.</br></br>Bâtie sur une île, la Ville de Montréal a au cours de son histoire entretenu des liens étroits avec l'eau. Toutefois, les processus d'urbanisation et d'industrialisation qu'a connus la métropole au cours du dernier siècle ont graduellement contribué à éloigner la population de cette ressource primordiale.</br></br>C'est dans un désir de réappropriation de l'eau en tant que bien commun que Communautique a rassemblé plusieurs acteurs-trices montréalais-es de la préservation et de la valorisation de cette précieuse ressource naturelle lors d'un Déjeuner des communs à l'automne 2012. Au cœur de cette rencontre dominait une question aux multiples réponses : Comment pouvons-nous nous réapproprier le fleuve Saint-Laurent comme bien commun ?</br></br>Que ce soit par l'imaginaire d'une eau urbaine traversant la ville pour l'écrivain Lamberto Tassinari, par l'engagement citoyen pour la Fondation Rivières et ses représentants Roy Dupuis et Alain Saladzius, ou par l'éducation et l'apprentissage que prône le capitaine Simon Paquin sur son navire-école ÉcoMaris, « Ô Saint-Laurent : une histoire d'eau et d'appartenance » propose non seulement une réflexion sur l'eau en tant que bien commun, mais des pistes de solutions pour envisager son appropriation collective.ur envisager son appropriation collective.)
  • Entre la République coopérative et les biens communs - plus que des affinités  + (En nous penchant comparativement sur l’expEn nous penchant comparativement sur l’expérience coopérative et sur le devenir des communs, nous aboutissons à cette proposition: il n’est pas de communs sans communautés comme il n’est pas de coopérative sans coopérateurs. Au-delà de l’analogie, nous nous demandons si le lien entre coopérative et communs ne peut être pas pensé en termes d’homologie, voire d’identité. Quelle que soit la période considérée et conséquemment le type de République (de travailleurs, de consommateurs, d’habitants), quel que soit l’espace territorial qu’elle exprime (la communauté/le monde/le milieu), nous montrerons que les Républiques coopératives sont les expressions contemporaines parmi les plus abouties des modes de gouvernement des communs.ies des modes de gouvernement des communs.)
  • The Years of Lead in Maroc: Women Speak Out, Excerpts from public hearings 2004-2005  + (En tant d'importantes archives, ce documenEn tant d'importantes archives, ce documentaire comprend beaucoup de témoignages de victimes féminines  au cours des années de plomb au Maroc, laquelle ont été extraites des audiences publiques de 2004-2005. Les victimes et les proches partout Maroc et parlent de leurs souvenirs et expériences au sujet de l'arrestation et de détention arbitraires, de tortures, de mauvais traitements. Ces histoires sont tristes et choquantes, dans le même temps à construire un pont vers un Maroc nouveau, parce que de leur part, les gens pu découvrir la vérité du les années de plomb au Maroc.</br></br>Avec le soutien de : </br>* The Advisory Council on Human rights(ACHR)</br>* UNIFEM Sub Regional Office for North AfricaNIFEM Sub Regional Office for North Africa)
  • La compostabilité des structures, des projets et des humains - Laurent Marseault  + (Enregistrement de Laurent Marseault où il Enregistrement de Laurent Marseault où il est question de « compostabilité » à l'occasion d'une intervention en Touraine. L'enregistrement est donc de qualité moyenne, il sert de matière complémentaire à un article en court d'écriture.</br></br>Laurent y partage l'importance pour que des Communs en soit vraiment de penser dés leur démarrage les conditions de leur compostabilité, c'est à dire ce qui fera que l'expérience accumulée, le projet ou la structure pourra à sa mort réellement servir à d'autres.</br></br>Quelques affirmations qui ressortent de cet extrait : </br>* Les humains sont vivants, ils doivent donc créer du vivant pour survivre</br>* Pour créer du vivant il faut penser la mort du projet en amont</br>* Les Communs et les licences ne garantissent pas la capacité à réutiliser garantissent pas la capacité à réutiliser)
  • MACAO 08 - Sur le festival de Chieri  + (Entretien avec FIORDIMELA Cristina ThèmeEntretien avec FIORDIMELA Cristina </br></br>Thème : Sur le Festival International des communs de Chieri, Cristina Fiordimela explique les raisons de la modestie de l'investissement des activistes dans le festival par la forme adoptée et le mode d'organisation top-down.doptée et le mode d'organisation top-down.)
  • MACAO 06 - Coopération internationale  + (Entretien avec FIORDIMELA Cristina Thème : Avec quelles organisations le collectif MACAO a-t-il des échanges en dehors d'Italie ?)
  • MACAO 05 - MACAO 0et travail médiatique  + (Entretien avec FIORDIMELA Cristina Thème : L'origine du nom de MACAO et son rapport au domaine médiatique ?)
  • MACAO 07 - Extractivisme culturel  + (Entretien avec FIORDIMELA Cristina Thème : Cristina Fiordimela explique les enjeux de la relation des lieux culturels tels que MACAO avec les institutions culturelles.)
  • Entretien Flavia Nunez Assemblea en Defensa del Territorio  + (Entretien avec Flavia Núñez, membre de l'Assemblée en défense du Territoire de Puerto Madryn, province de Chubut, Argentine.)
  • 5 preguntas a Iago Martínez  + (Entretien avec Iago Martinez, Chef de Cabinet à la mairie de La Coruña, lors de la réunion Villes Sans Peur (Fearless Cities) à Barcelone en Juin 2017.)
  • Entretien avec Jérémie Zimmerman - la Parisienne Libérée  + (Entretien de documentation pour le projet Datalove / chroniques parlées-chantées à découvrir sur Mediapart hhttp://blogs.mediapart.fr/blog/la-parisienne-liberee/010214/chansons-avec-jeremie-zimmermann)
  • Entrevue Alba Hierro PamaPam  + (Entretien entre Alain Ambrosi, Frédéric SuEntretien entre Alain Ambrosi, Frédéric Sultan et Alba Hierro, co-coordinatrice de Pam a Pam ( carte des initiatives de consommation responsable et de l'économie sociale et solidaire en Catalogne), pendant le Forum des Economies Collaboratives Procomuns 2017 à Barcelone.L'entretien est en espagnol, traduit en français.tien est en espagnol, traduit en français.)
  • Construire un pays en commun(s)  + (Entrevue avec Joan Subirats. Barcelone, 20 avril 2017)
  • Entrevue David Bravo  + (Entrevue avec David Bravo, architecte barcelonais. Ancien conseiller en charge de la lutte contre la gentrification de la Mairie de Barcelone. Membre du collectif La ''Fira o la Vida''.)
  • Entretien avec Étienne Le Roy  + (Entrevue avec Etienne Le Roy)
  • Collectif de soins : de l'autogestion à la santé en commun !  + (Entrevue avec Fabienne Orsi, Janvier 2021)
  • Entrevue Fernando Pindado  + (Entrevue avec Fernando Pindado, commissaire à la participation et la démocratie active de la Mairie de Barcelone (depuis 2016) pendant le Forum d’Economies Collaboratives Procomuns 2017 à Barcelone.)
  • Entrevue Mayo Fuster Dimmons  + (Entrevue avec Mayo Fuster Morell, directrice de Dimmons pendant le Forum d’Economies Collaboratives Procomuns 2017 à Barcelone. Entretien réalisé en espagnol et traduit en français.)
  • Interview Julie Bregeot  + (Entrevue avec une habitante du quartier dans le cadre de Dormoy Lab à La Chapelle (Paris 18eme))
  • Le P2P, la culture libre et le mouvement des Communs, avec Lionel Maurel  + (Entrevue de Lionel Maurel de La BibliothèqEntrevue de Lionel Maurel de La Bibliothèque de Documentation Internationale Contemporaine et co-fondateur de Savoirscom1.</br></br>L'entrevue a été réalisée à Montréal le 3 novembre 2012 après la tenue d'une conversation publique "À l'école des Communs" organisée par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l'UQÀM.</br></br>TABLE DES MATIÈRES DE L'ENTRETIEN</br></br>(Pour visionner cette entrevue selon les chapitres du sommaire utiliser youtube en cliquant sur l'icône youtube en bas et à droite de l'écran. Cliquez ensuite dans le sommaire sur le time code qui correspond au chapitre que vous souhaitez voir. )</br></br>#. (00:33 secondes) Point de vue d'un juriste sur le P2P et le bien commun</br>#. (01:44 minutes) Le P2P et ses effets sur les industries culturelles</br>#. (02:42) Réponse des tribunaux aux pratiques P2P</br>##- Les verrous numériques (DRM) et les lois afférentes (03:27)</br>##- Escalade dans la violence légale (04:33)</br>##- Une atteinte à l'internet comme bien commun (05:12)</br>##- Les différentes lois et traités internationaux (06:47)</br>#. (07:34) Les stratégies d'acteurs privés</br>#. (08:16) Face à cette escalade, comment agir?</br>##- La culture libre et ses effets (08:35)</br>##- Les capacités limitées de la culture libre d'aboutir à une réforme globale (09:56)</br>##- La solution par l'approche des biens communs (12:21)</br>##- Phase juridique: légaliser le partage à des fins non marchandes (14:13)</br>##- Phase économique: Économie du partage, financement de la création (15:36)</br>##. (16:38) Les 3 approches possibles</br>##- Approche 1: Licence globale (16:53) </br>##- Approche 2: L'approche pirate (18:28)</br>##- Approche 3: La contribution créative (19:32)</br>#. (22:46) Conclusion : Seule l'approche par les biens communs permet de penser une réforme globale.muns permet de penser une réforme globale.)
  • Vue d’ensemble de l’économie collaborative avec Michel Bauwens  + (Entrevue de Michel Bauwens, fondateur de lEntrevue de Michel Bauwens, fondateur de la Fondation P2P. L’entrevue a été réalisée à Montréal le 3 novembre 2012 après la tenue d’une conversation publique « À l’école des Communs » organisée par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l’UQÀM.s et les innovations politiques de l’UQÀM.)
  • Vue d'ensemble de l'économie collaborative avec Michel Bauwens  + (Entrevue de Michel Bauwens, fondateur de lEntrevue de Michel Bauwens, fondateur de la Fondation P2P. L'entrevue a été réalisée à Montréal le 3 novembre 2012 après la tenue d'une conversation publique "À l'école des Communs" organisée par Communautique et Remix biens communs, en collaboration avec la Chaire Nycole Turmel sur les espaces publics et les innovations politiques de l'UQÀM.</br></br>TABLE DES MATIÈRES DE L'ENTRETIEN</br></br>(Pour visionner cette entrevue selon les chapitres du sommaire utiliser youtube en cliquant sur l'icône youtube en bas et à droite de l'écran. Cliquez ensuite dans le sommaire sur le time code qui correspond au chapitre que vous souhaitez voir. )</br>*(00:35 secondes) Présentation de l'ouvrage</br>* Thèse principale (01:21 minute)</br>* Chapitre 1 : Introduction : Quand le vertical rencontre l'horizontal (01:55 minute)</br>* Chapitre 2 et 3 : L'émergence d'un écosystème centré sur l'usager (02:14 minutes)</br>* Chapitre 4: Économie Bottom-Up (03:19 minutes)</br>* Chapitre 5: Les infrastructures distribuées (05:49 minutes)</br>* Chapitre 6: La monétisation ou les Open business model (06:56 minutes)</br>WikiSpeed: un exemple de production pair à pair</br>* Les conditions d'émergence de nouveaux paradigmes (07:19 minutes)</br>* L'exemple de Wiki speed: La logique de la nouvelle économie (08:49 minutes)</br>* L'open hardware est compétitif dans le système capitaliste (12:58 minutes)</br>* (13:37 minutes) Pourquoi le capitalisme ne peut s'approprier ce nouveau modèle?</br>* Le problème de la production entre pairs dans le système capitaliste (14:59 minutes)</br>**(15:45 minutes) La peer production licence et la création d'un réseau autonome</br>**(17:07 minutes) La stratégie de changement à soutenir</br>**(18:02 minutes): Le capitalisme netarchique (ex. Facebook)</br>**(19:40 minutes) Le capitalisme distribué (ex. Bitcoin)</br>**(21:07 minutes): Le mouvement de résilience locale</br>* L'orientation globale pour le commun (22:01 minutes)</br>* Abondance et rareté dans le monde de pair à pair.(22:23 minutes)</br>* Rôle d'internet dans la culture des communs (23:50 minutes)</br></br>(24:46 minutes) Les trois sortes de commun</br></br>(26:08 minutes) Conclusion: LES ENJEUX actuels</br>* Mutualisation des connaissances et du matériel (26:20 minutes)</br>* Enjeu d'aujourd'hui: économie de portée vs économie d'échelle (27:48 minutes)rtée vs économie d'échelle (27:48 minutes))
  • RITIMO s'engage pour le Temps des communs  + (Erica Campelo et Béatrice David présente Erica Campelo et Béatrice David présente les enjeux sur lesquels se mobilise l'association RITIMO et les actions qu'elle projette pour le Temps des communs (2015) lors de la conférence de presse du festival organisée à l'occasion du 800 ième anniversaire de la signature de la Magna Carta.ersaire de la signature de la Magna Carta.)
  • Réseau francophone des communs  + (Espace ouvert d'échange sur les biens communs, le réseau a été lancé en 2012 lors d'une rencontre des acteurs des communs le 26 septembre 2012, à l'initiative de membres de l'association VECAM.)
  • Mutualisme et économie collaborative  + (Etude comparative historique entre le mutuEtude comparative historique entre le mutualisme et l'économie collaborative conduite par Bruno Carballa.</br></br>Quels liens pourraient s'établir entre le mutualisme et l'économie collaborative ? Cette étude montre les points en commun entre ces deux mondes au niveau théorique (valeurs et pratiques partagées) et comment le mutualisme pourrait s'insérer dans l'économie collaborative et favoriser son essor. Une première partie retrace brièvement les points les plus marquants de l'histoire du mutualisme français. La deuxième partie expose les grands défis actuels du mutualisme. La troisième partie analyse le concept d'économie collaborative et celui de «commun» pour montrer les points de contact et les frontières que s‟établissent entre les deux mondes. </br></br>Mémoire de recherche rédigé dans le cadre d’un stage à la MAIF.rédigé dans le cadre d’un stage à la MAIF.)
  • Letchworth Garden City  + (Etude de cas Letchworth Garden City par DrEtude de cas Letchworth Garden City par Dr. Yves Cabannes University College London</br></br>1. Maps of Letchworth</br>*Vicinity Map </br>*Aerial View</br>*Historic Maps </br></br>2. Logistics</br>*Itinerary</br>*Main Actors and Additional Sources</br></br>3. City History</br></br>4. Governance</br></br>5. City Council</br></br>6. Letchworth Garden City Heritage Foundation (LGCHF)</br></br>7. District Council</br></br>8. Gardeners Association</br></br>9. Community Land Trusts</br></br>10. Annexes</br>*Annex 1: LGCC Draft Budget for 2011/12</br>*Annex 2: Heritage Foundation Financial Statements</br>*Annex 3: Central Government Position on CLTs</br>*Annex 4: 21st Century Garden Cities of Tomorrow: New Garden City Movement</br>*Annex 5: Letchworth Attractions Movement *Annex 5: Letchworth Attractions)
  • Des droits basés sur les biens communs  + (Exploration à deux voix de la construction de droit(s) basé(s) sur les communs)
  • Jean-Luc Nancy - "Pour une commune pensée"  + (Extrait de Notre Monde, de Thomas Lacoste Extrait de Notre Monde, de Thomas Lacoste (http://www.notremonde-lefilm.com)</br></br>Jean-Luc Nancy, né en 1940, professeur émérite de philosophie à l'université de Strasbourg, où il a toujours exercé depuis 1968 (avec des séjours de professeur invité à Berlin, aux États-Unis, en Italie, et de nombreux voyages), a particulièrement travaillé sur le thème de la « communauté », sur celui du « corps » et sur les arts.</br></br>Il a écrit de très nombreux livres, dont la plus grande partie est publiée chez Galilée (voir le site de l'éditeur). Ces dernières années, ses principales publications ont concerné la « déconstruction du christianisme » (La Déclosion et l'Adoration) et le sens du mot « politique » (Vérité de la démocratie, Politique et au-delà, etc).</br></br>Notre Monde, de Thomas Lacoste. Synopsis</br></br>Rassemblant plus de 35 intervenants, philosophes, sociologues, économistes, magistrats, médecins, universitaires et écrivains, Notre Monde propose un espace d’expression pour travailler, comme nous y enjoint Jean–Luc Nancy à « une pensée commune ».</br>Plus encore qu’un libre espace de parole, Notre Monde s’appuie sur un ensemble foisonnant de propositions concrètes pour agir comme un rappel essentiel, individuel et collectif : « faites de la politique » et de préférence autrement.</br></br>Thomas Lacoste, initiateur de L’Autre Campagne parallèle à la campagne présidentielle de 2007, auteur des entretiens Penser critique, kit de survie éthique et politique pour situations de crise(s) (47 films, 24h, éditions Montparnasse, 2012), nous offre ici une grande respiration, comme un temps de pause, face au rythme haletant de la vie politique.ce au rythme haletant de la vie politique.)
  • MACAO 02 - Charte des communs de Milan  + (FIORDIMELA Cristina répond à la question : Est-ce qu'il existe une charte des communs de la ville de Milan et explique le processus de production de la charte des communs de Milan encore en discussion.)
  • « Les espaces de vie à Ouakam » avec Elise Fitte-Duval  + (FITTE-DUVAL Elise visite Ouakam, l'une desFITTE-DUVAL Elise visite Ouakam, l'une des dix-neuf communes d'arrondissement de la ville de Dakar, propriété communautaire des lébous. Au cours d'une réunion publique (octobre 2009), le maire annonce sa décision de vendre les terrains qui appartiennent à l'autorité traditionnelle. Comment les lébous se mobilisent-ils pour contrer la pression foncière et attribuer les terres aux familles ?ère et attribuer les terres aux familles ?)
  • Contributions au séminaire FLOK Society  + (FLOK est l’acronyme de Free/Libre Open KnoFLOK est l’acronyme de Free/Libre Open Knowledge Society, la société pour la connaissance libre et ouverte. À travers Ce projet de recherche, Michel Bauwens entreprend de refonder l'économie de l'Équateur en déclenchant une transition nationale vers une société de la connaissance libre et ouverte.ciété de la connaissance libre et ouverte.)
  • Transition citoyenne  + (Face à la crise systémique, des centaines Face à la crise systémique, des centaines de milliers de citoyens ont déjà choisi et œuvrent chaque jour à une profonde transition sociale, écologique et économique de la société.</br></br>14 mouvements citoyens moteurs dans de nombreux domaines d’activité (agriculture, éducation, énergie, finance, économie, bien-être social, insertion, démocratie, accompagnement du changement…) ont décidé de se regrouper autour du « Collectif pour une Transition Citoyenne ».</br></br>Ces mouvements citoyens d’économie sociale et solidaire témoignent à travers leurs expertises et leurs expériences de la construction d’une société nourrie par des valeurs de solidarité, de coopération, de respect des humains et des écosystèmes.</br></br>Rassemblés autour d’une déclaration commune dévoilée le 25 mai 2013 en point d’orgue du Festival de la Transition (du 24 au 26 mai 2013 à Cluny), les membres du Collectif pour une Transition Citoyenne lancent un appel à amplifier ce mouvement citoyen. Ils invitent celles et ceux qui partagent leurs convictions et veulent provoquer un sursaut, pour passer de plusieurs centaines de milliers de personnes impliquées à des millions. La Déclaration Commune de création du Collectif peut être téléchargée et diffusée.</br></br>Onpassealacte.fr (http://onpassealacte.fr) est un site de journalisme constructif ou journal positif sur les initiatives ingénieuses, remarquables et inspirantes réalisées par des citoyens à travers des interviews vidéos : faire avancer le schmilblick et changer le monde vers plus d'écologie et d'humanisme par la créativité, l'action et l'innovation citoyenne et individuelle.et l'innovation citoyenne et individuelle.)
  • El faircoin y un sistema economico justo  + (Faircoin et un système économique juste expliqué en une brève animation vidéo (version espagnole).)
  • Fiche de proposition - contribution SM17  + (Fiche de proposition ou contribution au débat de la journée Finance Autrement RIODDdu 25.05.18)
  • Culture & Démocratie  + (Fondée en 1993, constituée en asbl en 1994Fondée en 1993, constituée en asbl en 1994, association d’éducation permanente depuis 2010, Culture & Démocratie est une plateforme de réflexion, d’observation, d’échange et de sensibilisation à ce qui lie la culture et la démocratie. Cette articulation nourrit l’association depuis son origine.</br></br>Culture & Démocratie inscrit son travail de recherche et de réflexion dans plusieurs axes thématiques – prison, enseignement, santé, travail social, droit de participer à la vie culturelle, numérique, territoires, communs, migration(s) – dont elle explore à chaque fois l’articulation au champ culturel. Ces travaux donnent lieu à des échanges et des publications.x donnent lieu à des échanges et des publications.)
  • MACAO 01 - L'art dispositif d'activation politique  + (Fragment de conversation avec FIORDIMELA Cristina militante de Macao à Milan. "L'art c'est une sorte de dispositif politique pour activer des pratiques.")
  • MACAO 11 - Origine du collectif MACAO  + (Fragment de conversation avec FIORDIMELA CFragment de conversation avec FIORDIMELA Cristina militante de Macao à Milan. </br></br>Thème : MACAO existe depuis 2011 comme espace de réflexion. Le 5 mai 2012, il occupe la Tour Galfa au centre de MILAN. Puis il s'installe dans le local actuel. La mobilisation du collectif est motivée par la recherche de moyen de produire sans être dépendant du marché de l'art.re sans être dépendant du marché de l'art.)
  • MACAO 09 - Communauté Macao  + (Fragment de conversation avec FIORDIMELA Cristina militante de Macao à Milan. Thème : Communauté de Macao : quelle est sa composition et comment fonctionne-t-elle ?)
  • MACAO 10 - Ressources financières  + (Fragment de conversation avec FIORDIMELA CFragment de conversation avec FIORDIMELA Cristina militante de Macao à Milan. </br></br>Thème : MACAO ne dispose pas de budget et ne paie pas sa consommation électrique et eau qui sont volées. Des ressources financières proviennent des activités et servent à réaliser des travaux ou équiper les espaces pour les activités.ou équiper les espaces pour les activités.)
  • Le printemps arabe: une révolution de jeunes  + (Ghassan Wail El Karmouni est journaliste eGhassan Wail El Karmouni est journaliste et membre du Forum des Alternatives du Maroc.</br>Entrevue réalisée pour remixthecommons.org à Dakar le 11 février 2011 lors du Forum Social Mondial. Les révoltes et manifestations populaires étaient alors en cours en Tunisie et en Egypte et n'avaient pas encore eu de développements dans les autres pays arabes.éveloppements dans les autres pays arabes.)
  • Liberté d'expression et médias sociaux au Maroc: un état des lieux  + (Ghassan Wail El Karmouni est journaliste eGhassan Wail El Karmouni est journaliste et membre du Forum des Alternatives du Maroc.</br>Entrevue réalisée par AMBROSI Alain pour remixthecommons.org à Dakar le 11 février 2011 lors du Forum Social Mondial. </br>L'assemblée sur la communication du FSM a émis le 12 février une déclaration </br>http://ciranda.net/fsm-dacar-2011/article/le-droit-d-informer-et-d-etre</br></br>Ghassan Wail El Karmouni, journaliste et membre du Forum des Alternatives du Maroc membre du Forum des Alternatives du Maroc)
  • Définition des communs selon Michel Bauwens  + (Gouvernance, Communs vs Public, Communs vs Privé Reconnaître le commun et ré-agencer le rôle du marché et de l'état par rapport au commun. Reconnaîssance du commun)
  • LABSUS et les reglements des communs urbains  + (Gregorio Arena et Daniela Ciaffi présentent le LABSUS et les chartes et règlements des communs en Italie. L'entrevue se termine par la définition des communs. Gregorio Arena s'exprime en anglais et Daniela Ciaffi en français.)
  • Balade de l'oppidum de Verduron - 14 Attention Danger de gentrification  + (Gérer l'évolution de la population et de l'urbanisation de la zone implique de s'inscrire dans le temps et de avoir mobiliser des outils juridiques comme le PLU.)
  • Histoire de l'Assemblée des communs de Lille par Julien Lecaille  + (Histoire de l'Assemblée des communs de Lille racontée par Julien Lecaille pendant la journée de travail sur les assemblées des communs à Paris le 23 septembre 2016.)
  • Histoire de l'Assemblée des communs de Lille par Maïa Dereva  + (Histoire de l'Assemblée des communs de Lille racontée par Maïa Dereva pour la journée de travail sur les assemblées des communs à Paris le 23 septembre 2016)
  • Histoire de l'Assemblée européenne des communs par G. Krikorian  + (Histoire de l'Assemblée européenne des communs racontée par Gaelle Krikorian pour la journée de travail sur les assemblées des communs à Paris le 23 septembre 2016)
  • Horizons communs  + (Horizons communs est un processus de réflHorizons communs est un processus de réflexion, d'échange/discussion et de production sur les défis que rencontre le mouvement des communs dans le contexte du Forum Social Mondial sur les Économies Transformatrices. Nous proposons de traiter de trois enjeux importants pour le mouvement des communs sous forme de rencontres virtuelles documentées numériquement. La trace numérique de ces travaux sera réunie dans un site web dans lequel chaque thème sera traité comme un chapitre de « Horizons communs ».comme un chapitre de « Horizons communs ».)
  • IBA MAR FAYE: l'accaparement des terres en Afrique.  + (Iba Mar Faye sociologue à l'IPAR Sénégal dIba Mar Faye sociologue à l'IPAR Sénégal dresse un portrait de l'accaparement des terres au plan international et prend l'exemple de l'Afrique de l'ouest et du Sénégal.</br></br>Interview réalisée au Forum Social Mondial de Dakar en février 2011 pour le chapitre «Les communs à l'ordre du jour planétaire» de remixthecommons.org.u jour planétaire» de remixthecommons.org.)
  • IBA MAR FAYE: l’accaparement des terres en Afrique  + (Iba Mar Faye sociologue à l’IPAR Sénégal dIba Mar Faye sociologue à l’IPAR Sénégal dresse un portrait de l’accaparement des terres au plan international et prend l’exemple de l’Afrique de l’ouest et du Sénégal.</br></br>Interview réalisée au Forum Social Mondial de Dakar en février 2011 pour le chapitre «Les communs à l’ordre du jour planétaire» de remixthecommons.org.</br></br>Mots-clés: accaparement des terres, enclosure, agriculture, occupation et utilisation des terres,</br></br>*Cameraman Daniel Torrico</br>*Montage/editing : Abeille Tardel Torrico *Montage/editing : Abeille Tard)
  • Expérience italienne des communs urbains  + (Ici, nous documentons l'expérience des communs urbains sous l'angle de l''''Atlas des chartes des communs urbains''' en Italie.)
  • Boite à outils pour faire Ecosystème des communs  + (Identifier et mettre en relation les différents modèles, méthodologies, pratiques et outils pour faire écosystème des communs.)